Des fleurs pour mon enterrement
Choix de la page
1, 2, 3, 4, 5, 6,7 8,9,10, 11,12,13,14,15,16,17,18,19, 20,21, 22, 23, 24, 25, 26, 27 28, 29, 30, 31 32, 33, 34, 35, 36, 37,38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45,46, 47, 48 49,50,51,52 53,54,55,56,57 58,59,60, 61,62, 63,64 65, 66,67, 68,69,70 ,71,72,73,74,75 76,77,78 ,79 ,80,81,82 83,84,85,86,87,88,89,90,91,92,93 |
94,95,96,97 ,98,99 ,100,101,102 ,103 ,104 105 ,106 ,107,108 ,109,110,111,112,113,114,115,116,117,118,119,120,121,122,123,124,125,126,127 128, 129,130,131,132,133,134,135 ,136,137,138 139 ,140,141,142,143,144,145,146,147,148,149 150,151152 153 154,155,156 157158,159 160,161,162 |
163,164 ,165 166,167,168,169,170,171,72,173,174,75,176,177,178,179,180,181,182,183,184,185,186,187,188,189,190 191,192,193,194,195 196 |
264,265,266,267,268,269,270,271,272,273,274,275,276,277,278,279, 280,281,282,283,284,285,286,287,288,289,290,291,292,293,294295296297 |
298,299,300,301,302,303,304,305,306307 308309,310,311,312,313,314,315,316,17,318,319,320,321,322,323,324,325,326,327,328,329,330,331,332 |
333,334,335,336,337,338,339,340,341,342,343,344,345,346,347,348,349,350,351,352,353,354,355,356,357,358,359,360,361,362,363,364,365,366,367, |
347,348,349,350,351,352,353,354,355,356,357,358,359,360,361,362,363,364 ,365 ,366,367,368,369 ,370,371,371,372,372,373,374,375,376, 377 378 ,379, 380,381,382, 383,384,385,386,387,388,389,390,39,392,392,393,394,395,396,397,398,399,400 ,401 ,402,403,404,405, 406,407,408,409 410 411,412,413,414,415, 416,417,418,419, 420 ,421,422,423,424,425,426,427, 428,429,430,431,432,433,434,435,436, 37 |
1 |
2 |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
8 |
9 |
10 |
11 |
12 |
13 |
14 |
15 |
16 |
17 |
18 |
Bref, comme je vous disais précédemment, les génies n'étaient pas ceux que vous croyez, mais souvent d'orduriers personnages dans leur vie privée, Ah!Ah!Ah! Et Beethoven n'y faisait pas exception en allant au bordel après qu'il avait composé un chef-d'oeuvre, comme si le génie le dégoutait en voulant redeve-nir un être humain fait de chair et de sang. De même que Mozart dégouté lui aussi par son génie allait le soir s'enfermer dans les salles de jeux pour oublier sa musique qui lui prenait la tête et lui faisait vivre un véritable enfer. Mon chez lecteur, une chose que vous savez certainement pas, c'est que tous les gén-ies ont toujours été haïs et non adorés et adulés comme le dit la légende. La preuve est simple, voyez comment Mozart a fini, bref, dans une fosse commune! Et je pense qu'il nous faudrait beaucoup de temps pour faire comprendre aux Français qu'ils n'avaient désespérément rien compris au génie et à la liberté, tellement ils étaient bêtes, Ah!Ah!Ah! |
19 |
20 |
21 |
22 |
23 |
24 |
25 |
26 |
27 |
28 |
29 |
30 |
31 |
32 |
Puis elle se leva et me dit brutalement en me tendant le poing : Mon gars n'essaye pas de me revoir, car tu risquerais d'avoir des ennuis avec moi! Moi, effrayé par son comportement hystérique, j'avais alors l'imp-ression d'avoir affaire à un mec plutôt qu'à une fille telle qu'on avait l'habitude de rencontrer, bref, douce et gentille. Apparemment, les moeurs des jeunes filles avaient bien changé et disons-même radicalement depuis ces derniers temps où l'on avait désormais affaire à des monstres qui voulaient enfanter sans faire l'amour avec des hommes! Une année plus tard, je la croisais par hasard dans la rue en apercevant dans le landau qu'elle poussait, un petit bambin! Je ne sais pas si elle m'a reconnu; mais saisissant subitement ce que j'avais réalisé, je détalais aussitôt du trottoir pour ne pas devoir assumer une folie de jeunnesse! |
33 |
34 |
35 |
36 |
Pour la simple raison que l'Etat voulait garder le contrôle sur sa population, comme un fermier général veillant sur son troupeau de bovins et sur ses futures recettes, Ah!Ah!Ah! Bref, après de multiples tentati-ves auprès d'autres aventuriers de l'impossible ou investisseurs, je renonçais à mon beau projet d'inscrire mon nom sur le marbre, comme l'illustre fondateur d'une nouvelle civilisation! |
37 |
Mais telles étaient les apparences d'aujourd'hui où la société capitaliste nous avait mené à dénaturer notre vraie nature ainsi que notre environnement. Où l'argent y était pour beaucoup dans cette falsification de la vérité où un singe pourrait bien se prendre pour un rhinoceros en se collant une corne à la place du nez ou un idiot se prendre pour un génie s'il avait beaucoup d'argent, comme Donald Trump, Ah!Ah!Ah! Mais là, mon cher lecteur, nous entrions dans des choses trop sérieuses pour qu'elles soient débattues en société, malheureusement. Car elles risqueraient de soulever des questions gênantes et géantes sur le cap-italisme et sur la légitimité de la bourgeoisie a mener notre destin là où elle le souhaitait. En comprenant bien que mon combat n'était pas contre le capitalisme auquel on avait aucune chance de gagner vu sa pui-ssance financière d'acheter toutes les parties pour qu'il soit le gagnant, Ah!Ah!Ah! Mais de me poser et de vous poser des questions pertinentes afin que nous en recevions le moins possible sur la gueule, Ah!Ah!Ah! |
38 |
39 |
40 |
41 |
Bien entendu, j'utiliserais les mathématiques pour les quantifier afin d'être dans le vrai et non dans les concepts intellectuels. Premièrement, amputons à notre journée de 24 heures les 1/3 de notre temps que nous passons à dormir où nous avons pour ainsi dire aucun rapport économique avec les autres puisque nous dormons, Ah!Ah!Ah! Ainsi donc, il nous resterait les 2/3 de notre temps à consacrer à notre existe-nce réelle dont les 1/3 appartenaient à notre patron pour des raisons économiques, puis 2 heures bloquées dans les embouteillages pour aller à son travail, puis 2 heures pour faire les courses, puis 3 heures devant son petit écran à regarder des émissions débiles nous vantant les bienfaits de la société de consommation, etc. Bref, on constatait que les 2/3 de notre temps (soit environ 70%) étaient consacrés à nos rapports éc-onomiques avec les autres où nous usions très peu de notre vraie intelligence pour communiquer, n' est-ce pas, mon cher lecteur? Ce qui nous prouvait que la société capitaliste à la longue nous rendait de plus en plus bête, comme nous l'avions constaté en France où il y avait désormais 90% d'imbéciles et 10% de génies où l'archétype de l'idiot était Donald Trump en Amérique qui, ne sachant pas quoi faire de son te-mps et de son argent, passait sa journée à dire de grosses conneries au monde entier, Ah!Ah!Ah! |
42 |
De plus, ce qui rassurait la plupart des Français (d'avoir une tête farcie comme une dinde), c'était le sen-timent de toute puissance que cela leur procurait quand ils se trouvaient face au monde, mais qui au bout du compte ne leur servait pas à grand chose pour exercer efficacement leur intelligence. Car ceci n'était qu'un sentiment de toute puissance intellectuelle, mais non une force réelle, comme nous aimions la sen-tir en nous, mon cher lecteur, quand nous écrivions la vérité sur nos compatriotes afin qu'ils se reforment intelligemment. Et contrairement à eux, je vidangeais régulièrement ma tête afin qu'elle soit la plus vide ô possible et la moins encombrée d'objets inutiles ou trop volumineux pour sa boite crânienne, Ah!Ah!Ah! Dans le but, bien évidemment, que tous mes sens puissent agir sur les nouveaux objets de sa connais-sance qui les interpellaient, les titillaient, les agaçaient etc. Une chose importante à vous dire, mon cher lecteur, ce livre je le destiais aux touristes étrangers (qui voudraient connaître la vérité sur les Français) et non aux Français qui, je pense, n'aimeraient pas prendre des coups de fouets pour le plaisir en le lisant, Ah!Ah!Ah! Et ce qui caractérisait vraiment la nature du Français, c'était son horreur du vide politico-in-tellectuel et son amour immodéré pour les mots en isme(humanisme, catholiscisme, républicanisme, cap-italisme, collaborationisme, socialisme, existentialisme etc) qui je pense intéressera beaucoup les touris-tes étrangers qui, il faut le dire, aimaient visiter la France comme un grand musée parfaitement entretenu et dépoussiéré quotiennement par nos institutions de nettoyage publique, Ah!Ah!Ah! Et paradoxalement, dans cette grande vallée intello-historique, peuplée de montagnes en Isme, les Français les ont toujours escaladé, non sans peine, mais par la nécessité de s'adapter au monde qui évoluait autour d'eux. Pour ainsi dire, ce ne fut jamais une partie plaisir pour eux et tout particulièrement pour leur cerveau et leurs mollets. Mais bon, après de douloureux efforts, ils y étaient parvenus, Ah!Ah!Ah! |
43 |
44 |
45 |
46 |
47 |
48 |
En fait, le génie, comme je l'ai déjà dit, ce n'est pas la longue et profonde méditation sur les choses ou sur les idées, mais de connaître sa propre nature afin de produire les fruits qu'elle attend de nous. Bref, les fruits que nous produisons sans trop savoir pourquoi où je vous assure qu'il est inutile de demander à un pommier pourquoi il produit des pommes, car c'est sa nature de produire des pommes, c'est à dire son gé-nie qui n'est pas le même que celui du pécher ou d'un prunier, bien évidemment. Et qu'il est inutile, mon cher lecteur, de me demander pourquoi j'écris tout ceci, car je ne le sais pas moi-même, comme si mon génie m'échappait, bref, comme si le poids trop lourd de mes fruits les faisait tomber dans l'herbe, comme par une gravité naturelle, non calculée, afin de nourrir les hommes, les animaux, les oiseaux, les insectes et la terre etc. Et lorsque vous interrogiez vos sens d'une manière simple et naturelle, ces derniers vous ré-pondaient d'une façon poétique et jamais d'une manière intellectuelle ou économique, car les concepts in-tellectuels et économiques étaient des inventions des Hommes afin de compenser leur perte en intelligen-ce, ce que vous savez désormais, mon cher lecteur. D'où le développement des sciences et du capitalisme dans nos sociétés désormais dépendante de l'intelligence artificielle appelée IA. |
49 |
50 |
51 |
52 |
53 |
54 |
Par tout ce que je venais de vous exposer, on voyait l'évident ressurgissement du passé dans le présent par la triste affaire de Socrate condamné à mort par la république Athénienne. |
Pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, je pensais au début que mon vilain bouquet de fleurs m'avait été envoyé par quelqu'un de ma famille. En constatant, si vous suiviez les enquêtes policières à la télé tel-les que les enquêtes impossibles de Pierre Belmare ou Redrum (murder à l'envers) que l'assassin était so-uvent un proche de la victime! A ce propos, j'avais eu un gros différent avec un de mes frères et une de mes demi-soeurs qui m'avaient accusé injustement d'avoir volé de l'argent à ma mère après son décès! Ce que j'avais trouvé odieux de leur part sachant que j'avais sacrifié ma vie en restant célibataire afin de res-ter à ses côtés. Apparemment, mes deux gripsous de frère et demi-soeur n'avaient rien saisi à mon sacrifi-ce en ne pensant qu'a l'héritage que le décès de leur mère pouvait leur rapporter. Mais ce que je trouvais surtout immoral de leur part, c'était de traiter le génie de la famille de cette façon si odieuse. N'êtes vous pas du même avis que moi, mon cher lecteur? Mais je ne dévoilerai pas ici leurs prénoms, car je ne voud-rai pas que mon public qui me suit depuis des années sur mon site Internet( au nombre de 400 visiteurs par mois) les insultent et les harcèlent sur les réseaux sociaux, bien évidemment. Voyez, mon cher lect-eur, comme je suis indulgent envers ces gens qui voulaient, ne nous le cachons pas, me trainer devant les tribunaux! Mais bon, comme l'un est dans la fonction publique et l'autre dans le secteur bancaire, ça ne m' étonnait guère de leur réaction vu que les bourgeois ont toujours été les ennemis des prophètes et des génies depuis la naissance de la société moderne, n'est-ce pas? Car ces deux énergumènes, que je qualifie-rais d'être sans coeur, étaient plutôt bien lotis dans la vie où ils possédaient leurs propres maisons, des revenus confortables et sûrement un gros magot à la banque, Ah!Ah!Ah! |
55 |
56 |
57 |
58 |
Puis reprenant ma conversation ave lui, je lui parlais ouvertement de sa mère en lui disant qu'elle était skizophrène, mais qu'elle refusait toujours de le reconnaître. Ce qui déclencha un mouvement d'humeur ou de désaccord de la part de sa copine, qui semblait la connaître, mais pas aussi bien que moi qui avait supporté sa tyannie, Ah!Ah!Ah! Puis je lui avouais qu'a l'age de 18 ans, elle avait fait une tentative de su-icide à la maison en avalant une boite de somnifères. Ce qui le surprit véritablement, car il avait toujours pensé que sa mère était une force de la nature et d'une moralité exemplaire depuis sa conversion à l' Isl-am. En fait, il ne semblait pas si déstabilisé que cela, car il m'avoua peu de temps après qu'elle faisait toujours ses crises et qu'il ne fallait pas être à ce moment sous ses griffes, Ah!Ah!Ah! Ce qui me prouvais qu'elle n'avait véritablement pas changé et qu'elle était toujours atteinte de skizophrènie et bien que sa convesion à l'Islam l'avait un peu calmé, mais sans plus. En fait, je pensais en lui racontant cette petite histoire qu'elle resterait entre nous, comme des confidences de comptoir. Mais j'appris quelques temps plus tard de la part de mon frère que ma demi-soeur ne voulait plus me voir sans me donner la moindre explication! Ainsi, je compris que mon neveu lui avait raconté tout ce que je lui avais dit d'une manière confidentielle. Bref, je ne savais pas qu'il était un grand idiot, Ah!Ah!Ah! Et puis après tout, c'était une façon de remettre les pendules à l'heure, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et que de clarifier les choses me sembla tout à fait le bienvenu pour régler enfin nos comptes avec le passé. |
59 |
60 |
61 |
62 |
Bref, j'ai toujours senti en moi un prophète, mais que mes contemporains n'ont jamais voulu écouté, car ils pensaient dure comme fer que leur destin ou planche de salut se trouvait dans l'économique et dans le matérialisme. Ah mes pauvres frères humains! Où développer leurs sens et les connecter au cosmos et à leur environnement naturel pourrait leur ouvrir leur intelligence et les mener vers un monde meilleur. Mais apparemment, ils n'en voulaient pas parce qu'ils étaient bêtes et que l'humanité était mauvaise par nature, Ah!Ah!Ah! Je ne disais pas que tous les hommes l'étaient, mais la grosse majorité entraînait la partie la plus saine vers la bêtise généralisée et la folie, comme par un mimétisme idiot qu'on observait tous les jours dans les médias où ils nous dictaient notre comportement tel un diktat existentiel. Ah pau-vre humanité, m'écriais-je souvent pour tes catastrophes à venir! |
En retrouvant mes esprits dans ce monde absurde, où je voyais mon vilain bouquet de fleurs prêt à me dévorer telle une plante carnivore, je me demandais si je n'allais pas porter plainte au commissariat le pl- us proche pour tentative d'assassinat par fleurs interposées? Je sais, une étrange idée qui me passait par la tête qui bien sûr ferait exploser de rire l'inspecteur et tous ses collègues, Ah!Ah!Ah! Et j'entendais déjà son discours plein de bon sens me sermonner tel un enfant immature : Voyons, Monsieur Maaded, soyez sérieux, vous savez bien d'après la loi française et internationale qu'on ne pouvait pas porter plainte con-tre quelqu'un qui vous avait envoyé un bouquet de fleurs, si mal agencé, soit-il! Et bien évidemment, monsieur l'inspecteur, j'étais obligé de l'accepter pare que c'était la loi! lui aurait répondu comme indig-né. Mais oui, Monsieur Maaded, vous êtes obligé de vous y soumettre, sinon vous seriez hors la loi et que je pourrais bien vous arrêter en voulant faire justice vous-même. |
-Monsieur l'inspecteur, vous plaisantez? |
-Mais non, je plaisantais pas et je vous conseillerais de retrouver les pieds sur terre avant que je vous enferme dans un hôpital psychiatrique, Monsieur Maaded. Car vous savez bien que vouloir la mort de quelqu' un n'est pas un crime! |
-Pourtant, c'est bien dommage! |
-Comment, c'est bien dommage? me demanda-t-il comme interloqué. |
-Oui, je trouvais cela bien dommage qu'on ne puisse pas arrêter le futur assassin avant qu'il commette son crime! |
L'inspecteur, étonné par mon discours, me regarda soudainement comme le génie de la lampe d'aladin et sembla prêt à m'écouter plus longuement et surtout plus sérieusement. |
-Monsieur Maaded, si vous avez des idées dans ce domaine là, je suis prêt à les écouter, me dit-il en s'ass-eyant à son bureau avec plein de gravité. |
63 |
Donc, si je vous ai bien compris, il faudrait arrêter tout le monde pour en finir avec le problème de la cr-iminalité? |
-Oui, bien effectivement. |
-Mais, vous êtes fou, Monsieur Maaded! Car qui d'entre nous n'a jamais voulu un jour assassiner sa fem- me et ses enfants après une rude journée de travail? |
-A mon avis, peu de gens. Mais je peux parfaitement vous comprendre, cher inspecteur. Car moi même combien de fois n'ai-je pas voulu tuer mes frères et soeurs parce que l'un d'entre eux avait pris la plus grosse part de pizza sur la table ou bien vidé la bouteille de lait au petit-déjeuner, mangé tout le pain, avalé la tablette de beurre, vidé le pot à café, le pot de confiture sans rien laisser aux autres, sinon un nombre de fois incalculable? Sans oublier une chose abominable de leur part, quand il fallait faire les courses pour soulager maman, étrangement, tout le monde disparaissait de la maison sauf moi qui me re-trouvais comme pris au piège! |
-Oh oui, Monsieur Maaded, je peux parfaitement comprendre votre désarroi devant de tels comportement égoïstes. Mais je veux vous assurer que c'est souvent le cas dans les familles nombreuses où la cohabita-tion forcée avec ses frères et soeurs entraîne ce genre de dérive et de mauvaises pensées à leurs égards qui ne s'arrangent pas avec le temps, il faut le dire. Et puis d'après les statistiques officielles de la police, c'est dans les familles nombreuses que l'on trouve le nombre de criminels le plus important! |
-Je suis entièrement d'accord avec vous inspecteur et c'est bien pour cette raison que je suis venu vous voir à propos de mon vilain bouquet de fleurs, qui n'oubliez pas avait des intentions malsaines voires cri-minelles à mon égard vu sa funeste carte de condoléances et ses piquants et orties à l'appui. |
-Mais ne vous énervez pas comme ça, ce n'est qu'un banal bouquet de fleurs qui, reconnaissez-le, ne vous avait pas tué pour l'instant, n'est-ce pas? |
-Non, disons pas pour l'instant, mais c'était apparemment ses intentions! |
-Allez, ne soyez pas parano, car même si je peux comprendre votre haine envers vos frères et soeurs, on ne pouvait pas les accuser de vouloir votre mort. Et puis soyez réaliste, quand ils vous ont fait toutes ces misères, vous ne les avez pas tué pour autant, n'est-ce pas? |
64 |
-Oui, parce que vous connaissiez la loi qui vous l'interdisait, n'est-ce pas? |
-Alors là, vous n'y êtes pas du tout, inspecteur! Et pour vous dire toute la vérité, c'est parce que je ne voulais pas faire de la peine à me mère pour laquelle j'étais son fils adoré. Et en passant à l'acte, j'étais sûr de perdre son amour inestimable pour moi. |
-Vous êtes un bon fils, Monsieur Maaded et je vous crois inoffensif pour vos semblables. Car vous aviez toutes les raisons de les assassiner, comme dans une tragédie grecque, mais que vous ne l'aviez pas fait pour garder l'amour et le respect de votre maman, n'es-ce pas? Et je pense sincèrement que vous avez une bonne nature qui me permet de continuer ces propos forts intelligents avec vous sans craindre à ma vie. |
-Monsieur l'inspecteur, je veux vous assurer, qu'il m'est jamais venu à l'idée de vouloir vous assassiner dans votre bureau de chef de la police! |
-Ah!Ah!Ah! ria-t-il en se coulant dans son fauteuil. Vous, sûrement. Mais comprenez que les voyous que j'interroge ici dans mon bureau n'ont pas les mêmes idées que les vôtres et qu'ils prendraient un grand pl-aisir à m'assassiner ou à m'égorger comme un poulet! |
-Oh oui, c'est certain. Car quel voyou n'aimerait pas séquestrer un inspecteur de la police nationale au fond d'une cave et de le torturer pour le plaisir de l'entendre insulter les lois républicaines? |
-C'est comme je le crois, le grand fantasme de la plupart des voyous, mais qu'il ne réalise jamais dans la réalité,. Car ce sont des petites crapules dont les ambitions sont minables et pas du tout politiques, je vo-us l'assure. Mais il est vrai quand vous sentez sa haine monter en lui et vous envahir d'une manière terr-ible et vouloir votre peau, vous ne pouvez pas rester insensible en sentant devenir sa proie. |
-Alors vous voyez bien que nous ne sommes pas si éloignés que cela avec mon vilain bouquet! |
-Oui, mais votre bouquet de fleurs n'a pas la dangerosité d'un homme qui à tout moment peut dégainer un pistolet ou un couteau pour vous envoyer deux mètres sous terre! |
65 |
L'inspecteur, bouleversé par tout ce que je lui disais, porta son index sur son menton comme mué par une grande réflexion et me dit : Monsieur Maaded, si vous avez des idées de ce genre à me proposer, je suis prêt à vous écouter plus longuement! en allant fermer la porte de son bureau pour ne pas être dérangé. |
Puis reprenant sa place derrière son bureau, il me dit : J'aime bien votre nouveau concept de la justice, disons révolutionnaire, mais avec le défaut de vouloir enfermer tout le monde pour garantir la paix et la sécurité à une petite minorité! |
-Comprenez bien, cher inspecteur, que je ne veux en aucune façon enfermer tout le monde en prison, car ces dernières ne seraient pas, à mon avis, assez vastes pour pouvoir le faire, mais seulement arrêter ceux qui sentent l'odeur du crime! Car d'après moi, il n'y a pas de fumée sans feu, ni odeur sans futur crime. |
-Oui, tout cela me semble cohérent. Mais que vous voulez me dire au juste? |
-En fait, je pense que la plupart des auteurs de romans policiers et des professionnels du crime comme vous, inspecteur Moutier, font toujours la même erreur qui est de croire que le futur crime à l'odeur du sang, alors qu'il en est rien! |
-Comment il n'en est rien? |
-Oui, car depuis que j'ai reçu mon vilain bouquet de fleurs, j'ai comme des picotements dans le nez et des éternuements à répétition, alors que les grands froids sont bien loins! |
-Oui, mais que voulez-vous me dire exactement? |
-C'est comme si quelqu'un à distance me voulait du mal ou ma mort dont mes sens n'étaient pas insens-ibles à l'évidence. |
-En fait, Monsieur Maaded, je crois que vous êtes quelqu'un de superstitieux et qu'en soignant tout simp-lement votre rhume chronique, vous pourriez sortir de cette grotesque histoire, comme je le crois! me dit-il en voulant jouer au médecin, alors qu'il n'y connaissait rien sauf en médecine légiste ou cadavéri-que, Ah!Ah!Ah! |
66 |
Ébranlé par mon assurance et mes croyances extravagantes, il me regarda bizarrement comme un voyou qui s'ignorait et posa sa main sur l'étui de son flingue sous la veste de son gilet! |
-Monsieur Maaded, me dit-il avec sévérité, si vous êtes venu au commissariat pour rendre fou les forces de l'ordre, je crois bien que vous vous êtes trompé d'adresse, car vous ne trouverez ici que des hommes et des femmes qui ont la tête sur les épaules et que vous devriez consulter un psychologue ou un psychiatre pour résoudre votre problème de paranoïa. |
-A mon avis, je pense que vous faites erreur, inspecteur, en ignorant les indices que je vous ai donné sur mon futur assassinat. |
-Encore des grands mots! me lança-t-il en se levant et en regardant soudainement la lumière blanche des néons au plafond. Apparemment, il semblait très énervé par mon histoire insolite et me tournait le dos, comme s'il ne savait pas comment l'aborder ou bien la résoudre comme il l'avait appris à l'Ecole de la po- lice nationale où ce cas n'avait jamais été envisagé. Puis se tournant brutalement vers moi, il me dit : Bon d'accord, quelle est cette odeur si particulière qui nous orientait sur un futur crime? |
-Ah enfin inspecteur! je lui lançai après avoir été pris pour un fou ou un débile mental. Ce dernier, forcé de m'écouter ne dit rien et se rassit telle une grosse masse sur son fauteuil à moitié rapiécé tellement le budget de la police avait été réduit par nos derniers gouvernements qu'ils soient de gauche ou de droite. |
Mais pour une raison étrange, il se releva soudainement et prit sur son bureau un rouleau de scotch et en découpa une large bande qu'il colla aussitôt sur son siège, qui était déchiré à plusieurs endroits dû à un manque évident de moyens de la police pour renouveler son mobilier, mais aussi, ne nous le cachons pas, à force d'y poser son gros cul d'inspecteur, Ah!Ah!Ah! |
-Oh excusez-moi, Monsieur Maaded, me dit-il d'un air un peu gêné, mais il nous faut faire avec les moy-ens du bord, voyez-vous. |
67 |
-Ah!Ah!Ah! ria-t-il d'une façon nerveuse, puis se rassit en laissant échapper un pet que je ne pouvais soupçonner de sa part vu son éducation rigide faite par son père que je devinais être un ancien inspecteur divisionnaire à la retraite connaissant tous les rouages de la criminalité à tous les étages de la société fra-nçaise. Bref, fronçant les sourcils en attendant ce bruit insolite de Prouuut, il se releva et inspecta avec attention son siège et me dit avec hilarité : Ah!Ah!Ah!, je crois bien que mon scotch n'a pas tenu et que mon siège a encore explosé! Monsieur l'inspecteur, lui dis-je, croyez-bien que je vous plains sincèrem-ent de devoir vous coltiner tous les jours ce genre de petits bricolages, alors que dans la rue courent de dangereux criminels! En lui rappelant toutes ces choses évidentes pour moi d'une façon impromptue, il arrêta de couper ses bandes de scotch et me dit avec plein de gravité : Mais oui, mais oui, vous avez enti-èrement raison! Mais comprenez-bien qu'un inspecteur de la police nationale a un prestige à tenir et qu'il ne peut pas s'asseoir sur une cagette de poulets ou de fruits et légumes pour rétablir l'autorité! |
-Entièrement d'accord avec vous, inspecteur! je lui lançai afin de lui permettre de consolider son siège ou sa place inamovible dans la fonction publique avec les moyens du bord qu'il aimait tant me rappeler pour ne pas faire son travail réel tellement il était ardu et ingrat au point que personne ne voulait le faire, bien évidemment. Car d'après les chiffres officiels du ministère de l'intérieur et malgré un sureffectif de la po-lice dans les commissariats et dans les rues à patrouiller vainement à gaspiller du carburant au frais du contribuable, la criminalité ne baissait pas pour autant et disons-même avait tendance à augmenter dans les grandes villes! Bref, un paradoxe que même les policiers n'arrivaient pas à s'expliquer en passant la plus grande partie de leur temps à rafistoler leur mobilier de bureau, à réparer l'imprimante qui était tou-jours en panne ainsi qu'un manque de papier constant dans la cassette, graisser la gâchette de leur pistolet qui avait tendance à s'enrailler et recoudre eux-mêmes leurs gilets par balle qui avaient été malmenés par les gros calibres du grand banditisme ou par de furieux terroristes etc, etc. |
68 |
-Entièrement d'accord avec vous, cher inspecteur. Donc, si je vous ai bien compris, l'Etat était pour vous une chose bien pratique pour tirer sur tout ce qui était noir ou musulman, hum? |
-Quoi que dites-vous là, Monsieur Maaded? |
-Mais non, je plaisantais, monsieur l'inspecteur. Je voulais simplement dire qu'il devait être bien difficile pour un policier de tirer dans le noir et de faire une sommation dans la langue de Molière! |
-Mais oui, vous avez entièrement raison vu qu'en France, il était très difficile pour nous de nous faire comprendre avec des mots simples que la plupart des gens de cultures étrangères comprenaient malheure-usement de travers, car ils pensaient que la France était le pays de la liberté donc d'un grand de foutoir! |
-A mon avis, inspecteur, le mot de liberté n'avait pas du tout le même sens selon la culture d'où l'on ven-ait ainsi que les droits de l'Homme qui semblaient une aberration pour les gens vraiment libres. |
-Mais que voulez-vous dire par là? me demanda-t-il comme intrigué. |
-Oh, je voulais parler de ces voyous qui n'avaient aucune règle morale ou de respect pour nos institu- tions républicaines! |
-Oui et c'est bien pour cela que nous sommes là, nous les forces de l'ordre, pour empêcher ces malotrus de semer le chaos dans notre chère république! dit l'inspecteur en reprenant ses ciseaux, puis en découpa-nt de nouvelles bandes de scotch pour réparer son siège, qu'il ne comptait à aucun moment remplacer en le payant avec ses propres deniers. Assis en face de lui, j'étais très gêné par son odieux avarisme en devi-nant, non sans arguments, que dans la police on devait être de gros radins comme la plupart des Français en se servant largement sur les comptes bancaires des dealers de drogue qu'on avait arrêté pour renflouer les caisses de l'Etat et payer ses fonctionnaires. Bref, j'attendais, non sans nervosité, que monsieur l'inspe-cteur veuille bien terminer une de ses occupations favorites, afin de le relancer sur mon futur assassinat. |
Après avoir vidé entièrement le rouleau de scotch payé aux frais du contribuable, l'air satisfait, il se rassit dans son fauteuil, comme le pape sur son saint siège et me dit: Ah oui, Monsieur Maaded, mais où en éti-ons-nous exactement? |
-Inspecteur Moutier, je voulais vous demander si vous vous êtes déjà promené à la campagne? |
69 |
-Et vous êtes vous déjà approché de ces champs de ronces longeant nos charmantes routes françaises sans y ressentir une certaine frayeur? je lui demandai d'une façon toute naturelle. |
-Mais oui, bien sûr, comme tous les Français, je crois. Et je ne vous cacherai pas que j'aurais bien voulu y jeter toute ma famille à l'intérieur pour m'en débarrasser une bonne fois pour toute, Ah!Ah!Ah!! ria-t-il d'un air diabolique en pivotant sur son fauteuil comme sur manège en bois. Puis me regardant avec plein de malice, il me dit : Monsieur Maaded, je vois à quoi vous voulez en venir. Mais je veux vous assurer que d'après la loi française et internationale vouloir la mort des uns et des autres n'est pas un crime tant qu'on est pas passé à l'acte, n'est-ce pas? |
-Bien entendu, monsieur l'inspecteur, je ne suis pas de votre avis! je lui expédiai à la figure afin de lui montrer mon désaccord en lui disant d'un air impérial, comme à la Jules Cesar : Comprenez que si la loi était différente, je vous aurais fait tout simplement arrêter par la police! |
-Ah!Ah!Ah! ria-t-il en me croyant complètement fou. Mais vous délirez complètement, monsieur Maad-ed! Quoi, vous oseriez arrêter un inspecteur de la police Nationale dans son bureau par ses propres collè-gues? Mais vous êtes fou et je crois bien que je vais vous faire interner au plus vite à Sainte-Anne pour désordre public! me lança-t-il avec dans la bouche plein d'écume de colère contre moi. |
-Mais ne vous énervez pas comme cela, car vous savez bien que les députés de la république n'ont pas vo-té la loi pour l'instant et que vous pouvez dormir sur vos deux oreilles, je peux vous assurer! je lui exp-édiai afin de le lui éviter de me tirer une balle entre les deux yeux! |
-Ah, j'aime mieux ça! me dit-il en détachant discrètement sa main de son porte flingue. Comprenez-bien que dans les locaux de la police judiciaire, nous ne sommes pas habitués à des débats philosophiques de ce genre où les voyous deviennent tout à coup les bons et les honnêtes citoyens les méchants. Je suis dés-olé, mais ce ne sont pas les traditions de la maison ni de la république française. |
70 |
-Bien, bien, voyons et pourquoi pas le préfet de la police des Hauts-de-Seine pour le vol de trois table- ttes de chocolat au Prisunic et le président de l'ordre moral pour exhibitionnisme? me lança-t-il en me fa-isant une horrible grimace tirée du théâtre Japonais. Je peux vous poser une petite question, monsieur Maaded? me demanda-t-il subitement |
-Mais oui, bien sûr, que vous pouvez... |
-Avez-vous pris ce matin des champignons hallucinogènes ou une substance illicite? me demanda-t-il brutalement en frappant son stylo à bille sur son bureau comme une petite matraque. |
-Ah non, inspecteur, jamais de la vie, je me serai permis de faire une telle chose avant de me présenter au commissariat et tout particulièrement devant ses respectables forces de l'ordre que vous représenter, je vous l'assure! je lui balançai comme une formalité appréciée par tous les fonctionnaires de police et con-nue par tous les voyous qui l'avaient expérimenté un millier de fois lors d'interrogatoires musclés dans les locaux de la police judiciaire, bref, une simple formule de politesse qui pouvait vous éviter de vous faire passer à tabac, Ah!Ah!Ah! Mais pourquoi vous me poser cette étrange question? je lui demandai en faisant l'innocent comme saint-Augustin. Mais voyant mon air angélique, il me dit:Non, j'disais ça comne ça! en lâchant subitement son stylo sur son bureau comme une combat perdu d'avance. Puis se rehauss-ant sur son fauteuil avec plein de gravité, il me dit : En fait, monsieur Maaded, je crois que vous prenez vos désirs pour des réalités. Et si vous comptiez réaliser vos phantasmes sous la 5 ème république franç-aise, je peux vous assurer que vous risquez d'être très déçu! tout en se laissant tomber lourdement sur son fauteuil que j'entendis exploser une seconde fois. Mais sachant que son rouleau de scotch était entièrem-ent vidé, il n'osa pas se relever et me regardait avec défiance et plein de rancoeur. |
71 |
-Parce que tout cela pourrait bien changer, cher inspecteur! je lui envoyai avec assurance et fermeté que je me croyais incapable jusque là. |
-Mais que voulez-vous me dire exactement? me demanda-t-il l'air inquiet. |
-En fait, je voulais vous dire tout simplement que derrière ces masques, apparent de la respectabilité, il y avait des hommes et seulement des hommes! |
-Mais oui, je le sais bien. Et pensez-vous pour autant que je pourrais les arrêter pour cette raison? me de-manda-t-il avec une grande fermeté en sachant parfaitement ce que la loi lui permettait de faire ou de ne pas faire et bien évidemment pour en faire le moins possible, Ah!Ah!Ah! Puis reprenant son arrogance de fonctionnaire de police honteusement gonflée par le prestige d'assurer la sécurité de l'Etat et du citoyen, il me dit: Monsieur Maaded, soyez réaliste, mais vous savez bien que personne ne vous dira en face qu'il comptait vous assassiner ou bien voler votre portefeuille, n'est-ce pas? tout en basculant dans son fau-teuil qui se mit subitement à grincer comme un vieux manège. |
-Un peu d'huile ne serait pas inutile, cher inspecteur, je lui lançai afin de me venger de sa morgue insupp- ortable. |
-Désolé, monsieur Maaded, de vous briser les oreilles. Mais pour l'instant nous n'avons pas le budget su- ffisant dans la police Nationale, comme vous le savez. |
-Monsieur l'inspecteur, je vous assure qu'un litre d'huile au Prisunic ne coûte pas bien cher! je lui lançai afin qu'il soit plus pragmatique, mais surtout moins radin. |
-Mais je vous le répète une fois de plus, ce n'est pas à nous, les fonctionnaires de police, de nous payer nos fournitures de bureau et nos instruments de travail que sont nos armes et patati et patata, mais à l'Etat qui est notre employeur, ne l'oubliez pas! m'expédia-t-il à la figure tout en baissant les yeux sur son bur-eau où il déplorait l'état de ses stylos à billes, gommes, crayons à papier, ordinateur qui semblaient en bout de course. |
72 |
-Ah oui, je m'en rappelle maintenant! En fait, je voulais tout simplement vous dire quand je vais sur Inte- rnet, j'apprenais tous les jours des choses hallucinantes sur notre société occidentale. Où la semaine dern-ière, j'ai appris que des blancs n'aimaient plus les blancs, des noirs détester les noirs, des phiosophes de gauche s'en prendre violemment aux gens de gauche, des juifs critiquer avec une grande hargne des juifs où certains étaient devenus antisémites et nostalgiques du 3 ème Reich! Sans oublier les gens sur Faceb-ook et sur Twitter où des pompiers nous avouaient sans honte avoir peur du feu ainsi que des sauveteurs en haute mer avoir peur de l'eau! |
-En êtes-vous sûr, monsieur Maaded? me demanda-t-il comme intrigué par mes hallucinantes révélations en ouvrant subitement son tiroir d'où il sortit un petit sac de cacahouètes qu'il déposa sur son bureau. |
-Vous aimez les cacahouètes? me demanda-t-il en poussant le petit sac dans ma direction. |
-Mais qui n'aime pas les cacahouètes, monsieur l'inspecteur? |
-Eh bien servez-vous, c'est moi qui les ai payé! me dit-il d'un air dégoûté comme s'il aurait aimé que l'Etat français les lui paye pour service rendu à la nation et pourquoi pas ses petits salés parfumés au Cu-rry ou à l'olive? Ah!Ah!Ah! ricanai-je intérieurement |
-Merci inspecteur, je lui dis en piochant ma main dans le sac qu'il surveilla avec une grande attention pour ne pas que je le vide. |
73 |
-Inspecteur, je ne peux être que d'accord avec vous! je lui expédiai afin de le caresser dans le sens du poil. Et personnellement, je crois que si nos compatriotes avaient pété les plombs, c'est parce qu'ils n'avaient plus rien d'intéressant à dire ou à faire. |
-Que voulez-vous me dire exactement, monsieur Maaded? me demanda-t-il intrigué tout en rangeant son paquet de cacahouètes dans son tiroir pour un prochain interrogatoire. |
-En fait, je pense que si nos chers philosophes et autres intellectuels, chouchous des médias, tapaient dur-ement sur leur propre camp, c'est parce qu'ils n'avaient plus d'idées nouvelles à nous proposer tout bonn-ement. |
-Je pense saisir ce que vous voulez me dire, monsieur Maaded. Mais croyez bien que dans nos bureaux de la police judiciaire, nous ne faisons pas de politique ni nous ne tenons de colloques philosophiques ou intellectuels sur l'avenir de la société occidentale, mais devons suivre à la lettre les ordres du préfet qui sont soit d'intervenir soit de ne pas intervenir quand un danger se présente pour nos concitoyens! dit-il d' une façon pompeuse en bondant le torse. |
-Cela semble évident, monsieur l'inspecteur, ce qui vous assure ainsi l'éfficacité de vos actions pour ga-rantir la paix à nos concitoyens, n'est-ce pas? |
-Oui et c'est bien pour cette raison que nous, les officiers de police, nous ne sommes pas des philosophes ni des intéllectuels. Car cela risquerait de compliquer sévèrement nos arrestations de voyous en puissan-ce, qui pourait alors se defendre en nous sortant la déclaration des droits de l'Homme et pourquoi pas le petit livre rouge de Mao, Ah!Ah!Ah! ria-t-il en s'enfonçant dans son fauteuil comme un gros éléphant. Bi-en évidemment, je ne pouvais le contredire vu le poids de ses arguments. |
-En fait, ce que je voulais simplement vous révéler, inspecteur Moutier, c'était l'imposture de ces gens, honteusement nommés de génies par les médias, alors qu'ils n'en sont pas! je lui lançai afin d'être plus pr- écis dans mes argumentations auprès d'un officier de police qui semblait connaitre la réalité ou du moins saisir la vérité. |
74 |
-Pour vous répondre avec honnêteté, cher inspecteur, il me semble que si nos philosophes et autres inte-llectuels avaient pété les plombs en nous racontant à présent de grosses conneries, c'est parce qu'ils étai-ent tout bonnement des escrocs et qu'on le découvait aujourd'hui! je lui balançai comme une révélation stupéfiante qu'aucun journal télévisé n'aurait eu l'idée d'annoncer à la France toute entière pour éviter un fiasco économique aussi bien à ses auteurs qu'a leurs maisons d'éditions, Ah!Ah!Ah! |
-Comprenez bien, monsieur Maaded, que ce n'est pas pour moi une raison suffisante pour les faire arrêt-er! me dit-il brutalement. Car bien même ils seraient des escrocs, selon vos dires, l'escroquerie intellectu-elle, philosophique et littéraire n'est pas un délit punie par la loi! Je suis désolé de vous le dire, mais je ne fais que suivre les directives européennes sur les libertés démocratiques de notre pays qui permettent à chacun de dire autant de mensonges qu'il le veut du moment que des imbéciles sont prêts à les croire! me balança-t-il l'air plutôt satisfait par sa démonstration fumeuse. |
-D'accord, chef, je vois ce que voulez dire. Mais vous personnellement, comment vous faites pour ne pas péter les plombs dans ce monde d'imposteurs et de brutes? je lui demandai un peu brutalement |
-Moi? |
-Oui, vous! |
-Eh ben, je bats régulièrement ma femme, mes enfants et mon chien pour ne pas m'en prendre à la société, Ah!Ah!Ah! ria-t-il sans la moindre once de culpabilité. |
-Inspecteur, vous avez visiblement trouvé le moyen idéal pour assurer la paix sociale hors de votre domi- cile, me semble-t-il? |
-Oui, c'est exact et que j'aurais tant aimé inspirer aux terroristes que nous avons sur notre territoire franç- ais, afin qu'ils arrêtent de balancer des bombes sur leurs concitoyens! me lanca-t-il comme une bombe. |
-Je suis entièrement d'accord avec vous, inspecteur. Mais sans indiscretion, n'avez-vous pas peur d'être poursuivi par les associations féministes, de protection de l'enfance et des animaux qui en France forme-nt un pouvoir considérable, hum? |
75 |
-Une fois de plus, je suis d'accord avec vous inspecteur! je lui dis afin de lisser les choses. Mais sans ind- iscretion, votre femme, vos enfants et votre chien qu'en pensent-ils de passer à la moulinette tous les qui- nze jours, hum? |
-Alors là, monsieur Maaded, je rectifie votre erreur, car je ne les bats qu'une fois par mois, ce qui est un détail qu'il ne faut pas négliger, pensez-bien! me lança-t-il comme s'il voulait que je le considère comme un saint et pourquoi pas pour un saint apôtre? Ah!Ah!Ah! ricanai-je intérieurement. En fait, pour ne rien vous cacher, ma femme semble prendre du plaisir quand je la frappe et c'est bien évidemment une énigme qui nous échappe à nous les hommes qui par nature aimons taper sur tout ce qui est petit et faible et tout particulièrement à la police nationale où nous aimons frapper sur les Arabes, les noirs et les musulmans! ajouta-t-il comme pour enfoncer le clou. Quant à mes enfants, en leur donnant des coups sur la tête, je leur apprends ce à quoi qu'ils devront s'attendre dans ce monde violent qu'est notre société occidentale et capitaliste. Ainsi, ils seront mieux armés pour se défendre contre tous ces zoulous que nous avons en Fr-ance qui enfreignent nos lois pour le plaisir de les enfreindre. Car ils croient que la liberté, c'est la permi-ssion de faire tout ce qu'on le veut et pourquoi pas se branler en public? lâcha-t-il violemment dans le bureau. J'espère seulement que mes enfants suivront mes pas dans la Police Nationale où ils auront en fait peu de choses à apprendre, vu que je les avais formé de la meilleur façon qui soit, me dit-il comme satisfait par son boulot de père de famille violent. En voulant semble-t-il la perpétuer comme une tradi-tion dans la police française où l'on était macho et raciste par déformation professionnelle, ne nous le ca-chons pas, mon cher lecteur. Ceci est dit bien évidemment sans vouloir faire de polémique auprès de nos forces de l'ordre que nous aimons tant, n'est-ce pas? |
-Mais alors pourquoi vous en prendre à votre chien qui ne vous avait rien fait ni aucun mal à la société des Hommes? Je lui demandai subitement. |
76 |
-Oh, comme je vous comprends, monsieur l'inspecteur ! Mais alors comment faites-vous pour le punir de ce trop plein d'amour en vous bavant continuellement dessus et en mettant très certainement des poils de partout sur vos beaux costumes et uniformes, j'imagine? je lui demandai afin de connaître ses perversités. |
-Oh, c'est simple, je le prive de nourriture et d'eau pendant 3 jours afin qu'il comprenne que son amour baveux, je n'en veux plus! Je n'en veux plus! cria-t-il d'une maniere hystérique au point d'allonger ses jambes sur la table comme pour décompresser où j'aperçus qu'une de ses semelles était trouée! |
-C'est vrai que les croquettes pour chien sont un peu chères en ce moment, même à Carrefour, comme si leur prix était fixé à la bourse de New York! je lui lançai afin de compatir à ses maigres émoluments d' inspecteur de police et le peu d'argent qu'il lui restait pour pouvoir se payer une nouvelle paire de pompe. |
-Vous avez entièrement raison, monsieur Maaded. Mais j'aurais moi aussi une question à vous poser. Car je vous trouve bien indiscret sur ma vie privée, alors que vous ne m'en avez pas dit une miette sur la vô-tre, hum? |
-Oui, bien effectivement, mais quelle est votre question exactement? |
-Mais vous, personnellement, comment faites-vous pour ne pas péter les plombs dans ce monde où appa-remment vous êtes pris pour un imbécile et sans la moindre considération de la part de vos semblables? me balança-t-il d'une façon méprisante comme si j'étais un minus ou comme avait dit notre dernier prési-dent de la république( François Hollande), un sans dents! Et contrairement à ce qu'avaient raconté les mé-dias, cette expression "les sans dents" n'était pas destinée aux gens qui n'avaient pas les moyens de se pay-er des frais dentaires, mais à ceux qui n'avaient pas les dents assez longues pour se battre dans la société, Ah!Ah!Ah! Apparemment, Tierwieler, son ex petite idiote n'avait rien compris au sens caché des propos de son ex-coureur de jupon. Ajoutons à cela, les propos méprisants de son actuel successeur, monsieur Macron, sur "les gens qui n'étaient rien" parce qu'ils ne pouvaient pas lui répondre en direct dans les me-dias. Bref, une chose si facile pour lui, mais pas pour les gens anonymes, n' est-ce pas? |
77 |
-Bien, bien, monsieur Maaded, me dit-il, malheureusement, je ne peux pas vous arrêter pour cette raison. Car pour la loi française et internationale, ce que vous faites chez vous en privé n'est pas un délit puni par la loi! déplora-t-il en faisant une moue indescriptible. |
-Oui, c'est évident et c'est bien pour cela que je vous l'ai dit ouvertement en sachant que je prenais aucun risque! je lui balançai à la figure, mais sans pour autant lui rire au nez, car je pense sincèrement qu'il m' aurait déchargé deux balles dans le crâne! |
Bref, après toutes ces confidences explosives, un lourd silence s'installa dans la pièce où j'avais l'impres- sion que l'inspecteur de police, monsieur Moutier, inspectait ma conscience tel un adepte de Freud ou de la psychanalyse, mais en n'y connaissant rien du tout en sachant qu'on enseignait pas ces choses à l'école de Police. Bizarrement, j'imaginais alors un nouveau métier pour les futurs policiers où ils n'auront plus à arrêter les voyous par la force, mais en sondant leur conscience comme des mentalistes afin de connaît-re leurs intentions malsaines. A ne surtout pas confondre avec le détecteur de mensonges employé par la police américaine où le voyou pouvait mentir comme il voulait aux questions des enquêteurs pour le pl-aisir de mentir, Ah!Ah!Ah! En imaginant la science de demain où elle trouvera une machine ou un gadget électronique pour renifler ou détecter les mauvaise intentions des gens qu'ils soient riches ou pauvres, bien évidemment. En respectant le traitement égalitaire tel qu'on ne pouvait que le concevoir en France dans son système républicain. L'inspecteur, à le voir me faire une drôle de figure, semblait très perturbé voir halluciné par ma personne qui lui paraissait comme un ovni venant d'une autre planète ou si vous voulez comme un objet vivant non identifiable pour l'instant. Car je sentais bien qu'il n'arrivait pas à son-der ma conscience ou mon hyperconscience de génie avec ses faibles moyens sensoriels et intellectuels. Puis sans raison apparente, il s'enfonça dans son fauteuil en prenant étrangement une pose philosophique, je ne dirais pas à la Rodin, mais en mettant son menton dans le creux de sa main et en me demandant biz-arrement : Monsieur Maaded, pensez-vous vraiment révolutionner la littèrature française en inversant se-ulement l'ordre des mots dans une phrase, hum? tout en faisant gigoter ses doigts sur sa joue comme pour me montrer son impatience. |
78 |
-Oui, comme tous les Français qui croyaient malheureusement qu'en inversant l'ordre des mots dans une phrase, ils pouvaient réformer leurs institutions et tous le reste avec! me dit-il en me jetant un regard cyn- ique. |
-Croyez-bien, inspecteur, que je ne changeais pas seulement l'ordre des mots dans une phrase, mais littér-alement le sens! je lui balançai afin de lui faire comprendre que la langue française était une petite merve-ille pour tout dire et son contraire en même temps, bref, une vraie machine à mensonges où la vérité ne représentait que 10% de sa littérature, Ah!Ah!Ah! Mais c'était toujours ça, j'avais toujours pensé en y vo-yant une formidable machine à rêves pour les tous Français qui vivaient dans un monde chimérique fait de fêtes citoyennes et de grèves permanentes payées aux frais de la princesse, Ah!Ah!Ah! Mais entre nous que serait la vie des Français sans leurs formidables illusions, mon cher lecteur, sinon qu'un affreux cau-chemar? Et souvent, je me demandais si les Français pourraient survivre à l'éffondrement de leur Etat qu' ils idôlatraient telle une ruche pleine de miel? Car à les voir agir dans la réalité où ils se sentaient si seuls et perdus, comme des enfants immatures, j'étais convaincu qu'ils deviendraient complètement fous en qu-elques semaines sachant qu'ils l'étaient déjà à moitié, Ah!Ah!Ah! En fait, comme tous les Français avaient une nature de suiveur et de domestique, le fait de perdre leur grand ordonnateur serait pour eux comme leur donner le coup de grâce. Car il leur fallait absolument quelqu'un ou quelque chose d'autoritaire pour les rassurer et leur montrer la bonne direction des étables où ils seraient en sécurité et surtout loin du grand méchant loup qui rôdait dans les environs, Ah!Ah!Ah! Ainsi était la nature du Français qui ne chan-gerait pas d'ici tôt, croyez-moi. Bref, en voyant l'inspecteur, assis dans son fauteuil dont la mousse de rembourrage débordait de tous les côtés, j'avais l'impression d'avoir affaire à un escroc dont le pouvoir était légitimé par l'Etat et bien évidemment pour nous emmerder jusqu'à la fn des temps, Ah!Ah!Ah! En supposant, non sans raison, que dans 4000 ans, nous aurions aussi nos flics de l'espace ainsi que nos vo-yous interplanètaires trafiquant des poudres magiques et diverses monnaies martiennes ou jupitériennes. |
-Monsieur Maaded, vous n'avez pas l'air d'aimer vos compatriotes! me dit-il subitement. |
79 |
-Oui, je vois ce que voulez dire, monsieur Maaded, où moi-même et mes collègues de la police nationale sommes quotidiennement emmerdés par des voyous de toutes espèces venant de tous les horizons socia-ux, je vous l'assure. |
-En fait, vous courez toute la journée après tout le monde sans avoir quatre paires de jambes pour pou-voir le faire, n'est-ce pas? |
-Oui, c'est exact et c'est vraiment très épuisant pour nous les fonctionnaires qui attendons depuis des ann-èes la decision de l'Etat de nous mettre la journée de 3 heures au lieu de la semaine de 25 heures actuel-le pour pouvoir enfin courir après des choses plus plaisantes et de plus agréables, croyez-moi. |
-Oh oui, comme je vous comprends, monsieur l'inspecteur! je lui dis afin de compatir à son sort de prof-essionnel de la gâchette facile, de la cible préférée des terroristes et du bracelet de menottes qui fait tant de mal aux poignets d'après ma propre expérience. Donc, si je vous ai bien compris, vous êtes d'une cert- aine façon menotté aux voyous jusqu'à votre retraite? je lui lançai pour le déprimer encore plus. |
-Oui, si l'on peut dire et sans l'assurance d'y arriver vivant, croyez-moi! me dit-il en voulant m'inspirer presque de la pitié. Mais une pitié à laquelle je ne voulais pas participer, car je savais en toute connaiss-ance de cause que monsieur Moutier, inspecteur de police de son état, avait un emploi à vie, un salaire à vie et une retraitre assurée s'il survivait à son metier! |
80 |
En fait, l'un et l'autre n'avaient aucun rapport, car les génies étaient en faible nombre parmi nous (envir-on 10%), alors que les imposteurs pullulaient dans notre société française où ils ne visaient que la réuss-ite sociale et l'argent, bien évidemment. Car seuls les génies étaient capables de créer des oeuvres uniques et exceptionnelles donc pas répliquables en une infinité d'exemplaire. Alors que les imposteurs, qui étai-ent au départ des commerçants( je n'ai rien contre les commerçants) voulaient produire des biens marcha-nds en quantité industrielle touchant malheureusement aux activités culturelles. Ce qui n'était pas du tout dans le domaine de leurs compétences et surtout très préjudiciable pour l'avenir de notre société. Comp-renez bien que je ne critiquais pas les vrais commerçants qui faisaient du vrai commerce dont nous avi-ons besoin pour nous assurer les moyens de manger, de s'habiller et de se meubler, par exemple, mais les commerçants de la deuxième catégorie qui étaient d'ordre idéologique, intellectuel, voir artistique faisant partie de l'art contemporain en produisant des oeuvres de piètre qualité qui faussaient nos jugements est-hétiques pour nous entraîner à très court terme vers le chaos culturel. Bref, un chaos culturel que nous percevions déjà autour de nous avec les nouvelles hallucinantes que nous apprenions sur Internet et sur les réseaux sociaux où toute la planète semblait péter les plombs avec l'incroyable montée du terrorisme, comme si l'on assistait à l'implosion du monde en direct sans que l'on puisse changer le cours ou le des-tin, sinon vouloir le retour des génies parmi nous pour changer la donne? Car je veux vous assurez que la Nature ne donnait pas du génie à tout le monde, mais seulement à ceux qui étaient aptes à l'assumer en sachant bien qu'ils seront haïs en grande majorité par leurs contemporains, tel que je le suis en me sentant très injustement maltraité par la société française. Bref, d'avoir un courage monumental pour assumer cette lourde responsabilité de dire tout simplement la vérité à mes contemporains, ce qui n'était pas une mince affaire voire une mission quasi impossible. Car le génie ne pouvait être compris par le commun des mortels en sachant qu'il était proche de la folie, mais que ce dernier contrôlait à l'encontre des vrais fous dont les idées délirantes et complèment folles partaient dans tous les sens et l'entraineraient fatalem-ent à plus ou moins court terme dans un asile psychiatrique. |
81 |
Apparemment, dans ce monde très incertain, tout le monde cherchait son double ou son autre moitié. Et je me demandais étrangement si le chiffre 2 n'était pas le chiffre magique ou le nombre d'or qui régissait l'ordre dans tout l'univers? Car que seraient alors les femmes sans les hommes et vis-versa, l'Eglise sans le mal, l'Etat sans le peuple, les pompes funèbres sans la mort( dont j'aurais tant aimé organiser les obsè-ques en grandes pompes pour le plaisir, Ah!Ah!Ah!), les flics sans les voyous, les imbéciles sans les gens intelligents, l'avenir de l'humanité sans les génies, les médias sans les imposteurs, le capitalisme sans l'ar-gent, les planètes sans la force de gravité? etc. Bref, une chose inenvisageable pour que le monde puisse tourner rond, n'est-ce pas? En regardant l'inspecteur Moutier assis dans son fauteuil (où il ne manquait que les deux roues pour ressembler à un fauteuil d'handicapé mental et physique, Ah!Ah!Ah!), je le vis ouvrir son tiroir et piocher dedans des cacahouètes comme pour doper son intelligence qu'il savait peu développée. Son geste me faisait penser ironiquement a la manie de nos très célèbres Obélix et Astérix( nos personnages de BD très franchouillards) qui prenaient leur potion magique pour se sentir plus fort voir plus audacieux pour aller combattre l'Empire Romain ou si vous voulez les forces qui les dépass-aient de tres loin. C'est à dire les génies et les criminels dont les actes immoraux et ignobles étaient para-doxalement un réservoir inépuisable d'emplois aussi bien pour la police que pour les hôpitaux et les po-mpes funèbres, nécessairement. A le voir assis dans son fauteuil de paralytique, il me faisait vraiment pit-ié au point que j'avais presque envie de lui lâcher une petite larme, mais que je me refusais afin d'éviter une déshydratation rapide dans son bureau où le chauffage était poussé à fond, comme pour rôtir les voyous menottés à leurs sièges. Avec l'impression d'assister à une vaste comédie que j'aurais appelée sans problème, l'Opéra des escrocs où les comédiens jouaient fort mal et les chanteurs chanter horriblement faux en assistant en direct au suicide du metteur en scène pour des raisons parfaitement compréhensibles. Bref, nous étions au théâtre français peuplés de fous et d'illuminés, Ah!Ah!Ah! |
82 |
83 |
84 |
85 |
86 |
87 |
88 |
89 |
90 |
91 |
92 |
93 |
Étrangement, quand je regardais ce noyau dure formé par ce couple franco-allemand essayer de gouvern-er l'union européenne et non pas l'Europe (car il en était incapable), je voyais en Emmanuel Macron et Angela Merkel, comme deux grandes vierges à son chevet, Ah!Ah!Ah! Avec le sentiment d'assister au dé-but du démantèlement de l'union européenne avec le Brexit qui bien sûr allait entraîner d'autres candidats ou d'autres nations à la sortie pour retrouver leur liberté ainsi que leur souveraineté que l'union europée-nne leur avait confisqué, comme on confisque un paquet des bonbons à des enfants, Ah!Ah!Ah! Et puis disons-le franchement, cette union européenne était une vraie catastrophe politique et économique pour les peuples que bizarrement nos élites ne voulaient pas voir! Car pour elles tout fonctionnait formidable-ment bien ou prestiges et argent coulaient sur elles sans interruption et en toute légalité, n'est-ce pas? |
94 |
95 |
96 |
97 |
98 |
100 |
101 |
102 |
103 |
104 |
105 |
106 |
107 |
108 |
109 |
110 |
111 |
112 |
113 |
114 |
115 |
116 |
117 |
118 |
Car il faut dire qu'à partir d'un certain âge entre quarante et cinquante ans, on arrivait plus à se faire d'am-is. Moi même, bien évidemment, j'en ai fait la triste expérience où l'amitié et l'amour étaient devenus po-ur moi comme une chose impossible avec lesquels renouer sauf à titre provisoire ou circonstanciel liée au hasard. A propos de mon idiot flamboyant, j'avais le sentiment qu'il s'en foutait complètement de ren-ouer avec l'amitié en ayant aucun scrupule à se fâcher avec tout le monde, puisque âgé d'une petite quara-ntaine d'années, il savait qu'il ne se ferait plus jamais d'amis, Ah!Ah!Ah! Et de ce côté là, je pouvais parf-aitement le comprendre. Car moi même, à partir de la quarantaine, j'ai commencé à me méfier de mon m-auvais caractère naissant en le ménageant pour éviter de me fâcher trop vite avec mes interlocuteurs, Ah!Ah!Ah!. Ett là, visiblement, j'avais toutes les raisons de me fâcher avec mon grand idiot qui pour le com-pte ne me posait aucun problème ni moral ni existentiel. Comme vous le voyez, il était souvent difficile de déchiffrer la vérité sur ses contemporains où toutes ces choses étaient entremêlées biologiquement, mais encore saisissables par l'intelligence. En fait, dans cette petite anecdote, ce que je n'avais pas bien compris (je vous avoue ici mon ignorance), c'est qu'il était inutile de parler avec des idiots en sachant bien qu'ils le resteraient malgré tous vos efforts, Ah!Ah!Ah! Et durant mon adolescence, ma mère me di-sait souvent que de parler était de l'énergie dépensée pour rien! Personnellement, je lui donnais entièrem-ent raison concernant les idiots. |
119 |
Et quand je pense qu'il a fallu attendre l'invention d'Internet pour que les Français apprennent la vérité sur leur Ecole républicaine! Ca me fait vraiment de la peine de savoir que leurs médias officiels ont tout fait pour leur cacher la vérité pour de vils interêts économiques, n'est-ce pas? Et que celui qui vous apprend tout cela est un célèbre inconnu qui s'appelle Patrick Maaded. Dont le destin est de restaurer l'intelligence des Français, non dans le but de détruire la société française, mais de la propulser vers un monde meilleur où nous nous connecterons par la pensée pour vivre le grand rêve où fantasme et réalité ne feront qu'un. |
120 |
Car vouloir réaliser tous ses rêves ou fantasmes, c'était vouloir vivre l'enfer comme nous le savions tous, mes amis! Et je pense qu'un homme sage était sans aucun doute un homme qui refusait de réaliser ses rê-ves dans la réalité. Car en restant dans le rêve, il ne sortait pas du paradis où la création l'avait placé à l' origine. Ainsi on pouvait dire sans bien se tromper qu'un homme ou une femme qui n'avait fait que rêver au cours de sa vie était immortelle( disons son âme), puisqu'elle n'avait jamais quitté le paradis! Je sais que c'est révolutionnaire ce que j'affirme là, mais seuls les immortels où les intelligences supérieures pe-uvent le comprendre. Mais une croyance qui j'en suis sûr fera des adeptes dans les millénaires à venir tels sont les mots du prophète que je suis. Sans le savoir, j'inaugure peut-être l'Homme nouveau ou l'Homme de demain? |
121 |
122 |
|
123 |
124 |
125 |
126 |
127 |
128 |
Avec le mépris qu'il avait montré à cette journaliste, il s'était mis à dos toutes les femmes sans parler des végans qui avaient remarqué sur les images qu'il portait souvent une gabardine en cuir! Ce qui devait rendre furieux tous les amis et défenseurs des animaux qui se refusaient de mettre le moindre morceau de viande dans la bouche. En plaignant beaucoup leurs petits copains de ne plus pouvoir mettre leur engin dans la bouche de leurs petites copines parce qu'elles étaient véganes, Ah!Ah!Ah! Ce qui me faisait penser qu'il ne devait pas y avoir d'homosexuel ni de lesbienne dans la secte des végans qui, à vrai dire, n'était qu'un mouvement insignifiant dans la société française où l'on était de gros mangeur de viande par tradit-ion, bref, de gros épicuriens. Faut dire aussi que le mouvement végan n'était que la conséquence de la fé-minisation de nos moeurs donc de la dévirilisation des hommes par les mouvements féministes. Visible-ment, Monsieur Mélenchon, qui était un célibataire endurci, faisait de grosses erreurs politiques qui l'en-trîneraient forcément vers la disparition de son mouvement. Sans oublier de dire qu'aux prochaines élec-tions européennes, c'est l'extrême droite qui remportera un nombre important de sièges et non l'extrême gauche qui était en plein déclin partout dans le monde. C'est cela, je pense, qui fera imploser l'union eur-opéenne par le retour à l'Europe des nations. Et si vous suivez l'actualité, vous comprendrez que si Thér-ésa May jouait la montre pour le Brexit, c'est parce qu'elle attendait la victoire de l'extrêmê droite aux prochaines électons européennes où le nouveau pouvoir sera forcément plus indulgent face aux exigenc-es de la Grande-Bretagne. Personnellement, vu mon hyper intelligence, je pense que la CIA devrait m' embaucher et pourquoi pas devenir le futur conseiller de Monsieur Poutine? Ah!Ah!Ah! |
129 |
130 |
131 |
132 |
133 |
134 |
135 |
136 |
|
137 |
Hier soir, en allumant ma télé, j'ai appris( depuis son éviction des plateaux télés) que la vente des livres de Monsieur Zemmour avait été divisée par cinq. Bref, le signe évident qu'il n'était pas un grand intellect-uel ni un grand penseur, mais qu'un petit personnage médiatique et rien de plus, Ah!Ah!Ah! |
138 |
139 |
140 |
141 |
142 |
143 |
144 |
145 |
Cette nuit, j'ai fait un drôle de rêve où j'étais en train de rouler sur une autoroute dans une voiture d'en-fant qu'on appelle une voiture à pédales! Décidément, un rêve complètement absurde illustrant peut-être ma vie, hum? En fait, je n'en sais rien. Car depuis quelques temps, mes nuits sont assaillies de choses qui n'ont ni queue ni tête, comme il a une semaine où dans un cauchemar, j'étais suspendu par les mains en haut d'une tour de 118 étages! Bien sûr, vous allez me dire pourquoi 118 étages et pas 119? En fait, je n' en sais rien. Car ce qui m'obsédait le plus, ce n'était pas d'être suspendu au dessus du vide, mais le nom-bre 118 qui semblait représenter pour moi et pour mon inconscient, comme un chiffre magique ou peut-être maléfique? En fait, je n'en sais toujours rien. Puis pour une raison inconnue, je me suis retrouvé en plein désert en haut d'une dune de sable où, tout compte fait, j'avais retrouvé les pieds sur terre, mais sans pour autant avoir amélioré ma situation, n'est-ce pas? |
146 |
Et ce qu'il y avait de formidable ave le monde virtuel, c'était son pouvoir de fabriquer le futur visage de notre président de la république. Et pourquoi pas avec la voix d'Elvis Presley? Ah!Ah!Ah! Ce qui assurer-ait son succès immédiat auprès du public, je vous l'assure. Et puis grâce à la magie d'Internet, on pourrait s'adresser directement à lui à travers nos écrans d'ordinateurs ou de télé. Ah enfin, la vraie démocratie pénétrant nos foyers et concrétisant le rêve des peuples! Et aux prochaines élections, rien ne vous interd-irait de changer le visage du président de la république afin qu'il plaise au plus grand nombre, bien évide-mment. |
147 |
148 |
149 |
Sans oublier la hausse du prix des carburants qui forçait les Français à revêtir leurs gilets jaunes pour bloquer les points de circulation. Ainsi en ce beau mois de Novembre, aux températures clémentes( 20° en consultant la météo), la France ne serait pas recouverte d'un beau tapis de neige, mais d'un beau tapis de gilets jaunes, Ah!Ah!Ah! C'est dire qu'en France, nous vivions dans un vrai film de science-fiction. Mais pour quand notre départ définitif pour mars, mon ami? Ainsi verrait-on à distance l'anéantissement de la France par ses élites politiques et intellectuelles! Faut dire aussi que je ne voudrais pas être là pend-ant le Last Day in France, Ah!Ah!Ah! |
150 |
151 |
152 |
153 |
154 |
En regardant chaque jour la télévision, je suis de plus en plus convaincu qu'elle n'est qu'une vitrine com- merciale au service du grand capitalisme! Et que tous les gens qui y passent ne sont pas pour moi des jo- urnalistes, des écrivains, des philosophes, des intellectuels, des artistes etc, mais des commerçants qui ont quelque chose à vendre, Ah!Ah!Ah! |
155 |
Bref, par un paradoxe que j'essayais de vous expliquer en employant une littérature avant-gardiste où l' information des médias nous éloignaient de jour en jour du monde réel! Mais qui ne pouvait tromper nos sens connectés en permanence au cosmos donc au réel. Où j'y voyais comme une grande horloge nous di-riger par le mouvement de ses galaxies avec le sentiment que l'horloge des Hommes était complètement détraquée en marquant une heure et une date erronées et sans savoir vraiment d'ou pouvait me venir cet étrange sentiment. Mais en tant que poète-musicien, je sentais un énorme décalage entre nous et le temps cosmique. Où il me semblait que toutes les aberrations ou anomalies dont nous étions témoins aujour-d'hui à travers nos médias( aussi bien climatiques que politiques) en étaient les preuves évidentes. Appa-remment, nous avions atteint des temps philosophiques les plus détestables pour l'humanité avec le capit-alisme et la fin des idées. En étant convaincu que le troisième millénaire ne pourrait être que métaph-ysique pour sauver le monde! Et je vous assure, mon cher lecteur, que ces temps bénis viendront pour l'humanité et ne sont qu'une question de temps que les prophètes ont toujours su prédire par leurs dons exceptionnels! |
156 |
157 |
Bizarrement, quand j'observais notre jeune président Emmanuel Macron gesticuler dans les médias, je le voyais comme Icare en train de se brûler les ailes au contact du pouvoir, Ah!Ah!Ah! Et si en 2017, les planètes avaient été alignées par les médias pour lui assurer la victoire présidentielle( en assassinant poli-tiquement son principal rival, François Fillon), ce n'était pas anodin. Car ils voulaient caler leur horloge sur celle de Monsieur Macron en le désignant comme le maitre des horloges, souvenez-vous en! Et aujo-urd'hui, nous voyons bien que notre petit président novice élu grâce aux médias n'était pas en possession d'une véritable horloge digne de ce nom, mais d'un vulgaire minuteur pour faire au mieux des oeufs po-chés ou bien de la crème renversée et certainement pas de la vraie gastronomie que les Français attendaie-nt avec impatience de goûter, Ah!Ah!Ah!. Décidément, notre petit président était un piètre cuisinier sach-ant que son plat préféré( d'après les rumeurs) était les cordons bleus avec des nouilles au beurre! Bref, je crois qu'il fallait s'attendre à tout avec ce triste individu qui comptait nous mettre tous au régime Macro-nien, Ah!Ah!Ah! J'avais vraiment du mal à comprendre comment les Français avaient pu confier la grande cuisine française à un mauvais cuisinier, Ah!Ah!Ah! C'était pour moi comme une anomalie produite par la France-fiction. Sous entendu que Monsieur Macron avait seulement les compétences d'un serveur et non d'un vrai homme politique. Si j'avais véritablement les moyens médiatiques, je lui demanderais bien de traverser la rue pour trouver du travail dans une pizzeria ou dans une friterie qui serait, je pense, dans ses compétences et non de s'occuper du destin de la France, Ah!Ah!Ah! |
158 |
159 |
Bien évidemment, ma thèse disait tout le contraire en affirmant que la Terre disparaîtrait consumée par le soleil quand elle s'en serait trop approchée, comme pour le cas d'Icare. Car nos scientifiques faisaient sa-ns le savoir une erreur de jeunesse en pensant que la Terre vivrait plus longtemps que le soleil et que no-us assisterions en tant que témoins, comme dans un film Hollywoodien, à l'extinction du soleil, Ah!Ah!Ah! Ce qui était pour moi complètement ridicule, car le soleil par ses dimensions colossales nous survi-vrait grâce à son énergie monumentale contenue dans son coeur qui lui assurait une longévité à laquelle nous ne pouvions rivaliser, CQFD. Car plus vous êtiez gros( je ne parlais pas en graisse, mais en masse) plus votre espérance de vie était importante sachant que votre rythme cardiaque était plus lent et se fati-guait moins vite en consommant moins d'energie, etc. Paradoxalement, si les femmes de masse moins importante que les hommes vivaient plus longtemps, c'est seulement parce qu'elles fumaient moins et bu-vaient moins que les hommes. Mais un écart qui pourrait vite disparaitre si les femmes se mettaient à imiter les hommes, comme on le voyait aujourd'hui. Bref, pour rester dans les hautes sphères de la vérité, je devinais que le rythme cardiaque du soleil était d'une extrème lenteur ainsi que son champ magnéti-que d'une très basse fréquence. Tout ceci était vérifiable dans la réalité en comparant l'espérance de vie d' une souris à celle d'un éléphant dont la première était d'une année avec un rythme cardiaque de 500 puls-ations par minute, alors que pour un éléphant, elle était de 70 ans avec un rythme cardiaque de 30 batte-ments par minutes, CQFD. En fait, ce que mon physicien n'arrivait pas à comprendre, c'est que je n' ess-ayais pas de lui expliquer comment la Terre tournait autour du soleil, mais pourquoi elle s'en approchait de jour en jour? Ce qui bien évidemment remettait en question toute la science depuis le 19 ème siècle! Mais bon, pourquoi nier les faits quand la réalité semblait nous le prouver, hum? Au bout du compte, j'inaugurais sans le savoir une nouvelle science qui serait celle de la vérité! |
160 |
161 |
162 |
163 |
Visiblement, nous vivions dans un monde fait d'anomalies transdimensionnelles : où le travail ne payait plus où les génies n'arrivaient plus à publier leurs oeuvres pour changer l'humanité où les médias avaient instauré une dictature du public pour désigner leurs pseudo-artistes, penseurs et hommes politiques dans le contexte d'un réchauffement climatique et de nos humeurs, cela va de soi. Nous prouvant que la Terre se rapprochait du soleil où le Groenland, par la fonte des glaces, redeviendrait à l'avenir une terre verte dont les Inuits décrivaient la beauté dans leurs contes ancestraux comme un retour vers leur bonheur originel. Et par toutes ces transformations spaciotemporelles, il m'a semblé utile de redessiner la carte de France dans le bon sens où, apparemment, les Français marchaient sur la tête, Ah!Ah!Ah! |
164 |
165 |
166 |
167 |
168 |
169 |
170 |
171 |
172 |
173 |
174 |
175 |
176 |
177 |
178 |
Et ô combien de fois, j'aurai voulu, tel un prophète des temps modernes, m'isoler dans une grotte en em- portant avec moi les trois grands livres de l'Humanité pour les fusionner sous l'oeil vigilant de Dieu! |
Décidement, notre monarchie républicaine était indigne de succéder à la monarchie des Capets pour avoir perdu de sa superbe et disons même sa grande intelligence! |
180 |
181 |
182 |
185 |
186 |
191 |
192 |
193 |
194 |
195 |
197 |
198 |
199 |
200 |
202 |
203 |
205 |
Et quand je voyais nos vieux défiler avec les gilets jaunes, j'avais pitié pour eux, Ah!Ah!Ah! Car j'ai touj-ours pensé que la vieillesse devait permettre aux hommes et aux femmes de rechercher la sagesse et une vie intérieure et pourquoi pas Dieu? Mais là visiblement nos vieux recherchaient la confrontation avec l' autorité pour se croire toujours jeune, Ah!Ah!Ah! Bref, la crise d'adolescence à 70 ans, Ah!Ah!Ah! Déci-dément en France tout marchait à l'envers et contre le bon sens. En prédisant le pire où la folie nous guet-tait parce que nous nous trouvions à la fin de notre civilisation française. Bien évidemment, la républi-que y était pour beaucoup en ne pouvant redonner la raison à des fous, Ah!Ah!Ah! |
210 |
211 |
212 |
Sous entendu que la recherche de Dieu restait notre mission première sur Terre avant de passer dans l' autre monde et non les idées intellectuelles ou scientifiques qui, au bout du compte, n'étaient que du bri-colage, Ah!Ah!Ah! |
213 |
215 |
216 |
217 |
219 |
220 |
221 |
222 |
224 |
226 |
228 |
229 |
231 |
232 |
235 |
Comme la santé, la beauté, l'amour, l'amitié, l'intelligence, le génie. Sans y inclure le talent qui était pour moi une compromission avec le pubic. Alors que l'intelligence et le génie d'une nature parfaitement auto-nome qui n'avaient pas besoin de l'accord des autres pour exister, n'est-ce pas? C'est bien pour cette rais-on que je ne me définissais pas comme un homme qui avait du talent, mais du génie, Ah!Ah!Ah! Dit sans arrogance de ma part, car une chose que l'on ressentait au fond de soi comme une évidence. A ce propos, si vous êtes intéressés par les cinq qualités préférées des Hommes pour réussir dans la socièté, lisez le cercle magique que j'ai écrit il y a fort longtemps. Où vous saisirez que le cercle magique était la clé qui nous permettait de comprendre le fonctionnement de notre socièté française où l'Education Nationale tenait un grand rôle dans la destruction de notre intelligence, Ah!Ah!Ah! Leur stratégie étant bien évidem-ment de donner le pouvoir aux fonctionnaires pour qu'ils réussissent mieux que le reste de la population française, Ah!Ah!Ah! Et malheureusement le cas aujourd'hui où nous étions gouvernés par des idiots, non pour la grandeur de la France, mais pour de petites ambitions bureaucratiques. Monsieur Macron n' échappait pas lui aussi à cette défintition du parfait idiot où pendant le G7, il avait fait n'importe quoi en se mettant à dos aussi bien Donald Trump que Jair Bolsonaro en invitant en douce un diplômate Iranien, puis en accusant Bolsonaro d'être un soi-disant pyromane qui laisserait les cultivateurs Brésiliens brûler toute la foret Amazonienne! Décidément, notre petit président était devenu aussi impréisible que Donald Trump en ayant compris que l'imprévisibilité de ce dernier lui avait assuré son succès politique, Ah!Ah!Ah! Alors pourquoi ne pas faire pareil quand les sondages suivaient? se demandait-il avec envie en ne pe-nsant pas à la grandeur de la France, mais à sa réelection, Ah!Ah!Ah! Pour rester sur le même sujet, j'ai appris ce matin en écoutant BFM radio que notre guignol de président avait une nouvelle fois changé les règles sur la réforme des retraites en prévilégiant les années de cotisations au détriment de l'âge buttoir de la retraite! Bref, encore une imprévisibilité de notre petit président en sachant bien qu'il nous fallait un âge légal pour partir à la retraire et pourquoi pas 90 ans, comme le souhaitait notre petit monarque à l' Elysée? Décidément, la France avait perdu tous ses grands hommes et qu'il nous fallait désormais nous débrouiller avec des imbéciles, Ah!Ah!Ah! Et d'après les dernières informations, j'ai appris que Jair Bo-lsonaro comptait sortir des accords du Mercosur pour ne pas vendre sa viande de boeuf aux Français qui au bout du compte ne la méritait pas sans oublier de mentionner que son administration n'utiliserait plus de stylos BIC( une marque française) pour rédiger le moindre document papier après avoir subi une terr-ible humiliation médiatique de la part de notre petit président. Mais quand le monde politique deviendra-t-il intelligent? je me demandais souvent chaque matin en buvant mon café en écoutant BFM business : la radio des imbéciles qui voulaient devenir milliardaires, Ah!Ah!Ah! |
En fait, si l'Education Nationale en était arrivée à saboter l'intelligence des petits français, c'était tout si-mplement pour se venger de son ministère qui, il faut le dire, ne l'écoutait jamais, Ah!Ah!Ah! En pensant un peu idiotement qu'elle était la plus apte à créer ses propres programmes. Ce qui bien évidemment était une ineptie pour les hommes intelligents. Car les profs et les instits étaient les ouvriers de l'Etat qui dev-aient suivre ses commandements et non l'inverse, n'est-ce pas? Et puis entre nous, mon cher lecteur, con-naissiez-vous une machine qui editerait son propre logiciel sans avoir l'intelligence pour le faire? Perso-nnellement, j'en connaissais pas en ne mélangeant jamais la boite à instructions avec l'intelligence qui l' avait créée! Décidément, nos profs n'étaient pas si intelligents qu'ils le disaient en mélangeant tout et no-us prouvaient que mon cercle magique disait la vérité sur le fait que les hommes les moins intelligents et les moins courageux choisissaient l'instruction pour rèussir socialement, ce qui était parfaitement exact. Mais alors quelle destruction massive pour la socièté française! Demain, 2 Septembre 2019, c'est la rent-rée des classes et je plains amèrement nos petits français dont le cerveau sera réduit en bouillie par l'Ed-ucation Nationale, Ah!Ah!Ah! Et puis soyons honnêtes avec nous-mêmes, mes chers lecteurs, vouloir la sécurité de l'emploi et la retraite assurée n'est-elle pas la philosophie des idiots, hum? Car confondre la prévoyance et l'intelligence est une grave érreur et malgré que les plus prévoyants soient souvent les ga-gnants de la partie, comme l'aurait dit Lapalisse, n'est-ce pas? Mais pour ne pas dégrader notre intelligen-ce afin de sauver la France de son déclin restons fidèles au don que la nature nous a donné pour restaurer l'intelligence des Français, ce qui sera un travail de longue haleine, je ne le nie pas, mon cher compatrio-te. Pour parler d'autre chose, il y a quelques jours, j'ai vu à la télé un documentaire très intéressant sur la vie de Charles Manson, le célèbre criminel des annèes seventies que tout le monde connait, je crois. Où l'auteur du documentaire nous relatait et dans ses moindres détails la vie d'un gentil garçon( dénommé Charles Manson) qui avait eu la mauvaise idée de devenir un assassin parce que soi-disant( d'après l' auteur), il n'avait pas réussi à devenir une rock star! Oui, je sais un titre très racoleur pour faire connaître son documentaire auprès du jeune public, mais qui pour moi ne tenait pas la route. Car personnelleme-nt, je n'ai jamais pensé qu'on pouvait devenir un assassin parce qu'on avait pas réussi à devenir une rock star, Ah!Ah!Ah! Mais plutôt la conviction qu'on pouvait devenir un assassin parce qu'on avait le sentim-ent d'avoir raté sa vie! Ce qui n'était pas du tout la même chose, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Car qui d' entre nous n'a jamais eu l'idée d'assassiner ses voisins ou les membres de sa famille qui avaient mieux réussi que nous, hum? En fait, peu de monde, n'est-ce pas? Croyez bien que je n'étais pas là pour faire l' apologie du crime, mais plutôt pour le dénoncer afin de vivre dans un monde harmonieux. En fait, après le documentaire, j'ai compris que ce lourd ressentiment exprimé par Charles Manson( qui l'avait conduit au crime) était en vérité une chose très banale parmi nous en vous disant que même Jesus-Christ a dû le ressentir après avoir attendu beaucoup d'amour de ses prochains, mais sans en recevoir une miette! |
Bien évidemment, les hommes intelligents allaient s'en inspirer et manger leur viande afin de s'immuniser contre les maladies. Voilà en quelques mots, comment l'Homme avait survécu jusqu'alors en sachant bien que la nature ne lui faisait aucun cadeau. En remarquant que sans cette superstition de croire qu'il pouvait être aussi fort qu'un boeuf en mangeant sa chair, léger comme un oiseau en mangeant ces créat-ures ailées et fluidifier son intelligence en mangeant du poisson, etc, l'Homme n'aurait pas survécu. Oui, je sais un gros pavé que je balançais dans la mare des intellectuels et adeptes de la Raison, mais il faut leur dire la vérité, car la raison est aussi issue de nos superstitions! Et puis regardez le teint pâlot de nos végans, écolos, femens, intellos, n'était-ce pas la preuve qu'ils étaient en pleine déficience immunitaire? Pour ma part, je leur donnerai une dizaine d'années à vivre et pas plus en étant très gentil avec eux, Ah!Ah!Ah! |
Et rien de surprenant de les voir prendre en otage la nature en croyant qu'elle était un concept intellectuel ou un objet manipulable par la pensée. Alors qu'elle était une réalité liée aux cycles des saisons voir à la marche du cosmos! Sur ce plan, je leur trouvais les yeux plus grands que l'estomac, Ah!Ah!Ah! En sach-ant bien que les vrais écolos n'étaient pas des intellectuels, mais des hommes et des femmes qui avaient toujours travaillé conjointement avec la nature pour qu'elle les nourrissent durablement et y étaient arriv-és admirablement. Et je trouvais odieux aujourd'hui de voir nos éleveurs, nos agricullteurs et nos chass-eurs pris pour cible par les écologistes et les véganes par leur manipulation intellectuelle orchestrée dans les médias, mais qui n'avait pas fonctionné auprès des Français attachés à leurs racines paysannes qu'ils ne sacrifieraient jamais au prix d'un mensonge intellectuel, Ah!Ah!Ah! J'avais le sentiment comique de me retrouver dans une chanson de Chantal Goya ou un lapin avait tué un chasseur et que les animaux de la ferme avaient pris le pouvoir chez leur éleveur, Ah!Ah!Ah! Décidément, une histoire ubuesque où j' étais devenu par mes propos francs et sincères, la bête noire des écologistes où l'expéditeur de ma couro-nne mortuaire par la poste pouvait être un des leurs, n'est-ce pas? Apparemment, tout le monde voulait ma mort sauf les honnêtes gens qui aimaient entendre la vérité, Ah!Ah!Ah! C'est bizarre, mais ce matin en sortant de chez moi, j'ai remarqué que quelqu'un avait cassé ma boite à lettres pour m'atteindre lâchem-ent! Sûrement un manque de courage de sa part, je me suis dit, en pensant à un écolo. Car si je l'avais sur-pris sur le fait, je l'aurais bien éborgné pour la vie afin de lui montrer qui était Patrick Maaded, Ah!Ah!Ah! A propos de toutes ces aberrations intellectuelles produites par la gauche, au point de disparaître co-mplètement des radars de la politique, celle-ci pour préserver ses dernières troupes s'était retranchée dans l'Ecologie, comme ces animaux apeurés qui se cachaient derrière les buissons pour mourir, Ah!Ah!Ah! Bref, une image assez juste de la gauche d'aujourd'hui en pleine déliquescence et en voie de disparition de la scène politique. Sans pour autant dire que c'était la faute à Emmanuel Macron, comme on l'entend-ait souvent dans les médias. Car il n'avait pas l'envergure d'un révolutionnaire ou d'un innovateur en ma-tière politique, mais d'un homme politique élu grâce aux médias pour faire de la politique spectacle, Ah!Ah!Ah! Et depuis le début de son quniquennat, ils étaient entièrement satisfaits par le spectacle des gilets jaunes et d'Alexandre Benalla qui avaient occupé une grande partie des actualités où l'on pouvait insérer des pages de pubs très rénumératrices, n'est-ce pas? Décidement, Emmanuel Macron était une bonne aff-aire et un pari gagnant pour les médias, cela ne faisait aucun doute pour moi. Et que la déliquecence de la gauche était dù principalement à leurs aberrations intellectuelles en voulant par exemple aider les migra-nts à s'installer en France en leur donnant un logement et des aides financières au détriment des Français qui ne savaient plus dans quel pays, ils vivaient exactement, Ah!Ah!Ah! |
On disait souvent que les gauchistes étaient généreux! Oui, c'était vrai surtout avec l'argent des autres, Ah!Ah!Ah! Au point de confondre la sensibilité artistique avec la sensibilité de gauche qui avait anéanti toute la créativité des artistes pour des raisons idiotes de bonne conscience, Ah!AhAh! Où le bilan de la gauche était désormais catastrophique sur la plan culturel et économique, mais qu'on avait encore du mal à percevoir tellement il y avait de gauchistes dans les médias. Personnellement, en tant qu'artiste, je n'ai jamais su ce que signifiait avoir une bonne conscience dans l'art! Et si vous aviez la réponse, mon cher lecteur, j'aimerais la connaître de mon vivant, Ah!Ah!Ah! Bref, encore une aberration intellectuelle prod-uite par nos idiots gauchistes. Hier, samedi 17 Novembre 2019, j'ai été très heureux d'apprendre que le premier anniversaire des gilets jaunes avait été un flop, Ah!Ah!Ah! En sachant bien que ce n'était pas la France qui défilait dans les rues, mais qu'une poignée d'irréductibles d'extrêmes gauches et d'anarchistes qui par impuissance politique mettaient le feu aux poubelles, aux scooters, brisaient une stèle rendant hommage au Marechal Juin, un héros de la seconde guerre mondiale, Ah!Ah!Ah! Que dire sinon, par ces signes évident d'impuissances, la mort annoncée de la gauche? Mais en vérité, une mort que tout le mon-de attendait avec impatience pour passer à autre chose de plus intelligente, n'est-ce pas? Afin d'entrer dans une nouvelle ère et en finir avec ce gros mensonge intellectuel inventé au 19 ème siècle. Il était évident pour moi que la prochaine grève du 5 Décembre 2019( qui ne sera pas générale, mais uniquem-ent organisée par les gauchistes retranchés dans la fonction publique) sera un flop où la grande majorité des Français leur donneront le coup de grâce pour en finir avec ce socialisme répugnant! Donc, mes amis, rendez-vous devant vos écrans pour voir la mort en directe de la gauche, Ah!Ah!Ah! Pour l'occasion, je pense sabrer le champagne et m'habiller d'un joli costume de fêtes, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'aberr-ations intellectuelles, j'ai entendu dernièrement dans les médias Monsieur Bernard Henry-Levy dire qu'il allait soutenir les Kurdes parce que les Français n'avaient pas besoin d'être soutenu dans leur vie quoti-dienne! Décidément, un idiot qui ne savait plus quoi faire de son temps et de son argent qu'il comptait di-stribuer aux étrangers et non aux Français, Ah!Ah!Ah! Bref, du racisme anti-français produit par la gau-che la plus bête du monde qu'il nous fallait absolument éradiquer avant qu'elle entraîne la France dans son anéantissement, n'est-ce pas? A ce propos, j'ai appris dans l'émission "Le Meilleur patissier" qu'un chef avait inventé une tarte à la crème qu'il avait appelée" La Bernard-Levy" qui n'était pas destinée à être consommée, mais à s'envoyer dans la figure pour démasquer les imposteurs, Ah!Ah!Ah! Un grand succès parait-il dans les soirées mondaines de la gauche où Bernard Henry-Levy et son ami milliardaire Bernard Arnaud s'envoyaient des tartes à la crème pendant toute la soirée, Ah!Ah!Ah! D'après le chef patissier, la tarte était seulement composée de crème fouettée sans aucune saveur, mais très utile pour reconnaître les imposteurs, Ah!Ah:Ah! Pour revenir à la grève du 5 Décembre prochain, organisée par les gauchistes, je ne pensais pas qu'il y aurait convergence des luttes, parce que la gauche était en fin de vie idéologique. Et ce que nous allions voir en direct à la télé, ce serait ses obsèques relayées par tous les médias du monde où Donald Trump comptait organiser une soirée pizzas et burgers pour assister à l'évènement historique, Ah!Ah!Ah! Quant à la reine d'Angleterre, Elysabeth 2, elle se refusait de déranger la tradition du tea-bre-ak pour une chose si insignifiante, bien évidemment! |
En sachant bien que cette catégorie de la population, dans la définition économique de Carl Marx, ne tr-availlait pas, mais contrôlait, surveillait, transportait, enseignait etc pour servir le public sous les ordres de l'Etat, bien évidemment. Et si l'Etat n'arrivait pas à imposer sa réforme des retraites aux fonctionnaires le 5 décembre prochain se serait pour lui et pour nous tous, un shisme politique où l'administration aura pris le pouvoir politique en France! Ce que les hommes politiques et la plupart des Français redoutaient afin de maintenir la démocratie et éviter une future dictature à la soviètique en France, sauf pour les gau-chistes et les adeptes de la France Insoumise, Ah!Ah!Ah! Bref, le 5 décembre prochain, ça passe où ça ca-sse au point que j'ai commencé à préparer mes bagages pour partir à l'étranger en cas où les gauchistes reprendraient le pouvoir en France, Ah!Ah!Ah! N'êtes-vous pas de mon avis, mon cher lecteur? Sans bien comprendre pourquoi les fonctionnaires avaient choisi la date du 5 décembre pour retrouver leur instinct grégaire où ils allaient braire, meugler et vociférer comme du bétail, Ah!Ah!Ah! Alors que le mois d'oc-tobre fut plus judicieux où la plupart des révolutions s'étaient déroulées avec succès! Car en consultant mes livres d'histoire, je n'ai remarqué aucun évènement important durant un 5 décembre, sinon un évène-ment méteo où il était tombé quelques flocons de neige à Paris en 1830, Ah!Ah!Ah! Et quand je pensais aux blak-blocs et aux anarchistes qui allaient tout casser et brûler le 5 décembre prochain, j'avais la cer-titude que le mouvement des fonctionnaires serait un échec et discrédité par l'ensemble des Français, n' est-ce pas? En sachant bien que la population s'est toujours divisée en quatre catégories, puisque l'Educ-ation Nationale ne vous avait rien appris! C'est à dire en guerriers, sorciers, serviteurs et paysans. Et auj-ourd'hui peu changé puisqu'on retrouvait les militaires, les prêtres, les fonctionnnaies et les travailleurs, n'est-ce pas? Les chefs d'entreprises étant des travailleurs en produisant de la richesse, comme tous les ouvriers qualifiés ou non. Quant aux hommes politiques, je les mettrais dans la catégorie des fonctionna-ires puisqu'ils étaient payés par l'Etat, le temps de leur mandat. Par ces faits incontestables, on voyait bien que seuls les paysans et les travailleurs enrichissaient notre pays, puisque le reste de la population ne tra-vaillait pas en défendant la nation, priait pour l'âme du peuple pervertie par le matérialisme, surveillait, instruisait la population, etc. Et si aujourd'hui, la France s'apauvrissait d'année en année, c'était apparem-ment de leur faute en vivant sur le dos des travailleurs et des paysans, bref, sur le dos de l'Etat concentra-teur de la richesse nationale, ce que personne ne démentira, n'est-ce pas? Oh ruche adorée comme j'aime ton miel! chantaient les fonctionnaires au ventre bien grassouillet, Ah!AhAh! Mais je n'imputerai pas l'a-pauvrissement de la France aux prêtres qui étaient payés par l'Eglise depuis la séparation de l'Eglise et de l'Etat en 1905 vu leur nombre diminuer par manque de vocation, comme nous le savons tous. Quand à l'armée, j'étais moins dubitatif sachant que l'industrie de l'armement arrondissait beaucoup le budjet de l' Etat, n'est-ce pas? Bien évidemment, je ne parlais pas ici sur le plan moral, mais uniquement sur les chif-fres afin d'être réaliste! |
Par cette simple analyse, on voyait bien que la France s'apauvrissait à cause des hommes politiques et des fonctionnaires qui avaient lié entre eux un pacte diabolique, ne nous le cachons pas. Je ne dirais pas que c'était dû seulement à leur surnombre dans la socièté française, mais surtout par le pouvoir qu'ils avaient pris sur le reste de la population qui devait leur demander à chaque fois la permission d'aller faire pipi, Ah!Ah!Ah! Bref, où les trois quarts des Français étaient aujourd'hui constipés parce que terrifiés de lever le petit doigt pour demander à maman-sangsue la permission d'aller aux toilettes, Ah!Ah!Ah! En fait, la France était ni plus ni moins paralysée par cette caste sociale au point de ne plus pouvoir entreprendre le moindre projet d'avenir et produire de la richesse! Pourtant ces choses pourraient être résolues simplem-ent en diminuant par exemple leur nombre et surtout l'emprise qu'ils avaient sur la socièté française où travailler pour l'Etat restait un graal pour chaque famille par amour de la gloriole, bien évidemment. En niant pas qu'en chaque Français sommeillait un fonctionnaire, comme vous le savez bien, mon cher com-patriote. Mais une quadrature du cercle difficile à resoudre, n'est-ce pas? A l'évidence, ce mal français ou ce destin misérable qui se profilait pour la France était dû à une aberration intellecttelle produite par la république! Car aujourd'hui, les hommes politiques commandaient tout aussi bien l'armée, les fonctionn-aires que le reste de la population qui devait suivre pour ne pas être traité de mauvais citoyens, Ah!Ah!Ah! Nul doute, une belle farce républicaine qui avait entraîné la France là où elle était aujourd'hui, c'est à dire dans la muise! Et quand je pensais qu'autrefois, la nature des gens était respectée où les chefs de guerre commandaient les guerriers parce que plus courageux que le reste de la population qui plus frileu-se devait suivre ses commandements. Mon dieu, quel retournement des choses en sachant que dans la ré-publique, c'était les moins courageux qui avaient pris le pouvoir grâce à une entourloupe intellectuelle, Ah!Ah!Ah! Apparemment, nous vivions une époque contre-nature où nous avions bouclé la boucle de l' absurdité où Emmanuel Macron d'après la constitution française était le chef des armées, ce qui avait de quoi nous rendre hillard, Ah!Ah!Ah! Mais bon, pourquoi pas quand nous savions que la socièté française était devenue une socièté de cons à cause de ses élites et de son Education Nationale qui avait saboté l' intelligence des Français. Mais que ce pacte diabolique qui liait les hommes politiques et les fonctionn-ires devrait être rompu si on voulait sauver la France de ses futurs malheurs. Le 5 décembre prochain, l' Etat aura l'occasion de le faire savoir et l'on verra s'il en aura le courage ou bien continuera ce grand mensonge républicain, Ah!Ah!Ah! Dernièrement, j'ai été très heureux d'apprendre que la manifestation des étudiants à Lyon avait été un flop où tous les étudiants gauchistes comptaient embraser les campus universitaires pour mesurer leur force en vu de la grève du 5 décembre prochain. Environ 500 étudiants avaient défilé dans les rues de Lyon et détallé aussitôt d'après les chiffres officiels, Ah!Ah!Ah! A mort, les gauchistes! A mort les gauchistes! aurait-on entendu parmi les passants lors du défilé de ces vieux dé-bris du passé, mais non relayés par les médias, bien évidemment. Comprenez-bien, mon cher lecteur, que mon but n'était pas d'anéantir les gauchistes, comme on pourrait le croire, mais de les remettre sur le bon chemin, Ah!Ah!Ah! |
En ayant tapé dans le mille car mon analyse était basée sur des choses réelles et non sur des critères idéo-logiques, comme sur le nombre de fonctionnaires à Paris chiffré officiellement à 500 000 et représentait 25 % de la population parisienne intra-muros, bref, la plus haute densité des villes de France! Et compte tenu que beaucoup d'entre eux étaient des défenseurs de l'Etat donc pour l'instant partisans d'Emmanuel Macron, je savais qu'il serait moins 500 000. En fait, il y en avait eu à peine 200 000, ce qui nous montr-ait un essoufflement du mouvement des gauchistes en France, mais dans l'ordre des choses, car la nature avait prévu l'anéantissement des vieux dinosaures ainsi que de la France insoumise, Ah!AhAh! Toujours à propos d'aberrations intellectuelles dont les gauchistes étaient les champions du monde, j'ai entendu dans les médias qu'ils allaient organiser tous les trois jours des manifs pour faire plier le gouvernement sur la réforme des régimes spéciaux des retraites! Décidément, nous avions affaire ici à des têtes de mûl-es qui n'avaient rien compris à la marche du monde où les Français attendaient tous avec impatience le retour de la prospérité économique. Soit dit en passant, une prospérité économique pour laquelle les gau-chistes ont toujours eu de l'aversion, parce qu'ennemis de la socièté de consommation et du capitalisme, mais partisans de la décroissance, comme nos idiots écolos, Ah!Ah!Ah! C'est ce que nous avaient révélé les évènements de mai 68 où, après avoir été vaincus par le bon sens des Français, ils s'étaient retranchés dans la fonction publique en espérant y prendre leur prochaine revanche! Ce à quoi nous assistions au-jourd'hui, mon cher lecteur, où les gauchistes voulaient bloquer économiquement la France par la grève des transports et le blocage des raffineries identifié à un pourrissement de l'intérieur propre aux fainé-ants que sont les gauchistes, Ah!Ah!Ah! Bref, par les moins courageux d'entre nous, il faut le dire. Perso-nnellement, je ne pense pas que les manifestations feront plier le gouvernement, mais paralyseront plutôt économiquement la France. Et que leur importe notre PIB quand on sait qu'ils n'ont jamais produit un gramme de richesse, mais continueront à être payé par l'Etat en étant invirables, Ah!Ah!Ah! En y voyant comme la faille de notre démocratie où l'administration pourrait prendre un jour le pouvoir politique! Mais j'en doute fort, car la majorité des Français par leur sens paysan ont toujours su garder les pieds sur terre en prenant du plaisir à travailler au contraire des fainéants gauchistes, Ah!Ah!Ah! Et ce qu'il y avait d'odieux dans leur comportement, c'était leur arrogance de croire qu'ils avaient fait de grandes choses po-ur la France, alors qu'ils l'avaient pillés sans le moindre état d'âme, Ah!Ah!Ah! En constatant, chiffres à l' appui, que pendant les trentes glorieuses, ils s'étaient considérablement enrichis au point de devenir la ga-uche caviar au patrimoine immobilier hallucinant! Renseignez-vous sur le patrimoine de Jean-Luc Mele-nchon et de Ségolène Royal, vous serez stupéfait de savoir que ces gens, qui n'avaient jamais travaillé ou enrichi le pays, étaient devenus riches! Ainsi, j'arrivais à comprendre pourquoi en France, le travail n'était plus une valeur au point d'être si mal payé à cause de nos escrocs gauchistes! Mais ce qui était peu surpr-enant de leur part, c'est qu'en constituant leur patrimoine immobilier, en ne réinjectant pas leur argent dans l'économie, ils nous prouvaient qu'ils n'y connaissaient rien en économie. Car pour les économistes chercher à faire des rentes était une façon sûre de paralyser l'économie d'un pays! Comme en 1929, au moment du krack boursier de Wall Sreet, où les rentiers avaient précipité le monde dans la deuxième gu-erre mondiale! Bref, mon cher lecteur, je vous laisse deviner la suite pour notre pauvre pays! |
En fait, l'Etat avait toutes les raisons du monde de réduire leur nombre où nos fonctionnaires comptaient se faire momifier aux frais du contribuable, Ah!Ah!Ah! Afin d'illustrer tous ces faits de socièté dont nous sommes témoins en ce moment et non moins inquiètant pour nous tous, mon cher lecteur, j'ai fait quel-ques dessins. Les voici : |
LA BOMBE |
LA VIEILLESSE |
|
A ce propos, hier, j'ai entendu une intervention hallucinante dans les médias de Christophe Castaner, mi-nistre de l'intérieur, qui parlait du divorce et des ruptures sentimentales d'Olivier Faure, le premier secré-taire du parti socialiste! Décidément, Paris-Match avait pris le pouvoir à l'Elysée, Ah!Ah!Ah! Sans écarter des choses farfelues, comme d'apprendre un jour qu'Emmanuel Macron était en vérité une femme, Ah!Ah!Ah! Mais une chose tout à fait crédible vu que son expression préférée était "en même temps" dont les femmes étaient de grandes ferventes en prenant beaucoup de plaisir à être en même temps au four et au moulin, Ah!Ah!Ah! Pour parler d'autre chose ou peut-être toujours en lien, j'ai remarqué( vu le peu de succès de mes créations sur mon Site Internet) que la création n'était pas la grande tendance du moment, mais plutôt le rabattage du passé, Ah!Ah!Ah! Car hier soir à la télé, j'ai vu des femmes politiques qui cro-yaient parler politique, alors qu'elles bavardaient de politique, ce qui n'avait aucun rapport, Ah!Ah!Ah! Mais en me disant que c'était la grande tendance du moment où le passé était à la mode par manque de génie, bien évidemment. Bref, un triste destin pour la France et pour son avenir! pensais-je avec amertu-me en voyant notre pays s'enliser dans son passé où seule Jeanne d'Arc put nous sauver de la mondialisat-ion Anglo-Saxonne, bref, des conflits et des épidémies planètaires, Ah!Ah!Ah! En résumé, les gens qui avaient beaucoup de succés dans les médias étaient les radoteurs du passé en travaillant sur une matière morte, mais très rentable, n' est-ce pas? Où plus besoin d'imagination pour créer, mais de piocher dans le passé pour se croire un génie, Ah!Ah!Ah! Et comme personne ne connaissait parfaitement le passé, pour-quoi ne pas tordre l'Histoire en inventant n'importe quoi, comme Eric Zemmour ou bien Yann Moix par exemple, hum? Bref, une imagination tournée vers le passé en étant pas de la création, mais une forme de nostalgie. Où imitation, répétition, bavardage, rabattage, radotage étaient pour moi des synonymes qui re-sumaient parfaitement notre époque. C'est pour cette raison que j'avais le sentiment( vu le peu de succès de mes oeuvres originales sur Internet) que la création n'était pas la tendance du moment où il valait mi-eux répéter le passé pour avoir un semblant de succès auprès du public, Ah!Ah!Ah! En n'oubliant pas de dire au cher lecteur que la création demandait du temps et qu'aujourd'hui visiblement nous n'en avions plus pour des raisons de rentabilité, n'est-ce pas? Mais une rentabilité que je ne remettrais pas en questi-on pour l'ensemble des activités humaines, sauf pour les arts, comme la musique, la littérature et la pen-sée, bien entendu. Apparemment, notre système capitaliste demandait aux Hommes de faire du fric par tous les moyens possibles quitte à produire de la merde pour le public qui n'y verrait que du feu parce qu' il avait de la merde dans les yeux et dans les oreilles, Ah!Ah!Ah! Mais comme je vous l'ai déjà dit dans mes écrits, je n'étais pas anticapitaliste, car le capitalisme par sa production de masse nous évitait de mo-urir de faim, Ah!Ah!Ah! En fait, ce qui me paraissait paradoxal aujourd'hui, c'était l'utilisation de la tech-nologie à de fins nostalgiques et non avant-gardistes. En ne vous cachant pas que j'écoutais avec mon lecteur MP3 de la musique classique et des chansons des seventies qui étaient plus riches artistiquement que les chansons d' aujourd'hui où le rap faisait partie de la culture de niveau zero, Ah!Ah!Ah! |
Mais bon, si le rap était aujourd'hui la musique qui se vendait le plus, parait-il d'après les médias, je n' irais pas contre en sachant qu'elle ne durera pas longtemps. Même Ray Charles disait de son vivant que le rap n'était pas de la musique et il savait de quoi il parlait, n'est-ce pas? En comprenant bien, mon cher le-cteur, que la plupart des chanteurs de rap n'étaient pas des musiciens ou des instrumentistes, mais des uti-lisateurs de séquenceurs audios où ils avaient accés à des milliers de samples pour fabriquer leurs chans-ons. Ce qui nous montrait bien qu'ils utilisaient la technologie à des fins nostalgiques, car tous ces sam-ples avaient été créés par le passé par de vrais musiciens intrumentistes. C'est la raison pour laquelle, je n'ai jamais trouvé novateur ou révolutionnaire le rap ou l'électro qui puisaient ses idées dans le passé en faisant du recyclage, la grande tendance écologique du moment, n'est-ce pas? En vous répétant une seco-nde fois que la création demandait du temps et en ne lui accordant plus ce temps particulier, nous ne fais-ions plus oeuvre de création, mais de répétition du passé illustrant parfaitement notre époque décadente, n'est-ce pas? Moi qui prenait mon temps pour réfléchir et donc pour coucher mes pensées sur les pages web de mon site Internet, j'étais tout particulièrement attentif à ce long processus de la création où la triche etait exclue. Il est vrai aussi que le succés n'était pas au rendez-vous, mais qu'importe la gloriole, mes amis, Ah!Ah!Ah! Mais passé ce cap de la mesquinerie, vous atteigniez une force intérieure inébran-lable illustrée par ce célèbre dicton : Ce qui ne vous tuait pas, vous rendait plus fort! Une espression souvent employée par la famille Brown dans l'émission "Génération Alaska" où leur vie n'était pas de tout repos, n'est-ce pas? Je ne vous cacherais pas, mon cher lecteur, vu les éléments que je vous avais ap-porté que j'avais pratiquement arrêté la création pour ne pas me sentir ridicule devant ces grands répéti-teurs du passé inondant nos chaînes de télévision, Ah!Ah!Ah! La prochaine fois, nous parlerons de l'épi-démie de coronavirus qui nous plongeait aujourd'hui dans une atmosphère de fin du monde! Et si notre président Emmannuel Macron avait dit que nous étions en guerre, ce n'était pas anodin, mais pour nous confirmer que nous revivions la seconde guerre mondiale, Ah!Ah!Ah! Bref, un retour vers le passé que j'avais prédis grâce à ma nature prophétique, n'est-ce pas? Sans être cruel, j'avais le sentiment que le cor-onavirus voulait exterminer les Hommes du passé et tout particulièrement les personnes âgées d'après les chiffres officiels du mnistère de la santé et de l'OMS. Mais que cela signifiait-il exactement pour notre époque et notre civilisation? je me demandais avec terreur. Etait-ce un signe avant coureur d'une future apocalypse crèée par une surpopulation galopante ou bien un simple avertissement de la planète pour nous dire de changer notre façon de vivre et d'échanger avec les autres? Dit d'une autre façon, la mondia-lisation et la construction européennne étaient-elles des erreurs monumentales qui allaient nous coûter chères à l'avenir en termes épidémiques ou bien une fatalité à laquelle nous ne pouvions échapper? Telles étaient les premières questions qui me venaient à l'esprit en me fiant totalement à mes sens qui pour l'ins-tant ne m'avaient jamais égaré! |
Où visiblement, les défenses immunitaires des vieux étaient devenues obsolètes en ne pouvant plus com-battre le coronavirus qui pour moi était un virus tropical produit par le réchauffement climatique! C'est mon intuition qui me le disait. Car en temps normal, on attrapait la grippe suite à un gros un coup de fro-id, n'est-ce pas? Mais là visiblement plus le cas où les températures hivernales avaient été plutôt cléme-ntes dans le monde entier. Bref, un gros paradoxe qui nous confirmait que nous retournions dans le passé où le coronavirus semblait se moquer éperdument du progrès médical des Hommes. Pouvait-on y voir ici comme un pied de nez à notre époque arrogante par sa science et sa technologie? Possible! pensais-je en interrogeant la nature qui bien évidemment aura le dernier mot ou semble-t-il nous étions allés trop loin en sophistications techniques et en propreté au point d'avoir perdu nos défenses immunitaires, Ah!Ah!Ah! En observant les sinistres dégats sur nos vieux qui pourtant avaient une bonne hygiène, n'est-ce pas? Hier, en regardant la télé, j'ai appris avec stupéfaction, suite au temoignage d'une personne, que sa vieille mère avait attrapé le coronavirus à l'hôpîtal et qu'elle en était morte! Personnellement, je conseill-erais aux vieux de rester chez eux pour ne pas mourir en prenant conscience que l'hôpital était un lieu contaminé par le coronavirus et autres virus qui circulaient dans l'air, n'est-ce^pas? Décidément, aujourd' hui, je plaignais amèrement le personnel soignant qui était en première ligne dont les hécatombes allaient s'annonçer dans les semaines à venir! Nos héros des temps modernes? |
Et si j'étais sorti vainqueur, c'est parce que je m'étais battu, non point contre mes frères humains, mais contre un passé républicain qui se liquéfiait sous nos yeux avec l'épidémie de coronavirus, Ah!Ah!Ah! Ca paraissait étrange, mais c'était une impression puissante qui m'avait envahie ce matin avec le sentiment d'avoir retrouvé mes forces vitales. Bref, un combat contre un passé révolu me semblait la meilleur fa-çon de lutter contre ce coronavirus dont les intentions cachées étaient d'éffacer un passé poussièreux, n' est-ce pas, mon cher lecteur? A ce propos, n'avez-vous pas entendu à travers les médias, les sévères criti-ques de l'opposition sur l'inéfficacité du gouvernement de Monsieur Macron pour endiguer cette épidém-ie? N'était-ce pas la preuve que nous attendions tous pour disqualifier cette république dont l'obsolesc-ence était désormais visible? Bref, par l'abandon programmé de son hôpital publique par un manque cru-el en ce moment de masques et de tests pour lutter contre la propagation du virus? C'est dire que cette épidémie était le révélateur de nos défaillances aussi bien immunitaires qu'idéologiques! En tant que poète, j'avais le sentiment urgent qu'il nous fallait inventer un nouveau monde pour survivre. Car depuis mon confinement, j'avais le sentiment d'être enfermé chez moi, comme un rat de laboratoire où je comm-ençais à me ronger les ongles, Ah!Ah!Ah! En étant considéré comme un cobaye par la socièté française, ce qui ne changeait pas vraiment ma situation, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Cet après-midi en ouvrant ma télé, j'ai appris, non sans réelle surprise, les premiers dégats occasionnés par le confinement sur la po-pulation où un jeune homme, devenu apparemment fou, était sorti dans la rue pour tuer deux personnes avec un couteau de boucher! Pour l'instant, l'enquête s'orientait vers un attentat islamique sachant que le jeune homme était Soudanais et priait en Arabe lors de son arrestation! Ce qui arrangeait bien les aut-orités afin de ne pas mettre ce massacre sur le dos du confinement qu'elles avaient instauré sans notre accord, bien évidemment. Mais sans vouloir faire de polémique( car nous tenions tous à survivre à cette saleté de coronavirus), j'avais le sentiment qu'on avait affaire ici à quelque chose d'inédit dans les annales de l'Histoire où se mélait étrangement le terrorisme islamique avec le terrorisme épidémique! Bref, un curieux mélange d'événements qui semblait nous révéler la prochaine apocalypse, n'est-ce pas, mon cher habitant de la planète terre dont les jours étaient comptés? Ah!Ah!Ah! Et quand je sortais en debut d'ap-rès-midi faire mes courses, je sentais dans la rue comme un climat de terreur où tout le monde avait vi-siblement peur de mourir de cette épidémie! Décidément, le terrorisme en tout genre avait de beaux jours devant lui, n'est-ce pas? Mais un sujet que j'avais déjà exploré, il y a fort longtemps dans un de mes text-es intitulé "le complot anti-arabe" où je décrivais l'évolution de l'Histoire, non plus comme une suite lo-gique d'évenements politiques, mais comme un enrayement de la machine occidentale par le phénomène du grain de sable. C'est à dire par un phénomène aléatoire et imprévisible comme le terrorisme et tout particulièrement en 2020, le terrorisme épidémique! |
Sans fausse modestie, en écrivant ce texte, je ne pensais pas qu'il serait prohétique en observant aujourd' hui ce funeste mélange entre toutes les formes inimaginables du terrorisme! II est possible aussi que le capitalisme ne soit qu'une forme de terrorisme où la république visiblement n'arrivait pas a endiguer cet-te épidémie malgré ses moyens matériels colossaux, n'est-ce pas? Sans nul doute, en ce moment, il nous tombait sur la tête tous les maux de la terre aussi bien économiques que bactériologiques avec l'étrange sentiment qu'on avait ouvert la boite de Pandore contenant tous les fléaux de la terre, Ah!Ah!Ah! Mais qui étaient exactement les coupables, je me demandais avec effroi : le capitalisme, la science, la mondial-isation, l'union européeenne, la surpopulation ou l'ensemble qui pouvait former le contenu de cette boite de Pandore? Bref, étions-nous allés trop loin dans la réalisation de tous nos désirs de consommation ou peut-être de nos fantasmes? je me demandais avec ce lourd bilan des morts où j'y voyais comme une cor-rélation directe. Il est dit dans la légende qu'une femme, ne pouvant réfréner ses désirs de curiosité, ouv-rit cette boite de Pandore en pensant qu'elle contenait de somptueux bijoux, Ah!Ah!Ah! Décidément, la curiosité était un vilain défaut, n'est-ce pas, mon cher lecteur, en nous plongeant aujourd'hui au coeur de cette légende où le capitalisme nous avait permis d'ouvrir cette Bad Box en croyant réaliser tous nos désirs et fantasmes, Ah!Ah!Ah! Une fois de plus, je constatais que nous assistions au retour du passé dans nos sociètés modernes, comme je l'avais prédit dans mes écrits, en pensant tout particulièrement au phé-nomène de la féminisation que j'avais estimé comme une calamité pour nos temps à venir! Bref, une co-ïncidence avec notre époque épidémique qui ne vous aura pas échappé, mon cher lecteur. Croyez-bien que je ne voulais pas accuser injustement les femmes d'être les seules responsables de cette épidémie de coronavirus, mais aussi le capitalisme qui leur avait permis d'assouvir tous leurs désirs et fantasmes ini-maginables! A l'avenir, je pense qu'on devrait éloigner cette putain boite de Pandore des mains des femm-es, Ah!Ah!Ah! |
Hier, en apprenant dans les médias qu'Amazon allait devoir arrêter son activité pendant 5 jours pour des raisons sanitaires, soulevées par les syndicats cégétistes, j'étais furieux, car j'avais récemment commandé des cartouches d'encre pour mon imprimante Canon! Mais ce matin, en consultant ma boite emails, j'ai eu le plaisir d'apprendre qu'Amazon avait tout de même réussi à m'expédier ma commande! Bref, j'avais le sentiment que les communistes en France, voyant l'économie se casser la gueule, voulaient profiter de l'occasion pour faire un coup d'Etat et prendre le pouvoir, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos de cette situati-on inédite dans les annales de l'Histoire, tous les après-midi, j'écoute la radio allongé sur mon lit où j'ai appris qu'on enregistrait une hausse des délations à la police des gens qui ne respectaient pas le confine-ment! Comme cette femme qui, visiblement très en colère, trouvait honteux que son voisin parte prome-ner son chien cinq fois dans la journée, alors qu'elle une seule fois! Décidément pendant ces périodes tro-ubles, on retrouvait la vraie nature du Français, c'est à dire collaboratiste, comme en 40, Ah!Ah!Ah! A propos de crottes, puisque nous en sommes là, j'ai remarqué depuis le confinement que la place de la Croix-Rousse( que je traverse par aller acheter mon pain à l'Atelier du Boulanger) en était recouverte, comme si les habitants du quartier avaient trouvé l'endroit idéal pour soulager les besoins de leur animal à quatre pattes! Plusieurs fois, j'ai dû nettoyer mes chaussures avec du papier pour ne pas emporter chez moi un possible coronavirus des chiens, Ah!Ah!Ah! Tout en remarquant aussi que les voitures, du fait de leur stationnement prolongé, étaient recouvertes de poussière, comme si l'on était proche de la fin du monde! Sans oublier, cet écoeurant constat de voir sur les trottoirs de la rue du Chariot d'or des vomissu-res et des éclaboussures douteuses, comme si les alcooliques se donnaient rendez-vous toutes les nuits pour se déchirer la gueule, comme des zombies, Ah!Ah!Ah! La dernière fois, en sortant de chez moi, j'ai aperçu une bouteille de bière posée au milieu du trottoir, comme si elle avait été posé intentionnellem-ent à cet endroit stratégique pour barrer le passage aux piétons! Aussitôt, j'ai pensé qu'il devait s'agir d' un délire d'alcoolique! Et pourquoi pas se cacher derrière son petit doigt pour passer inaperçu? Ah!Ah!Ah! Apparemment, depuis le confinement, d'étranges cérémonies se déroulaient au pied de mon immeu-ble. Peut-être occultes ou sataniques où des hommes et des femmes, perdus définitivement pour le bien, célèbraient un culte à Satan pour qu'il accentue la virulence du coronavirus afin d'exterminer cette hum-anité malfaisante? Un soir, je pense sortir de chez moi afin d'aller voir ce qui s'y déroule vraiment. Bien évidemment, j'emporterai avec moi mon pistolet pour ne pas me faire dévorer par ces zombies qui avai-ent survécu au coronavirus en se transformant en monstres, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, ce sera peut-être mon prochain roman? Le titre étant tout trouvé, c'est à dire le CoronaZombie, Ah!Ah!Ah! ou pour les puristes, le CZ. Toujours sur les phénomènes observés durant les grandes épidémies ou les catastrop-hes naturelles ou non, les spécialistes du confinement prévoyaient une hausse des divorces, mais aussi de la natalité! Oui, je sais une chose paradoxale, mais tout à fait observée lors des confinements qui prod-uisaient deux phénomènes opposés qui sont soit le resserement du couple soit sa rupture définitive, Ah!Ah!Ah! Bref, l'épreuve de vérité pour tous les couples et disons même pour toutes les familles, n'est-ce pas, mon cher lecteur et ma chère lectrice au bord de la crise de nerf? Et justement, ce matin, en écoutant BFM Business, j'ai appris qu'après le confinement, il y aurait une hausse des demandes de pensions alim-entaires, mais aussi une crise immobilière vu l'augmentation du nombre de célibataires sur le marché immobilier, Ah!Ah!Ah! |
Tous les matins, moi j'me lève, La tête plein de rêves, Même si j'ai trop bu la veille, Ma vie est sans mystère, Et poutant la nuit, je voyage Dans des mondes éffroyables! Décidément, des paroles inspirées directement de l'épidémie, n'est ce pas?
|
A vrai dire, on ne pouvait pas s'en prendre au coronavirus qui comme nous voulait absolument survivre, Ah!Ah!Ah! Et depuis le début de l'épidémie, il ne faisait que de nous manifester son désir de vivre ou si vous voulez son instinct de conservation, bref, comme le nôtre, n'est-ce pas, mon cher homo-sapiens? Car d'après la nature, nous les hommes étions de gros parasites qui avions colonisé la planète Terre en exterminant des millions d'espéces, il ne faut pas se le cacher. Visiblement, il s'agissait d'une histoire de concurrence entre les espéces dont le capitalisme s'était peu embarrassé depuis la révolution industrielle, mais aujourd'hui impuissant à combattre ce virus à dimension planètaire qui s'appelait le Covid-19! Du point de vue bactériologique, cela était parfaitement exact et qu'on ne pouvait pas accuser injustement le coronavirus de vouloir lui aussi envahir la planète, comme nous l'avions fait depuis 100 000 ans, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, mon cher lecteur, grâce à ma formidable imagination, j'arrivais à me met-tre à la place du coronavirus et lui donner la parole afin qu'il nous parle de ses ambitions sommes toutes banales comme les nôtres, Ah!Ah!Ah! J'étais sans aucun doute en ce moment d'un grand cynisme. Mais entre nous, mes amis, quel être vivant ne le serait pas quand il s'agissait de sa propre survie au détriment des autres? L'Histoire humaine n'en montrait-elle pas un bel exemple par toutes ses guerres passées où l' on exterminait ses semblables pour des raisons territoriales ou de richesses ou tout simplement pour des raisons de surpopulation qu'on arrivait plus à nourrir? Bref, il semblerait aujourd'hui que nous soyons entrés à un point de non retour où la future guerre qui exterminera l'humanité sera la guerre bactériologi-que dont le coronavirus nous en montrait les prémices, n'est-ce pas? Mais une chose que mon semblable connaissait déjà en lui rappelant d'une manière froide et cynique, il est vrai! Tout en lui assurant que de dire la vérité sur l'humanité n'était pas un voeux de ma part de vouloir son extermination, mais seuleme-nt de connaître ses points faibles afin qu'elle devienne meilleur pour nous tous, bien évidemment. J'avais le sentiment que ce coronavrus n'était pas d'origine naturelle, mais qu'il avait été fabriqué par un labora-toire Chinois, celui de Wuhan, afin d'exterminer tous les vieux de la planète dont le poids économique était devenu insupportable pour nos systèmes de retraites et pour la Chine tout particulièrement. S'agis-sait-il d'une machination diabolique d'un savant fou aux yeux bridés qui avait l'intention d'exterminer tous les vieux de la planète parce qu'ils n'avaient plus aucune utilité économique, sinon d'appauvrir les nouvelles générations en termes de vitalité? Où s'agissait-il d'un complot à l'échelle planètaire pour lim-iter la surpopulation afin de se débarrasser d'un passé qu'on ne voulait plus assumer économiquement et moralement pour dire les choses froidement? Mais pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, j'avais déjà exploré ce thème dans mon roman "la crise de la fièvre bleue" : un chef-d'oeuvre écrit il y a bien lon-gtemps, mais refusé par la plupart des maisons d'éditions! Décidément, nous vivions depuis des décénn-ies dans le mensonge où j'avais prédit l'épidémie du Covid-19 ainsi que la pénurie de masques! Regardez la couverture de mon livre et vous verrez l'étrange coïncidence avec notre époque épidémique! Voir |
En affirmant sans mépris que les minorités n'avaient aucun avenir, sinon de se fondre dans la grande ma-jorité! Bien évidemment, ce message ne pourrait être compris que par des gens intelligents qui vivaient dans le monde réel et non dans celui des bisounours, Ah!Ah!Ah! Bref, comme dans les médias qui défor-maient la vérité où George Floyd( qui avait un casier judicaire long comme le bras) aurait droit à des fu-nérailles digne d'un roi, Ah!Ah!Ah! Décidément, le monde d'aujourd'hui était devenu complètement hys-térique au point qu'on avait le sentiment de se trouver dans les studios d'Hollywood, Ah!Ah!Ah! Bon, pu-isque nous étions en pleine fantasmagorie médiatique, mais pourquoi pas ressuciter Adama Traoré, com-me semblait le vouloir sa soeur qui demandait à l'Etat français des actes? Personnellement, je ne pense pas que l'Etat soit capable d'un tel miracle avec tous les problèmes économiques qu'il avait à résoudre suite à l'épidémie de coronavirus, Ah!Ah!Ah! Décidément, si je continuais à regarder la télé, j'allais dev-(enir complètement fou! Afin de présever ma santé mentale, je comptais débrancher ma télé pendant une semaine, le temps que ces évènements absurdes et totalement mineurs soient passése en pensant pas qu' ils dureront plus longtemps, Ah!Ah!Ah! Et si aujourd'hui, on accusait la police de tous les maux de la terre( d'être grangrenée par la violence et le racisme), j'étais en vérité peu surpris, car personne n'aimait la police, Ah!Ah!Ah! Pourtant, théoriquement, elle était indispensable pour faire respecter l'ordre dans la cité, n'est-ce pas? Mais quand on y regardait de près, on constatait malheureusement qu'elle arrivait tou-jours après que le crime ait été commis, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Sans oublier, cette peur horrible qu'elle frappe à votre porte pour vous arrêter ou bien vous annoncer qu'un de vos proches était mort dans un accident de la route ou bien assassiné par un psychopathe en liberté! Bref, pas très formidables nos rap-ports avec la police, n'est-ce pas? Vu ce désolant constat observé sur la police, on pouvait se demander en toute légitimité quelle était alors son utilité, sinon d'oppresser la population pour créer une sorte de climat de terreur pour maintenir la paix dans la cité? Tel était semble-t-il l'ambiance complotiste dans la-quelle nous vivions actuellement et principalement véhiculée par les gauchistes en pleine déroute idéolo-gique, Ah!Ah!Ah! Mais sans vouloir défendre la police( pour avoir été menotté plusieurs fois dans ma vie en vous assurant que ça faisait plutôt mal aux poignets!), je n'y croyais guère. Car lorsqu'on avait rien à se reprocher, la présence policière ne gènait personne, sauf lorsqu'elle était en surnombre dans la rue en vous mettant mal à l'aise avec cette impression désagréable de vivre dans une dictature policière, n'est-ce pas, mon cher citoyen? Mais connaissant l'intelligence de la police, elle faisait tout pour passer inaperçu auprès de la population pour ne pas inquièter l'honnête citoyen, bien évidemment. Et si aujourd'hui, les gauchistes accusaient la police de tous les maux de la terre, c'est parce qu'ils avaient forcément quelque chose à se reprocher, n'est-ce pas? Car pourquoi vouloir démolir l'image des forces de l'ordre sinon dire qu'on était un ami du désordre? Apparemment, ils vivaient en ce moment une grosse crise existentielle qui les rendaient complètement paranoiaques et disons même proches de l'hopital psychiatrique, Ah!Ah!Ah! Mais pour lesquels, je comprenais entièrement le mal être au fait qu'ils n'avaient plus de boussole idéologique pour se diriger! Ce que tout le monde pourra comprendre, je pense. Hier, en regardant la télé, j'ai eu la grande surprise de voir, non pas les manifestations habituelles des gauchistes contre le rac-isme et l'antisémitisme, mais celles des policiers qui semblaient très en colère contre leur ministre, Chri-stophe Castaner, qu'ils accusaient de les avoir lâché en les soupçonnant d'être des racistes en puissance! |
A part ça, tout va bien, mon cher lecteur, sauf avec les cons que je rencontre régulièrement à la Croix-Rousse, Ah!Ah!Ah! A ce propos, un jour un ami m'a dit en me regardant comme une bête curieuse : Patr-ick, sans vouloir être déplaisant avec toi, je trouve que tu n'es jamais d'accord avec personne! Bien évide-mment, prenant sa remarque avec philosophie comme à mon ordinaire, je lui dis : Tu sais René, tu te tro-mpes, car je suis toujours d'accord avec moi-même, Ah!Ah!Ah! Apparemment, je n'étais pas quelqu'un de très humain, mais qu'un vulgaire animal qu'on appelle un hérisson, Ah!Ah!Ah! Pour revenir aux pédophi-les, j'avais le sentiment en regardant l'émission "Crimes" que Jean-Marc Morandini en était un! Je ne sav-ais pas bien pourquoi, mais mon instinct ne me trompait jamais. Et puis entre nous présenter une émiss-ion comme "Crimes" n'était pas anodin, n'est-ce pas? Pour parler d'autre chose, depuis quelques temps, je reçois un nombre important d'email frauduleux! Personnellement, je pense que c'était dû à l'épidémie de coronavirus dont les escrocs voulaient exploiter le filon vu l'état d'affolement général de la population en vu de leur extorquer de l'argent. Pour aller droit au but, voici le nouvel email frauduleux que j'ai reçu dernièrement. |
A lire attentivement l'adresse email de cet escroc, il provenait du Brésil avec sa terminaison en BR. Bref, un pays auquel il ne fallait pas faire confiance vu le taux d'homicides par année le plus important du mo-nde, Ah!Ah!Ah! Personnellement, accorder des prêts de 10 000 à 15 millions d'euros uniquement par co-urrier electronique, ça sentait la magouille à plein nez puisque totalement farfelue, n'est-ce pas? Bref, en-core un escroc qui allait demander des frais d'inscriptions, puis disparaitre dans la nature, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'escros agisssant masqués derrière leurs écrans d'ordinateurs, j'ai reçu récemment un nouvel email totalement lunaire pour moi, car je n'ai jamais acheté le moindre BitCoin sur Internet en sa-chant bien que n'importe quel escroc pouvait se faire passer pour un vendeur de BitCoin, n'est-ce pas? Ainsi que pour la délivrance gratuite d'une carte bleue ou gold sur Internet où sans le savoir vous alliez transferer votre argent sur le compte d'un escroc, Ah!Ah!Ah! Saisissez, mon cher lecteur, que mon site Internet était aussi un lieu d'informations pratiques pour éviter votre ruine en 3 clics de souris, Voici l'email en question. |
Certes, une vérité de Lapalisse, mais que les Français n'avaient pas bien comprise en marchant sur la tête depuis trop longtemps, Ah!Ah!Ah! En leur rappelant que de marcher sur la tête était une très mauvaise id-ée parce que primo ça faisait mal à la tête et secondo parce que de mettre un pied devant l'autre était la meilleure solution pour avançer, n'est-ce pas? Ce que faisait habituellement les gens intelligents pour ne pas reculer et tomber dans le ravin qu'on appelle le passé, Ah!Ah!Ah! Et aujourd'hui, comme vous l'avez constaté, mon cher lecteur, ce ravin s'appelait la Covid-19 qui d'une grande profondeur entraînait dans ses fonds toute notre économie ainsi que notre façon de vivre et de consommer. Mais comme je vous le disais précédemment, c'était pour le meilleur des mondes, car le cosmos voulait se débarrasser de son pa-ssé pour avancer dans la bonne direction. Certes des propos dures à l'égard de nos vieux, mais qui n'étai-ent pas ceux de ma volonté, puisque d'ordre cosmique. Sans nier un seul instant que la perte de mes par-ents( il y a fort longtemps) m'avait rendu très égoïste et très vindycatif lorsque le reste de ma famille s'est brouillé avec moi, alors que j'étais le génie de la famille! Bref, une totale incompréhension pour moi qui m'avait plongé dans la plus grande des solitudes. Mais assumée par moi-même, car primo, je n'avais pas bien le choix et secondo parce que ma solitude me permettait de juger avec lucidité mes contemporains qui à l'évidence étaient aussi de gros égoïstes, Ah!Ah!Ah! A propos de cette crise cosmique que nous tra-versions en ce moment, j'aurais bien aimé qu'elle nous débarrasse de France-Culture qui nous rabâchait à longueur de journée, l'emmerdant passé, Ah!Ah!Ah! Car j'étais contre le retour à la nature ou à la culture ancienne où les écologistes croyaient trouver la solution à tous nos problèmes de civilisation en remon-tant nos horloges. Ce qui était pour moi une absurdité vu que le cosmos voulait nous catapulter vers l'a-venir et non remonter son horloge interne, n'est-ce pas? En résumé, l'appel de la forêt, c'était pas du tout mon truc, Ah!Ah!Ah! Et tout particulièrement en ce mois de Janvier où l'on commençait à se geler les couilles, Ah!Ah!Ah! Où visiblement, les bobos qui vivaient toute l'année dans leurs beaux appartements chauffés à la bonne température, le froid et la solitude des autres ne semblaient pas les angoisser, Ah!Ah!Ah! Une fois de plus, nous avions affaire ici à de gros égoïstes qui ne pensaient pas aux gens, comme moi, qui avaient du mal à payer leurs factures de chauffage, n'est-ce pas? J'espère seulement que ces gens n'arriverons jamais au pouvoir, car je crains qu' ils nous laissent mourir de faim et de froid, Ah!Ah!Ah! Comme il ne fait que 14° chez moi et que mes voisins du dessous chauffent peu leur logement en le bai-ssant quand ils partent au travail, j'ai beaucoup de mal à écrire et à mettre mes idées en place avec ces températures peu clémentes pour la création. |
Bref, de quoi plomber toutes nos ambitions et nos futures réjouissances, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais que je vais essayer d'oublier en me mettant en hibernation, Ah!Ah!Ah! Ce matin, je suis allé faire un tour sur la place Bellevue( connue de tous les Lyonnais) en remarquant que la ville de Lyon vue d'en haut semblait figée et mise à l'arrêt par l'épidémie de Covid-19! Car habituellement, elle est plutôt bruyante et ce matin prodigieusement silencieuse! Je sais bien que beaucoup de gens et particulièrement les écologis-tes ne se plaindront pas où l'épidémie avait réduit notablement la pollution sonore et atmosphérique en paralysant quasiment la ville de Lyon. Avec l'impression désormais de vivre dans une ville fantôme où je verrais dans les prochains jours sortir des rues des colonies de zombies, Ah!Ah!Ah! Car quoiqu'on puisse en penser, un trop long confinement des individus les rendaient complètement fous en les transformant en monstres, Ah!Ah!Ah! Et le couvre-feu à 18 heures annoncé par le premier ministre, comme la goutte d' eau qui fera déborder le vase en ouvrant un grand avenir à la psychiatrie françaises, Ah!Ah!Ah! Bonne so-irée, mes chers zombies avec l'espoir d'engager avec vous la danse macabre, chère à nos amis du moyen-age pétrifiés par la grande épidémie de peste noire! Etant désormais tout figé autour de nous, comme dans un grand linceuil à cause de l'épidémie, la culture l'était elle aussi. Et si le gouvernement avait fer-mé tous les lieux culturels dits traditionnels, comme les théatres, les cinémas, les musées etc, personn-ellement, j'ai toujours pensé que les restaurants étaient aussi des lieux culturels où les gens discutaient ensemble et échangeaient des points de vue et des idées dans la bonne humeur, n'est-ce pas? En excluant les bars et les cafés où l'alcool envenimait souvent les conversations où tout compte fait l'échange cul-turel virait au massacre, Ah!Ah!Ah! Pour m'être souvent retrouvé dans ces lieux, non pas en face d'êtres humains curieux de savoirs, mais d'égos surdimentionnés, Ah!Ah!Ah! Pour vous dire en toute franchise : Non, malheureusement, les bars et les cafés n'étaient pas des lieux culturels, mais des endroits formida-bles pour se fâcher avec les autres, Ah!Ah!Ah! Si en ce moment, le gouvernement accusait la culture de tous les maux et plus précisément de propager l'épidémie de Covid-19, alors qu'il en avait aucunement la preuve, ce n' était pas bien nouveau. Car dans les périodes troubles, il lui fallait toujours trouver un bouc émissaire qui aujourd'hui était la culture, bref, la grande coupable propageant le virus mortel, Ah!Ah!Ah! Alors que durant l'épidémie de peste noire au moyen-age où l'Eglise était puissante, c'était Dieu qui puni-ssait les hommes pervertis par l'argent et l'ambition! Décidément chacun avait besoin d'un bouc émissaire pour exorciser la situation, n'est-ce pas? Si actutellement la culture était mise à l'arrêt pour les raisons que nous connaissions tous, personnellement, je pense que la culture l'était déjà avant l'épidémie de Cov-id-19! Où tout compte fait, l'épidémie n'a fait que nous révéler une cruelle vérité, c'est à dire que la cult-ure était morte depuis belle lurette, Ah!Ah!Ah! Ne l'aviez-vous pas déjà remarqué, mon lecteur, qui écou-tiez à longueur de journée du rap et regardiez des vidéos débiles sur YouTube? Ah!Ah,Ah! Sans parler de TikToc qui rendait les gamines complètement hystériques et disons-le franchement complètement toqu-ées, Ah!Ah!Ah! Bonne chance à la France de demain! |
Oh, mon beau miroir, qui est la plus belle? demandent-elles à travers le miroir de TikTok où il semble que nous soyons entrés dans un conte bien cruel ressemblant étrangement à Blanche neige et les sept nai-ns, Ah!Ah!Ah! Car si autrefois, on parlait de la névrose comme d'une maladie touchant plutôt une popul-ation agée, j'avais le sentiment quelle touchait désormais nos adolescents et adolescentes! Pour la simple raison que nous avions semble-t-il perdu l'estime de soi! Saisissez-bien, mon cher lecteur, que je ne vous parlais pas d'amour propre ou d'orgueil, mais d'estime de soi nous permettant de nous aimer le plus sim-plement du monde afin d'être bien avec soi-même et les autres. En étant une chose essentielle pour la co-nstruction d'un homme ou d'une femme désirant habiter un monde harmonieux, n'est-ce pas? Mais vu la névrose qui s'était installée au sein de la jeunesse, alors quelle avait obtenu plus de choses que les ancie-ns, le monde d'aujourd'hui me semblait basculer dans un cauchemar où le règne de la sorcière n'était pas loin, Ah!Ah!Ah! Personnellement, j'ai toujours eu du mal a ressentir de l'estime pour moi-même, non par débilité mentale, mais parce que mon enfance et mon adolescence avaient été pour moi comme un grand désert émotionnel! Je ne savais pas exactement pour quelles raisons, mais à l'évidence, l'estime de soi m' était complètement étranger et par conséquent inateignable ou peut-être non désiré? Comme si l'estime de soi fut un sentiment de luxe ou de confort que mes parents ignoraient eux aussi l'existence! Ainsi ai-je été élevé, comme un enfant sans passé et sans avenir, on peut dire sans identité, d'où le sentiment de n' avoir aujourd'hui aucune existence réelle! Pourtant, j'étais bien réel puisque lorsque je tapais sur mon clavier d'ordinateur, les lettres s'affichaient sur mon écran, n'est-ce pas? A l'évidence, j'étais atteint par le syndrôme de l'homme invisible qui avait le besoin vital de se prouver qu'il existait bien à force d'être de-venu invisible aux yeux de mes frères et soeurs et des hommes! Vu les symptômes que je venais de vous décrire, mon cher lecteur, ce mal invisible nous rongeait de l'intérieur et touchait désormais toute la pla-nète, Ah!Ah!Ah! Et la grande question qu'on devait tous se poser maintenant était de savoir comment la retrouver? Bien évidemment, TikToc et les réseaux sociaux essayaient d'y répondre, mais en rendant prat-iquement fou tout le monde et moi compris, Ah!Ah!Ah! Car se situant entre l'amour propre et l'orgueil, elle était un fragile équilibre entre nous et le monde. Et qu'elle n'était pas le produit de notre nature, mais le produit des autres qui voulaient bien nous accorder quelques attentions! Ce qui en disait long sur le rôle détermnant de nos parents, frères, soeurs, amis et contemporains, n'est-ce pas? |
Car en tant qu'enfant esseulé pour lequel on ne portait guère d'attention, j'étais le mieux placé pour en parler, n'est-ce pas? Et si aujourd'hui, j'avais le courage d'évoquer le sujet sans tabou, c'est parce que j' avais réussi à vivre sans son appui en vivant dans ma propre bulle! Mais sans savoir exactement si l'une était la conséquence de l'autre, car malheureusement, ma mémoire sélective avait refoulé dans les limbes, les moments pénibles de mon existence! Mais pourquoi me sentais-je si étranger au monde qui m'envir-onnait? je me demandais souvent avec l'espoir un jour de briser ma bulle pour communiquer avec les ho-mmes. J'étais à l'évidence prisonnier dans ma propre bulle, comme le numéro 1, le heros tragique du cél-èbre téléfilm anglais des annèes soixantes, The Prisoner! Si aujourd'hui, on évoquait souvent dans les médias, le plafond de verre quand on parlait de pôlitique, ce n'était pas sans raison. Car il fallait compre-ndre désormais que le monde politique et médiatique vivaient dans leurs bulles, comme vous l'auriez co-nstaté, mon cher lecteur. Et ce qui me faisait particulièrement sourire, quand je regardais les informatio-ns où les journalistes essayaient de nous décortiquer le vrai du faux en analysant les fake news, c'était de penser qu'ils puissent détenir la vérité, Ah!Ah!Ah! Apparemment eux aussi vivaient dans leurs bulles, c' est à dire dans leurs grandes illusions, comme le rassemblement national qui tentait à chaque élection de briser le plafond de verre avec un manche à balai pour atteindre le pouvoir, Ah!Ah!Ah! Décidément, le manque d'estime de soi nous faisait faire des folies, n'est-ce pas? J'en venais même à penser que les révo-lutions avaient comme origine, le désamour qu'on avait pour soi-même! Ce qui n'était pas loin de la vér-ité en sachant que tout le monde voulait être reconnu pour l'importance qu'il pensait avoir dans ce mon-de, Ah!Ah!Ah! Décidément, la liberté issue de la révolution de 1789 était un vrai cauchemar pour nous tous où les débiles mentaux pensaient eux aussi avoir du génie puisque la liberté leur permettait de le croire, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, j'étais heureux de vivre dans ma bulle pour ne pas entendre le chant des gre-nouilles me casser les oreilles, Ah!Ah!Ah! Pour être juste, je comparerais sans grande difficulté notre sit-uation épidémique d'aujourd'hui avec celle du moyen-âge où l'enfermement sur soi-même était le symptôme évident! Pour parler d'autre chose, hier, j'ai appris la mort de Jean-Pierre Bacri à 69 ans, mais qui m'a fait ni chaud ni froid, car je n'ai jamais aimé cet acteur, Ah!Ah!Ah! Excusez ma franchise, mais son accent pied-noir irascible me donnait comme des boutons! Alors que celui de Robert Castel( acteur de théatre et humoriste pied-noir) était plutôt chaleureux! Avec la conviction que de vouloir jouer des rôles dramatiques avec un accent pied-noir était une hérésie, Ah!Ah!Ah! Rappelez-vous Roger Hanin jouant le rôle de Britannicus, c'était complètement ridicule! |
Je ne parlais pas ici de race ou de nationalité, mais d'une patrie extraterrestre! Ce qui en disait long sur l' étroitesse de nos esprits soumis à l'actualité des journaux télévisés, n'est-ce pas? En regardant souvent la télé avec une grande suspicion sachant que les apparences étaient souvent trompeuses et furtives, comme une belle voiture le long d'un grand boulevard, Ah!Ah!Ah! N'avez-vous pas remarqué, mon cher lecteur, que nos regards se tournaient aussitôt vers le ciel quand la vie terrestre commençait à nous ennuyer terri-blement avec le discours assommant des hommes qui voulaient absolument prendre racine sur Terre? Si-ncèrement faire greffe avec elle n'a jamais été mon obsession sachant que mes origines étaient extraterr-estres en comptant les retrouver quand mon âme entendra l'écho venir du cosmos. C'est pour ces raisons que je détestais les écologistes dont le grand rêve était de devenir des plantes vertes, Ah!Ah!Ah! Un jour peut-être verra-t-on s'opérer sous nos yeux ce miracle où nous pourrons enfin passer la tondeuse à gazon sur la tête de Nicolas Hulot et de Greta thunberg, Ah!Ah!Ah! Décidément, nous ne pouvions pas nous entendre sur ce terrain où entre nous, il y avait des millions d'années lumière où les écolos étaient des êt-res archaïques, Ah!Ah!Ah! Et si je vous parlais de Dieu en ce moment, c'était pour vous montrer qu'il y avait un lien avec tout ce que je venais de vous raconter ou fait ressentir. Car sous l'angle cosmique, Di-eu n'était qu'un écho de ce monde perdu! Et quel que soit le nom que vous lui donniez, son appel travers-ait toujours l'espace et le temps depuis l'aube de l'humanité ou tout compte fait, il avait crée l'univers et le bing bang. Au bout du compte, la science cherchait elle aussi Dieu en l'occurence par des moyens mat-ériels. Car n'a-t-elle pas rêvé depuis l'aube des temps de nous transporter en un éclair de temps d'un lieu à un autre avec ce moyen qu'on appelle la téléportation? Mais aussi de nous nourrir avec une simple pill-ule pour nous recharger en énergie, de nous guérir de la vieillesse avec des organes de substitution qu'on pourrait acheter sur un catalogue ou peut-être un jour sur Amazon-Eden? Et pourquoi pas nous aider à atteindre l'immortalité comme Dieu le promettait à tous ceux qui croyaient en lui? Décidément que de similitudes entre la science et le projet de Dieu, n'est-ce pas? Bien évidemment, les moyens étaient diffé-rents pour y parvenir où la science employerait la technologie la plus sosphistiquée, alors que Dieu util-iserait votre âme comme un véhicule extraordinaire pour défier le temps et vous rendre immortel. Car pour le devenir, il fallait ignorer l'emprise du temps sur vos cellules. C'est à dire de ne plus ressentir les choses avec son corps, mais avec son âme qui par définition n'était pas soumise au temps puisque immo-rtelle. Bien évidemment, si vous n'y croyez pas, il vous faudra attendre les progrès colossaux de la scien-ce pour l'atteindre en prenant sûrement 10 000 ans ou plus, Ah!Ah!Ah! Sans avoir la maladresse de vous souhaiter un bon courage, car ce serait incongru de ma part, Ah!Ah!Ah! |
Et par la grâce de Dieu, je n'étais ni orgueilleux ni ambitieux, ce qui ne m'empêchait pas de vouloir bien faire les choses, n'est-ce pas? Comme vous l'avez sûrement remarqué en lisant et en écoutant mes oeuvr-es qu'on peut nommer de qualité pour être honnête. Car paradoxalement, la plupart des gens pensaient qu' on ne pouvait pas écrire de chefs-d'oeuvre sans être motivé par une ambition démesurée ou par un orgue-il monstrueux. Ce qui était pour moi un grand préjugé en étant convaincu qu'on pouvait écrire des chefs-d'oeuvre sans l'intention d'en écrire puisque échappant à notre propre volonté, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais, un grand paradoxe, mais pourtant vraie, car l'écrivain sans ambition existait bel et bien parmi nous. En n'éta-is-je pas la preuve vivante, mon cher lecteur? A ce sujet, Hémingway en avait parlé d'une manière proph-étique dans un de ces romans intitulé"Paris est une fête"si mes souvenirs sont bons. Afin d'ouvrir de nou-velles perspectives aux écrivains de demain pour échapper à cette littérature commerciale qui annonçait rien de bon, n'est-ce pas? Qui ne sera faite que de pastiches des oeuvres passées ou d'emprunts grossiers, bref, de redites à n'en plus finir où l'on finira par detester la littérature pour son contenu riche en gras et peu en viande. Et le phénomène auquel nous assistions aujourd'hui, mon cher lecteur, quand nous obse-rvions dans les librairies les gens acheter de la littérature comme on achète un paquet de lessive ou un rouleau de paper toilette? Ah!Ah!Ah! A quand la boite de kleenex offert avec le livre? Ah!Ah!Ah! Pour être convancu que la littérature avait rendu l'âme depuis fort longtemps parce que massacrée par l'ambiti-on demesurée de nos écrivains bobos qui voulaient absolument réussir! Où le travail des maisons d'édi-tions consistait à entretenir le mythe de la littérature pour assurer leur train de vie royal, Ah!Ah!Ah! Bref, puisqu'on ne fabriquait plus de littérature, mais un bavardage assourdissant où l'on parlait pour ne rien dire, comme ces femmes écrivaines qui nous parlaient de leurs petites culottes et de leurs fuites urinaires en pensant faire de la littérature, Ah!Ah!Ah! Il était normal que la lttérature prît ses jambes à son cou pour échapper à ce calvaire, n'est-ce pas? Bref, écrire sans ambition tel était mon audacieux projet litté-raire qui, il faut le dire, avait peu de chance de réussir face à tous ces écrivains aux dents très longues prêts à tout pour la gloire littéraire même à se prostituer auprès des maisons d' éditions, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, j'étais bien content de n'être ni orgueilleux ni ambitieux afin de ne pas me faire sodomiser par les maisons d'éditions et le public qui semblait rester toujours sur sa faim, Ah!Ah!Ah! Ce qui m' épa-rgnait bien des cauchemars, je vous l'assure, mon cher lecteur. Pour être franc avec vous, je n'étais pas prêt à sacrifier ma vie pour une gloire éphèmère ni pour une page sublime de littérature! |
A titre personnel, quand je parle à mes contemporains, étrangement, personne ne veut m'écouter, comme si j'étais un homme qui n'avait aucun poids existentiel, alors que je fais plus de 80 kilos, Ah!Ah!Ah! Apparemment, mes contemporains doivent faire plus de 3 mètres de haut et peser 160 kilos pour me con-sidérer comme un minus, Ah!Ah!Ah! Pour être franc avec vous, je dirais que nous étions devenus invisi-bles aux yeux de nos contemporains( d'où cette hystérisation sur les réseaux sociaux) où l'on ne pensait qu'à sa gueule, Ah!Ah!Ah! En reconnaissant sans tabou que nous vivions aujourd'hui dans un monde égocentrique où la fraternité était une illusion. En juxtaposant ses individus les uns à côté des autres parce que chacun était guidé par ses propres interêts. Mais une réalité que je ne remettrai pas en question, car l'homme sans volonté ou sans ambition était un mythe existant seulement dans la littérature romanti-que. A ce titre, il est possible que je sois un heros romantique, mais qui l'ignore en ne voulant pas se l' avouer. Car qu'est-ce un héros, sinon un héros romantique par définition? Mais apparemment, un mot que nos contemporains avaient banni de leur langage pour ne pas être considérés, comme des soldats de l'arrière garde ou des personnages Balsaciens ou Stendaliens! C'est à dire d'eternels perdants qui n'avaient plus leur place dans ce monde où le capitalisme avait édifié la reussite au dessus de Dieu. Visiblement, mon projet héroïque de construire une oeuvre dans ce 3 ème millénaire hautement technologique semb-lait une entreprise vouée à l'échec, n'est-ce pas? Mais entre nous qu'était-ce un héros, sinon un homme bravant les tabous et les mensonges de son époque pour viser l'impossible vérité? Il ne faisait aucun do-ute pour moi que j'étais un fou illuminé, Ah!Ah!Ah! Mais une chose, en fait, qui ne me choquait pas du tout en connaissant parfaitement ma nature profonde grâce à cet examen littéraire de ma conscience. Sans pour autant me considérer comme quelqu'un de démodé, car mon accuité sensorielle et intellectuelle me permettaient de décrypter les codes de mon époque afin de connaître ses enjeux ou ses finalités existen-tielles. Mais avec le grand défaut, connu de nos chers opérateurs radio, de ne recevoir aucun signal retour pour confirmer qu'on avait bien reçu mon message. Bref, comme si mes contemporains vivaient sur une autre planète que la mienne. D'où ce sentiment de me sentir souvent étranger à mon époque, alors que j'étais bel et bien vivant! Car mon Site Internet tournait en ce moment au dessus de la planète, comme une balise emettant mon propre signal cardiaque, Ah!Ah!Ah! En voici la preuve, mon cher lecteur. |
Visiblement, la mort de la littérature avait entraîné la mort du cinéma. En sachant pertinemment que la littérature avait créé le cinéma et pas seulement les frères lumières! En ce moment, je voulais rassurer mon cher lecteur en lui disant que je n'avais pas attrapé la Covid-19 et malgré une petite déprime pass-agère qui je pense ne m'achèvera pas, Ah!Ah!Ah! Et cet après-midi, j'en ai profité pour faire une petite sieste, car je ne me sentais un peu fatigué pour une raison inconnue. En étant toujours à l'écoute de mon corps afin qu'il devienne immortel et me permettre d'atteindre la résurrection sous la forme d'une étoile et pourquoi sous la forme d'une galaxie? Car pour restaurer ses forces interieures, il était nécessaire de ne penser à rien afin de faire le vide en soi. Ce qui pour le monde occidental était une ineptie en croyant que la pensée était produite par notre volonté, alors que je pensais plutôt le contraire et à quelque chose de mystérieux qui nous échappait. Comme à des ondes venant de l'espace où l'univers nous parlait avec son propre langage télépathique pour régler notre horloge interne qui mettait en branle notre pensée, pui-sque nous avions des origines extraterrestres. Avec le sentiment que nos ancêtres extraterrestres voulai-ent garder le contact avec nous afin que nous puissions les accueillir dans leur prochain voyage intersi-déral où nous seront leurs hôtes. Ce qui bien évidemment serait tout le contraire de Mars Attacks, Ah!Ah!Ah! Dans le but de nous apporter la nouvelle civilisation que nous attendions sur Terre depuis des millénaires où nous n'avançions plus à cause d'un système politique et économique qui nous avait coupé de l'univers et de nos ancêtres extraterrestres. Où nous atteindront enfin l'éveil spirituel que je pressentais au fond de ma pensée tel un programme philosophique et non informatique. Car l'informatique, c'était bon pour les machines et non pour les créatures vivantes que nous étions! me disaient-ils avec plein d'es-poir pour nous. De même réunir en nous, les trois religions monothéistes qui au bout du compte servai-ent un seul et même dieu, n'est-ce pas? Ah mon cher lecteur, n'entendez-vous pas l'appel du cosmos réso-nner en vous afin de faire un bond gigantesque pour l'humanité et sortir de cet intellecualis-sme qui aait ruiné nos exsitences? En fait, nos ancêtres extraterrestres n'attendaient qu'un signe amical de notre part pour intervenir dans nos vies. Assis devant le hublot de mon vaisseau spatial, j'observais avec fascination l'univers en attendant un signe libérateur! Peut-être sous la forme d'un V, comme celui de la victoire au fond d'une galaxie? |
En fait, ce qui différentiait le bavardage de la littérature, c'était cette particularité de générer beaucoup de bruit parmi nos semblables afin de cacher leur mortel ennui ou si vous voulez leurs angoisses existenti-elles, Ah!Ah!Ah! Alors que la littérature avait toujours eu le grand courage de les mettre à la lumière du jour afin de les conjurer, mais avec une tendance à fâcher nos contemporains pour des raisons que nous connaissions tous, Ah!Ah!Ah! C'est pour cette raison qu'autour de nous, mais aussi à la télé comme dans Balance ton post et dans les journaux d'actualités, le bavardage était permanent tel un grand bourdonne-ment que nos semblables considéraient comme une occupation vitale pour participer au bruit général de la socièté, Ah!Ah!Ah! Avec l'impression que le bavardage compulsif de nos contemporains résonnait comme le bruit d'une ruche où tout le monde s'accordait sur la même fréquence pour faire socièté. En paraissant parfois contradictoire vu les débats houleux à la télé où tout le monde semblait en desaccord. Mais si vous écoutiez bien jusqu'à la fin, mon cher lecteur, toutes les dissonnaces se disipaient dans le grand bruit génétral où se noyait la voix individuelle de la vérité. Et combien de fois n 'ai-je pas été moi-même très étonné à la fin des debats d'entendre comme un consensus général afin de ne pas effrayer le té-léspectateur de quitter l'émission en s'arrachant les cheveux, Ah!Ah!Ah! Mais sans vouloir être méprisant, je pouvais aussi comprendre que le bavardage soit une respiration vitale pour nos concitoyens dont le grand désir était de bourdonner autour de la vérité, mais sans jamais la toucher, Ah!Ah!Ah! Décidément avec la littérature qui ne bavardait pas, mais écrivait la vérité, je la considérais comme une noble activité pour les hommes. Et si j'étais peu estimé en tant qu'écrivain, c'est parce que mes contemporains préféra-ient plutôt le bruit assourdissant de la socièté que de lire mes livres où la vérité était clairement expri-mée, n'est-ce pas? Ah mes chers concitoyens, mais quand déciderons-nous d'écouter la vérité pour vivre enfin heureux? Et si les Français aimaient bien écouter les chansons anglo-saxonnes, c'est parce qu'ils ne comprenaient rien aux paroles, Ah!Ah!Ah! Sans oublier le rap dont la caractéristique était de faire beau-coup de bruit inutile, Ah!Ah!Ah! Décidément, dans notre socièté, le bruit avait remplacé la musique à notre grand regret. Auquel, on ne pouvait rien faire contre, sinon se boucher les oreilles pour ne pas de-venir fou et sourd. Où il était vital pour nous de maintenir nos oreilles en bon état que notre civilisation mettait en ce moment à rude épreuve, Ah!Ah!Ah! Afin que nous puissions entendre la vérité quand celle-ci aura repris confiance en elle et sortit son museau du bois, Ah!Ah!Ah! Et si vous pensiez que j'écoulais de la monnaie de singe sur mon site Internet, j'étais tout à fait d' accord que vous le quittiez! Mais le pou-viez-vous vraiment, mon cher lecteur, qui me suiviez depuis le début avec grand interêt? Avec la convi-ction que si mon site Internet n'avait aucune valeur artistique, littéraire etc, il ne serait plus visité depuis fort longtemps, n'est-ce pas? Mais les faits étaient là pour prouver le contraire et qu'on m'écoutait bien à travers le monde, comme une voix que le bruit de la civilisation n'arrivait pas à étouffer en étant une voix unique impossible à imiter. D'une certaine façon, il était impossible de faire taire le génie qu'il y avait en chacun de nous ni même le bruit assourdissant de la socièté. A l'évidence, la vérité était le grand génie qui sortait de la lampe d'Aladdin, Ah!Ah!Ah! |
Mon frère me reprochait souvent de donner accès gratuitement à mes oeuvres aux internautes, alors qu' ils étaient peu reconnaissant! A ce sujet, il avait entièrement raison. Mais il faut dire, quand on était un artiste comme moi, la générosité faisait partie entièrement de sa nature et on ne pouvait rien y changer, Ah!Ah!Ah! C'est pour cette raison que je ne voyais aucun paradoxe à livrer gratuitement mes oeuvres sur Internet sans recevoir le moindre remerciement ou smiley, Ah!Ah!Ah! Puisque vivant par mon imaginati-on, il était inutile pour moi de revcevoir des preuves d'amour ou de reconnaissance des autres, n'est-ce pas? En fait, la reconnaissance des autres était un faux debat pour créer; car dans mon imagination, j'étais mon propre spectateur où je justifiais mon existence. Sous entendu que mes contemporains avaient fait de moi un homme invisible socialement pour des raisons de jalousies, Ah!Ah!Ah! Mais un état des lieux que j'acceptais en ne m'empêchant pas d'exister dans ce monde où personne ne pouvait nier la valeur de mes oeuvres artistiques et littéraires puisqu'elles étaient réelles, n'est-ce pas? Oui, sans aucun doute, une belle consolation pour moi, mon cher lecteur, mais qui moralement me convenait parfaitement en sach-ant que je continuais mon propre récit sans l'accord de mes contemporains qui se battaient pour des hist-oires d'argent et de gloriole, Ah!Ah!Ah! D'une certaine façon, j'étais mon propre fécondeur ou créateur vu la grande indifférence que me témoignaient mes contemporains, n'est-ce pas? Et parfois, je me relisais avec une grande curiosité et réecoutait mes symphonies et mes chansons pour le seul plaisir de savoir que c'était moi qui les avais créées, Ah!Ah!Ah! Et j'entendais alors ma voix intérieure me dire : Patrick, tu es bien vivant puisque les preuves sont là devant toi! Décidément, je n'avais pas besoin des autres pour exister puisque je me recréais en permanence tel un sphinx. Et fort possible, si j'avais vécu dans un autre siècle plus honnête et intelligent, que j'aurais été considéré comme un génie, Ah!Ah!Ah! Mais laissons passer notre époque pleines d'impostures pour nous réfugier en nous-mêmes où nous avions la solution à notre destin qui, je pense, appartiendra aux futures générations qui ne sont pas encore nées tout en espe-rant qu'elles soient plus intelligentes que les précédentes, Ah!Ah!Ah! Décidément que je detestais mon époque pour son grand egoïsme! Voilà dans que état psychologique, je me trouvais en 2021, ce qui pour-rait bien évidemment inquièter mes lecteurs sensibles, n'est-ce pas? Mais ce que je trouvais formidable dans ma position d'artiste ignoré par tous, c'était la chance de n'avoir aucun compte à leur rendre, Ah!Ah!Ah! Ce qui ne me permettait pas d'écrire n'importe quoi pour noicir le papier, comme on le dit vulga-irement, mais d'écrire tout ce qui me passait par la tête afin de mettre au piloris mes cruels contemporai-ns dont mes écrits seront les témoignages accablants et non des brûlots servant à allumer le feu de chem-inée, Ah!Ah!Ah! Car par tradition intellectuelle, on ne brûlait jamais des oeuvres littéraires pour allumer un feu ou un barbecue, n'est-ce pas? Mais pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, j'aurais bien aimé jeter au feu le dernier prix Goncourt pour savoir s'ils en resterait qiuelque chose après combustion, Ah!Ah!Ah! |
Où à force de cogiter sur eux-mêmes depuis les temps modernes, ils étaient arrivés à un grand vide existe-ntiel où le progrès les avait mené dans un grand tunnel noir où l'humanité se demandait où elle se trouvait exactement? C'était la grande panique à bord où nous nous demandions si un retour en arrrère fut possible sachant que celui-ci pourrait nous demander un temps inconmmensurable vu l'âge de l'humanité, n'est-ce pas? Mais comme nous ne pouvions plus avancer ni reculer dans ce grand tunnel noir où l'humanité était désormais bloquée, n'y aurait-il pas alors une troisième voie pour nous en sortir, mon cher lecteur? D'au-tant plus que nous avions éssayé toutes les voies possibles, avant, gauche, droite, ne nous fallait-il pas désormais regarder vers le haut ou vers le ciel pour sauver le destin de l'humanité et de la France? Et alli-ons-nous mépriser notre prochain prophète s'il ne passait pas à la télé? Ah!Ah!Ah! Dit d'une façon sans ambiguïté, mais pourquoi avions-nous en ce moment envie de sortir de cette humanité hystérique? Pou-rtant, nous n'avions commis aucun crime envers nos semblables ni vouloir fuir la justice de notre pays, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais alors pourquoi cette envie, non pas de fuir, mais de quitter cette grande famille où nous nous sentions plus appartenir pour un pays mystérieux où demeurait la divinité? Paradoxalement, en évoquant ce voyage sans retour, je ne me sentais pas du tout nerveux, mais plutôt d'un calme olympien. Car j'avais l'intime conviction que mon départ vers l'inconnu se ferait sans grande émo-tion où un petit matin, je quitterai mon pays sans regret en laissant derrière moi ni ami, ni femme, ni enf-ant! Ce serait donc d'un coeur léger que je partirai vers ce pays originel cher à tous les poètes et les pro-phètes. Sans bien m'en rendre compte, mon cher lecteur, je venais de vous décrire le grand départ de tous les mystiques vers la solitude après qu'ils aient été très déçus par leurs semblables, n'est-ce pas? Et si vous vouliez savoir ce que Boudhaa, Mahomet, Jesus-Christ et d'autres avaient ressenti à ce moment précis, il suffisait de me lire en toute simplicité. En considérant leurs départs définitifs de l'humanité, comme un voyage sans grand empressement munis d'un bagage léger, car longuement médité par ces hommes excepti-onnels, n'est-ce pas? Et en renonçant à l'humanité, il est fort possible qu'ils accédent à l'immortalité où siè-gent les dieux, bien entendu. Bref, un pays où l'on ne souffre plus, ne pense plus, mais où l'on prend pitié de ses semblables restés dans la boue de la réalité. Etrangement, la nuit dernière, j'ai fait un mauvais rêve où je pleurais sur ma propre mort en ne voyant personne venir à mon enterrement! En entendant étrangem-ent dans ma tête, les reproches singlants des autres me dire que je n'avais aimé personne durant ma vie! |
Décidément que d'imposteurs dans les médias, qui ne diront jamas la vérité aux Français, en étant convain-cu que ce délitement de la sociète française soit malheureusement irréversible! Sous entendu que ce délite-ment n'était pas un phénomène récent, bien que révélé par la tribune d'une vingtaine de généraux à la retra-ite, mais datait d'une quarantaine d'années depuis le règne laxiste des socialistes, Ah!Ah!Ah! En ignorant pas qu'Emmanuel Macron était issu de leurs rangs et qu'il n'y avait pas vraiment de surprise, n'est-ce pas? Aujo-urd'hui, je suis allé au resto du coeur où l'on m'a donné une ration pour ne pas mourir de faim d'ici 3 jours, Ah!Ah!Ah! Décidément, quelle époque formidable, n'est-ce pas? Mais il faut vous dire que je n'étais pas qu-elqu'un qui crachait dans la soupe. Car si la France ne nous offrait plus aucun avenir, la bouffe gratis c'était toujours ça, Ah!Ah!Ah! En ce moment, j'avais vraiment le sentiment de déprimer en regardant ma situation où je n'avais aucun ami, amie, femme, enfant, plus mes parents qui étaient décédés depuis longtemps, bref, la désolation complète! Et je me demandais souvent comment je faisais pour supporter une telle existence sans aucun soutien pour ressembler à un désert aride? Pour moi, c'était un grand mystère, comme si la nat-ure humaine possédait des ressources inépuisables pour nous garder debout telle une machine sans le sou-tien d'un coeur aimant! Bref, à force de solitudes, volontaires ou involontaires, j'étais devenu une sorte d'h-umanoïde marchant seul sans amour parmi mes semblables qui me reprochaient d'être un robot sans coeur, Ah!Ah!Ah! Certes, c'était sûrement vrai, puisque la vie m'avait arraché le coeur, comme on arrache le joyau d'une couronne! Et tous les jours, je me demandais comment il fallait faire pour remettre du coeur dans une machine qui n'en avait plus? Ce qui était pour moi plutôt un travail harrassant, car mes semblables ne me montraient aucun éffort de leurs côtés, Ah!Ah!Ah! Telle était la question philosophique que devait se poser toutes les machines pour exister ou du moins pour faire partie d'une colonie de robots qu' était devenue les hommes, Ah!Ah!Ah! D'une certaine façon, j'étais de mon temps où mon cas semblait plus commun qu'on pourrait le penser dans nos cités surpeuplées où le célibat se développait, non pas comme une maladie, mais comme une religion des temps modernes. Où les nouvelles générations ne croyaient plus à l'humanité telle qu'on la concevait depuis fort longtemps. Et qu'elles étaient en train de la réinventer pour rompre avec cette Histoire qui sentait la poussière et la rouille idéologique. Car lorsqu'on ouvrait la télévision, on retrouvait les mêmes vieux singes débiter leurs vieux concepts qui n'avaient plus aucune réalité, Ah!Ah!Ah! Dit d'une autre façon, le poids du passé serait-il devenu si lourd qu'il nous empêchait de nous lever et d'avancer dans la bonne direction? Et si l'on ne faisait rien, ne risquait-on pas d'être englouti pour toujours, comme l'Atla-ntide ou comme un homme jeté à la mer sur des fonds abyssaux sans la perspective d'une ile? |
|
|
|