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Des fleurs pour mon enterrement

 

 

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Mon cher lecteur, je ne sais pas comment vous décrire cette chose étrange qui m'est arrivée hier en fin de journée, un livreur s'est présenté à ma porte et m'a livré un bouquet de fleurs où il était marqué sur un petite carte "Avec toutes nos condoléances!" signé Alfred. Très étonné moi même qu'on pût m' env-oyer ce bien funeste message, sachant que je n'avais eu aucun décès disons récent dans ma famille, je lui demandai s'il ne s'était pas trompé d'adresse. Mais après qu'il ait vérifié sur sa tablette électronique, il me dit que non et que ce bouquet devait être bien livré au 2 place Bertone à monsieur Maaded Pat-rick, habitant au 3 ème étage au fond du couloir. Bien, bien, lui dis-je, si c'est bien l'adresse qui est ind-iquée, je suis forcé de le prendre, hum? Mais oui, monsieur, vous êtes dans l'obligation; car c'est dans les usages d'accepter les colis qu'on vous envoie, me dit-il avec un grand professionnalisme. Et même si on m'envoyait une bombe par la poste, lui rétorquai-je, je serais obligé de l'accepter sans broncher? Mais oui, parfaitement monsieur, car la poste ne fait que son métier qui est de livrer au bon endroit le colis que son expéditeur à payé à grand frais! me lança-t-il comme un robot sans coeur. Mais avant de le prendre, il vous faut signer sur la tablette, me dit-il, afin de prouver que je vous ai bien livré. Parfait, parfait, je lui répondis, comme si je signais mon acte de décès! En refermant ma porte, la première ch-ose qui me vint à l'esprit était de jeter ce maudit bouquet à la poubelle, ce que toute personne douée de raison aurait fait, me semble-t-il. Mais connaissant mon goût pour les choses insolites, voires mystér-ieuses, je pris un grand vase, le remplis avec de l'eau et y jetai mon funeste bouquet à l' intérieur, puis le plaçai au centre de la table de mon salon où, m'asseyant sur une chaise, je me mis à l'observer avec une grande attention afin de percer son secret. Car s'il renfermait un secret, ce fut apparemment celui de vouloir ma mort prématurée. Mais qui voulait ma mort précisément, je me demandais en me saisissant de la petite carte où ce nom d'Alfred m'évoquait pas grand chose. Sinon Alfred Swan dont j'avais com-mencé à raconter la vie que j'avais dû laisser en rade par manque d'inspiration ou peut-être par paresse, tout cela était fort possible. Car ses turpitudes et son goût perpétuel pour le changement m'avaient épu-isé les nerfs que je souhaitasse à ce moment là ménager. Si mes souvenirs sont bons, je l'avais laissé à bord de sa Maserati en direction de Cannes où il devait aider moralement et financièrement son vieil ami Jean-René( qui vivait alors une grosse déprime au point d'avoir expulsé sa femme et sa fille de chez lui) qu'Alfred avait dû héberger pour ne pas les laisser dans la rue, solidarité oblige. Il était évident pour Alfred qu'il avait dû faire une grosse perte au jeu et qu'il ne supporterait pas les sévères reproches de sa femme d'avoir jeté l'argent du ménage par les fenêtres!

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Ce qu'il pouvait parfaitement comprendre en tant qu'ancien joueur pathologique. Pour avoir déjà vécu ce genre de drame avec différentes femmes où il s'en était sorti plus ou moins honorablement soit par l' esbrouffre soit par la fuite, Ah,Ah!Ah! Tout ceci n'étant bien sûr pas très élogieux pour son passé qu'il occultait souvent par des apparences trompeuses. Mais en revenant à la réalité, je me demandais s'il po-uvait jouer ce jeu ignoble avec moi avec son créateur? Et me reprochait-il cet arrêt brutal dans sa vie qui était alors pleine de frasques? En fait, j'avais du mal à imaginer, chez cet homme plein de qualités et de ressources, une chose aussi bassement calculée et pleine de rancoeur envers son auteur. Car son histoire me tenait particulièrement à coeur et que je comptais bien reprendre quand les temps favora-bles seront revenus, bref, quand ma paresse maladive se sera dissoute comme par enchantement. Je sais que beaucoup de mes lecteurs pourraient penser que je délire un peu trop sur ce banal bouquet de fleur que j'aurais pu jeter à la poubelle comme on jette une chose sans importance, voire insignifiante. C'est vrai. Mais imaginer que mes personnages de fictions puissent avoir des envies de meurtre à mon égard parce que soi-disant je les avais abandonné au bord du chemin, je vous accorderai bien volontiers que mon imagination avait des limites que j'ignorais complètement, voires proches de la paranoïa. Mais bon, un écrivain sans ce genre de folies que serait-il sinon qu'un encyclopédiste ou un barbouilleur de papier académique? Tout le monde sera d'accord avec moi, je pense, hum? Et si mon intuition me gui-dait sur la bonne voie et que mes personnages inventés par moi même étaient bien vivants et me dem-andaient tout bêtement de l'oxygène pour pouvoir continuer à vivre? Auraient-ils alors toutes les rais-ons de me haïr et de vouloir ma mort prématurée ou bien serait-ce là qu'un appel au secours, une sorte de mayday? Ce bouquet de fleurs, après cette réflexion, me parut lui aussi motivé par tout cela, bref, par une sorte d'amour-haine que me porterait mes personnages de fictions. En me rapprochant du bou-quet, posé sur la table, je vis qu'il était composé de chrysanthèmes, de roses couleur mauve, d'une rose rouge, d'une rose blanche et le tout parsemé de quelques branches d'orties et de piquants dont j'ignorais le danger avant que mes doigts en fassent la désagréable expérience en les touchant maladroitement. Ainsi, je passai, pendant une bonne demi-heure, mes doigts sous le robinet d'eau froide afin d'en attén-uer la douleur et tout en maudissant mon méchant bouquet de fleurs. Même un instant, je crus que ce bouquet était empoisonné vu l'enflure de mes doigts qui ne dégrossissait pas. Et je m'imaginais alors dans un roman d'Agatha Christie où un être malfaisant envoyait à ses futures victimes de charmants bouquets de fleurs pour les expédier deux mètres sous terre, Ah!Ah!Ah! Apparemment, ce bouquet de fleurs, par sa composition très originale, renfermait toutes les passions humaines bonnes et mauvaises, c'était évident!

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Bref, par ses chrysanthèmes représentant des goûts morbides pour les autres(forcément), des roses au teint bien pâle pour vous exprimer du mépris ou bien une totale indifférence à votre égard, une rose rouge pour montrer son amour charnel à l'être aimé, une rose blanche pour exprimer ses sentiments les plus purs à l'amie avec qui on ne fera jamais l'amour et qui vous en voudra toute votre vie, Ah!Ah!Ah!( telles sont les femmes) et enfin des branches d'orties et de piquants pour vous dire clairement les cho-ses, bref, qu'on vous haïssait! De ce funeste bouquet, une odeur malsaine semblait envahir mon salon telle une forêt chargée de maléfices. Et l'idée qu'une femme put se cacher derrière me sembla tout à fait probable, quand nous savions tous qu'une grande majorité de femmes étaient de potentielles em-poisonneuses. Ceci étant issu des statistiques officielles et non de mes propres élucubrations ou fan-tasmes, bien évidemment. Et puis n'avez-vous pas remarqué, mes amis, lorsqu'une femme était malhe-ureuse comme elle empoisonnait avec délectation son environnement? Pour justifier mes propos, n' avez-vous pas été témoin comme moi dans une soirée de ce déchargement de venin par ces femmes qui se tenaient à l'écart de peur qu'on les entende répandre leur poison dans l'atmosphère? Bien évidemm-ent, ce poison était exclusivement destiné à nous les hommes, les soi-disant monstres d'égoïsme! Mais en regardant mes doigts se dégonfler au fur et à mesure de la soirée, l'idée que ce bouquet put être em-poisonné s'éloigna de moi ainsi qu'une femme pouvant se cacher derrière. Et puis il faut le dire, mais ce n'était pas dans les usages des femmes d'envoyer des bouquets de fleurs aux hommes à moins qu' elles aient été folles, Ah!Ah!Ah! Bref, un complot semblait se tramer derrière mon dos, telle fut ma conclusion après ce rapide examen sur ma situation. Ainsi me voyais-je entouré de mes pires ennemis qui étaient mes personnages de fictions dont le chef de bande était à l'évidence Alfred, qui avait réussi à convaincre le professeur Banbilock, Camus, Jean Lamore, le général Parisis, Djémila, Simone, Ulri-ch, Fabien, Eric, Jean-Jacques etc, de fomenter une mutinerie contre leur créateur, bref, contre moi! Assis devant la table de mon salon, face à mon bouquet de fleurs qui répandait son odeur malsaine autour de moi, j'eus un moment de doute sur ma fonction de créateur qui se trouvait tout à coup mis au piloris par ses créations. Etait-il juste que je sois traité ainsi? me demandai-je en me prenant souda-inement la tête entre les mains. Décidemment, je me disais qu'il valait mieux être un imbécile que d' avoir du génie dans l'imagination, parce qu'un imbécile n'avait de compte à rendre à personne sinon qu'a lui même. Alors qu'avec Dieu tout lui incombait et tout lui tombait dessus quand les événements tournaient mal ou s'arrêtaient brutalement comme dans un roman. Comprenez, mon cher lecteur, qu'en disant cela je ne prenais pas pour Dieu.

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Mais dans le domaine de l'imagination, c'est fou comme on se rapprochait de Lui et de ses pouvoirs magiques! Bref, en donnant vie à des êtres fantomatiques qui vivaient entre le rêve et la réalité faute d' avoir pu atteindre l'enfer, le paradis et le purgatoire, mais divaguaient sur des terres désertiques où se-uls les poètes avaient accès grace à leurs dons extraordinaires. Et si je me sentis toujours poète, ce ne fut jamais par l'entremise des hommes ou par leur consentement, mais par une voix intérieure compos-ée des chants multiples des muses, de Dieu et de la nature et jamais par les institutions des hommes. Bref, Dieu, les muses et la nature m'ont toujours inspiré, alors que le langage humain, alimentaire, int-ellectuel, utilitaire et institutionnel m'a toujours exaspéré par sa pauvreté. Pour moi, la république n' élèvera jamais spirituellement les hommes, mais leur assurera des postes dans l'administration, Ah!Ah!Ah! Telle est la cruelle conclusion que j'en ai tirée pour les hommes d'aujourd'hui qui se croient au dessus de Dieu et de la nature, alors qu'ils ne sont en vérité que de petits prétentieux fonctionnaires. Comprenez que je ne dis pas cela gratuitement ou par méchanceté, mais par une réelle expérience dans la métaphysique dont le poète à accès, bref, à la vérité. Le problème avec la république, c'est l'assomm-ant débat public qu'elle génère où les démagogues auront toujours raison parce que consensus oblige sur nos actions visibles par tous, n'est-ce pas? Bref, un lieu où la vérité ne peut plus véritablement s' exprimer, mais là où s'exprime toutes nos hypocrisies derrière le discours très rodé et usé jusqu'à la corde de nos chers républicains. Les médias en forment un bel exemple où nos vrais intellectuels, arti-stes, génies n'ont plus accès, mais qu'une bande d'imposteurs dont le seul but est l'argent et le comm-erce. C'est pour cela que je regarde très peu la télé où je sais déjà qui on va nous présenter( toujours les mêmes) et de quoi on va nous parler, bref, de grandes généralités pour le troupeau des imbéciles, Ah!Ah!Ah! Alors que moi, j'aime le non-consensus, les discutions privées où l'on va parler des homm-es des femmes et de nous-mêmes sans hypocrisie, non par méchanceté gratuite, mais pour pouvoir en-fin rire de nos travers et ô combien ils sont nombreux dans la société! A cet instant, je ne fais que vous décrire cela en toute honnêteté intellectuelle, ce qui est si rare aujourd'hui, n'est-ce pas? Bref, de ne plus être dans le consensus général destiné aux imbéciles, mais dans un vrai rapport humain, une sorte de tête à tête où je vous confesse, non pas mes défauts( comme si la confession avait hérité de cette mauvaise habitude), mais la vérité profonde de notre pensée qui se trouve hors du cadre public, étant donné que le cadre public était devenu le lieu ou s'exprimait toutes nos hypocrisies. Je sais, en disant cela un peu légèrement, que je bouleverse un peu ou peut-être beaucoup vos habitudes sur la soi-dis-ant société juste et égalitaire. Mais il est temps pour vous aussi de comprendre que mon site Internet n'est pas un lieu public, mais un lieu privé où toutes les opinions n'ont pas lieu de s'exprimer( car la société française y pâlie à merveille avec son hypocrisie généralisée), mais un lieu où nous pouvons enfin respirer et surtout être nous-mêmes.

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Et puis, mon ami, combien d'auteurs aimons nous parler en public, alors que nous les détestons en pr-ivé en tant que personnages bouffons qu'ils représentent? Ah!h!Ah! N'est-ce point ici, la preuve que la scène publique était devenue le lieu du mensonge et non celui de la vérité? Je pense sincèrement qu'il faudrait que l'on revienne à l'authenticité des choses afin que la France ne devienne pas le pays des bis-ounours et de la tarte à la crème. Où les médias ont une lourde responsabilité sur ce développement nauséabond de l'hypocrisie dans notre vie sociale en ayant transformé le monde en société du spectacle. Et bien évidemment, tout le monde veut y participer pour en tirer des intérêts de tout ordre : économi-ques, politiques etc ou bien exprimer son nacissisme sans avoir véritablement de talent, tel est le mo-nde nouveau que nous propose les médias, le monde de l'image ou la fabrication de nouvelles icônes à l'échelle mondiale. Paradoxalement, le terrorisme entrait parfaitement dans ce nouveau concept de l' imposture généralisée en n'étant qu'une conséquence de tout ces dérèglements sociétaux. Et qui voulait finir désormais sa vie sous les feux de la rampe se fasse exploser devant les caméras du monde entier, Ah!Ah!Ah! Pour ma part, il est important de dire à tous les Français qu'ils sont eux aussi responsables de ce nouveau champ de ruine par leur manque totale de sincérité à l'égard d'eux-mêmes et de leurs compatriotes. Alors qu'autrefois, ils se distinguaient des autres peuples par ce trait de caractère partic-ulier qui était la franchise de dire la vérité aux autres en temps voulu pour des raison valables et non gratuitement. C'est pour cela que je me sens en tout point très français, alors que certains voudraient me faire passer pour un ennemi de la France, ce qui est complètement faux! Mais bon, la rumeur pu-blique est là pour générer du mensonge, n'est-ce pas? Et que cette lourde perte de nos valeurs fran-çaises par les nouvelles générations fait qu'aujourd'hui, ils se distinguent des autres peuples par leur nullité et par leur esprit administratif en faisant de la France une petite nation de parvenus. Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, le premier qui dira la vérité en public aura une tapette, Ah!Ah!Ah! Voilà a quel jeu les Français s'adonnaient pour ne pas entendre la vérité les concernant, mais s'obstinaient à croire qu'un jour un de leurs enfants sera peut-être président de la république! Il est vrai qu'en chaque Français sommeillait un fonctionnaire et je ne poursuivrais pas ma phrase pour ne pas dire un chose obscène le concernant aussi.

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Comme je vous l'ai dit, mon cher lecteur, mon site n'est pas un lieu public ni un déversoir de choses obscènes, mais un lieu où la vérité doit être entendue. En vous disant cela, j'ai l'impression que mes lecteurs me lisent en secret sur mon site et n'en parle à personne autour d'eux de peur qu'on les pren- nent pour des anarchistes ou des fous. Car mes oeuvres sur mon site, je vous le confirme, sont bien lues et écoutées grace aux statistiques dont j'ai accès sur mon espace personnel. Environ 19000 visites depuis six ans et paradoxalement aucun message de sympathie, d'antipathie ou d'insultes à mon égard! Mais un silence assourdissant autour de mes oeuvres, alors que je pense sans fausse modestie avoir écrit des chefs-d'oeuvre, mais que tout le monde feint d'ignorer. Des oeuvres, il est vrai comportant encore des fautes de français pour ma littérature et des fautes de mise en place instrumentale pour ma musique symphonique, mais qu'un honnête correcteur pourra corriger pour atteindre la postérité, com-me je le crois sincèrement. Pour ma part, je pense que c'est la révolution française qui a réduit à néant nos plus hautes valeurs françaises, paradoxalement. En instituant le débat public comme un tribunal visible par tous et aujourd'hui tout particulièrement à travers la télé. Le tribunal des consciences, voilà la grande invention machiavélique de la république ou si vous voulez le tribunal populaire. Et qui dira désormais ses 4 vérités sur ses concitoyens sera jugé coupable d'immoralité et puni devant des millions de téléspectateurs et ruinera sa carrière, Ah!Ah!Ah! Voilà le triste sort qu'il attend s'il s'exprime avec franchise et sincérité. Alors qu'autrefois, les gens de la noblesse s'interdisaient de se justifier devant les autres parce qu'ils les estimaient non irréprochables et peu fiables sur le respect des confidences, mais s'exprimaient avec largesse et bonheur avec leurs amis intimes qu'ils savaient loyaux et fidèles. Ainsi, comme vous le voyez, le débat privé-public est toujours d'actualité dans notre société où le tribunal populaire est permanent, prêt à vous juger si vous montrez des signes de noblesse, oh les horribles sig-nes de noblesse! lance-t-il avec grandiloquence à la foule. Appararemment ce chiffre de 19 milles visit-eurs représentait pour moi un monstre anonyme qui se refusait de décliner son identité, alors que je me mettais à nu sur mon site en lui montrant mon zizi. Le sien était-il plus gros que le mien? En fait, j'en savais rien, Ah!Ah!Ah! Par ce constat bien réel et chiffré, je me demandais si la France avait encore une identité? Oui, je sais un sujet brûlant pour la société française, car historique et civilisationnel pour être précis. Mais je ne pense pas que cette perte était due à l'afflux d'immigrés qu'elle avait connu au cours de son Histoire( thèse que je ne partage pas avec l'extrême droite ou les nationalistes). Car moi-même fils d'immigré algérien, je suis en recherche permanente de cette France disparue que me contait avec bonheur ma tendre mère.

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Mon cher lecteur, si je vous montrais les photos de jeunesse de mes chers parents, vous y verrez un prince arabe marié avec une princesse née dans le beau pays de la Loire, le fief historique de l'aristocra-tie française avec ses chateaux connus de tous, je crois. Et si je suis né poète et musicien, c'est bien po-ur ces raisons, par mes origines princières et non au fait du hasard. Et l'important pour chacun de nous est de connaître sa vérité et non de nous battre à coup d'idées préconçues ou d'idées inventées pour discriminer les uns et les autres, tel que le dogme républicain qui avait anéanti nos plus belles valeurs françaises. Par tout ce que je viens de vous dire, il me semble que le seul lien qu'il me reste avec cette France disparue, avec ce pays devenu le pays des chimères, soit ma langue maternelle que j'emploie sur mon site afin de dialoguer ave elle : puisque les Français au cours de leur Histoire étaient devenus cul-turellement des anglo-saxons, par l'adoption du capitalisme et du protestantisme. Alors que nous avio-ns toujours eu une haine ancestrale pour ces derniers parce que des barbares sans foi ni morale, n'est-ce pas? Mon cher lecteur, je pense en quelques lignes vous avoir décrit la société française d'aujourd'hui, qui visiblement avait perdu son âme! Constatant que les Français n'étaient plus des Français, mais des adeptes de la mondialisation culturelle, économique, de l'émotion de masse et de la grande illusion Européenne, il m'a fallu peu de temps pour devenir un exilé dans mon propre pays. Bref, un Robinson Crusoé vivant seul sur son île deserte sans aucun compagnon. Alors que Daniel Defoe dans son roman lui avait donné un compagnon d'exil : Vendredi. Apparemment, le monde ancien avait plus de coeur que le monde moderne, me sembla-t-il. Et aujourd'hui le nom de Vendredi ne signifiait plus pour mes compatriotes, l'ami ou la fidélité, mais la désertion par le départ en Week-End! Vous dire le désastre que notre société cultivait par l'égoïsme de ses 35 heures en fuyant les villes dès le vendredi soir. Ainsi les banlieues deviendraient de véritables chaudrons brûlants quand la police fera elle aussi les 35 heu-res et leur permettra de s'emparer de la ville, tel est le macabre scénario que jentraperçois pour l'avenir de la cité occidentale. Mon site Internet, c'est mon île déserte, c'est l'endroit idéal où je me suis exilé pour ne pas mourir asphyxié par mes contemporains et par leurs bêtises. Car ils sont tellement bêtes que j'aime mieux les observer à distance, bref, de mon île déserte m'offrant un merveilleux promon-toire. Revenant à la réalité, je me demandais si mon vilain bouquet de fleurs pouvait venir de ce coté là, de ces hordes d'imbéciles qui, ayant perdu tout courage de dire ce qu'ils pensent, se cachaient derri-ère ce jeu pervers? Il est vrai, un jeu pervers où je pouvais tout imaginer, tout spéculer vu la complexi-té qu'ils me proposaient de résoudre. Bref, de résoudre l'insondable méchanceté des hommes. Bien évidemment, je ne voulais pas entrer dans ce jeu sachant qu'ils l'avaient organisé et établis les règles, mais sans connaître véritablement mon intelligence à pouvoir le déjouer.

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Car n'oubliez pas, mon cher lecteur, que sur mon île déserte, j'étais intouchable où leurs boulets de canons déguisés en fleurs avaient peu de chance de m'atteindre, mais plutôt de s'écraser sur la plage ou au milieu de l'eau. Sincèrement, je pense que les Français auront fait un grand pas dans leur réforme quand ils sauront reconnaître le talent ou le génie des autres, ce qui ne sera la veille, je vous l'assure. Mais où était donc passée l'intelligence française, la fleur de lys de notre esprit, quand nous observions de notre promontoire une armée d'imbéciles gouverner notre ancien puissant royaume? Comprenez- bien que je ne parlais pas de l'esprit dans le sens Voltairien (cet odieux individu qui avait semé le chaos dans le crane de tous les Français par sa refutation très sarcastique et moqueuse des choses grandes et nobles). Où  un Roi, il est vrai, allait tous les matins faire lui aussi son caca. Mais de là à dire qu'on avait de l'esprit pour faire cette réflexion, je pense que c'était aller un peu vite en besogne, n'est-ce pas? Et puis relisez Voltaire, vous verrez transparaître à chaque page de ses livres sa haine et sa jalousie po-ur les grands hommes et les génies de son temps comme Rousseau qui le dépassait philosopiquement, mais dont l'idée lui était intolérable. Et c'est je pense cet odieux esprit de jalousie qui avait été semé dans l'esprit des Français depuis la révolution française dont on voyait aujourd'hui les conséquences désastreuses dans notre société où l'hypocrisie avait atteint son point culminant. Alors qu'avec de l'int-elligence rien de tout cela, aucune jalousie envers ceux que la nature avait gâté de dons extraordinai-res, mais une admiration, non pas aveugle, mais justifiée. Car malheureusement la nature ne donnait pas de l'intelligence à tout le monde, n'est-ce pas? Et paradoxalement si vous êtiez un homme ou une femme qui aviez de l'esprit, vous alliez croire que vous êtiez intelligent, alors que ce n'était pas le cas. Mais c'était là le jeu pervers de l'esprit qui jugeait les choses sous un prisme très égocentrique. C'est vrai que nous avions tous de l'amour propre à revendre, mais de là à nous prendre pour quelqu'un d' exceptionnel pour cette raison, ceci eétait de l'ordre de l'esprit et non pas de la réalité. Je ne parlais même pas d'imagination dans notre cas, car l'imagination était pour moi, non pas dans le domaine de l'esprit, mais dans le domaine du divin. C'est comme lorsqu'on écoutait Bach, c'était Dieu et la nature qu'on écoutait dont le but était de sublimer nos les plus belles émotions, même si l'on ne croyait pas en Dieu. Ceci était de l'ordre du génie où Dieu et la nature oeuvraient ensemble afin de nous faire com-prendre que nous faisions partie, non pas seulement de la terre, mais aussi du ciel. Alors qu'avec de l'esprit vous ne produirez jamais de tels chefs-d'oeuvre, mais des oeuvres sur papier avec lesquelles on pourrait sans problème se torcher le derrière avec, Ah!Ah!Ah!

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Mais entre nous qui oserait se torcher le derrière avec une partition de Bach, sinon un homme qui se croirait tout permis parce qu'il avait de l'esprit? C'est là, je pense le point culminant de notre pensée et que je ne tirais pas à boulet rouge sur mes compatriotes par méchanceté ou par gratuité, mais afin qu'ils se réforment et retrouvent leur intelligence, bref, cette belle intelligence française que j'implorais de tous mes voeux dans les pages précédentes Car si celle-ci fut abandonnée et même saccagée au cours de notre Histoire pour les raisons que je venais d'évoquer, je pense qu'on pourrait la restaurer si l'on s'eng-ageait à redevenir sincère avec nous-mêmes et franc avec les autres, bien entendu. Ici sur mon site, je ne fais que traduire par ma lucidité ce retour à l'intelligence pour mes compatriotes, comme Chateaubriand dans son génie du christianisme qui implorait ses compatriotes à retrouver, non pas la raison, mais la foi pour en finir avec la terreur révolutionnaire. Et aujourd'hui tout particulièrement, j'implorais mes compatriotes d'abandonner cette mondialisation culturelle venant des pays anglo-saxons pour retrouver leurs racines françaises et leur intelligence, sinon ils seront les esclaves des Américains et des Chinois, bref, les domestiques de demain. Peut-être le sont-ils déjà, mais ne veulent pas le voir tellement ils ont de la merde dans les yeux? Et puis regardez la puissance économique de l'Allemagne dans l'Europe d' aujourd'hui. Sincèrement, je pense que c'est elle qui est en train de gagner la 3ème guerre mondiale avec sa bundes-bank, le bulldog de l'Europe. Alors que nous les Français n'avions pas gagné la 2 ème guerre mondiale, mais les Russes et les Américains. Bref, que nous étions perdants sur tous les tableaux. Mais il est vrai que nous avions de l'éloquence pour dire des niaiseries au monde entier, Ah!Ah!Ah! Tenez justement hier à la télé, on nous parlait d'une future émission sur le QI des Français qui était en chute libre depuis plusieurs décennies révélé par le rapport PISA, bref, que les Français étaient bien derniers en termes d'intelligences sur l'échelle mondiale. Mais tout cela, je le savais déjà, car je n'inventais rien dans mes propos, mais je disais seulement la vérité à mes compatriotes avec toute la franchise de mon coeur et que ça leur plaise ou non. Décidément, je trouvais cette émission arriver un peu tard, car le mal était fait depuis longtemps. Bref que le QIF (le QI des Français) ne nous faisait plus quiffer, mais plutôt désespérer par son erectomètre en berne, Ah!Ah!Ah! Et qu'ils ne nous faisaient plus bander par leur inte-lligence, mais par leur crétinisme institutionnel. Où le mal français était de n'avoir plus d'identité au point de nous plonger dans cet obscurantisme moderne. En fait, je crois que c'est en voulant mélanger les contraires, comme l'égalité et la liberté, qu'on a fait la plus grosse bêtise du monde, même je dirais une bêtise civilisationnelle!

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Car mélanger les contraires, c'était comme vouloir le jour et la nuit en même temps, ce qui n'était pas possible, mon cher ami. Regardez dans le domaine de la littérature où une compagnie de vieillards( le jury du prix Goncourt dont l'age moyen était de 75 ans) jugeait la littérature de la jeunesse, Ah!Ah!Ah! Sincèrement, je trouvais ceci comme une vraie pantalonnade, digne de la comédia del arte, mais surtout un désastre pour la littérature française. Car comme je le vous disais précédemment, mélanger les contr-aires était contre-nature et très mauvais à long terme, comme ces vieux dinosaures qui se tenaient en-core debout grâce à leurs prothèses de hanche, à leurs médicaments contre le diabète, l'hypertension, les rhumatismes en voulant gâteusement donner des leçons de vie et de littérature à la jeunesse! Ceci était totalement ridicule, car j'ai toujours pensé que la littérature était une aventure sans morale où les vieux n'avaient pas droit de regard sur elle. Car une vraie littérature restait pour moi une chose obscène à lire en public en étant la marque de la vraie littérature et non un livre de chevet qu'on goûtait comme une vieille camomille au bord de la mort, Ah!Ah!Ah! Et sans cette obsènité, elle n'avait plus lieu d'exister, voilà ma pensée. Aujourd'hui, je jugeais la littérature française comme un grand malade dont les profes-sionnels de l'edition prodiguaient des soins intensifs coûtant une fortune pour la sécurité sociale en no-us communiquant quotidiennement un faux bulletin médical, bien évidemment. Et en bon communican-ts, ils nous disaient que le malade se portait bien et qu'il sortirait de l'hospital dans les prochains jours. Le problème, c'est que les prochains jours semblaient durer une éternité et se prolonger indéfiniment, Ah!Ah!Ah! Mais ils voulaient absolument nous tenir au courant de son état de santé dans la presse et dans les médias. En nous affirmant qu'ils étaient les défenseurs de la culture même si elle était à moitié morte dans son lit d'hôpital, Ah!Ah!Ah! Mais nous avouaient en coulisse que c'était leur business et leur fond de commerce. Bref, de vouloir prolonger d'une manière végétative la vie de la grande morte qu'on appelait la culture française! Et c'est ce commerce très lucratif autour de ce corps agonisant de la grande morte qu'on gâchait tout le talent des écrivains en voulant absolument les inscrire dans ce registre de la mort par l'écriture du futur bestseller de l'année, Ah!Ah!Ah! Bref, de ces nouveaux auteurs à succès qui publiaient un livre par an en écrivant comme ils pissaient. Parce que le marché leur imposait le rythme des affaires et la rentabilité de leur travail qui chez un tel valait 1 euro la ligne, alors que chez d'autres (les chouchous des médias) 10 euros la ligne! Vous dire alors le drame pour la littérature française d' etre ramenée à ses comptes d'épiciers. Mais ne voulant pas systématiquement démolir les auteurs ou dé-nigrer leur travail, j'ai remarqué à maintes reprises que leurs livres pourraient être bien meilleurs en évi-tant de sauter trop vite les étapes pour être absolument publié. Car une oeuvre, digne de ce nom, avait besoin d'une fermentation plus ou moins longue, comme le pain ou le mûrrissement d'un fruit.

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Et que l'oubli de cette étape cruciale pour écrire une oeuvre littéraire, musicale ou autre fera de votre oeuvre une chose qui se dégonflera très vite. Car aussitôt lue ou écoutée, elle sera jetée à la poubelle ou vite rangée entre Marc Levy et Guillaume Musso ou bien entre maitre Gyms et M.Pokora, Ah!Ah!Ah! Bref, pour revenir à nos propos, je vous disais que mélanger les contraires était une très mauvaise opér-ation pour l'intelligence sauf si les deux éléments étaient naturels, comme l'eau et la terre ou bien une idiote avec un homme intelligent ou vis-versa. Et tout particulièrement, le mélange entre l'artificiel et le naturel, comme par exemple l'argent et l'intelligence qui fera de vous un parfait idiot, comme on le voy-ait dans les médias ou bien dans la vie courante. Mélanger l'argent et l'idiotie et vous obtiendrez une arr-ogance hors norme telle qu'on la voyait en Amérique où les hommes politiques faisaient des discours de titans pour dire des banalités, Ah!Ah!Ah! Bref, où un imbécile pourrait bien se prendre pour un grand homme ou un génie s'il avait beaucoup d'argent dont il avait fait écho dans les médias, par exemple. Je vous assure, mon cher lecteur, et malgré mes remarques très pertinentes sur mes compatriotes, je n'ai aucun esprit comme l'entendent les Français en ayant jamais pu créer autour de moi une communauté d' esprits! A ce propos, j'ai connu une personne très spirituelle avec laquelle je n'ai jamais pu tenir une se-ule discution intelligente, car celle-ci tournait tout à la rigolade même mes confessions intimes! C'est dire un monstrueux dédain qu'il me montrait ou du mépris pour être clair. Pourtant, il avait en face de lui la personne la plus intelligente au monde, mais dont il ne voulait pas entrer en contact de peur de mesurer l'abysse qui nous séparait. Serait-ce là le mal français? Cette impression d'assister à un one man show permanent de la société française où le crétinisme était devenu une institution? Ah!Ah!Ah! Bref, voyant mon incapacité à créer autour de moi une communauté d'esprits, comme je vous le disais précé-dement, la seule explication que j'ai pu trouver fut de concevoir que je n'étais pas quelqu'un à la mode, mais une possible survivance de l'intelligence française. Bref, une sorte d'entité qui errerait autour de mes compatriotes qu'ils prendraient plasir à crever, comme une bulle de savon, Ah!Ah!Ah! Et si je vous parlais de tout cela, mon cher lecteur, c'est parce que la pensée pour moi n'était qu'une mode et rien de plus. Et avoir de l'esprit, c'était seulement avoir l'esprit de son temps ni plus ni moins dont les Français étaient friands par leur cartésianisme individualiste et forcené. La raison était tout simple, car quand René Descartes affirmait " Je pense donc je suis", il ne voulait pas dire que j'ai toujours raison quand je pense, mais que j'ai le sentiment d'avoir raison quand je capte l'esprit de mon temps!

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Bref, que je suis et que j'existe quand je suis reconnu par les autres ou par la société dans laquelle je vis. Cela nous prouvait avec exactitude que la pensée n'était qu'une mode comme une autre et qu'elle n'était pas éternelle et absolue comme l'intelligence, l'indestructible intelligence dont j'implorais le retour par-mi mes compatriotes. C'est vrai, un combat de titans. Mais le passé de la France ne fut-il pas glorieux lorsque nous eumes un royaume? Pourtant avec toutes les qualités de discernement que je venais de vo-us montrer, j'aurai pu être un esprit de mon temps. Mais tout ce je disais ou racontais déplaisait à mes concitoyens et je n'y pouvais rien. Et ce qui m'impressionnait le plus, c'était leur assurance dans les lieux publics où ils affichaient leur grossière suffisance. Alors que moi, qui n'avais jamais reçu le moindre soutient dans la vie qu'il soit amical, intellectuel ou financer, j'étais constamment sur le fil du rasoir de mes émotions. C'est à dire que ma situation très inconfortable faisait que l'acuité de mes sens, sans cesse en éveil, me faisait juger très sévèrement mes compatriotes que je trouvais être de grands idiots fabriqu-és par la constitution républicaine. Comprenez, mon cher lecteur, que je n'avais rien contre l'idiotie nat-urelle dont nous étions tous victimes quand nous nous trouvions dans l'embarras pour telle ou telle rai-son. Mais celle dont je parlais des Français était constitutionnelle, intellectualisée, réfléchie afin qu' en France on ne comprenne rien à ce qui se passait! Comme si les Français aimaient nager en eau trouble pour pouvoir faire leurs petites magouilles en cachette, comme nos hommes politiques dont l'incompét-ence était désormais officialisée par leur renouvellement tous les cinq ans au lieu des sept afin qu'ils ne fassent pas trop de bêtises en groupe avec toute la classe politique française, Ah!Ah!Ah! Bref, soyons collectif, tel était le mot d'ordre des Français, mais qu'ils ne s'appliquaient pas personnellement, Ah!Ah!Ah! Bref, pour vous montrer leur bêtise constitutionnelle, j'avais quelque chose de révélateur à vous raconter. Cela se passait hier au comptoir d'un café, où je prenais mon double expresso assorti de son petit spéculos, quand une personne vint s'assoir à coté de moi sans rien me dire; mais que je ne pouvais voir en regardant du côté du bar ou des serveuses si vous voulez. Mais là rien de choquant dans ces lieux publics (en étant pas l'ours pour lequel on voulait me faire passer). Mais tout de même curieux, je me retournai et m'aperçus que je connaissais cette personne avec laquelle j'avais déjà bu et discuté dans une autre bistrot, près de la place de la Croix-Rousse, où tous les clients après avoir trop bu se prenai-ent pour des génies et des révolutionnaires. J'ai même connu un vieux fonctionnaire qui se prenait pour Jules César, Ah!Ah!Ah!

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Bref, j'avais vite déserté ces lieux connus pour ses imposteurs du dimanche. Pour revenir à mon histoi-re, après une salutation que je trouvais arriver un peu tard( car il m'avait vu, reconnu, mais sans me sal-uer en entrant dans le café), nous avons parlé de choses et d'autres sans grandes motivations, il faut le dire. Car il avait posé devant lui sur le comptoir, son Iphone qu'il consultait à chaque instant. Moi, ne voulant pas entrer dans ce dialogue de sourd ou mon voisin de comptoir ne se trouvait pas à côté de moi, mais a Miami dans ses pensées, je lâchais quelques plaisanteries pour réchauffer l'ambiance en lui parlant de ceux qui nous prenaient des impôts, qui étaient invisibles, mais fort nombreux. Je crois bien qu'il n'a pas beaucoup apprécié mon trait d'humour ou ma finesse d'esprit, puisqu'il est parti quelques secondes plus tard. Voilà donc ou se trouvait le mal français, bref, dans ce manque total de reconnaiss-ance des qualités des autres parce qu'ils étaient devenus des idiots arrogants! Étrangement, je ne sais pas d'où peut me venir cette faculté où mes yeux voient tout, mes oreilles entendent tout où tout mon être devient une membrane vibratoire qui capte tout ce qui se dit, pense, médite, cogite dans son environne-ment proche ou lointain. Pour ma part, je ne pense pas que cela vienne seulement de mon côté oriental où soi-disant on cultiverait les sens jusqu'à l'extase mystique, mais aussi par mon côté très français. Bref, par ce côté très terrien de sentir les choses d'une façon quasi animale, mais que nous avons malh-eureusement abandonné pour devenir de froids intellectuels dans un monde appartenant désormais aux bobos et aux écolos qui se tenaient bien au chaud dans leurs bureaux parisiens en laissant mourir la pay-sannerie française pour des raisons de snobisme et surtout pour ne pas se salir les mains et leurs beaux habits de représentation, Ah!Ah!Ah! Bref, où l'âne ricanait des malheurs de son éleveur ou si vous voul-ez du pays des contes milles et une nuit où les animaux de la ferme discutaient entre eux pour comploter contre leur boss, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, les imposteurs avaient pris le pouvoir dans notre pays, bref, les plus incapables d'entre nous. Parfois, je sentais en moi la bête revenir en un vieux sanglier fourrage-ant son groin un peu partout pour trouver des glands ou la vérité pour pousser la chose plus loin. Par-fois même, je sentais en moi un cerf majestueux qui bramait dans la forêt pour exprimez sa toute puis-sance dans son royaume. Car je ne vous cacherais pas que pour moi la vérité avait l'odeur de la terre et non pas du Chanel numéro 5, comme le souhaiteraient les gens huppés de la capitale, Ah!Ah!Ah! Bref, en un mot, la vérité àvait un goût, une odeur et une musique( petite ou grande selon ce qu'elle avait d' important a nous dire). Et si elle lui manquait une de ces qualités, cela voulait dire quelle était à moitié dite ou amputée pour cacher des intérêts stratégiques ou inavouables ou peut-être que son auteur, ne co-nnaissant pas la vérité, faisait mine de la connaître en inventant sa propre vérité qu'on appelait la post-vérité?

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Et semble-t-il dans cette post-vérité, nous y étions de plein pied en appartenant désormais aux imposteu-rs. Où beaucoup de nos philosophes contemporains employaient souvent ce mot dans leur langage et dans leurs ouvrages savants. Peut-être étaient-ils eux aussi des imposteurs vu leur succès rencontré dans les médias, dans les librairies et parmi les Français? C'était juste une question que je me posais en ne doutant pas sur leur talent de dire aux Français les choses qu'ils voulaient entendre ou lire dans les liv-res. Tout en concevant que l'imposture pourrait aussi nourrir la grande imposture des Français, n'est-ce pas? Comme nos hommes politiques faisant sans cesse un jeu d'équilibriste à partir de nos opinions pour être élus à nouveau ou sur le budjet de l'Etat dont les chiffres étaient un jour en équilibre, puis un autre jour en désiquibre afin de demander aux Français des éfforts supplémentaires et de réduire leur tr-ain de vie soi-disant royal, puis de jouer les pompiers dans les banlieues, de maintenir la paix sociale avec le RSA par exemple etc et tout cela parce qu'ils n'avaient aucun génie, ni aucun talent particulier, mais seulement une boite à pharmacie pour l'ensemble des Français, Ah!Ah!Ah! Bref, aucune idée trans-cendante à proposer à nos compatriotes, mais des comptes d'épiciers à tenir jusquu'à leur retraite. Assis-tant, impuissant à la deroute de mon pays, j'implorais souvent les dieux de l'Olympe pour nous venir en aide et faire revenir, sous nos cieux autrefois bénis, les génies afin de réaliser l'immense tache herculéè-nne de sortir la France de sa bêtise désormais officialisée par l'Etat. C'est vrai que je n'étais pas tendre avec mes compatriotes. Mais l'étaient-ils avec moi? Et puis l'indifférence ne génèrait-elle pas aussi l'in-différence? Bref, il semblerait que nous vivions dans un pays de sourd-muets où tous les Français voy-aient bien ce qui se passait, mais se taisaient aussitôt quand il s'agissait de dire la vérité les concernant. Parce que leur imposture ne devait pas être dévoilé aux autres ni au monde entier, telle était la nouvelle règle ou religion imposée par la post-vérité. Et quand je vous déclarais plus haut que la vérité avait pour moi un goût, une odeur et une musique particulière, le mot de post-vérité sonnait faux à mes orei-lles, car ce qu' on disait était soit vrai soit faux, mais pas entre les deux, n'est-ce pas? Et en entendant ce mot de post-vérité sonner à mes oreilles( ce qui me faisait bien rire), je l'entendais comme une vérité qui nous était envoyée par la Poste des télécommunications, Ah!Ah!Ah! Bref, une lettre expédiée à tous les Français par notre glorieux service public qu'on devait absolument lire pour nous conformer à la nouvelle donne et à la nouvelle religion d'Etat, la post-vérité, puisque notre pays était désormais gou-verné par des imposteurs. C'est à dire un vrai panier de crabes où il était dangereux d'y laisser les doigts, Ah!Ah!Ah! Décidément encore une histoire de doigts depuis le début de mon histoire en l'occurrence avec mon méchant beaucoup de fleurs( qui m'avait blessé les doigts par ses piquants et orties) et mai-ntenant avec le panier de crabes de la société française! Bref, après toutes mes cogitations intérieures, néanmoins fortes intéressantes, je n'arrivais pas à mettre un nom sur l'expéditeur de mon méchant bou-quet de fleurs.

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Mais dont je soupçonnais l'origine parmi mes compatriotes qui ne supportaient pas que je leur dise la vérité toute crue, Ah!Ah!Ah! Bref, une association de malfaiteurs en colère telle qu'on les voyait pull-uler aujourd' hui dans notre pays comme des mouches à merde. Où l'imposture avait semble-t-il atteint des sommets dont ils n'étaient pas conscients. Mais bon, laissons les rêver à ce qu'ils ne sont pas et tou-rner autour d'une grosse merde dont l'odeur les attire, les captive et les enivre. En fait, le gros défaut des Français, c'est qu'ils étaient constamment en représentation et que leurs choix artistiques, musicaux, littéraires, etc n'étaient pas des choix personnels, mais des choix publics afin de donner une belle mage d'eux-mêmes. Et apparemment, ils avaient aujourd'hui des goûts de chiottes vu ce qu'ils lisaient, écout-aient ou débataient ensemble. C'est vrai, mon cher lecteur, que je n'y allais pas avec le dos de la cuillère en tapant dessus depuis mon histoire avec mes compatriotes. Mais comprenez-bien, en tant que musici-en, j'adorais frapper sur leurs têtes où bizarrement, on entendait comme le bruit de casseroles et d'usten-iles de cuisine, Ah!Ah!Ah! Bref, un bruit de petites vaisselles et de cantines scolaires. Et je veux vous assurer que ce n'était pas de ma faute si leurs têtes sonnaient creux en faisant aujourd'hui de la mauvai-se tambouille pour leus compatriotes, mais à cause de leurs erreurs historiques et intellectuelles. Et contrairement à leurs nouvelles tares, moi j'aimais bien dire la vérité aux gens que je rencontrais et dire à quelqu'un qu'il était beau ou qu'il avait de beaux cheveux ne me gênait ne pas du tout, du moment que c'était vrai. Comme les Français qui étaient devenus bêtes depuis la révolution française, Ah!Ah!Ah! A bien réfléchir, je crois que je vais envoyer mon histoire invraisemblable à la presse anglo-saxonne, qui se fera un plaisir d'écouter un Français parler avec franchise de ses compatriotes et en particulier du french-bashing. Qui n'oubliez pas, mon cher lecteur, avait été inventé par ces derniers et non par mes compatriotes qui n'avaient désorrmais plus aucun talent pour se juger avec honnêteté, Ah!Ah!Ah! Parce que les anglo-saxons savaient très bien que nous ne faisions qu'imiter leur capitalisme et leur mondia-lisation dans les affaires. Alors, ils prenaient un malin plaisir à passer les Français sur le gril ou dans la rôtisseuse pour voir la gueule de l'imposteur souffrir derrière la vitre du four, Ah!Ah!Ah! Apparamm-ent, l'original semblait rire éperdument de sa copie et que la photocopieuse en France tournait à plein régime. En fait, le gros défaut des Français, c'est qu'ils ne trouvaient que du talent aux femmes, puisqu' ils n'aimaient en vérité que plaire en public. Et que d'embrasser une femme dans la rue n'était pas pour eux un geste d'amoureux transi, mais un geste citoyen afin de montrer à ses concitoyens qu'ils aimaient la France, comme une jolie femme! C'est dire le fossé qui nous séparait des autres pays d'Asie ou d'O-rient où l'amour n'était pas un geste citoyen, mais seulement un geste d'amour! C'est de là, je pense, que venait en France l'interdiction du port du voile en sachant que le citoyen français ne pourrait plus embr-asser sa femme en public pour montrer qu'il était un bon citoyen, Ah!Ah!Ah!

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Ainsi voyons-nous que la déclaration des droits de l'homme, décrétée par la France en 1789, n'était pas universelle pour tout le monde, n'est-ce pas? En fait, je n'ai jamais aimé l'universalité des idées parce que la vérité est pour moi d'ordre privé, unique, exceptionnelle, telle que nous l'exprimons en ce mo-ment sur notre site dédié à la libre pensée. Et si la vérité collective pouvait exister( ce que je doute fort) celle-ci ne serait guère intéressante pour nous, car alimentaire, militaire, utilitaire ou pour donner des postes dans l'administration. Bref, une vérité collective effrayante par son passé où j'aurai honte de glo-rifier la république française tellement elle avait fait de mal à nos compatriotes par ses guerres entrepri-ses paradoxalement sous la 3ème et la 4ème république. Sincèrement, mon cher leccteur, pourriez-vous aimer une république qui avait entraîné des millions de morts parmi nos compatriotes? Personnellem-ent, j'en étais incapable parce que j'aimais la France hors de ce cadre intellectuel institué par la révolu-tion française. Et que la France restait pour moi, une terre charnelle et non un pays fait de concepts qui, pour vous dire la vérité, nous pourrissaient la vie depuis plus d'un siècle aussi bien au sommet de l'Etat qu'en bas de chez soi. Bref, pour en revenir à des propos plus légèrs, il y avait une chose que les anglo-saxons ne nous voleront jamais, c'était notre légendaire fainéantise représentée par nos cinq millions de fonctionnaires, Ah!Ah!Ah!. Mais en étant pas si catégorique que ces derniers en gardant les gens qui tra-vaillaient dans les hôpitaux et dans les services du pôle emploi qui étaient vitaux pour notre pays, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Croyez-moi, mon cher lecteur, je n'avais aucune haine envers les vrais Français, qui avaient su préserver leur intelligence française, mais seulement contre les imposteurs qui nous gouvern-aient aujourd'hui. En vous assurant que je n'ai jamais été un adepte de la révolution pour réformer les Français étant donné que notre passé révolutionnaire nous avait rien rapporté, sinon le chaos dans nos têtes. Mais plutôt un travail en profondeur pour qu'ils se réforment. Bref, par un labourage intelligent de notre conscience collective et non l'emploi de bulldozers qui creuseraient des ravins et des tranchées pour soi-disant trouver des mines d'or pour notre future nation. Parce que nous étions avant tout des fils de paysans et non des entrepreneurs de démolition sociale où autre. Ceci étant très important pour moi de vous le signifier et lisez seulement ce qu'il y a d'écrit dans mes textes et non entre les lignes où je vous assure qu'il n'y a rien de secret.

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Croyez-moi, mais je déteste les gauchos et leur révolution permanente dans leur tête. Mon dieu, il y a tellement de choses plus intéressantes a dire et a faire dans ce monde, non? Mais je ne suis pas de droite pour autant, car l'intelligence n'a jamais eu pour moi de couleur politique, raciale ou sociale, sauf pour les politiciens et les journalistes qui en font leur métier. Et puis n'oublions pas de dire que cette intelli-gence dont nous parlons nous a été donnée par la nature et non par les institutions ou notre profession, comme le génie qui ne s'apprend pas, mais s'affirme en nous jour après jour. Il en est de même pour la liberté dont personne n'a le monopole ou l'exclusivité sachant qu'elle est individuelle avant tout et ne peut être enfermée dans une prison intellectuelle telle que l'avait fait la révolution française de 1789. Avec la conviction que les Français d'aujoud'hui n'étaient pas libres, car ils travaillaient tout le temps en étant soumis à un chef qui leur cassait les pieds toute la journée. Ah!Ah!Ah! Mais que connaissaient- ils vraiment de la liberté, sinon ce qu'on leur avait raconté dans les livres quand ils étaient à l'école rép-ublicaine? Ne serait-ce point ici l'occasion d'éveiller leur intelligence endormie depuis des siècles, hum? Par le fait qu'on ne puisse pas enfermer la liberté dans des livres ou dans des concepts intellec-tuels, car celle-ci à toujours été l'empreinte des génies, bref, gargantuesque, démoniaque, direz-vous alors si vous la connaissiez vraiment! Je vous confirme ici, mon cher lecteur, que je n'écris pas pour écrire et que je ne prends pas la liberté pour un dogme, car elle n'est qu'une folie que chacun de nous pourra expérimenter ou bien vivre selon ses talents ou son génie, nécessairement. Comprenez ici que je ne parle pas de succès en politique, dans la chanson ou dans les affaires, mais de quelques chose de bea-ucoup plus grand! En voulant vous parler, bien évidemment, de la liberté sans compromission que j'ap-plique en ce moment avec vous, mon cher lecteur et avec l'ensemble des Français. Bref, le retour à la vraie vérité et la fin de la post-vérité comme nous l'avons analysé dernièrement dans les pages précé-dentes. Sans vous cacher que je me surprends moi-même de vous parler avec une telle audace, si proche du génie. Car je suis plutôt timide en société à  cause de mes origines sociales défavorisées qui avaient malheureusement gâchées tous mes talents ainsi que mon génie, mais que je sens aujourd'hui en voie de rémission. Car il n'a pas pire que la timidité sociale pour gâcher tous nos talents et nos futurs génies en France, mes chers compatriotes.

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Bref, nos futurs grands hommes que la société bourgeoise de notre pays ne veut en aucun cas voir fleur-ir dans nos banlieues par la peur d'être démasquée voir humiliée. Car dans chaque famille, je vous l'ass-ure, il y a toujours un génie. C'est celui qu'on tient à l'écart de peur de l'entendre dire nos 4 vérités et qu' on maintient enfermé dans sa chambre en acceptant seulement sa présence pendant les heures de repas où sa bouche sera occupée à autre chose, Ah!Ah!Ah! Pour ma part, je suis le génie de ma famille, mais que mes proches ne peuvent concevoir du fait que le public n'y adhère pas. Bref, à cause de ce défaut très caractéristique des Français d'avoir de la merde dans les yeux et de ne plus voir les qualités des au-tres, Ah!Ah!Ah Mais bon, c'est ma famille et je peux bien lui pardonner. Je vous assure, mon cher lect-eur, que je n'invente rien, mais dis seulement la vérité sur les choses telles qu'elles sont. Et que les gén-ies ne sont pas ceux que vous croyez, bref, de grands penseurs à la longue et profonde méditation. Non, non, pas du tout, mais tout le contraire. En étant des joueurs en puissance dont la pensée est d'une fulg-urance inouïe, sans calcul préalable, car c'est dans leur ADN d'avoir du génie, comme le chien d'avoir un odorat 1000 fois plus développé que le nôtre. A ce propos, j'ai eu sous les yeux, il y a quelques jou-rs, les statistiques officielles de la FDJ( la française des jeux) sur le comportement des Français en mati-ère de jeu. Dont les résultats m'ont guère étonné, mais plutôt conforté dans mes intuitions naturelles. Où il y avait environ 10% de vrais joueurs, 60% d'avares et 30 % de fauchés! Ce que nous confirmait bien qu'en France, il y avait environ 10 % de génies dans la population, puisque les génies n'étaient que des joueurs en puissance. CQFD. Voyez-vous, mon cher lecteur, il était inutile d'être mathématicien ou de sortir de polytechnique pour faire ce calcul assez simple. Nous prouvant, par ces chiffres très cohére-nts, que nos élites n'étaient pas les génies que nous croyons, mais plutôt de simples opportunistes ou ca-rriéristes. Et que le drame de la France républicaine avait été d'exterminer tous ses génies pour faire de la petite cuisine dans ses salons Elyséens ou dans ses assemblées de poltrons, Ah!Ah!Ah! Mais avec la liberté sans compromission, dont je vous ai parlé précédemment, finies les petites tractations entre les parties corrompues de la société française entre les syndicats de salariés, patronaux, l'Etat se partageant l'argent du peuple, finies les soirées mensonges, sexe et vidéo sur les plateaux télé, mais dire enfin à son adversaire politique : Je t'emmerde et je t'encule! C'est à dire la fin de la post-vérité et du politiquement correct, n'est-ce pas? Par tout ce que je venais de vous dire, il me semblait ouvrir dans la société franç-aise une nouvelle brèche de libertés peut-être une nouvelle philosophie ambiante ou bien l'ouverture d'une nouvelle civilisation pour la France d'aujourd'hui, sachant que la grossièreté faisait partie elle aussi du génie. Comme Mozart qui envoyait à sa petite copine des lettres scatologiques où il lui disait : Je vais te mettre mes doigts dans ton trou du cul et bouffer ton fion! Étrange tout ça, non, pour un ho-mme qui mettait tant de sensibilité et de raffinement dans sa musique?  

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Bref, comme je vous disais précédemment, les génies n'étaient pas ceux que vous croyez, mais souvent d'orduriers personnages dans leur vie privée, Ah!Ah!Ah! Et Beethoven n'y faisait pas exception en allant au bordel après qu'il avait composé un chef-d'oeuvre, comme si le génie le dégoutait en voulant redeve-nir un être humain fait de chair et de sang. De même que Mozart dégouté lui aussi par son génie allait le soir s'enfermer dans les salles de jeux pour oublier sa musique qui lui prenait la tête et lui faisait vivre un véritable enfer. Mon chez lecteur, une chose que vous savez certainement pas, c'est que tous les gén-ies ont toujours été haïs et non adorés et adulés comme le dit la légende. La preuve est simple, voyez comment Mozart a fini, bref, dans une fosse commune! Et je pense qu'il nous faudrait beaucoup de temps pour faire comprendre aux Français qu'ils n'avaient désespérément rien compris au génie et à la liberté, tellement ils étaient bêtes, Ah!Ah!Ah!

Ce matin, en ouvrant ma boite email, j'ai eu la surprise de recevoir 4 messages concernant mon histoire invraisemblable avec les Français. Étrange, non? Auraient-ils entendu et compris toutes mes remarques pertinentes les concernant? Bref, le premier message me disait que je devais absolument cesser d'écrire detestablement sur mes compatriotes au risque à très court terme de devenir l'ennemi public numéro un en France! Bien évidemment, je lui ai répondu que cela ne me gênait aucunement de devenir le number one en France, Ah!Ah!Ah! Le second message me disait qu'il était facile pour moi de me prendre pour un génie sachant que j'étais le seul à le dire sur mon île déserte en prouvant que j'étais un loser! Bien évidemment, je lui au répondu que j'étais un loser comme tous les Français., Ah!Ah!Ah! Le troisième message me disait que j'écrivais des symphonies pour ma propre gloire sachant que personne ne les aim-era et que mes trompettes et mes timbales n'y pourront rien! Bien évidemment, je lui ai répondu que je ne comprenais pas de quoi il voulait parler. Le quattrième message était celui d'une femme qui me di-sait que je devais avoir un sexe énorme pour parler d'une manière si monstrueuse des Français et qu'elle voulait absolument le voir! Bien évidemment, je lui ai répondu que cela dépendait des jours et de ma libido, Ah!Ah!Ah!  Bref, après avoir fini mon courrier, je suis allé faire mon caca que j'ai aussitôt relayé l'information sur ma page facebook, puis je me suis masturbé devant la photo du président de la répub-lique française, Ah!Ah!Ah! Sinon, rien de nouveau sous le soleil et toujours pas en vue la tête de mon futur assassin! Pour parler d'autre chose, hier après-midi, j'avais emporté avec moi ma tablette électro-nique au café pour corriger mes oeuvres littéraires, poétiques et musicales( mais en m'interdiant toujo-urs de faire oeuvre de creation dans ces lieux où il y avait trop de musique et de bruit environnant), j'ai eu l'heureuse surprise de revoir un vieil ami que j'avais perdu de vue depuis longtemps auquel je ne tardais pas à lui parler de mes derniers écrits sur les Français, bref, sur ce peuple qui était devenu au cours de son Histoire, le peuple le plus bête du monde, Ah!Ah!Ah!

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Âgé d'une cinquantaine d'années, mais ne manquant jamais d'intelligence pour parler des choses avec pertinence, j'ai toujours eu du plaisir à discuter avec lui sans que cela se termine en bagarre comme avec le Français de base, qui interrompait souvent mes propos alors forts intelligents en me prouvant par son attitude qu'il était un idiot en puissance, Ah!Ah!Ah! Mais avec lui, je n'ai jamais eu ce type de problème au point que nos discussions pouvaient durer des heures tout en sirotant une bonne bière au comptoir, bien évidemment. Et s'il ne me voyait plus, m'avoua-t-il, c'est parce qu'il avait eu de gros problèmes de santé et ne sortait plus comme avant et qu'il allait bientôt se faire opérer du foie. Je savais bien par nos anciennes discussions qu'il avait un passé alcoolique, mais je n'osais pas lui en parler de peur d'être trop indiscret sur sa vie privée. Car je ne voulais pas démolir une amitié qui semblait tenir encore debout par je ne savais quel miracle et le regretter par une maladresse de ma part. Mon ami avait travaillé toute sa vie dans le commerce et plus précisément comme représentant en lunetterie et me parlait souvent d'Ala-in Affelou comme une grosse crapule au niveau commercial en sachant de quoi il parlait, je pense. Bref, il faisant des milliers de kilomètres par an en voiture pour exercer son métier où je devinais que sa vie privée devait en prendre un bon coup sur la gueule, comme on dit. Mais négligeait jamais d' inviter au restaurant ses clients pour leur faire signer des contrats juteux après un bon gueuleton et dans un état alcoolique avancé que vous pourriez imaginer sans problème, mon cher lecteur. Bref, à la longue il était devenu alcoolique au point qu'on lui avait retiré son permis de conduire et vite mis au rancart, bref, dans une voie de garage comme on dit aujourd'hui pour les seniors. Pour en revenir à notre histoire, je lui fis lire sur ma tablette électronique ma fabuleuse histoire avec les Français. Et étonnamment, tout en sirotant sa bière, je vis ses grands yeux s'ouvrir tels de grands astres et se remplir, non pas de fâcheries à mon égard, mais d'une admiration sans bornes pour ce que j'avais écrit le plus sincèrement du monde sur mes compatriotes! Vu la mine réjouie qu'il exprimait sur son visage, je compris vite que j' avais ta-pé dans le mille et apparemment il n'y était pas insensible. Après un bon quart d'heure de lecture dans un état quasi mystique, comme s'il venait de lire la bible du nouveau monde, il tourna trois fois sa langue dans sa bouche et me dit : Patrick, tout compte fait, je crois bien que ton histoire, qui est de dire des méchancetés sur les Français, est une excellente idée même je dirai géniale! Non pour ce que tu pourrais croire, mais bien parce qu'elle pourrait bien nous rapporter pas mal de pognon! Aussitôt, je fus abas-ourdi par ses conclusions, car je ne comptais pas faire de la petite quincaillerie avec les Français, mais bien les reformer en profondeur!

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Quelque peu éffondré, je lui demandai bien évidemment la raison. Voici sa réponse: Patrick, je te cons- eillerais de garder ce style inclassable pour parler des Français, il est vrai, aux antipodes de l'académis-me où une bonne soixantaine de pages suffiront largement. Mais pourquoi une soixantaine de pages? lui demandai-je curieux. Hé ben, parce que je pense que tu es dans la lignée des grands auteurs comme Machiavel, mais en plus moderne, forcément. Afin de répondre à la demande des touristes du monde entier qui seront heureux d'avoir un petit livre ou un mode d'emploi pratique pour visiter la France et toutes ses andouilles qui la peuplent, Ah!Ah!Ah! Je ne vous cacherai pas, mon cher lecteur, que je m' effondrais une seconde fois sur ma chaise devant de tels propos! Il est vrai, fort intéressés, mais si pau-vre pour moi philosophiquement. Puis continuant son discourt, il me dit : Il est évident que nous le feri-ons imprimer à l'étranger vu qu' aucune maison d'edition française n'accepterait de recevoir des coups de fouets pour le plaisir, Ah!Ah!Ah! C'est évident! je lui répondis en sirotant ma bière qui avait perdu un peu de sa mousse. Mais après une 3 ème bière, qui m'avait rendu un peu euphorique et fait perdre un peu la boule, je lui donnais raison en lui demandant quel titre il souhaitait mettre sur ce petit livre pra-tique pour les touristes du monde entier. Sans hésitation, il me dit : Le peuple le plus bête du monde! Et puis après une courte réflexion, je trouvais ce titre bien choisi, car sans équivoque ou ambiguïté sur son contenu, n'est-ce pas? Puis sachant qu'il savait bien parler l'anglais, il me dit qu'on le ferait imprimer en Angleterre en profitant du Brexit où les Anglais se feront un plaisir de passer les grenouilles à la poêle, Ah!Ah!Ah! De passer les grenouilles à la poêle? l'interrompai-je en ne comprenant pas ce qu'il voulait dire. Heu..je voulais dire les frogs comme les Anglais aiment appeler les Français, bref, les bouffeurs de grenouilles ou de crapauds, ce qui revient au même, n'est-ce pas? Ah oui, vu sous cet angle, je suis ent-ièrement d'accord avec toi sans oublier de te mentionner qu'ils sont aussi de grands bouffeurs d'ail et d'oignon afin d'effrayer leurs interlocuteurs pour avoir toujours raison, Ah!Ah!Ah! Ce qui nous fit rire durant plusieurs minutes, mon cher lecteur. Decidement, mon ami et malgré sa mise au rebut par la so-ciété républicaine dont la morale était devenue un dogme grotesque, avait gardé son sens commercial et ne s'en privait pas de l'exercer en privé, faute de mieux. Puis nous nous séparâmes (comme toujours en bon termes) où je lui souhaitais de prendre bien soin de sa santé, car intellectuellement il me semblait en pleine forme, ne trouvez-vous pas? Sur le chemin du retour, je pensais à tout ce qu'on s'était dit en trouvant mon ami fort audacieux de transformer mon enquête criminelle en un guide touristique qui, il est vrai, ne manquait pas de charme vu l'entreprise qu'il allait me demander. Mais étrangement, j'avais la drôle impression de me retrouver dans un épisode de James Bond, bref, en petite chemise tahitienne, short moulant et espadrilles aux pieds!

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Quelque peu chamboulé par cette rencontre( que je n'avais pas prévue) qui me faisait revoir la philosop-hie de mon ouvrage et surtout l'enquête pour découvrir mon futur assassin, je m'interrogeais sur cette étrange façon de voir les choses qu'avait eu mon ami du point de vu touristique, bref, comme une chose déjà emballée et prête à être expédiée au bout du monde. Certes, un plaisir pour le touriste qui ne se po-sait plus de questions sur son hébergement, sa nourriture, ses sorties etc, mais qui représentait pour moi une philosophie d'idiot en pratiquant sans le savoir, le sport des imbéciles qui était le tourisme. Et d'apr-ès les statistiques officielles, c'était l'occupation favorite des Français, bref, celle des idiots en puissance comme nous le savions tous, Ah!Ah!Ah! En parlant de l'idiotie constitutionnelle de mes compatriotes, un jour à la télé, j'ai entendu une aberration sortir de la bouche d'un de ces pâlots républicains qui disait que sa liberté se terminait là où celle des autres commençait! Bref, je n'en croyais pas mes oreilles qu'on puisse dire une telle ineptie manquant totalement de bon sens et même je dirai de logique. Car personne-llement, j'ai toujours pensé que ma liberté commençait là où celle des autres se terminait et non l'inve-rse, n'est-ce pas? N'êtes vous pas d'accord avec moi, mon cher lecteur? Et pour avoir été bon en mathé-matique et en logique à l'école, mais mauvais en français( c'est le prix à payer), tout cela me semblait tout à fait logique, n'est-ce pas? En fait, je crois que si le Français d'aujourd'hui était devenu un sombre idiot, c'est parce que les institutions républicaines lui avaient retourné le cerveau et qu'il marchait déso-rmais sur la tête, Ah!Ah!Ah! Et pour lui faire retrouver ses esprits, je pense qu'il faudrait qu'on le pende par les pieds pendant 10 minutes au minimum par jour, bien évidemment! Bref, ayant le goût pour les mathématiques, j'ai fait un petit calcul afin de savoir quel était le degré de liberté que le Français s'au-torisait pour vivre en paix avec ses concitoyens. Bref, sachant que nous étions 66 millions d'habitants en France, pour simplifier le problème, j'ai établi un rapport de 1/66 pour illustrer leur quotient ou marge de liberté( en partant de leur principe idiot où ils affirmaient que leur liberté se terminait là où celle des autres commençait!). 1/66 représentait environ un taux de 1,5% de manoeuvre de libertés que le Fran-çais s'autorisait pour vivre en paix avec ses concitoyens, ce qui entre nous était très faible, n'est-ce pas? Ce qui représentait ni plus ni moins, d'après les scientifiques, le minimum pour faire fonctionner son cerveau pour régler ses besoins alimentaires, répondre par un oui ou par un non à son interlocuteur ou bien dire bonjour à son voisin quand on le croisait dans la rue! Voilà où en était arrivé le Français, bref, à une larve que la constitution républicaine avait réduit l'existence! Croyez moi, mon cher lecteur, ce que j'affirmais ici était simplement la vérité sur mes compatriotes et non une distribution gratuite de claques sur leurs têtes de cons, Ah!Ah!Ah!

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Afin qu'ils retrouvent leur belle intelligence française et leur faire abandonner au plus vite leur idiote constitution républicaine véhiculée désormais par les agents de propagande que sont les médias corrom-pus par l'argent et la gloriole. Cette marge de liberté, très faible, au taux de 1,5% qu'ils s' autorisaient pour ne pas nuire à leurs concitoyens, représentait en fait l'espace de liberté qu'on retrouvait dans les troupeaux de chèvres ou de moutons. Tout ceci datait bien évidemment de la révolution française où le peuple français s'était constitué prisonnier par ses élites et non par les plus fameuses, bref, en troupeau d'imbéciles! Mais bon, nous n'allons pas refaire l'Histoire ici, mon cher lecteur. Tout en donnant ici aux historiens une nouvelle façon d'appréhender l'Histoire de France et surtout une façon de comprendre la décadence de la France depuis la révolution française en espèrant bien qu'ils s'en saisiront pour dévoiler enfin la vérité aux Français. En regardant ce chiffre éffrayant de 1,5 % de liberté, je me demandais si le cerveau des Français n'était pas devenu fainéant au cours de son Histoire? Oui, je sais une grave ques-tion, quand on sait qu'en chaque Français sommeil un fonctionnaire et un cochon, l'un ne va pas sans l'autre, bien évidemment, Ah!Ah!Ah! Mais une question cruciale pour l'avenir de la France que je distin-gue bien de la république. Car celle-ci n'est pas la propriétaire de la France ni des Français, mais qu'un système politique pour la gérer tel un système d'exploitation qu'on retrouve dans les ordinateurs. Mais vu l'incompétence de nos hommes politiques( dont le logiciel était obsolète parce qu'ils avaient refusé toute mise à jour pour sauvegarder leurs privilèges et leur liberté hors norme), on pourrait demander par exemple à Microsoft ou à Google de créer un logiciel afin de l'installer à la tête de l'Etat français pour palier à tout cela, n'est-ce pas? Tout ceci ressemblait apparemment à une boutade ou à une grosse plaisanterie, bien évidemment. Mais il me semblait bien que ce soit cela que les américains étaient en train d'installer en France, bref, un énorme distributeur de coca-cola et d'hamburgers ou si vous voulez un fast food culturel! Pour ma part, afin de rester dans des proportions raisonnables et naturelles, je pense qu'on devrait garder des gens en chair et en os pour gérer les affaires humaines et non des puces électroniques programmées par des étrangers. Bref, par des gens plutôt intelligents et non les idiots for-més par l'école de la république pour nous gouverner. Mon cher visiteur, si vous vous sentez Français jusqu'à l'os et que vous aimez vous faire flageller, restez en ma compagnie car la suite vous fera pou-sser des cris de jouissance, Ah!Ah!Ah!

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Et c'est que nous permet la littérature, bref, de nous dire des choses impossibles en temps normal( qui je vous assure ne sont pas des inventions de ma part), mais des choses qui existent réellement en nous et autour de nous. Où dans ces pages anodines, je vous révèle ma véritable nature qui n'est pas celle d'un monstre, mais plutôt d'un homme intelligent qui ne se retrouve plus dans cette France désormais asepti- sée par la république, qui nous a tant éloigné de notre chère nature. Car il s'agit bien pour nous Français de retrouver notre belle intelligence et de retrouver notre véritable nature et non pas de nous battre à co-up de pognon et de concepts intellectuels, telles sont les luttes de pouvoir aujourd'hui. Il est vrai que c' est un combat écologique que je vous propose là et non écologiste, car l'écologie d'aujourd'hui n' est qu'une école d'imbéciles pour accéder au pouvoir et non pour redonner le bonheur aux Français. En fait, mon combat n'est pas un combat politique, mais simple comme bonjour, car naturel afin de remett-re les animaux à leur place. C'est à dire les cochons dans leur porcherie, les chèvres et les moutons dans leurs étables, les vaches dans les champs pour égayer nos campagnes et le paysan à la tête de son expl-oitation. Bref, de se débarrasser enfin des imposteurs qui mangent votre avoine et le fruit de votre trav-ail sans se gêner, Ah!Ah!Ah! Et comme me disait souvent ma mère, ce n'est pas celui qui fait l'avoine qui la mange! En parlant bien évidemment des hommes politiques corrompus désormais par les institut-ions républicaines. Pourtant dans ces champs de culture, qui nourrissent tous les Français, s'y trouvent des épouvantails, mais qui n'effrayent plus nos prédateurs de richesses. Car au cours des siècles, ils se sont fabriqués des habits de camouflages ou si vous voulez des habits intellectuels. Mon ami, une ques-tion indiscrète, ne vous sentiez vous pas spolié dans votre vie de tous les jours, quand on sait que le sys-tème républicain vous volait 98% de votre liberté ainsi que votre argent? Tenez, pour illustrer ceci, hier je suis allé au monoprix faire mes courses où j'ai dû débourser 1 euro pour me payer une gousse d'ail! Sincèrement, si ce n'est pas du vol organisé, dites-moi ce que c'est alors? Sans parler de la queue que j'ai dûe faire pour m'acquitter de la somme, bref, donner mon argent à l'Etat et à une bande de fainéants, Ah!Ah!Ah! Voyez-vous, mon cher lecteur, dans ce petit exemple pris dans la vie courante tout est expli-citement dit, bref, qu'on vous volait votre argent sans votre autorisation et qu'on vous imposait de faire la queue pour payer votre dû à la nation ou si vous voulez votre dette historique que vous aviez faite au cours de la révolution française, Ah!Ah!Ah!

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C'est cher payé, ne trouvez-vous pas, mon pauvre compatriote? Sans nier que le système social français soit des plus redistributifs( ce que je nierais pas en disant seulement la vérité dans mes écrits en inventa-nt rien d'extravagant sur la république). Mais bon, vivre avec un taux de 1,5% de liberté et 85% d' impô-ts était-ce digne d'être vécue? C'était la question que je me posais souvent quand je voyais quotididie-ment les Français tourner en rond avec leurs trousseaux de clés, non pas autour de leurs habitations, mais de leur prison institutionnelle, Ah!Ah!Ah! Bref, les Français étaient devenus tellement bêtes qu'ils s'enfermaient eux-mêmes dans leur prison et n'en sortaient pratiquement jamais tellement ils avaient peur de la vraie liberté. Où bien évidemment, le surveillant général s'appelait l'Etat et veillait au grain ou si vous voulez au financement de ses élites qui vivaient bien évidemment hors de la prison, Ah!Ah!Ah! Si au moins les Français vivaient dans une prison dorée, je pourrais leur donner raison, mais ce n' était pas le cas, car ils payaient chèrement leur nourriture, leur loyer etc, bref, leur séjour en prison, Ah!Ah!Ah! Et comme je l'ai dit, il était inutile d'être mathématicien ou de sortir de polytechnique pour voir la vérité, qui était sous nos yeux, mais que les Français ne voulaient pas voir tellement ils avaient de le merde dans les yeux! En fait, pour voir la vérité, il suffisait uniquement d'écouter nos sens et surtout pas notre intellect ou sa raison, mais laissez ses oreilles écouter ce qu'elles entendaient et laissez nos yeux voir les choses telles qu'elles se présentaient dans leur forme et dans leur couleur et renifler avec son nez les odeurs particulières que dégageaint les choses, les objets et les idées qu'elles exprimaient sans aucun filtre. En fait, le génie, ce n'était que cela et non la méditation profonde sur les objets et les idées. En résumé, le sage n'était pas un génie, mais un homme qui avait clos son univers et s'en trouvait très heureux parce qu'il avait volontairement tue tous ses sens en ne vivant plus que sur la mémoire de ses expériences, souvent désastreuses pour lui. Bref, on pourrait écrire des tonnes de livres sur la sagesse ou sur la méthode pour devenir heureux et le rester, malgré les tempêtes qui se passaient en nous et autour de nous. Mais ce serait comme reécrire les recettes de cuisine qui avaient fait leur usage dans le temps tel qu'un bon boeuf bourguignon auquel personne n'aurait rien à redire, bien évidemment. Mais bon, rester enfermer toute sa vie dans cette cuisine universelle à se concocter de bons petits plats ne m'a jam-ais intéressé. Car j'aimais trop la vie et les émotions qu'elle pouvait encore nous procurer pour décou-vrir l'extase de nos sens et non de retrouver à chaque fois le même goût des choses. Tout en concevant que les habitudes avaient une force incroyable sur notre existence et quelque chose de rassurant pour nous tous, n'est-ce pas, comme de voir tous les matins le soleil se lever dans le ciel? Et si un jour, on ne le voyait plus se lever, on commençerait à se poser de sérieuses questions voires dramatiques. Mais bon, pour l'instant, il se levait tous les matins à l'horizon et comme diraient les américains, il faisait admira-blement son job, Ah!Ah!Ah!

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Tout ceci n'étant bien sûr qu'une vision très Tailoriste qu'ont les américains de voir la Nature qui n' était pas la vérité, mais qu'un façon de voir les choses d'une manière matérialiste. Comme de voir Dieu en chef d'entreprise qui faisait des dollars et ne s'en portait que mieux, Ah!Ah!Ah! Bref, que Dieu bénisse le dollar! telle était la devise ou la religion d'Etat de l'Amérique. En parlant du capitalisme qui était dans l' ADN de la république, il me semblait que mon histoire invraisemblable se vérifiait par l'élection récente de Donald Trump aux USA, qui ne l'oublions pas était un républicain! Bref, avais-je senti avant les autr-es, avant mes idiots compatriotes qui avaient de la merde dans les yeux et dans le nez, que le système ré-publicain était en voie de dégénérescence mentale en entendant parler ce bouffon de Donald Trump à la télé? Bref, que la république soit devenue le grand bouffon de notre siècle par la caricature grotesque de ce personnage qui débitait une connerie à chaque fois qu'il ouvrait la bouche? Apparemment, le système républicain était atteint d'une grave maladie qu'on appelait la démence intellectuelle provoquée par l'ar-gent appliqué à l'idiotie, Ah!Ah!Ah! Bref, par le mélange des contraires, de l'artificiel et du naturel qui fabriquait à grande échelle des idiots tels qu'on les voyait en surnombre aux États-Unis où il me sembl-ait bien que Donald Trump en soit l'héritier direct. Et puis regardez comment il a fait fortune, bref, dans la rente immobilière. Cela ne nous prouve-t-il pas qu'il n'avait pris aucun risque dans sa vie, mais géré des biens immobiliés, comme nos hommes politiques qui gèraient leur place dans les institutions répub-licaines, telle une manne pouvant les enrichir personnellement. Cette comparaison me semblait tout à fait juste et qu'on pouvait leur appliquer sans dire de mensonges. Ent fait, il me semblait faire ici, en toute modestie, la preuve par 9 de ce que j'avais annoncé, n'est-ce pas? Sans oublier de dire, à mon cher lecteur, que dans le royaume des aveugles tout le monde était roi parce que personne ne voulait voir la vérité en face, ce qui arrangeait bien les Français, Ah!Ah!Ah! Mais dire aussi que le monde avait perdu son âme et son intelligence parce que aveuglé par l'argent et la raison. Et je pense qu'il serait temps pour nous d'inventer une nouvelle civilisation afin que la civilisation française ne soit pas détruite par nos élites intellectuelles, politiques et médiatiques atteintes d'une grave dégénérescence mentale! En étant entièrement d'accord avec le président de la Corée du nord qui avait dit devant toutes les caméras du monde que Donald Trump était un fou, Ah!Ah!Ah!

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Bref, comme tous les républicains qui avaient été trop gâtés par l'argent des institutions, les honneurs et tout le cinéma qui va avec, etc. Où il fut logique que leur esprit se gâta telle une vieille tarte à la crème où il y avait trop de crème, bien trop de crème, Ah!Ah!Ah! A la longue, la France par ses institutions égalitaires et très centralisées était devenue un pays communiste, mais que nous ne voulions pas voir la réalité( par la confiscation de 98% de notre liberté et 85 %de notre argent). Et pour cela, j'ai souvent donné raison aux Cégétistes, non pas idéologiquement, mais seulement par la logique de leur raisonne-ment. Bref, puisqu'en France on nous volait tout, il serait logique que tout soit gratuit, n'est-ce pas? N'êtiez-vous pas de mon avis, mon cher lecteur? Et si je vous parlais avec une grande liberté, c'était bien évidemment pour déculpabiliser tous nos chômeurs professionnels ou assistés en tout genre que nous avions en France. Avec le sentiment qu'ils avaient compris avant tout le monde ce qu'était devenue la France, bref, un pays de voleurs, Ah!Ah!Ah! Et que le seul moyen qu'ils avaient trouvé pour échapper au vol institutionnel était de devenir eux aussi des assistés, comme nos fonctionnaires d'Etat, Ah!Ah!Ah! Ceci n'étant bien sur qu'une théorie de ma part, mais qui ne manquera pas d'éveiller en vous le peu d'intelligence qu'il vous restait vu ses fondements très réalistes, n'est-ce pas? Et pour aller plus loin dans notre pensée, il devenait évident que ce taux endémique de 10 % de chômeurs que notre société française supportait depuis des décennies sans s'effrayer n'était pas le fruit du hasard ou de la crise éco-nomique, mais représentaient les 10% de génies que comportait notre pays, Ah!Ah!Ah! Dont le chiffre remarquable des 10%, nous était très envié par les autres pays tels que l'Allemagne, l'Angleterre, les USA où le taux de chômage était moindre en nous signifiant que la France était un pays où il y avait le plus de génies, AhAh!Ah! Bref, un pays où 10 % de génies étaient entourés par 90 % d'imbéciles pour être exact. Ce qui nous prouvait une fois de plus que les génies ne savaient pas s'adapter à la médiocrité de leur époque en étant obligés d'inventer des stratagèmes pour ne pas travailler où la société capitaliste était devenue une société d'esclavagistes! Un jour, un ami m'a dit en se tournant subitement vers moi : Mais Patrick, pourquoi aimes-tu tant te faire destester? Moi, surpris par sa question très impudique à mon égard, je lui dis : Mais pourquoi veux-tu me détester? Aussitôt un grand silence apparut entre nous, comme une sorte de malentendu mise au jour par son indiscretion sur notre soi-disant amitié. Bref, une incompréhension totale entre deux vieux amis qui s'appréciaient sans trop savoir pourquoi. Mais ainsi était ma nature où l'amour et la haine étaient indissociables, Ah!Ah!Ah!

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Mais je veux rassurer, mon cher lecteur, que ce ne fut point ce gros malentendu qui brisa notre amitié, mais tout au contraire, lorsqu'un jour nous nous comprimes entièrement et que nous n'avions plus rien à nous raconter, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais, un grand paradoxe, mais qui accompagnait souvent notre existe-nce en nous faisant parfois lier d'amitié avec les pires d'entre nous. Mais n'était-ce pas le point fort de la jeunesse qui expérimentait ses limites jusqu'à l'insoutenable? Le but ultime étant bien évidemment d'être touché par la grâce et de mourir le coeur léger et sans regrets, bref, d'avoir vécu d'une façon rapide et héroïque. Où vivre vieux devenait aussitôt la preuve que vous aviez été un froussard toute votre vie ou un lâche pour dire clairement les choses. Bref, un gestionnaire qui tenait des comptes sur ses pertes et profits en ayant constamment à coté de lui le numéro de telephone de son médecin en cas de crise car-diaque ou d'étouffement lié à l'angoisse de vivre comme un mort-vivant, Ah!Ah!Ah! Bref, moi qui n' étais plus tout à fait jeune ni encore vieux pour me faire traiter de lâche et de froussard, j'avais quelques souvenances sur ces temps bénis de la jeunesse où l'on se jurait amitié jusqu'à la mort! Apparemment dess propos vieux jeux avec lesquels je ne voulais pas plaisanter en essayant pas de vous raconter une histoire de cap et d'épée datant du 18 ème siècle! Mais une histoire d'aujourd'hui dont j'étais souvent le témoin dans mon café habituel où de jeunes gens semblaient prêts à tout pour une histoire d'amitié! Moi, assis aux premières loges, où le comptoir m'offrait un merveilleux promontoire pour exercer mon sens de l'observation sans aucune arrière pensée, j'assistais souvent à ces scènes émouvantes où, après qu'on ait trop bu, on s'embrassait à la Russe ou bien on se prenait dans les bras ou pour certains sur la bouche comme des filles! Très impressionné par de tels débordements ou effusions de sentiments de part et d'au-tre, qui ne manquaient pas de sincérité, je riais tout seul dans mon coin en regrettant amèrement mes amitiés disparues, bref, ma jeunesse! Comprenez, mon cher lecteur, vu mon âge qu' il m'était impossible de m'incruster dans leur amitiés naissantes sans me sentir honteux, car j'aurais été comme une tâche dans ce tableau dédié à la jeunesse. Étrangement, ces scènes très émouvantes, auxquelles j'assistais régulière-ment dans mon café habituel, ne provoquèrent jamais chez moi un sentiment de jalousie ou de désespoir, au point de me saouler la gueule tout seul au comptoir du bar, car j'avais une nature lucide et combative. Et si parfois je me plaignis, ce ne fut jamais en de tristes larmoiements, mais d'une manière sublime, comme vous l'avez sûrement remarqué, mon cher lecteur.

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Et plus précisément parce que je savais que l'amitié ne durait qu'un temps, le temps de la jeunesse où les femmes dans ce triangle infernal allaient jouer de toute leur ruse pour briser ce lien sacré qui pouvait unir deux jeunes hommes qu'on appelait l'amitié. Sous entendu qu'elles étaient sur la terre pour inspirer l'amour et le désir chez l'homme et non l'amitié qui à vrai dire la répugnait en y voyant comme une relat-ion homosexuelle entre deux hommes, alors que ce n'était pas le cas. Mais bon, leur instinct de femme leur dictait qu'il fallait transformer un héros de l'iliade en bon père de famille, Ah!Ah!Ah! Bref, une visi-on qui n'échappa pas à mon sens de l'observation posté au comptoir du bar de l'établissement. En vous rappelant que cette amitié ne durait que le temps de la jeunesse et de l'insouciance pour chaque générati-on d'hommes et non de femmes, car l'amitié entre femmes n'existait pas contrairement à ce qu'elles raco-ntaient dans les magazines féminins, Ah!Ah!Ah! Mais il me semblait utile de faire ici un petit point d'ar-rêt sur l'exploitation politique et militaire de cette amitié entre jeunes gens que nos nations se sont souv-ent peu embarrassées d'envoyer au casse-pipe ou si vous voulez, à la guerre! C'est ce sentiment très fort que j'ai eu un jour en regardant une émission à la télé sur la guerre de 14-18 où de jeunes hommes partaient à la guerre, non pour défendre leur pays, mais seulement pour se retrouver entre potes! Et si je vous racontais cette horrible histoire concernant la jeunesse, c'est parce que celle-ci se passait encore de nos jours en 2017 où notre jeunesse était envoyée quotidiennement au casse-pipe par nos hommes poli-tiques. Afin de participer contre leur volonté à la guerre économique, alors que nos vieux singes restaie-nt bien au chaud à l'arrière en remplissant leur coffre d'or! C'est pour cette raison que les hommes pol-itiques n'avaient pas d'amis, car synonyme de futures trahisons, n'est-ce pas? Et comme l'avait très bien senti mon ami commercial( qui avait été mis au rebut par la république des moeurs pour alcoolisme), ce livre pratique, je le destinais désormais aux touristes étrangers voulant visiter un pays d' imbéciles qu'on appelle la France, Ah!Ah!Ah! En suivant les pas du Prince de Machiavel où la fin justifiait les moyens, ne nous le cachons pas. C'est, on peut le dire, un peu la méthode Coué employée par nos hommes poli-tiques français, non pour résoudre les problèmes des Français, mais pour rester en place et garder le pou-voir, Ah!h!Ah! Et ce que je trouvais formidable dans cette proposition fort simple, où la fin justifiait les moyens, c'était sa très grande facilité à mettre en oeuvre dans notre vie personnelle ou sociale, en étant pas une chose intellectuelle, mais pragmatique afin d'arriver à ses fins sans se prendre la tête. Ce que les hommes politiques abusaient quotidiennement en faisant croire aux Français qu'ils étaient indispensa-bles à l'ordre, à la paix sociale et à la prospérité économique, alors que ce n'était pas la vérité. Car si nous vivions en paix, c'est parce que nous le voulions tous et non la volonté de quelques hommes po-litiques aux visions mégalomaniaques, n'est-ce pas?

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Car vouloir résoudre tous les problèmes en utilisant le principe où la fin justifiait les moyens, c'était vouloir résoudre un problème mathématique en connaissant le résultat, mais sans savoir comment y parvenir. En fait, c'était résoudre une équation à deux inconnues avec une seule équation, ce qui pour un bon mathématicien n'était pas possible. Mais à force de persévérance et d'imagination on y arrivait bien. Comme par exemple résoudre l'équation A + B =8 avec une seule équation où le chiffre 8 est le résultat souhaité avec, bien évidemment, toute la liberté de donner aux chiffres A et B les valeurs qu'on désirait du moment que leur somme fasse 8. Il est fort possible, mon cher lecteur, que je vous donne ici la meil-leur définition de la liberté que nos plus grands philosophes français n'ont jamais pu donner tellement ils étaient empêtrés dans leurs concepts intellectuels, tel que Jean-Paul Sartre, par exemple et bien d'autres qui se sont toujours trompés sur la notion de liberté. Et qu'en choisissant pour A et B des valeurs aussi bien entières que décimales, les combinaisons devenaient alors infinies, ce qui par définition s'appelait la liberté, n'est-ce pas? Et je veux vous assurer, mon cher lecteur, que je n'étais pas sorti de mon sujet ini-tial où la fin justifiait les moyens, mais que j'élargissais le terrain sur le domaine des idées, la littérature et l'économie, etc. Bref, par cette équation mathématique fort simple qui représentait en vérité une ba-lance où un poids identique devait être déposé sur les deux plateaux afin que celle-ci soit en équilibre, nécessaiement. Où il serait érroné d'y voir une question de justice ou de morale, car mettez sur un pla-teau 1 kilo de merde et sur l'autre 1 kilo d'or, je peux vous assurer que la balance sera bien équilibre, Ah!Ah!Ah! Mais ô combien cet équilibre sera trompeur en établissant un faux équilibre où il y aura forcém-ent un lésé dans l'affaire, tel que le Français dans son pays où l'égalité n'était qu' un trompe l'oeil ou une façade pour montrer une belle image de la France au monde entier, Ah!Ah!Ah! Bref, ce qu'il y avait de formidable avec ce principe, où la fin justifiait les moyens, c'était l'exclusion de toute morale pour par-venir au résultat escompté. Et que mathématiquement, on pouvait le démontrer par la formule /-8/ = /+8/ où la valeur absolue de -8 est égale à + 8, ce qui est vrai. Parce que la valeur absolue ne représentait plus une valeur numérique quelconque, mais une distance parcourue aussi bien dans le sens positif que négatif, bref, une distance parcourue aussi bien vers le bien que vers le mal, Ah!Ah!Ah! Toujours sur le même sujet, mon cher lecteur, imaginez-vous dans un cauchemar où Dieu vous demanderait d'exterm-iner la moitié de l'humanité pour sauver l'autre moitié, sinon il exterminerait l'ensemble! Je sais bien que je vous mettais ici dans une sale situation, n'est-ce pas? Mais sachant que je devinais en vous un homme intelligent, je pense que vous accepteriez sans hésiter ce marché apparemment monstrueux, mais ind-ispensable pour la survie de l'humanité, n'est-ce pas?

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Bref, on voyait dans cet exemple très simple qu'il fallait toujours se méfier de la morale qui pouvait alo-rs nous entraîner vers le chaos. Alors que l'utilisation dans sa vie du principe où la fin justifiait les moy-ens, on pouvait parvenir à être heureux avec peu d'efforts, ce qui arrangeait bien les gens en général, n' est-ce pas? Ainsi voyons nous pour l'homme ambitieux que la formule A + B = 8 était peu satisfaisante, mais plutôt A+B =1000000 beaucoup plus intéressante, Ah!Ah!Ah! Bref, un procédé adaptable à tous selon ses capacités ou ses ambitions pour parvenir à ses fins en utilisant le bien comme le mal, sachant que la morale était exclue pour rendre le procédé éfficace. Comme par exemple, saboter les installations de la SNCF pour creer des pannes monumentales afin d'obtenir des subventions suplementaires de l'Etat, Ah!Ah!Ah! Ce qui me semblait fort probable aujourd'hui où je constatais dans nos actualités télévisées ces étranges phénomènes se multiplier, n'est-ce pas? Mais sans vouloir polémiquer, je pense que le mei-lleur exemple pour illustrer, la fin justifiant les moyens, serait celui de la femme qui voulait absolument avoir un enfant et quels en soient les moyens, bien évidemment. A ce propos, j'ai une délicieuse anecdote à vous raconter sur le sujet datant de mes anciennes amities, où un jour un de mes amis me racontait, à la table d'un café, qu'il avait été abordé par une femme qui voulait absolument avoir un enfant de lui! Sans vous cacher que mon copain était plutôt beau gosse et que je pouvais comprendre le choix de la jeune femme. Continuant son récit peu commun, il me dit : Bref, me trouvant devant cette proposition halluci-nante de sa part, je ne pus m'empêcher bien évidemment d'éclater de rire; ce qui mit la jeune femme tres mal à l'aise au point de me faire une horrible grimace. Mais comme elle était plutôt mignonne, je repris mon sérieux et la regardant dans les yeux, je lui demandai où et quand elle voulait faire l'amour? Bizarr-ement, la jeune femme pour une raison qui m'échappait complètement éclata de rire en me disant qu'il était hors de question que je lui fasse l'amour! Mais alors comment va-t-on s'y prendre? lui demandai-je avec des yeux éberlués. Aussitôt, elle sortit de son sac à main un petit flacon qu'elle posa sur la table en me disant : Ce soir, tu te branleras et tu mettras ton sperme à l'intérieur que tu congeleras aussitôt dans ton frigo! Et demain, tu me l'apporteras dans ce même lieu. A dix heures, demain matin, c'est ok? me lança-t-elle comme si mère Nature me l'ordonnait tel un général. Moi impressionné par sa volonté hors du commun, je lui dis que j'étais d'accord et que demain elle aura ma semence en quantité suffisante pour faire une chose que j'avais du mal à comprendre. Puis elle ajouta, comme pour m'enlever les mots de la bouche: Quant au reste, c'est mon affaire! Bref, je compris aussitôt qu'elle voulait s'inséminer tout seule avec mon sperme pour faire un enfant, bref, sans faire l'amour!

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Le soir même, je faisais ce qu'elle m'avait ordonné, comme si mère Nature l'avait exigé pour le bien de l'humanité( je t'épargne les détails) en me posant d'étranges questions sur mon acte. Car qu'allait-elle fai-re avec mon sperme, sinon une expérience à la Frankenstein? je me demandai en toute lucidité en déposa-nt le flacon dans mon congèlo. Puis après un rapide examen de conscience, vu mon jeune âge de 25 ans, je trouvais cette expérience bonne à faire tant que le résultat serait positif. Et que le projet de cette jeune femme me paraissait solide vu la volonté qu'elle m'avait exprimé pour que je lui fasse entièrement conf-iance et partis me coucher, comme d'habitude, en toute tranquillité. Le lendemain matin, j'allais à mon rendez-vous en ayant dans la poche de mon veston tout mon patrimoine génétique contenu dans un petit flacon que je trouvais fort pratique d'emporter là ou je voulais et le donner à n'importe quelle jolie fille qui passait dans les parages, Ah!Ah!Ah! Bref, une liberté immense que la Nature avait donné seulement aux hommes et non aux femmes qui, malheureusement, n'avaient pas les moyens d'expulser leurs ovules à la force du poignet, comme nous les hommes, Ah!Ah!Ah! Mais bon à quoi pouvait leur servir de trans-porter leurs ovules dans leur poche, alors que leur utérus était le lieu d'enfantement par excellence qu'on ne pouvait pas transporter sinon qu'avec la personne toute entière? En trouvant la nature pleine de bon sens où le seul cas pouvant justifier le transport d'ovules à l'extérieur fut le cas de la fin du monde où l' on perpétuerait l'espèce humaine dans un autre ventre et pourquoi pas sur une autre planète, qui sait? En entrant dans le café, je l'aperçus assise au comptoir du bar(où il n'y avait pas grand monde) et semblait très impatiente de recevoir ma semence, non pas entre ses cuisses, mais dans un petit flacon, Ah!Ah!Ah! Après un rapide signe de reconnaissance envoyé à la façon d'un cow boy entrant dans un saloon, je lui lançai le petit flacon en le faisant glisser sur le comptoir qu'aussitôt elle saisit en le mettant en toute dis-crétion dans son sac à main. Puis me rapprochant d'elle, elle me lança un grand sourire pour avoir obtenu de moi ce qu'elle avait désiré sans que je la culbute comme une grosse vache, Ah!Ah!Ah! Mais bon, app-aremment, j'avais affaire ici à une femme qui n'était pas comme les autres, disons un peu spéciale, pour vous dire la vérité. Puis sans prévenir, elle lança 1 euros 50 sur le comptoir en me disant : Voilà pour te dédommager, je te paye ton café! Ce que je pris bien évidemment comme un peu léger pour mes efforts liés à mon seul poignet. Mais tout en me consolant d'avoir bien joui d'elle en la défonçant comme une chienne dans un rêve en sachant bien qu'on ne pouvait pas avoir le beurre et l'argent du beurre, Ah!Ah!Ah!

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Puis elle se leva et me dit brutalement en me tendant le poing : Mon gars n'essaye pas de me revoir, car tu risquerais d'avoir des ennuis avec moi! Moi, effrayé par son comportement hystérique, j'avais alors l'imp-ression d'avoir affaire à un mec plutôt qu'à une fille telle qu'on avait l'habitude de rencontrer, bref, douce et gentille. Apparemment, les moeurs des jeunes filles avaient bien changé et disons-même radicalement depuis ces derniers temps où l'on avait désormais affaire à des monstres qui voulaient enfanter sans faire l'amour avec des hommes! Une année plus tard, je la croisais par hasard dans la rue en apercevant dans le landau qu'elle poussait, un petit bambin! Je ne sais pas si elle m'a reconnu; mais saisissant subitement ce que j'avais réalisé, je détalais aussitôt du trottoir pour ne pas devoir assumer une folie de jeunnesse!

En écoutant, mon ami, finir son histoire d'une façon si désabusée, mille questions se pressaient dans ma tête. Où je me demandais si le cas de cette jeune fille était un cas particulier ou bien qui allait se générali-ser à l'ensemble des jeunes filles composant la société? Car il s'agissait bien ici pour elles, soyons clair, d'avoir des enfants sans faire l'amour et plus précisément sans devoir vivre avec cet homme préhistorique qu'on appelait un homme qui se lavait une fois tous les trois jours, répandait son urine sur la lunette des wc, laissait ses poils dans le lavabo et vous montrait sa bite pour dire qu'il était plus fort que vous, Ah!Ah!Ah! En effet, je pouvais comprendre entièrement la grande angoisse des femmes que la nature avait plongée depuis l'aube de l'humanité dans un cauchemar quotidien, bref, devoir vivre avec un primate qui n'avait pas évolué depuis des millénaires, Ah!Ah!Ah! Ainsi, grâce à l'histoire insolite de mon ami, je vo-yais bien pour l'ensemble des femmes que la fin justifiait les moyens et que le plus important pour elles était d'avoir des enfants et non de vivre avec cet Ostrogoth qu'on appelle un homme, bien évidemment. Et puisque nous étions sur le terrain de la vérité et non sur celui de l'hypocrisie, ce que ce voulaient en véri-té les hommes et les femmes, ce n'était pas du travail, mais de l'argent, Ah!Ah!Ah! Bref, je ne pouvais pas être plus clair avec vous en ce moment, mon cher lecteur. Pourtant cette chose invraisemblable, qui était de vouloir des enfants sans faire l'amour, les chrétiens y étaient parvenus grâce à l'immaculée conception vierge Marie, n'est-ce pas? Sans se cacher que ce fut de leur part un vrai tour de force de créer un tel mi-racle sachant que seuls les illuminés étaient prêts à le croire, bien évidemment. Mais sachant que je croy-ais moi aussi aux miracles et aux forces divines, je me disais pourquoi pas, puisque personne ne pouvait faire la preuve du contraire, n'est-ce pas? Et après tout n'était-ce pas le rêve de toutes les femmes désor-mais?

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Où je voyais ici l'éclatante demonstration que la fin justifiait les moyens dans notre société désormais hyper réglementée par les lois républicaines. En sachant bien qu'il existait des centres d'inséminations art-ificielles en France. Mais interdit à l'heure où j'en parle aux jeunes femmes et seulement accessibles aux couples stériles. Ainsi que des banques de sperme, toujours interdites aux célibataires, mais autorisées aux hommes mariés et père de famille. Voilà donc où se trouvait le grand problème en France et tout particulièrement pour nos futures générations de jeunes femmes voulant enfanter sans faire l'amour et de devoir vivre avec un homme préhistorique qu'on appelle un homme, Ah!Ah!Ah! Bref, dans cette histoire insolite racontée au comptoir d'un bistrot, j'y voyais tout l'archaïsme de la société républicaine qui avait oublié qu'elle était peuplée d'êtres vivants qui évoluaient chaque jour afin de parvenir au bonheur. En trouvant toutes mes critiques sur la république des iméciles largement justifiées depuis le debut de mon histoire invraisemblable avec mes compatriotes. Et que pour sortir la France de son marasme ambiant ou de son pessimisme séculaire, il fallait faire sauter toutes les barrières idéologiques et intellectuelles que la république avait bâties pour enfermer la liberté des Français dans un enclos se réduisant de jour en jo-ur. C'était très fort ce que je vous disais là, mon cher lecteur, pour aboutir à l'élargissement de nos libe-rtés et non les réduire tels que les hommes politiques s'y attelaient afin de justifier leur emploi à la tête de l'Etat. Sincèrement, je vous avouerais que je n'avais rien contre les hommes politiques, car il en fallait bien, mais pas en si grand nombre où cette inflation d'hommes politiques nous montrait une banalisation de la fonction politique en emploi de fonctionnaires sans talent et sans génie, soyons franc. Avec l'idée qu'on devrait diviser par 3 le nombre de ces fonctionnaires de la politique afin de donner naissance à de vrais hommes politiques comprenant les hommes et les femmes, qui ne sont pas seulement des machines à voter pour maintenir la démocratie, mais des gens qui ont des aspirations supérieures et non plus des problèmes de logements, de bouffe, d'emplois, d'indemnisations au chômage ou de sécurité sociale etc. Mais une nouvelle soif de libertés afin d'enrichir notre société ainsi que nos rapports humains. C'est pour cela qu'il nous faut absolument sortir de cette exécrable société républicaine pour arriver à ses fins de bonheur.

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Premièrement en ouvrant les centres d'inséminations artificielles à toutes les jeunes filles afin de réaliser leur rêve d'avoir des enfants sans faire l'amour et sans devoir supporter la tyrannie d'un mâle qui vous montrait sa bite pour vous dire qu'il était le plus fort, Ah!Ah!Ah! Deuxièmement, ouvrir les banques de sperme aux célibataires afin de suppléer aux besoins de ces jeunes filles qui seront désormais libérées de ces mâles dominants. Ce qui serait, je pense, la meilleur façon de lutter contre la dénatalité qui est aujou-rd'hui le grand fleau de nos sociètés occidentales, n'est-ce pas? De même que résoudre comme par enc-hantement l'archaîque problème de l'égalité entre les sexes qui empoisonnait la vie des femmes depuis l'aube de l'humanité, n'est-ce pas, mon cher lecteur? En fait, je venais de vous démontrer par A+B que j'avais du génie, mais que personne en France ne voulait admettre tellement il y avait d'idiots, Ah!Ah!Ah! Comprenez-bien que je ne vous parlais pas ici de GPA (gestation pour autrui qui est interdite en France à l'heure où j'en parle), mais d'une véritable révolution sociètale voire civilisationnelle qui arrivera juste après la révolution numérique que nous vivons en ce moment! Ainsi, grâce à mon nouveau système de reproduction, non plus par la GPA( gestation pour autrui), mais désormais par l'ISM( l'insémination par soi-même), je constatais le ringardisme de nos vieux philosophes français tels que Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir qui avait dit, comme dans un parfait accord, que l'enfer c'est les autres et qu'on ne naît pas femme, mais on le devient! Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, tout ceci devenait d'un ringardisme effrayant voir complètement obsolète dans la nouvelle civilisation que j'entrapercevais à travers l'histoire insolite de mon ami. Car dans mon système révolutionnaire, le destin des hommes et des femmes sera désormais séparé pour le bonheur de chacun où l'on ne dira plus que l'enfer, c'est les autres et qu'on ne devient pas femme, mais qu'on l'es naturellement, Ah!Ah!Ah! Et pour aller philosophiquement plus loin que Simone de Beauvoir, je dirais que la femme est un homme comme un autre, Ah!Ah!Ah! Et moi, qui suis un illustre inconnu dans la société française, m'accordera-t-on le titre de grand philosophe des temps modernes, parce que j'avais par mon génie rabaissé et ringardisé nos vieux philosophes étudiés encore dans nos lycées ou universités? Mais ne voulant pas polémiquer sur nos vieilles institutions, mon cher lecteur, je vous laisse la réponse. Ainsi nous aurons des cités uniquement destinées aux femmes avec enf-ants, mais interdites aux hommes pour leur assurer un bonheur total. Et placées à une distance convena-ble( pour ne pas que leur foyer de bonheur soit importuné) des cités composées exclusivement d'hommes et entre les deux, une cité où les hommes et les femmes pourront se rencontrer afin de renouer des liens amicaux ou charnels, comme par exemple une fois par semaine selon le souhait de chacun et chacune, bien évidemment. 

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Ainsi finit les violences conjugales, les divorces, les frais exorbitant pour payer un avocat, la garde des enfants etc. Bref, le féminisme aura enfin gagné son pari, non par le discours hystérique de ces femmes frigides qui avaient du mal à jouir, mais par la séparation définitive et souhaité du destin des hommes et des femmes. Bref, plus de problème d'égalité entre les sexes, puisque les femmes seront enfin libérées par l'ISM( l'insémination par soi-même). En fait, mon système proposait ni plus ni moins la libération des fe-mmes de la façon la plus naturelle possible où les femens pourront bien aller se rhabiller, car elles auront obtenu tout ce qu'elles avaient rêvé, bref, de se débarrasser de ces mâles dominants qui se lavaient une fois par mois, urinaient sur les lunettes des wc, laissaient leurs poils dans le lavabo et vous montraient sa bite pour vous dire qu'ils étaient les plus forts! Ah enfin le bonheur total pour ces dames qui vont pou-voir faire des enfants sans faire l'amour! Mais suis-je donc Dieu ou un génie pour pondre de telles idées géniales, je me demande parfois? En ne vous cachant pas, mon cher lecteur, que cette histoire insolite ou fait de socièté qui m'a été racontée (mais qui est passée inaperçu auprès de nos grands sociologues om-nubilés par les médias et le succès commercial) que l'idée de créer une application pour mobile m'ait venue tout naturellement à l'esprit afin de mettre en contact les jeunes femmes avec des hommes voulant donner leur sperme en toute liberté. Bref, un sorte d'UBER de la reproduction entièrement libre et anon-yme, car sans droit de paternité du donneur sur le futur bébé. Où seules les photos de l'homme et de son physique ainsi que celles de la femme seront exigées afin que les choix soient consenties, bien évidemm-ent. Sans oublier de fournir un kit sur un site Internet( au prix que j'estimais à 10 euros pour rentabiliser l'affaire) qui sera composé d'un tube enfilable par les hommes pour recueillir leur sperme et surtout pour qu'ils n'en mettent pas partout sur la moquette ainsi qu'une seringue adaptée pour les femmes afin qu' elles s'inséminent toutes seules à domicile sans danger et le tout accompagné d'un mode d'emploi facile à comprendre. Sans pour autant oublier les gens laids qui voudraient eux aussi se reproduire en créant un service qui leur serait exclusivement destiné, bref, avec des critères différents, bien évidemment.Vous dire alors ma grande largesse d'esprit de vouloir créer un monde plus juste! Bref, voyant la fortune venir à moi sans grands efforts grâce à mon génie, je commençais à prendre contact avec mes futurs associés. Mais à peine leur en parlais-je qu'ils me disaient sans me le cacher, que mon projet bien que fantastique serait interdit par les autorités car jugé illégal par les lois républicaines!

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Pour la simple raison que l'Etat voulait garder le contrôle sur sa population, comme un fermier général veillant sur son troupeau de bovins et sur ses futures recettes, Ah!Ah!Ah! Bref, après de multiples tentati-ves auprès d'autres aventuriers de l'impossible ou investisseurs, je renonçais à mon beau projet d'inscrire mon nom sur le marbre, comme l'illustre fondateur d'une nouvelle civilisation!

Comprenez, mon cher lecteur, si je parle ainsi, ce n'est pas par mégalomanie, mais par le sentiment très fort de posséder en moi une nature hors du commun dont la puissance n'est pas destinée à faire de la pro-vocation gratuite ou susciter des réactions artificielles chez mes compatriotes, comme sur YouTube, mais de les élever spirituellement. Car gavés, intellectuellement pendant trop longtemps par nos écoles républicaines, dont les résultats sont catastrophiques, je pense qu'il est temps pour eux de passer à autre chose pour une question de survie, nécessairement. Mon but n'étant pas de vous convaincre, mon cher lecteur, mais de vous emmener dans une dimension spirituelle afin de vous montrer les vraies choses per-çues par nos sens et non par notre intellect qui fausse souvent notre jugement sur la vérité. Car celui-ci ne fera jamais fleurir en vous des fleurs et des jardins magnifiques bordés de beaux lacs aux eaux tranqui-lles, mais édifiera en vous des constructions hideuses, temporaires faites de matériaux disparates et artifi-ciels qui s'écrouleront d'elles-mêmes dans la durée tel qu'on peut l'observer depuis quelques décennies par la chute des ideologies. En fait, pour acceder à la beauté et à la vérité( car l'un ne va pas sans l' autre), l'âme reste le meilleur véhicule pour y parvenir, car c'est là où se situe notre intelligence sensible et non dans notre intellect. Je suis désolé de le dire, une fois de plus à mes compatriotes, mais les Français non pas de coeur, mais seulement de l'esprit! Et c'est pour cela que je compte bien par mes oeuvres que je qualifierais de puissantes de les sortir de cette emprise funeste qu'est l'intellectualisme et tous les ismes qui vont avec, tels que l'existentialisme, le surréalisme, le structuralisme, le futurisme, le républicanisme etc, qui les avaient rendu complètement idiots en même pas deux siècles! Étrangement, je ne sais pas d'où peut venir cette puissance dans mes oeuvres et tout particulièrement dans mes symphonies où le chant exalté des hommes et des femmes se rapproche tant de la puissance Wagnerienne! Bref, c'est un mystère qui m'échappe, car dans la vie je suis plutôt quelqu'un de timide et d'éffacé, voir un peu mou, comme me l'avait fait remarquer un de mes amis lors d'une discution à la terrasse d'un café. Bien évidemment, tout ceci m'avait mis un peu en colère, mais sans le lui montrer. Car visiblement mon intérieur( plutôt volca-nique) ne correspondait pas à mon extérieur( mou) et j'étais déçu de l'apprendre par quelqu'un qui me connaissait bien, au lieu d'évoquer en lui des sentiments passionnés, mais une envie de passer une bonne paire de pantoufles avant d'aller au lit, Ah!Ah!Ah!

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Mais telles étaient les apparences d'aujourd'hui où la société capitaliste nous avait mené à dénaturer notre vraie nature ainsi que notre environnement. Où l'argent y était pour beaucoup dans cette falsification de la vérité où un singe pourrait bien se prendre pour un rhinoceros en se collant une corne à la place du nez ou un idiot se prendre pour un génie s'il avait beaucoup d'argent, comme Donald Trump, Ah!Ah!Ah! Mais là, mon cher lecteur, nous entrions dans des choses trop sérieuses pour qu'elles soient débattues en société, malheureusement. Car elles risqueraient de soulever des questions gênantes et géantes sur le cap-italisme et sur la légitimité de la bourgeoisie a mener notre destin là où elle le souhaitait. En comprenant bien que mon combat n'était pas contre le capitalisme auquel on avait aucune chance de gagner vu sa pui-ssance financière d'acheter toutes les parties pour qu'il soit le gagnant, Ah!Ah!Ah! Mais de me poser et de vous poser des questions pertinentes afin que nous en recevions le moins possible sur la gueule, Ah!Ah!Ah!

Décidément, j'avais une nature héroïque, mais avec un extérieur de mollasson, Ah!Ah!Ah! Voilà en quoi m'avait tansformé la société française! En me demandant tout naturellement, si cette dichotomie entre ma vie intérieure et ma vie extérieure pouvait avoir une origine sociale, politique ou économique appartena-nt à mon pays et au milieu dans lequel j'incubais depuis ma naissance? Car je ne savais pas exactement si c'étaient ses lois républicaines ou bien économiques qui avaient fait de moi un être hybride au point d' être constamment en conflit avec moi-même? Voilà les questions toutes simples que je me posais afin d' analyser, en tout honnêteté intellectuelle, mon cas singulier sans vouloir systématiquement accuser la ré-publique de tous les maux ou traumatismes qu'elle aurait pu commettre sur ma personne et sur ma santé mentale ou psychologique. En excluant aucunement mes origines biologiques, françaises par ma mère et algériennes par mon père, qui pouvaient être aussi les raisons de ce conflit avec moi-même et mon pays, la France. Je ne dis pas avec le monde entier, car je n'étais pas en conflit avec le monde global qui à vrai dire n'avait aucune réalité pour moi, sinon l'aspect d'une nébuleuse ne pouvant que compliquer mon épi-neux problème de savoir pourquoi il avait en moi un génie qui avait un caractère de patachon? Ah!Ah!Ah! Mais plutôt d'étudier mon cas dans le milieu dans lequel je vivais afin d'en tirer de vraies conclusions et non des concepts intellectuels soi-disant universels, car je me considérais avant tout comme un cas un-ique et non replicable en une infinité d'exemplaire.

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Voilà qui est dit afin d'être clair avec vous, mon cher lecteur, en sachant bien que la vérité est unique et exceptionnelle et non universelle, comme l'avait malheureusement suggéré nos intellectuels français dont les concepts étaient morts d'eux-mêmes parce que faits d'un bricolage intellectuel et non d'un développe-ment naturel proposé par Dieu et la nature. Bref, partant de mes principes forts logiques et honnêtes, la première idée qui se présenta à mon esprit( afin de découvrir les vraies raisons de mon incapacité à m'ada-pter à la société française) fut la théorie de Darwin concernant l'évolution des espèces et de leur adapta-tion au milieu où elles vivaient. Apparemment, c'était mon cas tout craché où visiblement mon incapacité à m'adapter à mon milieu social, économique et politique avait créé en moi un conflit intérieur au point de ne pas vouloir me reproduire! En étant constamment en suspicion à l'égard de mes semblables qui me montraient souvent de l'animosité pour des raisons que je ne connaissais pas. Mais quant à la véracité de la théorie de Darwin, j'étais plutôt circonspect. Car si dans sa théorie où les gros bouffaient les petits po-ur le meilleur des mondes, parait-il, je constatais en me regardant de bas en haut que j'étais toujours vi-vant et qu'aucune bête hideuse m'avait pour l'instant arraché la tête ou bouffé un bras, Ah!Ah!Ah! Avec l'impression que Darwin avait confondu la société capitaliste dans laquelle il vivait, à l'époque Victorien-ne et le capitalisme naissant, avec le règne sauvage des bêtes, des plantes et des mollusques qui bien évid-emment ne connaissaient pas le taux de change de la livre sterling ni que la reine Victoria régnait sur le Royaume-Uni de Grande Bretagne, d'Irlande, du Canada et impératrice des Indes, Ah!Ah!Ah! En me dem-andant en toute honnêteté intellectuelle, scientifique et morale si sa théorie était une vraie théorie, mais pas plutôt un concept valise où l'on pouvait y mettre dedans tout ce qu'on ne pouvait pas ranger à une place précise sur une étagère ou dans sa tête? Car ça ressemblait énormément à la théorie de la relativité d'Einstein qui disait en gros : Si je ne suis pas là, c'est que je suis forcément ailleurs! Fallait-il vous en dire plus, mon cher lecteur, pour vous prouver que ces 2 théories étaient d'une grande banalité en nous disant en gros : Oui, j'aime bien boire et bien manger, quand j'ai faim et soif, ce que tout le monde appr-ouvera ou sera d'accord, n'est-ce pas? Bref, rien de révolutionnaire ni d'innovant dans ces théories qui étaient en vérité de grandes généralités voulant tout dire et rien dire en même temps. En fait, ce qui me gênait le plus dans cette théorie appelée selection naturelle qui rendait Darwin ridicule à mes yeux, c'était ses principes de fondement.

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Car il était évident que Darwin ne s'était jamais mis dans la peau d'un singe ou dans la coquille d'un mo-llusque pour connaître leur évolution respective, mais qu'il était bien resté un être humain avec un cerve-au appartenant à son temps et à la formation qu'il avait reçu. En nous prouvant que sa théorie était plutôt adaptée aux mœurs des hommes de son temps qu'aux espèces que l'on rencontrait dans la nature. Et que la grande question qu'on devait se poser( n'était plus celle que Darwin s'était posée en son temps), mais de savoir si la société dans laquelle on vivait modifiait notre ADN au point de ne plus vouloir nous rep-roduire et d'avoir une vie sociale et économique? C'était apparemment mon cas que j'essayais d'analyser depuis le debut de mon histoire invraisemblable avec mes compatriotes dont la société débile avait créé dans mon cerveau un conflit permanent avec moi-même. Ce qui était, me semble-t-il, la raison de ce livre unique et exceptionnel où un génie semblait avoir du mal à se débattre au milieu de cette France des imb-éciles, Ah!Ah!Ah! Ainsi ce serait pour moi aller plus loin que Charles Darwin et vous prouver que j'av-ais bien du génie. Mais m'accordera-t-on ce titre dans cette France peuplée d'idiots et dans cette Angleter-re très conservatrice? Personnellement, je n'y croyais guère. Mais mon cher lecteur, afin de bien analyser notre cas si singulier, gardons en tête la théorie de Charles Darwin qui reste tout de même une loi généra-le applicable au plus grand nombre et non au cas particulier, comme le mien. Car en allant jusqu'au bout de sa théorie, basée sur la selection naturelle et sur l'adaptation des individus à leur milieu( politique, éc-onomique, social etc), on constatait que son système produisait à long terme des individus identiques( où seuls les plus aptes pouvaient se reproduire et non les moins aptes) donc une multiplication de ces clones en quantité et non en qualité, forcément. Bref, serait-ce dire d'une façon plus grossière que ces clones produits par leur milieu(où ils s'y sentaient à l'aise) avaient une bite à la place du cerveau? Ah!Ah!Ah! Ce que je ne jugeais pas comme quelque chose d'mmorale, mon cher lecteur, en étant pas là pour juger les Hommes, mais seulement un système intellectuel bâti par ces derniers. Et si on y perdait en qualité, on y gagnait en quantité, n'est-ce pas? Toujours pour être réaliste, on constatait que nous n'utilisions plus not-re intelligence pour nous adapter à notre milieu, mais exclusivement des rapports économiques où l'arg-ent tuait notre intelligence en nous rendant plus bête que nous l'étions en vérité. Et en cela, la théorie de Charles Darwin était parfaitement adaptée à la société capitaliste et non à la selecton naturelle.

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En vous rappelant qu'aucune bête hideuse m'avait pour l'instant arraché la tête ou bouffé un bras, mais avait crée en moi un conflit où mon intelligence naturelle se battait contre l'intelligence artificielle de la société capitaliste. Avec la conviction, mon cher lecteur, que le Capitalisme était bien un système intell-ectuel bâti par des intellectuels qu'on appelait des économistes, Ah!Ah!Ah! Et que ceux qui vous voudr-aient le démentir n'auraient apparemment rien compris entre la nature et le factice de notre société écono-mique. Et bien évidemment, j'étais là pour leur rappeler ces choses évidentes où la vérité était saisissable uniquement par nos sens et non par notre intellect. Ne le répéterais-je jamais assez? En vous rappelant que si le soleil se lèvait tous les matins, ce n'était pas pour aller travailler, mais parce que Dieu et la natu-re l'avaient décidé afin de nous faire comprendre que le plus important pour nous n'était pas notre réussi-te économique, mais notre future élévation spitrituelle! Attention, je ne parlais pas particulièrement du dieu chrétien( qui était un dieu humain), mais de la religion de Dieu dont la finalité était dans le dépasse-ment de soi en nous extirpant de notre petite enveloppe corporelle. Et à ce propos, la théorie Darwinien-ne était fausse à ce niveau là, car elle ne concernait que notre évolution physique et non spirituelle, n'est-ce pas? Par le constat qu'à la longue, elle fabriquait des individus identiques à la maigre intelligence pour pouvoir se reproduire plus facilement en ayant une bite à la place du cerveau, Ah!Ah!Ah! Cela nous pro-uvait indéniablement que ceux qui avaient du mal à s'adapter ou à se reproduire dans leur milieu avaient peut-être atteint une perfection ou une évolution spirituelle si élevée qui leur sembla ridicule de vouloir se reproduire physiquement? Mais qui d'entre nous pourraient le démentir sans se rendre ridicule à ses yeux, mon cher lecteur? Apparemment, ma grille de lecture n'était pas celle de nos économistes amoure-ux fous de la théorie de Charles Darwin ainsi que les petits parvenus qui pourraient se gonfler d'orgueil de se croire les gros prédateurs dans l'Histoire et les pauvres comme leurs bêtes de proie, Ah!Ah!Ah! Bref, puisque l'évolution de notre société capitaliste nous entraînait à devenir un peuple de pingouins devenant de plus en plus bête (mais que la nature n'avait pas programmée ou souhaité), je pense qu'il ser-ait important pour nous de quantifier nos rapports économiques dans la socièté qui, à vrai dire, étaient les raisons de la dégradation de notre intelligence que nous constations chaque jour autour de nous et tout particulièrement en France qui était désormais peuplée par de grands imbéciles, Ah!Ah!Ah!

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Bien entendu, j'utiliserais les mathématiques pour les quantifier afin d'être dans le vrai et non dans les concepts intellectuels. Premièrement, amputons à notre journée de 24 heures les 1/3 de notre temps que nous passons à dormir où nous avons pour ainsi dire aucun rapport économique avec les autres puisque nous dormons, Ah!Ah!Ah! Ainsi donc, il nous resterait les 2/3 de notre temps à consacrer à notre existe-nce réelle dont les 1/3 appartenaient à notre patron pour des raisons économiques, puis 2 heures bloquées dans les embouteillages pour aller à son travail, puis 2 heures pour faire les courses, puis 3 heures devant son petit écran à regarder des émissions débiles nous vantant les bienfaits de la société de consommation, etc. Bref, on constatait que les 2/3 de notre temps (soit environ 70%) étaient consacrés à nos rapports éc-onomiques avec les autres où nous usions très peu de notre vraie intelligence pour communiquer, n' est-ce pas, mon cher lecteur? Ce qui nous prouvait que la société capitaliste à la longue nous rendait de plus en plus bête, comme nous l'avions constaté en France où il y avait désormais 90% d'imbéciles et 10% de génies où l'archétype de l'idiot était Donald Trump en Amérique qui, ne sachant pas quoi faire de son te-mps et de son argent, passait sa journée à dire de grosses conneries au monde entier, Ah!Ah!Ah!

Synthétiser les choses a toujours été le point fort de ma nature et de mon génie, ce que je vous cacherais pas mon cher lecteur en me permettant souvent de dépasser les idées ringardes de nos soi-disant grands penseurs ou intellectuels, comme vous l'avez sûrement remarqué. En fait, ce que me différenciait de mes idiots compatriotes, c'était mon intelligence. Car les Français étaient bêtes, mais paradoxalement se sent-aient très intelligents quand on leur parlait de leur intelligence d'avoir une tête bien pleine où se mêlaient étrangement de bonnes recettes de cuisines avec de très mauvais concepts philosophiques, historiques et intellectuels, Ah!Ah!Ah! Mais c'était le grand paradoxe chez la plupart des Français de se sentir très intel-ligent, alors qu'ils avaient seulement la tête farcie comme une dinde, Ah!Ah!Ah! C'était comme avoir une boite remplie de gâteaux qui nous rassurait mieux qu'une boite vide, n'est-ce pas? Et paradoxalement, quand j'écrivais des choses pertinentes sur mes compatriotes, je ne me sentais pas intelligent, car je l'étais vraiment, Ah!Ah!Ah! Et ce qui me caractérisait, ce n'était pas le sentiment d'être quelqu'un ou quelque chose, mais de l'être réellement. C'était ni plus ni moins la très célèbre tirade de William Sakespeare (être ou ne pas être, là est la question) que j'appliquais à mes idiots compatriotes, Ah!Ah!Ah!.

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De plus, ce qui rassurait la plupart des Français (d'avoir une tête farcie comme une dinde), c'était le sen-timent de toute puissance que cela leur procurait quand ils se trouvaient face au monde, mais qui au bout du compte ne leur servait pas à grand chose pour exercer efficacement leur intelligence. Car ceci n'était qu'un sentiment de toute puissance intellectuelle, mais non une force réelle, comme nous aimions la sen-tir en nous, mon cher lecteur, quand nous écrivions la vérité sur nos compatriotes afin qu'ils se reforment intelligemment. Et contrairement à eux, je vidangeais régulièrement ma tête afin qu'elle soit la plus vide ô possible et la moins encombrée d'objets inutiles ou trop volumineux pour sa boite crânienne, Ah!Ah!Ah! Dans le but, bien évidemment, que tous mes sens puissent agir sur les nouveaux objets de sa connais-sance qui les interpellaient, les titillaient, les agaçaient etc. Une chose importante à vous dire, mon cher lecteur, ce livre je le destiais aux touristes étrangers (qui voudraient connaître la vérité sur les Français) et non aux Français qui, je pense, n'aimeraient pas prendre des coups de fouets pour le plaisir en le lisant, Ah!Ah!Ah! Et ce qui caractérisait vraiment la nature du Français, c'était son horreur du vide politico-in-tellectuel et son amour immodéré pour les mots en isme(humanisme, catholiscisme, républicanisme, cap-italisme, collaborationisme, socialisme, existentialisme etc) qui je pense intéressera beaucoup les touris-tes étrangers qui, il faut le dire, aimaient visiter la France comme un grand musée parfaitement entretenu et dépoussiéré quotiennement par nos institutions de nettoyage publique, Ah!Ah!Ah! Et paradoxalement, dans cette grande vallée intello-historique, peuplée de montagnes en Isme, les Français les ont toujours escaladé, non sans peine, mais par la nécessité de s'adapter au monde qui évoluait autour d'eux. Pour ainsi dire, ce ne fut jamais une partie plaisir pour eux et tout particulièrement pour leur cerveau et leurs mollets. Mais bon, après de douloureux efforts, ils y étaient parvenus, Ah!Ah!Ah!

Toujours pour rester dans la théorie de l'évolution de Charles Darwin, publiée en 1859, Karl Marx qui avait alors 41 ans ne se priva pas d'en faire une sévère critique en lui écrivant personnellement une lettre où il lui disait en gros : Monsieur Charles Darwin, bien que votre théorie paraisse vraie en apparence (où les gros mangent les petits), je compte bien vous prouver le contraire en publiant ma prochaine théorie où les petits boufferont les gros!

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Bien évidemment, Charles Darwin ne comprit rien du tout à la lettre de Karl Marx dont l'oeuvre majeure "Le capital" ne sera publiée qu'en 1882. C'est à dire 23 ans plus tard en prévoyant la future révolution bolchévique de 1917 où la masse des petits bouffera les gros méchants capitalistes, Ah!Ah!Ah! Visiblem-ent, le marxisme était ni plus ni moins de l'anti-darwinisme et le darwinisme de l'anti-communisme pour être clair. Et étrangement, les seuls pays où le marxisme prit véritablement son essor ou eut beaucoup du succès furent dans de très grands pays comme la Russie et la Chine et principalement situés à l'Est du continent, mais n'obtint qu'un faible succès dans des petits pays ou moyennement grands. La seule expl-ication qu'on a pu donner, c'est qu'apparemment les très grands pays, ressemblant à des continents, avaie-nt besoin d'un pouvoir autoritaire et centralisé pour gouverner leurs sujets et gérer leurs immenses terr-itoires. Ce que le communisme, par sa doctrine très uniformatrice, permettait de faire de la manière la plus simple, n'est-ce pas? Mais ce n'est pas la seule explication pour expliquer ce succès du communisme auprès de certains peuples, alors qu'il suscitait un rejet épidermique voir du dégoût pour d'autres, ne nous le cachons pas. Ainsi voyait-on que tous les peuples ne se ressemblaient pas (contrairement à ce qu'on nous avait appris à l'école sur le peuple) où certains pouvaient être plus collectifs que d'autres ou peut-être plus fainéants, comme les Russes et les Chinois, alors que plus individualistes et travailleurs comme les Français, les Anglais, les Américains, les Italiens etc, Sans oublier de dire que le succès du communi-sme, qui est une idéologie très réductrice des libertés, put être aussi le résultat du hasard lié aux situati-ons historiques particulières. Comme de savoir que le succès de la révolution française a eu lieu grâce à de mauvaises récoltes provoquant une pénurie alimentaire et la révolte populaire sans occulter que Louis 16 fut un roi des plus bêtes de la monarchie française( la dynastie des Bourbons) dépassant même le rè-gne des rois fainéants, Ah!Ah!Ah! En regardant de près le succès du communisme en Russie, les ingrédie-nts semblaient être les mêmes avec une pénurie alimentaire( provoquée par la première guerre mondiale) et un Nicolas 2, tsar de Russie, qui fut des plus bêtes et des plus molassons que la dynastie des Romanov avait pu produire, Ah!Ah!Ah!

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Quand au succès du communisme ou du Maoisme en Chine, celui-ci eut lieu grâce à la guerre contre le Japon qui unifia le pays et établira le communisme comme religion d'Etat, comme on le sait aujourd'hui. Mais qu'on peut aussi expliquer par le fait que les asiatiques soient peu sensibles à la reconnaissance ind-ividuelle contrairement aux occidentaux dont le narcissisme et le matérialisme sont maladifs au point de rendre malade toute la planète, Ah!Ah!Ah! Ce qui me fait dire ceci, ce sont les propos d'un vieil ami( dont je vous ai parlé au début) qui à titre professionnel était allé en Asie et parut très choqué par leur grande indifference à son égard, non pas a titre professionnel, mais humainement. C'est ce qu'il avait essayé de me faire comprendre avec des mots, mais sans y parvenir vraiment. En fait, je crois qu'il fonctionnait en mode occidental, c'est à dire en voulant chercher absolument la reconnaissance des autres, alors qu'en As-ie elle n'était pas recherchée, mais plutôt une harmonie générale ou du vivre ensemble. Ce serait dire d' une autre façon que le plus l'important pour eux n'était pas leur état individuel, mais l'harmonie qu'il dég-ageait afin de se fondre avec les autres. Et qu'être impassible pour un asiatique fut comme le signe d'une grande sagesse philosophique, alors que du mépris pour le petit occidental, Ah!Ah!Ah! Apparemment, mon ami, qui était un bon petit français par rapport à moi( qui avait les deux cultures, occidentale et orie-ntale), je pouvais saisir toutes ces nuances grâce à mes sens développés pour l'extase mystique et non po-ur le plaisir de mon intellect, Ah!Ah!Ah! Et si le communisme avait réussi à s'implanter durablement en Chine et en Russie, c'était lié au rejet de l'individualisme pour privilégier l'harmonie entre tous dans son environnement humain ou non. Et qu'en Chine, nous avions affaire très certainement à un peuple philos-ophique et non matérialiste où le communisme, le capitalisme, le confucianisme, le boudisme etc, allaie-nt se fondre pour créer la société Chinoise telle qu'on la connaîssait aujourd'hui. Et comme vous l'avez remarqué, je n'étais pas là pour démonter le communisme comme un idiot occidental( qui ne pensait qu'à son nombril et à son portefeuille) en étant convaincu que l'infini petit se trouvait dans l'infini grand, com-me l'individu se trouvait dans le collectif, mais qu'on ne pouvait scinder en deux au risque de faire une opération chirurgicale douloureuse pour l'homme. Ce qui me faisait dire à nouveau que le marxisme était de l'anti-darwinsime et le darwinisme de l'anti-communisme, Ah!Ah!Ah!

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Bref, deux théories qui s'opposaient pour le plaisir de s'opposer, mais sans fondement scientifique. Car dans la théorie de la gravité de Newton, l'infiniment grand était lié à l'infiniment petit où les grosses mas-ses attiraient les petits masses, qui sans elles, il n'y aurait pas de loi gravitationnelle qu'on ne pourrait dé-montrer, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et que cet exemple était très visible dans ces petits pays où le co-mmunisme n'avait eu aucun succès du fait qu'il existait une réelle proximité entre le pouvoir et les cito-yens où la loi de la gravité se devait la plus légère ô possible ou si vous voulez qu'il était inutile de se cr-ier dessus pour se faire entendre, Ah!Ah!Ah! En conclusion, ces deux théories ne nous apprenaient rien de précis, sinon qu'on était attiré instinctivement par une foule amassée sur une place publique où il y avait beaucoup de bruit, par exemple. Mais que cela nous apprenait-il exactement? Rien de précis, sinon quel-que chose de bruyant, Ah!Ah!Ah! Et ce que je trouvais d'étrange dans tout ce qu'on venait d'exposer ainsi que sur la société française qui était devenue un mélange de capitalisme et de communisme (par la conf-iscation de 98% de notre liberté et 85% de notre argent), c'est que nous nous soyons pas rapprochés de la Russie et de la Chine qui, à vrai dire, avaient le même système idéologico-politique que le nôtre, n'est-ce pas? Cela restait un grand mystère pour moi, car les Français vouaient un culte sans pareil à leur Etat et malgré que ce dernier leur confisqua leur liberté et tout leur argent, Ah!Ah!Ah! Bref, il semblerait s'établ-ir ici entre eux comme une relation sado-masochiste qui me surprenait tous les jours, quand je regardais les actualités télévisées. Apparemment, ils avaient besoin de quelqu'un au dessus d'eux pour les comman-der, les rassurer et légitimer leur existence, sinon leur état de santé déclinait au point de sombrer dans la folie, Ah!Ah!Ah! Et leur grand paradoxe, c'est qu'ils avaient décapité leur monarchie d'ordre divin pour établir une monarchie républicaine! Ce qui en fait changeait peu leur situation, car je les trouvais toujo-urs en grande souffrance et en grande servitude devant leur Etat, qui leur imposait des choses contre nat-ure, n'est-ce pas? En fait, le grand délire des Français était un grand délire intellectuel de permuter les ch-oses dans leur tête et non dans la réalité. C'était comme mettre Pierre à la place de Paul en ne sachant pas que Pierre et Paul étaient deux frères jumeaux ou si vous voulez deux fantômes identiques, Ah!Ah!Ah! Ce qui me faisait dire, dans mon livre exceptionnel voir insolite dans la littérature française( qu'aucun écrivain français n'avait eu le courage d'entreprendre ), c'est  que les Français étaient bêtes par nature, Ah!Ah!Ah!

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Mais bon, pouvait-on reprocher à une chèvre d'être une chèvre ou à un hérisson d'avoir des épines sur le dos? Non, certainement pas, mon cher lecteur. Mais il faut vous dire en toute honnêteté que ce n' était pas pour moi une partie de plaisir de me coltiner tous les jours une compagnie d'imbéciles, Ah!Ah!Ah! Mais bon, à force on s'y habituait en limitant au maximum nos relations avec ce troupeau d'arrogants qu'on ap-pelait le peuple français, Ah!Ah!Ah! Cétait bien évidemment, mon évolution spirituelle, qui dépassait de très loin celle des mes compatriotes, qui me permettait de les critiquer avec toute les raisons du monde et non de faire un exercice cérébral ou une gymnastique de l'esprit dont les Français étaient friands par leur intellectualisme historique. En fait, les choses devenaient claires et évidentes, quand on se servait de tous ses sens pour comprendre le monde autour de nous sans oublier nos sens olfactifs, le toucher etc, afin d' alimenter notre vraie intelligence et non pas notre intelligence artificielle que la société capitaliste nous encourageait à développer pour favoriser nos rapports économiques au détriment de nos rapports hum-ains. En vous rappelant, mon cher lecteur, que nous étions toujours dans la théorie de Charles Darwin sur l'évolution des espèces dans leur milieu vivant (social, économique, climatique etc). Qui me fasait dire, sans fausse modestie, que mon livre insolite dépassait la théorie de Charles Darwin. Car dans le mien, j'étais mon propre cobaye ou si vous voulez le mollusque qu'il avait essayé de disséquer les entrailles afin de comprendre son évolution, mais qui au bout du compte ne lui avait rien appris en termes intelligibles pour décrire son évolution depuis des millénaires. Alors que moi, j'étais le mollusque rêvé par Darwin, parce que j'avais l'usage de la parole et prêt à raconter mon évolution dans la société des hommes et plus précisément dans la société française où je refusais de m'y reproduire et d'avoir une vie sociale et écon-omique, Ah!Ah!Ah! Sans bien le savoir, je venais de vous démontrer, mon cher lecteur, ma capacité à dép-asser les idées des autres par la nature exeptionnelle de mon génie, n'est-ce pas? Et croyez-bien que je n' inventais rien, car il faisait partie de mon ADN et non pas de ma culture, comme on pourrait le penser. En fait, la nature de mon intelligence ne se trouvait pas dans le fait de répéter bêtement les choses qu'on m' avait apprises à l'école où de résumer les idées d'un auteur en une phrase, mais d'aller au-delà.

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Cela me rappelait tout particulièrement une mauvaise note que j'avais eue au lycée pour avoir eu la mala-dresse de ne pas résumer le voyage d'un explorateur en ses étapes importantes, mais de résumer ce de bon, il avait bu et mangé à chaque endroit, Ah!Ah!Ah! Bref, du vin à Madère, des courgettes farcies en Grèce ainsi que de la moussaka, du cerf de Boetie, du poisson du Saronique et sans oubliez de l'ouzo pour ouv-rir son appétit etc. Bref, pour mon professeur, j'étais toujours un primate qui avait son intelligence logé dans son estomac et non pas dans sa tête comme tout le monde, Ah!Ah!Ah! Car d'après lui, j'aurai dû plu-tôt me concentrer sur les sites de pierres qui avaient enflammé son imagination et sa soif de savoir au lieu de me concentrer sur la bouffe! Bref, ce qui m'avait valu cette mauvaise note et tout en me signifiant sur ma copie, en stylo rouge, que je n'avais malheureusement aucun sens de la synthèse! Ce qui bien évidem-ment avait jeté un grand trouble sur mes sens que je croyais jusque là infaillible pour la compréhension du monde! Apparemment, pour mon professeur, j'étais encore un gros animal qui reniflait les choses avec son nez et interrogeait son estomac au lieu d'interroger sa raison qui d'après lui nous menait vers la vér-ité, Ah!Ah!Ah! Bref, l'école fut pour tous mes sens une véritable torture en étant intimement liés à mon génie et non dans la répétition des choses apprises par coeur, ni dans des devoirs académiques où l'on vo-us demandait de répondre à des questions idiotes, comme par exemple, pourquoi la France est le pays des droits de l'homme ou pourquoi le ciel est bleu quand nous sommes heureux? Ah!Ah!Ah! Car contrairem-ent à la remarque injustifiée de mon professeur (qui me trouvait aucun esprit de synthèse), j'avais véritab-lement l'art de synthétiser les choses qui consistait à partir de deux idées distinctes ou de plusieurs senti-ments de créer une troisième idée qui allait dépasser celle de son auteur. Comme je vous le disais précéd-emment, ma liberté a toujours commencé là où celle des autres se terminait et non le contraire comme chez nos palots républicains, Ah!Ah!Ah! C'est dire un ocean entre nos deux conceptions de voir les cho-ses et le monde, n'est-ce pas? Pour être clair avec vous, mon cher lecteur, mon intelligence fonctionnait comme chez les plantes qui, par un phénomène de photosynthèse, transformait la lumière du soleil en ox-ygène pour notre bien à tous, à nous qui vivions sur la Terre pour le meilleur des mondes, nécessairem-ent.

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En fait, le génie, comme je l'ai déjà dit, ce n'est pas la longue et profonde méditation sur les choses ou sur les idées, mais de connaître sa propre nature afin de produire les fruits qu'elle attend de nous. Bref, les fruits que nous produisons sans trop savoir pourquoi où je vous assure qu'il est inutile de demander à un pommier pourquoi il produit des pommes, car c'est sa nature de produire des pommes, c'est à dire son gé-nie qui n'est pas le même que celui du pécher ou d'un prunier, bien évidemment. Et qu'il est inutile, mon cher lecteur, de me demander pourquoi j'écris tout ceci, car je ne le sais pas moi-même, comme si mon génie m'échappait, bref, comme si le poids trop lourd de mes fruits les faisait tomber dans l'herbe, comme par une gravité naturelle, non calculée, afin de nourrir les hommes, les animaux, les oiseaux, les insectes et la terre etc. Et lorsque vous interrogiez vos sens d'une manière simple et naturelle, ces derniers vous ré-pondaient d'une façon poétique et jamais d'une manière intellectuelle ou économique, car les concepts in-tellectuels et économiques étaient des inventions des Hommes afin de compenser leur perte en intelligen-ce, ce que vous savez désormais, mon cher lecteur. D'où le développement des sciences et du capitalisme dans nos sociétés désormais dépendante de l'intelligence artificielle appelée IA.

Et si vous regardez les émissions à la télé, mon cher lecteur, vous constaterez par vous-même que c'était un sujet qui préoccupait de plus en plus notre société occidentale où l'on ne cessait de vous parler de tec-hnologie, d'intelligence artificielle ainsi que de l'Homme augmenté. Ceci n'étant pas un hasard, comme on pourrait le croire, mais la nécessité pour l'Homme de compenser sa perte d'intelligence par la création de prothèses intellectuelles, économiques, matérielles etc, afin de s'adapter au monde artificiel qu'il avait crée malgré lui ou comme dirait, le philosophe Allemand, Leibniz, pour le meilleur des mondes, Ah!Ah!Ah! En remettant ici en question toute l'évolution de notre civilisation occidentale que les experts en civi-lisation( historiens, philosophes, scientifiques, ethnologues, sociologues etc) ne seraient approuver vu qu'ils pensaient dure comme fer que l'Homme au cours de son évolution n'avait fait que développer son intelligence vu le perfectionnement de ses techniques. Alors que moi, j'affirmais le contraire avec la con-viction que la perte de notre véritable intelligence, au cours de notre humanité, nous avait entraîné à créer un monde artificiel dans lequel nous vivions aujourd'hui.

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Comprenez bien, mon cher lecteur, si j'affirmais ceci, c'est parce que je sentais au plus profond de moi que notre vraie intelligence se trouvait dans la connexion de nos sens avec le cosmos et notre environne-ment naturel et non dans la connexion intellectuelle exprimée par le cogito de Descartes (je pense donc je suis). Où l'Homme se trouvait tout à coup au centre du monde et cogitait sur lui-même en interrogeant son propre cerveau afin de connaître ses besoins et non la vérité dont il faisait partie en voulant assouvir ses ambitions mégalomaniaques de bipède, Ah!Ah!Ah! Ce qui, bien évidemment, n'était pas très sain pour lui et sa santé mentale qui forcément dégénèrerait en consultant obstinement son cerveau ou sa raison, au lieu d'interroger ses sens qui le reliaient au cosmos, à la nature et à sa vraie intelligence. En fait, pour vo-us montrer la justesse de mes propos, prenons comme exemple, les inventeurs de la bombe atomique qui un instant ont pensé être les plus intelligents du monde en inventant un objet pouvant exterminer un max-imum de gens en une seule fois et même la planète, Ah!Ah!Ah! Entre nous, mon ami, ne pensez-vous pas qu'il s'agit là de la plus idiote invention des hommes nous prouvant par A+B qu'ils étaient devenus com-plètement fous en abandonnant leur suprême intelligence que la nature leur avait donné, non sans une ce-rtaine sagesse? Malheureusement, mon cher lecteur, ces exemples se montraient par milliers autour de nous dans notre société occidentale et nous prouvaient que la bêtise humaine n'avait pas de limites quand il s'agissait d'intellectualiser les choses contre nature dans notre cerveau. Mais si vous voulez, continuo-ns sur ce chemin de la désolation afin de dater cette perte notable de notre intelligence ou le debut de no-tre décadence humaine. Mais une chose paradoxalement facile à visualiser en suivant les grands conflits qui avaient traversé l'humanité où les grands mouvements intellectuels du 19 ème siècle étaient intimem-ent liée par une remarquable coincidence, comme expliquant la chute de notre Intelligence. Mais pour au-tant, je ne dirais pas qu'elle datait précisément du 19 ème siècle, car le conflit entre la vraie intelligence et l'intelligence artificielle ou l'intellectualisme ne datait pas d'hier, mais du célèbre conflit philosphique en-tre Socrate et Platon. Car Platon, bien que disciple de Socrate, ne pensait pas que son maitre avait entière-ment raison en faisant une confiance aveugle à la nature pour connaître la vérité où celle-ci régissait nos comportements des plus excessifs aux plus sages depuis l'aube de l'humanité. Ce que personne ne démen-tirait, sinon se rendre ridicule aux yeux de tous, n'est-ce pas?

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Car pour Socrate, la nature n'était pas un monstre hideux, sans morale, prête à vous manger tout cru pour satisfaire sa faim, ses désirs ou vous faire souffrir pour le plaisir, Ah!Ah!Ah! En sachant bien qu'elle co-mportait en elle-même une sagesse naturelle, comme par exemple, lorsque le lion avait mangé, il partait se coucher pour digérer et arrêtait de terrifier les jeunes gazelles qui passaient dans les parages, n'est-ce pas? Ce qui était totalement vrai du point de vue de la nature et laissait aux bêtes le temps de refaire leur force, bref, de vivre en paix. Et comme disait souvent Socrate à ses disciples : Au bout du compte, c'est toujours le bien qui gagne, car l'homme ou l'animal ne peut pas être méchant tout le temps, Ah!Ah!Ah! Ce qui était bien confirmé par la réalité où l'homme ne faisait de mal à personne quand il dormait ou bien quand il se restaurait ou bien quand il était occupé à un travail abrutissant, Ah!Ah!Ah! D'où la question intéressante de savoir si le travail était plus efficace que l'idéologie pour établir la paix? Ce qui semblait évident pour Socrate, mais pas pour Platon qui refusait de croire que le bien soit une chose aussi aléatoi-re en ne dépendant que de son appétit ou de son bon vouloir. Bref, en souhaitant rompre au plus vite avec cette cruelle philosophie inspirée de la nature en inventant son propre concept qui ne dépendrait plus de nos sens réels, mais d'un concept intellectuel : où l'homme aura désormais une âme immortelle à laquelle il devra rendre des comptes afin d'améliorer son comportement avec ses semblables. Ce qui à vrai dire était un très beau concept moral, mais contre-nature, bien évidemment, qui le placera comme l'un des premiers pré-chrétiens de notre ère avant Jesus-Christ qui n'existera que 3 siècles plus tard environ. Oui, un beau concept moral et intellectuel où l'homme n'aura de compte à rendre qu'à son âme immortelle et non plus aux dieux! Où l'idée extravagante lui serait venue pendant un séjour en Egypte où l'âme du pha-raon à sa mort était pesée sur une balance et se devait plus légère qu'une plume afin d'acceder à l'imm-ortalité. En fait, en inversant le processus afin que l'âme immortelle de l'homme soit le postulat et non sa finalité. Mais arrêtons-nous là quelques instants, mon cher lecteur, sur cette notion d'immortalité qui gé-nère tant de délires et de folies chez la plupart des humains qui ne pensent pas qu'elle existe puisqu'une simple folie intellectuelle ou religieuse. Alors que moi, j'ai l'intime conviction que celle-ci existe belle et bien quand nous nous sentons en parfaite santé et que nous pouvons embrasser le monde grâce à tous nos sens!

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En fait, Platon souhaitait créer le concept d'immortalité de l'âme, alors que le sentiment d'immortalité existait déjà dans la nature afin d'encourager ses créatures à vivre dans le meilleur des mondes et goûter aux plaisirs terrestres, Ah!Ah!Ah! Mais de là à dire que l'immoralité de l'âme puisse exister après notre mort, cela révélait de la pure spéculation intellectuelle ou religieuse. Mais bon, entre nous, pourquoi vouloir l'immortalité après notre mort, alors que nous la vivions à chaque instant au cours de notre vie? Et que 80 ans d'immortalité ne nous suffisait-il pas, mon cher lecteur, pour mourir en paix avec nous-même? Et pensiez-vous qu'il était intelligent de notre part de vouloir tout surenchérir en conceptualisant quelque chose qui existait déjà, comme vouloir l'argent du beurre et pourquoi pas le beurre du beurre? A ce propos, j'ai toujours approuvé les propos de Marc Aurèle( Empereur Romain et grand philosophe stoï-cien) qui disait qu'il était inutile de se plaindre contre la nature, car celle-ci nous faisait un cadeau formi-dable en nous donnant la vie et le sentiment d'être immortel pendant notre courte vie! N'était-ce point ici, mon cher lecteur, la preuve infaillible qu'il était inutile d'intellectualiser les choses en faisant appel à no-tre raison sachant que la nature nous donnait accès à la vérité le plus simplement du monde, sans artifice, grâce à nos sens infaillibles? Pour revenir à notre cher Platon( un grand chercheur en esthétique morale qui avait jeté un énorme pavé dans la mare des croyances antiques( où pour les anciens seuls les dieux étaient immortels et non point les hommes), j'ai la certitude qu'il fut méprisé de son vivant par les puiss-ants de son temps. En accordant trop de bienveillance a la populace par l'invention de sa république des âmes où tout le monde serait à égalité avec les autres, ce que les puissants et les prêtres polytehistes ne pouvaient admettre, bien évidemment. Ainsi donc, nous voyons ici que la première idée intellectuelle et morale fut conçue par Platon qui voulait prendre apparemment ses distances avec Socrate, la nature et les dieux. Qu'Aristote( son disciple) assimilera très bien en faisant le mixte des deux pensées en devenant le philosophe des sciences. Voilà donc en une phrase, le résumé de la pensée occidentale où Socrate était l' accoucheur de vérités, Platon l'accoucheur des âmes et Aristote l'accoucheur des sciences.

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Bref, par un flair infaillible dont j'avais le secret, je devinais que le peuple Grec était un peuple d'intelle-tuels donc de bavards et de fainéants, comme les Français, Ah!Ah!Ah! Car n'oublions pas de dire, à notre cher lecteur, que la démocratie Athénienne avait ses propres esclaves qui s'occupaient des tâches les plus ingrates tels que les travaux des champs, le soulevage des charges, le transport des marchandises et la do-mesticité qui lui donnaient tout le temps de disserter et de philosopher sur la vie, Ah!Ah!Ah! Bref, comme nous en France, où nos élites avaient comme esclaves le peuple français qui travaillaient pour elles par la confiscation de leur liberté et de leur argent, Ah!Ah!Ah! La preuve de ce que j'affirmais( que le peuple Grec était un peuple d'intellos), c'est qu'il avait eu peu de scrupules à condamner Socrate à mort, le plus grand philosophe de tous les temps, parce qu'il disait la vérité aux jeunes gens de la cité! Ainsi naquit le mensonge intellectuel au détriment de la vérité qui plongera la Grèce dans le chaos. En constatant dans la société Athénienne que la démocratie n'était pas incompatible avec l'esclavagisme institutionnel et le pol-ythéisme! Ce qui pourrait bien nous surprendre, voir nous étonner, nous qui vivions aujourd'hui dans une société démocratique où nous pensions être des hommes libres, alors que ce n'était pas le cas. En fait, no-tre société occidentale d'aujourd'hui ressemblait comme deux gouttes d'eau à la société Athénienne d'il y a 2500 ans par le fait qu'on utilisait toujours l'esclavage institutionnel pour garantir la liberté à nos élit-es intellectuelles, politiques et économiques, Ah!Ah!Ah! Afin d'avoir toujours du grain à moudre pour défendre corps et âme le système démocratique et pour les élites économiques, une main d'oeuvre à bon marché pour s'enrichir et développer le capitalisme. Sans oublier de dire que le polythéisme d'antan, c'ét-ait la liberté de culte d'aujourd'hui où chacun pouvait honorer son Dieu à sa façon qu'il soit chrétien, juif, musulman, hindouiste, boudiste, etc. Bref, cela nous prouvait que nous avions guère évolué depuis 2500 ans, puisqu'on utilisait toujours de vieilles idées, vieilles comme Herode pour organiser notre société oc-cidentale Et ce qu'il y avait de formidable, quand vous aviez le troisième oeil ou l'art de la synthèse, co-mme je l'avais, c'était de constater qu' à l'école on ne vous apprenait rien, sinon le dogmatisme de devoir supporter votre situation économique et sociale sans broncher et sans taper sur son arrogant voisin qui se prenait pour ce qu'il n'était pas, Ah!Ah!Ah! Bref, en ne recherchant plus la vérité, comme l'enseignait So-crate aux gens de la cité. A l'évidence, l'école nous prodiguait plutôt un enseignement Platonicien que Socratique où la république idéale de Platon était célébrée tel un culte par nos chers républicains, Ah!Ah!Ah! 

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Où depuis l'invention de la démocratie par les Athéniens, capitalisme, esclavagisme et polythéisme n' étaient pas incompatibles, mais formaient le ciment qui les tenait ensemble pour assurer sa survie, tel qu' on pouvait l'observer aujourd'hui en Allemagne qui avait absorbé en 2016 plus de 1,5 millions de mig-rants donc 1,5 millions d'esclaves pour assurer la liberté à leurs élites intellectuelles, politiques et écono-miques, Ah!Ah!Ah! Vous semblez ahuri par tout ce que je vous apprends, mon cher lecteur! Mais ne le soyez pas, car je suis un génie à ma façon, mais que mes compatriotes ne veulent admettre tellement ils sont bêtes, Ah!Ah!Ah! Et si parfois, je me jetais des fleurs en me nommant de génie, c'est parce que les hommes refusaient de m'en jeter, sinon avec des orties et des piquants, Ah!Ah!Ah! Et si la nature voulait bien me tresser des couronnes de fleurs, j'en étais navré pour mes tristes contemporains. Parce que j'étais un antidémocrate et un antirépublicain en étant un Socratique, bref, un adepte de la vérité et non du men-songe intellectuel prôné par Platon. En remarquant( quand vous aviez accès à la vérité, non par le concept intellectuel, mais par vos sens connectés au cosmos et à votre environement naturel), l'incroyable coïnci-dence entre la condamnation de Socrate par la république Athénienne et la condamnation de l'aristocratie française par la république de 1789. En fait, une histoire vieille comme le monde et un éternel combat en-tre la vérité et le mensonge intellectuel! Ce qui pour moi ne faisait aucun doute désormais. Et puis n' oublions pas de dire à notre cher lecteur que Socrate était un monarchiste qui méprisait la démocratie en disant souvent à ses disciples qu'elle était une mauvaise chose pour l'humanité en lui permettant de faire tout ce qu'elle voulait et même de dire n'importe quoi au nom de la sacro-sainte liberté démocratique, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, une chose qui le répugnait, car tout le monde n'avait pas la faculté de penser comme lui avec justesse et de connaître la vérité en connectant tout simplement ses sens au cosmos et à son environnement naturel et non à son intellect. Étrangement, au stade où se trouvait mon histoire insol-ite avec mes compatriotes, je voyais soudainement les choses s'éclaircir autour de moi d'une manière lu-mineuse où la reception de mon méchant bouquet de fleurs composé de chrysanthèmes, d'orties et de piq-uants( ressemblant à une couronne mortuaire) était le signe évident sur ma future condamnation à mort par la société française! Apparemment, j'étais le nouveau Socrate que la société soi-disant moderne et civ-ilisée devait éliminer parce qu'un ennemi de la démocratie et de la république! A ce propos, le titre que j'avais donné à mon livre "Des fleurs pour mon enterrement" convenait à merveille pour illustrer cet état des lieux me concernant, mais aussi, l'état désastreux de la société française.

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Par tout ce que je venais de vous exposer, on voyait l'évident ressurgissement du passé dans le présent par la triste affaire de Socrate condamné à mort par la république Athénienne.

Pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, je pensais au début que mon vilain bouquet de fleurs m'avait été envoyé par quelqu'un de ma famille. En constatant, si vous suiviez les enquêtes policières à la télé tel-les que les enquêtes impossibles de Pierre Belmare ou Redrum (murder à l'envers) que l'assassin était so-uvent un proche de la victime! A ce propos, j'avais eu un gros différent avec un de mes frères et une de mes demi-soeurs qui m'avaient accusé injustement d'avoir volé de l'argent à ma mère après son décès! Ce que j'avais trouvé odieux de leur part sachant que j'avais sacrifié ma vie en restant célibataire afin de res-ter à ses côtés. Apparemment, mes deux gripsous de frère et demi-soeur n'avaient rien saisi à mon sacrifi-ce en ne pensant qu'a l'héritage que le décès de leur mère pouvait leur rapporter. Mais ce que je trouvais surtout immoral de leur part, c'était de traiter le génie de la famille de cette façon si odieuse. N'êtes vous pas du même avis que moi, mon cher lecteur? Mais je ne dévoilerai pas ici leurs prénoms, car je ne voud-rai pas que mon public qui me suit depuis des années sur mon site Internet( au nombre de 400 visiteurs par mois) les insultent et les harcèlent sur les réseaux sociaux, bien évidemment. Voyez, mon cher lect-eur, comme je suis indulgent envers ces gens qui voulaient, ne nous le cachons pas, me trainer devant les tribunaux! Mais bon, comme l'un est dans la fonction publique et l'autre dans le secteur bancaire, ça ne m' étonnait guère de leur réaction vu que les bourgeois ont toujours été les ennemis des prophètes et des génies depuis la naissance de la société moderne, n'est-ce pas? Car ces deux énergumènes, que je qualifie-rais d'être sans coeur, étaient plutôt bien lotis dans la vie où ils possédaient leurs propres maisons, des revenus confortables et sûrement un gros magot à la banque, Ah!Ah!Ah!

Mais apparemment, cela ne leur suffisait pas et en voulaient encore plus en me faisant des misères qui ont duré tout de même pendant deux ans! A ce propos, un de mes frères m'avait dit qu'ils lui avaient de-mandé au téléphone si maman avait des objets de valeurs, tels que des bijoux et même si elle possédait un compte à la caisse d'épargne. Bien évidemment, j'étais choqué d'apprendre que leurs interêts se trouvaient dans des choses si mercantiles, comme l'argent en ne s'inquiétant pas de ma santé, car j'avais toujours vé-cu avec ma mère et me retrouvais soudainement seul dans la vie. Il est vrai que ma mère possédait des valeurs qui étaient composées de plusieurs sacs à main en cuir de marque, mais aussi de bijoux en or et plaqué( montres et boucles d'oreilles) ainsi qu'un compte à la caisse d'épargne. Mais je ne cacherai pas à mon cher lecteur que toute ces choses, c'était moi qui lui avait offert pour ses anniversaires et pour les fêtes de noël. A propos de son compte à la caisse d'épargne, j'avais déposé mon propre argent dessus (non pour fuir les impôts), mais seulement pour lui donner le plaisir de posséder quelque chose dans sa vie. Car toute sa vie, elle  avait été fauchée à cause de son maigre salaire de femme de ménage et de ses enfan-ts qui lui bouffaient toutes ses économies( une réflexion que j'ai souvent entendu à la maison). Et si j'é-tais décédé avant elle, bien évidemment, elle aurait hérité de toutes ces choses. Mais bon, l'argent ne m'a jamais intéressé sauf pour le dépenser en frivolités pour les femmes et les jeux d'argent, Ah!Ah!Ah! Et par son décès soudain, je reprenais mes biens comme il était logique et non de me les faire voler par mes gripsous de frère et demi-soeur dont je vous ai parlé. Comprenez, mon cher lecteur, qu'il ne s'agissait là que de deux enégumèmes appartenant à ma famille et non de la totalité qui à vrai dire comprenait mon désarroi après le décès de maman. Pour entrer plus en détail dans l'histoire de la famille Maaded, sachez que ma mère à eu sept enfants de quatre pères différents dont les trois premiers n'ont pas reconnu leur pa-ternité, laissant ainsi leurs enfants sans patronyme( 3 exactement). Bref, sans que ma mère puisse leur ou-vrir des droits telles que des allocations familiales pour les élever ainsi que pour les inscrire à l'école, par exemple. Car tout ceci se passait dans les années après guerre, les années cinquantes, où heureusement les lois d'aujourd'hui ont bien changé pour les mères célibataires.

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Mais pour ces cas difficiles, l'institution républicaine conservait toujours un fond qui permit à ma mère de toucher une allocation pour les élever et les nourrir au strict minimum sans pour autant résoudre le problème patronyme de ses trois enfants. Bref, par ses faibles moyens financiers, elle les confia à sa mère qui habitait dans son village natale à Nueil/ faye. En comprenant bien que ces enfants dont les pères n'av-aient pas reconnu la paternité signifiait tout simplement pour ma mère qu'ils n'avaient pas été désirés par ces derniers, mais plutôt comme la conséquence d'une partie de jambes en l'air prise à la rigolade ou co-mme une partie de dominos, Ah!Ah!Ah! Ainsi je pouvais comprendre entièrement la cruelle injusttice qu' avait subie mon demi-frère et mes deux demi-soeurs qui allaient développer en eux une haine envers leur mère qui les avait fait élever par leur grand-mère. Et je pense que seules les femmes pouvaient compren-dre ce que je voulais dire en étant constamment en conflit avec leurs mères, comme en concurrence en devenant fatalement la copie conforme pour continuer l'arbre généalogique de la famille, telle était la mi-ssion que leurs mères attendaient d'elles. Alors que les garçons, moins psychologiques et généalogiques que les filles, étaient plutôt enclin à adorer leur mère comme une fée ou une divinité, bref, comme je le crois toujours. Puis arriva mon père( le quatrième homme de sa vie qui était un français d'origine algéri-enne), Il se maria sans tergiverser avec elle et reconnut ses trois enfants(qui n'étaient pas les siens) en leur donnant son patronyme. Bref, un geste que je trouvais très beau de sa part où, étrangement, c'était un Algérien qui donnait à ces trois enfants (dont les pères étaient tous des Français de souche, mais affreuse-ment lâches), une identité au sein de la république française! C'était me semble t-il un grand retournem-ent de l'Histoire, n'est-ce pas, mon cher lecteur? C'est pour cela que je disais souvent aux Français de souche de se méfier des apparences, car il y avait des étrangers qui étaient plus Français que vous, Ah!Ah!Ah! Mais pouvaient-ils le comprendre, ceux qui étaient devenus si bêtes au cours de leur Histoire? Ma mère, voyant que sa dernière fille avait des problèmes psychologiques voir schizophréniques, la retira de chez sa mère pour vivre avec elle où mon père fit à ma mère quatre enfants dont je suis le dernier et qui vous raconte tout ça d'une manière impudique.

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Etant donné que je suis le génie de la famille, il me faut bien évidemment immortaliser la famille Maaded dans l'Histoire, Ah!Ah!Ah! Et que mes accusateurs sachent bien qu'il est idiot de faire du mal à ceux qui ne vous ont fait aucun, car un jour, cela leur retombera dessus. Et sachez que je serais jamais la victime que vous aviez semble-t-il choisir parce que j'étais seul et isolé après la mort de maman. Car je suis d'une nature héroïque et que le combat ne me gêne pas où mon génie me permet d'abattre tous les imbéciles qui veulent se mettre en travers de ma route. Voilà qui est dit afin qu'ils comprennent que l'argent et le statut social n'est qu'une illusion sur sa propre valeur et non une réalité ou force réelle en pensant que leur arg-ent pourra payer ce que la nature ne leur a pas donné, ô la grande illusion! Ainsi, j'arrivais parfaitement à saisir la haine de ma demi-soeur envers moi, qui n'avait pas été élevée par ma mère parce que le père naturel avait disparu dans la nature pour fuir ses responsabilité. Par contre, la haine de mon propre frère à mon égard( qui m'avait accusé de vol en voulant me trainer devant les tribunaux), je n'arrivais pas à la co-mprendre tellement elle me surprenait. Car celui-ci durant mon adolescence m'avait toujours montré de la bienveillance et une sensibilité artistique dont j'étais souvent en admiration, car il écrivait des poèmes en cachette dans le petit cagibi de l'appartement comme pour nous cacher sa grande sensibilité ou révolte qui grondait en lui. De même que pour la musique, il avait un très bon goût en achetant avec son propre argent de poche les disques de Génésis, des Pink Floyd, de Kim Crimson etc. Mais qui influença peu mes goûts artistiques en puisant en moi-même ma propre source d'inspiration et non dans les modes music-ales. En transcrivant seulement ce qu'il y avait en moi en copiant jamais les auttes, car j'en étais incapab-le, comme le génie qui ne ressemblait à aucun autre. A propos de ces génies que nous présentaient aujou-rd'hui les médias, je vous certifiais qu'ils n'en étaient pas, mais seulement des marchands dont seuls le co-mmerce et l'activité économique intéressaient et non la création de chefs-d'oeuvre. Bref, de petites mag-ouilles entre amis pour gagner beaucoup d'argent avec la complicité des médias qui leur était désormais indispensables dans l'art de la contrefaçon, Ah!Ah!Ah! Revenant à mon frère, qui me voulait tant de mal, je n'arrivais pas à comprendre ce qui avait pu le rendre si dure envers moi en m'accusant de vol avec ma demi-soeur. Peut-être était-ce dû à son travail de fonctionnaire qui l'avait rendu insensible voir si confor-miste qu'il avait oublié qu'il avait des frères et des soeurs en chair et en os? Comprenez, mon cher lect-eur, si je vous racontais tout cela, ce n'était pas pour me venger, mais seulement pour dire la vérité sur le mauvais traitement qu'ils m'avaient fait subir.

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Et puis entre nous, ces deux grands avares n'auraient jamais dépensé un seul centime pour me payer un bouquet de fleurs que ce soit pour mon anniversaire ou pour mon enterrement, Ah!Ah!Ah! Quant à mon vrai enterrement, il est certain qu'ils n'y viendraient pas en connaissant désormais leur vrai visage. Mais comme je suis beaucoup plus jeune qu'eux (car je suis le dernier de la famille), il y ait de fortes chances qu'ils passent avant moi à la trappe, Ah!Ah!Ah! Mais bon, je ne souhaite pas leurs morts prématurées, car je ne suis pas un diabolique, mais plutôt d'une grande générosité d'âme, comme vous l'avez remarqué, mes chers lecteurs. Toujours sur le sujet de la famille qui s'entredéchire pour le plaisir de s'entredéchirer, Ah!Ah!Ah! (peut-être que la vôtre est pire que la mienne?), j'ai pensé pendant un instant que l'envoi de ce vilain bouquet de fleurs pourrait venir de ma deuxième demi-soeur skizophrène? Car durant notre enfan-ce, elle nous avait fait beaucoup de misères où pendant ses crises, elle nous battait à coups de ceinturon et avait une fois blessé sa soeur avec un couteau! Afin d'expliquer tout ceci, il faut préciser à notre cher lecteur que la mort soudaine de mon père à l'âge de 36 ans( d'une tumeur au cerveau) avait laissé la mai-son dans un état où il ne régnait plus aucune autorité que ma mère trop gentille ne put jamais restaurer, malheureusement. Bref, profitant de cette situation inespérée, la skizophrènie de ma demi-soeur( qui ava-it alors 10 ans de plus que nous) prit une ampleur inimaginable au point que ses désirs de puissance et de perversités s'abattirent sur nous, comme une montagne chargée de maléfices! Ainsi se déroula notre enfa-nce où dans la maison, nous vivions avec un monstre que la moindre parole déplaisante mettait en furie et nous mettre en charpie! Et en quelques années dans cette famille, nous étions tous devenus à moitié fous! Tout en pensant que mon vilain bouquet de fleurs pouvait aussi venir de cette grande folle. Car ré-cemment, j'avais rencontré un de ses enfants au Parc de la tête d'or qui se promenait tranquillement avec sa copine au bord du lac. Bien évidemment, nous commençâmes à engager la conversation sur tout et n'importe quoi, comme le font d'habitude les gens. Puis profitant du beau temps, nous nous arrêtâmes à la buvette du lac( la buvette du cygne) où ils m'offrirent une crêpe au nutela que je ne refusais pas par gourmandise et par politesse, bien évidemment.

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Puis reprenant ma conversation ave lui, je lui parlais ouvertement de sa mère en lui disant qu'elle était skizophrène, mais qu'elle refusait toujours de le reconnaître. Ce qui déclencha un mouvement d'humeur ou de désaccord de la part de sa copine, qui semblait la connaître, mais pas aussi bien que moi qui avait supporté sa tyannie, Ah!Ah!Ah! Puis je lui avouais qu'a l'age de 18 ans, elle avait fait une tentative de su-icide à la maison en avalant une boite de somnifères. Ce qui le surprit véritablement, car il avait toujours pensé que sa mère était une force de la nature et d'une moralité exemplaire depuis sa conversion à l' Isl-am. En fait, il ne semblait pas si déstabilisé que cela, car il m'avoua peu de temps après qu'elle faisait toujours ses crises et qu'il ne fallait pas être à ce moment sous ses griffes, Ah!Ah!Ah! Ce qui me prouvais qu'elle n'avait véritablement pas changé et qu'elle était toujours atteinte de skizophrènie et bien que sa convesion à l'Islam l'avait un peu calmé, mais sans plus. En fait, je pensais en lui racontant cette petite histoire qu'elle resterait entre nous, comme des confidences de comptoir. Mais j'appris quelques temps plus tard de la part de mon frère que ma demi-soeur ne voulait plus me voir sans me donner la moindre explication! Ainsi, je compris que mon neveu lui avait raconté tout ce que je lui avais dit d'une manière confidentielle. Bref, je ne savais pas qu'il était un grand idiot, Ah!Ah!Ah! Et puis après tout, c'était une façon de remettre les pendules à l'heure, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et que de clarifier les choses me sembla tout à fait le bienvenu pour régler enfin nos comptes avec le passé.

Assis devant mon bouquet de fleurs dont je ne pouvais identifier l'expéditeur( en ayant pour l'instant auc-une preuve sur ses potentiels auteurs), je m'endormis au bord de la table, la tête posée entre mes bras. A 1 heure du matin, j'ai eu soudainement froid et je suis allé refermer la fenêtre que j'avais laissée ouverte pour dissiper l'odeur malsaine de ce vilain bouquet de fleurs, puis je suis allé me coucher en me jetant sur mon lit tel un naufragé de la nuit. Rude journée! furent les derniers mots qui m'échappèrent de la bouche avant de sombrer dans un profond sommeil. Étrangement, cette nuit, je ne fis aucun cauchemar, comme si pendant cette soirée, j'avais dissipé tous les poisons contenus dans ce vilain bouquet de fleurs, bref, une façon très personnelle de me préserver de tous les maux des hommes et de leur méchanceté naturelle, me sembla-t-il. Le lendemain matin, frais et dispos, comme un jeune homme, je me préparais avec gourmandise mon petit déjeuner que j'emportais aussitôt dans le salon afin de savoir comment mon méchant bouquet de fleurs avait supporté la nuit sans ma présence. Et c'est en posant mon bol de café au lait sur la table et mes six tartines beurrées et nappées de confiture à la fraise que j'aperçus mon vilain bouquet de fleurs qui avait doublé de volume! Où les roses avaient désormais la grosseur d'un poing, des couleurs plus intenses, plus violentes, des rouges plus vifs plus sanguins, des blancs plus blancs que la peau d'un mort, des mauves plus mauves qu'un vieux taxi s'enfonçant dans la brume Londonienne. Les chrysanthèmes ressemblaient désormais à des soleils chargés de maléfices et les piquants s'étaient allong-és d'une manière impressionnante! Bref, méditant sur cette chose incroyable ou sur cette métamorphose qui s'était opérée durant la nuit, je ne vous cacherais pas que je bus mon café au lait avec un grand stoïsc-isme tout en essayant de comprendre comment cela avait-il pu se passer sans aucun témoin. Avec beauco-up de mal à comprendre comment la haine contenue dans ce vilain bouquet de fleurs avait pu se décupler contre moi pendant mon sommeil. Un instant, je pensais à tout ce que j'avais pu dire ou écrire de plus ou moins nauséabond sur les uns et les autres appartenant ou pas à ma famille, mais dont j'avais seulement effleuré la culpabilité, ne l'oubliez pas, mon cher confident. Mais sans pour autant me couper l'appétit, car j'ai toujours eu un grand appétit le matin et quelques soient les nouvelles de la météo ou de l'actualité en général, Ah!Ah!Ah! En me faisant penser tout particulièrement à la météo présentée à la télé, qui ne la faisait pas, mais la présentait seulement, ce qui était une évidence, n'est-ce pas? Alors que l'actualité prés-entée à la télé faisait l'actualité, bref, une sorte de météorologie du moment où tous les hommes politiqu-es et les opportunistes allaient s'imprégner pour se mettre sous les projecteurs et se sentir exister, Ah!Ah!Ah!

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Bizarrement, je ne sais pas pourquoi tous les matins, je suis envahi par des milliers de pensées qui me viennent d'où je ne sais. Comme si la lumière du jour avait le pouvoir d'ouvrir en moi des portes et des fenêtres vers d'autres mondes inexplorés où tout devenait simple comme bonjour, bref, comme le soleil qui perçait à travers votre fenêtre. Avec le sentiment chaque matin de renaître comme un enfant, je ne dir-ais pas dans la rosée, mais dans un nouveau monde que je redécouvre à chaque fois comme médusé par sa beauté et sa laideur générée par l'humanité, malheureusement. Car pendant la journée, une seule chose s'impose à nous, c'est la puissance du soleil et des apparences, n'est-ce pas? Par contre la nuit, quand le soleil s'est couché, c'est l'univers tout entier qui se montre à nous avec ses milliards d'étoiles que l'on peut embrasser d'un seul regard où l'on peut distinguer la lumière de chaque étoile, comme si pendant la nuit, l'imagination reprenait le pouvoir où plus personne n'était en concurrence ou en opposition avec les autres. Alors que dans la journée, les étoiles devaient s'éclipser pour laisser place à la puissance du soleil qui s'imposait à nous tous pour notre bonheur, bien évidemment. C'est souvent pour cela que je surfais sur Internet pour voir ce qui se faisait de mieux ou de pire( je suppose comme vous) afin de me donner une idée sur ce qui fascinait les gens ou semblait les faire réagir. A ce propos, la dernière fois, je suis allé sur YouTube pour regarder les video-gags de nos célèbres youtubers où j'ai appris qu'un des leurs avait fait une grosse déprime suite au nombre de ses vues qui était passé de 1 million à 9 cents milles, ce qu'il avait considéré comme une véritable catastrophe! Bref, je n'ai rien contre la connerie, mais celle-là, c'en était une grosse, Ah!Ah!Ah! Car moi aussi, j'aimais parfois faire le con et faire rire mes amis, mais en vrai, non par écran interposé, Ah!Ah!Ah! Et puis, je vous avouerai en toute sincérité que je n'en ferai ja-mais une idéologie ou un fond de commerce, comme nos youtubers professionnels, car je visais toujou-rs le sublime, l'extase des sens et non l'apologie de la connerie à l'échelle planétaire, Ah!Ah!Ah! Car que restera-t-il de toutes ces vidéo-gags sur YouTube, sinon rien? Alors que l'artiste produisait une oeuvre pour ouvrir l'imagination de ses semblables afin qu'ils sortent de cette réalité où ils devenaient de plus en plus bête et arrogant, comme en Amérique! En fait, si nous assistions aujourd'hui à cette prolifération de la video-con ou de l'apologie de la connerie sur la toile Internet et de tous ces propos skizoprhéniques, extrémistes, racistes, antisémites etc, cela nous montrait l'état de frustration de notre socièté capitaliste qui génèrait, il faut le dire, un stress inouï parmi sa population occidentale : où il semblerait que la seule planche de salut soit la réussite économique et non le bonheur, malheureusement.

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Je peux bien comprendre que personne ne veuille devenir un loser parmi ses semblables, mais de là à les martyriser pour exprimer sa frustration ou ses rancoeurs, personnellement, je trouve cela honteux, Ah!Ah!Ah! N'êtes vous pas de mon avis, cher lecteur? Et si la toile Internet était devenue en quelques décén-nies la plus grande démocratie, disons virtuelle, que l'homme n'ait jamais inventé pour s'exprimer en tou-te liberté, je prévoyais malheureusement le pire pour lui. Car ce qui comptait le plus chez nos youtubers, c'était le nombre de Vues et non de dire des choses intelligentes ou intéressantes en sachant très bien que la bêtise était la chose la mieux partagée au monde et surtout en France qui était le pays des imbéciles, Ah!Ah!Ah! Comme dans toutes ces grèves qu'on voyait en France où la bêtise institutionnelle des Franç-ais s'exprimait et non leur intelligence qui, il faut le dire, les avait abandonnée depuis fort longtemps, Ah!Ah!Ah! Visiblement, la connerie semblait marcher du tonnerre aujourd'hui en France, mais aussi sur You Tube et dans les rues où "Je suis Charlie" était le cri de railliement des idiots, Ah!Ah!Ah! Bref, une tenda-nce qui ne changera pas d'ici tôt, croyez-moi. Ca ressemblait étonnamment à une grosse merde qui attirait toutes les mouches par l'odeur très allèchée, Ah!Ah!Ah! Mais qui ne me causait aucun problème, car je ne voulais faire la morale à personne, puisque je n'étais pas un dogmatique ni un intellectuel, mais un artiste qui voulait jouir de tous ses sens que la nature lui avait donné gratuitement! Il est vrai que parfois l'odeur de la merde avait quelque chose de fascinant; mais de là à l'étudier de près, je n'en voyais pas vraiment la finalité, Ah!Ah!Ah! A ce propos, j'ai une petite anecdote croustillante à vous raconter où un jour, un vieil ami( à la retraite et ancien patron d'une boite dans le secteur du froid et de la climatisation) me disait en marchant tranquillement sur le boulevard de la Croix-Rousse, non sans cynisme, s'il connaissait le secret de produire de la merde à l'échelle industrielle et de la vendre au prix fort qu'il le ferait sans aucun scru-pule, Ah!Ah!Ah! Aussitôt, je compris ce qu'il voulait me dire ou faire comprendre par cette idée géniale de vouloir vendre de la merde au prix de l'or! Ce qui me semblait la tendance d'aujourd'hui où l'on nous vendait de la bêtise en masse en nous faisant croire qu'elle était vitale pour notre survie économique. Bien naturellement, tout le monde se jetait dessus, comme sur un Graal ou sur de l'eau bénite avec toute la bénédiction de la société capitaliste, Ah!Ah!Ah! Sous entendu que l'intelligence se vendait fort mal en général, n'est-ce pas? C'est ce que j'ai pu remarquer sur mon Site Internet où j'essayais d'ouvrir les yeux de mes compatriotes sur la réalité. Mais comme ils étaient très bêtes, c'était une chose quasiment impo-ssible à faire. Comprenez-bien que je ne parlais pas de leur ouvrir l'esprit qui était gâté par l'intellectua-lisme du 19 ème siècle ou si vous voulez par l'Education Nationale, mais de les encourager à développer leurs sens naturels afin d'accéder au bonheur, comme je le faisais tous les jours pour mon épanouisseme-nt personnel qui sera la nouvelle religion du bonheur pour demain. Et bien évidemment pour y parvenir, il vous faudra abandonner votre intellectualisme à la française et cette connerie de masse érigée par nos pseudo-penseurs devenus les chouchous des médias, Ah!Ah!Ah!

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Tout en reconnaîssant que la connerie de masse était un formidable antidépresseur pour les Occidentaux devenus fous à cause de leur système capitaliste afin qu'ils puissent continuer à vivre normalement ou du moins à cacher leurs symptômes skizophrèniques, Ah!Ah!Ah! En devenant un stupéfiant comme un autre, comme l'alcool qui permettait à chacun d'oublier ses frustrations ou ses échecs dans la vie, Ah!Ah!Ah! Et si l'on pouvait rire de tout, même de ses échecs cuisants, ne serait-il pas mieux pour nous de les éviter tout simplement en sachant que nous en étions pas responsables, mais la société capitaliste qui dénaturait nos rapports humains en nous imposant des rapports économiques quotidiens s'élevant à plus de 70 %? Et la seule solution pour notre bonheur ne serait-elle pas de limiter ces derniers à disons 50% pour com-mencer et retrouver un état mental satisfaisant, non? Car voyez-vous, l'argent, élever au rang idéologi-que, faussait la réalité et disons-même la vérité, ce qui était très dommageable pour l'avenir de l'huma-nité, il faut le dire. Bref, où les pays les plus riches imposaient leurs vues aux pays le plus pauvres qui se sentaient aussitôt humiliés( l'explication possible du terrorisme islamique ou de la haine de la Russie co-ntre les occidentaux?). Bien éviemment, tout ceci ne pouvait que générer de la haine contre l'Occident ou contre l'Amérique ou contre la communauté européenne qui voulait imposer à ses pays membres un libé-ralisme à tout crin : économique, societal, culturel, le mariage gay, lesbien ou le multiculturalisme, etc. Bref, un grand chambardement pour toutes les nations et leurs cultures, n'est-ce pas? Pour dire tout sim-plement qu'en Occident, la connerie de masse semblait devenue le symptôme nous dévoilant sa décadence civilisationnelle. Comprenez bien, mon cher lecteur, que je ne disais pas que c'était à cause du mariage gay, lesbien ou du multiculturalisme( en ayant rien contre les homosexuels, les lesbiennes ni contre le multiculturalisme dont j'étais issu par mon père Algérien), mais bien pour vous expliquer que si l'Occid-ent était en décadence, c'était la faute à l'argent qu'il avait érigé comme une idéologie ou comme une fi-nalité en saccageant tous nos rapports humains ainsi que la liberté qui pour nous n'avait pas de prix ni en euros ni en dollars. A propos de nos youtubers professionnels, que je sentais très bien informés sur le monde actuel, ils étaient pour moi comme des médecins du Net qui ne soignaient que les symptômes du malade Occidental et non sa folie, car malheureusement, on a jamais guéri un fou, Ah!Ah!Ah! J'espère seulement que cette épidémie de conneries à l'échelle mondiale( illustrée à merveille par l'élection de Do-nald Trump aux USA) sera stoppée au plus vite afin de redonner à l'Occident un second souffle. Sans nier que je faisais partie moi aussi de l'Occident et de l'Orient par mes origines afin de le sauver tel un messie du 3 ème millénaire. Et puis n'oubliez pas, mon cher lecteur, que par le passé, ce sont les Arabes, donc les musulmans, qui avaient sauvé l'héritage Grec de la destruction en traduisant leurs ouvrages et en les colportant afin qu'ils soient connus de tous. En étant convaincu que l'Occident sera sauvé une nouvelle fois par les Orientaux qui connaissaient la sagesse des choses. Mais cela lui demandera forcément d'avoir une oreille attentive à ce qu'ils ont à lui dire, sinon il sombrera dans la folie, comme on en voit les pré-mices aujourd'hui.

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Bref, j'ai toujours senti en moi un prophète, mais que mes contemporains n'ont jamais voulu écouté, car ils pensaient dure comme fer que leur destin ou planche de salut se trouvait dans l'économique et dans le matérialisme. Ah mes pauvres frères humains! Où développer leurs sens et les connecter au cosmos et à leur environnement naturel pourrait leur ouvrir leur intelligence et les mener vers un monde meilleur. Mais apparemment, ils n'en voulaient pas parce qu'ils étaient bêtes et que l'humanité était mauvaise par nature, Ah!Ah!Ah! Je ne disais pas que tous les hommes l'étaient, mais la grosse majorité entraînait la partie la plus saine vers la bêtise généralisée et la folie, comme par un mimétisme idiot qu'on observait tous les jours dans les médias où ils nous dictaient notre comportement tel un diktat existentiel. Ah pau-vre humanité, m'écriais-je souvent pour tes catastrophes à venir!

En retrouvant mes esprits dans ce monde absurde, où je voyais mon vilain bouquet de fleurs prêt à me dévorer telle une plante carnivore, je me demandais si je n'allais pas porter plainte au commissariat le pl- us proche pour tentative d'assassinat par fleurs interposées? Je sais, une étrange idée qui me passait par la tête qui bien sûr ferait exploser de rire l'inspecteur et tous ses collègues, Ah!Ah!Ah! Et j'entendais déjà son discours plein de bon sens me sermonner tel un enfant immature : Voyons, Monsieur Maaded, soyez sérieux, vous savez bien d'après la loi française et internationale qu'on ne pouvait pas porter plainte con-tre quelqu'un qui vous avait envoyé un bouquet de fleurs, si mal agencé, soit-il! Et bien évidemment, monsieur l'inspecteur, j'étais obligé de l'accepter pare que c'était la loi! lui aurait répondu comme indig-né. Mais oui, Monsieur Maaded, vous êtes obligé de vous y soumettre, sinon vous seriez hors la loi et que je pourrais bien vous arrêter en voulant faire justice vous-même.

-Monsieur l'inspecteur, vous plaisantez?

-Mais non, je plaisantais pas et je vous conseillerais de retrouver les pieds sur terre avant que je vous enferme dans un hôpital psychiatrique, Monsieur Maaded. Car vous savez bien que vouloir la mort de quelqu' un n'est pas un crime!

-Pourtant, c'est bien dommage!

-Comment, c'est bien dommage? me demanda-t-il comme interloqué.

-Oui, je trouvais cela bien dommage qu'on ne puisse pas arrêter le futur assassin avant qu'il commette son crime!

L'inspecteur, étonné par mon discours, me regarda soudainement comme le génie de la lampe d'aladin et sembla prêt à m'écouter plus longuement et surtout plus sérieusement.

-Monsieur Maaded, si vous avez des idées dans ce domaine là, je suis prêt à les écouter, me dit-il en s'ass-eyant à son bureau avec plein de gravité.

-Monsieur l'inspecteur et pour tout le respect que j'ai pour vous, je pense qu'il suffirait tout simplement de changer la loi pour arrêter les futurs criminels et rendre notre monde meilleur! lui lançai-je de la façon la plus simple du monde.

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Donc, si je vous ai bien compris, il faudrait arrêter tout le monde pour en finir avec le problème de la cr-iminalité?

-Oui, bien effectivement.

-Mais, vous êtes fou, Monsieur Maaded! Car qui d'entre nous n'a jamais voulu un jour assassiner sa fem- me et ses enfants après une rude journée de travail?

-A mon avis, peu de gens. Mais je peux parfaitement vous comprendre, cher inspecteur. Car moi même combien de fois n'ai-je pas voulu tuer mes frères et soeurs parce que l'un d'entre eux avait pris la plus grosse part de pizza sur la table ou bien vidé la bouteille de lait au petit-déjeuner, mangé tout le pain, avalé la tablette de beurre, vidé le pot à café, le pot de confiture sans rien laisser aux autres, sinon un nombre de fois incalculable? Sans oublier une chose abominable de leur part, quand il fallait faire les courses pour soulager maman, étrangement, tout le monde disparaissait de la maison sauf moi qui me re-trouvais comme pris au piège!

-Oh oui, Monsieur Maaded, je peux parfaitement comprendre votre désarroi devant de tels comportement égoïstes. Mais je veux vous assurer que c'est souvent le cas dans les familles nombreuses où la cohabita-tion forcée avec ses frères et soeurs entraîne ce genre de dérive et de mauvaises pensées à leurs égards qui ne s'arrangent pas avec le temps, il faut le dire. Et puis d'après les statistiques officielles de la police, c'est dans les familles nombreuses que l'on trouve le nombre de criminels le plus important!

-Je suis entièrement d'accord avec vous inspecteur et c'est bien pour cette raison que je suis venu vous voir à propos de mon vilain bouquet de fleurs, qui n'oubliez pas avait des intentions malsaines voires cri-minelles à mon égard vu sa funeste carte de condoléances et ses piquants et orties à l'appui.

-Mais ne vous énervez pas comme ça, ce n'est qu'un banal bouquet de fleurs qui, reconnaissez-le, ne vous avait pas tué pour l'instant, n'est-ce pas?

-Non, disons pas pour l'instant, mais c'était apparemment ses intentions!

-Allez, ne soyez pas parano, car même si je peux comprendre votre haine envers vos frères et soeurs, on ne pouvait pas les accuser de vouloir votre mort. Et puis soyez réaliste, quand ils vous ont fait toutes ces misères, vous ne les avez pas tué pour autant, n'est-ce pas?

-Non, mais c'était pas loin!

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-Oui, parce que vous connaissiez la loi qui vous l'interdisait, n'est-ce pas?

-Alors là, vous n'y êtes pas du tout, inspecteur! Et pour vous dire toute la vérité, c'est parce que je ne voulais pas faire de la peine à me mère pour laquelle j'étais son fils adoré. Et en passant à l'acte, j'étais sûr de perdre son amour inestimable pour moi.

-Vous êtes un bon fils, Monsieur Maaded et je vous crois inoffensif pour vos semblables. Car vous aviez toutes les raisons de les assassiner, comme dans une tragédie grecque, mais que vous ne l'aviez pas fait pour garder l'amour et le respect de votre maman, n'es-ce pas? Et je pense sincèrement que vous avez une bonne nature qui me permet de continuer ces propos forts intelligents avec vous sans craindre à ma vie.

-Monsieur l'inspecteur, je veux vous assurer, qu'il m'est jamais venu à l'idée de vouloir vous assassiner dans votre bureau de chef de la police!

-Ah!Ah!Ah! ria-t-il en se coulant dans son fauteuil. Vous, sûrement. Mais comprenez que les voyous que j'interroge ici dans mon bureau n'ont pas les mêmes idées que les vôtres et qu'ils prendraient un grand pl-aisir à m'assassiner ou à m'égorger comme un poulet!

-Oh oui, c'est certain. Car quel voyou n'aimerait pas séquestrer un inspecteur de la police nationale au fond d'une cave et de le torturer pour le plaisir de l'entendre insulter les lois républicaines?

-C'est comme je le crois, le grand fantasme de la plupart des voyous, mais qu'il ne réalise jamais dans la réalité,. Car ce sont des petites crapules dont les ambitions sont minables et pas du tout politiques, je vo-us l'assure. Mais il est vrai quand vous sentez sa haine monter en lui et vous envahir d'une manière terr-ible et vouloir votre peau, vous ne pouvez pas rester insensible en sentant devenir sa proie.

-Alors vous voyez bien que nous ne sommes pas si éloignés que cela avec mon vilain bouquet!

-Oui, mais votre bouquet de fleurs n'a pas la dangerosité d'un homme qui à tout moment peut dégainer un pistolet ou un couteau pour vous envoyer deux mètres sous terre!

-Mais ce ne sont en réalité que de petites nuances, car les intentions malsaines ont les mêmes conséquen- ces qu'un crime de sang qui peuvent vous tuer psychologiquement et vous expédier deux mètres sous ter-re en quelques mois sans que votre assassin vous ait effleuré la peau. Comprenez, cher inspecteur, qu'en modifiant la loi en faisant des intentions malsaines un crime comme un autre, on avancerait à pas de géa-nts vers un nouveau monde ou l'on atteindrait enfin la cité idéale où crime et délinquance seraient réduit à zéro!

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L'inspecteur, bouleversé par tout ce que je lui disais, porta son index sur son menton comme mué par une grande réflexion et me dit : Monsieur Maaded, si vous avez des idées de ce genre à me proposer, je suis prêt à vous écouter plus longuement! en allant fermer la porte de son bureau pour ne pas être dérangé.

Puis reprenant sa place derrière son bureau, il me dit : J'aime bien votre nouveau concept de la justice, disons révolutionnaire, mais avec le défaut de vouloir enfermer tout le monde pour garantir la paix et la sécurité à une petite minorité!

-Comprenez bien, cher inspecteur, que je ne veux en aucune façon enfermer tout le monde en prison, car ces dernières ne seraient pas, à mon avis, assez vastes pour pouvoir le faire, mais seulement arrêter ceux qui sentent l'odeur du crime! Car d'après moi, il n'y a pas de fumée sans feu, ni odeur sans futur crime.

-Oui, tout cela me semble cohérent. Mais que vous voulez me dire au juste?

-En fait, je pense que la plupart des auteurs de romans policiers et des professionnels du crime comme vous, inspecteur Moutier, font toujours la même erreur qui est de croire que le futur crime à l'odeur du sang, alors qu'il en est rien!

-Comment il n'en est rien?

-Oui, car depuis que j'ai reçu mon vilain bouquet de fleurs, j'ai comme des picotements dans le nez et des éternuements à répétition, alors que les grands froids sont bien loins!

-Oui, mais que voulez-vous me dire exactement?

-C'est comme si quelqu'un à distance me voulait du mal ou ma mort dont mes sens n'étaient pas insens-ibles à l'évidence.

-En fait, Monsieur Maaded, je crois que vous êtes quelqu'un de superstitieux et qu'en soignant tout simp-lement votre rhume chronique, vous pourriez sortir de cette grotesque histoire, comme je le crois! me dit-il en voulant jouer au médecin, alors qu'il n'y connaissait rien sauf en médecine légiste ou cadavéri-que, Ah!Ah!Ah!

-Inspecteur, je crois que vous ne m'avez pas bien compris! je lui lançai afin de ne pas être pris pour un imbécile, comme nous le sommes souvent dans tous les commissariats de la police Nationale avec un N majuscule.

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Ébranlé par mon assurance et mes croyances extravagantes, il me regarda bizarrement comme un voyou qui s'ignorait et posa sa main sur l'étui de son flingue sous la veste de son gilet!

-Monsieur Maaded, me dit-il avec sévérité, si vous êtes venu au commissariat pour rendre fou les forces de l'ordre, je crois bien que vous vous êtes trompé d'adresse, car vous ne trouverez ici que des hommes et des femmes qui ont la tête sur les épaules et que vous devriez consulter un psychologue ou un psychiatre pour résoudre votre problème de paranoïa.

-A mon avis, je pense que vous faites erreur, inspecteur, en ignorant les indices que je vous ai donné sur mon futur assassinat.

-Encore des grands mots! me lança-t-il en se levant et en regardant soudainement la lumière blanche des néons au plafond. Apparemment, il semblait très énervé par mon histoire insolite et me tournait le dos, comme s'il ne savait pas comment l'aborder ou bien la résoudre comme il l'avait appris à l'Ecole de la po- lice nationale où ce cas n'avait jamais été envisagé. Puis se tournant brutalement vers moi, il me dit : Bon d'accord, quelle est cette odeur si particulière qui nous orientait sur un futur crime?

-Ah enfin inspecteur! je lui lançai après avoir été pris pour un fou ou un débile mental. Ce dernier, forcé de m'écouter ne dit rien et se rassit telle une grosse masse sur son fauteuil à moitié rapiécé tellement le budget de la police avait été réduit par nos derniers gouvernements qu'ils soient de gauche ou de droite.

Mais pour une raison étrange, il se releva soudainement et prit sur son bureau un rouleau de scotch et en découpa une large bande qu'il colla aussitôt sur son siège, qui était déchiré à plusieurs endroits dû à un manque évident de moyens de la police pour renouveler son mobilier, mais aussi, ne nous le cachons pas, à force d'y poser son gros cul d'inspecteur, Ah!Ah!Ah!

-Oh excusez-moi, Monsieur Maaded, me dit-il d'un air un peu gêné, mais il nous faut faire avec les moy-ens du bord, voyez-vous.

-Je suis parfaitement de votre avis ainsi que tous les chômeurs qui doivent survivre avec le minimum et moi de même qui doit me dépatouiller tout seul avec mon futur assassin! je lui lançai afin de lui rappeler ma présence dans son bureau et lui permettre de lancer une enquête sur mon funeste bouquet de fleurs, qu'il semblait prendre à la légère.

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-Ah!Ah!Ah! ria-t-il d'une façon nerveuse, puis se rassit en laissant échapper un pet que je ne pouvais soupçonner de sa part vu son éducation rigide faite par son père que je devinais être un ancien inspecteur divisionnaire à la retraite connaissant tous les rouages de la criminalité à tous les étages de la société fra-nçaise. Bref, fronçant les sourcils en attendant ce bruit insolite de Prouuut, il se releva et inspecta avec attention son siège et me dit avec hilarité : Ah!Ah!Ah!, je crois bien que mon scotch n'a pas tenu et que mon siège a encore explosé! Monsieur l'inspecteur, lui dis-je, croyez-bien que je vous plains sincèrem-ent de devoir vous coltiner tous les jours ce genre de petits bricolages, alors que dans la rue courent de dangereux criminels! En lui rappelant toutes ces choses évidentes pour moi d'une façon impromptue, il arrêta de couper ses bandes de scotch et me dit avec plein de gravité : Mais oui, mais oui, vous avez enti-èrement raison! Mais comprenez-bien qu'un inspecteur de la police nationale a un prestige à tenir et qu'il ne peut pas s'asseoir sur une cagette de poulets ou de fruits et légumes pour rétablir l'autorité!

-Entièrement d'accord avec vous, inspecteur! je lui lançai afin de lui permettre de consolider son siège ou sa place inamovible dans la fonction publique avec les moyens du bord qu'il aimait tant me rappeler pour ne pas faire son travail réel tellement il était ardu et ingrat au point que personne ne voulait le faire, bien évidemment. Car d'après les chiffres officiels du ministère de l'intérieur et malgré un sureffectif de la po-lice dans les commissariats et dans les rues à patrouiller vainement à gaspiller du carburant au frais du contribuable, la criminalité ne baissait pas pour autant et disons-même avait tendance à augmenter dans les grandes villes! Bref, un paradoxe que même les policiers n'arrivaient pas à s'expliquer en passant la plus grande partie de leur temps à rafistoler leur mobilier de bureau, à réparer l'imprimante qui était tou-jours en panne ainsi qu'un manque de papier constant dans la cassette, graisser la gâchette de leur pistolet qui avait tendance à s'enrailler et recoudre eux-mêmes leurs gilets par balle qui avaient été malmenés par les gros calibres du grand banditisme ou par de furieux terroristes etc, etc.

Bref, pendant que l'inspecteur semblait prendre un grand plaisir à découper ses bandes de scotch pour ré- parer son siège perpétuel à la police nationale, je lui demandai: Mais inspecteur, pourquoi n'achetez vous pas un nouveau fauteuil? Ce qui serait à mon avis la meilleur solution pour vous consacrer à vos enquêt-es et surtout à la mienne dont l'assassin était toujours en liberté? En lui lançant cette question à la figure sans aucun ménagement, je vis soudainement ses yeux se tourner vers moi et me lancer comme des éclai-rs! Bref, ciseaux en mains, je crus un instant qu'il allait me les enfoncer dans la gorge. Ce qui aurait été à mon avis un crime inédit dans les annales de la police judiciaire où un jour, un inspecteur, très bien noté par ses supérieurs, pris d'une folie soudaine assassina dans son bureau, non pas un voyou, mais un honn-ête citoyen qui avait eu la mauvaise idée d'aller porter plainte au commissariat le plus proche! Apparem-ment, j'avais dit quelque chose qui ne lui plaisait pas du tout et reconnus à l'instant mon manque de tact en lui lâchant un grand sourire d'idiot, comme nous savons tous le faire dans des situations délicates, n' est-ce pas, mon cher lecteur? Puis retrouvant son calme, il reposa ses ciseaux sur son bureau et me dit en se positionnant face à moi, jambes écartéés, comme Clint Eastwood dans il était une fois dans l'Ouest en découvrant l'étui de son flingue sous sa veste : Monsieur Maaded, comprenez bien que ce n'est pas à no-us, les fonctionnaires de police, de nous payer nos armes, nos munitions, nos gilets pare-balles, nos ordi-nateurs bas de gamme à un seul processeur, notre mobilier ainsi que nos stylos à billes etc. Car voyez-vous si on devait acheter nos propres armes et nos munitions pour rétablir l'autorité, l'Etat n'assumerait plus ses responsablilités ou nos bavures, mais incomberaient à nos personnes individuelles. Ce qui ren-drait impossible pour un policier d'accomplir sa mission d'assurer la sécurité publique sans être pours-uivi par la justice!

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-Entièrement d'accord avec vous, cher inspecteur. Donc, si je vous ai bien compris, l'Etat était pour vous une chose bien pratique pour tirer sur tout ce qui était noir ou musulman, hum?

-Quoi que dites-vous là, Monsieur Maaded?

-Mais non, je plaisantais, monsieur l'inspecteur. Je voulais simplement dire qu'il devait être bien difficile pour un policier de tirer dans le noir et de faire une sommation dans la langue de Molière!

-Mais oui, vous avez entièrement raison vu qu'en France, il était très difficile pour nous de nous faire comprendre avec des mots simples que la plupart des gens de cultures étrangères comprenaient malheure-usement de travers, car ils pensaient que la France était le pays de la liberté donc d'un grand de foutoir!

-A mon avis, inspecteur, le mot de liberté n'avait pas du tout le même sens selon la culture d'où l'on ven-ait ainsi que les droits de l'Homme qui semblaient une aberration pour les gens vraiment libres.

-Mais que voulez-vous dire par là? me demanda-t-il comme intrigué.

-Oh, je voulais parler de ces voyous qui n'avaient aucune règle morale ou de respect pour nos institu- tions républicaines!

-Oui et c'est bien pour cela que nous sommes là, nous les forces de l'ordre, pour empêcher ces malotrus de semer le chaos dans notre chère république! dit l'inspecteur en reprenant ses ciseaux, puis en découpa-nt de nouvelles bandes de scotch pour réparer son siège, qu'il ne comptait à aucun moment remplacer en le payant avec ses propres deniers. Assis en face de lui, j'étais très gêné par son odieux avarisme en devi-nant, non sans arguments, que dans la police on devait être de gros radins comme la plupart des Français en se servant largement sur les comptes bancaires des dealers de drogue qu'on avait arrêté pour renflouer les caisses de l'Etat et payer ses fonctionnaires. Bref, j'attendais, non sans nervosité, que monsieur l'inspe-cteur veuille bien terminer une de ses occupations favorites, afin de le relancer sur mon futur assassinat.

Après avoir vidé entièrement le rouleau de scotch payé aux frais du contribuable, l'air satisfait, il se rassit dans son fauteuil, comme le pape sur son saint siège et me dit: Ah oui, Monsieur Maaded, mais où en éti-ons-nous exactement?

-Inspecteur Moutier, je voulais vous demander si vous vous êtes déjà promené à la campagne?

-Mais oui, mon dieu, comme tout le monde avec ma famille, mes cousins et cousines compris, je crois! Mais pourquoi vous me poser cette question idiote? me demanda-t-il l'air suspicieux en ne sachant pas où je voulais en venir.

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-Et vous êtes vous déjà approché de ces champs de ronces longeant nos charmantes routes françaises sans y ressentir une certaine frayeur? je lui demandai d'une façon toute naturelle.

-Mais oui, bien sûr, comme tous les Français, je crois. Et je ne vous cacherai pas que j'aurais bien voulu y jeter toute ma famille à l'intérieur pour m'en débarrasser une bonne fois pour toute, Ah!Ah!Ah!! ria-t-il d'un air diabolique en pivotant sur son fauteuil comme sur manège en bois. Puis me regardant avec plein de malice, il me dit : Monsieur Maaded, je vois à quoi vous voulez en venir. Mais je veux vous assurer que d'après la loi française et internationale vouloir la mort des uns et des autres n'est pas un crime tant qu'on est pas passé à l'acte, n'est-ce pas?

-Bien entendu, monsieur l'inspecteur, je ne suis pas de votre avis! je lui expédiai à la figure afin de lui montrer mon désaccord en lui disant d'un air impérial, comme à la Jules Cesar : Comprenez que si la loi était différente, je vous aurais fait tout simplement arrêter par la police!

-Ah!Ah!Ah! ria-t-il en me croyant complètement fou. Mais vous délirez complètement, monsieur Maad-ed! Quoi, vous oseriez arrêter un inspecteur de la police Nationale dans son bureau par ses propres collè-gues? Mais vous êtes fou et je crois bien que je vais vous faire interner au plus vite à Sainte-Anne pour désordre public! me lança-t-il avec dans la bouche plein d'écume de colère contre moi.

-Mais ne vous énervez pas comme cela, car vous savez bien que les députés de la république n'ont pas vo-té la loi pour l'instant et que vous pouvez dormir sur vos deux oreilles, je peux vous assurer! je lui exp-édiai afin de le lui éviter de me tirer une balle entre les deux yeux!

-Ah, j'aime mieux ça! me dit-il en détachant discrètement sa main de son porte flingue. Comprenez-bien que dans les locaux de la police judiciaire, nous ne sommes pas habitués à des débats philosophiques de ce genre où les voyous deviennent tout à coup les bons et les honnêtes citoyens les méchants. Je suis dés-olé, mais ce ne sont pas les traditions de la maison ni de la république française.

-Chose que je peux comprendre entièrement. Mais je veux vous assurer que je suis parfaitement lucide. Car quel homme intelligent ne rêverait pas d'arrêter, par exemple, le président de la Lycra pour antisémi- tisme, le président du parti anticapitaliste pour détournement de fonds, le président de SOS racisme pour actes de racisme, le président de la république française pour tyrannie envers ses ministres, him? lui env-oyai-je à la figure comme une bombe.

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-Bien, bien, voyons et pourquoi pas le préfet de la police des Hauts-de-Seine pour le vol de trois table- ttes de chocolat au Prisunic et le président de l'ordre moral pour exhibitionnisme? me lança-t-il en me fa-isant une horrible grimace tirée du théâtre Japonais. Je peux vous poser une petite question, monsieur Maaded? me demanda-t-il subitement

-Mais oui, bien sûr, que vous pouvez...

-Avez-vous pris ce matin des champignons hallucinogènes ou une substance illicite? me demanda-t-il brutalement en frappant son stylo à bille sur son bureau comme une petite matraque.

-Ah non, inspecteur, jamais de la vie, je me serai permis de faire une telle chose avant de me présenter au commissariat et tout particulièrement devant ses respectables forces de l'ordre que vous représenter, je vous l'assure! je lui balançai comme une formalité appréciée par tous les fonctionnaires de police et con-nue par tous les voyous qui l'avaient expérimenté un millier de fois lors d'interrogatoires musclés dans les locaux de la police judiciaire, bref, une simple formule de politesse qui pouvait vous éviter de vous faire passer à tabac, Ah!Ah!Ah! Mais pourquoi vous me poser cette étrange question? je lui demandai en faisant l'innocent comme saint-Augustin. Mais voyant mon air angélique, il me dit:Non, j'disais ça comne ça! en lâchant subitement son stylo sur son bureau comme une combat perdu d'avance. Puis se rehauss-ant sur son fauteuil avec plein de gravité, il me dit : En fait, monsieur Maaded, je crois que vous prenez vos désirs pour des réalités. Et si vous comptiez réaliser vos phantasmes sous la 5 ème république franç-aise, je peux vous assurer que vous risquez d'être très déçu! tout en se laissant tomber lourdement sur son fauteuil que j'entendis exploser une seconde fois. Mais sachant que son rouleau de scotch était entièrem-ent vidé, il n'osa pas se relever et me regardait avec défiance et plein de rancoeur.

-Inspecteur Moutier, lui dis-je pour me défendre, je veux vous assurer que mon phantasme n'a jamais été de vouloir assassiner un de mes semblables, mais uniquement de faire arrêter mon futur assassin! Afin qu'il juge ma bonne foi et mon innocence qui lui semblait encore douteuse. Bref, comme dans tous les commissariats de France où souvent nous étions pris pour des criminels voir des imbéciles en y mettant un pied par erreur ou plutôt deux pieds par un idiot comportement de bon citoyen. Notre horrible crime étant bien évidemment de les déranger et de les faire travailler au moins une heure dans la journée, Ah!Ah!Ah! C'est pour cette raison que je conseillerais à mes chers lecteurs de ne jamais y aller pendant le week-end où nos représentants des forces de l'ordre pourraient bien le prendre comme une provocation et vous soumettre à un dure interrogatoire pour justifier leur salaire ou si vous voulez, vous chercher des poux dans la tête. Comme vous le voyez, ce livre était aussi un livre de conseils que je destinais aux hon-nêtes citoyens, n'est-ce pas? L'inspecteur, me voyant reprendre mes esprits de l'autre côté de son bureau, me dit : D'accord pour ce que vous me dites. Mais alors pourquoi toutes ces allusions farfelues à l'égard de nos personnes illustres dont la moralité était exemplaire au sein de notre chère république? me dema-nda-t-il en me regardant avec défiance une nouvelle fois.

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-Parce que tout cela pourrait bien changer, cher inspecteur! je lui envoyai avec assurance et fermeté que je me croyais incapable jusque là.

-Mais que voulez-vous me dire exactement? me demanda-t-il l'air inquiet.

-En fait, je voulais vous dire tout simplement que derrière ces masques, apparent de la respectabilité, il y avait des hommes et seulement des hommes!

-Mais oui, je le sais bien. Et pensez-vous pour autant que je pourrais les arrêter pour cette raison? me de-manda-t-il avec une grande fermeté en sachant parfaitement ce que la loi lui permettait de faire ou de ne pas faire et bien évidemment pour en faire le moins possible, Ah!Ah!Ah! Puis reprenant son arrogance de fonctionnaire de police honteusement gonflée par le prestige d'assurer la sécurité de l'Etat et du citoyen, il me dit: Monsieur Maaded, soyez réaliste, mais vous savez bien que personne ne vous dira en face qu'il comptait vous assassiner ou bien voler votre portefeuille, n'est-ce pas? tout en basculant dans son fau-teuil qui se mit subitement à grincer comme un vieux manège. 

-Un peu d'huile ne serait pas inutile, cher inspecteur, je lui lançai afin de me venger de sa morgue insupp- ortable.

-Désolé, monsieur Maaded, de vous briser les oreilles. Mais pour l'instant nous n'avons pas le budget su- ffisant dans la police Nationale, comme vous le savez.

-Monsieur l'inspecteur, je vous assure qu'un litre d'huile au Prisunic ne coûte pas bien cher! je lui lançai afin qu'il soit plus pragmatique, mais surtout moins radin.

-Mais je vous le répète une fois de plus, ce n'est pas à nous, les fonctionnaires de police, de nous payer nos fournitures de bureau et nos instruments de travail que sont nos armes et patati et patata, mais à l'Etat qui est notre employeur, ne l'oubliez pas! m'expédia-t-il à la figure tout en baissant les yeux sur son bur-eau où il déplorait l'état de ses stylos à billes, gommes, crayons à papier, ordinateur qui semblaient en bout de course.

-Oh oui, je peux parfaitement vous comprendre vu la tâche herculéenne que vous devez accomplir cha-que jour pour assurer la sécurité du citoyen au péril de votre vie! je lui balançai afin de le faire mousser un peu et lui montrer que je n'étais pas un monstre sans cœur, mais un homme qui pouvait compatir au malheur d'être un fonctionnaire de police, bref, dans ce monde de brutes! Me voyant presque la larme à l'oeil pour son métier très ingrat et choisi uniquement pour la sécurité de l'emploi, mais sans l'assurance d'arriver en vie jusque là retraite, il me dit : A propos de ce que vous me disiez tout à l'heure sur ce qui pourrait bien changer dans les prochaines décennies, mais que vouliez-vous me dire exactement?

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-Ah oui, je m'en rappelle maintenant! En fait, je voulais tout simplement vous dire quand je vais sur Inte- rnet, j'apprenais tous les jours des choses hallucinantes sur notre société occidentale. Où la semaine dern-ière, j'ai appris que des blancs n'aimaient plus les blancs, des noirs détester les noirs, des phiosophes de gauche s'en prendre violemment aux gens de gauche, des juifs critiquer avec une grande hargne des juifs où certains étaient devenus antisémites et nostalgiques du 3 ème Reich! Sans oublier les gens sur Faceb-ook et sur Twitter où des pompiers nous avouaient sans honte avoir peur du feu ainsi que des sauveteurs en haute mer avoir peur de l'eau!

-En êtes-vous sûr, monsieur Maaded? me demanda-t-il comme intrigué par mes hallucinantes révélations en ouvrant subitement son tiroir d'où il sortit un petit sac de cacahouètes qu'il déposa sur son bureau.

-Vous aimez les cacahouètes? me demanda-t-il en poussant le petit sac dans ma direction.

-Mais qui n'aime pas les cacahouètes, monsieur l'inspecteur?

-Eh bien servez-vous, c'est moi qui les ai payé! me dit-il d'un air dégoûté comme s'il aurait aimé que l'Etat français les lui paye pour service rendu à la nation et pourquoi pas ses petits salés parfumés au Cu-rry ou à l'olive? Ah!Ah!Ah! ricanai-je intérieurement

-Merci inspecteur, je lui dis en piochant ma main dans le sac qu'il surveilla avec une grande attention pour ne pas que je le vide.

Bizarrement, j'avais l'impression d'être dans un épisode de la planète des singes où deux singes savants s' entretenaient sur le destin de l'humanité! L'inspecteur, la bouche pleine de cacahouètes, me disait d'une façon fort bruyante: Personnellement, je pense que toutes les personnes auxquelles vous faisiez allusion avaient tout simplement pété les plombs! tout en piochant dans le paquet de cacahouètes qui se vidait à vue d'oeil. Profitant de sa réflexion qu'il croyait géniale, je piochais moi aussi dans le paquet et en pris une bonne poignée, mais qu'il ne sembla pas bien apprécier en tirant aussitôt le paquet vers lui comme étant sa propriété personnelle. Bien évidemment, je ne voulais pas créer de scandale dans le bureau perso-nnel du chef de la police où à tout moment, il pouvait dégainer son pistolet et me loger une balle entre les deux yeux pour une poignée de cacahouètes! Saisissant son mauvais caractère de flic en mal de recon-naissance officielle( car il croyait que tout lui était dû vu le sacrifice de sa vie privée pour la nation, mais qu'il aurait bien voulu négocier contre un sac d'un kilo de cacahouètes payé par le contribuable, bien évi-demment), je lui lâchai un grand sourire d'idiot dont j'avais le secret pour ne pas me faire tabasser par les forces de l'ordre républicaines, Ah!Ah!Ah!

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-Inspecteur, je ne peux être que d'accord avec vous! je lui expédiai afin de le caresser dans le sens du poil. Et personnellement, je crois que si nos compatriotes avaient pété les plombs, c'est parce qu'ils n'avaient plus rien d'intéressant à dire ou à faire.

-Que voulez-vous me dire exactement, monsieur Maaded? me demanda-t-il intrigué tout en rangeant son paquet de cacahouètes dans son tiroir pour un prochain interrogatoire.

-En fait, je pense que si nos chers philosophes et autres intellectuels, chouchous des médias, tapaient dur-ement sur leur propre camp, c'est parce qu'ils n'avaient plus d'idées nouvelles à nous proposer tout bonn-ement.

-Je pense saisir ce que vous voulez me dire, monsieur Maaded. Mais croyez bien que dans nos bureaux de la police judiciaire, nous ne faisons pas de politique ni nous ne tenons de colloques philosophiques ou intellectuels sur l'avenir de la société occidentale, mais devons suivre à la lettre les ordres du préfet qui sont soit d'intervenir soit de ne pas intervenir quand un danger se présente pour nos concitoyens! dit-il d' une façon pompeuse en bondant le torse.

-Cela semble évident, monsieur l'inspecteur, ce qui vous assure ainsi l'éfficacité de vos actions pour ga-rantir la paix à nos concitoyens, n'est-ce pas?

-Oui et c'est bien pour cette raison que nous, les officiers de police, nous ne sommes pas des philosophes ni des intéllectuels. Car cela risquerait de compliquer sévèrement nos arrestations de voyous en puissan-ce, qui pourait alors se defendre en nous sortant la déclaration des droits de l'Homme et pourquoi pas le petit livre rouge de Mao, Ah!Ah!Ah! ria-t-il en s'enfonçant dans son fauteuil comme un gros éléphant. Bi-en évidemment, je ne pouvais le contredire vu le poids de ses arguments.

-En fait, ce que je voulais simplement vous révéler, inspecteur Moutier, c'était l'imposture de ces gens, honteusement nommés de génies par les médias, alors qu'ils n'en sont pas! je lui lançai afin d'être plus pr- écis dans mes argumentations auprès d'un officier de police qui semblait connaitre la réalité ou du moins saisir la vérité.

-Et pourquoi ils n'en sont pas? me demanda-t-il subitement en m'interrogeant du regard en pensant un peu bêtement que si vous étiez un génie vous deviez forcément passer à la télé, sinon vous n'en étiez pas un! Bref, un étrange raisonnement que j'ai toujours eu du mal à comprendre sachant que le génie n'avait aucun rapport avec la communication exploitée par les médias pour vendre des produits marchands où s' entremélait étrangement des produits alimentaires avec des produits technologiques et culturels( steak de soja, Iphones, livres, chansons à la mode, etc) et non pas des choses uniques et exceptionnelles que seuls les génies étaient capables de produire pour faire avancer l'humanité. Visiblement, la bourgeoisie victori-euse s'était accaparée des grands médias de communication pour faire fructifier ses affaires! Et personn-ellement, je n'avais rien contre le commerce du moment qu'il soit honnête et règlo. Mais là, nous avions affaire à un génocide culturel sympathiquement organisé autour d'un énorme barbecue payé par la redev-ance télé des Français, Ah!Ah!Ah!

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-Pour vous répondre avec honnêteté, cher inspecteur, il me semble que si nos philosophes et autres inte-llectuels avaient pété les plombs en nous racontant à présent de grosses conneries, c'est parce qu'ils étai-ent tout bonnement des escrocs et qu'on le découvait aujourd'hui! je lui balançai comme une révélation stupéfiante qu'aucun journal télévisé n'aurait eu l'idée d'annoncer à la France toute entière pour éviter un fiasco économique aussi bien à ses auteurs qu'a leurs maisons d'éditions, Ah!Ah!Ah!

-Comprenez bien, monsieur Maaded, que ce n'est pas pour moi une raison suffisante pour les faire arrêt-er! me dit-il brutalement. Car bien même ils seraient des escrocs, selon vos dires, l'escroquerie intellectu-elle, philosophique et littéraire n'est pas un délit punie par la loi! Je suis désolé de vous le dire, mais je ne fais que suivre les directives européennes sur les libertés démocratiques de notre pays qui permettent à chacun de dire autant de mensonges qu'il le veut du moment que des imbéciles sont prêts à les croire! me balança-t-il l'air plutôt satisfait par sa démonstration fumeuse.

-D'accord, chef, je vois ce que voulez dire. Mais vous personnellement, comment vous faites pour ne pas péter les plombs dans ce monde d'imposteurs et de brutes? je lui demandai un peu brutalement

-Moi?

-Oui, vous!

-Eh ben, je bats régulièrement ma femme, mes enfants et mon chien pour ne pas m'en prendre à la société, Ah!Ah!Ah! ria-t-il sans la moindre once de culpabilité.

-Inspecteur, vous avez visiblement trouvé le moyen idéal pour assurer la paix sociale hors de votre domi- cile, me semble-t-il?

-Oui, c'est exact et que j'aurais tant aimé inspirer aux terroristes que nous avons sur notre territoire franç- ais, afin qu'ils arrêtent de balancer des bombes sur leurs concitoyens! me lanca-t-il comme une bombe.

-Je suis entièrement d'accord avec vous, inspecteur. Mais sans indiscretion, n'avez-vous pas peur d'être poursuivi par les associations féministes, de protection de l'enfance et des animaux qui en France forme-nt un pouvoir considérable, hum?

-Non, pas vraiment, car comprenez bien que personne n'envisagerait de porter plainte contre un représen- tant de la loi qui assure la sécurité de tous dans les lieux publics, bien évidemment. Et puis, j'ai toujours pensé qu'il valait mieux laver son linge sale en famille que sur la voie publique qui engendrait à chaque fois du désordre. Ce à quoi nous luttons quotidiennement, nous les forces de l'ordre et malgré que nous soyons payés avec des cacahouètes pour protéger les biens d'autruis et le système capitaliste! me dit-il co-mme à regret en sachant que son travail garantissait la fortune et la réussite de ceux qui exploitaient le système et non la sienne. En fait, il m'avouait sans bien me le dire qu'il était un garde chiourme pour gros milliardaires, Ah!Ah!Ah!

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-Une fois de plus, je suis d'accord avec vous inspecteur! je lui dis afin de lisser les choses. Mais sans ind- iscretion, votre femme, vos enfants et votre chien qu'en pensent-ils de passer à la moulinette tous les qui- nze jours, hum?

-Alors là, monsieur Maaded, je rectifie votre erreur, car je ne les bats qu'une fois par mois, ce qui est un détail qu'il ne faut pas négliger, pensez-bien! me lança-t-il comme s'il voulait que je le considère comme un saint et pourquoi pas pour un saint apôtre? Ah!Ah!Ah! ricanai-je intérieurement. En fait, pour ne rien vous cacher, ma femme semble prendre du plaisir quand je la frappe et c'est bien évidemment une énigme qui nous échappe à nous les hommes qui par nature aimons taper sur tout ce qui est petit et faible et tout particulièrement à la police nationale où nous aimons frapper sur les Arabes, les noirs et les musulmans! ajouta-t-il comme pour enfoncer le clou. Quant à mes enfants, en leur donnant des coups sur la tête, je leur apprends ce à quoi qu'ils devront s'attendre dans ce monde violent qu'est notre société occidentale et capitaliste. Ainsi, ils seront mieux armés pour se défendre contre tous ces zoulous que nous avons en Fr-ance qui enfreignent nos lois pour le plaisir de les enfreindre. Car ils croient que la liberté, c'est la permi-ssion de faire tout ce qu'on le veut et pourquoi pas se branler en public? lâcha-t-il violemment dans le bureau. J'espère seulement que mes enfants suivront mes pas dans la Police Nationale où ils auront en fait peu de choses à apprendre, vu que je les avais formé de la meilleur façon qui soit, me dit-il comme satisfait par son boulot de père de famille violent. En voulant semble-t-il la perpétuer comme une tradi-tion dans la police française où l'on était macho et raciste par déformation professionnelle, ne nous le ca-chons pas, mon cher lecteur. Ceci est dit bien évidemment sans vouloir faire de polémique auprès de nos forces de l'ordre que nous aimons tant, n'est-ce pas?

-Mais alors pourquoi vous en prendre à votre chien qui ne vous avait rien fait ni aucun mal à la société des Hommes? Je lui demandai subitement.

-Oui, mais voyez-vous, c'est que mon chien est aussi un membre de ma famille qui m'en fait baver tous les jours, comme ma femme et mes enfants avec leur besoin continuel d'amour et que je te fais des biso-us par-ci par-là! Sans oublier de vous dire qu'il me bave dessus à la moindre occasion pour me dire qu'il m'aime. Je vous assure monsieur Maaded, à la longue, c'est épuisant, vraiment épuisant! lâcha-t-il com-me à bout de souffle.

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-Oh, comme je vous comprends, monsieur l'inspecteur ! Mais alors comment faites-vous pour le punir de ce trop plein d'amour en vous bavant continuellement dessus et en mettant très certainement des poils de partout sur vos beaux costumes et uniformes, j'imagine? je lui demandai afin de connaître ses perversités.

-Oh, c'est simple, je le prive de nourriture et d'eau pendant 3 jours afin qu'il comprenne que son amour baveux, je n'en veux plus! Je n'en veux plus! cria-t-il d'une maniere hystérique au point d'allonger ses jambes sur la table comme pour décompresser où j'aperçus qu'une de ses semelles était trouée!

-C'est vrai que les croquettes pour chien sont un peu chères en ce moment, même à Carrefour, comme si leur prix était fixé à la bourse de New York! je lui lançai afin de compatir à ses maigres émoluments d' inspecteur de police et le peu d'argent qu'il lui restait pour pouvoir se payer une nouvelle paire de pompe.

-Vous avez entièrement raison, monsieur Maaded. Mais j'aurais moi aussi une question à vous poser. Car je vous trouve bien indiscret sur ma vie privée, alors que vous ne m'en avez pas dit une miette sur la vô-tre, hum?

-Oui, bien effectivement, mais quelle est votre question exactement?

-Mais vous, personnellement, comment faites-vous pour ne pas péter les plombs dans ce monde où appa-remment vous êtes pris pour un imbécile et sans la moindre considération de la part de vos semblables? me balança-t-il d'une façon méprisante comme si j'étais un minus ou comme avait dit notre dernier prési-dent de la république( François Hollande), un sans dents! Et contrairement à ce qu'avaient raconté les mé-dias, cette expression "les sans dents" n'était pas destinée aux gens qui n'avaient pas les moyens de se pay-er des frais dentaires, mais à ceux qui n'avaient pas les dents assez longues pour se battre dans la société, Ah!Ah!Ah! Apparemment, Tierwieler, son ex petite idiote n'avait rien compris au sens caché des propos de son ex-coureur de jupon. Ajoutons à cela, les propos méprisants de son actuel successeur, monsieur Macron, sur "les gens qui n'étaient rien" parce qu'ils ne pouvaient pas lui répondre en direct dans les me-dias. Bref, une chose si facile pour lui, mais pas pour les gens anonymes, n' est-ce pas?

Assis confortablement dans son fauteuil, que je savais percé de toute part, il me lança un odieux sourire où j'aperçus entre ses dents des restes de cacahouètes qu'on appelle des épluchures, Ah!Ah!Ah! Apparem-ment, l'inspecteur principal de la police me prenait pour un imbécile en s'imaginant être plus intelligent que moi, car il pensait comme un vieux singe que les cacahouètes pouvaient rendre plus intelligent les idiots, Ah!Ah!Ah! Bref, comme dans tous les lieux administratifs où l'on s'empifrait de petits salés en cr-oyant à la magie d'avoir un emploi à vie et pourquoi pas de l'intelligence? Mais ne voulant pas lui gâcher son plaisir de primate, je le laissais savourer ces instants qui semblaient gonfler son égo surdimensionné ainsi que son idiotie naturelle. Comprenez-bien, mon cher lecteur, en tant que génie, qu'il m'était imposs-ible d'abdiquer devant un moustique de la pensée en lui lançant d'une manière éffrontée : En fait, monsie-ur l'inspecteur, pour ne pas péter les plombs dans ce monde absurde et faire du mal à mes concitoyens, je me masturbais en pensant que j'enculais la socièté française et ses institutions! Aussitôt, je vis son visage se décomposer d'une manière monstrueuse et sa main glisser doucement vers son porte-flingue. Un inst-ant, je crus qu'il allait me loger une balle entre les deux yeux pour lui avoir dit la vérité! Mais à mon gra-nd étonnement, il retira sa main de son porte-flingue pour enserrer fortement les accoudoirs de son fau-teuil afin de reprendre le contrôle sur lui-même et sur ses nerfs, apparemment. Tout à coup, on frappa à la porte vitrée du bureau où un de ses collègues lui fit un signe pour savoir si tout se passait bien. L'ins-pecteur, que je vis changer d'expression en un quart de seconde eut un sourire d'hypocrite et d'un signe de la main lui dit que tout était ok. Ce qui rassura son collègue qui répartit aussitôt dans le couloir où j' avais remarqué, en entrant dans le commissariat, des portraits de policiers tombés sous les balles des tru-ants et des terroristes plaqués sur les murs, comme des héros de guerre ou de la grande cause perdue d'av-ance, Ah!Ah!Ah!

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-Bien, bien, monsieur Maaded, me dit-il, malheureusement, je ne peux pas vous arrêter pour cette raison. Car pour la loi française et internationale, ce que vous faites chez vous en privé n'est pas un délit puni par la loi! déplora-t-il en faisant une moue indescriptible.

-Oui, c'est évident et c'est bien pour cela que je vous l'ai dit ouvertement en sachant que je prenais aucun risque! je lui balançai à la figure, mais sans pour autant lui rire au nez, car je pense sincèrement qu'il m' aurait déchargé deux balles dans le crâne!

Bref, après toutes ces confidences explosives, un lourd silence s'installa dans la pièce où j'avais l'impres- sion que l'inspecteur de police, monsieur Moutier, inspectait ma conscience tel un adepte de Freud ou de la psychanalyse, mais en n'y connaissant rien du tout en sachant qu'on enseignait pas ces choses à l'école de Police. Bizarrement, j'imaginais alors un nouveau métier pour les futurs policiers où ils n'auront plus à arrêter les voyous par la force, mais en sondant leur conscience comme des mentalistes afin de connaît-re leurs intentions malsaines. A ne surtout pas confondre avec le détecteur de mensonges employé par la police américaine où le voyou pouvait mentir comme il voulait aux questions des enquêteurs pour le pl-aisir de mentir, Ah!Ah!Ah! En imaginant la science de demain où elle trouvera une machine ou un gadget électronique pour renifler ou détecter les mauvaise intentions des gens qu'ils soient riches ou pauvres, bien évidemment. En respectant le traitement égalitaire tel qu'on ne pouvait que le concevoir en France dans son système républicain. L'inspecteur, à le voir me faire une drôle de figure, semblait très perturbé voir halluciné par ma personne qui lui paraissait comme un ovni venant d'une autre planète ou si vous voulez comme un objet vivant non identifiable pour l'instant. Car je sentais bien qu'il n'arrivait pas à son-der ma conscience ou mon hyperconscience de génie avec ses faibles moyens sensoriels et intellectuels. Puis sans raison apparente, il s'enfonça dans son fauteuil en prenant étrangement une pose philosophique, je ne dirais pas à la Rodin, mais en mettant son menton dans le creux de sa main et en me demandant biz-arrement : Monsieur Maaded, pensez-vous vraiment révolutionner la littèrature française en inversant se-ulement l'ordre des mots dans une phrase, hum? tout en faisant gigoter ses doigts sur sa joue comme pour me montrer son impatience.

-Quoi, monsieur Moutier, vous vous intéressez à la littérature? lui lançai-je comme surpris par l'intérêt qu'il semblait porter à mon expression qui, il faut le dire, était riche en conséquences politiques et idéo- logiques.

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-Oui, comme tous les Français qui croyaient malheureusement qu'en inversant l'ordre des mots dans une phrase, ils pouvaient réformer leurs institutions et tous le reste avec! me dit-il en me jetant un regard cyn- ique.

-Croyez-bien, inspecteur, que je ne changeais pas seulement l'ordre des mots dans une phrase, mais littér-alement le sens! je lui balançai afin de lui faire comprendre que la langue française était une petite merve-ille pour tout dire et son contraire en même temps, bref, une vraie machine à mensonges où la vérité ne représentait que 10% de sa littérature, Ah!Ah!Ah! Mais c'était toujours ça, j'avais toujours pensé en y vo-yant une formidable machine à rêves pour les tous Français qui vivaient dans un monde chimérique fait de fêtes citoyennes et de grèves permanentes payées aux frais de la princesse, Ah!Ah!Ah! Mais entre nous que serait la vie des Français sans leurs formidables illusions, mon cher lecteur, sinon qu'un affreux cau-chemar? Et souvent, je me demandais si les Français pourraient survivre à l'éffondrement de leur Etat qu' ils idôlatraient telle une ruche pleine de miel? Car à les voir agir dans la réalité où ils se sentaient si seuls et perdus, comme des enfants immatures, j'étais convaincu qu'ils deviendraient complètement fous en qu-elques semaines sachant qu'ils l'étaient déjà à moitié, Ah!Ah!Ah! En fait, comme tous les Français avaient une nature de suiveur et de domestique, le fait de perdre leur grand ordonnateur serait pour eux comme leur donner le coup de grâce. Car il leur fallait absolument quelqu'un ou quelque chose d'autoritaire pour les rassurer et leur montrer la bonne direction des étables où ils seraient en sécurité et surtout loin du grand méchant loup qui rôdait dans les environs, Ah!Ah!Ah! Ainsi était la nature du Français qui ne chan-gerait pas d'ici tôt, croyez-moi. Bref, en voyant l'inspecteur, assis dans son fauteuil dont la mousse de rembourrage débordait de tous les côtés, j'avais l'impression d'avoir affaire à un escroc dont le pouvoir était légitimé par l'Etat et bien évidemment pour nous emmerder jusqu'à la fn des temps, Ah!Ah!Ah! En supposant, non sans raison, que dans 4000 ans, nous aurions aussi nos flics de l'espace ainsi que nos vo-yous interplanètaires trafiquant des poudres magiques et diverses monnaies martiennes ou jupitériennes.

-Monsieur Maaded, vous n'avez pas l'air d'aimer vos compatriotes! me dit-il subitement.

-Oh non, tout au contraire, inspecteur, je les adore! Car voyez-vous, quand je les croise tous les jours dans ma rue, je les entends constamment en train de râler sur ce qu'ils n'ont pas ou sur qu'ils voudraient être et bizarrement sans vouloir faire aucun effort pour y parvenir, Ah!Ah!Ah! C'est pour cette raison que j'aime éperduement la France, car c'est un pays où l'on s'y ennuie jamais avec tous ces grévistes en pui-ssance et tous ces emmerdeurs de première.

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-Oui, je vois ce que voulez dire, monsieur Maaded, où moi-même et mes collègues de la police nationale sommes quotidiennement emmerdés par des voyous de toutes espèces venant de tous les horizons socia-ux, je vous l'assure.

-En fait, vous courez toute la journée après tout le monde sans avoir quatre paires de jambes pour pou-voir le faire, n'est-ce pas?

-Oui, c'est exact et c'est vraiment très épuisant pour nous les fonctionnaires qui attendons depuis des ann-èes la decision de l'Etat de nous mettre la journée de 3 heures au lieu de la semaine de 25 heures actuel-le pour pouvoir enfin courir après des choses plus plaisantes et de plus agréables, croyez-moi.

-Oh oui, comme  je vous comprends, monsieur l'inspecteur! je lui dis afin de compatir à son sort de prof-essionnel de la gâchette facile, de la cible préférée des terroristes et du bracelet de menottes qui fait tant de mal aux poignets d'après ma propre expérience. Donc, si je vous ai bien compris, vous êtes d'une cert- aine façon menotté aux voyous jusqu'à votre retraite? je lui lançai pour le déprimer encore plus.

-Oui, si l'on peut dire et sans l'assurance d'y arriver vivant, croyez-moi! me dit-il en voulant m'inspirer presque de la pitié. Mais une pitié à laquelle je ne voulais pas participer, car je savais en toute connaiss-ance de cause que monsieur Moutier, inspecteur de police de son état, avait un emploi à vie, un salaire à vie et une retraitre assurée s'il survivait à son metier!

Pofitant d'une petite accalmie dans le bureau du chef de la police, je pensais à tout ce que je lui avais dit qui bien évidemment sortait de tout entendement humain ou de la bienséance. Mais une chose parfaitem-ent envisageable par le génie que j'étais dont le rôle était de transcender le réel voir de dépasser la littérat-ure telle qu'on la concevait en France depuis le 18 ème siècle, mais qui était tombée aujourd'hui dans la puanteur des halls de gare et dans les sables de la platitude commerciale. En fait, j'ai toujours pensé que le génie était une grâce que vous accordait Dieu et la Nature et aucunement les institutions qui n'étaient pour moi qu'une cour de perroquets qui répétaient à longueur de journée les mêmes mots, les mêmes idées que leurs prédécesseurs leur avaient enfoncé dans la gorge, tel un gavage institutionnel afin d'end-ormir la population par un phénomène incantatoire pour qu'elle perde toute lucidité! Ce qui entre nous représentait une véritable escroquerie intellectuelle, mais à laquelle nous n'insisteront pas auprès de notre lecteur afin qu'il n'oublie pas d'acheter ses navets à la librairie de son quartier où les médias avaient pris le pouvoir culturel et économique, Ah!Ah!Ah! A ce propos, l'inspecteur Moutier n'y échappait pas lui au-ssi, quand je le voyais assis sur son saint siège en piteux état à attendre les ordres du préfet pour prendre son calibre et tirer à vue sur tout ce qui était bronzé et musulman, Ah!Ah!Ah! En fait, j'avais l'impressi-on dans son bureau d'assister à un simulacre de la loi ou de l'autorité. En sachant bien qu'elle ne représ-entait pas la justice de dieu, mais la justice des Hommes. Car dieu seul connaissait notre véritable valeur en nous donnant la grâce, tel qu'il me l'avait donné par l'intermédiaire de sa muse qu'on appelle la Nature en m'accordant des dons extraordinaires pour jouir de tous mes sens. Ainsi merveilleusement dotés, vous étiez peu enclin à la frustration ou à la jalousie, puisque vous étiez proche de la perfection, comme d'être un homme et une femme en même temps, mais sans avoir les inconvénients de l'un ni de l'autre. Par con-tre, la seule chose qui vous agaçait, c'était le surnombre d'imposteurs dans la société française que je ren-iflais à 10 kilomètres grâce à mon odorat super développé, comme celui d'un chien qui savait reconnaître en une fraction de secondes s'il était en présence d'un génie ou bien d'un escroc qui s'en donnait toutes les apparences.

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En fait, l'un et l'autre n'avaient aucun rapport, car les génies étaient en faible nombre parmi nous (envir-on 10%), alors que les imposteurs pullulaient dans notre société française où ils ne visaient que la réuss-ite sociale et l'argent, bien évidemment. Car seuls les génies étaient capables de créer des oeuvres uniques et exceptionnelles donc pas répliquables en une infinité d'exemplaire. Alors que les imposteurs, qui étai-ent au départ des commerçants( je n'ai rien contre les commerçants) voulaient produire des biens marcha-nds en quantité industrielle touchant malheureusement aux activités culturelles. Ce qui n'était pas du tout dans le domaine de leurs compétences et surtout très préjudiciable pour l'avenir de notre société. Comp-renez bien que je ne critiquais pas les vrais commerçants qui faisaient du vrai commerce dont nous avi-ons besoin pour nous assurer les moyens de manger, de s'habiller et de se meubler, par exemple, mais les commerçants de la deuxième catégorie qui étaient d'ordre idéologique, intellectuel, voir artistique faisant partie de l'art contemporain en produisant des oeuvres de piètre qualité qui faussaient nos jugements est-hétiques pour nous entraîner à très court terme vers le chaos culturel. Bref, un chaos culturel que nous percevions déjà autour de nous avec les nouvelles hallucinantes que nous apprenions sur Internet et sur les réseaux sociaux où toute la planète semblait péter les plombs avec l'incroyable montée du terrorisme, comme si l'on assistait à l'implosion du monde en direct sans que l'on puisse changer le cours ou le des-tin, sinon vouloir le retour des génies parmi nous pour changer la donne? Car je veux vous assurez que la Nature ne donnait pas du génie à tout le monde, mais seulement à ceux qui étaient aptes à l'assumer en sachant bien qu'ils seront haïs en grande majorité par leurs contemporains, tel que je le suis en me sentant très injustement maltraité par la société française. Bref, d'avoir un courage monumental pour assumer cette lourde responsabilité de dire tout simplement la vérité à mes contemporains, ce qui n'était pas une mince affaire voire une mission quasi impossible. Car le génie ne pouvait être compris par le commun des mortels en sachant qu'il était proche de la folie, mais que ce dernier contrôlait à l'encontre des vrais fous dont les idées délirantes et complèment folles partaient dans tous les sens et l'entraineraient fatalem-ent à plus ou moins court terme dans un asile psychiatrique.

Un fait indéniable dans la nature où il n'y avait pas de hasard, mais une anomalie viable qui caractérisait le génie chez un homme. Je ne dirais pas chez une femme, car le génie chez une femme, c'est de donner la vie et non de changer ou de chambouler la société des Hommes, mais un rôle social du bien vivre ense-mble afin d'élever leurs enfants en toute tranquillité et surtout éviter qu'ils deviennent des fous ou du moins des asociaux et ennemis de la société des Hommes. Je pense que mes lectrices seront d'accord avec moi, n'est-ce pas? A part peut-être les femmes politiques qui pensent avoir du génie parce qu'elles ont des fonctions ministérielles au sein du gouvernement, Ah!Ah!Ah! Et puis entre nous, mes amis, mettez une majorité de femmes au pouvoir et vous verrez aussitôt la société française se transformer en une immen-se garderie pour enfants attardés tels que sont les Français, Ah!Ah!Ah! Mais ainsi sont les femmes qui ne changeront pas d'ici tôt du fait de leur nature, je vous l'assure. En fait, pour être cru, je dirais que les femmes politiques voulaient être des hommes, mais sans avoir les couilles pour le devenir, Ah!Ah!Ah! C'est un peu comme les écolos qui voudraient par une étrange lubie devenir des herbivores! A ce propos, j'ai une croustillante anecdote à vous raconter qui s'est passée dans mon café habituel où un jour, une jeune femme pas du tout contente de ce que je disais sur  les femmes, m'a insulté et m'a dit en me regard-ant en face : Moi, je t'encule et que ça te plaise ou non! Moi bien évidemment, stoïque, comme je le suis toujours, je me suis alors retourné en lui montrant mon postérieur pour lui dire : Eh ben, vas-y, j'attends de voir comment tu vas t'y prendre, connasse, Ah!Ah!Ah! La jeune femme, prise d'une rage folle contre moi, partit aussitôt se cacher dans les toilettes du café. Mais bon, telles sont les femmes pour se remettre de leurs émotions et essuyer leurs larmes où leur mascara avait coulé sur les joues pour ressembler à de petites marionnettes bariolées qu'un homme eut pitié. Mais prions pour elles, nous les hommes qui conn-aissons leurs faiblesses, mais qu'elles voulaient de moins en moins assumer tellement la propagande fém-iniste était féroce de nos jours et tout particulièrement contre nous les hommes qui leur étaient supérieu-rs! En fait, dans tous ces phénomènes contre-nature que j'observais dans ma vie quotidienne, j'y entra-percevais déjà la future guerre des sexes que fatalement nous gagerons, nous les hommes. Car je savais en toute connaissance de causes qu'elles flancheraient avant nous tellement elles avaient besoin d'amour pour se sentir exister!

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Apparemment, dans ce monde très incertain, tout le monde cherchait son double ou son autre moitié. Et je me demandais étrangement si le chiffre 2 n'était pas le chiffre magique ou le nombre d'or qui régissait l'ordre dans tout l'univers? Car que seraient alors les femmes sans les hommes et vis-versa, l'Eglise sans le mal, l'Etat sans le peuple, les pompes funèbres sans la mort( dont j'aurais tant aimé organiser les obsè-ques en grandes pompes pour le plaisir, Ah!Ah!Ah!), les flics sans les voyous, les imbéciles sans les gens intelligents, l'avenir de l'humanité sans les génies, les médias sans les imposteurs, le capitalisme sans l'ar-gent, les planètes sans la force de gravité? etc. Bref, une chose inenvisageable pour que le monde puisse tourner rond, n'est-ce pas? En regardant l'inspecteur Moutier assis dans son fauteuil (où il ne manquait que les deux roues pour ressembler à un fauteuil d'handicapé mental et physique, Ah!Ah!Ah!), je le vis ouvrir son tiroir et piocher dedans des cacahouètes comme pour doper son intelligence qu'il savait peu développée. Son geste me faisait penser ironiquement a la manie de nos très célèbres Obélix et Astérix( nos personnages de BD très franchouillards) qui prenaient leur potion magique pour se sentir plus fort voir plus audacieux pour aller combattre l'Empire Romain ou si vous voulez les forces qui les dépass-aient de tres loin. C'est à dire les génies et les criminels dont les actes immoraux et ignobles étaient para-doxalement un réservoir inépuisable d'emplois aussi bien pour la police que pour les hôpitaux et les po-mpes funèbres, nécessairement. A le voir assis dans son fauteuil de paralytique, il me faisait vraiment pit-ié au point que j'avais presque envie de lui lâcher une petite larme, mais que je me refusais afin d'éviter une déshydratation rapide dans son bureau où le chauffage était poussé à fond, comme pour rôtir les voyous menottés à leurs sièges. Avec l'impression d'assister à une vaste comédie que j'aurais appelée sans problème, l'Opéra des escrocs où les comédiens jouaient fort mal et les chanteurs chanter horriblement faux en assistant en direct au suicide du metteur en scène pour des raisons parfaitement compréhensibles. Bref, nous étions au théâtre français peuplés de fous et d'illuminés, Ah!Ah!Ah!

Et bien que tout le monde sembla jouer son rôle à merveille, le public n'y voyait que du feu parce qu'il était sourd et aveugle malgré que tout se cassait la gueule sur la scène où les catastrophes s'enchainaient les unes après les autres, comme si elles faisaient parties intégrantes du scénario, alors que ce n'était pas le cas. Mais pourquoi avions-nous autant de criminels et de terroristes, alors que nous avions doublé nos effectifs de policiers? prononça l'inspecteur entre ses lèvres. Aussitôt apparut sur le devant de la scène, un homme politique qui essayait d'y répondre en faisant un discours que personne à vrai dire ne compre-nait tellement il était incompréhensible, comme venant d'une autre planète. Mais paradoxalement, le pu-blic ne semblait pas gêné de ne rien comprendre à tout ce charabia grandiloquent tant qu'il faisait du bruit où le spectacle pouvait continuer, comme il avait commencé, c'est à dire fort mal, Ah!Ah!Ah! Et pour continuer à distraire le public, qui commençait un peu à s'ennuyer devant ce magistral escroc qu'était un homme politique, un projecteur éclaira soudainement une scène où l'on vit des hommes petits et chauves marcher avec bonheur sous une pluie battante. Et quand on leur demandait pourquoi ils semblaient heur-eux de marcher sous la pluie au risque de prendre froid, ils nous répondaient avec aplomb que la pluie faisait pousser les cheveux ainsi que grandir! Étrange cette lubie, chez les Français, non? Un peu plus loin, sous le puissant éclairage d'un autre projecteur, on assistait à un meurtre abominable où un jeune officier de police, au lieu de tuer le criminel en fuite, abattait son propre chef! Le criminel, heureux d'av-oir pu échapper à la mort, serrait alors la main du jeune officier de police et s'enfuyait dans la nature. C' est dire un super début pour un roman policier que les auteurs de polars s'empresseront de me voler pour écrire leur chef-d'oeuvre où je leur donnais même le titre, l'opéra des escrocs, Ah!Ah!Ah! Et la seule ch-ose que je leur demanderais, en cas de succès en librairie, ce serait de me verser des royalties. Car les maisons d'éditions ont toujours refusé de publier mes oeuvres et me privent pour ainsi dire d'une bonne partie de mes revenus, qui auraient pu me faciliter la vie, il faut le dire avec franchise.

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En fait, je crois qu'elles avaient peur que leurs lecteurs et lectrices, en nombre très important en France par tradition, apprennent la vérité en lisant mes bouquins où, il faut le dire, je ménageais peu la société française et surtout le microcosme parisien qui avait monopolisé la culture et la littérature. A ce propos, j'ai toujours pensé que la littérature" faite maison"(que je préparais chez moi avec amour, comme un bon petit plat mijoté à feu doux et parfois violent pour parfaire la cuisson) avait beaucoup plus de saveurs que la littérature industrielle et indigeste proposée actuellement par les maisons d'éditons officielles, n' est-ce pas, mon cher lecteur? En pensant que la vraie littérature nous permettait de nous dire des choses impossibles en temps normal et qu'elle ne devait en aucune façon être bien écrite, mais dite avec justesse et simplicité, c'est a dire sans style et sans fioritures afin d'aller droit au but. C'est là, me semble-il, la fonction de la vraie littérature qui est de dire la vérité a ses contemporains et que ça leur plaise ou non, Ah!Ah!Ah! Bref, d'avoir un courage monumental de le dire à ceux qui ne voulaient pas l' entendre, n'est-ce pas? Et tout particulièrement aux maisons d'éditions parisiennes qui avaient monopolisé la littérature pour falsifier la vérité afin d'entretenir leur grand train de vie (qui peut-être légitime), mais que je trou-vais immoral car au nom du mensonge! J'ai appris, lors d'une conversation dans un café "d'artistes ratés"(comme il y en avait beaucoup en France) que la réussite à Paris ne dépendait que d'une poignée d'hom-mes qui tenaient entre leurs mains le pouvoir des médias et des maisons d'editions! Bref, nous étions en plein opéra des escrocs qui ne désemplissait jamais tellement on avait de candidats pour la bouffonnerie parisienne, Ah!Ah!Ah! Parfois, je pensais avec un sentiment très vif qu'on devrait détruire Paris pour en-fin nous libérer de tous ces imposteurs ou vampires qui nous pompaient le sang et surtout appauvrissai-ent nos régions en les dépouillant de leurs meilleurs éléments ou les plus ambitieux, dira-t-on, pour ne blesser personne. Car au cours de ma vie, j'ai vu pas mal d'amis artistes monter à Paris et revenir quel-ques mois plus tard avec des cheveux blancs et une mine de zombie, tellement on leur avait pompé le sang des veines et les forces vitales sans même avoir eu droit au casse-croûte de consolation, Ah!Ah!Ah! Par pudeur, je leur avais jamais demandé les raisons pour lesquelles Paris, la grande dévoreuse d'ambiti-ons, les avait lessivé pour devenir des loques humaines? Bref, après ces passages violents dans la broye-use d'hommes et de femmes, qu'on appelle Paris, ils étaient revenus à Lyon revivre chez leurs mères pour se consoler de la perte de leurs grandes illusions, Ah!Ah!Ah!

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Comprenez-bien, si je n'ai jamais voulu entreprendre ce voyage grotesque vers Paris, c'est parce que je n'ai jamais eu d'ambitions dans la vie, ni dans la musique ni dans la littérature, mais seulement l'ambition de vivre le plus libre possible, bref, sans contraintes pour pouvoir respirer librement à mon rythme dans ce monde complètement asphyxié par l'argent, l'idiotie et l'imposture. Au point qu'aujourd'hui, je peux le dire, j'arrive à écrire comme je respire et sentir en moi le souffle puissant de la création me traverser, co-mme un courant océanique qui a tout instant peut m'expédier au fond des abîmes et me faire disparaître! Mais c'est le risque à prendre si l'on veut vivre intensément les choses et atteindre cette chose essentielle qu'on appelle le sublime avant d'être réexpédié dans le néant. Si ma respiration intime ou intérieure vous semble trop puissante, mon cher lecteur, veuillez m'en excusez. Car il faut bien comprendre que vous fai-tes partie vous aussi de mon voyage intérieur et que vous comptez beaucoup pour moi, sauf les maisons d'éditions qui me méprisent en refusant de publier mes oeuvres. Mais que celles-ci comprennent bien qu' en m'ignorant totalement, elles me font un cadeau extraordinaire en m'accordant une liberté hors du com-mun en me libérant de mes censeurs qui me permet de dire tout ce que je pense sur mes odieux compat-riotes et concitoyens, Ah!Ah!Ah! Bref, c'est je pense, la liberté retrouvée pour l'écrivain! que beaucoup d' entre eux pourraient m'envier tellement ils étaient empêtrés dans leur magouille littéraire où tout était manigancé, faux, vieux jeu, scénarisé comme un vieux film avec une vieille musique dont on percevait déjà les intrigues et malheureusement la fin. Bref, c'était le recyclage permanent de vieux stéréotypes ou concepts afin de cacher la vérité à leurs contemporains en faisant marcher formidablement bien leurs aff-aires où le mensonge transformait aussitôt leurs livres en monnaies sonantes et trébuchantes. Décidém-ent, le mensonge rapportait beaucoup d'argent, alors que la vérité semblait vous mèner directement au de-pôt de bilan, Ah!Ah!Ah! C'est ce qu'avaient très bien compris les maisons d'éditions en se lançant dans le mensonge global ou planétaire avec la mondialisation afin de conserver leur grand train de vie qu'ils ad-oraient dans leur petit appartement parisien de 200 mètres carrés en face de la tour Eiffel près des stud-ios de télévision et de radio France!

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Bref, pour revenir à notre roman policier, l'Opéra des escrocs, que je souhaitais proposer aux auteurs de polars( qui avaient un pied dans la magouille littéraire avec une forte chance d'être publié les yeux ferm-és, Ah!Ah!Ah!), la grande question qu'ils devaient se poser était de savoir si le jeune officier de police avait intentionnellement tué son chef ou bien le résultat fâcheux d'un tir mal cadré? Sachant qu'on pou-vait aussi imaginer du côté de notre jeune policier quelques vengeances à assouvir envers son chef pour des raisons de harcèlements professionnels ou peut-être familiales? Car on observait souvent dans la pol-ice des histoires de consanguinité où l'on y entrait par tradition de père en fils ou entre cousins. Et à la longue, on pouvait imaginer une consanguinité trop forte qui rendait fou tous ceux qui travaillaient dans les commissariats de France et de Navarre où l'on commençait à tirer à vue sur tout ce qui bougeait, Ah!Ah!Ah! Tout ceci était fort crédible, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Bref, une épidémie de mauvais sang qui se répandait dans toutes les administrations d'Etat et faire de notre nation, une future nation de débi-les mentaux où la dégénérescence intellectuelle était déjà visible chez nos hommes politiques, intellec-tuels, philosophes, Ah!Ah!Ah! Afin de donner à notre futur auteur de romans policiers des pistes crédibl-es pour pouvoir écrire son chef-d'oeuvre intitulé, l'Opéra des escrocs. Pour le versant accidentel de la mort de l'inspecteur, les pistes pouvaient se résumer à un manque évident d'exercices de tirs à balles rée-lles pour notre jeune officier de police imputé naturellement aux manques de moyens de la police natio-nale où les cartouches coûtaient une vraie fortune pour le contribuable où les cibles étaient à l'effigie de voyous ou de méchants barbus islamiques, Ah!Ah!Ah! Petite idée à ce propos, mais pourquoi ne pas util-iser un jeu vidéo dans tous les commissariats avec des armes virtuelles pour ne pas creuser le déficit de la France, hum? Pour en revenir à notre polar très français, l'auteur pouvait aussi lui donner une dimension politique en faisant passer l'Etat pour un criminel comme un autre qui négligeait l'entraînement de ses policiers qui commettaient bavures sur bavures et dans tous les sens, n'est-ce pas? Mais la véritable que-stion était de savoir, pour ne pas passer à coté de son chef-d'oeuvre, si l'amateurisme supposé de notre jeune policier pouvait changer en profondeur nos institutions où seulement les déstabiliser pendant un instant?

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Bien évidemment, la police des polices fera son enquète afin de connaitre les circonstances de la mort de l'inspecteur tué maladroitement par son collègue( qui était apparemment en stage au commissariat!). Br-ef, on allait le sermonner sévèrement en lui rappelant qu'il était interdit de tirer sur ses collègues ( même si certains avaient des têtes d'assassins sur les scènes de crimes, Ah!Ah!Ah!) et lui retirer son arme en le plaçant dans les bureaux jusqu'à ce que l'affaire soit classée par la justice. Qui paradoxalement ne le mettrait pas en prison vu son amateurisme avéré. Mais imputerait la faute à celle du débutant, bref, à cel-le de la jeunesse qu'on opposait souvent à tort à la chance du débutant. Car la société n'excusait-elle pas souvent à la jeunesse, sa folie? Moi même, jeune délinquant, combien de fois n'ai-je pas fait de bêtises pour le plaisir de les faire en sachant bien qu'elles me seraient excusées par les tribunaux de justice? Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, après ces temps bénis de la jeunesse, vous serez traité comme un vulgaire cri-minel, ce que je trouvais très injuste! Donc, mes amis, faites le plus de bêtises possibles pendant que vo-us étes jeune, car après il sera trop tard pour vous, Ah!Ah!Ah! Et puis entre nous, sans les bêtises ou ba-gatelles liées au sexe et à l'amour, les jeunes filles ne pourraient pas fonder de famille et avoir des enfan-ts, n'est-ce pas? Et bizarrement, quand je voyais une famille se promener tranquillement dans la rue avec femme, enfants, frères, soeurs, pères, mères, grand-père, grand-mère, je tenais absolument à m'arrêter po-ur regarder ce tableau fascinant où j'y voyais comme la trace d'un futur carnage, Ah!Ah!Ah! Tout en vous assurant, mon cher lecteur, que je n'avais aucune envie de meurtre à ce moment là, mais semble-t-il les intentions cachées de la vie de perpétrer un tel massacre, n'est-ce pas? Et puis sans se mentir, combien de familles entredéchirées connaissions-nous autour de nous, mon ami, sinon des dizaines sur lesquelles on pourrait généraliser le cas? Et pour aller plus intimement au fond des choses qui d'entre nous n'a pas un frère ou une soeur qu'il déteste, parce qu'il a mieux reussi que nous dans la vie ou bien parce qu'il est plus beau, plus grand ou qu'il a été le petit préféré de maman ou de papa? Bref, par tous ces exemples tirés de la vie réelle, l'on voyait que cette belle romance familiale( souvent idolâtrée par les femmes) ne pouvait que mal finir et c'est ce que la vie nous apprenait avec une grande cruauté, n'est-ce pas? Toujours pour rester sur le sujet des bêtises, que je n'ai pas quitté, j'en viens à penser à notre célèbre séducteur Jer-ome Casanova qui, à la fin de ses mémoires, exprimait le grand regret de ne plus pouvoir faire de bêtises, Ah!Ah!Ah! Bref, la grande affaires des hommes et des femmes, n'est-ce pas? Et dès lors qu'il était devenu vieux, laid et ne bandant plus, on ne pouvait que le croire sur parole et tout particulièrement sur la grande souffrance ressentie et exprimée par un veil homme qui fut au temps de sa jeunese, un grand séducteur! En me rappelant, une expression qui lui était chère en disant que l'Amour était un mensonge réciproque entre un homme et une femme. Bref, nous étions en plein dans le sujet, n'est-ce pas?

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Comme vous le voyez, mon cher lecteur, sans les bêtises ou bagatelles( qu'on s'appliquait à faire avec art et un grand plaisir dans la vie, Ah!Ah!Ah!), le monde ne pourrait tourner rond et survivre à lui-même, n'est-ce pas? Moi même, qui écrit et compose des chefs-d'oeuvre, je les condidère comme mes bêtises à moi échappant à ma raison, puisqu'elles sont le fruit de mon génie, Ah!Ah!Ah! Mais n'y voyez pas ici, mon cher lecteur, de l'arrogance de ma part, mais une vérité simple qui s'exprime comme un bonjour fraternel entre vous et moi. Et voyez-le plutôt comme une grande générosité de ma part qui vous donne accès à toutes mes oeuvres en toute gratuité sur mon Site Internet. Et compte tenu qu'aujourd'hui tous les génies sont méprisés par les médias et la société démocratique, il est possible qu'en ce moment, je m' adresse à un génie qui l'ignore lui-même? C'est dire ma grande largesse d'esprit et mon refus de tout préjugé sur mes lecteurs et lectrices qui pourraient eux aussi en faire partie, n'est-ce pas? Bref, si je vous ai parlé de toutes ces notions concernant la jeunesse et de toutes les bêtises dont elle est capable de faire avec un naturel inouïe( où faute et chance du débutant font parties de ses avantages pour faire avancer ou reculer la société, Ah!Ah!Ah!), c'est pour vous parler de notre jeune président, Emmanuel Macron, fraîc-hement élu grâce au scandale révélé par le Canard Enchaîné sur l'emploi fictif de la femme de son princi-pal adversaire, François Fillon dont les chances d'être élu président de la république ont été anéanties, co-mme un chateau de cartes, Ah!Ah!Ah!. Personnellement, je n'ai rien contre les gens qui veulent vous faire gagner ou vous mettre les choses toutes rôties dans la bouche, tel est le cas pour notre jeune président grâce au Canard Enchaîné, Ah!Ah!Ah! Car j'ai toujours cru à la chance du débutant, comme tous les jou-eurs qui sont allés jouer pour la première fois au Casino et ont gagné et j'en parle à titre personnel. Et puis soyons sans hypocrisie, car si vous pouviez gagner une bataille sans l'emploi d'une quelconque stra-tégie ou de votre soi-disant super intelligence, mais uniquement grâce aux fautes de vos adversaires, fer-iez-vous alors la fine bouche sur votre victoire? Ah!Ah!Ah! Personnellement, je ne la ferais pas comme notre jeune président, Emmanuel Macron, qui devait savourer sa victoire si facilement acquise grâce à la chance du débutant dont je ne remettrais pas ici en question. Car elle est seulement liée au hasard et non à sa soi-disant hyper intelligence Bref, nous avions apparemment affaire ici à un novice aussi bien en poli-tique qu'en économie puisqu'il était là par hasard, Ah!Ah!Ah! Mais je vous le répète une nouvelle fois, je n'ai rien conre le hasard ou la chance du débutant, car celle-ci a toujours fait partie de la vie des hommes et des femmes. Mais la grande question qu'on devait tous se poser était de savoir si l'amateurisme avéré de notre jeune président pouvait changer nos institutions ou seulement les déstabiliser pendant un bref instant, comme notre jeune policier qui avait tué accidentellement son chef ou, comme l'auraient analysé les psychanalystes, un fils qui voulait tuer son père pour s'en débarrasser définitivement? Ah!Ah!Ah!

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En voulant parler bien évidemment du père spirituel et de l'autorité qu'on ne pouvait lui disputer la lég-itimité, comme notre jeune président Macron confronté à l'autorité de nos vieux hommes politiques usés par le pouvoir et la corruption, Ah!Ah!Ah! Mais de là à dire qu'il allait pouvoir changer cet état des chos-es serait à mon avis prématurée de le dire. Car il était un novice en politique et en économie qui avait eu beaucoup de chance d'accéder au pouvoir pratiquement les doigts dans le nez, comme nous l'avons dém-ontré, mon cher lecteur. Mais qu'il était en face d'une armée de vieux singes qui n'allait pas se faire bou-ffer le pain dans la bouche, bref, le pouvoir et leur salaire de députés ou de sénateurs, Ah!Ah!Ah! Mais en regardant de près les choses, qui lui avaient permis d'accéder au pouvoir avec une si grande facilité, on voyait bien que ce n'était pas grâce au meurtre symbolique du père( tanpis pour les psychanalystes et les journaux féminins, Ah!Ah!Ah!), mais grâce à la chance du débutant. Et que le seul meurtre qu'on pouvait lui mettre sur le dos fut celui de la mère Le Pen au cours du débat télévisé où une fois de plus, Em-manuel Macron, avait gagné le débat, non par son intelligence, mais grâce aux erreurs stratégiques de madame Le Pen qui avait été comme envoûtée par les yeux bleus de son jeune adversaire de type aryen, Ah!Ah!Ah! Bref, n'étant ni un intellectuel, ni un psychanaliste, mais plutôt un artiste de grande spiritua-lité, je voyais dans son ascension sociale comme un miracle! Car notre jeune président avait réussi à con-quérir le pouvoir sans tuer le  père symbolique, Ah!Ah!Ah! A ce titre, je lui conférais une sorte de virgin-ité politique à l'égard de nos vieux singes politiques qui avaient plein de cadavres au fond de leurs placa-rds, Ah!Ah!Ah! A ce propos, j'ai eu un jour une discution très intérressante avec une personne excentriq-ue rencontrée à la Croix-Rousse, qui se prenait bizarrement pour un poète parce qu'elle se baladait toute la journée avec une anthologie de la poésie française écrite par George Pompidou, mais que je trouvais un peu démodée, il faut le dire. Mais après lui avoir payé son cigareos à 0,5 euro pièce et son café( car Monsieur le poète acceptait seulement de s'assoir à la terrasse d'un café et de me parler à ces conditions), il me dit d'une manière pompeuse qu'il voyait en Emmanuel Macron, un saint homme, bref, un saint apôtre de la république qui allait faire des miracles pour la France et les Français! Bien évidemment, tout ceci me fit bien rire et le mit mal à l'aise pendant un instant.

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Mais après une rapide réflexion, malgré sa remarque très exagérée( mais bon, j'avais affaire ici à un poète qui souvent exagérait sur tout ce qu'il avait vu ou entendu), je trouvais sa remarque très juste dans la for- me, mais pas dans le fond. Car son analyse n'était pas si éloignée de la mienne où j'avais saisi qu'Emman-uel Macron était parvenu au pouvoir sans verser une goutte de sang! Ce qui était entièrement vrai, car il n'avait achevé aucun homme ou femme politique pour accéder au pouvoir grâce à la chance du débutant et aux erreurs stratégiques de ses adversaires dont l'arrogance puait à travers nos petits écrans. Hier soir, en regardant la finale de la coupe du monde de football, où la France a gagné, j'ai tout de suite pensé que notre jeune président avait le cul bordé de nouilles, Ah!Ah!Ah! Mais bon, ne faisons pas la fine bouche sur la victoire de l'équipe de France, qui comme tout le monde le sait, va sauver le destin de la France, Ah!Ah!Ah! En regardant la suite où notre jeune président fêtait la victoire avec les joueurs de l'équipe de France( qui avait touché chacun la somme de 500 000 euros), je trouvais ces images d'une grande obscé-nité pour la moitié des Français qui n'avait pas les moyens de partir en vacances, AhAh!Ah! Et que la Fra-nce ait gagné ou pas cela ne changeait en rien leur situation, mais augmentait plutôt leur sentiment d'inju-stice, n'est-ce pas? Sans compter le reste du monde qui avait perdu la coupe du monde 2018, Ah!Ah!Ah! On pouvait dire sans bien se tromper que ce n'était pas la joie pour l'ensemble de l'humanité, n'est-ce pas? En comprenant que l'ultra médiatisation des événements, si insignifiants soient-ils, consistait à démorali-ser la population qu'elle soit française ou mondiale! La raison pour laquelle, je ne me suis toujours méfié des informations balancées à la télé où dans les journaux qui nous montraient en fin de compte que le haut de l'iceberg, alors que le plus important se trouvait en dessous soit les 90% qui représentaient la vraie vie des gens. Oui, bien sûr, vous allez me dire, mais pourquoi pas, puisque les apparences font par-ties elles aussi de la vie? Oui, cela est vrai, mais alors quels moyens faramineux en argent et en énergie pour dire au monde entier des choses si insgnifiantes, n'est-ce pas? Bref, en nous cachant les 90% de l' iceberg, je comprenais que les médias voulaient nous cacher la vérité, ce qui n'était pas dire des mens-onges, mais occulter la vérité pour nous imposer leur vérité ou post-vérité dictée par le pouvoir pour gouverner les consciences et les opinions de la population.

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Apparemment, les Français étaient devenus des cons à force d'écouter les médias et les informations pla-nétaire véhiculée sur Twitter et FaceBook, Ah!Ah!Ah! Donald Trump, qui avait tout compris sur l'épidé-mie de conneries déversée à l'échelle mondiale par les médias, s'en servait à merveille. En étant un con qui s'adressait à des millions de cons qui se comprenaient forcément, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, les médias qui étaient la source du mal s'en frottaient les mains où Donald Trump faisait partie lui aussi de la "maison" pour avoir travaillé à la télévision américaine où la connerie était un business qui rapportait gros au point qu'on allait prochainement l'introduire en bourse! Mais pour l'instant le prix de l'action n' était pas fixé par les professionnels qui envisageaient de le fixer au plus bas afin qu'elle se vende comme des petits pains aux centaines de millions de cons qui composaient le système capitaliste, Ah!Ah!Ah! Mais sans vouloir dire du mal de notre jeune président, comme ces méchants journalistes qui disaient qu'il avait réussi un hold-up politique où son principal adversaire, François Fillon, avait été assassiné lo-rs du braquage, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je n'étais pas d'accord avec leur analyse. Car premièrement Emmanuel Macron n'avait commis aucun hold-up, puisque quand il était entré dans la banque où le cof-fre-fort était grand ouvert, Ah!Ah!Ah! Et deuxièmement parce que l'assassin de François fillon s'appellait tout bêtement François Fillon en appelant à voter pour Emmanuel Macron quand il a quitté la course présidentielle! Et franchement, c'était une chance pour la France qu'elle n'ait pas mis cet idiot à sa tête, Ah!Ah!Ah! Apparemment, notre jeune président avait toutes les apparences d'un saint car tout lui était tombé rôtie dans le bec sans avoir livré bataille contre ses adversaires, Ah!Ah!Ah! Bref, un vrai miracle pour la répuplique, n'est-ce pas? C'est pour cette raison que j'ai été peu surpris de l'entendre prononcer dernièrement, un discours devant les représentants de l'Eglise catholique pour leur montrer un possible rapprochement entre l'Etat et l'Eglise, alors que le divorce était consommé depuis fort longtemps depuis 1905. Bien évidemment, les représentants de l'Eglise ont été médusés d'entendre un tel discours auquel ils ne croyaient pas de la part d'un républicain. Bref, avions-nous affaire ici à un saint homme ou seule-ment à une image qu'il voulait donner aux enfants ou aux Français afin qu'ils ne fassent plus de bêtises? Ah!Ah!Ah! En pensant tout particulièrement à son garde du corps personnel, Monsieur Benalla, qui avait outre-passé ses fonctions en cassant la gueule aux manifestants dans la rue en se prenant pour un CRS, mais avait aussi un passe-droit pour entrer à l'assemblée nationale pour espionner les adversaires polit-iques d'Emmanuel Macron, sans oubliez l'accès à toutes les videos gardées en haut secret par la prefec-ure de police pouvant faire tomber n'importe quel homme politique. Où parait-il, on avait les images videos d'un ministre du gouvernement accoster les prostituées et leur demander les tarifs de leurs prest-ations ainsi qu'un député de la république uriner sur la voie publique! Bref, les autorités au service du gouvernement actuel avaient tout sous la main pour faire tomber n'importe quel homme politique qu'il soit au gouvernement ou pas. Mais la grande question était de savoir quand ces images insolites nous seront dévoilées? Pourra-t-on les voir un jour dans le prochain quinquennat ou peut-être jamais? En fait, personne ne pouvait le dire actuellement, sauf demander à Monsieur Edward Snowden : l'homme qui av-ait trahi son pays pour une pseudo-gloire? Ah!Ah!Ah! Car il faut signaler, à notre cher lecteur, que toutes les révélations faites par cet homme n'avaient servi à rien, sinon à faciliter l'élection de Donald Trump à la présidence des USA en assassinant dans le dos Barack Obama! En constatant qu'Edward Snowden était un imposteur comme tous les autres, Ah!Ah!Ah!

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Bref, avions-nous affaire ici à un second Water-Gate ou un garde du corps avait eu la grosse tête en se prenant pour Robin des bois au service de sa majesté, le Roi, Emmanuel Macron? Ah!Ah!Ah! Si c'était le cas où le président lui avait donné cette mission d'être un espion aux très larges libertés, on pouvait dire sans bien se tromper qu'il avait violé les lois de la démocratie en se prenant pour un prince, n'est-ce pas? Ce qui entre nous n'était pas un crime pour un vrai prince, alors un crime odieux pour un républicain qui de surcroît se prenait pour un saint, Ah!Ah!Ah! Apparemment, notre ange Emmanuel( et non pas Gabriel) avait pris du plomb dans l'aile et son auréole se cassait la gueule dans les sondages, Ah!Ah!Ah! Ce qui ne relevait pas du hasard, mais à une intervention divine où Dieu avait utilisé monsieur Benalla comme int-ermédiaire. Car en séparant le nom de Benalla en deux parties soit en Ben-Alla, on saisissait aussitôt que ce nom signifiait en Arabe : Bienvenue Allah! Ce qui nous montrait bien ici une intervention divine afin que notre jeune président retrouve les pieds sur terre et qu'il arrête de se prendre pour un saint, mais seu-lement un petit veinard qui avait été touché par la chance du débutant, Ah!Ah!Ah! En fait, c'était la grande illusion que vous donnait la réussite facile, comme si vous aviez gagné au loto en pensant que Dieu vous avait élu parmi des millions de joueurs en gonflant au passage votre monstrueux orgueil, Ah!Ah!Ah! Ap-paremment, c'était le cas pour notre jeune président qui n'était qu'un homme ordinaire ou si vous voulez le fils héritier de François Hollande, bref, un républicain issu de la petite bourgeoisie de province. En all-ant sur Internet, j'ai appris que son père était médecin et apparemment son fils n'avait pas voulu suivre ses pas qui étaient de soulager et de soigner les malades. Bref, une indisposition à la compassion des autres qui me faisait penser qu'il n'aimera jamais les Français pour les soigner de leurs maux séculaires ainsi que la socièté française malade de son hypocrisie, Ah!Ah!Ah!. Mon analyse me semblait tout à fait crédi-ble, car n'est-ce pas dans les détails que le diable se cachait? Ah!Ah!Ah! Personnellement, je n'avais rien contre Emmanuel Macron, mais qu'il arrête de se prendre pour ce qu'il n'est pas. Car il n'est qu'un comé-dien qui joue le rôle du président et je ne suis pas le seul à le dire et à le penser même François Hollande qui, au cours d'une petite interwiew à la télé, semblait prendre du plaisir à massacrer son jeune poulain dont la femme Brigitte était une ancienne prof de théâtre, Ah!Ah!Ah! Bref, nous étions en plein théâtre de boulevard où dans ce petit conte merveilleux à la Walt Disney, notre jeune président de la république jo-uait le rôle de saint Emmanuel, bref, comme un vrai miracle de la providence grâce aux médias. Le grand reproche que je lui ferais, c'est qu'il n'avait aucun sens de l'humour en pensant à François Hollande( l'ho-mme qui lui avait mis un pied à l'étrier du pouvoir) qui avait toujours une petite phrase rigolotte pour son auditoire. Alors que lui, quand il ouvrait la bouche, c'était pour dire que les Français étaient des fain-éants ou des gaulois réfractaires et leur système social coûtait un pognon de dingue sans oublier de dire aux gens anonymes qu'ils n'étaient rien! Bref, notre petit veinard de président semblait atteint d'une sévère cécité qui, entre autre, l'arrangeait bien pour se croire l'homme le plus intelligent de France, Ah!Ah!Ah! Mais il est vrai, quand on se prenait pour un saint tous les miracles étaient possibles, n'est-ce pas?

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Bref, nous avions affaire ici à un petit bourgeois qui semblait prendre son rôle très au sérieux, alors qu'il n'était pas une lumière ni un génie, mais qu'un homme très ordinaire. Car depuis son élection en 2017, il n'y avait eu aucun miracle pour la grande majorité des Français pour laquelle le chômage avait augmenté ainsi que les factures de gaz, d'électricité et diverses taxes, la retraite des vieux baissée ainsi que les APL de 5 euros sans oublier la vitesse de circulation limitée à 80 km/h etc. Bref, un miracle qui ne se passait pas chez la plupart des Français, mais seulement au palais de l'Elysée, dans les médias et à la fédération française de football, Ah!Ah!Ah! Hier soir sur TF1, nous avons eu droit à l'intervention de l'apôtre Alex-andre Benalla qui s'est présenté devant les caméras en beau constume bleu officiel ajusté d'une cravate aux couleurs du ciel et les yeux( apparemment intimidés par l'occasion) cerclés d'une fine paire de lunette lui donnant l'air d'un gentil garçon passant au confessionnal devant la France toute entière, Ah!Ah!Ah! Apparemment, les leçons de communication que lui avaient donné son chef de choeur, Saint Emmanuel, lui avaient servi à quelque chose, n'est-ce pas? Et comme il fallait s'y attendre (mais en total contradicti-on pour un type grand et barraqué!), il nous avoua d'un air angélique, comme un enfant de choeur pris en faute par l'oeil de dieu installé désormais sur Internet et sur les réseaux sociaux, qu'il regrettait sa grosse bêtise d'avoir entrainé le saint homme, Emmanuel Macron, vers un scandale public! Bien évidemment, à l'écouter, il était le seul coupable dans cette affaire et non le pouvoir politique en place et nous avoua, s' il avait frappé des gens, c'était seulement sur des voyous et non sur d'honnêtes citoyens. Sur ce point là, je lui donnais entièrement raison, car nous savions tous par expérience que les honnêtes gens ne traînaient jamais dans les rues ou participaient à des manifestations qui ne servaient à rien sauf à faire du bruit, Ah!Ah!Ah! Et si vous étiez un jour attaqué par un tigre en plein centre ville, ne soyez pas étonné, car il en av-ait toute la légitimité pour assouvir sa faim ou son droit naturel, Ah!Ah!Ah! Et je pense qu'il vous serait inutile de lui réciter la déclaration des droits de l'homme pour qu'il vous lâche de ses griffes, car lorsque le tigre Benalla sort en ville, il vaut mieux ne pas se trouver sur son passage, Ah!Ah!Ah! Bref, le tigre de l'Elysée habillé en constume trois pièces n'était pas très convainquant pour la plupart des téléspectateurs qui au bout du compte ne croyait pas du tout à ce qui leur racontait. Mais bon, comme il était beau du haut de ses 26 ans et que son image passait bien à travers l'écran, il réussit à passer sans difficulté la séan-ce du confessionnal du 20 h, Ah!Ah!Ah! Etonnemment, j'appris, le lendemain dans les journaux, qu'une association de mères de famille était prête à l'adopter afin de le protéger contre le sadisme des journalist-es qui voulait lui faire du mal! Apparemment, monsieur Alexandre Benalla était lui aussi touché par la grâce. Mon dieu, mais d'ou ce miracle pouvait provenir? Pouvait-on alors imaginer que saint Emmanuel transformait tout en or et purifiait tout ce qu'il le touchait du bout des doigts ou n'était-ce là que le fruit du hasard qu'on appelait la baracca ou l'alignement parfaite des planètes dans l'univers des médias? Ah!Ah!Ah!

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Ah, le charme de la jeunesse, mon dieu, que c'est beau même quand elle fait des bêtises, Ah!Ah!Ah! Et comme je vous le disais précédemment, on excusait souvent la jeunesse sur ses premières bêtises et visi-blement le cas pour Alexandre Benalla et pour Emmanuel Macron, qui le premier se prenait pour un bon samaritain et le deuxième pour saint homme, alors qu'ils formaient un couple assez banal, voyez-vous, un agent de sécurité protégeant son employeur qui le payait chichement. Bref, nous étions seulement dans une petite histoire de la bourgeoisie de province où les arrivistes se prenaient pour de grands hommes, Ah!Ah!Ah! Et grâce à mon imagination fabuleuse, j'arrivais à imaginer Monsieur Alexandre Benalla usu-rper un jour le pouvoir à son employeur et se faire appeler Alexandre Le Grand, Ah!Ah!Ah! Mais pour-quoi pas après tout, car étions-nous pas dans une hypocrisie généralisée de la bourgeoisie où les hommes et les femmes n'étaient que des imposteurs? En fait, c'était la grande illusion produite par la démocratie où tout le monde pouvait se faire passer pour n'importe qui du moment qui l'avait de l'argent ou une position sociale enviée par les autres. Moi franchement, je ne trouvais rien d'exceptionnel à cela, sauf une histoire d'argent qui ne me disait rien sur ce que vous étiez vraiment ou si vous aviez du génie ou pas, mais seulement une image factice de toutes vos qualités soi-disant fabuleuses ou fantasmées par votre ré-seau d'amis. En fait, nous vivions dans un système des plus hypocrites au monde qui donnait beaucoup de libertés aux imposteurs, ce qui était le grand avantage de la démocratie ou le grand charme, selon les am-bitions que vous aviez dans ce système. Mais un choix de société qui ne prévoyait rien de flamboyant pour nous tous, mais seulement des soirées mondaines ou des fêtes en l'honneur du grand maitre des ill-usions qu'on appelle le fric et des apparences qu'il revêt à ses acteurs de comédie de boulevard ou des ch-amps Elysées. Certes, un beau spectacle, mais entre nous sans aucune portée ou envergure historique!

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Étrangement, quand je regardais ce noyau dure formé par ce couple franco-allemand essayer de gouvern-er l'union européenne et non pas l'Europe (car il en était incapable), je voyais en Emmanuel Macron et Angela Merkel, comme deux grandes vierges à son chevet, Ah!Ah!Ah! Avec le sentiment d'assister au dé-but du démantèlement de l'union européenne avec le Brexit qui bien sûr allait entraîner d'autres candidats ou d'autres nations à la sortie pour retrouver leur liberté ainsi que leur souveraineté que l'union europée-nne leur avait confisqué, comme on confisque un paquet des bonbons à des enfants, Ah!Ah!Ah! Et puis disons-le franchement, cette union européenne était une vraie catastrophe politique et économique pour les peuples que bizarrement nos élites ne voulaient pas voir! Car pour elles tout fonctionnait formidable-ment bien ou prestiges et argent coulaient sur elles sans interruption et en toute légalité, n'est-ce pas?

Comprenez bien, mon cher lecteur, si nous avions actuellement deux grandes vierges au chevet de l'union européenne, ce n'était pas le fait du hasard, mais par des faits bien réels. Car Emmanuel Macron était ma- rié à une femme de 65 ans qui malheureusement ne lui donnera jamais d'enfants (voyez-y de ma part auc-une moquerie, mais seulement un constat) et qu'Angela Merkel était fille de pasteur qui elle aussi n'avait pas d'enfants. Sans oublier un fait incroyable la concernant, où en ne faisant rien, elle avait réussi à envo-yer l'Allemagne au 7 ème ciel au niveau économique, Ah!Ah!Ah! Apparemment, nous avions affaire ici à deux saints ou à deux miraculés de la politique qui, d'après des rumeurs entendues dans les couloirs de Bruxelles, entretenaient des liaisons dangereuses où sainte Angela (avec un nom comme ça, on ne pouv-ait être qu'une sainte!) avait un faible pour les yeux bleus d'Emmanuel Macron qui ce dernier portait une adoration pour les doigts d'or d'Angela qui parait-il faisaient des miracles aussi bien en économie que dans le domaine privé, Ah!Ah!Ah! Bref, j'vous dis pas ce que nous réservait l'union européenne pour les années à venir! Et Alléluia pour le retour des nations libres et des peuples grâce au démantèlement de l' union européenne commencé héroïquement par les Anglais qui, comme on le sait tous, étaient de coura-geux gaillards qui n'aimaient pas se faire marcher sur les pieds, il faut le dire! Apparemment, la France et l'union européenne marchaient sur la tête sans qu'ils s'en aperçoivent. Car lorsque l'on marchait sur la tê-te, malheureusement, on ne voyait pas l'horizon, mais seulement les pieds crottés de ses semblables ou de ses contemporains, Ah!Ah!Ah! C'était apparemment le cas pour l'union européenne où la France était de-venue la championne du monde de la marche sur la tête depuis la révolution française avec tous ses intel-lectuels dont on percevait la dégénérescence mentale à travers nos petits écrans, Ah!Ah!Ah! Mais tout à fait logique, mon cher lecteur, quand nous savions tous que les vieilles idées s'usaient comme un vieux pantalon à force d'être porté, n'est-ce pas?Comprenez bien que je ne disais pas ça à la légère, comme pour jouer avec les mots, mais pour saisir une réalité qui n'était pas très belle à voir, quand on savait que le travail de l'union européenne consistait à restreindre la liberté de ses membres! Bref, une sorte de club privé à 28( bientôt 27) où il fallait payer très chère sa carte de membre dont le but était de vous empêch-er d'agir et de vous exprimer en toute liberté, Ah!Ah!Ah! En comprenant tout à fait les Anglais de vouloir sortir de ce club de zombies où il n'y avait plus rien d'intéressant à faire, à dire, à boire sachant que les Anglais aimaient fêter un accord avec une pinte de bière ou un double whisky, Ah!Ah!Ah! Mais là, com-me il n'y avait jamais d'accords, mais seulement des restrictions de libertés pour ses membres, l'Angle-terre avait fini par jeter sa carte de membre au fond de la Tamise, ce que je comprenais tout à fait quand on était un pays de pragmatiques qui avait encore de l'intelligence entre les deux lobes de son cerveau, Ah!Ah!Ah!.

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Sans oublier de mentionner que le Royaume-Uni payait une fortune à la France pour contenir la jungle de Calais où une bande de sauvages n'attendait que le moment importun pour les envahir comme une horde de Danois, Ah!Ah!Ah! Bref, connaissant son histoire qui n'était pas un long fleuve tranquille et sachant bien que l'Angleterre n'était qu'une île, je comprenais parfaitement leurs craintes ancestrales d'être envahi, puis de sombrer comme le Titanic en transportant dans leur soute à charbon des travailleurs clandestins encouragés par l'union européenne, Ah!Ah!Ah! Décidement, l'union européenne, une vraie calamité pour les peuples européens sans compter les faux espoirs qu'elle avait suscité chez tous les peuples damnés de la terre, Ah!Ah!Ah! Et puis, ne nous le cachons pas, les Anglais n'arrivaient pas à comprendre pourquoi une bande de sauvages avait l'intention d'envahir leur île, alors qu'il y faisait souvent un temps execrable avec ses pluies quotidiennes, son brouillard légendaire à découper au couteau ainsi qu'un froid glacial qui vous congelait la zigounette pendant les six mois de l'année, Ah!Ah!Ah!! Bref, ils n'avaient pas perdu leur flair légendaire pour les petites choses de la vie quotidienne et leur fair-play pour dire aux autres qu' ils n'étaient pas les bienvenues au Royaume-Uni d'une façon charmante, mais apparemment impossible à saisir par les sauvages de Calais, Ah!Ah!Ah! Toujours avec un sens très aiguisé des réalités, ils ne compr-enaient pas pourquoi cette bande de sauvages n'irait pas plutôt s'installer dans le sud de la France où il y faisait un temps merveilleux et des gens forts sympathiques, Ah!Ah!Ah! Bref, une incompréhension totale pour tous ces paradoxes produit par l'union européenne (qui marchait sur la tête) afin de nous faire com-prendre qu'ils étaient apparemment les seuls en Europe à garder les pieds sur terre, d'avoir les yeux en fa-ce des trous, une tête bien plantée entre les épaules. Bref, ils semblaient dire à l'union européenne : Je suis désolé, mais je ne vous entends pas, car vous parlez tout le temps avec vos pieds où je me refuse de parler à des orteilles, Ah!Ah!Ah! Et l'union européenne lui répondait : Sachez, mes chers amis britanniqu-es, que vous ne parlez pas à des orteilles, mais à de grandes pompes longuement lustrées par nos grandes figures européennes, Ah!Ah!Ah! Consternée d'entendre ce dialogue de sourds, l'Angleterre jetait l'éponge en rejoignant son île où l'isolationnisme était revenu à la mode, comme aux États-Unis avec la politique de Donald Trump. Pendant ce temps là, dans les couloirs de Bruxelles, on se moquait des Anglais qu'on disait filer une nouvelle fois à l'Anglaise, Ah!Ah!Ah!

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Visiblement, les États-unis et l'Angleterre étaient sur la même longueur d'onde en ce qui concerne l'isola- tionnisme ou le protectionnisme. Comme une caisse de résonance outre-atlantique qui n'était pas lié au hasard, mais à l'intime conviction que la 3 ème guerre mondiale ne serait pas ce que les spécialistes avai-ent imaginé, mais la vraisemblable invasion de l'Occident par les peuples de migrants dont les vagues all-aient se succéder et se renforcer tel un tsunami! En comprenant bien que seuls les peuples de marins, comme les Anglais et les Américains, pouvaient saisir ce phénomène de submersion ou d'engloutissem-ent des continents par une masse extérieure, comme il le fut pour l'Atlandide. Bien évidemment, les cont-inentaux ne pouvaient pas saisir ce phénomène pourtant évident pour ceux qui avaient un pied dans la marine ou les pieds dans l'eau. Comme l'Allemagne qui avait absorbé plus de 1,5 millions de migrants en 2015 avec l'intention de réparer ses erreurs passées avec le nazisme. Personnellement, j'ai toujours pensé que de vouloir réparer ses erreurs passées était une erreur stratégique pour qui que ce soit. Car l'oub-li et le pardon étaient deux choses bien distinctes, comme nous le savions tous, mais que l'Allemagne av-ait semble-t-il oublié et qu'elle payerait très chère dans les prochaines décennies. Car Angela Merkel n' était pas un génie stratégique ni une grande visionnaire politique, mais seulement une femme qui était assise sur la réussite économique de l'Allemagne. En termes clairs, elle était ni plus ni moins dans l'arr-ogance du bourgeois qui, parce qu'il avait de l'argent, croyait avoir du génie et pourquoi pas payer ses crimes passés en versant une forte caution au tribunal de Nuremberg? Oh douces illusions, quand tu nous tiens, que le monde devient magnifique, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je n'ai jamais fait l'amalgame entre le fric et la vérité, car avec le fric on pouvait payer des menteurs professionnels ou des comédiens pour leur faire dire tout ce que l'on voulait, n'est-ce pas? Comme à la télé qui nous en montrait un bel exemple! Quant à l'Aquarius( le bateau pirate dont les ambitions cachées étaient de couler le vaisseau Occident), je pense qu'on devrait le couler comme le Rainbow Warrior pour lui éviter d'envoyer le con-tinent européen au fond des oceans, comme l'Atlantide, Ah!Ah!Ah!! Au début, quand j'ai entendu parlé pour la première fois de l'Aquaruis, bizarrement, j'ai pensé au nom d'une boite de nuit que j'avais fré-quenté durant ma folle jeunesse à Lyon!

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Car on donnait souvent ce nom aux boites de nuit qui était facile à retenir et inspirer aux fêtards un mo-ment d'évasion ou l'oubli momentané de leurs soucis quotidiens, il ne faut pas se le cacher. Bref, des no-ms inspirés directement de la mer et de la grande évasion, comme le club des îles, la péniche, l'Amnésia etc que j'ai connu personnellement à Lyon. Et pour vous prouver que je ne suis pas un monstre, avant de couler l'Aquarius, je ferai débarquer tous les clandestins sur une île déserte et pourquoi pas sur l'île my-stérieuse, Ah!Ah!Ah! Décidément avec l'Aquarius et le Nautylus, on était pas loin des vingt mille lieues sous les mers, n'est-ce pas? Bien évidemment, tout ce je venais de dire, vous ne l'entendrez jamais dans les médias qui avaient monopolisé la parole pour servir le mensonge et non la vérité! Mais bon pourquoi pas, quand on savait qu'on pouvait vivre heureux dans le mensonge ou le déni? Le docteur Roman n'en était-il pas un fameux exemple, comme la société française et l'union européenne? En fait, si mon cerv-eau avait fait ce rapprochement audacieux (sans que je sache bien pourquoi) entre l'Aquarius et une boite de nuit, c'est parce que mes intuitions m'avaient guidé sur la bonne voie où je voyais le bateau Aquarius proposer ni plus ni moins aux africains, la grande évasion pour sortir de leur continent de misère! Je sais que c'est dur de le dire aux Français, mais malheureusement la vérité que nos idiots intellectuels( les gau-chistes) ne veulent pas entendre. Mais bon pourquoi pas, quand on peut se boucher les oreilles lorsque retentissent les sirènes incendies ou le signalement de grosses avaries sur le vaisseau Union Européenne? Où tous les feux étaient au rouge et clignotaient d'une façon alarmante pour annoncer un naufrage immi-nent. Mais comme il n'y avait pas de capitaine à bord( les Anglais l'avaient bien compris), le vaisseau po-uvait continuer à sombrer dans les fonds océaniques sans que personne s'en aperçoive, Ah!Ah!Ah! Et tant que les députés européens conservaient leurs privilèges et touchaient leurs gros salaires de 8000 euros par mois, ils se refusaient d'embarquer dans les chaloupes pour alléger le navire, Ah!Ah!Ah! Sans oublier de mentionner aux lecteurs que ses cales étaient pleine d'or grace à la Buldog bank en comprenant leur reticence à quitter le navire européen pour le sauver. En fait, le vaisseau européen ressemblait de jour en jour au radeau de la Méduse ainsi qu'au naufrage de la socièté française! Mais c'était la vérité que tous les Français devaient connaître, non pour qu'ils se désespèrent, mais bien pour qu'ils changent leur systè-me politique qui était vieux comme Hérode. Et bien évidemment, seuls les genies pourraient apporter des idées nouvelles à la France pour la sauver et non ses armées de fonctionnaires ou de bons élèves issus de l'élite républicaine, Ah!Ah!Ah!

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Car il était important de comprendre qu'il n'était plus question pour nous de sauver la république, mais la France! C'est à dire le grand débat philosophique et politique qui aura lieu dans les prochaines décénnies au sein de la société française que mon génie préssentait. Et au niveau européen, la grande question sera de savoir s'il était raisonnable ou intelligent de sauver l'union européenne en sacrifiant les nations et les peuples qui avaient façonné chacun à leur façon notre continent européen? Car étrangement, on constata-it aujourd'hui que l'union européenne ne faisait qu'exacerber les passions nationalistes de ses pays memb-res! Bref, un renversement total de ses visions politiques que personne n'aurait pu imaginer avant de voir la Grande Bretagne s'engager dans le Brexit. Mais c'était bien la réalité d'aujourd'hui où l'on assistait en direct à son démantèlement grâce à une nation libre qu'est la Grande Bretagne qui va être suivie, je pense, prochainement par l'Italie. Car l'union européenne l'avait rendu complètement folle avec tous ces migran-ts( qu'elle forçait à secourir, à nourrir, à loger, alors qu'en Italie on ne roulait pas sur l'or), au point de cr-éer un gouvernement où l'extrême gauche et l'extrême droite s'étaient alliées pour prendre le pouvoir! Vi-siblement, l'union européenne rendait fou tous ses membres, ce qui n'était pas anodin à signaler à mon cher lecteur. Et quand je regardais sur la carte, la belle botte italienne, je pensais qu'elle avait tout ce qu'il fallait pour botter les fesses à l'union européenne, Ah!Ah!Ah! Quant à ma position politique, bizarreme-nt, je n'ai jamais été républicain, ni pro-européen, mais j'ai toujours respecté mon semblable. Mais d'où pouvait provenir ce miracle, mon cher lecteur? Serai-je une exception ou bien que la république et l' union européenne soient devenues inutiles et obsolètes? Par voie de conséquence, je pense qu'on devrait effacer sur tous les frontons de nos institutions la célèbre devise, Liberté, Égalité, Fraternité, qui n'avait plus lieu d'être, n'est-ce pas? Comme au temps de l'Egypte ancienne où l'on effaçait au burin, sur les cart-ouches en bas relief, le nom du pharaon qui avait trahi l'ordre du monde et les dieux millénairement vé-nérés par le peuple. Bizarrement, ce monde sclérosé par la république conservatrice n'offrait plus aucun avenir aux Hommes, sinon d'assister en direct à la télévision à la chute de l'Occident, Ah!Ah!Ah! On pou-rrait rapprocher mon génie à celui du professeur Charles-Xavier dans les x-mens qui entre autre avait le même prénom que le mien( Patrick) qui s'enfermait dans son cérébro pour se connecter à tous les mu-tants de la p-anète afin de sauver le monde, Ah!Ah!Ah! Je pense que mon génie était de cet ordre de là en le disant sans fausse modestie. Car mon but n'était pas de détruire la socièté occidentale, mais plutôt de la sauver de ces imbéciles qui la gouvernaient en ce moment! Comprenez, mon cher lecteur, qu'en disant cela, je ne voulais pas faire mon petit malin ou mon petit insolent qui soit dit en passant était la grande caractéristique des Français, Ah!Ah!Ah!

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Mais bien pour vous signaler que les Français d'aujourd'hui n'étaient pas libres, égaux et fraternels entre eux, mais plutôt envieux, Ah!Ah!Ah! Parce que malheureusement la liberté ne se décrètait pas pour le peuple vu qu'elle était d'ordre individuel et que personne n'en avait le monopole vu les risques et périls qu'elle comportait( comme dans mon histoire insolite où je prenais de grands risques avec mes compa-triotes à travers mon livre" Des fleurs pour mon enterrement". Car l'égalité n'avait aucun sens pour moi qui ne l'a recherchais pas tel un graal, comme malheureusement les Français qui à force de combats inu-tiles étaient devenus des imbéciles au cours de leur Histoire, Ah!Ah!Ah! Pour la simple raison qu'on était tous égaux uniquement devant la mort et non devant la vie, Ah!Ah!Ah! Bref, aimant la vie et non la mort, les inégalités ne me gênaient pas vraiment dans ce monde sensible, car j'étais souvent à la recherche de nos différences et non de nos vulgaires et grossiers points communs. Paradoxalement, en ne recherchant pas la vulgaire égalité, je montrais un réel respect pour mes semblables et quels que soient leurs classes sociales ou leurs bizareries. Parce que l'égalité génèrait en grande partie les conflits dans la société franç-aise, comme celui de refuser de voir son voisin plus riche ou plus intelligent que soit, Ah!Ah!Ah! Je sais, un grand paradoxe de la société française, mais que les Français devaient connaître afin de sauver, non pas la république, mais la France! Et s'ils avaient la libido en berne en ce moment, c'était pour ces raisons où l'union européenne n'avait fait qu'empirer l'état avec sa vision hégémonique absurde où toutes les couilles devaient être de la même longueur ou la même grosseur, Ah!Ah!Ah! Bref, une métaphore tout à fait crédible dans l'inconscient collectif ou la jalousie collective nous montrait que l'Egalité était une grande idiotie ou un grand phantasme inutile! Et puis sincèrement, ressembler à un Anglais ou à un Alle-mand, ça ne m'a jamais intéressé. Car ils avaient chacun des qualités et des défauts qu'on avait pas, mais qui en faisait tout le charme, n'est-ce pas? Bizarrement, avec toutes les aides sociales en France qui étai-ent monumentales( environ un tiers du PIB) pour aplanir les inégalités, les Français n'en étaient pas pour autant plus heureux en continuant d'être mal payés par leurs employeurs qui ne leur permettaient pas de capitaliser leur argent, ce qui entre nous restait une vérité de Lapalisse, comme de vouloir peigner un diable qui n'avait pas de cheveux, Ah!Ah!Ah! Alors qu'aux États-Unis, où le travailleur était bien payé, il pouvait capitaliser son argent et faire que le système américain n'avait pas besoin d'être trop redistribu-tif. En voyant ici les défauts et les qualités des deux systèmes où l'erreur fatale de la France serait de réd-uire ses aides sociales (comme l'envisageait Emmanuel Macron) qui l'entraînerait immédiatement dans la guerre civile!

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On disait, parait-il, dans les couloirs de l'Assemblée Nationale qu'Emmanuel Macron n'avait aucun prog-ramme politique, sinon la mondialisation pour sortir la France de la crise économique et de la crise de nerf, Ah!Ah!Ah! Pour avoir affaire ici un fantoche de la politique qui croyait encore au miracle étant do-nné qu'il avait gagné au loto lors de la présidence 2017! Et puis n'oublions pas de dire, au cher lecteur, que la mondialisation des marchandises entraînait aussi la mondialisation des conflits désormais visibles par nous tous avec la crise migratoire et le terrorisme. Ajoutons à cela, le réchauffement climatique et l' union européenne qui nous empêchaient de nous battre contre son pays voisin, comme autrefois, je prév-oyais le pire en voyant tous ces ingrédients réunis pour déclencher la 3 ème guerre mondiale qui sera fai-te de guerres civiles commençant dans chacun de nos pays européens! Ce que je ne souhaitais pas, bien évidemment, mais qu'on pourrait arrêter en faisant appel une nouvelle fois aux génies que la république avait lâchement éliminé depuis fort longtemps. En écoutant les grands hommes que seule la nature était capable de produire et non plus les mandarins ou petit personnel politique. En fait, la grande question civilisationnelle que devra se poser la société française sera de savoir comment redonner aux Français le goût d'entreprendre sachant qu'ils n'étaient pas libres, mais obsédés par l'égalité, Ah!Ah!Ah! Bref, une qu-adrature du cercle qui me semblait impossible à résoudre, selon moi. Quand à la faible minorité, qui ne croyait pas à l'égalité, mais sans pour autant mépriser ses semblables, elle était constamment empêchée de reussir et bombardée d'impôts et de taxes, ce qui ne résolvait en rien le problème de la France et de sa survie civilisationnelle, n'est-ce pas? Ajoutons à cela, les entrepreneurs de l'impossible, comme moi, qui avaient des projets extraordinaires pour la France, mais aussitôt censurés par les médias et les maisons d' éditions. Je ne peux dire qu'une seule chose, c'est pauvre France! Pour parler d'autre chose, la semaine dernière, j'ai eu la visite de mon frère à la maison où pendant le repas de midi, on a parlé de tout et de rien, comme d'habitude. Et bien évidemment, j'ai eu droit à ses remarques très pertinentes à propos de mon site Internet où il n'était pas entièrement d'accord avec moi ou du moins sur ce que j'y racontais d'hallucinant. Ce que je pouvais parfaitement comprendre de sa part sachant qu'il n'était pas obligé de me croire ou d'être de mon avis parce qu'il était mon frère. Voyez, mon cher lecteur, comme j'étais large d' esprit en sachant parfaitement que la fraternité entre frères n'existait pas, Ah!Ah!Ah!

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En disant cela, je ne voulais pas lui jeter la pierre, car je l'aimais bien, mais seulement vous montrer, mon cher lecteur, que les frères ont toujours été en rivalité au sein de leur famille où ils se battaient pour atti-rer les faveurs soit de leur père soit de leur mère. Et je veux vous assurer que tout ceci est tout à fait na-turel et ne pose aucun probleme moral pour qui que ce soit de vouloir assassiner ses frères ou soeurs pour accéder au pouvoir, comme dans les tragédies grecques ou shakespeariennes, Ah!Ah!Ah! Mais bon, toutes ses remarques très judicieuses ressemblaient étrangement à des petits meurtres inavoués ou à des fléchettes empoisonnées lancées dans ma direction. Sans pour autant m'en offusquer, car je savais qu'el-les faisaient parties de l'ordre des choses où j'étais apparemment la petite poupée qu'on devait épingler avec de longues aiguilles pour assouvir ses perversités ou attirer vers elle tous les mauvais sorts, Ah!Ah!Ah! Bref, pour m'avouer brutalement que j'avais le beau rôle sur mon Site Internet où je n'avais aucun compte à rendre à personne ni aucun contradicteur pour remettre en question ce que j'affirmais d'une fa-çon péremptoire ou définitive en me prenant pour un génie! Bref, ravalant ma salive après avoir croqué dans ma côte d'agneau que lui-même avait acheté chez un boucher Arabe( car c'est lui qui apportait le repas), je lui dis en reposant ma côte d'agneau sur le bord de mon assiette et en le regardant dans les yeux : Mais frèrot, ça te gêne vraiment que je sois un homme libre? Abasourdi par ma réponse pleine de bon sens, il me dit: Non. Mais ce qui me gêne, c'est que tu ne sembles pas prendre les choses au sérieux et te faire des cheveux blancs, comme moi dans mon travail où je dois batailler toute la journée avec des chefs tyraniques pour que j'améliore mon chiffre d'affaire, sinon la porte! Bien évidemment, je comprenais par-faitement son désarroi en ayant un peu pitié pour lui. Mais il est vrai pour mon âge avancé (que je vous cacherai par coquetterie), j'avais peu de cheveux blancs sur la tête et c'est peut-être cela qu'il me repro-chait, bref, de ne pas vivre toute la journée dans le stress comme lui et disons-même comme tous ces millions de travailleurs qui vieillissaient avant l'âge. En fait, je trouvais que mon frère avait entièrement raison sur mon insolente liberté. Et si je me nommais de génie, c'est parce que personne ne pouvait me prouver le contraire, Ah!Ah!Ah! Ah, ce qu'on était bien sur Internet et sur son île déserte où l'on pouvait proclamer tout ce que l'on voulait! Même insulter ou flatter le public en sachant bien qu'il ne vous répo-ndrait jamais, Ah!Ah!Ah! Hum, vous ne pouvez pas savoir quel plaisir cela me procurait! Et pour l' occ-asion, je voudrais remercier la technologie américaine qui nous permettait aujourd'hui d'expétimenter tant de choses nouvelles et révolutionnaires où dans cette nouvelle dimension tout le monde pouvait se prendre pour Dieu ou pour quelqu'un d'exceptionnel! En termes clairs, on pouvait dire que c'était le ren-versement total de la bourgeoisie conservatrice, qui avait monopolisé la réussite depuis le 19 ème siècle pour ses propres enfants!

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Car voyez-vous, grâce aux Américains, nous allions enfin donner la parole à ceux qui ne l'avaient jamais eu, Ah!Ah!Ah! C'est dire une chose révolutionnaire pour le monde entier où les 90% ont toujours été méprisés par leurs élites. Et merci aux Américains qui, quand ils innovaient, apportaient souvent à l'hum-anité le pire comme le meilleur, il ne faut pas se le cacher. C'est comme si vous vouliez vous marier avec la plus femme du monde qui, je vous assure, allait vous attirer plus d'ennuis que d'agréments, Ah!Ah!Ah! Car tout était écrit noir sur blanc sur le contrat de mariage, mais que vous ne vouliez pas bien évidemm-ent lire en détail sachant que la mariée était trop belle, Ah!Ah!Ah! En fait, c'était le rêve caché de tous les Français de vouloir se marier avec la belle américaine. Dans le milieu des affaires, on disait d'elle qu'elle se vendait au plus offrant vu son train de vie extravagant et devenait complètement hystérique et d'une folie meurtrière quand ses affaires tournaient mal, Ah!Ah!Ah! Décidément, c'était l'Amérique qu'on aim-ait tous avec ses coups de revolvers dans le dos ou d'une balle dans la tête quand on était au bout du rouleau, mais aussi un moyen très efficace d'éponger ses dettes avec ses propres morceaux de cervelle, n' est-ce pas? Quoi qu'il en soit un lieu où l'ordure et le luxe se côtoyaient sans réellement poser de problè-me à la société américaine qui se payait un bain flamboyant dans ses propres excréments quand elle tou-chait ses premiers millions, Ah!Ah!Ah! Oui, merci à l'Amérique et à sa technologie qui me permettaient aussi bien de l'insulter que de la vénérer! Bizarrement, quand je respirais l'air de l'Amérique, j'y sentais comme l'odeur de la merde, mais néanmoins une chose fascinante pour l'écrivain que j'étais. Et je veux vous assurer que les djihadistes islamiques étaient très reconnaissant à l'Amérique d'avoir inventé Inter-net en devenant pour eux une plateforme idéale pour répandre leur propagande terroriste. Apparemment, le bien et le mal faisaient parties intégrantes de toute entreprise révolutionnaire ou d'innovation techn-ologique, n'est-ce pas? Et quand je pensais à Donald Trump, je voyais aussitôt un pot de chambre posé sur le trône de l'Amérique, Ah!Ah!Ah! Mais où l'Amérique était encore le seul pays où la merde était truffée de pépites d'or, ce qu'on ne pouvait pas dire de la France où il n'y avait plus rien à extraire sinon de la merde instititionnelle ou médiatique, Ah!Ah!Ah! Hier soir, en regardant la télé, on nous a annoncé la prochaine rentrée littéraire où, une fois de plus, on allait nous proposer les fadaises et les mièvreries de la littérature française, comme chaque année. Comprenez, mon cher lecteur, que pour moi les fadaises et les mièvreries étaient des petits bonbons sans aucun goût qu'on suçait par habitude afin d'occuper sa lan-gue et bien évidemment pour les futurs débats stériles de la société française. Il parait même qu'on conna-issait déjà le futur prix Concourt vu qu'il faisait partie des 600 romans sélectionnés! Extraordinaire, non? Bref, c'était la république française toute crachée avec son armée d'imbéciles dont le travail consistait à exclure de la France tous les génies de notre temps et tout particulièrement ma personne.

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Pour revenir à mon histoire avec l'inspecteur Moutier, quand je suis sorti de son bureau, celui-ci m'a bien fait comprendre qu'il ne m'aiderait pas à trouver mon futur assassin. Car, parait-il, je l'avais bien cherché tout en me donnant une petite tape dans le dos comme pour me souhaiter bonne chance. J'étais bien évid-emment très déçu par sa decision de refuser mon idée révolutionnaire de réformer la police en un service de mentalistes où le travail consisterait à connaître les mauvaise intentions des gens avant qu'ils comme-ttent leurs horribles crimes. Mais à le voir assis confortablement dans son fauteuil rapiècé de toutes parts et à piocher de temps en temps des cacahouètes dans son bureau, puis à curer ses ongles avec son petit ca-nif( apparemment gagné dans une tombola lui rappelant comme de bons souvenirs), il m'avait donné l'im-pression qu'il ne changerait pas ses habitudes pour rien au monde et continuerait son travail de petit fon-ctionnaire jusqu'à sa retraite. Sans oublier qu'il m'avait dit à plusieurs reprises qu'il comptait y arriver vivant afin de pouvoir profiter de la vie, ce qui était tout à fait honorable pour un inspecteur qui toute la journée traquait le voyou à ses risques et périls où parfois le voyou se donnait la liberté ou le plaisir d' abattre un flic avant de se loger une balle dans la tête! En fait, j'avais l'impression que l'inspecteur était comme tous les Français qui attendaient impatiemment de prendre leur retraite pour ne plus avoir affaire à la société ou du moins à ses mauvais côtés. Bref, c'était la France des mort-vivants où les vieux com-ptaient vivre et retrouver leur jeunesse le jour de leur retraite, Ah!Ah!Ah! En fait, une totale absurdité qui ne prévoyait rien de flamboyant pour la France, sinon une armée de vieux partant en guerre pour sauver la patrie! Bref, en rentrant directement chez moi sans même boire un petit remontant dans un café, je me suis éffondré sur ma chaise en ayant comme seul et unique témoin mon horrible bouquet de fleurs qui semblait rire de ma situation. Apparemment, mon futur assassin était d'une diabolique machination où j'ai cru un instant que son vilain bouquet de fleurs était équipé d'une micro caméra pour suivre ma lon-gue descente aux enfers! Aussitôt, je me suis levé pour aller vérifier en triturant mes doigts à l'intérieur où une fois de plus, j'ai pu constater l'efficacité de ses piquants et de ses orties pour me les mettre à sang. Bref, deuxième passage sous le robinet d'eau froide où je me demandais bizarrement, mais quand aura lieu pour moi la prochaine la douche froide?

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Sans nier qu'étant affreux, sale et méchant, j'avais besoin d'une bonne douche, mais que j'excluais froide ou glacée, Ah!Ah!Ah! Puis réfléchissant à ma situation très inconfortable( comme vous l'avez deviné), il me vint tout naturellement l'idée de m'équiper d'un gros calibre pour assurer ma propre sécurité! Car je n'oubliais en rien que l'inspecteur Moutier avait refusé de recevoir ma plainte ainsi que d'admettre que la police nationale arrivait toujours après que le crime ait été commis! Et l'on se demandait souvent ce que faisait la police lorsque nous nous faisions bestialement étriper par un psychopathe? Ah!Ah!Ah! Mais que fait la police? lâchait la victime avant de succomber à la barbarie de son assassin. Mais bon, mon cher lecteur, je ne vous apprenais rien de nouveau ici, sinon qu'on aurait pu vous assassiner 10 fois avant que la police vienne à votre secours, Ah!Ah!Ah! Et souvent, je me demandais qu'elle était l'utilité de la police sachant qu'elle arrivait toujours trop tard sur les lieux du crime? Et pensiez-vous toujours que la peur du gendarme puisse décourager les pulsions criminelles d'un serial-killer ou l'appât du gain d'un petit malf-rat? Sincèrement, je n'y croyais plus du tout, car toutes ces choses se passaient encore de nos jours et par-adoxalement avec un sureffectif de policiers dans les rues et dans les commissariats. En fait, si la police existait, ce n'était pas pour dissuader les voyous et les criminels. Car vous n'assisterez jamais en direct à un assassinat dans votre rue à part avec le terrorisme, mais seulement pour rassurer l'honnête citoyen. En fait, la fonction de la police n'était pas d'arrêter les gens ou les groupuscules dangereux pour notre soc-iété( car ces derniers existeront toujours), mais de créer des postes de fonctionnaires. Bref, un accord tacite avec le citoyen pour justifier son existence et son utilité, CQFD. Je sais que c'est dure de l'entendre ainsi, mais c'est la vérité que les Français doivent connaître pour comprendre qu'ils payent fort cher un service qui ne sert à pas grand chose sauf à creuser le déficit de la France, Ah!Ah!Ah! Souvent, on entend dire que la police est le bras armé de la justice. Oui, cela est vrai. Mais sachant qu'en France, la justice est défaillante, son bras armé l'est aussi. Mais bon, il est toujours rassurant pour nous de savoir qu'on arrête-ra notre futur meurtrier, après qu'il nous aura sauvagemenent assassiné, Ah!Ah!Ah! En fait, ce que pens-ent les morts au fond de leurs tombes, après que justice ait été faite, c'est qu'ils ne pourront jamais app-récier cette satisfaction, mais seulement les vivants. Et interrogeant sans cesse le silence et l'obscurité de leurs tombeaux, ils se demandent comment ils ont pu être vivant auparavant, puis mort désormais? En fait, au dessus de chaque tombe semblait s'élever comme un immense point d'interrogation s'adressant aux vivants qui eux aussi seront broyés un jour sans aucun ménagement par la mort!

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Car la vie et la mort étaient deux frères ennemis qui voulaient l'anéantissement de l'un comme de l'autre, mais où la vie avait juste pris un peu d'avance, Ah!Ah!Ah! Bref, depuis la reception de mon macabre bou-quet de fleurs, j'avais le sentiment d'avoir la mort à mes trousses! Comme dans le film d'Alfred Hitchco-ck "La mort aux trousses" où j'étais apparemment Roger Thornill joué par Cary Grant et poursuivi par de vilains individus qui voulaient le liquider pour des raisons mystèrieuses. Bref, connaissant les goûts per-vers d'Alfred Hitchcock pour faire jouer des rôles diaboliques à ses acteurs et actrices, j'ai remarqué que le nom de Thornill signifiait après traduction en français : la colline d'épines( thorn=colline et ill=épines) ou la mauvaise pente en traduisant ill en mauvais. Bref, rien de bien surprenant pour ce personnage dont le destin était comme inscrit dans son nom. A ce propos, je me demandais étrangement, si je n'avais pas un point commun avec ce personnage bourré d'épines détesté par ses contemporains parce qu'il avait en lui une mauvaise pente de s'attirer tous les malheurs du monde? Ah!Ah!Ah! C'était fort possible. Mais bon, entre nous, pouvait-on reprocher à un porc-épic d'avoir des épines sur le dos ou bien à un génie d' avoir du génie? Sincèrement, je crois que ce serait ridicule pour nous tous d'entrer dans ce débat ou seule la nature avait la clef du mystère. J'espère seulement que mes ennemis ne m'enverront pas un avion pour m'écrabouiller sur la place de la Croix-Rousse, Ah!Ah!Ah! Je sais bien que cela pourrait faire un beau spectacle pour les Croix-Roussiens, mais que j'excluais totalement pour leur faire plaisir! En fait, peu de gens savaient que leur destin était inscrit dans leur nom, comme Roger Labite ou bien Simone Lagouine, Jean-Pierre Lefion, Eric Leporc etc. Et je veux vous assurer qu'aucun d'entre eux n'aura la chance d'être président d'un groupe financier ou d'une institution avec un nom comme le leur. Imaginez, mon cher lec-teur, avec notre actualité désastreuse, un certain Lelandais président d'une association pour la défense des enfants ou bien un certain Landru présider une association pour la défense des droits des femmes ou une Marie Besnard représentante de la ligue des droits de l'Homme? Ah!Ah!Ah! Je vous assure, mon cher lec-teur, que cela n'arrivera jamais dans notre société française ou étrangère où les noms ridicules ne manqu-ent pas eux aussi. Paradoxalement, ceux qui me faisaient pitié, ce n'étaient pas les gens qui nous lâchaient de déchirants cris de douleurs, mais ceux qui voulaient absolument plaire au public en lui montrant une bonhomie de façade! Bref, des gens qui ne voulaient pas assumer leurs peurs et leurs angoisses, comme on en trouvait beaucoup dans les médias parmi les journalistes, les hommes politiques, les artistes et les écrivains d'aujourd'hui. Je sais que c'est un gros paradoxe que j'exprime là. Mais comprenez bien, mon cher lecteur, qu'en voulant plaire absolument au public on se trahissait soi-même pour avoir un semblant de succès. Car notre succès ne serait pas la résultante de notre talent, mais de la communication, ce qui n'était pas anodin à signaler.

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Et qu'ils nous mentaient à 90% pour ne pas être trop méchant avec eux où parfois, la vérité sortait de leurs bouches, Ah!Ah!Ah! Car qu'est-ce que le public, sinon qu'une nébuleuse sans visage et sans âme qu' on pourrait identifier à un ogre? En fait, ces gens ne s'adressaient plus à la personne humaine, mais à un grand fantôme sans réalité où leurs oeuvres resteraient sans aucune portée artistique, intellectuelle, littér-aire en n'étant plus humaine, mais correspondante à une image qu'on se faisait de ses contemporains. Il est vrai un bouleversement total pour notre culture philosophique européenne où la vérité avait tenu une si grande place, mais désormais écrasée par la pseudo-vérité des médias où la télé était devenue le grand exécuteur ou le bourreau. Pour illustrer mes propos, je prendrais l'émission TPMP animée par Cyril An-ouna que je trouvais abominable où tout le monde tirait la couverture à soi pour avoir les faveurs du pu-blic en lui disant la plus grosse connerie possible, Ah!Ah!Ah! Bref, une grande dégueulasserie où l'on mettait tant d'énergie et de fric pour flatter le mauvais goût du public ou du moins l'idée qu'on s'en faisait pour se faciliter le travail, c'est à dire un public idiot et prêt à tout avaler. C'est dire un concept du public bien pratique pour tous ces gens( qui n'étaient pas des lumières ni des génies), mais leur permettant de déverser sur le public un immense pot de chambre, Ah!Ah!Ah! Où ils ne s'adressaient plus à la personne humaine, mais à une nébuleuse sans visage et sans âme. Bref, le monde rêvé pour les imposteurs où tout était de façade aussi bien l'amour, la sympathie que l'intelligence. En fait, avec la télé, nous nagions dans un bain immonde où l'on nous berçait de grandes illusion en nous faisant croire qu'on nous respectait en tant que personne humaine. Alors que nous étions pour eux qu'un gros animal dans lequel ils avaient en-foncé leurs sondes de température afin de connaître tous nos désirs et nos points faibles pour nous sé-duire! Personnellement, j'ai toujours trouvé cela abject sachant que dans mes écrits uniques et exception-nels, je me suis toujours adressé à la personne humaine et jamais à un gros tas d'êtres humains, comme le faisaient les médias avec un grand mépris afin de faire la promotion de leurs propres ideologues ou pseu-do-penseurs. Et je vous assure, mon cher lecteur, que ces auteurs "chouchous des médias" n'apporteront rien de bon à la société française sachant qu'ils n'étaient plus des hommes ou des femmes, mais des insti-tutions de sondages et de statistiques au service de leur propre succès!

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En fait, nous avions affaire ici à des robots fabriqués par la technologie et la science et non plus par l'hu-manité. Tout ceci étant bien évidemment lourd de conséquences pour notre avenir ainsi que pour notre culture où il semblerait que nous serions entrés de plein pied dans le monde de la contre-culture de nive-au zero, Ah!Ah!Ah! En fait, la différence qu'il y avait entre la vraie culture et la contre-culture de niveau zero, c'est que la première vous rendait intelligent, alors que la seconde vous rendait complètement idiot, comme nos rappeurs débilisant la jeunesse actuelle. Et si j'en parlais, c'était en tout connaissance de cau-se. Car depuis des années, je croise tous les jours dans mon quartier de la Croix-Rousse, un type bizarre qui a constamment son casque sur les oreilles où il écoute du rap en tenant son chien en laisse auquel il semble faire vivre un vrai martyr, Ah!Ah!Ah! Car celui-ci tire constamment sur sa laisse afin de fuir cette horrible musique, mais aussi la démarche ridicule de son maître qui n'est pas propice à la bonne prome-nade du chien. Bref, tout ça pour dire que je voyais d'année en année l'état mental de ce jeune homme dé-périr lamentablement, Ah!Ah!Ah! En fait, le problème, ce n'était pas la musique( qui pourrait être excell-ente avec un peu plus d'imagination ou de talents), mais la répétition du même motif ou de la même bou-cle. En fait, le rap faisait partie de la musique industrielle, comme la littérature d'aujourd' hui qui avait l'avantage de se fabriquer avec peu de moyens intellectuels ou musicaux pour pouvoir en faire des kilo-mètres et donc très vite être rentabilisée en passant par les médias. C'est ce que nous montrait la contre-culture actuelle qui rendait complètement idiots ceux qui en vivaient ou s'en abreuvaient, Ah!Ah!Ah! Comme avec l'histoire ridicule de Booba et Kaaris dans les médias qui s'étaient donnés rendez-vous pour se battre et montrer qui était le plus fort, Ah!Ah!Ah! Celle-ci en était un parfait exemple, n'est-ce pas? J' inclurai bien évidemment dans cette contre-culture de niveau zero ou industrielle, l'art contemporain, Ah!Ah!Ah! Alors que la contre-culture des années soixantes et soixantes dix remplisaient nos existences d' une manière intelligente avec toutes ses utopies pleines de promesses pour l'humanité, n'est-ce pas? Le but de mes écrits sur mon site Internet étant bien évidemment de restaurer l'intelligence des Français que nos méchants médias malmenaient pour ses intérêts économiques. En fait, je considérais les médias et la télévision comme une grande prostituée, mais qui était incapable de nous faire la moindre fellation, Ah!Ah!Ah! Bref, la grande supercherie de la technologie! Et si mes propos m'amenaient tout naturellement à vous parler des femmes, ce n'était pas le fait du hasard, mais parce qu'elles étaient (comme vous le savez tous) constamment en état de séduction!

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Et contrairement à ce que nous racontait les médias, les féministes et les pseudo-penseurs, elles vivaient en ce moment leur âge d'or dans la société occidentale! Par le fait qu'on voulait absolument nous séduire. Nous signifiant que nous vivions dans une société ultra-féminisée où subsistait encore quelques vieilles résistances du passé  comme le patriarcat, le machisme, la misogynie, les religions monothéistes), mais qui allaient s'abolir d'elles-mêmes, parce que les femmes avaient pris le pouvoir, non pas seulement dans le Roman, mais aussi dans les médias et la politique, Ah!Ah!Ah! Voyez le nombre aujourd'hui de femmes écrivaines, journalistes, présentatrices télé, enseignantes, présidentes de régions ou d'un groupe financier où le but reste tout de même de séduire la future clientèle aussi bien privée que publique qui, il faut le dire, avait beaucoup féminisé ses moeurs en favorisant l'ascension sociale des femmes, n'est-ce pas? C' est dire un véritable choc civilisationnel pour la société occidentale, mais aussi pour le reste du monde qui regardait cela avec des yeux médusés, comme assistant en direct à la chute de l'Occident par le renve-rsement de ses valeurs qui lui avaient assuré par le passé la stabilité et la longévité de sa culture millénai-re. Tout naturellement, l'Orient et l'Asie regardaient cela avec des yeux effarés et fascinés en même tem-ps, car les femmes avaient pris le pouvoir en Occident dont on devinait déjà la suite catastrophique, Ah!Ah!Ah! Car contrairement à ce que les gens croyaient, certainement par ignorance, les sociétés matriarca-les avaient déjà été expérimentées, il y avait plusieurs millénaires. Mais très vite abandonnées, parce qu' elles étaient basées sur la séduction, la reproduction et l'éducation des enfants. Certes, un beau projet, mais qui n'avait pas été au goût de l'homme dominant où tout se passait dans la cuisine ou dans la cham-bre à coucher, Ah!Ah!Ah! En fait, une vie domestique à la Mormon que les hommes vaillants n'étaient pas prêts à assumer sachant qu'ils aimaient boire, faire la fête, faire la guerre, faire des carnages et remplir leurs coupes et leurs trophées du sang de leurs ennemis qu'ils considéraient comme des sous-hommes. C' est ce que l'humanité nous avait montré depuis l'aube des temps. En fait, si l'on voulait rester honnêtes avec nous-mêmes, on dirait que la société matriarcale était à l'evidence une société de paix, puisque un-iquement basée sur la séduction, la reproduction et l'éducation des enfants, n'est-ce pas?

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Visiblement en Occident ont expérimentait à nouveau cette société de femmes (qui avait pourtant échoué par le passé), mais dont les médias étaient devenus les chantres et les ideologues en la remettant sur la sc-ène de l'actualité pour nous faire croire à de la nouveauté qui allait forcément séduire les femmes et les hommes qui avaient féminisé leurs comportements. Mon bon, pourquoi pas, je me disais, en ayant aucu-ne haine contre les femmes et bien qu'elles nous soient inférieures, Ah!Ah!Ah! En fait, si je n' avais aucun mépris pour les femmes (alors que j'aurais dû en avoir en tant que mâle blanc dominant), c'est parce que j'avais inconsciemment féminisé ma pensée et mon comportement pour pouvoir m'adapter à cette nouv-elle société de femmes où elles étaient devenues les dominatrices, Ah!Ah!Ah! C'était fort possible. Mais pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, j'avais plutôt le sentiment qu'on avait féminisé ma pensée et mon comportement contre ma volonté dont la principale coupable était bien évidemment ma mère qui, il faut le dire, m'avait adoré durant mon enfance au point de me sentir souvent oppressé par son amour si envahissant ou gargantuesque. Bref, trop d'amour versé sur un petit enfant n'était pas un cadeau à lui fai-re et je vous certifie qu'il sera invivable avec les autres et disons-même impossible pour lui de fonder quelques entreprises que ce soient avec ses semblables et c'était particulièrement mon cas. Au point d'en-vier souvent, dans mon for intérieur, les hommes et les femmes qui n'avaient pas reçu une miette d'amour durant leur enfance, Ah!Ah!Ah! Car ils pouvaient, selon moi, devenir de vrais hommes ou femmes aptes à aimer les autres, parce qu'ils n'avaient pas été dévirilisés par leurs mères ou brutalisés par leurs pères. En pensant que trop d'amour reçu durant votre enfance tuait votre capacité à aimez les autres, alors qu'un manque d'amour vous encourageait à les aimer, ce qui était positif pour la société ou l'humanité, n'est-ce pas? Malheureusement, je n'avais pas eu cette chance en me retrouvant bien seul devant cette dévirilisati-on opérée par ma mère contre ma volonté, mais sans pour autant être devenu homosexuel, car au fond de moi, j'étais un garçon et non une fille. Avec l'étrange l'impression dans ma vie de chercher à reviriliser ma pensée ainsi que mon comportement envers les femmes pour contrecarrer le mal que ma mère avait fait à ma propre nature! En vous assurant, mon cher lecteur, que je n'étais pas un cas particulier, mais plutôt un cas assez répandu dans la société occidentale ou les femmes avaient pris malheureusement le pouvoir. Et puis les preuves étaient là. Regardez les films affligeants de François Truffaut, de Woody Al-len, de Pablo Almodovar, vous constaterez par vous-même que ces gars là avaient du avoir de gros pro-blèmes avec leurs mères, Ah!Ah!Ah!

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En fait, pour résumer notre pensée, nous dirons que les sociètés humaines suivaient la même évolution, c'est à dire la virilisation, la féminisation et l'infantillisation. Où la grande question était de savoir à quel stade se trouvait la socièté française? Car ce phénomène était cyclique et se reproduirait dans les sociètés futures des Hommes, bien évidemment. A ce propos, j'ai vu, il y a quelques jours, un reportage sur le Ja-pon où mes intuitions se sont révélées vraies concernant l'évolution des sociètés. Car d'après ce que j'ai vu et entendu, les Japonais vouaient un culte idiot pour tout ce qui était petit et mignon et en particulier pour les petites filles! Avec la sombre impression que la société japonaise était devenue une société de pedophile, parce que les hommes avaient perdu leur virilité, Ah!Ah!Ah! Et ma conclusion fut vite tirée : Oui, bien effectivement, la société japonaise se trouvait au stade de l'infantillisation. Et ce qui m'a beauc-oup surpris, ce sont les propos de ces hommes qui, les larmes aux yeux, nous confessaient vouloir reven-ir en enfance et redevenir des bébés afin de retrouver leur innocence ou leur virginité! Apparemment, la société japonaise était en fin de cycle civilisationnel ou disons-le carrément au bout du rouleau, Ah!Ah!Ah! Comprenez, mon cher lecteur, ce que je vous apprenais là, les médias et leurs pseudo-penseurs ne vous en parleront jamais de cette façon. Car ils avaient tellement féminisé leur pensée qu'ils étaient deve-nus d'une grande coquetterie en vous cachant leurs intentions derrière une tonne de maquillage afin de vous séduire, comme une machine à rêves ou à fantasmes, bref, c'était Hollywood, Ah!Ah!Ah! En fait, ce que j'ai compris, il y a bien longtemps, c'est que celui qui détiendra vos rêves aura tous les pouvoirs et apparemment le cas pour les médias et pour Hollywood. En analysant toujours les choses sous l'angle de l'audimat ou des sondages afin de savoir ce qui allait marcher pour vous séduire afin de vous vendre tout un tas de trucs inutiles, mais surtout pour vous rendre accrocs à leur drogue ou succès stories et richess-es étaient à la clé. En fait, ils ne vous en parleront jamais sous l'angle des plaques tectoniques des socié-tés, comme je le faisais maintenant. Bref, pour aller directement au but, je dirais que la société française se trouvait en ce moment au stade de la féminisation favorisée par les médias, mais aussi par la républi-que qui voulaient dégoûter les hommes d'être de vrais hommes par la loi idiote sur l'égalité des sexes et de toutes les conséquences qui en découlaient artificiellement. Bref, une entreprise de démolition de la virilité des hommes qui, entre nous, arrangeait bien nos hommes politiques pour éliminer nos futurs gra-nds hommes de pouvoir ou génies, Ah!Ah!Ah! Mais tout ceci, je vous l'assure, mon cher lecteur, faisait partie entièrement de l'évolution de notre société occidentale où nous attendions avec impatience d'être infantilisés pour redevenir des enfants avec de la morve au nez, Ah!Ah!Ah!

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Mais ne vous inquiétez pas pour cela, mes chers concitoyens, car maman était là avec son beau mouchoir tricolore pour vous moucher et vous écorcher le nez au passage, Ah!Ah!Ah! Je parlais bien évidemment de l'Etat français qui à l'évidence avait changé de sexe, Ah!Ah!Ah! Bref, adieu à la chère patrie de nos pè-res d'antan qui devaient se retourner dans leurs tombes de savoir que la France était en pleine déconfiture ou plutôt s'était mise à faire des confitures comme grand-mère, Ah!Ah!Ah! En vous assurant que je n'inv-entais rien où toutes les aides sociales en France prouvaient mes dires pour être en pleine voie de fémini-sation et non loin de l'infantillisation, n'est-ce pas? Pour essayer de connaître quand cette féminisation de la société française a commencé( disons son cycle le plus récent), je le daterai à partir des années soixant-es dix où les garçons ont commmencé à porter des cheveux longs, mais aussi par la liberation sexuelle des femmes qui, il faut le dire, allait déviriliser les hommes. Où tant de désirs à assouvir avaient de quoi les éffrayer à en prendre leurs jambes à leurs cous, Ah!Ah!Ah! En pensant aussitôt aux compagnons d' Ul-ysse qui s'étaient bouchès les oreilles avec de la cire d'abeille pour ne pas entendre l'infernal chant des Sirènes. Comme vous le voyez, je n'ai pas voulu parler du cas très masochiste d'Ulysse qui, sans bouch-ons d'oreilles, attaché au mât du navire ainsi que les mains( pour lui éviter ce que nous pensons tous) allait vivre un vrai martyr, Ah!Ah!Ah! Faut dire aussi que dans la mythologie grecque, il n'était pas un homme, mais un demi-dieu, ce qui expliquait sa résistance aux cris de désirs des femmes. Sans vous cacher, mon cher lecteur, que durant mes nuits, je fais souvent le même cauchemar où, perdu au milieu d'une forêt, j'entends comme le cri infernal des femmes! Et étrangement, je ne sais jamais si ce sont des cris de plaisirs ou de souffrances, la frontière étant si proche, voyez-vous. J'ai comme l'impression en vous confessant tout cela d'une manière impudique que j'inaugurais sans le savoir, ma future deuxième vie qui sera celle d'un serial-killer, Ah!Ah!Ah! A ce propos, je me suis toujours demandé ce qui poussait un homme( dans la majorité des cas) à devenir un serial-killer, sinon sa haine pour l'humanité? Mais pa-radoxalement, une chose assez banale à observer parmi nos semblables qui, il faut se l'avouer, ne s'aim-aient pas beaucoup en se faisant rarement des cadeaux dans la vie, mais sans pour autant devenir d'odie-ux criminels sanguinaires, n'est-ce pas? En fait, j' ai comme l'intuition que ces hommes, qui allaient de-venir des serial-killers, avaient été programmés par leurs parents qui les avaient martyrisé durant leur en-fance!

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Que tout ceci me semblait d'une logique implacable, n'est-ce pas? En fait, je crois qu'il faudrait dire aux futures victimes que leur assassin n'était pas cet homme( qu'ils avaient entraperçu avant qui leur plante son grand couteau dans la poitrine), mais les parents du serial-killer! La raison pour laquelle, il faudrait revoir toute notre législation sur les crimes afin d'être en accord avec la vérité et non avec cette soi-disant famille idéalisée par notre société consumériste. Avec l'intime conviction que le serial-killer était lui au-ssi une victime de notre société, mais que malheureusement aucun juge ne défendra la cause. Pour la si-mple raison que son métier était de juger les criminels pour leurs actes commis et non pour les actes qu' on avait commis sur eux durant leur enfance. Bref, tant de crimes perpétrés au sein des familles au fond d'une chambre ou d'une cave isolée assurait malheureusement à notre société, une future génération de serial-killers, Ah!Ah!Ah! Quant aux serial-killers qui violaient les femmes sous la menace d'un couteau pour les assassiner ensuite, ils le faisaient parce qu'ils avaient une petite bite, Ah!Ah!Ah! Car les hommes correctement montés ne s'amusaient pas à ce genre de perversion, n'est-ce pas? J'espère seulement que mon futur assassin n'aura pas entendu mes propos le concernant en sachant qu'il comptait toujours me liquider dans les prochains jours ou peut-être les prochaines semaines? Tout compte fait, comme j'ai été très aimé par ma mère durant mon enfance, je risquais d'être un très mauvais serial-killer en ayant de la compassion pour mes victimes. Désolé, Mesdames, mais je ne vous enfoncerai mon gros engin dans la bouche sous la menace d'un couteau au risque de vous étouffer et vous mener au trépas, Ah!Ah!Ah! Car c'est un risque que je ne veux pas courir et assumer la responsabilité devant les tribunaux de justice, mais aussi devant les médias qui pourraient en faire la une de leurs journaux, n'est-ce pas, mes chères lect-rices? En fait, la chance que nous avions, c'est que la majorité des hommes et des femmes voulaient leur bonheur réciproque à part les odieux serial-killers qui nous voulaient du mal pour assouvir leurs perv-ersités monstrueuses. Mais sans fausse démagogie, il faut dire que les hommes et les femmes n'étaient pas pour autant des saints entre eux et surtout les femmes qui se considéraient toujours comme les éter-nelles victimes en ne voulant jamais assumer leurs responsabilités, comme bien entendu! Bref, l'éternelle hypocrisie feminine( qui ne changera pas d'ici tôt, je vous l'assure) et souvent à l'origine des catastrophes qu'elle soit familiale, économique, sociale et même la cause des nombreux accidents de la route. Même je dirais climatique, quand on sait que la majorité des tempêtes, ouragans, typhons avaient un prénom féminin (comme Florence qui a dévasté la côte Est des États-Unis dernièrement), mais que personne ne veut reconnaître et bien évidemment les premières concernées, Ah!Ah!Ah!

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Je vous assure, mon cher lecteur, que je n'inventais rien et tous les marins vous le dirons mieux que moi qu'une femme à bord d'un vaisseau ou d'un vase clos portait la poisse, Ah!Ah!Ah! En extrapolant la chose au niveau de la société, on pourrait dire sans bien se tromper que les femmes les précipitaient dans le cha-os, Ah!Ah!Ah! Je sais que c'est une chose très dure à dire sur les femmes, mais il faut savoir que la fémi-inisation de la société est une très mauvaise chose pour notre avenir. Et puis regardez à l'Education Nati-onale, où la majorité des enseignants sont des femmes, voyez le résultat catastrophique sur les élèves da-ns le rapport PISA! Et souvent, je me demande avec une grande lucidité, s'il était encore possible en Fran-ce de se ressaisir afin d'arrêter ce carnage ou ce phénomène de féminisation nous entraînant vers notre déclin? D'autant plus que la majorité des hommes avaient féminisé leurs moeurs et leurs comportements pour plaire aux femmes qui avaient pris le pouvoir en France afin de trouver leurs places, Ah!Ah!Ah! Malheureusement, je craignais qu'il soit trop tard en prévoyant le pire. Pour aller jusqu'au bout de ma pensée, je dirais que même les plus grands séducteurs se faisaient baiser par les femmes, Ah!Ah!Ah! Car le trou qu'elles avaient entre les cuisses était un gouffre sans fond et entrainait fatalement le monde dans une abysse! Désolé, Mesdames, de vous le dire, mais vous êtes des monstres qui l'ignorez vous-mêmes. Tout en vous assurant que ce n'était pas de votre faute, mais à la nature qui vous avait fabriqué pour env-ahir la surface du globe telle une immense plante carnivore, Ah!Ah!Ah! Bref, c'était la féminisation dont je vous parlais précédemment qui faisait partie du phénomène : séduction, reproduction, éducation des enfants. Il devenait évident que cette végétation avait envahi tous les espaces de liberté des hommes au point de se sentir, comme de vulgaires machines de reproduction au service de ces dames qui avaient pris le pouvoir de la plus sournoise façon par la séduction! Pour compléter mon héroïque demonstration, je dirais que le plus grand danger que puisse affronter un homme politique n'était pas un adversaire homme, mais une jolie femme qui était prête elle aussi à séduire le peuple, Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, je n'ai pas voulu préciser si la femme était intelligente ou non, car lorsqu'on est beau, on pas besoin de l'être pour rèussir, Ah!Ah!Ah! C'est ce que j'ai prouvé sur mon site grâce au cercle magique qui établissait des vérités sur notre société où les cinq valeurs déterminantes étaient la santé, la beauté, la richesse, l'intelligence et l'instruction sur les pages de mes poésies.

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A ce propos, j'ai vu la dernière fois à la télé, un débat politique qui a tourné court pour un homme polit-ique qui avait malheureusement en face de lui une opposante qui était une très belle femme. Pauvre de lui! je me suis dit en le voyant perdre tous ses moyens devant cette jolie femme qui avait tous les atouts pour plaire au public et au peuple, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je pense que l'homme politique intellige-nt fera tout pour éviter un débat politique à la télé où il aura en face de lui une jolie femme qui forcém-ent gagnera tous les suffrages. Entre nous si Emmanuel Macron avait eu en face de lui, une jolie femme, au cours du débat du 20 H, je pense qu'il aurait perdu les elections en 2017, Ah!Ah!Ah! Et la chance qu'il a eu, c'est d'avoir Madame Le Pen qui, il faut le dire, n'était pas une beauté. Oh, le gros veinard, je pen-sais en attendant qu'un top modèle se présente aux prochaines élections! Mais tout ceci était facilement prévisible sachant que les médias avaient féminisé leur stratégie afin de nous séduire en nous faisant de-venir des objets de consommations tel un ADN inscrit dans leurs programmes marqués par la séduction des images, la généralisation des idées de masse et l'infantillisation comme but recherché. En fait, pour essayer d'expliquer la catastrophe qui s'est passée à l'Education Nationale, où la majorité des enseignants sont des femmes, il faut comprendre qu'il y a une grosse difference entre la reproduction du savoir et la transmition du savoir. Et si nos petits Français sont devenus de grands idiots attardés qui écoutent du Rap en faisant du skate board à 40 ans passés, Ah!Ah!Ah! c'est parce qu'elles sont malheureusement incapables de transmettre le Savoir aux autres. En étant seulement douées pour transmettre leur patrimo-ine génétique à leurs enfants! Je sais que c'est dure de l'entendre, mais c'est la vérité qui je vous l'assure ne les rabaisse pas. Car souvent, je sens en moi, le patrimoine génétique de ma mère agir sur chacune de mes cellules et guider mon caractère et mes choix. Mais comme la nature m'a faite garçon, je lutte sans cesse contre cette dévirilisation de mon corps et de mon esprit dont mes écrits et mes oeuvres attestent ma lutte constante contre cette féminisation de la société, mais sans pour autant haïr les femmes pour avoir été très aimé par ma mère. En fait, la grande question qu'on devrait tous se poser et tout particuli-erement les biologistes était de savoir si le fait de sortir du ventre d'une femme( car les femmes accouch-aient aussi bien des filles que des garçons) avait de graves conséquences sur la vie d'un garçon et sur sa future vie d'homme? Question qui n'a malheureusement jamais été traitée par nos sociologues et psycha-nalistes, mais qui le sera sûrement au 3 ème millénaire. Car je suis un homme en avance sur son temps, mais que mes odieux contemporains ne veulent pas admettre, malheureusement. Avec une forte probabil-ité qu'en faisant disparaitre le chromosome Y chez le garçon qu'on obtienne enfin l'homme idéal attendu par l'humanité toute entière, bref, le messie! Pour revenir à notre sujet, je dirais que les femmes sont de merveilleuses machines à reproduire les corps, les moeurs et les idées de leur époque, mais sont incomp-étentes pour transmettre les valeurs et le Savoir en étant des machines à répéter tout ce que leur a appris la société et la nature. Bref, de formidables machines à enregistrer qui font qu'elles sont bien meilleures que les garçons à l'école, Ah!Ah!Ah! Ainsi donc vous trouverez peu de femmes révolutionnaires, compo-sitrices, créatrices (à part dans la mode), car elles sont uniquement douées pour répéter les choses tel un vulgaire magnétophone et tout particulièrement à l'Education Nationale où les résultats sont catastrophi-ques, Ah!Ah!Ah!

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Mais c'est déjà beaucoup de travail qu'on leur demande et disons-même un grand sacrifice pour essayer de rendre le monde meilleur, mais en vain. Car en observant leurs enfants, nous voyons bien qu'ils ne so-nt pas meilleurs ni plus géniaux que les enfants d'autrefois ou peut-etre pire? Ah!Ah!Ah! Et bien qu'elles ont un sens du sacrifice beaucoup plus poussé que les hommes, elles sont incapables d'éduquer leurs enf-ants correctement en les considèrant, comme de petits rois ou de petites princesses, Ah!Ah!Ah! Ce qui n' arrange vraiment pas les choses pour les mener vers la simplicité et la vérité, n'est-ce pas? Car si la nature fabrique peu de gens exceptionnels ou des genies (environ 10% de la population) leur faire croire qu'ils pourraient en faire partie était une erreur monumentale pour leur équilibre mental et psychique d'où la prolifération aujourd'hui d'une masse d'imbéciles produit par l'Education Nationale, Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, les femmes sont beaucoup plus tenaces et courageuses que les hommes qui savent par si-mple déduction que leurs efforts seront vains pour améliorer l'humanité et c'est ce qu' on observe tous les jours autour de nous, n'est-ce pas? Oui, je sais qu'il est dure d'entendre la vérité sur les femmes. Mais je vous assure que cela ne les rabaisse pas pour autant sachant que c'est leur rôle de faire fantasmer leurs enfants et de leur faire croire qu'ils sont exceptionnels, ce qui est vrai, mais seulement pour 10% d'entre eux, Ah!Ah!Ah! Bref, sachant que nous sommes, nous les hommes, de grossiers personnages doués pour dire la vérité à quiconque qui essayaierait de se la cacher( car sans illusion sur les hommes, les femmes et sa progéniture), nous considérons toujours les femmes comme des esclaves liés à la reproduction des ch-oses aussi bien des corps que des moeurs par leur volonté infaillible de vouloir fonder une famille. Alors que les hommes vaillants aspirent plutôt à la liberté totale pour la création d'un nouveau monde! C'est dire un véritable fossé qui nous sépare et qui va s'amplifier dans les siècles avenir par cette féminisation de la société qui dévirilise les hommes tel qu'on peut le voir au Japon et en Allemagne où la population décroît. Alors qu'aux États-Unis, avec Donald Trump, nous assistions à la revirilisation de la société am-éricaine après qu'Obama avait essayé de déviriliser avec son Obamacare ou son assurance maladie pour les pauvres. Mais tout en déplororant que Donald Trump avait une bite à la place d'un cerveau, Ah!Ah!Ah! Bref, une grosse bite avec un petit cerveau, malheureusement. Car personnellement, j'aurais préféré que l'Amérique ait un président avec une gosse bite et un gros cerveau pour gouverner une telle nation qui influençait tant le monde. Mais bon, nobody's perfect, right?

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Pour résumer notre pensée, nous dirons que les femmes sont incompétentes pour transmettre les valeurs et le Savoir, car elles n'ont aucune autorité sur les enfants et donc sur les élèves à l'Education Nationale, Ah!Ah!Ah! Et si elles ont pris le pouvoir en son sein, ce n'est pas le fait du hasard, mais le signe evident de la féminisation de notre socièté. Mais malheureusement, au détriment de l'avenir de la France et de sa décadence assurée. Mais heureusement que cela était d'ordre cyclique, comme je vous le disais précédem-ment, en attendant que les hommes reprennent le pouvoir et revirilisent les choses pour le destin flamblo-yant de la France et surtout sortir le peuple français de son Education Nationale qui était devenue une garderie pour enfants attardés, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je pense que cette chose sera possible quand nous seront sortis de cette odieuse république de l'égalité si favorable aux femmes et aux hommes sans véritable caractère ou genre! Et je veux vous assurer, mon cher lecteur, que de ne pas être pour l'égalité ne veut pas dire être pour les inégalités où la misère serait pour nous comme un soi-disant spectacle fas-cinant pour notre ego surdimentionné! Non pas du tout, mais bien pour la diversité des êtres qui fait le charme de la vie, quand nous la voyons défiler dans la rue où physionomies, physiques, visages nous ém-euvent par leur diversité ainsi que la voix de chacun qui ne ressemble à aucune autre et nous permet de distinguer des intelligences de natures différentes quand nous discutons avec elles aux terrasses des cafés ou bien au hasard des rencontres. Où certaines nous avouent leur ignorance pour nous écouter avec grand intérêt, alors que d'autres pleines d'idioties font de nos discutions une vraie torture pour notre intelligen-ce, Ah!Ah!Ah! A ce propos, la semaine dernière, au Paddy's Corner, j'ai rencontré un de ces idiots flamb-oyants qui additionnait un manque total de culture avec une idiotie abyssale. Alors que la discution au début semblait se tenir debout, au fur et à mesure que nous parlions, j'ai senti que son esprit partait en vrilles et commençait à délirer sur tous les sujets que nous abordions où Monsieur voyait le mal partout en se prenant pour le sauveur de l'humanité! Tout cela, bien évidemment, m'a bien fait rire au début, car moi aussi j'aime bien délirer, mais toujours avec intelligence, il faut le préciser. Mais là, apparemment, j'avais affaire à un quelqu'un qui prenait ses désirs pour des réalités en simulant une intelligence qu'il n' avait pas en inventant n'importe quoi sur les choses concernant aussi bien la vie en société que la vie tout court. Et quand je lui demandais comment il comptait s'y prendre pour sauver l'humanité, j'ai eu droit à un nouveau délire de sa part en m'avouant qu'il comptait construire une soucoupe volante pour mener l' humanité vers une autre planète où la paix regnerait où il serait, bien évidemment, le nouveau prophète, Ah!Ah!Ah! Bizarrement, il me faisait penser a un SDF que je croisais tous les jours dans ma rue qui, le corps plein de tatouages, se prenait pour un gourou en pensant que ses super-pouvoirs allaient lui ouvrir mon portefeuille et pourquoi pas un double cheese burger et un grand coca, Ah!Ah!Ah! Bref, un fou, co-mme mon grand idiot!

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Bref, j'ai compris aussitôt que ce célibataire, aux dents gâtées, sans emploi, sans aucune culture et intelli-gence, voulait se rendre intéressant auprès des autres en délirant complètement sur sa soi-disant hyper hu-manité en se prenant pour une ONG à lui tout seul, Ah!Ah!Ah! Puis sans transition, il me parlait de vou-loir monter une baraque à frites et à saucisses dans le quartier! Mon dieu, je me disais en levant les yeux au ciel, mais comment est-ce possible que la société ait pu créer ce genre d'individu complètement idiot et farfelu? Bien évidemment, quand j'essayais de mettre un peu d'ordre dans tout ce qu'il me disait, j'avais droit à un rire sarcastique de sa part qui me faisait comprendre que j'avais tort et que je ne lui arrivais pas à la cheville! Pauvre de lui! m'écriai-je. Car s'il me l'avait dit avec humour, j'aurais bien adhéré à son dé-lire. Mais force était de constater qu'il prenait très au sérieux tout ce qu'il me racontait au point de me causer un terrible mal de tête. N'en pouvant plus, je lui dis brutalement : Casse-toi de là, mon gars avant que j'en vienne aux mains! Ce dernier surpris par mon expression se leva, me regarda un instant dans les yeux avec une haine visible, mais un regard que je soutins sans aucune faiblesse jusqu'à qu'il reparte à l' intérieur du bar pour se consoler ou bien chercher une nouvelle victime de son simulacre. En fait, j'avais l'impression qu'il ressemblait à un personnage de la série américaine, Very bad trip, dont l'idiotie était si colossale qu'il accumulait catastrophes sur catastrophes en ne comprenant rien à ce qu'on lui racontait ou demandait. Comme de croiser quelqu'un dans la rue qui lui demandait l'heure, il y voyait aussitôt comme sa dernière heure arriver ou bien recevoir un colis qui pour lui contenait forcément une bombe ou bien avouer à sa femme qu'il était homosexuel sans en mesurer les désastreuses conséquences sur son couple et sur sa famille, etc en l'entraînant dans des histoires impossibles où seule l'intelligence aurait pu le sau-ver, mais qu'il n'était pas dotée, malheureusement. En fait, son crime se trouvait dans la méconnaissance de son ignorance en se prenant pour ce qu'il n'était pas. Car l'ignorance n'était un gros défaut en soi, qua-nd on était intelligent, puisqu'en écoutant les gens intelligents ou ceux qui étaient plein de savoirs, on pouvait apprendre et cela ne posait aucun problème. Par contre si vous étiez un sot, vous ne conceviez pas que quelqu'un soit plus intelligent que vous, Ah!Ah!Ah! Et c'était apparemment, le cas de mon inter-locuteur qui avait fui mon intelligence pour que sa bêtise ne soit pas démasquée. Mais sans croire qu'il y eut une explication à ce clash entre deux célibataires qui, ne nous le cachons pas, voulaient absolument avoir raison tous les deux, Ah!Ah!Ah!.

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Car il faut dire qu'à partir d'un certain âge entre quarante et cinquante ans, on arrivait plus à se faire d'am-is. Moi même, bien évidemment, j'en ai fait la triste expérience où l'amitié et l'amour étaient devenus po-ur moi comme une chose impossible avec lesquels renouer sauf à titre provisoire ou circonstanciel liée au hasard. A propos de mon idiot flamboyant, j'avais le sentiment qu'il s'en foutait complètement de ren-ouer avec l'amitié en ayant aucun scrupule à se fâcher avec tout le monde, puisque âgé d'une petite quara-ntaine d'années, il savait qu'il ne se ferait plus jamais d'amis, Ah!Ah!Ah! Et de ce côté là, je pouvais parf-aitement le comprendre. Car moi même, à partir de la quarantaine, j'ai commencé à me méfier de mon m-auvais caractère naissant en le ménageant pour éviter de me fâcher trop vite avec mes interlocuteurs, Ah!Ah!Ah!. Ett là, visiblement, j'avais toutes les raisons de me fâcher avec mon grand idiot qui pour le com-pte ne me posait aucun problème ni moral ni existentiel. Comme vous le voyez, il était souvent difficile de déchiffrer la vérité sur ses contemporains où toutes ces choses étaient entremêlées biologiquement, mais encore saisissables par l'intelligence. En fait, dans cette petite anecdote, ce que je n'avais pas bien compris (je vous avoue ici mon ignorance), c'est qu'il était inutile de parler avec des idiots en sachant bien qu'ils le resteraient malgré tous vos efforts, Ah!Ah!Ah! Et durant mon adolescence, ma mère me di-sait souvent que de parler était de l'énergie dépensée pour rien! Personnellement, je lui donnais entièrem-ent raison concernant les idiots.

Pour revenir aux femmes, je vous assure, mon cher lecteur, que je ne voulais pas minimiser leur rôle da-ns la société. Car reproduire les choses était une chose vitale pour la survie de l'humanité ainsi que pour notre société économique où ayant travaillé moi-même dans la fabrication industrielle, je vous assure qu'elle ne pouvait pas fonctionner sans les ouvriers ou les petites mains. Mais je vous prie, Mesdames, de laisser l'art de la guerre aux hommes qui eux seuls sont capables de la mener jusqu'au bout, Ah!Ah!Ah! Une fois de plus, j'avais dépassé nos vieux philosophes ou sociologues français tel que Bourdieu dont la these affirmait que l'Ecole républicaine ne supprimait pas les inégalités sociales entre les individus, mais les reproduisait en son sein, ce qui était parfaitement vrai. Mais il me semblait bien, après tout ce que je venais de vous dire sur l'Education Nationale, où les femmes avaient pris le pouvoir, que j'étais allé enc-ore plus loin que Bourdieu en affirmant aujourd'hui que l'Education Nationale démolissait l'intelligence des Français, Ah!Ah!Ah!

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Et quand je pense qu'il a fallu attendre l'invention d'Internet pour que les Français apprennent la vérité sur leur Ecole républicaine! Ca me fait vraiment de la peine de savoir que leurs médias officiels ont tout fait pour leur cacher la vérité pour de vils interêts économiques, n'est-ce pas? Et que celui qui vous apprend tout cela est un célèbre inconnu qui s'appelle Patrick Maaded. Dont le destin est de restaurer l'intelligence des Français, non dans le but de détruire la société française, mais de la propulser vers un monde meilleur où nous nous connecterons par la pensée pour vivre le grand rêve où fantasme et réalité ne feront qu'un.

A propos du phénomène cyclique de la virilisation, féminisation, infantillisation qui touche toutes les so-ciétés, je dirais même toutes les civilisations en évolution, celui-ci est observable à travers toutes nos ac-tivités humaines qu'elles soient religieuses, politiques, intellectuelles, littéraires, musicales, artistiques. Pour bien commencer, nous dirons que la religion chrétienne à l'origine est une religion machiste et mi-sogyne, mais qui avait féminisé sa doctrine au cours de son évolution en instituant le culte à Marie : afin de réparer l'horrible sort qu'elle avait jeté aux femmes dans le livre de la génèse où elle avait ouvertement accusé Eve d'être la complice du diable pour avoir précipité Adam hors du paradis en lui faisant croquer le fruit défendu ou goûter au sexe dont les conséquences seront de perpétuer sa malediction sur la Terre par sa descendance. Il est évident pour nos saints hommes d'Eglise que la Terre s'appelle ni plus ni moins l'enfer ou l'homme purge sa peine à cause de sa femme, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'est pas entièrement faux qu-and on regarde l'actualité à la télé ou tant de faits divers et de crimes sont provoqués par les femmes! Mais bon, mon ami, n'accablons pas à nouveau les femmes qui dèjà dans la genèse ont un horrible sort, n'est-ce pas? Pour ma part, je ne suis pas entièrement d'accord avec la religion chrétienne, bien que je cr-oie en Dieu. Pour la simple raison que je ne crois pas que ce soit la femme par son désir sexuel qui a pré-cipité l'homme en enfer. Car j'ai l'intime conviction qu'au paradis nos deux tourtereaux faisaient déjà l' amour, fondaient une famille, avaient des enfants, mais exclusivement en rêve, il faut le dire. Et que le crime ne fut pas dans le désir sexuel, mais seulement dans sa réalisation dans la réalité.

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Car vouloir réaliser tous ses rêves ou fantasmes, c'était vouloir vivre l'enfer comme nous le savions tous, mes amis! Et je pense qu'un homme sage était sans aucun doute un homme qui refusait de réaliser ses rê-ves dans la réalité. Car en restant dans le rêve, il ne sortait pas du paradis où la création l'avait placé à l' origine. Ainsi on pouvait dire sans bien se tromper qu'un homme ou une femme qui n'avait fait que rêver au cours de sa vie était immortelle( disons son âme), puisqu'elle n'avait jamais quitté le paradis! Je sais que c'est révolutionnaire ce que j'affirme là, mais seuls les immortels où les intelligences supérieures pe-uvent le comprendre. Mais une croyance qui j'en suis sûr fera des adeptes dans les millénaires à venir tels sont les mots du prophète que je suis. Sans le savoir, j'inaugure peut-être l'Homme nouveau ou l'Homme de demain?

Comme nous le voyons, malgré sa bonne volonté de vouloir rétablir la dignité aux femmes par son culte à Marie, l'Eglise catholique restait une religion machiste et misogyne par son refus de nommer des fem- mes prêtres et d'accorder l'avortement aux femmes. Car en refusant de féminiser sa doctrine à 50%( car la moitié de l'humanité sont des femmes donc de potentiels fidèles), cela lui permettait de garder une certai-ne virilité pour être toujours conquérante face aux autres religions et surtout face à l'Islam qui, il faut le dire, n'a jamais diabolisé la femme en confirmant son expansion dans la société occidentale. Et si l'Islam se trouvait aujourd'hui en expansion, cela voulait dire qu'elle était toujours dans sa période de virilisati-on, ce que la religion catholique à très bien compris en gardant un coté macho à son dogme. A ce propos, je lui donnais entièrement raison si elle ne voulait pas disparaître engloutie par la féminisation des moe-urs ou de la sexualisation des idées. Car comme nous l'avons dit auparavant, les femmes étaient incom-pétentes pour transmettre les valeurs et le savoir. Et je vous assure, mon cher lecteur, que je ne suis pas irrespectueux envers elles en affirmant cela. Car en regardant la nature, nous voyons bien qu'avec le tem-ps toute chose s'erode en formes arrondies et jamais saillantes, n'est-ce pas? Bref, c'est ce qu'on appelle la féminisation qui débouchera forcément sur l'infantillisation de notre société occidentale. Ah vivement le retour à l'enfance avec le temps des sucettes et des dessins animés et de l'humour catastrophique de Jamel Debbouze et de Kev Adams, Ah!Ah!Ah!! Mais restons optimistes, mon cher lecteur, en sachant bien que ce phénomène est d'ordre cyclique et que sa sortie nous permettra de reviriliser l'intelligence des Français qui pour l'instant en a bien besoin avec la politique execrable d'Emmanuel Macron, Ah!Ah!Ah!

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Hier soir, à la télé, j'ai pu assister à la débâcle de notre petit président et de sa politique pour remplacer ses ministres démissionnaires qui, je crois, savaient très bien à qui ils avaient affaire, non pas à un vrai homme politique, mais à un débutant qui avait eu beaucoup de chance ou le cul bordé de nouilles en gag-nant les elections présidentielles de 2017, Ah!Ah!Ah! Bref, un homme très ordinaire qui est ni plus ni moins, le fils spirituel de François Hollande, comme je vous l'ai dit auparavant. En fait, tout ce que j'av-ais annoncé ou prédit semblait se vérifier, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Personnellement, je pense qua-nd on a aucun talent, comme notre président, qui est un homme très ordinaire, sauf d'avoir eu la chance du débutant, cela ne peut mener à rien. Car lorsqu'on a du talent, on a aussi celui de savoir improviser et celui qui vous le dit est un musicien, mais aussi un créateur qui sait de quoi il parle. Mais quand je reg-ardais le remaniement de son gouvernement, où il avait placé au ministère de la cohésion sociale des territoires Madame Gourault et Monsieur Lecornu pour séduire les élus locaux( qu'il s'était mis à dos par la suppression de le taxe d'habitation qui réduisait leur budget), je trouvais que notre président comm-ettait une nouvelle faute de goût ou de stratégie. Car s'il avait eu l'oreille musicale, il aurait entendu dans le nom de Madame Gourault, le nom de Bourreau! et dans le nom de Lecornu un nom sans équivoque, n'est-ce pas? En fait, je crois que Monsieur Macron n'avait aucun sens du symbole et était peu intelligent. Bref, nous étions très mal parti pour remettre la France sur ses pieds avec des gens qui n'avaient aucune cervelle et de plus n'avaient aucun talent! Souvent, je pensais que la France retrouverait sa flamboyance, quand nous remettrions à sa destinée des gens exceptionnels ou des génies. Mais malheureusement avec cette république bâtie sur l'égalité, il nous faudrait, je pense, attendre plusieurs siècles pour palier à ce défaut très français, Ah!Ah!Ah! D'autre part, en Allemagne, nous assistions en même temps à la débacle de la politique de Madame Merkel qui n'oublions pas était la bonne amie d'Emmanuel Macron. Peut-on y voir ici comme le destin commun de deux personnalités sans véritables talents, mais totalement issues du hasard? Et l'extrême droite qui se répand dans toute l'Europe, cela ne veut-il pas dire que nous assistions à la revirilisation de nos sociétés pour en finir avec cette féminisation qui sèmait l'ambiguïté entre les filles et les garçons ou entre le féminin et le masculin? Car il faut dire que la pensée feminine n'est pas la pensée masculine et que la sexualisation des idées, appartenant aux femmes, ne doit pas envahir toutes nos activités humaines!

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Car ce serait comme laisser la végétation envahir nos cultures et disons-même notre Culture qui à la lon- gue serait asphyxiée et ne produirait plus ses fruits merveilleux auxquels nous tenons tant par sa diversi-té, n'est-ce pas? Ce qui me semble tout à fait vrai en constatant le déclin du socialisme qui n'est pas un hasard, mais parce qu'il est la féminisation de l'idéologie communiste qui, il faut le dire, est une idéolog-ie machiste et misogyne à l'origine. Bref, les temps changent, mais bizarrement, la France et ses élites int-ellectuelles et tout particulièrement de gauche ne changent pas et pensent dure comme fer que la fémini-sation est l'avenir de notre socièté ou comme disait Louis Aragon, la fermme est l'avenir de l'homme! Al-ors que c'est une erreur monumentale qui entraînera la France vers son déclin, mais sans qu'ils en soient réellement conscient. Car ils ne savent pas qu'il y a des gens plus intelligents qu'eux, mais qui n'ont pas droit à la parole. Attention, je ne dis pas que le déclin de la France est dû aux femmes, mais à leur prope-nsion à vouloir être partout en même temps, c'est à dire aussi bien au four qu'au moulin, telles que les nous connaissons tous, mes amis, Ah!Ah!Ah! Il est évident qu'au niveau politique vouloir être partout "en même temps" comme notre président Macron ne peut que précipiter la catastrophe, n'est-ce pas? De même que je ne disais pas que la France devrait être d'extrême droite pour sortir de son destin calami-teux, mais plutôt faire confiance à nouveau à l'intelligence des hommes et non plus au conservatisme idiot républicain qui interdisait aux génies d'accéder au pouvoir! Mais bon, comment dire à nos petits bourgeois ambitieux que des gens fauchés pouvaient être plus intelligents qu'eux? Bref, tout cela ressem-blait apparemment à une quadrature du cercle que personne à vrai dire ne voulait résoudre tant qu'il avait à perdre. Mais bon, le capitalisme mondial n'était-il pas devenu à lui tout seul un continent où la France était devenue peu de chose, comme une république bananière? Ah!Ah!Ah! Et contrairement à ce que nous racontait nos grotesques écologistes et nos politiciens incompétents, c'est le réchauffement climatique qui sortira la France de la crise économique en redonnant du pouvoir d'achat aux Français. Je sais que ça parait paradoxalement, mais c'est pourtant la vérité. Car depuis que l'été n'en finit pas sur la France en ce mois d'Octobre où les températures sont clémentes, je vois les Français s'attabler aux terrasses des cafés, boire et déjeuner pour leur plus grand plaisir ainsi que moi-même qui passe desormais beaucoup de temps déhors à discuter avec mes amis aux terrasses des brasseries. Et il y a trois jours, j'en ai profité, vu les températures clémentes sur la colline de la Croix-Rousse, pour manger un burger avec des frites au Ninkasi sans oublier ma petite sauce barbecue, bien entendu!

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Comme vous le voyez, mon cher lecteur, je n'inventais rien en vous disant que le réchauffement climatiq-ue sera une aubaine pour la reprise économique de la France où les Français consommeront plus, dépens-eront plus grâce aux températures clémentes qui entre autre améliorait leur moral qu'on disait souvent pessimiste. Il est possible aussi, grâce à ce réchauffement inespéré, que le visage de la France change radi- calement en retrouvant ses couleurs et disons-le son optimisme, Ah!Ah!Ah! Il était clair pour nous que le climat avait une incidence directe sur nos comportements et nos activités économiques, philosophiques, artistiques, politiques, intellectuelles etc. Sous entendu que le réchauffement climatique transformerait la société française pour le meilleur des mondes, mais que nos vieux dinosaures( hommes politiques et éco-logistes) soient fermement opposés pour sauvegarder leurs privilèges ou pouvoirs. Oui, je sais une ques-tion de haute actualité, car c'est de l'avenir de la France qu'il s'agit et non de l'avenir de nos vieux dinos-aures qui, comme nous le savons tous, sont condamnés par la nature à disparaître, Ah!Ah!Ah! En fait, le problème de ces gens ou personnel politique, c'est qu'ils pensent que la planète Terre leur appartient, alors que c'est faux. Car c'est nous, en tant que petites créatures, qui appartenons à la planète Terre et non l'inverse, n'est-ce pas? Et que le message envoyé par la planète est simple et clair, c'est adaptez-vous à moi et non l'inverse, car vous êtes ridicules, Ah!Ah!Ah! A ce propos, quand j'entendais Monsieur Hulot se prendre pour le sauveur de la planète, je ne pouvais m'empêcher d'éclater de rire par son côté grotesque et mégalomaniaque, Ah!Ah!Ah! Car il faut dire qu'il n'était pas un homme exceptionnel, mais issu des médias grâce à son émission de distraction Ushuaia. Bref, encore un imposteur que nos médias savaient fabriquer pour défendre leurs interêts et malheureusement au détriment de l'avenir de la France. Je ne di-rais pas au detriment de la planète, car comparer Monsieur Hulot au destin de la planète serait honteuse-ment grotesque, Ah!Ah!Ah! En fait, depuis sa démission du gouvernement de Monsieur Macron, où il av-ait fait un cours séjour, j'avais l'impression que nous avions assisté aux vacances de Monsieur Hulot à l' Elysée qui soit dit en passant était un film comique de Jacques Tati, Ah!Ah!Ah! Mais c'est fou, comme ce parallèle était juste! Avec le mauvais sentiment que nous étions gouvernés par des comédiens et par des imposteurs qui avaient pris des cours de théâtre à travers nos petits écrans, bref, les vrais enfants de la télé! Tout compte fait, le réchauffement climatique ainsi que le réchauffement de nos humeurs semblai-ent coïncider parfaitement au retour de la vérité au sein de notre société française minée par l'hypocrisie, mais aussi au retour de la lumière parmi nous, bref, au retour de Dieu!

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Voyez-vous, mon cher lecteur, si ma vision des choses est si claire, c'est parce que je ne fais jamais conf- iance à ma raison, mais uniquement à mes sens qui ne me trompent jamais. Par exemple, quand j'observe une situation, je me demande à chaque fois d'une manière intuitive si l'ambiance est chaude, froide, sèc-he, humide, bruyante ou non, s'il y'a un bruit suspect, particulier qui s'impose à nous d'une manière ryth-mique ou non. Tous ceci afin de me donner une idée de la situation pour savoir si elle pouvait comporter un danger pour nous, mais aussi, un danger intellectuel quand nous écoutions, par exemple, un homme politique nous faire un discours soi-disant de vérité, Ah!Ah!Ah! A ce propos, cet après-midi, j'ai écouté à la télé le discours grotesque de Monsieur Mélenchon, suite aux perquisitions faites par la police à son domicile ainsi que dans les locaux de la "France insoumise". Et sans parler de ses propos indignes pour un homme politique qui semblait hystérique et paranoïaque, La première chose qui m'a sauté aux yeux, c'est le grand rouquin qui se tenait derrière lui comme un garde du corps. Malheur, je me suis écrié en le voyant! Car visiblement, Monsieur Mélenchon n'avait rien compris au symbole que renfermait la chevel-ure rousse de son assistant, qui pour la majorité des Français et même je dirai des gens représentait la co-uleur du diable que l'on soit juif, chrétien ou musulman, Ah!Ah!Ah! Comme dans ces vieilles gravures où l'on représentait toujours la sorcière avec une chevelure rousse ressemblant aux flammes de l'enfer ou bien comme dans poil de carottes qui racontait les malheurs d'un enfant parce qu'il était roux! Apparem-ment, Monsieur Mélenchon n'avait aucun sens du symbole, comme Monsieur Macron, mais qui avait l' excuse d'être un jeune débutant en politique. Décidement, cet odieux individu qui se prenait pour Jules Cesar ne sera jamais président de la république avec le spectacle pitoyable qu'il nous avait donné cet après-midi. Faut dire aussi qu'auparavant, il n'avait eu aucune chance de le devenir, Ah!Ah!Ah! Et si vous me demandiez si Monsieur Mélenchon était la victime d'une chasse aux sorcières? Je répondrais par l'aff-irmative, car tout compte fait, il l'avait bien cherché avec son grand rouquin, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, cet individu était un sale communiste stalinien! Et bizarrement, je me demandais ce que pouvait bien faire aujourd'hui en 2018, un vieux dinosaure ou un débris du passé?

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Car la France, avec son système capitalo-communiste, entre autre socialement très redistributif, n'avait aucunement besoin de lui, n'est-ce pas? Mais que faisait-il donc parmi nous, sinon pour semer le chaos? Ah!Ah!Ah! Bref, j'avais l'impression en le regardant sur l'écran de voir le diable en personne secondé par son apprenti sorcier représenté par son grand rouquin à la chevelure de feu. Je pense sincèrement qu'on devrait enfermer Monsieur Mélenchon en hôpital psychiatrique ou envoyer de force chez lui un exorciste afin qu'il fasse sortir le diable de son corps, Ah!Ah!Ah! Ce qui serait, je pense, un moyen très efficace pour sauver la France d'un péril qu'on appelle le retour vers le passé où le diable avait eu tous les pouv-oirs avec Staline, Hitler et Mao. Bref, après avoir écouté tout son charabia médiatique où les propos n' avaient aucune cohérence, sinon ressembler à ceux d'un fou, j'étais impatient qu'il termine. Décidément, il n'avait rien d'intéressant à dire ni d'insolite, mais nous servait un vieux plat réchauffé qu'on appelle le communisme stalinien, Ah!Ah!Ah! En fait, il n'était pas un grand intellectuel, mais un vulgaire répétiteur du passé. Un homme qui n'avait aucun génie, je vous le certifie, car les génies savent instinctivement s'ils ont affaire à un génie ou bien à un imposteur. Et là visiblement, nous avions affaire à un imposteur très bavard dont l'idiotie était criante par sa mégalomanie injustifiée. Car il n'était pas un créateur, comme la plupart des génies qui apportaient souvent un éclairage nouveau sur l'avenir et non un vieil éclairage pro-venant du passé où tout était crépusculaire. Bref, du Mélenchonisme à la sauce périmée, comme du vieux jambon de Paris que personne n'était prêt à avaler, sinon les adeptes de la secte de "la France Insoumise" prêts pour le grand sacrifice inutile, Ah!Ah!Ah! En fait, la seule information qui m'a semblé très intéress-ante dans sa grande hystérie médiatique, elle est venue à la fin où à demi-teinte où il avouait aux journal-istes qu'il était en ce moment célibataire! Ce qui au bout du compte m'a peu surpris pour cet individu que la politique avait rendu complètement fou, Ah!Ah!Ah! Décidément, Monsieur Mélenchon ressemblait de plus en plus à Monsieur Robesperre qui, comme nous le savons tous, avait fini à l'échafaud, Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, mes analyses sur les situations ont toujours été d'ordre sensor-iel et jamais issues de ma raison. Car si j'avais écouté ma raison, celle-ci m'aurait dite que ce malotru était un homme remarquable puisqu'il passait à la télé, alors qu'il nous mentait tous, Ah!Ah!Ah!

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Faut dire aussi qu'à la fin de sa grotesque conférence de presse tous les journalistes ont éclaté de rire et il y avait de quoi! Monsieur Mélenchon, un personnage de BD, un personnage de Very bad trip, un nain qui se prenait pour un géant? Apparemment, ce grand guignol pouvait revêtir tous ces déguisements qui lui allaient à merveille, Ah!Ah!Ah! Pour parler plus sérieusement, je dirais que notre JLM ou phénomène médiatique et non un phénomène politique n'avait rien compris à ce qui lui arrivait avec toutes ces perqu-isitions qui lui tombaient sur le coin de la gueule. Car comme il était bête, il croyait que tout cela devait servir à la justice à faire une enquête politique sur son mouvement de la France Insoumise afin de conn-aître son organisation et ses ramifications. En se faisant beaucoup d'illusions sur l'importance de ses idé-es politiques qui dataient du communisme des années 50 qu'on étudiait en classe de seconde, Ah!Ah!Ah! et ne représentaient aucun intérêt ni aucun danger pour les gens au pouvoir. En fait, ce qu'il n'avait pas compris notre grand idiot, c'est que l'intelligensia au pouvoir essayait tout simplement de le rendre fou et d'après les images grotesques vues à la télé, elle y était bien arrivée, Ah!Ah!Ah! De plus, comme notre Mélenchon était apparemment un célibataire endurci et forcément avec ses perversions( en vous ca-chant pas que j'avais moi aussi les miennes que mon cher lecteur avait dû deviner en lisant mes oeuvres et surtout les célébatrices qui pour se consoler s'introduisaient de drôles d'engins dans le vagin pour se consoler de leur misère sexuelle, Ah!Ah!Ah!). Bref, la police allait se concentrer uniquement sur les ph-otos qu'elle avait pu saisir à son domicile. Car parait-il Monsieur Mélenchon gardait toutes ses photos chez lui, intimes ou non, dans les tiroirs de son bureau et non enfermées dans un coffrefort, comme l'aurait fait un homme prudent. Ah voilà enfin quelque chose de très interessant à se mettre sous la dent pour la police et les médias sur lesquels notre grand hystérique tapait dessus à longueur de journée. Et si sur ces photos saisies, on y apercevait Monsieur Mélenchon en train de se faire défoncer le trou du cul par un gros moustachu ou peut-être l'inverse, ceci n'était qu'une supposition, ou bien des photos à cara-ctère pedophile ou à caractère terroriste où on le verrait en train de serrer la main à Ben Laden, à Carlos, à Al Bagdadi? Sans oublier de consulter l'historique de son ordinateur personnel où l'on y trouverait les adresses des sites de rencontres gays ou lesbiennes! Personnellement, si c'était le cas, je crois que sa carr-ière politique se terminerait aussitôt les photos publiées dans la presse qui, il faut le dire, serait du pain béni pour les médias et pour Monsieur Macron qui depuis son élection n'avait cessé d'être harcelé par ce fou hystérique, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'empêchait aucunement le pouvoir en place de faire un photo-mon-tage pour anéantir les ambitions politiques de ce vieux débris du passé, Ah! Ah!Ah!

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Bref, je n'arrivais pas à comprendre pourquoi notre vieux débris du passé tapait sur les journalistes, alors qu'ils étaient en grande partie de gauche! Voulait-il imiter idiotement Donald Trump pour ses succès éle- ctoraux auprès du peuple américain en devenant le président des États-Unis après qu'il ait diabolisé la pr-esse qui était son opposant politique puisque démocrate et de gauche? Mais une attitude tout à fait logi-que pour Donald Trump qui était un capitaliste et s'en prenait naturellement à ses opposants politiques. Mais quand on regardait notre vieux débris du passé taper idiotement sur son propre camp, n'était-ce pas la preuve qu'il était en pleine dégénérescence mentale et disons-le intellectuelle? Mais une chose parfaite-ment explicable, quand on sait que les vieilles idées rendaient fou ceux qui voulaient les appliquer hors contexte et dans un monde qui avait complètement changé, comme un homme qui voudrait réinventer le fil à couper le beurre, la roue ou défoncer des portes ouvertes, Ah!Ah!Ah! Bref, je lui conseillerais de fai-re un séjour en hôpital psychiatrique afin qu'il soigne sa soif de grandeur en lui donnant comme compa-gnon de chambrée, un sosie de Joseph Staline et pourquoi pas Napoléon qui parait-il logeait dans la cha-mbre d'à côté? Ah!Ah!Ah! Bref, tout est dit. A propos de cette affaire où Monsieur Mélenchon avait mo-ntré du mépris à une journaliste pour son accent du sud, cela nous montrait qu'il était un idiot! Car en lui posant une question toute simple avec un accent chantant, il avait cru entendre un oiseau lui dire : Mon-sieur Mélenchon, pensez-vous vraiment que votre politique, c'est du sérieux? Moi personnellement, si on m'avait adressé la parole avec un accent chantant, je l'aurais pris comme une grâce. Car en tant que poète, je vous assure, mon cher lecteur, que les dieux et les déesses s'adressent toujours à vous en langage poét-ique donc avec un accent chantant. Et si notre Ostrogot de Mélenchon s'était senti humilié, c'est parce qu'il était un minus. Car il aurait voulu entendre la voix des dieux s'adresser à lui, comme on s'adresse à un empereur romain. Malheureusement, ce jour là, les dieux n'étaient pas venus à son simulacre ou peut-être ne voulaient-ils pas s'adresser tout simplement à un imposteur? Ah!Ah!Ah! Bref, après les malheurs de saint-Emmanuel, nous assistions en direct aux malheurs de saint-Jean-Luc qui se prenait pour un dieu. Décidement, en France, nous étions revenus à la guerre idéologique ou peut-être à un problème d'égo su-rdimentionné facilement solutionnable par un bon anxiolitique ou une visite chez le psychanalyste? Mes chers lecteurs, je pense qu'on devrait tous cotiser sur Leetchi pour lui payer une camisole de force pour noël, Ah!Ah!Ah!

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Avec le mépris qu'il avait montré à cette journaliste, il s'était mis à dos toutes les femmes sans parler des végans qui avaient remarqué sur les images qu'il portait souvent une gabardine en cuir! Ce qui devait rendre furieux tous les amis et défenseurs des animaux qui se refusaient de mettre le moindre morceau de viande dans la bouche. En plaignant beaucoup leurs petits copains de ne plus pouvoir mettre leur engin dans la bouche de leurs petites copines parce qu'elles étaient véganes, Ah!Ah!Ah! Ce qui me faisait penser qu'il ne devait pas y avoir d'homosexuel ni de lesbienne dans la secte des végans qui, à vrai dire, n'était qu'un mouvement insignifiant dans la société française où l'on était de gros mangeur de viande par tradit-ion, bref, de gros épicuriens. Faut dire aussi que le mouvement végan n'était que la conséquence de la fé-minisation de nos moeurs donc de la dévirilisation des hommes par les mouvements féministes. Visible-ment, Monsieur Mélenchon, qui était un célibataire endurci, faisait de grosses erreurs politiques qui l'en-trîneraient forcément vers la disparition de son mouvement. Sans oublier de dire qu'aux prochaines élec-tions européennes, c'est l'extrême droite qui remportera un nombre important de sièges et non l'extrême gauche qui était en plein déclin partout dans le monde. C'est cela, je pense, qui fera imploser l'union eur-opéenne par le retour à l'Europe des nations. Et si vous suivez l'actualité, vous comprendrez que si Thér-ésa May jouait la montre pour le Brexit, c'est parce qu'elle attendait la victoire de l'extrêmê droite aux prochaines électons européennes où le nouveau pouvoir sera forcément plus indulgent face aux exigenc-es de la Grande-Bretagne. Personnellement, vu mon hyper intelligence, je pense que la CIA devrait m' embaucher et pourquoi pas devenir le futur conseiller de Monsieur Poutine? Ah!Ah!Ah!

Hier soir, en allumant ma télé, j'ai appris que le chômage en France avait une nouvelle fois augmenté, alors que partout ailleurs, il avait diminué! Décidement, Monsieur Macron nous montrait une nouvelle fois son incompétence en matière économique, comme son vieux copain François Hollande qui s'inquièt- ait guère sur le sort des retraités en profitant d'une très confortable retraite d'ancien président s'élevant à 18 000 euros par mois!

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Une somme identique que Monsieur Macron touchera la fin de son quinquennat et très injustement acqu-ise sur le dos des Français qui par contre devront aller au resto du coeur pour pouvoir manger ou bien aller chercher du travail en traversant la rue où, parait-il, il y avait une mine d'or d'emplois, Ah!Ah!Ah! Bref, un traitement des Français que je trouvais ignoble de la part de nos mafieux politiciens qui avaient des niveaux de retraite totalement injustifiés pour la qualité de leur travail ou services rendus à la nation, mais malheureusement autorisés par les lois républicaines, les très injustes lois républicaines, il faut dire. Bref, des retraités de luxe d'un côté et de l'autre des retraités qui tiraient la langue et disons-le franchem-ent faisaient la grimace face à leur avenir. Mais signalons au passage, comme personne n'était immortel, que le budget des retraites ne sera pas sauvé par nos hommes politiques incompétents, mais tout simple-ment par la nature en prenant comme exemple la canicule de 2003 qui avait causé une hécatombe chez les vieux, environ 20 000 morts et avait permis à la France de faire de véritables économies, mais aussi-tôt détournées par une taxe de solidarité pour les vieux proposée par l'idiot Jean-Pierre Raffarin, alors premier ministre du gouvernement de Jacques Chirac. Comme vous le voyez, une nouvelle fois, nos poli-ticiens véreux profitaient de la moindre occasion pour faire une razzia sur le portefeuille des Français, Ah!Ah!Ah! Un cas absolument immoral en profitant de la mort des vieux, bref, de nos vieux sans défense! Faut dire aussi que je n'ai jamais trouvé le moindre courage chez nos politiciens qui agissaient seulement pour leurs intérêts personnels et jamais pour la nation. Voyez comme ils ont vendu le destin de la France à l'union européenne pour se débarrasser de toute responsabilité envers le peuple français! Mon dieu, co-mme il était désormais facile pour eux de gouverner après avoir lié les mains du peuple français! Tout ce que je disais me semblait vrai sur nos petits hommes politiques que l'union européenne avait finalement révélé l'imposture au monde entier que même Donald Trump avait dénoncé sur Twitter. Bref, la révolte des peuples contre leurs élites et leurs médias officiels me semblait tout à fait justifiée et arriver à point nommé pour changer cet état des choses, n'est ce pas? Mais sans vouloir prêcher le bien quand tout va mal (comme semblait le faire très maladroitement l'union européenne), je vous certifie, mon cher lecteur, que ce n'est pas la politique de gribouille qui sortira la France de la crise économique, mais bien le réc-hauffe ment climatique, bref, le retour de la nature parmi nous!

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Ah comme j'aurais aimé que la température de la planète augmente de 5 degrés supplémentaires pour po-uvoir prendre des bains de soleil en plein mois de Décembre, Ah!Ah!Ah! Étrangement, hier, en buvant mon café à la terrasse du Jutard, où le soleil était fort lumineux, j'avais l'impression que la Terre s'était rapprochée du soleil! Oui, je sais une étrange impression que mes sens trouvaient tout à fait réaliste, il faut le dire. Aussitôt, je pensais que nos brillants scientifiques devaient utiliser des appareils erronés pour mesurer la distance Terre-Soleil. Et si notre trajectoire élyptique autour du soleil avait diminué pour nous confirmer ce constat sans appel sur nos sens? je me demandais d'une manière instinctive. Bref, était-il possible que nos scientifiques nous aient menti afin de ne pas affoler la planète toute entière pour évit-er le chaos? Dit d'une autre manière, étions-nous dans un mensonge scientifique pour donner raison aux écologistes qui disaient haut et fort que le réchauffement climatique était dû uniquement aux activités humaines et non au rapprochement de la terre du soleil? En résumé, étions-nous dans un mensonge d'Etat pour nous taxer une nouvelle fois en ayant trouvé un argument de taille, bref, sauver la planète? Mais entre nous qui pouvait être contre, sinon les fous ou les adeptes du chaos qu'on pourrait assimiler aux terroristes d'aujourd'hui? Le Giec( le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) était-il au bout du compte qu'une bande d'escrocs dont la dernière conférence sur le climat avait été une supercherie planétaire? Décidément, nos hommes politiques ne manquaient jamais d'imagination pour faire une razzia sur nos portefeuilles afin d'assurer leur grand train de vie ainsi qu'aux scientifiques qui étudiaient encore le vide dans tous ses états, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas une future taxe sur l'air pour tous nos concitoyens ou sur le taux d'ensoleillement? Bref, un programme sans limite qui, il faut le dire, justifait leur salaire ainsi que le prestige de leur discipline, n'est-ce pas? Mais bon, assis confortablement à la terrasse de mon café habituel en ce mois d'octobre si agréable, ou les températures frisaient les 26 degrés, j'étais tres loin, il faut le dire de la politique et du mensonge d'Etat en me réjouissant sur mes pro-chaines factures de chauffage qui cet hiver seront divisées par deux, non pas seulement pour moi, mais aussi pour tous les Français qui ne pourront être que d'accord sur le réchauffement climatique, n'est-ce pas? Il est vrai que c'était très politiquement incorrect tout ce que je disais là. Mais bon, pourquoi nier cette évidence que le réchauffement climatique de la planète sera le grand sauveur de la France qui la sortira de la crise économique en redonnant aux Français du pouvoir d'achat ainsi qu'un moral au beau fixe par ses températures clémentes? Bref, étions-nous devenus si bêtes en France pour ne pas le voir de nos propres yeux ou porter une paire de lunettes de soleil en plein mois d'Octobre ne fut pas incongru?

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Bref, en consultant mes sens toujours connectés au cosmos et à son environnement vivant, je sentais que nous nous étions rapprochés insensiblement du soleil, parce que nous avions changé le centre de gravité de la Terre! Pour la simple raison qu'en vidant les mines d'or, d'argent, de fer, de cuivre, de charbon, rése-rve de pétrole etc, nous avions déplacé leur matière ou leur masse en d'autres lieux et ainsi modifié le ro-ulement de la Terre. Oui, je sais une intuition d'une simplicité ahurissante, n'est-ce pas? En saisissant bi-en, mon cher lecteur, que je venais de vous révéler ici une théorie aussi importante pour l'avenir de la pl-anète que celle de la dérive des continents émise par Alfred Wegener en 1912. Mais comme en France, on ignorait ses génies, ma théorie n'avait aucune chance de voir le jour et de séduire les scientifiques, Ah!Ah!Ah! En vous assurant, mon cher lecteur, que j'avais moins d'égo qu'on pourrait le croire et que la div-ulgation de ma théorie par un autre ne me dérangerait pas du tout du moment que l'humanité connaisse enfin la vérité. Et si nous nous rapprochions insensiblement du soleil depuis la fin de la glaciation, ce n' était pas un hasard, mais une évidente aujourd'hui, n'est-ce pas? En niant pas l'hypothèse que le réchauch-ement climatique put être aussi le résultat d'une suractivité du soleil. Car même si le soleil avait plus de 4 milliards d'années rien ne l'empêchait d'avoir des sauts d'humeurs, comme un vieil accariâte, Ah!Ah!Ah! En parlant de ce soleil dont les égyptiens de l'époque pharaonique avaient fait leur dieu unque et ins-pirer le monothéisme aux juifs. On pouvait affirmer ici sans se tromper que les Arabes, qui sont les ancê-tres des Egyptiens, avaient inventé le monothéisme avant les juifs! Oui, je sais que c'est révolutionnaire ce que j' affirmais là et remettre en question toute notre culture occidentale. Car si Mahomet avait écrit le Coran, c'était bien pour rendre à ses frères Arabes ce qui leur appartenait, n'est-ce pas? Cest bien pour cette raison que l'Islam s'était imposée d'elle-même en parachevant la religion juive et chrétienne, bref, comme le retour des choses à leurs propriétaires, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, mes amis, le génie ne se decrêtait pas, mais se prouvait, comme je venais de le faire sous vos yeux. Bref, en deux cuillères à pot, je venais de vous révéler les deux grandes découvertes majeures qui allaient très certainement cha-nger la face du monde en apportant un nouvel éclairage à l'humanité.

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La première qui nous confirmait que nous nous rapprochions du soleil et la deuxième que les Arabes avaient inventé le monothéisme avant les juifs! Mes amis, je vous laisse méditer, non plus sur ces questi-ons que mon génie avait permis de résoudre pour le bonheur de l'humanité et de la connaissance (moi, le célèbre inconnu qui est le métissage entre l'Occident et l'Orient par ses origines), mais sur les conséquen-ces extraordinaires qui allaient s'ouvrir pour les hommes doués d'imagination. Pour cela, j'aimerais bien qu'on m'élève une statue pour avoir tracé une nouvelle direction pour l'humanité! Merci d'avoir écouté mes paroles dont vous vous ferez très certainement l'échos au-delà des mers et des continents en utilisant Internet et les réseaux sociaux sachant que les médias offficiels étaient devenus la grosse imposture des temps modernes! Personnellement, si j'avais du pouvoir, je ferais voter une loi anti-trust contre les médi-as afin de limiter leur sphère d'influence sur nos activités humaines qu'elles soient économiques, politiq-ues, intellectuelles, philosophiques, littéraires, etc obtenues par le phénomène de la médiatisation qu'on appelle l'emploi outrancier de la publicité à l'échelle mondiale. Car depuis une trentaine d'année, j'ai le sentiment d'assister en direct à un génocide culturel! Ceci n'est pas seulement un sentiment, je vous l' assure, mais bien une réalité. En observant depuis ces temps, la piètre qualité de nos hommes politiques, artistes, intellectuels, philosophes français. Et puis entre nous que serait, par exemple, Michel Houelle-becq sans la prodigieuse médiatisation qu'il avait reçu de la part ses amis journalistes à la télé, sinon un petit écrivain de seconde zone? Car personnellement, je ne trouve rien de génial dans ses bouquins qui, en fin de compte, ne décrient que les états d'âmes d'un petit bobo de droite. Mais il est vrai, un phénom-ène touchant en grande partie la société française par une bobolisation à droite des anciens bobos de gauche qui se sont enrichis grâce aux médias et à la mondialisation! Voilà la vérité sur les livres de Mon-sieur Houellebecq, qui n'est pas une oeuvre géniale, mais une confirmation de la bourgeoisie victorieu-se. Bref, rien de nouveau sous le soleil, mais un retour vers le passé et plus précisément vers l'infâme 19 ème siècle, Ah!Ah!Ah! C'est pour cette raison qu'il est très apprécié par les journalistes et les médias, qui par tradition sont de gauche, mais voient dans l'oeuvre de Houellebecq une façon de se déculpabiliser d' être devenus des bobos de droite, Ah!Ah!Ah!

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Personnellement, je n'ai rien contre Houellebecq. Mais je pense qu'il est utile de replacer son oeuvre à l' endroit qu'elle mérite et non sur les sommets de la littérature ou dans le monde des idées nouvelles pou-vant changer le monde. Bref, faire l'apologie de la bourgeoise m'a toujours fait gerber, si vous voulez connaître mon sentiment, là dessus. On pourrait aussi parler des bouquins de Marc Levy et de Musso qui sont exclusivement destinés aux femmes, je vous l'assure. Car leurs bouquins sont vendus exclusivement en grande surface. C'est ce que j'ai pu remarquer dans le monoprix de mon quartier ainsi qu'à Lidl où je vais parfois acheter des produits meilleurs marchés qu'à monoprix. Bref, là ou les femmes se retrouvent pour faire leurs courses et acheter en même temps un peu de rêve dans ces livres où mettre dans leurs filets à provisions un kilo de patates avec un livre de Marc Levy ou de Musso ne semblent poser aucun problème, mais comme un must à la caisse des supermarchés, Ah!Ah!Ah! Bref, le rêve de ces dames enfin réalisé! Si je vous parle de tout cela d'une façon très réaliste, mon cher lecteur, c'est parce qu'un jour, ma mère avait refusé de porter son manteau en cachemire( que je lui avais acheté) pour faire ses courses en me disant furieusement qu'elle refusait qu'on la voit porter son beau manteau en cachemire ave un kilo de patates sous les bras! Bien évidemment, tout ceci m'avait fait beaucoup rire, Ah!Ah!Ah! Mais bon, telles sont les femmes qui sont entre nous pleines de préjugés que semble avoir parfaitement étudié Marc Levy et Musso pour avoir tant de succès auprès des lectrices, n'est ce pas? Mais tout ceci ne doit pas vous surprendre, mon cher lecteur, car tous ces phénomènes couronnés de succès grâce aux médias ne procé-daient, en fait, que de la féminisation de la socièté française et de ses moeurs et non d'une véritable évol-ution de la littérature sachant que ces phénomènes étaient cycliques et non établis pour durer. Bref, des oeuvres à durée de consommation limitée destinées à faire vivre le capitalisme et non pour donner de l' espoir aux hommes, mais plutôt pour les déviriliser en faisant la part belle aux femmes, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, tout ceci n'était qu'un business en attendant que les hommes reprennent le pouvoir légitimé par Dieu et la nature. Si je me souviens bien, j'ai lu un jour dans le Coran, lorsque les femmes deviendr-ont des hommes et vis-versa, ce sera la fin du monde! Décidement, nous étions très proche de la fin du monde, mon ami! Comprenez bien, qu'en vous disant cela, je n'accusais aucunement les homosexuels ou les lesbiennes d'être responsables de ce futur désastre.

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Car pour vous dire la vérité, ils ne représentaient que 1 % de la population et étaient donc peu dangereux pour la société. En fait, je voulais dire tout simplement que le grand danger ne se trouvait pas dans l'éfé-minisation de nos moeurs, mais dans sa féminisation. Car penser qu'on puisse devenir homosexuel ou lesbienne par un processus culturel était une lubie ou un gros fantasme inventé par les extrêmistes ou par des gens qui connaissaient rien à la nature humaine, bien évidemment. Mais il est vrai que la peur de dev-enir une femme pour un homme semblait lui causer de terribles angoisses, Ah!Ah!Ah! Alors que pour une femme devenir un homme, avec un énorme membre, comme un phantsme pour se venger de tous les hommes, Ah!Ah!Ah! Mais aussi des femmes qui entre nous n'étaient pas très tendres entre elles, comme on le voyait dans les magazines peoples où elles se jalousaient terriblement, n'est-ce pas? Bref, tout un programme politique pour les populistes, mais qui n'était en vérité qu'un faux épouvantail concernant l' homophobie. Pour rester dans le domaine économique et politique, j'ai appris en lisant des chiffres offi-ciels sur Internet que le capitalisme provoquait 800 000 suicides par an dans le monde! C'est à dire 80 millions de morts par siècle, ce qui représentait une hécatombe aussi importante qu'une guerre mondiale se renouvelant tous les siècles, n'est-ce pas? En fait, je crois que le capitalisme était pire qu'Hitler, Stal-ine et Mao réunis, mais que nos petits bourgeois victorieux voulaient ignorer la face hideuse, Ah!Ah!Ah! Sans vous cacher, mon cher lecteur, le nombre de fois que j'ai voulu me suicider pour échapper à ce syst-ème des plus médiocres qu'est le capitalisme! Mais en tant que génie, il m'était impossible d'accomplir ce geste irréversible où les médiocres auraient raison une nouvelle fois, Ah!Ah!Ah! Car je vous assure que le génie n'était pas un homme, mais une force dépassant toutes les forces individuelles des hommes. Ain-si, j'ai pu échapper à la pire des choses en muselant mon amour propre de petit homme afin d'aider l'hum-anité qui, en ce moment, en avait bien besoin par les mauvais traitements que lui faisaient subir ces impo-steurs qu'on appelle les hommes politiques! Mais ne nous décourageons pas, mes amis, car notre proch-ain programme politique sera bien évidemment de supprimer tous ces imposteurs pour vivre enfin dans le meilleur des mondes, n'est-ce pas?

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En résumé, comme ce sont nos médias qui décident qui réussira ou qui ne réussira pas dans ce monde globalisé, il faut s'attendre bien évidemment à des aberrations dignes d'un roman de science-fiction où il est fort possible que notre grand homme ou génie, au palais de l'Elysée, ne soit pas son actuel locataire( Monsieur Macron), mais son jardinier qui taille les rosiers et arrose les parterres de fleurs dans une totale indifférence, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais une totale aberration, mais qui me semble toute à fait réaliste dans un pays comme la France où l'on marche sur la tête en cantonnant les génies aux travaux subalternes de jardiniers, gardiens d'immeubles, de poubelliers, alors que les nuls s'octroyent les meilleurs places à la tête de l'Etat! Bien évidemment, tout ceci grâce à la magie des médias, qui pour défendre leurs intérêts, fabriquaient leurs propres hommes politiques, intellectuels, écrivains, artistes, philosophes en les mettant sous le feu des projecteurs qu'on appelle la médiatisation. Mais ô combien de palots individus sans talent et génie qu'elle fabriquait! En fait, j'avais le sentiment qu'on ne vivait pas en France, mais plutôt en Fran-ce-fiction où les anomalies étaient devenues courantes comme l'air polué qu'on respirait avec difficulté. Personnellement, l'expression de France-fiction que je venais d'inventer pour décrire la société française actuelle me semblait toute à fait juste et allait très certainement faire son chemin et connaître son heure de gloire sous la plume des journalistes et des écrivains en manque d'inspiration, n'est-ce pas? En fait, ce sentiment de flou, d'insécurité intellectuelle, politique, philosophique, artistique etc que je ressentais au-tour de moi était la conséquence d'un grand remue-ménage provoqué par les médias qui au bout du com-pte ne s'adressaient plus aux bonnes personnes, mais aux imposteurs, Ah!Ah!Ah! C'est comme si vous alliez chez votre boucher pour acheter un litre de lait ou bien dans votre supermarché acheter les services d'une prostituée ou bien sur la place du marché acheter des enfants que l'on vendait, parait-il, au kilo, Ah!Ah!Ah! Bref, nous étions en plein cauchemar organisé par les médias, comme dans une fête Halloween qui n'en finissait pas de durer à notre plus grand désespoir, mon cher lecteur! Mon dieu, la fête perman-ente, comme c'est tuant, Ah!Ah!Ah! A ce sujet, bien évidemment, tous les débats à la télé n'avaient aucu-ne réalité, mais de pures fictions pour faire durer le grand simulacre produit par les médias ainsi que les interventions bouffonnesques d'Eric Zemmour dont le contenu des livres était à moitié faux, sauf sur le déclin de France, en accusant faussement les Arabes, les blacks et l'islam d'être les grands responsables. Bref, Monsieur Zemmour avait beaucoup de chance qu'il soit juif, sinon, je l'aurais traité d'antisémite, Ah!Ah!Ah!

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Personnellement, je pense qu'il faisait une grosse erreur d'analyse. Car il n'était pas un vrai intellectuel ni un grand penseur, mas qu'un petit sobriquet du journal le Figaro, bref, un journal de droite qui essayait avec force adresse de cacher son côté facho. En le voyant tout particulièrement, non pas dans ses articles que je lisais sur Internet, mais dans les messages laissés par ses lecteurs qui entre nous étaient de gros fa-chos, Ah!Ah!Ah! Mais je les lisais toujours avec grand plaisir, car au moins ils disaient ce qu'ils pensaie-nt même s'ils avaient tort, Ah!Ah!Ah! Bref, la bêtise humaine m'a toujours fait  rire et je ne m'en suis ja-mais privé quand l'occasion m'était donnée pour ne rien vous cacher. Alors qu'à Libération, c'était le cou-vre feu permanent avec le gauchisme caviar donneur de leçons, Ah!Ah!Ah! Pour ma part, je ne pense pas que les responsables du déclin de la France soient les Arabes, les blacks et l'islam, mais plutôt les valeurs républicaines qui, usées jusqu'à la corde, nous empêchaient d'entrer dans le 3 ème millénnaire et dans une ère nouvelle. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, je faisais le même constat qu'Eric Zemmour, sur le déclin de la France, mais avec des arguments complètement opposés, parce qu'il n'était pas un génie comme moi, mais un petit journaliste de droite facho, Ah!Ah!Ah! Et si on l'avait éjecté de la télé, c'est parce qu'il représentait un réel danger, non pour la France, mais pour les médias dont la démagogie était le fond de commerce. Car laisser une heure d'antenne par jour à un petit facho de service pourrait bien ruiner toutes leurs ambitions, n'est-ce pas? Apparemment, en France-fiction, on déjouait les lois de la gr-avité en ayant élu un président totalement inculte sur le plan politique et économique. Bref, une anomalie produite par le système médiatique, comme nous l'avons déjà dit. Oui, je sais, un beau sujet de roman de science-fiction pour les amateurs de bizarreries ou d'anomalies transdimensionnelles où l'on pourrait fac-ilement comparer Monsieur Macron à un OVNI venu de la planète Jupiter débarqué sur Terre par nos médias intersidéraux, Ah!Ah!Ah! Décidement, nos médias nous plongeaient en plein Hollywood où tout pouvait arriver aussi bien une catastrophe que le sauvetage inespéré de l'humanité par un homme provid-entiel, genre Star Trek ou Armageddon, Ah!Ah!Ah! En trouvant beaucoup de ressemblances entre les mé-dias et les GAFA( Google, Amazone, Face book, Apple) qui visiblement avaient le même but, celui de s' emparer du monde par la monopolisation de toutes ses ressources humaines. C'est bien pour cette raison que je vous parlais au début de mon texte( si j'avais du pouvoir) de faire voter une loi anti-trust afin d'éviter la fin du monde. Bref, un sujet de haute actualité qui va sûrement devenir dans la prochaine déce-nnie un sujet brûlant. Je vous prie de m'excuser, mon cher lecteur, si je suis un prophète ou un homme en avance sur mon temps. Mais cela fait partie entièrement de ma nature et me demande aucun effort part-iculier, sinon le don de voyance.

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Hier soir, en allumant ma télé, j'ai appris( depuis son éviction des plateaux télés) que la vente des livres de Monsieur Zemmour avait été divisée par cinq. Bref, le signe évident qu'il n'était pas un grand intellect-uel ni un grand penseur, mais qu'un petit personnage médiatique et rien de plus, Ah!Ah!Ah!

Ce matin, j'ai reçu dans ma boite émail un message où quelqu'un me disait qu'il appréciait tout particuli-èrement ma méchanceté dans mes écrits! Bien évidemment, je lui ai répondu que je ne comptais pas deve-nir plus méchant pour lui faire plaisir, Ah!Ah!Ah! A part ça, il a trois semaines, j'ai failli me rendre de mon plein gré à l'hôpital psychiatrique de Saint-Jean de Dieu( que tous les lyonnais un peu dérangés con-naissent, forcément), parce que j'avais l'impression que mon crâne allait exploser! Et contrairement à ce que les gens ou les spécialistes de la psychiatrie pourraient croire, ce n'était pas un sentiment d'oppressi-on ou d'angoisse qui m'envahissait, comme de ressentir son cerveau pris entre les deux mords d'un étaux. Mais d'un véritable feu d'artifice qui explosait dans ma cervelle, comme si mes neurones se trouvaient en court-circuit et accéléraient mes idées à la vitesse de la lumière au point de transcender l'espace et le tem-ps où je touchais étrangement la main de Dieu sur laquelle était écrit en encre bleue, la vérité! Bref, com-plètement affolé par toutes ces lumières incandescentes envahissant mon cerveau, j'ai eu alors très peur que mon corps s'embrase lui aussi telle une torche vivante où j'étais pas loin bizarrement d'appeler les pompiers pour éteindre mon feu intérieur. Assis près de mon téléphone, la cervelle en feu et pas loin de la folie, j'étais prêt à appeler l'hôpital Saint-Jean de Dieu, qui je savais pouvait soigner mon mal avec un bon anxiolitique qu'on appelle une camisole chimique. Mais étrangement, je ne saisis point mon téléph-one, mais partis aussitôt me coucher où je savais que la position allongée avait le don de rétablir mon équilibre neuronal ou psychique. Bref, rentrant en moi-même pour discuter avec mon cerveau, par je ne sais quel miracle ou génie, je réussis à ralentir la vitesse de mes neurones et ainsi éteindre l'énorme ince-ndie qui faillit bien me consumer entièrement! Apparemment, mon génie voulait de temps en temps cot-oyer la folie, mais une folie que je lui refusais absolument d'atteindre afin de garder les pieds sur terre et de rester toujours en contact avec vous, mes chers lecteurs. Où vous êtes d'une certaine façon, le rempart contre ma propre folie que je voudrais saluer pour me tenir en vie au sein de la société des hommes. Car pour moi, vous êtes mieux que des médecins ou des spécialistes de la psychiatrie en sachant que vous êtes l'espoir d'une vie meilleure sans médocs, sans psychanalyses, sans opinions sur mes oeuvres, sans messages personnels, sympathiques ou antipathiques. Vous êtes la nuée ardente que je ne vois pas, mais que je sens à travers le vide abyssal d'Internet et mes statistiques catastrophiques, Ah!Ah!Ah! Vous êtes le soldat inconnu qui veille sur moi, comme il veille sur ses camarades tombés au combat! Vous êtes l'aur-ore qui a du mal à se lever. Vous êtes le vent qui n'attend que le signal pour hurler. Vous êtes les flots qui n'attendent que la colère de Neptune pour tout engloutir. Mes amis, comme je vous envie : moi le poète qui détient déjà tout ce vacarme au fond de son crâne!

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C'est bizarre à dire et m'étonne encore aujourd'hui de n'avoir jamais réussi à faire publier une seule de mes oeuvres qu'elles soient poétiques, littéraires ou musicales par une maison d'édition! Et ô combien, j' aurais aimé qu'elles le soient, non pour flatter mon égo, mais pour tout simplement ouvrir les yeux des Français sur l'énorme escroquerie intellectuelle organisée par la république et les médias complices. Br-ef, encore une grosse aberration produite par la France-fiction où les maisons d'éditions étaient à la botte des médias pour des raisons économiques, bien évidemment, sachant que leur survie ne dépendait que de l'apparition d'un de leurs jeunes poulains dans une émission littéraire pour doper leurs ventes. Comme Eric Zemmour, qui sans son passage habituel dans " ça se dispute", n'aurait jamais vendu autant de livres, mais peut-être 200 au maximum. Voilà où en était arrivée la littérature : à une sombre histoire d'argent, mais que mon génie aurait voulu sortir de cette gangue qu'on appelle le mensonge médiatique. Il est pos-sible aussi que ce refus de publier mes oeuvres fasse de l'ombre à leurs petits écrivains de chroniques martiennes tirées directement de la France-fiction, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, ceci était pour moi pur-ement politique et non littéraire ou artistique, parce que j'avais ouvertement dénoncé leur escroquerie intellectuelle en voulant tout simplement supprimer la république du système politique français où j'au-rais tant souhaité la faire disparaître pour enfin appeler la France, la France et non plus la république française devenue complètement obsolète pour la plupart des Français. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, j'étais semble-t-il dans la même position très inconfortable que Jules Cesar face aux sénateurs de la république romaine qui n'eurent aucun scrupule à l'assassiner pour sauvegarder leurs places, leurs sa-laires et leurs pouvoirs, bien évidemment. Ah, l'Histoire semblait se répéter pour moi aussi, j'en ai bien peur! Il est vrai aussi que Jules Cesar voulait supprimer la république donc le sénat en se nommant dicta-teur à vie après ses victoires militaires éclatantes sur tout le continent européen et africain. Mais person-nellement, je n'y voyais aucun mal quand on était un génie, n'est-ce pas? Apparemment, le bouquet de fle-urs que j'avais reçu pour célébrer mon futur enterrement en avait toutes les odeurs, n'est-ce pas? Mon dieu, comme il était difficile d'être un génie dans la république des médiocres! Bref, dans un pays où l'on ne rêvait plus, ne s'amusait plus, ne délirait plus, parce qu'il avait été mortifié, fossilisé par ses valeurs républicaines, comme un vieux paquet de café hyophilisé abandonné au fond d'un placard!

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Bizarrement, en ouvrant les portes du placard et en me saisissant du vieux paquet de café, j'aperçus que la date de péremption était le 4 Juillet 1789, Ah!Ah!Ah! Mon ami, oseriez-vous y goûter sans avoir peur d' être empoisonné? Moi sincèrement, j'éviterais d'y toucher pour garantir ma santé ainsi que celle de tous les Français qui me semblait aujourd'hui très mal en point vu ce que les médias leurs faisaient avaler d' infecte, Ah!Ah!Ah! Il était fort possible que la France souffrit d'une longue intoxication idéologique qu' elle n'arrivait pas a se soigner malgré ses grands médecins sortis des grandes écoles républicaines. Mais d' où venait le mal exactement, je me demandais en me raclant la gorge prise par une toux que je n'arrivais pas à me débarrasser? J'avais l'impression que ma grippe durait depuis des années au point d'avoir la gor-ge en feu et mon nez en forme de trompette à force de me moucher jour et nuit! En regardant  ma pou-belle déborder de mouchoirs Kleenex, en vérité, pas très clean pour ne rien vous cacher. En fait, je crois qu'on s'ennuyait terriblement en France depuis que l'ascenseur social avait été retiré du bâtiment par ses élites et pour les raisons qu'on connaissait tous. En toute lucidité, si j'avais eu les moyens, j'aurais bien acheté la première page d'un grand journal pour inscrire à l'intérieur d'un hexagone : La France s'ennuie! Étrangement, je trouvais la situation assez ressemblante avec les événements d'avant mai 68 où la répu-blique de grand-papa bridait toutes les libertés et plus particulièrement celle de la jeunesse. Mais avec une situation politique et économique complètement opposée à la nôtre, puisqu'on se trouvait alors dans le plein emploi et le baby-boom! C'est dire une chose non  négligeable à signaler, car si une révolution se passait aujourd'hui, je vous assure que la France ne s'en relèverait pas et assurerait son déclin définitif. Comme vous le savez bien, mon cher lecteur, j'ai toujours été opposé à toute révolution qui nous ram-ènerait au point zéro de la civilisation, comme il fut le cas avec la révolution de 1789 qui avait entraîné la France dans la misère et dans la perte de sa véritable identité. Car nous sommes avant tout, nous les Français, de vrais terriens qui entretenons avec la France une véritable relation fusionnelle et sensuelle et non des relations intellectuelles comme nous l'avaient imposé par la force, la république de 1789. C''est pour cette raison que la plupart des français se sentaient étrangers dans leur propre pays! Et je vous ass-ure que s'en prendre aux immigrés et à l'islam était une monumentale erreur, car le mal venait d'ailleurs comme je venais de vous le démontrer en 3 coups de cuillères à pot! Mais bon, l'islamophobie ou la peur d'être envahi par des hordes sauvages était un sujet vieux comme le monde, que les politiciens et les mauvais écrivains ont toujours su exploiter avec éfficacité : les premiers pour se faire élire et les seconds pour vendre leurs bouquins qui ne valaient pas un clou, Ah!Ah!Ah! Car parait-il, durant la Rome antique, au moyen-age et pendant la terreur révolutionnaire, on traitait des mêmes sujets! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, le mal venait de très loin et tout particulièrement en France sur la deformation de notre intelligence et de nos sens par l'intellectualisme prôné par la république qui nous avait éloigné de notre véritable identité et nature. Bref, si j'avais les moyens de ressusciter Voltaire, je le jetterais volontier au feu, Ah!Ah!Ah!

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En fait, j'avais l'impression dans cette France fossilisée par ses élites intellectuelles que mon temps con-sistait à compter mes jours avant de sombrer dans la mort, Ah!Ah!Ah! Et en ce mois lugubre de Novem-bre, célébrant la mort de nos poilus de 14-18, je voyais s'élever sur la France une immense pierre tomba-le où il était écrit dessus : Ici, gît la France! Ah!Ah!Ah! Personnellement, je pense que cette image en ce mois de Novembre, triste et pluvieux, pourrait faire sans problème la une de tous les journaux montrant la décomposition mortifère de la France et de ses habitants. Et si vous me demandiez comment la France était morte, je vous réponderais sans sourciller qu'elle ne s'était pas suicidée( contrairement à ce que rac-ontait Eric Zemmour dans les médias afin de protéger les assassins), mais qu'elle avait été lâchement ass-assinée! Oui, je sais une accusation ahurissante sur son possible assassinat. Mais une enquête qu'on ne devait pas confier au 36 rue des orfèvres où la police d'Etat défendrait les assassins qui s'appelaient nos hommes politiques français, Ah!Ah!Ah! Apparemment, nos avions affaire ici à un crime d'Etat de la plus haute importance qui conduirait aussitôt nos hommes politiques à la guillotine pour haute trahison! Mais entre nous quel homme courageux en France aurait le courage de mener cette enquête hors norme, je vous le demande? Et pensez-vous vraiment que moi, Patrick, le célèbre inconnu, puisse tenir cette accus-ation devant le grand tribunal où se tenaient les grands tenors du barreau de Paris? Ah!Ah!Ah! Tout ceci avait bien évidemment l'aspect d'une bonne blague, n'est-ce pas? Mais une blague qui me semblait toute à fait sérieuse en comparaison avec les blagounettes que nous débitaient à longueur de journée les comi-ques à la télé. Parce qu'une blague sérieuse faisait réfléchir les gens, alors qu'une blagounette anéantissait complètement leur intelligence, Ah!Ah!Ah! C'est ce que nous apercevions à travers nos médias dont la mission était de démolir l'intelligence des Français avec la complicité des élites politiques. Tout ceci bien évidemment pour leur faciliter la gouvernance du peuple français, tel un troupeau de moutons auquel on aurait ôté toutes les facultés d'orientations et de mémoires! Bref, une chose bien pratique pour mener le troupeau là où on le voulait, n'est-ce pas? Un fois de plus, en suivant les commémorations du centenaire de la guerre de 14-18 à la télé, j'ai appris que Monsieur Macron avait commise une nouvelle bourde en voulant rendre hommage au Maréchal Pétain! Bref, une mauvaise habitude qu'il n'arrivait pas à se dé-faire tellement il était bête, Ah!Ah!Ah!

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Certes, le grand vainqueur de la guerre de 14-18( avec ses 5 millions de morts), mais dont la suite sera funeste pour la France, il faut le dire, au temps de la collaboration avec les nazis. En fait, j'avais le sent-iment que Monsieur Macron voulait se prendre pour un grand chef militaire, comme le Maréchal Pétain, mais sans connaître véritablement l'Histoire de France, comme le petit prince qui débarquerait sur une planète totalement vierge où les habitants seraient dénués de toute mémoire. Bref, le retour du mythe à la virginité dont notre saint Macron rêvait jour et nuit! Et heureusement que les historiens étaient là pour lui rappeler l'Histoire de la grande guerre, sinon les Français l'auraient gobé sans le moindre mal, vu l'état de leurs neurones actuel, Ah!Ah!Ah! En fait, j'avais l'intime conviction que le Maréchal Pétain faisait pa-rtie lui aussi des hommes qui avaient assassiné la France! Bref, un crime qui sera poursuivi par le Géné-ral de Gaule qui vendra le destin de la France aux Américains et aux Anglais. Bref, une suite d'assassinats dont la France ne se relevera pas tel qu'on peut le voir aujourd'hui dans le moral des Français où l'érect-omètre était en berne, Ah!Ah!Ah! Je vous avoue que le Général de Gaule ne sera jamais pour moi un hé-ros, mais le symbole de la gloire perdue par la France. Mais bon, si vous voulez vénérer de vieux ossem-ents ou de faux symboles, mes amis, je ne vous l'interdirais pas. Car depuis le repli du Général de Gaule à Londres pour effectuer la vente de la France aux Américains, nous étions entrés en vérité dans la guerre moderne qu'on appelait la guerre de la communication dans laquelle nous nous trouvions actuellement avec tous nos médias qui nous bourraient le mou à longueur de journée. Je sais qu'il est dure de dire la vérité aux Français, mais il faut qu'ils l'entendent afin qu'ils évoluent dans le bon sens et qu'ils ne restent pas enfermés dans leur funeste passé. Toujours sur le même sujet, j'ai appris hier en allumant ma télé, qu' on avait décerné le prix Goncourt à un auteur de livres pour enfants. Décidement, le jury du prix Gonco-urt retournait en enfance, Ah!Ah!Ah! Mais une chose qui ne m'a guère étonné étant donné que l'âge mo-yen de ses membres était de 75 ans, bref, encore une histoire de vieux gâteux, Ah!Ah!Ah! Une fois de pl-us, la France ne voulait toujours pas sortir de son passé foireux! En fait, j'avais l'impression dans ce mo-nde moderne organisé par la guerre de la communication que personne ne voulait la perdre! Bref, où les vieux ne voulaient pas partir pour laisser la place aux jeunes où les riches ne voulaient pas distribuer leur argent avant de clapser où les idiots voulaient absolument croire qu'ils étaient intelligents où les aveugles voulaient voir où les paralytiques voulaient marcher, Ah!Ah!Ah!

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Apparemment, nous étions entrés dans un monde de fous où la mentalité bourgeoise avait fait de gros dégâts sur nos mentalités en prônant la réussite à tout prix, comme le Général de Gaule, qui refusant de perdre la guerre, avait vendu le destin de la France aux Américains et aux Anglais, par exemple. En fait, c'est comme si je donnais un coup de poignard dans le coeur de quelqu'un qui me disait avant de mourir : Désolé, mon gars, mais c'est moi qui a gagné! Avions-nous affaire ici à un fou ou bien à quelqu'un qui se réjouissait sur ma future arrestation, quand mon crime sera dévoilé à la police et au monde entier? Co-mme vous le voyez, mon cher lecteur, la question était tout à fait justifiée afin de connaître la vérité sur les intentions cachées de notre victime. A ce propos, j'avais l'impression, après l'assassinat de la France par ses élites politiques, que celle-ci nous parlait d'une façon postmortem. En devinant que le grand génie ou prophète ne fut pas Victor Hugo, mais François-René de Chateaubriand qui, en écrivant les mémoires d'outre-tombe, avait donné la parole à la France assassinée par la république de 1789! Une nouvelle fois, je vous apprenais bien des choses, mon cher lecteur, ainsi qu'à vous historiens auxquels je donnais une nouvelle clef pour raconter enfin la vraie Histoire de France aux Français. Mes amis, je vous prie de sai-sir au plus vite cette perche que je vous tends( car moi l'inconnu qui n'est pas reconnu comme penseur, philosophe et écrivain, parce que non publié pour des raisons politiques), je crains que ma thèse ne voit jamais le jour et enfonce la France de jour en jour dans son mensonge officiel. Bizarrement, je ne savais pas d'où pouvait venir mon génie, sinon par cette capacité à me connecter aux génies du passé qui souve-nt s'adressaient à moi par la pensée. Toujours par un dialogue d'ordre sensoriel et jamais intellectuel, car les poètes ne communiquent jamais entre eux par des concepts intellectuels, mais toujours par les sens et l'âme. Avec l'intime conviction que seuls les personnes qui croient en Dieu sont aptes à dire la vérité, comme Chateaubriand et non comme Victor Hugo qui, au bout du compte, était devenu un homme qui avait perdu son âme en devenant un républicain dont l'âme devait encore brûler en enfer tellement il était adoré dans les programmes de l'Education Nationale, Ah!Ah!Ah! Personnellement, j'ai toujours eu de l' aversion pour ce lugubre individu et tout particulièrement pour ses poésies qui n'ont jamais atteint le su-blime pour moi, car d'ordre professoral et pédagogique. Car par un travers que je n'arrivais toujours pas a m'expliquer, il voulait absolument éduquer le peuple, qu'apparemment, il semblait mépriser sauf pour sa gloire personnelle, bien évidemment.

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Bref, une mission grotesque que Charles Baudelaire se moquait auprès de ses amis en critiquant sévèr-ement "les misérables"comme un rabaissement de la littérature et de la poésie au niveau de la populace pour avoir du succès auprès du public, Ah!Ah!Ah! Apparemment, la démarche Hugogrotesque pour avoir du succès semblait toujours d'actualité dans nos médias, quand nous observions nos petits écrivains faire de la genouflexion devant le public auquel ils vouaient un culte pour qu'il lui achète leurs bouquins nu-llissimes, Ah!Ah!Ah! Et si Charles Baudelaire avait pu entrer dans le programme officiel de l'Education Nationale, c'était dû, je pense, aux événements de mai 68, car Baudelaire, c'était de l'antiHugo. Ce matin, j'ai reçu un message émail où un inconnu me disait que j'étais un salaud! Bien évidemment, je lui ai rép-ondu que c'était lui le salaud! Bref, toujours dans le phénomène des aberrations, j'ai appris aux infos que Donald Trump avait jugé les elections de mi-mandat comme un grand succès malgré qu'il ait perdu la chambre des représentants, Ah!Ah!Ah! De même qu'à des milliers de kilomètres de là, les indpendantistes calédoniens avaient fêté la victoire après avoir perdu le référendum sur l'autodétermination, Ah!Ah!Ah! Décidément, le monde en ce moment semblait tourner à l'envers et je dirais même marcher sur la tête! Mais comme dirait un grand économiste, c'était la tendance du marché et on y pouvait rien. Sans oublier de dire que j'ai appris ce matin que Jamel Debbouze voulait jouer le rôle d'Hamlet à la Comédie Fr-ançaise et son copain Kev Adams, celui de Britannicus, Ah!Ah!Ah! Décidément, même les bouffons des médias se prenaient pour de grands personnages historiques! Mais bon, pourquoi pas, je me disais, quand le mensonge médiatique était là pour les servir? Quant à la célébration de mon futur enterrement, mon cher lecteur, j'aimerais qu'on commande chez le pâtissier un énorme gâteau à la crème en forme de pierre tombale sur laquelle mon épitaphe serait écrit en lettres de chocolat : Ici a vécu un génie que les Hommes ont complètement ignoré l'existence pour des raisons facilement compréhensibles, Ah!Ah!Ah! Ainsi tous les invités pour se consoler pourront avec l'aide d'un grand couteau me découper en petits morceaux et me dévorer avec un grand plaisir! Sans oublier d'ajouter à ce repas dévorant et funèbre de petites frian-dises en forme d'osties aux amandes ainsi que des petites croix en caramel que les invités pourront sucer en suivant mes obsèques et le tout accompagné par de petites patisseries en forme de cercueils fourrés à la crème chantilly nappée d'un coulis aux fruits rouges imitant mon sang. J'imagine alors leur extase en les croquant furieusement, Ah!Ah!Ah!

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Comme vous le voyez, mon ami, la mort est ni plus ni moins qu'une dévoration de notre corps par les autres et tout particulièrement par le temps qui n'est pour moi qu'un monstre en mouvement qui marche la gueule ouverte pour nous dévorer tout cru! Où il est inutile de courir comme un sprinter pour lui éch-apper, car je vous assure que celle-ci vous rattrapera au premier virage mal négocié, Ah!Ah!Ah! En fait, il vous suffit seulement pour vivre longtemps de marcher un peu plus vite que la mort, bref, d'avoir un pas d'avance et pas trois kilomètres qui au bout du compte vous aura épuisé de fatigue où la mort n'aura au-cun mal à vous dévorer tout cru, bien évidemment. Voilà quelques petits conseils pratiques que je vous donne, mon cher lecteur, pour vivre vieux et en bonne santé. En remarquant grâce à mes sens super dév-eloppés que la mort avait l'odeur de la pierre et des roses! Et si par hasard vous sentiez un jour cette odeur sur vous, mon cher lecteur, c'est que votre mort était toute proche. Mais comme je suis un expert en ces choses macabres, je vous conseillerais de changer pour quelques temps vos habitudes en changea-nt l'itinéraire de votre promenade quotidienne ou tout simplement de trottoirs afin de ne pas croiser la mort en chemin, Ah!Ah!Ah! Quitte à changer de boucher, de boulanger voir d'amis pendant un certain temps ne serait pas une mauvaise solution sachant que la mort pourrait vous surprendre en achetant votre steak ou votre pain ou bien en discutant dans le salon d'un ami. Car la mort est partout et connaît parfa-itement vos habitudes du lever au coucher au point que j'ai souvent l'impression de dormir avec elle et ne semble pas trop se gêner de boire son café avec moi au petit déjeuner, Ah!Ah!Ah! Décidément,  un vrai pot de colle, bref, une vraie sangsue!

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Cette nuit, j'ai fait un drôle de rêve où j'étais en train de rouler sur une autoroute dans une voiture d'en-fant qu'on appelle une voiture à pédales! Décidément, un rêve complètement absurde illustrant peut-être ma vie, hum? En fait, je n'en sais rien. Car depuis quelques temps, mes nuits sont assaillies de choses qui n'ont ni queue ni tête, comme il a une semaine où dans un cauchemar, j'étais suspendu par les mains en haut d'une tour de 118 étages! Bien sûr, vous allez me dire pourquoi 118 étages et pas 119? En fait, je n' en sais rien. Car ce qui m'obsédait le plus, ce n'était pas d'être suspendu au dessus du vide, mais le nom-bre 118 qui semblait représenter pour moi et pour mon inconscient, comme un chiffre magique ou peut-être maléfique? En fait, je n'en sais toujours rien. Puis pour une raison inconnue, je me suis retrouvé en plein désert en haut d'une dune de sable où, tout compte fait, j'avais retrouvé les pieds sur terre, mais sans pour autant avoir amélioré ma situation, n'est-ce pas?

Tout cela signifiait-il pour moi une attitude suicidaire face à la vie ou bien une inadaptibilité à vivre avec les autres qui me faisait jouer avec le feu? je me demandais en toute lucidité. Tout cela était fort possib-le. Mais une chose que je trouvais, par na nature exceptionnelle, toute à fait naturelle et non vécue com-me une grande souffrance. Car ma nature était attirée par les abysses et les cataclysmes de l'existence et non par le ronflement assourdissant de mes contemporains, Ah!Ah!Ah! Pour revenir à notre sujet, à pro-pos des sangsues, j'avais l'impression que la politique de Monsieur Macron vampirisait notre société fra-nçaise avec toutes ces taxes sur les carburants, le gaz, etc. Et en ce mois lugubre de Novembre, célébrant le sacrifice de nos poilus par leur sang versé sur les champs de batailles, il me semblait que l'hémorragie continuait de plus belle avec le peuple français qu'on saignait à blanc! O Pauvre peuple français! s'écriait alors mon âme blessée en comprenant que nos élites politiques et intellectuelles nous trahissaient une nouvelle fois! Apparemment, celles-ci avaient réussi un tour de force en mettant le peuple français à leur service et non le contraire, comme il était convenu dans la constitution républicaine! Bref, par ce renvers-ement total des principes, n'était-il pas venu le temps pour nous, chers concitoyens, de rectifier la situati-on en changeant notre constitution d'une manière pacifique pour sortir définitivement de cette république à l'envers qu'on pourait appeler sans se tromper, la reculblique? Je sens en vous votre cerveau entrer en ébullition. Car comme vous le voyez, je ne prônais pas la venue d'une 6 ème république( qui au bout du compte ne ferait qu'enpirer la 5 ème par un retour au passé et à des pouvoirs accrus sur quelques homm-es dont Monsieur Mélenchon, le vieux débris du passé stalinien, ne s'opposerait pas, bien évidemment, Ah!Ah!Ah! En fait, je ne prônais pas le retour à la république de Danton ou de Robespierre, qui avait cau-sé tant de mal et de guerres au peuple français, mais une révolution pacifique où toutes les décisions du gouvernement seraient prises par le peuple français qui établirait sur Internet une nouvelle assemblée nationale de type virtuelle. Ainsi, moins de fonctionnaires à payer par l'Etat, moins de locaux à chauffer inutilement, moins de gloriole grotesque pour entrer dans cette nouvelle ère technologique donc plus de pouvoir d'achat pour les Français, ce qui les sauverait du marasme ambiant, je vous l'assure. Pour aller plus loin dans ma démonstration géniale, pourquoi ne pas inventer des hommes politiques virtuels qui au bout du compte ne mangeraient pas de pain en ne demandant aucun salaire en retour et reduirait drasti-quement le déficit de la France? Comme vous le voyez, mon cher lecteur, quand vous êtiez intelligents ou que vous aviez du génie, les idées ne manquaient jamais pour sortir la France de sa république des débiles en utilisant les outils technologiques d'aujourd'hui où il me semblait que l'espace Internet soit devenu un nouveau continent voir la nouvelle démocratie qui s'ouvrait à nous!

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Et ce qu'il y avait de formidable ave le monde virtuel, c'était son pouvoir de fabriquer le futur visage de notre président de la république. Et pourquoi pas avec la voix d'Elvis Presley? Ah!Ah!Ah! Ce qui assurer-ait son succès immédiat auprès du public, je vous l'assure. Et puis grâce à la magie d'Internet, on pourrait s'adresser directement à lui à travers nos écrans d'ordinateurs ou de télé. Ah enfin, la vraie démocratie pénétrant nos foyers et concrétisant le rêve des peuples! Et aux prochaines élections, rien ne vous interd-irait de changer le visage du président de la république afin qu'il plaise au plus grand nombre, bien évide-mment.

Hier soir, en regardant à la télé, Hollywood Autopsy( une émission destinée à faire l'autopsie des vedettes et des stars du cinéma, chanson etc), j'ai appris que Robin Williams s'était suicidé parce qu'il était devenu fou à force de raconter des conneries au public durant 40 ans, Ah!Ah!Ah! Et j'imaginais alors avec joie la triste fin de nos comiques français, Ah!Ah!Ah! Certaines personnes pourraient apprécier ma franchise ou mon honnêteté intellectuelle en croyant que je disais ce que je pensais vraiment. En fait, ce n'était pas tout à fait la vérité, car je disais seulement le pire de ce que je pensais, Ah!Ah!Ah! Mon cher lecteur, sav-ez-vous pourquoi les sages et les génies ne se mariaient jamais, hum? Eh ben, regardez dans votre famille et vous comprendrez pourquoi, Ah!Ah!Ah! Hier soir, en rentrant chez moi, une femme bizarrement sur le trottoir m'a empêché de passer en m'obstruant le passage avec ses courses. Bref, après lui avoir dit : Exc-usez-moi, Madame, je voudrais passer, celle-ci a fait la sourde oreille et m'a repoussé quand j'ai essayé de la dépasser. Une possible tentavive de séduction? je me demandais sachant que j'étais un beau gosse, Ah!Ah!Ah! Bref, essayant de passer une nouvelle fois, celle-ci m'a poussé violemment contre la vitrine d' un magasin! Furieux, et ne pouvant contenir ma colère, je lui ai pris le bras et l'ai fait valdinguer par des-sus le trottoir où elle s'est écrasée sur la route avec ses courses en criant comme une hystérique! Un peu plus loin, des jeunes gens qui avaient assisté à la scène n'ont pas voulu intervenir. Car en ces temps de dé-clin, ils savaient que les femmes étaient devenues hystériques et qu'il valait mieux ne pas s'en approcher (non pas au risque de se faire tabasser par celles-ci, car cela ne risquait pas), mais pour éviter aux hom-mes qu'ils commettent un crime irréparable, Ah!Ah!Ah!

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En fait, je crois que cette femme faisait une crise d'hystérie en public et, bien évidemment, la seule chose qu'elle avait comprise pour la calmer, c'était la force. Je vous certifie, mon cher lecteur, qu'en temps no-rmal, je ne suis pas quelqu'un de violent, mais plutôt un garçon patient et posé. Mais si une personne veut être violente avec moi, je ne lui ferais aucun cadeau, car je suis sauvage comme un tigre, Ah Ah!Ah! Pourtant avant d'avoir eu ce malheureux petit incident, j'avais donné une pièce de deux euros à un SDF qui traînait sur le boulevard de la Croix-Rousse. Apparemment, une connasse de bonne femme avait gâc-hé ma bonne action du soir et j'en concluais avec amertume que toutes les femmes avaient décidément le don de nous gâcher la vie, Ah!Ah!Ah! Personnellement, si j'avais les moyens financiers, je réaliserais un film que j'appellerais: Tant qu'il y aura des femmes pour nous emmerder, Ah!Ah!Ah! Et dans les rôles principaux : Anne Hidalgo, Muriel Robin, Marine Le Pen et Valerie Pécresse qui étaient les grands emm-erdeuses du moment, Ah!Ah!Ah! Et tout particulièrement, Madame Hidalgo, la maire de Paris, qui mar-tyrisait les parisiens en voulant faire de Paris un musée destiné aux touristes! Oh comme je plaignais am-èrement en ce moment les parisiens d'avoir élu une Hyène à la mairie de Paris! Mais qu'ils éjecterons, je crois, au plus vite, aux prochaines élections municipales parce qu'une femme donc une emmerdeuse de première, CQFD! Et puis qu'est-ce qu'une femme pour nous, messieurs, sinon qu'une branleuse de servi-ce? Ah!Ah!Ah! Y'a quelques minutes, j'ai reçu un message émail où un inconnu me disait que j'étais un écrivain qui ne mâchait pas ses mots pour dire les choses. Bien évidemment, je le lui ai répondu avec courtoisie que les bons écrivains ne mâchaient jamais leurs mots pour dire la vérité, mais les envoyaient à la tête de leurs ennemis comme des balles de revolver, Ah!Ah!Ah! Et si à Paris, il y avait tant de mauv-ais écrivains, c'est parce qu'ils mâchaient longuement leurs mots dans la bouche afin qu'ils plaisent au public, bref, comme un vieux chewing mâché et remâché, mais qui n'avait plus aucun goût, Ah!Ah!Ah! Bref, c'est ce qui différenciait les vrais écrivains des pseudo-écrivains qui étaient propulsés par les méd-ias afin de créer un monde qui marchait sur la tête! Personnellement, j'ai toujours aimé la science-fiction, mais seulement au cinéma et jamais dans la réalité, Ah!Ah!Ah! Apparemment, Hollywood, les médias et les GAFA semblaient faire partie de la même famille, c'est à dire de puants gens de gauche et de sacrés gros démagos!

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En aimant tout le monde afin de faire fructifier leur horrible commerce en ayant le coeur à gauche et le portefeuille à droite, Ah!Ah!Ah! Bref, c'était cinéma tous les soirs suivi d'une soirée cocktail pour collec-ter de l'argent pour les pauvres. Le grand luxe pour la bonne cause où les pauvres pourront apprécier la soirée à travers leurs écrans de télévision, comme nous l'avait montré, Monsieur Macron, en invitant les 70 chefs d'Etats au palais de l'Elysée pour le grand diner de la paix. Mon dieu, mais comment cet homme pouvait-il se prendre pour le chantre de la paix, alors qu'il n'avait rien fait dans ce domaine contre la gue-rre en Syrie, au Yemen, etc. En d'autres termes, profitait-il de la célébration du centenaire de l'Armistice pour s'en revêtir les habits grâce aux images produites par les médias? Apparemment, c'était le cas où no-us étions à Hollywood et non dans la réalité, Ah!Ah!Ah! Puis confirmant mes intuitions, j'ai appris, il y a quelques heures, après la réunion sur la paix, qu'il envisageait de créer une armée européenne pour se défendre contre les USA, la Chine et la Russie! Oui, vous avez bien entendu, contre les USA avait-il dit comme si les USA étaient notre ennemi! Décidement, il était devenu fou et ne savait pas en vérité com-ment se venger de Donald Trump qui l'avait humilié à maintes reprises. Une première fois en épouss-etant les pellicules de son col et une deuxième fois en refusant de participer à la conférence pour la paix où Monsieur Macron se prenait pour un grand homme, Ah!Ah!Ah! Décidément, la faute de syntaxe ou de français, commise par notre président dans son message twitter, n'avait pas été bien appréciée par Donald Trump, qui comptait démolir les ambitions guignolesques de notre petit président français. En fait, com-me nous étions en permanence au cinéma avec nos médias, la suite serait forcément Hollywoodienne où toutes les ambitions médiatiques seraient possibles, n'est-ce pas? Et à ce jeu, Donald Trump ne s'inquét-ait guere pour être détesté en grande partie par les médias de gauche du monde entier. Quant à Monsieur Macron( avec sa côte de popularité au plus bas et ses résultats économiques catastrophiques), l'import-ant était de savoir combien de temps la comédie allait durer pour lui? Et en ce moment, il semblait en froid avec les Français et les médias. Pour les premiers à cause du conte de fée qu'il n'arrivait pas à tran-sformer dans la réalité et pour les seconds au film Hollywoodien qu'il leur avait promis, Ah!Ah!Ah!

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Sans oublier la hausse du prix des carburants qui forçait les Français à revêtir leurs gilets jaunes pour bloquer les points de circulation. Ainsi en ce beau mois de Novembre, aux températures clémentes( 20° en consultant la météo), la France ne serait pas recouverte d'un beau tapis de neige, mais d'un beau tapis de gilets jaunes, Ah!Ah!Ah! C'est dire qu'en France, nous vivions dans un vrai film de science-fiction. Mais pour quand notre départ définitif pour mars, mon ami? Ainsi verrait-on à distance l'anéantissement de la France par ses élites politiques et intellectuelles! Faut dire aussi que je ne voudrais pas être là pend-ant le Last Day in France, Ah!Ah!Ah!

En fait, j'étais tout à fait d'accord avec la révolte des gilets jaunes, comme avec la révolte des chapeaux pointus qui eut lieu en 1640 contre la hausse du prix des mandarines, Ah!Ah!Ah! Car paradoxalement, tous les automobilistes français étaient taxés par deux fois, une première fois par l'acquisition obligatoire du gilet jaune imposé par le gouvernement de Nicolas Sarkosy et une deuxième fois par la taxe sur les carburants! Mais tel était le grand paradoxe français où le peuple était au service de ses élites et non l'in-verse, Ah!Ah!Ah! En analysant bien les choses, on remarquait que les taxes sur les carburants servaient en grande partie à payer les salaires des fonctionnaires et c'est bien pour cette raison que l'Etat ne reviendra pas sur sa decision au risque de s'effondrer lamentablement! Et je pense que le 17 Novembre prochain, il y aura peu de fonctionnaires en gilets jaunes sur les blocages routiers sachant que la taxe leur était desti-née, Ah!Ah!Ah! Hier soir, en suivant un épisode de Sherlock, j'ai entendu une chose très juste de la part de notre célèbre inspecteur qui disait que les génies cherchaient toujours un public pour atteindre une certaine notorioté ou gloire afin d'orienter son enquête dans ce domaine pour arrêter un criminel qui se croyait plus malin que notre génial Sherlock. En fait, tout ceci était parfaitement exact et me concernait en tout point. Car voyez-vous, mon cher lecteur, il n'y a que deux façons d'éclairer un objet : soit de l'int-térieur soit de l'extérieur. Et à ce propos, les médias proposaient grâce à leurs pseudo-génies, un éclai-rage extérieur de nos problèmes de société par la médiatisation ou si vous voulez, par la lumière artifici-elle des projecteurs au service des imposteurs, Ah!Ah!Ah! Quant aux vrais génies, ils n'avaient pas besoin de ces artifices, car ils émettaient eux-mêmes leur propre lumière ou source lumineuse, comme le soleil qui illuminait l'univers et les créatures vivantes sans demander de contre partie, comme je le faisais en ce moment avec vous, mon cher lecteur, où sur mon site tout était gratuit, n'est-ce pas?

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C'était là, me semble-t-il, le signe évident du génie qui était d'offrir sa gloire à tous en toute gratuité, pui-squ'il brillait de l'intérieur grâce à son coeur en fusion qui lui procurait une joie sans commune mesure. C'était sans doute là où se trouvait l'origine de son immense générosité en ayant besoin de personne pour exister ou de faire naître sa joie que les petits êtres humains ne pouvaient comprendre. Car le génie se no-urrissait de lui-même en puisant sa propre énergie en lui-même, comme Dieu! Bizarrement, je sentais so-uvent en moi ce phénomène d'auto-génération énergétique, comme si je possédais en moi ma propre cen-trale nucléaire! Alors que chez les pseudo-génies, on observait pas ce phénomène, sachant que c'étaient les médias qui les alimentaient en énergie, comme des planètes mortes qu'on éclairait de l'extérieur, Ah Ah!Ah! Pourtant, on croirait qu'elles étaient vivantes, mais dès qu'on éteignait les projecteurs des médias, on les voyait aussitôt s'éteindre telles de petites bougies ou des astres morts. Comme vous l'avez bien compris, mon cher lecteur, avec leurs puissants projecteurs, ils pouvaient éclairer n'importe quel objet ou événement insignifiant, n'est-ce pas? Comme de créer un faux système solaire( où ils étaient au centre) et où tournerait autour leurs petites planètes artificielles! En fait, la vraie question qu'on devait tous se po-ser, aussi bien en France que dans le monde entier, était de savoir quand les vrais génies ou les mutants reprendraient le pouvoir sur la Terre? Car depuis quelques années, j'avais l'impression en France de mar-cher sur la tête et de flotter dans le vide, Ah!Ah!Ah! Pourtant, je n'étais pas astronaute, mais j'avais la sensation de ne plus être soumis à la loi gravitationnelle de la Terre, mais à celle des médias qui oscillait dangereusement entre le vide sidéral et l'énorme masse de conneries qu'elle produisait pour soi-disant nous maintenir les pieds sur Terre, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je n'ai jamais été contre la connerie, je vous l'avoue, mon cher lecteur. Car moi aussi, j'aime bien faire le con de temps en temps, mais pas toute la journée, bien évidemment, Ah!Ah!Ah! Et un quart d'heure de conneries par jour me semble largement suffisant pour rester en bonne forme. Sinon, c'est l'effet kiss cool pas cool du tout qui dégrade alors gra-vement vos neurones. En fait, je supporte les one man shows de nos comiques français pendant un quart d'heure au maximum, Ah!Ah!Ah! Mais je dirais qu'il ne faut surtout pas que la connerie produite par les médias envahisse toutes nos activités humainnes, sinon c'est la mort assurée pour nous tous! En fait, le mal ce sont les excès en trop, mais aussi en moins.

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J'ai pu remarquer à maintes reprises que les Français étaient un peuple de littéraires par le fait qu'ils dé- voraient avec avidité mes écrits, mais peu mes symphonies sur Internet. Cela me faisait aussitôt compren-dre qu'ils étaient peu doués pour la musique, comme les Allemands et les Anglo-Saxons. Pour la simple raison qu'ils avaient l'esprit léger et superficiel apte à jouer avec les concepts intellectuels et non avec les mouvements de l'âme qu'exigeaient la musique et même je dirais le vrai humour qui est pour moi l'hum-our noir Anglais. En fait, je pense qu'ils avaient perdu le sens de la musique et de la mesure depuis qu'ils avaient perdu leur âme en 1789 qui marquait le début du déclin de la France! C'est pour cette raison que j'appréciais peu l'humour français qui ne renfermait aucune profondeur, car se moquant souvent des app-arences extérieures des gens et jamais de leur vraie nature. Bref, c'était trop intello pour moi voir trop Voltairien pour lui accorder une réelle importance. Avec toujours le grand tabou de se moquer des pau-vres, des handicapés physiques, mentaux pour des raison que je n'arrivais toujours pas à m'expliquer (car dans ce domaine, il y avait un grand potentiel comique, n'est-ce pas?). Alors par manque d'esprit incisif et pénétrant, on se rabattait sur les bourgeois qui, à l'abri du besoin, offraient un dos bien large à l'humour franchouillard, Ah!Ah!Ah! A ce sujet, j'ai un voisin qui a gagné récemment au loto au point de transform-er toutes les nuits l'immeuble en boite de nuit! C'est à en vomir, je vous l'assure, mon cher lecteur! Mais ce qui le dégoûte le plus, je pense, c'est quand je le croise dans mes escaliers et que je ne lui dise même pas bonjour en passant tout droit, Ah!Ah!Ah! Je crois que cela doit le mettre en fureur d'avoir gagné 1 million d'euros et d'être invisible dans son immeuble. La semaine dernière, j'ai appris qu'il allait bientôt déménager, car on m'a dit qu'il ne supportait plus les pauvres, Ah!Ah!Ah! Décidément, les anciens pauvr-es ou les nouveaux riches retournaient vite leurs vestes, n'est-ce pas? Cela me rappelait tout particulière-ment une histoire insolite que j'avais lue dans un journal où un jeune noir, suite à une erreur de dosage d'un médicament, était devenu blanc! Et ce dernier, décrivant dans un article son extraordinaire métamor-phose, disait depuis qu'il était devenu blanc qu'il était constamment emmerdés par les noirs, Ah!Ah!Ah! Décidément être blanc n'était forcément pas un cadeau, ce qu'il apprendra tôt où tard, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Donc mes chers amis blacks, je vous prierais de ne pas accuser bêtement le racisme d'être la cause de tous vos malheurs. Car le grand responsable n'était pas la couleur de votre peau, mais la mécha-nceté des Hommes! Et comprenez bien, qu'étant moi-même de race blanche et un génie, j'étais guère app-récié par mes frères blancs, Ah!Ah!Ah! Bref, soyez vous mêmes et tout ira pour le mieux sans oublier de dissoudre au passage l'association SOS Racisme qui est une association d'escrocs parce qu'elle ne sert rien, Ah!Ah!Ah!

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Puisque nous en sommes, à l'énoncer de grandes vérités, il nous faudrait aussi dissoudre l'ONU qui visi- blement ne sert strictement à rien! Car qu'avait-elle fait contre la guerre en Yougoslavie, en Irak, en Syrie, au Yemen, sinon rien? Bref, si ce n'est qu'une organisation pour entretenir une bande de fonctionnaires inutiles et alourdir les impôts des peuples, il vaudrait mieux la dissoudre pour le bien de tous et surtout pour la paix dans le monde, Ah!Ah!Ah! Quant à l'OTAN, son utilité est plus ambiguë. Car en ce moment, elle sert surtout à protéger quelques pays de l'Est comme la Pologne, les pays baltes etc, contre la soi-dis-ant invasion Russe qui les menace à tout instant. En fait, il faut bien voir ici que tout ceci est un grand fantasme chez les occidentaux et parfaitement entretenu par la propagande de ces pays dont le rêve, au bout du compte, est d'entrer dans le capitalisme mondial prôné par les américains. Mais bon, si leur rêve est de ressembler un jour aux petits américains aux narines bourrées de cocaïne et aux veines gonflées d' héroïne, pourquoi pas? Ah!Ah!Ah! Mon alors quel désastreux programme politique pour ces pays! En fait, ce qu'il n'arrive pas à réfréner, c'est leur désir d'entrer au plus vite dans ce monde de la décadence en croyant qu ils y seront mieux lotis. Ce qui représente pour moi, une grande illusion ou un grand fantasme qu'ils entretiennent depuis qu'ils ont connu la décommunisation ou si vous voulez depuis la fin des idé-ologies au sens large du terme. Car il y a toujours eu des milliers de façon d'organiser la vie collective des Hommes où l'humanité depuis la préhistoire n'a jamais manqué d'imagination dans ces matières. En fait, pour être simple, je dirais que le capitalisme et le communisme vont de pair comme deux frères enn-emis et sont des inventions assez récentes. Car le capitalisme est au bout du compte la fin des idées où le plus important pour lui est de transformer n'importe quelle idée( morale, intellectuelle, philosophique, artistique etc) en monnaie sonnante et trébuchante. Et que toutes les idées qui n'y mènent pas directement seront considérées comme idiotes voires insignifiantes d'ou le déclin culturel constaté dans nos pays occ-identaux attirés frénétiquement par le billet vert, Ah!Ah!Ah Bien évidemment, le communisme est son principal rival ou ennemi en voulant s'opposer à la fin des idées. Mais avec une contradiction de taille en voulant imposer son dogme autoritaire, ce qui dans le domaine de la logique ne peut pas tenir la route bien longtemps. Sauf, comme le disait très justement jean-jacques Rousseau, pour les immenses territoi-res comme la Russie qui ne deviendra jamais une démocratie pour des raisons de gouvernances. Tout en précisant que la démocratie était propre aux petits pays où il était inutile de se crier dessus pour se faire entendre, n'est-ce pas? Et si les Etats-unis semblaient être un exception, c'est parce qu'ils étaient avant tout des occidentaux et non les Russes et les Chinois!

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Et si l'union sovietique s'était effondré sur elle-même, c'était pour des raisons économiques ou l'idéo-logie avait le gros défaut de proposer aux Hommes la liberté et la prison en même temps, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'avait pas de sens, n'est-ce pas? Mais en libérant leur économie pendant un certain temps au libéra-lisme ou au capitalisme, la Russie entra dans une misère pas possible où l'Etat avait disparu en laissant sa population presque mourir de faim, ne nous le cachons pas. Bref, après cette petite parenthèse démocrat-ique catastrophique pour les Russes, ces derniers reprirent vite la main en instaurant à nouveau un état fort et autoritaire, comme leur nature le souhaitait pour ne pa devenir les esclaves de l'Amérique. Car l' Etat était pour eux comme une grande nounou qui s'occupait de tout, comme nous en France où l'on adorait notre Etat chéri qui nous bordait chaque soir avant d'aller nous coucher, Ah!Ah!Ah! Mais quand je regardais la France, je sentais  qu'une politique "d'en même temps" prônée par notre cher président Ma-cron avait peu de chance de fonctionner, car en totale contradiction avec la logique. Car entre-nous, mes amis, pensiez-vous vraiment qu'on puisse faire un million d'opérations mathématiques en même temps? Sincèrement, mêmes les génies vous diront qu'ils en sont incapables, sinon les fous ou les irresponsables politiques, comme nous en avons un actuellement au gouvernement, Ah!Ah!Ah! Car pour mener à bien ce calcul monumental, il faut faire une opération après l'autre jusqu'à la millionième! Désolé, mais je ne connais pas d'autre solution à part peut-être les fous? Et personnellement, quand je compose une sym-phonie, je mets toujours une note après l'autre et jamais toutes en même temps, comme quand j'écris où je mets un mot après l'autre, car malheureusement, on ne peut pas dire tout en même temps pour con-stuire un récit digne de ce nom, Ah!Ah!Ah! Bref, Lapalisse n'aurait pas dit mieux, n'est-ce pas? Cela concerne aussi les chanteurs qui je vous assure ne peuvent chanter qu'une note à la fois, car essayer de chanter O et A en même temps, désolé, c'est pas possible, Ah!Ah!Ah! Bref, j'espère seulement, mon cher lecteur, vous avoir remis les pieds sur Terre contrairement à nos dirigeants politiques qui essayent de vous les enlever du sol, parce qu'en apesensateur au sommet de l'Etat  en voulant défier les lois de la gra-vité en vivant en France-fiction, Ah!Ah!Ah! Pour revenir au sujet de l'OTAN, il ne serait pas judicieux pour l'instant de la démanteler, puisque même Donald Trump s'y opposerait fermement, vu que les bases américaines anti-missiles continentaux se trouvaient en grande partie sur le continent européen prêtes à agir au plus vite à une attaque nucléaire des Chinois et des Russes sur l'Amérique. Oui, on peut dire, que pour l'instant l'OTAN a toute sa légitimité en attendant que le monde entier devienne capitaliste, Ah!Ah!Ah! Mais de là à ce que tout le monde devienne riche, un jour, l'OTAN a de beaux jours devant elle!

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En regardant chaque jour la télévision, je suis de plus en plus convaincu qu'elle n'est qu'une vitrine com- merciale au service du grand capitalisme! Et que tous les gens qui y passent ne sont pas pour moi des jo- urnalistes, des écrivains, des philosophes, des intellectuels, des artistes etc, mais des commerçants qui ont quelque chose à vendre, Ah!Ah!Ah!

Pour nous confirmer que nous vivions bien dans un monde célébrant la fin des idées. Et sans contest, un grand succès pour les médias et pour les gens qui les accompagnaient, mais un grand échec pour le mon-de entier et l'intelligence. Car les médias, en vérité, ne produisaient aucune réalité, mais de l'iréel en emp-loyant la médiatisation à outrance sur ses acteurs en les projetant au devant de la scène, alors qu'ils n'étai-ent pas des êtres authentiques ou exceptionnels, mais de simples commerçants au service du grand capita-lisme, Ah!Ah!Ah! D'où ce flou intellectuel, artistique, philosophique etc dans lequel nous étions plongés quotidiennement. mon cher lecteur, en prouvant que mes remarques étaient pertinentes, n'est-ce pas? Car les projecteurs surpuissants, qu'ils utilisaient pour éclairer leur vitrine commerciale, déformaient consid-érablement notre réalité donc notre relation avec le réel qui était le seul endroit où nous pouvions attein-dre la vérité et non la fiction : vu que la fiction naîssait du réel où nos sens étaient connectés pour saisir l'immensité de la création. Bref, un constat où les astronomes et les scientifiques seraient d'accord avec moi où les projecteurs des médias fabriquaient un halo de lumière qui nous empêchait d'observer la véri-té. Pour avoir souvent entendu des astronomes dire dans des émissions télés que la lumière des villes les empêchait d'observer le ciel durant la nuit où le halo de lumière produit par la ville floutait leurs inst-ruments astronomiques et les forçaient à partir loin des villes pour observer correctement la voie lactée et les galaxies pour saisir l'évolution du cosmos et l'avenir de l'humanité. En conclusion, nos médias no-us empêchaient d'observer le réel par ce flou permanent qu'ils projetaient au fond de nos esprits pour ser-vir leurs propres intérêts. Avec une forte probabilité que nous ne vivions pas en 2018, mais en 8012, qui était le temps des médias en s'octroyant le rôle du maitre des horloges, Ah!Ah!Ah! Visiblement nous vivi-ons en ce moment une anomalie spatiotemporelle! Oui, je sais, une bien étrange littérature que je vous proposais là, mon cher lecteur, en sachant que toute littérature avant-gardiste était toujours incomprise par ses contemporains et la mienne tout particulièrement. Et bien malheureusement, car elle était une au-baine pour mes lecteurs abreuvés de mensonges par la littérature officielle ou commerciale vendue par l'intermédiaire des médias. Oui, je disais une aubaine en étant extrêmement clair dans mes explications, n'est-ce pas? Mais qui nécessitait de votre part un petit effort d'imagination en inclinant un peu la tête en dehors des médias qui produisaient une pollution visuelle et sonore nous empêchant de saisir le monde dans sa réalité.

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Bref, par un paradoxe que j'essayais de vous expliquer en employant une littérature avant-gardiste où l' information des médias nous éloignaient de jour en jour du monde réel! Mais qui ne pouvait tromper nos sens connectés en permanence au cosmos donc au réel. Où j'y voyais comme une grande horloge nous di-riger par le mouvement de ses galaxies avec le sentiment que l'horloge des Hommes était complètement détraquée en marquant une heure et une date erronées et sans savoir vraiment d'ou pouvait me venir cet étrange sentiment. Mais en tant que poète-musicien, je sentais un énorme décalage entre nous et le temps cosmique. Où il me semblait que toutes les aberrations ou anomalies dont nous étions témoins aujour-d'hui à travers nos médias( aussi bien climatiques que politiques) en étaient les preuves évidentes. Appa-remment, nous avions atteint des temps philosophiques les plus détestables pour l'humanité avec le capit-alisme et la fin des idées. En étant convaincu que le troisième millénaire ne pourrait être que métaph-ysique pour sauver le monde! Et je vous assure, mon cher lecteur, que ces temps bénis viendront pour l'humanité et ne sont qu'une question de temps que les prophètes ont toujours su prédire par leurs dons exceptionnels!

Puisque nous en sommes maintenant aux horloges et au mouvement circulaire des aiguilles autour d'un cadran, je vais essayer de vous expliquer pourquoi la Terre est ronde et pas carrée. Comme vous le savez très certainement, mon cher lecteur, la Terre tourne plus vite au niveau de l'équateur et moins vite quand nous montons ou descendons vers ses pôles. Ainsi nous pouvons en conclure sans nous tromper qu'à ses pôles la vitesse est nulle puisque la distance parcourue par la Terre est égale à zéro prouvée par la form-ule simplicime de V = D/T où D=0. Et par le fait d'une vitesse plus importante de la Terre au niveau de son équateur, les forces centrifuges produites sont plus élevées et ont tendance à élargir le diamètre de la Terre, mais comme elles sont fixes, le diamètre reste régulier et ne s'élargit pas à l'infini, bien évidemme-nt. Alors que si nous montons ou descendons vers les pôles, où la vitesse diminue, les forces cenrifuges diminuent et sont remplacées par des forces centripètes qui ont tendance à écraser les pôles d'où leur apl-atissement visible sur un globe terrestre. Ainsi voyons nous que la Terre est ronde et pas carrée grâce à ses forces centrifuges et centripètes qui la forment en sphère légèrement écrasée sur les pôles et non pas en un cube, CQFD.

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Comme vous le voyez, il est inutile d'avoir fait de grandes études scientifiques pour comprendre comme-nt les choses se forment grâce à nos intuitions et à nos sens que rien ne peut tromper quand on leur fait entièrement confiance. Toujours sur les mystères du cosmos et du mouvement de rotation de la Terre, j'ai l'intime conviction que celle-ci tourne grâce au moteur solaire en étant qu'un de ses rotors, comme on en voit dans tous les moteurs électriques. Bien évidemment, la rotation de la Terre se fait par un phén-omène d'induction magnétique grâce à ses matèriaux ferromagnétiques dont elle est composée en grand partie. Car voyez-vous, la lumière produite par le soleil est en vérité un champ électromagnétique qui no-us arrive sur la Terre à la vitesse de 300 000 km/s et produit, par un phénomène d'induction, le champ magnétique de la Terre lui permettant ainsi d'être entraîné par son moteur solaire qu'est le soleil! Je sais que c'est fou de simplicité ce que je raconte là! Mais il est fort possible que cela soit la vérité, car d'une simplicité déconcertante, n'est-ce pas? Ainsi, j'ai pu résoudre le mystère du système solaire que personne n'avait jusque là résolu sachant que toutes les planètes de notre système subissaient ce même phénomène d'induction magnétique produit par le soleil? C'était fort possible et dont la divulgation à toute l'huma-nité sur les réseaux sociaux sur Internet ne dépendra que de vous, mes chers lecteurs, j'en suis convaincu. En parlant des aurores boréales visibles depuis les pôles, il est fort possible que cela soit dû aux forces centripètes qui, produisant un écrasement de la couche atmosphérique, nous permettrait de les voir plus facilement sachant qu'elles ne sont que la manifestation visible du champ magnétique solaire interférant avec le champ magnétique terrestre où l'on assisterait à une sorte de danse amoureuse entre le soleil et la Terre? Très probablement car le maitre de la création est un poète dyonisaque. Et si nos peuples anciens voyaient dans les aurores boréales, comme une manifestation des dieux ou des forces divines, ils avaient entièrement raison. Car sans le soleil nous n'existerions pas, ni les créatures vivantes, ni les planètes dont la vie ne dépend que de son champ solaire : une force de création et de destruction qu'Icare avait malheu-reusement fait les frais, comme nous le savons tous.

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Bizarrement, quand j'observais notre jeune président Emmanuel Macron gesticuler dans les médias, je le voyais comme Icare en train de se brûler les ailes au contact du pouvoir, Ah!Ah!Ah! Et si en 2017, les planètes avaient été alignées par les médias pour lui assurer la victoire présidentielle( en assassinant poli-tiquement son principal rival, François Fillon), ce n'était pas anodin. Car ils voulaient caler leur horloge sur celle de Monsieur Macron en le désignant comme le maitre des horloges, souvenez-vous en! Et aujo-urd'hui, nous voyons bien que notre petit président novice élu grâce aux médias n'était pas en possession d'une véritable horloge digne de ce nom, mais d'un vulgaire minuteur pour faire au mieux des oeufs po-chés ou bien de la crème renversée et certainement pas de la vraie gastronomie que les Français attendaie-nt avec impatience de goûter, Ah!Ah!Ah!. Décidément, notre petit président était un piètre cuisinier sach-ant que son plat préféré( d'après les rumeurs) était les cordons bleus avec des nouilles au beurre! Bref, je crois qu'il fallait s'attendre à tout avec ce triste individu qui comptait nous mettre tous au régime Macro-nien, Ah!Ah!Ah! J'avais vraiment du mal à comprendre comment les Français avaient pu confier la grande cuisine française à un mauvais cuisinier, Ah!Ah!Ah! C'était pour moi comme une anomalie produite par la France-fiction. Sous entendu que Monsieur Macron avait seulement les compétences d'un serveur et non d'un vrai homme politique. Si j'avais véritablement les moyens médiatiques, je lui demanderais bien de traverser la rue pour trouver du travail dans une pizzeria ou dans une friterie qui serait, je pense, dans ses compétences et non de s'occuper du destin de la France, Ah!Ah!Ah!

Pour en revenir au réchauffement climatique( dont je vous ai donné l'explication par le fait incontestable que nous nous rapprochions insensiblement du soleil), il faut bien comprendre qu'en vidant les mines du monde entier de leurs matières précieuses et en les transportant vers les pays riches, situés à l'Ouest et au dessus de l'équateur, nous avions changé le centre de gravité de la Terre donc incliné son axe de rotation vers le soleil d'ou le réchauffement climatique ressenti, sans oublier de dire que la fonte des glaces aux pôles accentuait ce phénomène.

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Tout en concevant que la dérive des continents, révélée par Alfred Wegner en 1912, suive la dérive de la planète Terre vers le soleil où elle sera consumée dans plusieurs milliards d'années ou peut-être moins? Comme vous le voyez, mon cher lecteur, le génie ne se décrète pas, mais se prouve par une pensée claire et puissante comme je viens de vous le démontrer, n'est-ce pas? Mais en attendant que l'académie Suédo-ise me décerne le prix Nobel de physique pour ma découverte sensationnelle, je vais continuer en France à me battre contre une armée d'imbéciles, qui décidément ne veut pas reconnaître mon génie, parce qu' une armée de fonctionnaires qui pense avoir du génie, alors qu'elle n'en a aucun, Ah!Ah!Ah! Mais bon, laissons-la fantasmer sur ses grandes illusions qui précipiteront la France vers son misérable déclin dont l'anéantissement sera couronné par la fin du monde, Ah!Ah!Ah! Et continuons notre chemin en écoutant personne et certainement pas nos chers républicains atteints d'une dégénérescence mentale et intellectu-elle, comme nous l'avons dit à plusieurs reprises dans ce récit iconoclaste puisque écrit par un génie. En fait, je crois que je vais changer le titre de mon livre" Des fleurs pour mon enterrement" par " Le livre de la vérité" qui y mène tout droit, n'est-ce pas? Hier soir, j'ai reçu un message d'un physicien qui me disait qu'il ne croyait pas qu'avec un CAP de boucher, on puisse découvrir les lois de l'univers! Bien évidemm-ent, je lui ai répondu qu'il se trompait complètement sur ses informations. Car je n'étais titulaire d'aucun diplôme de boucher, mais d'electotechnicien que j'avais obtenu, il a bien longtemps, au lycée Diderot, cours général Giraud, que tous les lyonnais connaissent bien. Et qu'au lieu de harceler les génies, il ferait mieux de régler ses lunettes astronomiques et refaire ses calculs afin de vérifier ma théorie fracassante sur la dérive de notre planète vers le soleil! Mais je pense qu'il a très mal pris ma remarque, puisqu'il n'a pas voulu me répondre en m'apportant des arguments contraires à ce fait incontestable que nous nous rapprochions insensiblement du soleil par le réchauffement climatique ressenti. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, ma théorie que j'appellerai désormais par mon prénom, la théorie de PATRICK dépa-ssait largement celle de NEWTON vu son importance sur le destin de l'humanité, n'est-ce pas? En fait, je pense que mon physicien ne voulait pas que je remette en question la thèse des scientifiques qui nous affirmait que la Terre disparaîtrait quand le soleil s'éteindrait!

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Bien évidemment, ma thèse disait tout le contraire en affirmant que la Terre disparaîtrait consumée par le soleil quand elle s'en serait trop approchée, comme pour le cas d'Icare. Car nos scientifiques faisaient sa-ns le savoir une erreur de jeunesse en pensant que la Terre vivrait plus longtemps que le soleil et que no-us assisterions en tant que témoins, comme dans un film Hollywoodien, à l'extinction du soleil, Ah!Ah!Ah! Ce qui était pour moi complètement ridicule, car le soleil par ses dimensions colossales nous survi-vrait grâce à son énergie monumentale contenue dans son coeur qui lui assurait une longévité à laquelle nous ne pouvions rivaliser, CQFD. Car plus vous êtiez gros( je ne parlais pas en graisse, mais en masse) plus votre espérance de vie était importante sachant que votre rythme cardiaque était plus lent et se fati-guait moins vite en consommant moins d'energie, etc. Paradoxalement, si les femmes de masse moins importante que les hommes vivaient plus longtemps, c'est seulement parce qu'elles fumaient moins et bu-vaient moins que les hommes. Mais un écart qui pourrait vite disparaitre si les femmes se mettaient à imiter les hommes, comme on le voyait aujourd'hui. Bref, pour rester dans les hautes sphères de la vérité, je devinais que le rythme cardiaque du soleil était d'une extrème lenteur ainsi que son champ magnéti-que d'une très basse fréquence. Tout ceci était vérifiable dans la réalité en comparant l'espérance de vie d' une souris à celle d'un éléphant dont la première était d'une année avec un rythme cardiaque de 500 puls-ations par minute, alors que pour un éléphant, elle était de 70 ans avec un rythme cardiaque de 30 batte-ments par minutes, CQFD. En fait, ce que mon physicien n'arrivait pas à comprendre, c'est que je n' ess-ayais pas de lui expliquer comment la Terre tournait autour du soleil, mais pourquoi elle s'en approchait de jour en jour? Ce qui bien évidemment remettait en question toute la science depuis le 19 ème siècle! Mais bon, pourquoi nier les faits quand la réalité semblait nous le prouver, hum? Au bout du compte, j'inaugurais sans le savoir une nouvelle science qui serait celle de la vérité!

Pour parler plus terre à terre, j'ai vu aux actualités télévisées que la révolte des gilets jaunes s'était term- inée à Paris par un fiasco, parce que la population parisienne( qui était une population de bobos capitali-stes), avait refusé d'y participer, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'était pas une grande surpise pour moi, vu leur nive-au de vie et leur mépris flagrant pour les gens de province.

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Bref, un grand échec révolutionnaire qui m'a peu surpris en confirmant mes intuitions sur ce mouvement d'humeur de la population povinciale que j'avais comparé précedemment à la révolte des chapeaux poin-tus en 1640 suite à la hausse du prix des mandarines, Ah!Ah!Ah! Qui nous montrait, preuve à l'appui, que sans l'accord des parisiens et des parisiennes aucune révolution serait désormais possible en France, Ah!Ah!Ah! Car même si 1 million de provinciaux avaient pu rejoindre Paris, la révolte n'aurait pas fonct-ionné pour autant. En connaissant la mégalomanie des parisiens ainsi que leur mépris pour les gens de province où ils auraient provoqué des pannes monuemntales dans les gares ou bien dans le métro afin d' empêcher que les gens de province prennent le pouvoir à Paris, Ah!Ah!Ah! Sous entendu que Paris était leur proprièté personnelle et que seuls les parisiens avaient le droit de faire l'Histoire de France et non les ploucs de province, Ah!Ah!Ah! Oui, cela vous semble très caricatural ce que j'affirme là, mais la réalité semble nous le prouver, n'est-ce pas? En fait, ce que les gilets jaunes n'ont pas bien compris, c'est que les taxes sur les carburants et sur toutes les autres servaient à payer le salaire des fonctionnaires y compris celui de Monsieur Mélenchon qui était député et sénateur, Ah!Ah!Ah! Et si vous l'avez peu entendu du-rant ces derniers jours sur cette révolte des gilets jaunes( où il aurait pu faire son grain électoral), c'est bien évidemment pour cette raison, car il était un bandit comme les autres hommes politiques qui viva-ient sur le dos des Français, Ah!Ah!Ah! Il est possible aussi que son silence assourdissant dans les médias(alors qu'il aurait pu ouvrir sa grande gueule comme il le faisait d'habitude en profitant du désordre amb-iant) soit la conséquence des perquisitions faites par la justice à son domicile où elle aurait trouvé des pièces compromettantes le concernant (peut-être des photos à caractère pedophile ou des images où on le verrait en train de se faire défoncer le trou du cul par un gros barbu ou peut-être l'inverse ou en train de serrer la main à Ben Laden, à Carlos, à des terroristes?), Ceci n'étant que des suppositions, bien évidem-ment. Bref, il y avait de fortes chances que son silence assourdissant soit dû à la découverte par les auto-rités de l'Etat de ces photos compromettantes et lui feraient un chantage sordide en le menaçant de les publier dans les médias s'il ne fermait pas sa grande gueule, Ah!Ah!Ah! Bref, une extinction de voix de la part de Monsieur Mélenchon qui me semblait tout à fait logique s'il voulait garder son salaire exorbitant de député et de sénateur, Ah!Ah!Ah!

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Mais une vraie délivrance pour Monsieur Macron qui était devenu pour Monsieur Mélenchon sa tête de turc, Ah!Ah!Ah! Tout en restant un voyou de républicain, comme les autres, Ah!Ah!Ah! Car il faut bien comprendre, mon cher lecteur, que les grands gagnants de la république étaient les parisiens qui, bien évi-demment, n'allaient pas cracher dans la soupe républicaine. Puisque le destin de la France ne dépendait que de leur bon vouloir en assistant aujourd'hui à la dictature parisienne aussi bien par ses élites que par ses médias corrompus! Mes chers amis, lyonnais et provinciaux, n'avez-vous pas comme moi le sentime-nt d'être pris de haut par les parisiens? Mais d'où pouvait bien venir leur arrogance, sinon par leur posit-ion géographique située au Nord-centre de la France ou au fait aucune révolution ne se ferait sans leur accord? Mais qu'en pensaient au juste les gilets jaunes qui comptaient samedi prochain défiler sur les champs Elysées pour exprimer leur ras le bol du parisianisme et de ses excès de pouvoir à l'encontre des gens de la province? J'avais l'impression que Paris était devenue une citadelle du moyen-âge qui, s'élev-ant au dessus de la France, montrait ses forces aux chevaliers de la province récalcitrant au pouvoir tyranique du Roi, Macron, Ah!Ah!Ah! Bref, avions-nous affaire ici à une fronde ou bien aux prémices d'une révolution? je me demandais avec une grande inquiétude sachant que ces choses finissaient touj-ours dans un bain de sang. De toute évidence, la province ruinée par les impôts du Roi se levait contre la capitale, ce qui était pour moi une chose vieille comme le monde, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Où je voyais ici, dans le cadre de la république, une situation totalement inédite pour le peuple français qui était prêt à faire la révolution contre la révolution de 1789, Ah!Ah!Ah! C'est à dire une contre révolution qui, selon moi, n'avait aucun sens. Car je ne pensais pas que le peuple français veuille revenir à un régi-me aristocratique, mais peut-être à un système légitimiste lui permettant de remettre en place les vrais gens de valeur à la tête de la France et non plus ces imposteurs désignés par la république décadente! Il est un fait indéniable que nous assistions aujourd'hui au retour de la vérité en politique, après une suite d'aberrations produite par la vieille idéologie républicaine, que j'avais mentionné à maintes reprises dans mes écrits me prouvant que mes intuitions étaient justes. Pour revenir aux gilets jaunes, je dirais que leur révolution fonctionnera à Paris à la condition que les parisiens y participent, sinon ce sera un grand éch-ec. C'est ce que je pressens en ce moment, car ces derniers ont tant à perdre dans cette affaire, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, mes amis, faites toujours confiance à vos sens qui sont les seuls à vous me-ner vers la vérité et non à l'intellectualisme du 19 ème siècle des lumières qui était devenu un vieux gre-nier plein de poussière et de toiles d'araignées, Ah!Ah!Ah!

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Et si Paris était devenue la ville la plus riche de France, c'était guère étonnant, mon cher citoyen, habillé de guenilles, Ah!Ah!Ah! Car d'après les chiffres officiels, elle possèdait le plus gros PIB par habitant soit 80000 €. Alors que dans le Nord-Pas-de-Calais, une région les plus pauvres de France, son PIB était de 32000€. Y'avait pas photo, n'est-ce pas? Décidément, une richesse honteusement gagnée en appauvriss-ant toutes les provinces de France, tel était le constat sans appel que je faisais sur la ville de Paris et sur ses habitants qui étaient devenus les fossoyeurs de la France en s'accaparant toutes ses richesses aussi bien intellectuelles, artistiques, matérielles etc. Et en quelques siècles, en ponctionnant dans toutes les régions de France ses éléments les plus ambitieux( mais pas forcément les plus géniaux ou les plus intell-igents), elle était arrivée à créer une élite, non pas au service de la France, mais au service de la ville de Paris tel qu'on pouvait le voir aujourd'hui où elle n'écoutait plus le peuple de France, mais seulement les désirs des bobo-écolo-parisiens, Ah!Ah!Ah! En considérant que l'arrivée au pouvoir de Monsieur Macron soit le symbole de cet impérialisme parisien qui, sans l'accord des parisiens, la mayonnaise révolutonnai-ire des giilets jaunes ne prendra jamais, Ah!Ah!Ah! Ce n'était pas un sentiment de défaite que j'exprimais ici, mon cher lecteur, mais une analyse très lucide sur la France d'aujourd'hui en ne prenant position ni pour l'un ni pour l'autre. En sachant intimement que la France suivait son inexorable déclin depuis la révolution de 1789 et que les grands perdants ne seraient pas nos gilets jaunes ou nos élites, mais la Fr-ance toute entière! Bien évidemment, comme tous le monde, j'ai écouté les analyses des journalistes sur le mouvement des gilets jaunes que j'ai trouvé complètement erronées. Car visiblement, ils soutenaient l'impérialisme parisien dont ils faisaient parties en s'insurgeant contre des voyous qui avaient saccagé leur belle avenue des champs Elysées, Ah!Ah!Ah! Oh les pauvres petits bourgeois! m'écriai-je devant mon poste de télé ou je faillis bien lâcher quelques larmes, non pas de tristesse, mais de pitié pour ces petits journalistes sans cervelles. En fait, ce qu'ils n'arrivaient pas à comprendre ces petits imbéciles de journalistes pour faire une bonne analyse des évènements, c'est qu'il ne fallait pas être collé aux événe-ments pour bien les décrire. Mais prendre du recul ni trop proche ni trop éloigné. Car imaginez-vous, mon cher lecteur, vos yeux collés a un centimètre d'un verre d'eau, je vous assure que vous ne verrez pas la forme du verre d'eau, mais un morceau de verre qui ne vous renseignera pas sur la forme de l'objet. C'est bien pour cette raison que leurs analyses sont souvent fausses. Mais il faut dire que lancer des men-songes au peuple français fait partie de leur gagne pain quotidien qu'ils considèrent comme une mission biblique, encouragée grandement par la république décadente. Bref, à quand l'arrivée du vrai messie, après avoir souffert la tyrannie du faux messie Saint-Macron? Ah!Ah!Ah!

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Visiblement, nous vivions dans un monde fait d'anomalies transdimensionnelles : où le travail ne payait plus où les génies n'arrivaient plus à publier leurs oeuvres pour changer l'humanité où les médias avaient instauré une dictature du public pour désigner leurs pseudo-artistes, penseurs et hommes politiques dans le contexte d'un réchauffement climatique et de nos humeurs, cela va de soi. Nous prouvant que la Terre se rapprochait du soleil où le Groenland, par la fonte des glaces, redeviendrait à l'avenir une terre verte dont les Inuits décrivaient la beauté dans leurs contes ancestraux comme un retour vers leur bonheur originel. Et par toutes ces transformations spaciotemporelles, il m'a semblé utile de redessiner la carte de France dans le bon sens où, apparemment, les Français marchaient sur la tête, Ah!Ah!Ah!

Comme vous le voyez, mon cher lecteur, ma nouvelle carte de France ne fera certainement pas plaisir à tout le monde et tout particulièrement aux géographes, Ah!Ah!Ah! Car il faut qu'ils acceptent que le bouleversement géo-climato-politique auquel on assiste aujourd'hui( non pas seulement en France) bou-leversera complètement les choses en faisant des gagnants et des perdants. En considérant que des régions vont se retrouver dans le sud, alors que d'autres dans les brumes du nord, ce qui n'est pas tres agréable, je vous l'assure. Pour entrer plus en détail dans cette nouvelle configuration de la France, que j'ai établie pour les temps à venir, j'ai placé l'Alsace aux bords de la mer atlantique. Ce qui à mon avis est une cha-nce formidable pour les Alsaciens de pouvoir enfin s'éloigner des teutons Allemands qui les avaient tant martyrisé par le passé, Ah!Ah!Ah! Bon, puisque l'Histoire changeait sous nos yeux( grâce à ce grand bou-leversement géo-climato-politique qui ouvrait de nouveaux horizons aux régions anciennement enclav-ées) j'ai placé la région Provence-Alpes-Côte d'Azur sur les côtes de la Manche! Ce qui, je pense, fera le bonheur de tous les Anglais de pouvoir enfin aller sur la cote d'azur, non plus en traversant la France en-tière, mais seulement le channel, Ah!Ah!Ah! Sans oublier de dire qu'ils seront aussi très heureux de voir la jungle de Calais se déplacer sur la côte Méditérranéenne où les africains pourront être renvoyés dans leurs pays avec un minimum de frais pour tout le monde, je vous l'assure. Décidément, ma nouvelle carte de France offrait de formidables perspectives d'avenir aussi bien à nos régions qu'à tous les pays europ-éens, n'est-ce pas? En fait, ce que je vous révélais ici, mon cher lecteur, c'était de la bombe que même les parisiens ne remettraient pas en question, puisque Paris se retrouverait au sud de la France! Une fois de plus, on remarquait sur ma carte du nouveau monde que les grands gagnants de ce bouleversement géo-climato-politique seraient une nouvelle fois les parisiens en se trouvant seulement à une heure de voiture de la mer Méditerranée. C'est fou, quand on avait du génie, de voir les choses redevenir simples au point de faire frissonner de terreur nos pseudo-intellectuels parisiens, Ah!Ah!Ah!

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Bien évidemment, j'aurais pu aussi vous parler de la Bretagne en Méditerranée et du Pas-de-Calais dans les bouches du Rhône ainsi que de la région Rhône-Alpes aux bords de l'atlantique qui pourrait dissiper toutes ses fumées toxiques issues de son couloir de la chimie en haute mer, comme on peut le voir sur la carte. Mais prenons un peu plus de hauteur et allons au fin fond du cosmos pour assister à l'apparition surnaturelle, sur nos chaines de télévision, d'un OVNI appelé Emmanuel Macron, Ah!Ah!Ah! Avec l'imp-ression de regarder un nouvel épisode de Star Wars où notre jeune président de l'alliance des républiques galactiques ne nous parlait plus de la Terre, mais de la planète Jupiter où il s'était réfugié pour éviter les puissants rayons lazers du peuple GJ ou gilets jaunes très en colère, Ah!Ah!Ah! Vu son air très pâlot, il me donnait l'impression de n'être pas bien dans son assiette où très mal installé dans sa soucoupe vola-nte qui vacillait sévèrement de la droite vers la gauche de l'univers politique, Ah!Ah!Ah! Et je me dema-ndais avec raison, si cela n'était pas dû au décalage spatiotemporel de son discours envoyé en différé ou parce qu'il parlait à travers un prompteur qui lui donnait un air absent et sans âme? Avec le sentiment qu' il n'était pas sur Terre, mais nous donnait un cours de théâtre enseigné par son professeure émérite : Bri-gitte Macron, Ah!Ah!Ah! Mais alors qu'elle mauvaise prestation théâtrale, mes chers amis! Il est vrai que le roi Macron cédait aux doléances du peuple des gilets jaunes( non par bon coeur, mais parce qu'il y était forcé) en leur faisant l'aumône d'un billet de 100 balles pour tous les smicards et de 60 balles pour tous les retraités qui gagnaient moins de 2000€. Bref, le roi achetait une fois de plus la paix sociale pour garder le pouvoir, Ah!Ah!Ah! Ce qui, au bout du compte, n'était pas une chose bien nouvelle en politi-que, mais qu'une entourloupe digne des hommes politiques. Car les employeurs, pour ne pas payer les 100 € à leurs smicards allaient augmenter leurs salaires de dix centimes pour les sortir du cadre légal du smic. Sans oublier de dire que les gens qui gagnaient en dessous du smic n'auraient droit à rien! Bref, c'était la France toute crachée qui n'arrivait à rien, parce que premièrement, nous avions de piètres hom-mes politiques produits par la répubique décadente (où les fins de series étaient défectueuses à cause d' une machine obsolète et hyper usée) et deuxièmement, parce que les Français deseperement attendaient tout de l'Etat en ne prenant aucune initiative personnelle pour améliorer leur niveau vie ou entreprendre pour crèer des emplois.  

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En fait, tous les deux étaient responsables en trouvant abjecte le coût d'une campagne présidentielle s'élevant à 10 millions d'euros voir 20 millions avec Monsieur Sarkozy pour produire de si piètres hom-mes politiques et bien sûr aux frais du contribuable lors du remboursement des frais de campagnes, Ah!Ah!Ah! Sincèrement, donnez-les plutôt à un chef d'entreprise, qui j'en suis sûr fera baisser le nombre de chômeurs. Alors que les hommes politiques détruiront à la longue l'économie de votre pays où leur poli-tique était une funeste entreprise de destruction massive. Mais à quand les gilets rouges et les gilets kak-is? Ah!Ah!Ah! En fait, pour être intelligent, il faudrait laisser le destin de la France aux créateurs et non aux accaparateurs de richesses que sont les hommes politiques et les fonctionnaires. En fait, depuis le dé-but de mon récit extraordinaire, j'avais l'impression de décrire la fin de la civilisation française enclench-ée en 1789 par nos fossoyeurs républicains! Je sais bien qu'il est dure d'entendre la vérité pour les Franç-ais. Mais il faut qu'ils sachent bien qu'une erreur du passé peut toujours être réparée, quand on a gardé un peu d'intelligence en soi et non plus se comporter d'une façon butée, comme nos hommes politiques et nos fonctionnaires. Oui, il est vrai que les temps ont changé, mais dont les médias, au service du pouvoir en place, ne veulent pas parler par la crainte de dire la vérité aux Français. Ce qui au bout du compte àv-ait peu d'importance. Car grâce à Internet, nous avions accès désormais à la vérité dont je faisais partie, bien évidemment. En parcourant tout ce que j'avais écrit dans mon livre prophétique "Des fleurs pour mon enterrement", j'avais le sentiment d'être un grand historien décrivant le déclin de la civilisation fran-çaise tel que Cicéron au temps de la chute de l'empire romain. De ce constat évident et sans appel, il faut comprendre, que mes écrits sont de hautes importances( puisque non publiés officiellement pour des rai-sons politiques), mais qu'on découvrira un jour comme des documents inestimables pour comprendre la chute de la civilisation française. En sachant bien que les intellectuels et les historiens officiels n'avaient pas fait correctement leur travail en camouflant la vérité pour maintenir leur train de vie de petits bour-geois! Oui, je peux comprendre aussi l'egoïsme de tous ces gens pour leur petit confort intellectuel, ma-tériel ou autres prestiges médiatiques ou universitaires, car je connais bien la nature humaine. Mais il faut comprendre aujourd'hui qu'il est temps pour nous de laisser le destin de la France aux créateurs et non plus aux réplicateurs du passé afin de faire rebondir la France vers une autre civilisation où vous et moi seront peut-être les nouveaux acteurs?

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N'entendez-vous pas, à travers le mouvement des gilets jaunes, comme une soif immense de revenir à la vraie démocratie que notre monarchie républicaine française avait sournoisement enterré dans le passé pour usurper le pouvoir au peuple ou bien essayaient-ils de rajeunir cette très vieille dame qu'on appell-ait la démocratie? Ah!Ah!Ah! Car tout compte fait, celle-ci n'était pas de première jeunesse, mais âgée environ de 2500 ans et datant de la république Athénienne. Et je me demandais en toute lucidité, si ce n' était pas une cause perdue d'avance pour les gilets jaunes ou bien comptaient-ils la maquiller d'un beau fare pour lui redonner un semblant de jeunesse? Telle était l'étrange question que je me posais sur leur funeste pojet de vouloir exhumer le corps de cette très vieille dame pour lui redonner la vie, Ah!Ah!Ah! J'ai même entendu, à travers les propos de certains gilets jaunes, qu'ils voulaient faire appel au docteur Frankenstein pour la ressusciter, Ah!Ah!Ah! Alors que d'autres, non moins fous, voulaient établir des referendums tous les quinze jours pour que le peuple décide s'il était d'accord ou pas sur les nouvelles lois proposées par un gouvernement qu'ils avaient élu, il faut le préciser, démocratiquement! Décidém-ent, en France, nous vivions dans un pays de fous où tous le monde voulait avoir son mot à dire sur le destin de la France et pourquoi pas demander une paire de couilles supplémentaire pour niquer sa petite copine par devant et par derrière? Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas, un chien jaune, à cinq pattes, un chat bleu, fluorescent, tricolore dans cette démocratie ou tout était désormais possible? En fait, pour dire clairem-ent les choses, nos gilets jaunes voulaient réinventer la démocratie, comme s'ils voulaient réinventer le fil à couper le beurre ou la roue qui avait 65000 ans, ce qui était pour moi d'une totale absurdité, Ah!Ah!Ah! Car c'était comme revenir en arrière et demander au peuple d'exprimer à nouveau ses exigences qui entre nous étaient monstrueuses vu la disparité de ses êtres et de ses besoins, n'est-ce pas? Comme dans ce mouvement des gilets jaunes qui n'arrivait pas à se mettre d'accord pour trouver un porte parole en exprimant un brouhaha inextricable où l'on n'y comprenait rien. Mais une chose tout à fait logique, n'est-ce pas? Sincèrement, je plaignais beaucoup Monsieur Macron de se trouver devant une telle situation où une masse de gens voulait refaire le monde chacun à sa façon, Ah!Ah!Ah! Pour moi, c'était le signe évi-dent de la chute imminente de la république française et, disons-le clairement, de la civilisation française que j'avais prévue, il y a fort longtemps. Et que le référendum d'initiative citoyenne, demandé par les gi-lets jaunes, avait comme l'avant goût du Frexit. Bref, ce que nos monarques républicains n'accepterons jamais, bien évidemment.

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Apparemment, Monsieur Macron avait ouvert la boite de Pandore où tout le monde allait faire sa petite demande d'augmentation de salaire et vider les caisses de l'Etat! Au point que les fonctionnaires de poli-ce, grâce aux gilets jaunes, avaient pu obtenir une augmentation de 120 euros par mois, alors qu'ils avai-ent reçu de leur part de gros pavés sur le crâne, Ah!Ah!Ah! Merci les gilets jaunes, pourraient-ils dire sa-ns aucune honte, puisque leur contribution avait été payante! Décidément dans cette France, où tout mar-chait à l'envers, les anomalies faisaient parties désormais de notre vie quotidienne. Mais juste ciel à qua-nd la grande réconciliation et les grandes embrassades sur les Champs Elysées entre les gilets bleus et les gilets jaunes? je me demandais d'une manière stupéfiante. C'est dire un spectacle extraordinaire que nous attendions tous de voir devant notre poste de télé, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais une chose qui me semblait tout à fait possible dans cette France-fiction où tous les imposteurs étaient désormais la risée du peuple français et du monde entier, Ah!Ah!Ah!. Et j'imaginais sans aucun mal, le grand éclat de rire des Italiens et de Donald Trump pour notre petit président français, qui s'était pris pour un grand homme en leur faisant la morale sur le populisme facile. Apparemment, Monsieur Macron n'avait rien compris à la politique, parce qu'il n'y connaissait rien a rien, il faut le dire. En fait, pour être honnête avec soi-même, il ne fallait jamais surestimer son intelligence que notre président avait en faible quantité pour avoir ga-gné les élections les doigts dans le nez grâce aux médias et au Canard Enchaîné. Il parait même qu'Angela Merkel lui avait envoyé une lettre de rupture pour lui signifier sa tromperie intellectuelle! A vrai dire, l' intelligence ne s' inventait pas et n'était pas, comme on aurait pu le croire, une prothèse artificielle fabri-quée par la science, la connaissance ou l'argent, mais qu'elle était innée et donnée gratuitement par la na-ture. C'est bien pour cette raison, mon cher lecteur, que je ne croyais pas à l'intelligence artificielle dont on nous cassait les oreilles tous les jours dans les médias. Mais une chose qui pourrait donner beaucoup d'effrois à notre classe bourgeoise dont le principal levier était l'argent pour assurer sa propre réussite et non celle de la France, Ah!Ah!Ah! Apparemment, la France était devenue pour elle qu'un simple piédestal pour s'élever socialement et s'enrichir grassement. En fait, deux éléments incompatibles qui rendaient nos élites complètement idiotes en croyant pouvoir usurper l'intelligence des gens exceptionnels. Mon dieu, quelle grande illusion, le mensonge intellectuel! Au point que la France s'enfonçait chaque jour au fond de son cercueil aménagé avec soin par sa classe bourgeoise qui était devenue ses fossoyeurs "grand luxe". Pour dire simplement les choses, j'ai toujours pensé que les grands hommes entraient par la petite porte de l'Histoire et sortaient par la grande porte, Ah!Ah!Ah!

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Ce qui était tout le contraire de Monsieur Macron, n'est-ce pas? A ce propos, j'ai demandé à mon chien Einstein( qui avait un QI de 180) de ce qu'il en pensait de notre petit président. Bref, remuant un instant la queue, comme si son intelligence s'y trouvait logée, il me dit: Tu sais, Patou, moi j'aime bien, Monsie-ur Macron, car il a un nom de boite d'aliments pour chiens, Youha, Youha! Ce qui me fit aussitôt éclater de rire en sachant qu'une boite de Macron sonnait aussi bien qu'une boite de Canigou, Ah!Ah!Ah! Bref, surpris une nouvelle fois par son extrême intelligence, je lui dis : Tu sais, fidèle compagnon, si Macron décide de se recycler après son quinquennat raté dans l'alimentation pour chiens et chats, j'irais t'acheter avec grand plaisir a l'épicerie du coin une boite de Macron. Puis salivant sur ce futur repas présidentiel et glapissant de joie, il me dit : Tu sais, Patou, au bout du compte n'importe quel imbécile pourrait donner 100 € à tous les smicards si ce n'était pas son argent personnel, Youha, Youha! Tout à fait d'accord avec toi, Einstein, je lui dis, en pensant à mon voisin qui avec deux neurones dans la tête aurait pu le faire av-ec brio, Ah!Ah!Ah! En fait, j'étais convaincu que la classe bourgeoise, en excluant tous les génies de la vie sociale, politique, économique, intellectuelle et artistique, avait levé contre elle les foudres de dieu et de la nature! C'est à dire, un phénomène désormais visible à l'echelle planètaire où tout se dégradait à une vitesse effrayante, non pas seulement à cause des gilets jaunes, mais aussi à cause du vampirisme des mé-dias et des GAFA qui étaient les grandes dévoreuses. En fait, une association de malfaiteurs agrémentée par le capitalisme mondial dont le but était de détruire nos nations et leurs cultures pour des intérêts d' enrichissements personnels. Je vous assure, mon cher lecteur, que je n'inventais rien et disais bien la vér-ité où tout cela était désormais visible sous nos yeux, n'est-ce pas? Avec le sentiment que seules la Rus-sie et la Chine soient conscients de ce complot mondial en faisant des efforts monumentaux pour com-battre ce fléau dont le but était la destruction du monde. Et qu'il était fort possible, en ces jours très som-bres pour l'humanité, que la Russie et la Chine soient devenues les prophètes de demain, mais que nos petits occidentaux rejetteront, bien évidemment, pour défendre leurs intérêts égoïstes. Pour clore ce cha-pitre, cette nuit, j'ai fait une rêve étrange où je visitais, en compagnie d'un groupe de personnes, un lieu d'une extraordinaire clarté! Et sans me prendre pour un dieu ou un élu, j'avais l'impression de visiter le paradis blanc pour des raisons bien mystèrieuses.

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Sans avoir aucun sentiment de claustrophobie malgré qu'aucune fenêtre ne donnait sur l'extérieur, mais nous offrait des murs blancs lumineux qui me semblaient plein de vie! J'avais l'impression que Celui qui nous faisait la Visite était Dieu lui-même! Mais je ne dirais pas pour autant qu'il était un homme ou une femme, car il n'avait aucun visage, mais une belle voix. Sans vous cacher, mon cher lecteur, depuis quel-ques temps que je ressentais au fond de moi, comme une joie immense dont j'ignorais l'origine, car je n' avais ni gagné au loto ni reçu des messages de sympathie de la part de mes semblables, Ah!Ah!Ah! Mais en faisant entièrement confiance à mon génie, qui était mon plus fidèle ami, je compris aussitôt que ces deux événements étaient liés et que cette invitation au paradis par Dieu avait comme but de m'annoncer la reconciliation entre mon père et ma mère dans l'au-delà! Car il ne faut pas oublier de vous dire que mon père de son vivant avait fait de la vie de ma mère, un vrai enfer! Bref, une bonne nouvelle que je m' empressais d'annoncer à mes frères et soeurs qui ne pourront être qu' heureux de l'apprendre à l'approche des fêtes de noël. Ah, décidément, qu'il était bon d'avoir du génie pour annoncer au sien et à ses sembla-bles des nouvelles d'ordres prophétiques! Hier soir, j'ai fait un nouveau rêve qui se passait, apparemment en Amérique, où je vis un jeune homme s'approcher de sa maison natale avec toutes les peines du monde, comme si elle lui rappelait de tres mauvais souvenirs. Pourtant avec un peu de courage, il aurait pu y en-trer pour aller embrasser son père et sa mère qui y vivaient toujours. Mais étrangement, il ne bougea pas d'un poil de sa cachette d'où il observait à distance sa maison, comme s'il regardait la maison du diable! Puis soudainement, sans s'y attendre, il vit sa mère sortir sur le seuil de la maison (comme si elle avait senti sa présence) et lui crier d'une manière suppliante : Jack, reviens, on t'aime! Mais étrangement, le je-une homme, ému jusqu'aux larmes d'entendre sa mère prononcer ces mots( qu'il estimait arriver un peu trop tard) repartit au fond de la forêt pour noyer son chagrin. Était-ce ma vie que je vous racontais là, mon cher lecteur, d'une manière impudique ou bien la vision que je m'en faisais en ce début de l'hiver où l'amour devenait une denrée rare? Apparemment, je déprimais sévèrement par un manque réel d'amour de mes semblables et malgré l'amour que je leur déversais en grande quantité à travers mes oeuvres. Et je me demandais, non sans raison, si l'humanité était digne de recevoir notre amour en n'en recevant aucune miette de sa part? Vivions nous alors une époque de haut narcissisme où l'amour était en voie de dispa-rition et remplacé par l'amour de l'argent? je me demandais cruellement en consultant mon rêve où le message était une évidence.

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Faut dire aussi depuis quelques temps dans mon café habituel que je n'arrivais plus à parler à un seul être humain! Avec l'étrange sensation de m'adresser à des statuts sociaux, à des pouvoirs d'achats ou à des pr-ofessionnels du machin-truc, Ah!Ah!Ah! En me demandant, avec inquiétude, mais où était donc passée l' Humanité? Avait-elle été kidnappée par des extraterrestres inconnus jusque là par nos astronomes ou bi-en assistais-je impuissant à sa disparition imminente pour des raisons mystérieuses ou avais-je été trop naïf depuis ma naissance de croire que l'Humanité put exister? Voilà dans quel état d'ébranlement se tro-uvait mon âme où mon intelligence était au bord d'un abîme monstrueux. Où j'entendais ma nature héro-ïque remuer ses armes pour aller la sauver, car tout le monde en parlait comme d'une chose inestimable. En vous avouant sans honte que le but de mon site Internet était de pouvoir rencontrer cette belle Huma-nité que tout le monde décrivait comme un joyau afin de dialoguer avec elle en lui offrant en toute gratu-ité mes oeuvres littéraires, poétiques, musicales, bref, ma vie. Mais bizarrement, après avoir passé de très nombreuses années à ses côtés à prendre soin d'elle et à lui demander de ses nouvelles, je faisais l'amère constat qu'elle ne m'avait jamais montré la moindre attention ou exprimé le moindre sentiment de symp-athie, comme si elle n'avait rien à foutre du grand amour que je lui portais, Ah!Ah!Ah! C'était bien évi-demment pour moi de la haute trahison, car je n'attendais pas d'elle forcément la célébrité( comme nos vedettes hystériques de la télé ou nos youtubers), mais seulement un peu de reconnaissance. Mais visible-ment, c'était encore trop lui demander vu la grande indifférence qu'elle me montrait depuis de ces très nombreuses années où elle aurait pu faire un petit effort, tout de même! Mais bon, l'amour n'était pas son fort, mais plutôt l'avarisme, malheureusement. En fait, pour être franc avec vous, je dirais que l'Humani-té ne méritait pas notre respect parce que tout bêtement elle n'existait pas! Tel était le rude constat que je faisais à travers mon site internet où à aucun moment, elle m' avait prouvé son existence, mais montré un vide sidéral! Bref, une révélation que tout le monde devrait prendre en considération pour être enfin dans le vrai et non dans le mensonge. Car au bout du compte, elle n'était qu'une somme d'individus indiffére-nts au sort des autres ou si vous voulez un ensemble de coeurs vides, Ah!Ah!Ah! C'est bien pour cette raison que je n'accuserais pas à tort, mon cher lecteur, d'être un monstre sans coeur, car il ne sait pas lui-même que son coeur est vide!

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Car Dieu seul pouvait remplir son coeur d'amour et non son semblable qui nous enviait toutes nos riche-sses, Ah!Ah!Ah! Et si je donnais tant d'amour à mes lecteurs en toute gratuité, c'est parce que je passais par le truchement de Dieu et jamais par celui des Hommes dont le cœur était vide et plein de convoitises. Et c'est seulement à travers le miroir de Dieu que nous nous aimons et jamais à travers celui des Hom-mes qui n'offrait aucun reflet, mais un vide sidéral. Car en regardant dans le miroir de Dieu, vous n'aper-cevrez pas son visage( car il n'en a aucun), mais vous verrez le vôtre qui est celui de votre semblable. C'est bien pour cette raison que je plaignais beaucoup l'Homme moderne soi-disant libre et heureux de vivre sans l'existence de Dieu en étant une grande illusion ou une belle supercherie. Au bout du compte, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même et à ma très grande naïveté d'avoir cru que l'Humanité puisse être digne d'amour, car Dieu seul reliait les Hommes entre eux et non les Hommes. Une sacrée découver-te que je faisais là! m'écriai-je comme si je venais de faire la preuve par 9 de l'existence de Dieu, Ah!Ah!Ah! En fait, nos grands génies n'étaient pas nos grands humanistes laïques, mais nos grands prêtres mon-othéistes qui savaient en toute honnêteté que l'Humanité ne pouvait exister sans l'existence de ce grand miroir que Dieu nous tendait pour s'aimer. Bizarrement, quand je regardais le miroir des médias, je n'y apercevais pas l'Humanité, dont nous parlions, mais des zombies, Ah!Ah!Ah! Bref,  des corps, des têtes et des comportements horriblement déformés par leur miroir. En signalant au lecteur que les médias avaient créé un miroir artificiel grâce à la technologie pour concurrencer le miroir de Dieu. Afin de créer une humanité artificielle qu'on appelle le public à des fins politiques et économiques, bien évidemment. Et si vous vouliez renouer une vraie relation avec l'Humanité, il ne fallait surtout pas regarder la télévision( qui génerait en nous de la jalousie, convoitise, haine et frustration par son miroir déformant), mais aller dans votre rue discuter avec les gens en toute simplicité! A ce sujet, j'ai demandé, il y a une semaine, à ma voisine qui vit seule avec son chien, ce qu'elle pensait de cette humanité déformée par la télé et le cinéma. Oh croyez-moi, Patrick, me dit-elle en levant les bras au ciel, il y a plus d'humanité dans le reg-ard de mon chien que dans celui des stars de la télé, Ah!Ah!Ah! Bref, je crois que tout est dit, n'est-ce pas? Visiblement, j'avais échoué ma mission de m'approcher de l'Humanité en utilisant mon site Internet comme un véhicule extraordinaire, alors qu'il n'était en vérité qu'un outil technologique fabriqué par la science des Hommes.

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En fait, ma grande erreur fut de croire que je pouvais m'adresser directement à ELLE sans passer par le miroir métaphysique de Dieu! En constatant amèrement que je m'étais adressé durant dix longues années à une pseudo-humanité issue des écrans numériques, Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, mon cher lect-eur, je tenais beaucoup à cette notion de miroir qui dans le cas de Dieu était un miroir métaphysique et un miroir physique pour les Hommes. De ce fait, le miroir des Hommes était imparfait puisque déform-ant horriblement notre Humanité. Alors que celui de Dieu était parfait, puisque générant en nous aucune haine, jalousie, convoitise, mais une réelle harmonie entre nous. Visiblement, les médias allaient devenir pour nos temps futurs le grand Satan et tous leurs amis les apôtres du diable, Ah!Ah!Ah! Telle était ma prophétie en ce 3 Janvier 2019. En fait, depuis mon grand échec( où j'avais cru un peu naïvement accéder à l'humanité par l'intermédiaire de mon site Internet), j'avais l'étrange impression de ressembler au mythe d'Icare et à cet homme complètement fou qui s'était fabriqué des ailes pour s'approcher du soleil! Et si nous connaissions tous sa fin tragique( en se brûlant les ailes à son contact), je me demandais bizarrem-ent si j'avais toujours mes ailes sur le dos en sachant qu'une bonne partie de mes illusions était partie en fumée, Ah!Ah!Ah! Mais en regardant derriere moi, j'eus l'heureuse surprise de les voir apparaître solide-ment accrochées à mon dos! Et malgré qu'elles aient prises un peu de plomb dans l'aile, je les sentais battre à nouveau sous l'impulsion de mes désirs. Visiblement, j'avais survécu à l'imposture des Hommes pour saisir la vérité de Dieu. Où se posait ici le véritable problème existentiel à l'humanité avec tous ses paradoxes, n'est-ce pas? Bref, vivre dans l'artifice de la technologie ou vivre réellement, telle était la rude question que je me posais en ce début d'année 2019. Et puis entre nous, mes amis, à quand la fin du spec-tacle débile produit par les médias et les hommes politiques? Ah!Ah!Ah! Car il devenait évident pour nous tous, quand nous aurons épuisé tous nos rêves artificiels, qu'il faudra bien passer à autre chose, n' est-ce pas? Et pourquoi pas à l'essentiel? A ce propos, ce matin, en écoutant BFM radio( la radio des im-béciles qui rêvaient de devenir milliardaires, Ah!Ah!Ah!), j'ai appris une excellente nouvelle sur les cours de la bourse qui avaient sévèrement dégringolé en cette fin d'année 2018 ainsi que les actions d'Apple qui avaient perdu plus de 32%! Ah voilà d'excellentes nouvelles qui ne pouvaient que nous réjouir en ce dé-but 2019 où l'économie réelle semblait comme reprendre du poil de la bête, n'est-ce pas? A propos des spéculateurs, j'imaginais avec facilité leur nuit du réveillon qui avait dû être un vrai cauchemar en devant enlever (devant tout le monde) leurs costumes de carnaval ainsi que leurs masques d' escrocs!

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En comprenant bien qu'une chute de 32% de la valeur de vos actions représentait une perte de 32% de votre fortune! Bref, un drame pour l'Amérique et le capitalisme, n'est-ce pas? Pourtant ceci n'était que de l'économie virtuelle où la technologie numérique ne produisait aucune économie réelle ni de valeurs transcendales pour l'Humanité. Ce qui pourrait choquer notre entendement, mais c'était pourtant la véri-té, quand on voyait le vaisseau futuriste partir à la dérive vers des galaxies inconnues. Sans oublier les paroles de nos sages tibétains qui disaient que le voyage est un éternel retour vers l'essentitel! Et si vous vous êtes égarés au cours de votre voyage, cela veut dire que celui-ci vous menait fatalement vers une impasse. n'est-ce pas? Personnellement, j'ai toujours pensé que le voyage futuriste ou technologique était une impasse pour nous tous, tel qu'on pouvait le voir aujourd'hui à travers nos Iphones, nos médias hyst-ériques et nos films catastrophes. Inconsciemment, il semblerait que nous attendions tous la fin du mon-de pour pouvoir enfin sortir de notre petite vie étriquée, Ah!Ah!Ah! Bref, arrêtons-nous, mes amis, de cr-oire que l'Economie c'est tout et commençons vraiment à vivre! Car je suis convaincu que notre Huma-nité se trouve au bout de ce chemin qui est notre retour aux choses essentielles, n'est-ce pas? Une chose importante à vos signaler, mon cher lecteur, je remarque depuis quelques jours qu'il m'arrive des choses anormales où j'entends des voix dans ma tête me dire (non sans mépris): Monsieur, je ne vous aime pas, parce que personne ne vous aime! Sans oublier, ces hallucinations visuelles où hier après-midi, en sortant dans ma rue, j'ai rencontré un moustique qui m'a demandé pourquoi je ne prenais plus de ses nouvelles? Bien évdemment, vous comprendrez pourquoi je n'ai pas voulu répondre à sa provocation! Pour complé-ter ce tableau déjà très sombre, tous les soirs pendant ma promenade, j'assiste dans ma rue à un débarque-ment de migrants qui sortent des égouts pour envahir mon quartier! Mais le plus étrange pour moi, quand je les croise, c'est qu'ils n'ont pas de visages, mais ressemblent à des fantômes! Etrange, non? Personnell-ement, je ne sais pas si dans mon quartier se dessine un trafic de clandestins. Mais si vous êtes curieux de nature, venez le soir entre la rue du mail et la rue du chariot d'or et vous verrez un étrange manège sortir directement de la magie noire. Bref, le monde tel qu'il est aujourd'hui avec ces anomalies transdimensio-nnelles. Toujours sur le même sujet, n'avez vous pas l'impression, mon cher lecteur, en regardant la télé-vision d'assister au succès des autres sans votre accord en devant avaler des couleuvres et que cela vous plaise ou non? Ah!Ah!Ah!

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Encore plus fort, n'avez-vous pas l'impression de devoir assumer vos échecs, qui ne sont pas de votre res-ponsabilité, mais des médias qui avaient monopolisé la réussite? Ah!Ah!Ah! Avions-nous affaire ici à un monstre qui dévorait tout sur son passage pouvant effrayer aussi bien le Kremlin que Washington vu sa toute puissance? C'est à dire une dictature de la réussite des autres qui nous était imposée par la force des images? Dit d'une autre façon, étions-nous témoins d'un rapt de l'Histoire par une bande d'escrocs qui utilisait la technologie pour ses propres intérêts au détriment des Etats? Et si au bout du compte, Do-nald Trump n'avait pas tort en employant à leur encontre l'expression de fake news? Bref, une question de haute question aujourd'hui où, apparemment, les médias avaient pris trop de pouvoir dans notre soci-été au point de déstabiliser nos Etats. En diffusant continuellement sur nos écrans, les images des gilets jaunes qui cassaient tout sur leur passage ou le boxage d'un CRS par un boxeur professionnel qui, sans la présence d'une caméra de télévision, n'aurait jamais expédié un seul coup de poing à ce représentant de la loi, Ah!Ah!Ah! Saisissez bien, mon cher lecteur, que je comprenais entièrement la colère des gilets jaun-es, mais que je l'analysais du point de vue de la tectonique des plaques où le retour à la démocratie, dem-andé par ces derniers, me semblait comme une grosse tarte à la crème, Ah!Ah!Ah! Car si être démocrate était tout casser ou boxer, je ne voyais pas où se trouvait les vertus de la démocratie, sinon tout détruire par le plus grand nombre! Bref, le grand n'importe quoi! Décidément, Dieu seul pouvait réunir les Hom-mes et non point les Hommes qui se battaient entre eux en se regardant dans le miroir des médias où ils se prenaient pour des héros, Ah!Ah!Ah! En sachant bien que tout le monde ne pouvait pas être écouté. Car personnellement, pensiez-vous vraiment que tout le monde avait des choses importantes à dire, sinon de s'inquièter de ce qu'il avait dans son frigo? Et si le peuple avait toujours eu ce souci existentiel( de se remplir le ventre), il me semblait bien que ce soit une revendication tout à fait ordinaire et réalisable par nos politiques et nos États d'abondances, n'est-ce pas? Quant aux autres( qu'on appelle les génies) qui av-aient réellement des choses importantes à proposer à l'humanité, les médias feront tout pour les faire taire vu que les génies détestaient la démocratie en étant les défenseurs de la vérité qu'on appelle la loi de Dieu, qui n'était pas la loi de chacun, mais une loi imposée à tous les Hommes, bien évidemment.

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Décidément, je faisais tout pour me faire détester par le peuple et par les médias, Ah!Ah!Ah! Mais au bout du compte, cela n'avait aucun importance du moment qu'on défendait la vérité et non l'imposture démocratique, n'est-ce pas? Personnellement, je pense que mes écrits dureront des siècles vu l'état désas-treux de la littérature d'aujourd'hui produite par les médias. Où il semblait que mon livre "Des fleurs po-ur mon enterrement" soit aussi important que le Prince de Machiavel, mais avec Dieu en plus. Ce qui me permettait de dire, sans fausse prétention, que je le parachevais pour le meilleur des mondes, Ah!Ah!Ah! Telle a toujours été la mission des génies, comme le Christ parachevant le judaïsme, puis Mahomet par-chevevant le christianisme, puis Patrick, le grand philosophe, révélant la vérité au peuple français et au monde entier, Ah!Ah!Ah! Paradoxalement, ce qui ferait tomber nos États, ce ne serait pas la vérité ou Di-eu, mais les fake news, c'est à dire la liberté de la presse! Oui, je sais, une révélation stupéfiante que je vous faisais là. Mon saisissez bien, mon cher lecteur, que cette nouvelle fracassante nous annonçait le fléau de demain. Car tous les acteurs issus des médias( intellectuels, écrivains, philosophes, artistes, etc) ne le reconnaîtront jamais pour sauvegarder leurs places de menteurs professionnels, Ah!Ah!Ah! Par le fait que nos médias fabriquaient ni plus ni moins de l'illusion, comme au moment des attentats de 2015 où ils avaient réussi à organiser( grâce à leurs moyens techniques) une embrassade surréaliste sur les Ch-amps Elysées entre un manifestant et un représentant de la loi! Aujourd'hui, nous découvrions avec stu-peur la duperie des médias où les gilets jaunes visiblement voulaient casser du flic ou tout représentant de la loi, Ah!Ah!Ah! Puisque leur rôle consistait à mettre de l'huile sur le feu afin d'affaiblir l' autorité de l'Etat pour pouvoir s'en emparer. Personnellement, si j'étais à la place d'Emmanuel Macron, je leur dem-anderais de cesser de couvrir les événements des gilets jaunes afin de ramener un peu de calme dans la société française. Mais je ne pense pas qu'il le fera, car il n'en aura pa l'audace, sachant qu'il avait été élu grâce aux médias. Et puis entre nous, mes amis, sait-il vraiment( car ce n'est pas une lumière) que la lib-erté de la presse est l'ennemie de nos États? Personnellement, je ne le crois pas et continuera à croire qu' elle est de son côté, alors qu'il n'est qu'une de ses petites marionnettes gesticulant pour défendre ses int-erêts.

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Bref, on n'est jamais si bien servi que par soi même, n'est-ce pas? Tel est le principe d'usurpation utilisé par les médias pour s'accaparer du pouvoir, bref, d'être un Etat dans l'Etat! Bien évidemment, ce principe était utilisé par tous les médias du monde entier telle une pieuvre tentaculaire, qui ne serait pas au serv-ice du peuple, mais au service du public qu'ils avaient façonné pour organiser leur dictature, Ah!Ah!Ah! Visiblement, en France, cette emprise était devenue réalité, n'est-ce pas? Alors qu'aux États-Unis, elle avait échoué avec Donald Trump où le peuple américain( plus réaliste que le peuple français) avait com-pris que le public et le peuple étaient deux choses distinctes : la première manipulable par les médias et la seconde imprévisible dans ses comportements. Tel qu'on pouvait le voir aujourd'hui avec la révolte des gilets jaunes qui semblait vouloir remettre en question la légitimité de nos représentants politiques (pou-rtant élus démocratiquement) où le rôle des médias n'était pas étranger. Sans nier que le mouvement des gilets jaunes comptait beaucoup sur ces derniers pour diffuser leurs images de violence sur les chaines de télévision, mais sans savoir que ces derniers allaient s'en emparer ou, comme on dit vulgairement, récup-érer le mouvement pour en récolter les bénéfices, Ah!Ah!Ah! Et du moment qu'ils étaient passés par la moulinette des médias, je prévoyais leur fin, bien évidemment. En ne pensant pas que les gilets jaunes soient les représentants du peuple français en sachant que l'ensemble des Français vouait un culte pour leur Etat adoré, alors que les gilets jaunes essayait de le détruire avec la complicité des médias. Comme nous l'avons remarqué dans les images où l'on cassait les vitrines des magasins, brûlait les scooters, bo-xait les forces de l'ordre en espérant s'emparer de l'Assemblée Nationale et du palais de l'Elysée! Imagi-nez, mon cher lecteur, la prise de l'Assemblée Nationale en direct par les gilets jaunes! Mon dieu, mais quel scoop formidable pour les journalistes qui( comme en mai 68 grâce à leurs caméras) pourraient dés-igner le futur leader de la France et le mettre dans leur poche, Ah!Ah!Ah! Décidément, l'Etat français était mise à rude épreuve en ce moment, non par le peuple français, mais par une poignée d'agitateurs que les médias comptaient manipuler pour son compte. Personnellement, comme je vous l'ai déjà dit, j'étais pour la suppression de la république en tant qu'idéologie obsolète. Mais absolument contre la destruction de l' Etat ou de l'autorité, car elle n'était pas pour moi la propriété de la république, des médias ou de la dém-ocratie, mais une chose toute naturelle et essentielle pour ne pas devenir fou, Ah!Ah!Ah! Oh ruche ado-rée, chante le peuple français, comme j'aime ton miel! Car il faut souligner, mon cher lecteur, que sans cette autorité intérieure( qui pour moi venait de Dieu), jamais je n'aurais pu écrire mes chefs-d'oeuvre littéraires, poètiques et symphoniques qui étaient, comme vous l'aviez sûrement remarqué, miraculeus-ement structurés!

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Et si j'étais pour la suppression de la république en tant que système politique obsolète, c'était pour inst-aurer une autorité divine à la tête de nos États pour en finir avec cette soi-disant universalité des idées qui ne mènait à rien, Ah!Ah!Ah! Comprenez-bien que ce n'était pas les Hommes qui faisaient la loi, mais Dieu! Et qu'il était temps pour nous de changer notre civilisation et d'instaurer le royaume de Dieu sur la Terre et d'en finir avec les imposteurs fabriqués par la révolution de 1789 et la science, Ah!Ah!Ah! Sais-issez bien, quand je parlais de Dieu, je ne parlais pas présicement du dieu chrétien, juif ou musulman, mais de Dieu en général qui aurait comme les trois couronnes sur la tête. Afin d'instaurer sur la Terre, la paix éternelle et le bonheur de l'humanité, comme vous l'auriez compris. N'avez-vous pas l'impression, mon cher lecteur, que je clôturais notre vieille civilisation pour inventer la civilisation de demain? Mais mon message prophètique sera-t-il entendu hors de mon site Internet et de la sociète où les médias avai-ent pris le pouvoir pour précipiter notre Humanité vers la destruction? Personnellement, je pense que oui. Car ayant une nature héroïque, j'étais fait pour rétablir la justice sur la Terre et faire comprendre aux Hommes que Dieu seul pourrait les réunir à nouveau( non plus à travers le miroir des médias ou de leurs systèmes idéologiques déformant la vérité où ils se regardaient avec plein de jalousies et de haines), mais en regardant dans le miroir de Dieu où ils pourront calmer leurs passions destructrices pour s'aimer en-fin! En vous proposant ni plus ni moins la plus douce des révolutions qui soit avec l'union des trois cou-ronnes des Dieux monothéistes sous la même coupole pour instaurer définitivement la paix sur la Terre! Et je vous assure que Dieu n'était pas un moraliste, comme le pensaient les imbéciles, les caricaturistes et les anticléricaux. Car lorsque vous deviendrez parfait, la morale ne sera plus un sujet de débat dans no-tre nouveau monde. Et si parfois, je me suis montré vulgaire dans mes écrits, c'est pace que Dieu m'au-torisait à l'être avec les gens vulgaires ou, si vous voulez, malhonnête avec les gens malhonnêtes, mais toujours honnête avec les gens honnêtes. Et que de voler un voleur fut comme rendre justice à Dieu en restituant le butin au plus grand nombre, n'est-ce pas? Telle était la symétrie parfaite de Dieu dont l' Ho-mme devrait s'inspirer au lieu de convoiter les richesses matérielles des autres pour les faire siennes! En trouvant, malheureusement, à nos trois religions monothéistes de gros défauts. Comme dans le judaïsme où Dieu aurait ce soi-disant grand sens de l'humour et dans le christianisme, un goût morbide pour la mort et dans l'islam, une tendance au fanatisme et au terrorisme! Bref, mon cher lecteur, on voyait ici par ces remarques très pertinentes que nos trois religions monothéistes avaient chacune ses propres imper-fections, mais que je comptais( grâce à mon génie) éliminer en les fusionnant ensemble pour obtenir enfin le vrai visage de Dieu! Ainsi nous atteindrions la religion parfaite pour nos temps futurs ou si vous voulez le Dieu à trois couronnes dont je vous parlais précédemment.

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Et ô combien de fois, j'aurai voulu, tel un prophète des temps modernes, m'isoler dans une grotte en em- portant avec moi les trois grands livres de l'Humanité pour les fusionner sous l'oeil vigilant de Dieu!

En fait, le plus dure pour moi et pour beaucoup d'entre nous était de revenir à la réalité et de devoir sup-porter l'idiote obstination des gilets jaunes pour obtenir ce qu'ils n'auront jamais, bref, la vraie démocra-tie qui pour certains s'appelle l'anarchie et pour d'autres, le grand barouf, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'améliorait pas notre situation pour resoudre cette colère jaune qu'on pourrait diagnostiquer pour une partie de la population française comme une maladie des reins qui, comme tout le monde le sait, donnait la jaunisse, Ah!Ah!Ah! Pourtant avec notre sécurité sociale hyper généreuse, parce que hyper déficitaire, je pense qu' on pourrait facilement la guerir, n'est-ce pas? Mais bon, apparemment, nous avions affaire ici à des imb-éciles qui refusaient de se faire soigner par snobisme ou pour ne pas creuser le déficit de la sécurité soci-ale ou parce qu'ils étaient tout simplement des cons? Ah!Ah!Ah! Mon cher lecteur, tout ceci restait pour nous un grand mystère à résoudre, n'est-ce pas? Pourtant Monsieur Macron leur avait donné 100 balles de plus par mois et une prime d'activité supplémentaire pour calmer leur fièvre jaune et leur faim de mo-is difficile. Mais apparemment, cela n'avait pas suffit à grand chose puisqu'on avait affaire ici à des imbé-ciles qui confondaient malheureusement obstination et intelligence, Ah!Ah!Ah! Moi même, je vous l'avo-ue, j'ai souvent confondu ces deux choses si proches et si lointaines en même temps. Mais après une mû-re reflexion, j'ai compris que l'obstination relevait d'un comportement idiot et non d'une pensée véritab-lement refléchie, mais d'un dogmatisme propre aux imbéciles, Ah!Ah!Ah! Comprenez bien, mon cher lec-teur, que cette remarque n'était pas seulement destinée aux gilets jaunes, verts ou bleus, mais aussi aux partis politiques, organisations syndicales, pouvoirs publics etc. Car ne plus vouloir reflechir ou prendre le temps de réflechir sur les choses qui se passaient autour de nous était un constat d'echec sur sa propre intelligence qu'on avait mise comme au placard parce que déclarée inutile pour se gouverner ou gouve-rner les autres quand on avait des responsabilités familiales ou nationales. Apparemment, c'était le cas de nos gouvernants et de nos gilets jaunes qui s'obstinaient chacun de leur côté à croire qu'ils avaient raison contre vent et marée! Où les premiers n'arrivaient pas à éclairer l'avenir des Français( parce que sans gé-nie) et les seconds à casser des vitrines et à bruler des voitures pour voir si une idée géniale allait en sort-ir par magie, Ah!Ah!Ah! Bref, nous avions affaire ici à deux grands idiots qui, je vous l'assure, ne lâche-ront pas le morceau parce qu'ils étaient mués, non par une quelconque intelligence, mais par la bêtise constitutionnelle des Français, Ah!Ah!Ah! N'avez-vous pas remarqué, mon cher lecteur, que la chose la plus dure dans un fruit était son noyau? Oui, je sais une belle métaphore de la socièté français qui en dis-ait long, n'est-ce pas? Et quand je regardais tous les samedis apres-midi mon feuilleton détesté sur les gi-lets jaunes, il me semblait regarder une bande de ratés déambuler dans les rues de Paris qui ne savait pas quoi faire de leurs jours de congé, Ah!Ah!Ah! Soit parce qu'ils n'avaient pas d'argent, ce qu'on pouvait entièrement comprendre, soit parce qu'ils n'avaient rien d'autre à faire parce que de sacrés gros imbécil-es! Bizarrement, cela me faisait penser aux SDF que je croisais tous les jours dans mon quartier qui, par un manque évident de projets d'avenir ou tout simplement de volonté, taquinaient la bouteille à longueur de journée, Ah!Ah!Ah! Bref, un alcoolisme et une mendicité qui faisaient parties desormais de leurs mo-eurs, comme le peuple français, qui par manque d'initiatives personnelles et de créativité, attendait l'aum-ône de l'Etat, Ah!Ah!Ah! Ah pauvre France! m'écriais-je à chaque fois que j'ouvrais mon poste de télév-ision pour regarder la France en train d'agonir!

Visiblement, le mal aux reins était un mal très français, comme nous le savions tous désormais et que nous nommerons sans peine, comme une maladie héréditaire, Ah!Ah!Ah! Et d'après des gens très serieux, comme les medecins, celui-ci apparaissait quand vous travailliez trop ou bien quand vous vous preniez pour un malade imaginaire, Ah!Ah!Ah! A ce propos, je pense que beaucoup de mes lecteurs seront d'acc-ords avec moi vu leurs très nombreux arrêts de travail dans l'année, comme les miens, qui se chiffrent à une bonne dizaine, n'est-ce pas? En fait, comme vous le voyez, je ne suis pas très différent de vous en me culpabilisant très peu sur ces choses pénibles qu'on appelle le travail, mais où heureusement, la sécurité sociale est notre bouée de sauvetage ou notre nounou à tous, mon cher concitoyen, Ah!Ah!Ah! Et puis pensez un peu à Jean-Baptiste Poquelin dit Molière qui dans sa pièce, le malade imaginaire, avait exploré er exploité tous les travers de ce grand guignol afin de faire rire son monarche, le roi de France, Louis 14. Décidement, un mal bien français que nos concitoyens n'arrivaient pas a se defaire tellement il était inscrit dans leurs gênes et dans leur patrimoine historique où ils se trouvaient aujourd'hui à travailler pour presque rien ou pour la gloire, comme au temps des rois, Ah!Ah!Ah! Bref, monarchie et république semblaient être devenues la même chose au bout du compte, n'est-ce pas? Alors à quoi bon faire la révo-lution si c'était pour retrouver son ancien salaire de misère? Ah!Ah!Ah! Sans hypocrisie, mon cher lect-eur, je ne vous cacherai pas mes très nombreuses tentatives afin de me faire porter malade auprès de la sécurité sociale où mon rêve fut d'avoir un lit à l'hôpital pour une durée indéterminée voire intemporelle, Ah!Ah!Ah! Voilà le rêve du malade imaginaire que je faisais souvent la nuit où la socièté s'occuperait de moi sans rien me demander en échange, sinon de ne pas faire pipi et caca dans mon lit, Ah!Ah!Ah! Mais dont j'étais prêt à assumer la lourde responsabilité au prix d'un courage exemplaire, Ah!Ah!Ah! En fait, notre grand problème, si je peux m'exprimer ainsi, ce n'était pas le travail ou l'effort qu'il nous demandait pour le mener à bien, mais le plaisir qu'il nous procurait quand nous l'exercions. Et bien évidemment, quand on nous retirait ce plaisir, je ne voyais plus la raison de continuer à travailler bêtement s'apparen-tant à un esclavage institutionnel où je travaillerais gratuitement pour la soi-disant socièté généreuse, Ah!Ah!Ah! Où dans ce monde acutel, capitaliste et élitiste, le travail n'était plus une façon de garder sa dignité, mais de la perdre dès les premiers coups de pioches, Ah!Ah!Ah! Décidément, nous avions changé de civilisation ou peut-être revenu aux temps des rois? Ce qui au bout du compte revenait au même dans les faits, mais sans le charme de la cavalerie où le courage aurait pu nous sauver d'une morne existence, Ah!Ah!Ah! Cest bête à dire, mais je ne savais plus ce que signifiait le courage en France! Serai-je le seul dans ce cas et le seul grand malade en France a en être conscient? A propos de ces malades imaginaires ou de ces gaulois réfractaires( comme le rappelait notre cher président Emmanuel Macron), ce dernier semblait très fâché de ne pas pouvoir les remettre au travail en se plaignant constamment d'un mal de dos existentiel, Ah!Ah!Ah! Mon dieu, mais quelle absence d'humour de la part de notre monarque républic-ain, alors que le malade imaginaire de Molière avait fait beaucoup rire notre vieux monarque, Louis 14!

Décidement, notre monarchie républicaine était indigne de succéder à la monarchie des Capets pour avoir perdu de sa superbe et disons même sa grande intelligence!

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Et quand je parlais du noyau dure des gilets jaunes et des SDF dans mon quartier en les assimilant à des ratés, je ne leur montrais aucun mépris. Car à bien d'égards, j'enviais souvent leur sort de n'avoir aucune responsabilité face à leur avenir, Ah!Ah!Ah! Bref, de n'attendre plus rien des autres ou de la socièté ou pour les uns la vie consisterait à casser ou à brûler du mobiler urbain ou à démolir la réputation des jour-nalistes et des hommes politiques( qui en avait bien besoin en ce moment pour les remettre à leur place) ou pour occuper leur misérable vie, Ah!Ah!Ah! Quant aux autres à tendre la main entre deux rasades de vin frelaté ou voir tomber une piece dans leurs escarcelles, comme un miracle de la providence ou une façon de concevoir l'amour pour l'humanité? Décidement, je trouvais à mes adeptes du nihilisme beauc-oup de vertus pour avoir une réelle envie de les imiter où les seuls risques que je pourrais prendre serait de me brûler les doigts en voulant mettre le feu à un abri bus ou bien recevoir une balle en caoutchouc dans l'oeil ou d'avoir le bras engourdi ou semi-paralysé à force de mendier le long des trottoirs, Ah!Ah!Ah! Et si je vous parlais de tout cela avec humour, mon cher lecteur, ce n'était pas anodin, mais parce que en tant que génie ma vie n'était pas meilleur que la leur! Et plusieurs fois, il m'est arrivé en croisant mes SDF dans mon quartier et, par je ne sais quel mouvement de mon âme, de vouloir les suivre en voulant tout abandonner, bref, ma vie actuelle pour n'avoir plus aucun souci existentiel sauf celui de manger, boire, dormir et de demander l'aumône aux passants indifférents sans parler de mes factures que je n'aur-ais plus à payer, bref, de rendre à Cesar ce qui appartenait à Cesar! Ce qui représentait pour moi comme une grande délivrance, mais qui se dessinait sous mes yeux sous d'horribles horipeaux et sous une odeur nauséabonde, Ah!Ah!Ah! Mais étrangement, pour une raison mystèrieuse, il m'était impossible de franch-ir ce cap de la désolation. Car ma nature héroïque me l'interdisait (comme je l'ai dit à maintes reprises da-ns mes écrits) où baisser les bras pour vivre sans les soucis de l'existence (qui sommes toutes faisaient parties de la vie) m'eut été impossible et tout particulièrement de perdre ma dignité pour des raisons hon-teuses d'une grosse fainéantise ou d'une grosse fatigue existentielle pour ne pas être grossier. Décidém-ent, nous n'étions pas fait du même bois et puis voyez, mon cher lecteur, quel travail j'ai pu accomplir sur mon Site Internet en composant des chefs-d'oeuvre litteraires et symphoniques pour le plaisir de mes visiteurs qui, il faut le dire, ne sont pas très généreux en laissant mon escarcelle leetchi totalement vide, Ah!Ah!Ah! Mais bon, je ne leur en veux pas, car ma vie est celle d'un héros qui connait le prix du courage et non le prix de l'or et de l'imposture médiatique et politique. J'ai appris recemment dans les médias que les gilets jaunes comptaient manifester tous les dimanches pour montrer qu'ils exsitaient toujours! Déci-dement, on avait affaire ici à des têtes de mûles qui ne savaient pas quoi faire de leurs jours de congé ou peut-être de leur vie? Visiblement, la France vivait en ce moment une grosse crise existentielle!

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Mais une chose que j'arrivais parfaitement à comprendre sachant que nous ne pouvions plus réaliser nos projets d'avenir à part les élites et les gens issus des médias. Il parait même, d'après des rumeurs, que les bourgeois étaient eux aussi affectés par cette maladie dite de civilisation où la réussite leur avait été con-fisquée par un petit groupe de personnes( Elites+Médias) pour créer leur propre dictature en démocratie! En fait, ça ressemblait étonnamment à la crise du capitalisme où les banques ne pouvant plus faire d' arg-ent, avec les lois convenues du capitalisme, étaient obligées de voler leurs clients en faussant leurs résu-ltats et le prix de leurs actions qu'elles rachetaient au plus bas après les avoir fait dégringoler d'une man-ière artificielle, Ah!Ah!Ah! En fait, nous étions dans un combat entre la très haute bourgeoisie et la petite bourgeoisie qui bien évidemment n'avait pas les reins assez solides pour se battre contre des géants qui pourtant étaient de la même race que la leur! Décidement, la démocratie était en ce moment en très mau-vaise posture et disons même qu'elle tournait à l'envers. C'est ce que refletait l'état de notre monde en pleine disloquation où les gilets jaunes, impuissants à comprendre les évènements qui leur arrivaient, pe-rdaient complètement la boule et défilaient dans la rue, comme des zombies à crier n'importe quoi même mort aux juifs et pourquoi pas vive le maréchal Pétain dans les prochaines manifestations? Ah!Ah!Ah! Décidément, nous avions affaire ici à des gens complètement incultes où les meneurs( vite disqualifiés) étaient des infirmières en psychatrie, des boxeurs déchus, des employés de bureaux et des chauffeurs rou-tiers prêts à écraser les forces de police et le gouvernement avec leurs gros camions, Ah!Ah!Ah! On était pas loin de la série américaine Shérif, fais-moi peur, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, tous ces dégats cultu-rels avaient été causés par notre belle Education Nationale dont les enseignants avaient sabordé le navire afin que les fonctionnaires prennent le pouvoir en France, Ah!Ah!Ah! Bref, un escamotage progressif de la culture et de l'intelligence des Français, qui allait faire croire à n'importe qui il était intelligent ou av-ait du génie. Comme on pouvait le voir aujourd'hui a travers le mouvement des gilets jaunes ou chaque semaine l'on découvrait, grâce aux médias, une nouvelle star du petit écran, Ah!Ah!Ah! A ce rythme où allaient les choses, je pense qu'il nous faudrait bien une decennie pour faire passer tous les petits França-is et les petites Française sur l'écran de télévision, n'est-ce pas? En fait, nous étions en pleine époque Warholdienne ou Andy Warhol avait prédit dès les années soixantes que tout le monde aurait son petit quart d'heure de gloire tel que nous le montrait nos gilets jaunes amoureux fous de la caméra de télév-ision où brûler et casser sans elle fut une aberration en étant la marque des terroristes, n'est-ce pas? Mais pour revenir à des choses plus simples( sans être méchant, mais d'une parfaite lucidité), j'ai toujours pen-sé quand on avait rien à dire d'intéressant qu'il fallait la fermer, Ah!Ah!Ah! Mais aujourd'hui, comme tout était chamboulé par la complète inculture de nos gilets jaunes où tout se valait( la bêtise, l'intellige-nce, le sublime, la médiocrité etc), c'était leur façon de s'exprimer en tant qu'insectes dont la vie entière consistait à bourdonner sans jamais rien dire d'intéressant pour faire avancer la civilisation, sinon un Zzz zzzzz assourdissant, Ah!Ah!Ah! Car j'ai toujours fait la distinction entre la masse et les gens exceptio-nnels qui représentaient en vérité 10 % de la population qui est le nombre de génies que la nature fabri-quait sans le consentement des Hommes, bien évidemment, Ah!Ah!Ah!

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Sans rapport avec ce que je venais de dire, la semaine dernière, j'ai entendu une chose ahurissante de la part de mon ami qui me disait d'un air très remonté qu'il avait raté sa vie à cause d'un complot mené de longue date contre sa personne! Bien évidemment, j'ai failli éclater de rire devant son délire paranoïaq-ue. Mais ne voulant pas l'humilier ou le mettre mal à l'aise devant son constat affligeant, je me suis rete-nu afin de savoir qui avait souhaité sa perte, mais aussi pour assouvir ma soif de curiosité et d'étrangeté. Et puis comme j'étais son ami de longue date, j'ai tout fait pour lui remonter le moral en lui disant que la réussite ne voulait rien dire quand on était intelligent et surtout quand 'on avait encore des amis! lui fis-je remarquer avec tact, ce que tout le monde ne pouvait pas se vanter, n'est-ce pas? Mais étrangement, ma réponse lui parut insatisfaisante face à cette reussite économique qu'il semblait adûler tel un apôtre du dieu dollar. En ne vous cachant pas que ses propos me glacèrent sur le coup où notre amitié ne semblait pas peser bien lourd devant cette réussite sociale qui avait pour lui son peson d'or. Et pour enfonçer le clou, il me dit: Tu sais, Patrick, si j'étais plus riche et connu dans la France toute entière, j'aurais forcém-ent des amis de grande valeur! Bref, saisi d'effroi par ses reflexions( apparemment sincères et directes), je m'absentais pendant un instant pour aller aux toilettes afin de vider ma vessie ainsi que mon cerveau qui en avait trop entendu pour garder ses nerfs. Puis revenant à ma place, pour le consoler et justifier sa vie ratée (puisque c'est cela qu'il voulait semble-t-il me faire entendre), je lui dis : René, tu as entièrement raison et il semblerait bien que nous soyons tous aujourd'hui victimes d'un grand complot, comme les gilets jaunes qui criaient dans la rue leur haine d'avoir raté leur vie! Dans mon for intérieur, je savais pertinemment que ça lui ferait plaisir de savoir qu'il n'était pas le seul loser en France, mais faisant partie de l'ensemble des Français, Ah!Ah!Ah! En trouvant étrangement beaucoup de similitudes entre nos situa-tions depuis que j'avais reçu mon vilain bouquet de fleurs( composé de chrysenthèmes et d'orties) qui visiblement voulait ma mort prématurée. Avions-nous un ennemi commun? me demandais-je avec stu-peur où mon futur assassin pourrait se cacher derrière un sérial-killer ou un social-killer qu'on pourrait appeler la socièté française ou la grande broyeuse d'Hommes? Décidement, sa révélation fracassante me mit dans un grand embarras, il faut le dire, en ne pensant pas être la seule victime de ce monstre anonyme qui agisssait dans l'ombre( qui pour moi s'appelait Alfred) et pour lui n'avait aucun nom pour l'instant. Mais je voyais bien que sa situation était pire que la mienne, car je ne ressentais aucun échec dans ma vie où je respirais la joie de vivre grâce à mes dons extraordinaires qui me permettaient d'explorer la réalité avec bonheur afin de la transcender pour atteindre ce qu'on appelle le Nirvana où la jouissance suprême. En ne vous cachant pas, mon cher lecteur, que l'orgasme quotidien fut ma seule raison de vivre au sein des hommes et des femmes, Ah!Ah!Ah! A ce propos, mon cher semblable, l'auriez-vous dèjà oublié?

Pour être franc avec vous, en écoutant mon ami exprimer son dégoût, j'avais beaucoup de mal à le comp-rendre, car il reportait systématiquement ses echecs sur le dos des autres! Ce qui était bien pratique pour lui, mais à mes yeux manquait de courage pour justifier sa vie ratée, n'est-ce pas? Mais tout compte fait, un reflexe bien naturel et souvent constaté chez la plupart des hommes et des femmes quand rien ne se passait comme ils l'avaient prévu, bref, quand tout tournait au fiasco malgré sa bonne volonté de bien faire. Moi même, mon cher lecteur, je vous avouerai que je n'échappais pas à la règle où un jour en voul-ant tondre ma pelouse, ma tondeuse tomba mystérieusement en panne que j'attribuais tout naturellement à notre président, Emmanuel Macron, Ah!Ah!Ah! Bref, tout ceci me sembla tout naturel et d'une logique implacable quand on avait à sa disposition une tête de turc à travers les médias qui nous démontrait par A+B sa complète incompétence pour diriger le pays, Ah!Ah!Ah! En fait, une chose si pratique pour nous tous quand tout allait mal, n'est-ce pas, mon cher compagnon d'infortune? J'aurais pu aussi vous donner une quantité d'autres exemples pour vous le démontrer, mais est-ce bien utile? Bref, j'avais beaucoup de mal à comprendre mon ami qui désirait rèussir, alors qu'il n'avait aucun talent! Ce qui était pour moi un grand mystère qui m'échappait complèrement. Mais il est vrai aujourd'hui avec un bon réseau d'amis dans les médias, on pouvait reussir sans avoir aucun talent, Ah!Ah!Ah! C'est à dire une véritable escroquerie intellectuelle et artistique qui ne me plaisait guère sachant que notre culture à l'avenir ressemblerait à une bassine d'eau de vaisselle ou à une poubelle à ordures, Ah!Ah!Ah! A propos de mon ami, il était comédi-en, mais en vérité plus doué dans la vie que sur la scène d'un théâtre et bien qu'il ait joué dans des séries policères comme "Chérif " où il ne s'était pas montré fameux, mais plutôt inexistant. De même qu'il avait joué dans un film de Spilberg, le rôle d'un terroriste islamique, ce qui l'avait, je pense, mis en disgrâce avec le public et plombé sa carrière, Ah!Ah!Ah! De toute façon, il était trop mauvais comédien sur la scè-ne pour avoir une chance de devenir un grand acteur ou une star. Car il avait un jeu trop introspectif, trop intérieur pour émouvoir le public dont le visage de l'acteur ou de l'actrice devait lui dévoiler toutes les émotions pour le prix d'une place de cinéma, Ah!Ah!Ah! Mais bon, poser une bombe dans un aréoport avec toute la froideur d'un terroriste islamique n'emballait vraiment pas le public même si après il y avait beaucoup de spectacle, Ah!Ah!Ah! En fait, ce que j'aimais beaucoup chez mon ami, c'était ses qualités humaines et non ses qualités théâtrales. Bref, une attitude toute naturelle qu'on attendait de ses amis et des gens en général dans la vie et non qu'ils jouent des personnages qu'ils ne sont pas, n'est-ce pas? Un jour, mon ami m'a dit à mon grand étonnement : Patrick, tu ne peux pas avoir de talent, car tu n'as aucune ambition!

Bien évidemment, j'ai été très gèné par sa remarque désobligeante à mon égard. Car jusque là, j'avais tou-jours fait la disctinction entre le talent et l'ambition qui étaient pour moi deux choses aussi éloignées que la planète Saturne de Pluton, Ah!Ah!Ah! En fait, le talent était pour moi un don que la nature vous faisait afin de réaliser ses chefs-d'oeuvre par votre intermédiaire. Alors que l'ambition était une volonté ou une idée fixe d'un individu ou d'un groupe de personnes pour réussir socialement, ce qui bien évidemment n' avait aucun rapport! En résumé, on pourrait dire que l'homme talentueux était un artiste qui magnifiait l' imagination, alors que l'homme ambitieux était un entrepreneur qui magnifiait le réel afin de rentrer dans ses sous et de rentabiliser ses investissements, ce qui avait une fois de plus aucun rapport, mais en totale opposition! Moi même en tant qu'artiste, je sentais souvent en moi mes dons, comme une formidable ca-pacité à transcender le réel afin de jouir de la vie et d'atteindre le sublime en étant rarement frustré par la bassesse des Hommes en socièté, Ah!Ah!Ah! En fait, pour moi l'ambition était une chose exclusivement humaine générée par ses semblables en vue de réussir parmi eux ou comme une revanche à prendre sur la vie qui vous avait placé au départ en bas de l'echelle sociale. Bref, rien de transcendant là dedant, sinon vouloir monter un raide escalier où il y avait de l'or au sommet nécessitant de vous d'avoir de bonnes jambes et peu de talents, n'est-ce pas? Pour essayer de donner une explication scientifique à cet étrange phénomène de l'ambition( qui fascinait tant les Hommes doués de peu de talents), il me semblait que l'h-omme ambitieux actionnait dans son cerveau un petit interrupteur électrique afin d'actionner sa volonté pour rèaliser ses projets matériels. Alors que l'artiste n'utilisait jamais sa volonté pour créer, car il était l' instrument de la nature qui n'avait pas besoin d'une opération intellectuelle ou d'une force qu'on appelle la volonté pour pondre un chef-d'oeuvre, mais consultait ses sens( branchés constamment sur le cosmos et son environnement) afin de savoir si la bonne saison était arrivée pour produire ses fruits merveilleux, comme un arbre qui suivait le rythme des saisons imposé par la nature. On voyait ici, très disctinctement que l'artiste était lié aux saisons et doté d'une grande patience, alors que l'homme ambitieux était un ho-mme pressé d'arriver à ses fins, Ah!Ah!Ah! Bizarrement, je trouvais mon ami très arrogant de me juger sans talent parce que je n'avais aucune ambition. Et n'avait aucune leçon à me donner sur ce terrain où ses grandes ambitions l'avaient mené à rien, sinon à constater son échec cuisant parmi ses semblables, n' est-ce pas? Tout compte fait, avec la terrible confession qu'il venait de me faire, il me montrait qu'il n' était qu'une boite vide où il n'y avait aucun talent à l'intérieur, mais seulement de l'ambition à revendre et des rêves impossibles à réaliser par ses faibles moyens! Bien évidemment, comme je n'ai jamais aimé en-trer en conflit avec les autres, vous comprendrez, mon cher lecteur, que je n'ai pas essayé de lui dire qu'il avait tort et moi raison, car sa situation le suffisait amplement, n'est-ce pas? En fait, pour vous dire toute la vérité, mon ami cherchait constamment à se mettre dans la lumière pour devenir une star de cinéma, alors que moi( qui avait tous les talents du monde), j'étais un homme de l'ombre qui cherchait l'obscurité pour créer les projets cachés de la nature.! Bref, c'est fou le nombre de choses qui nous séparaient. Mais tout compte fait, une chose formidable pour lier l'inconciliable entre deux amis qui s'appréciaient beauc-oup malgré un gros malentendu qui ne virait jamais au massacre, heureusement.

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Visiblement, mon absence totale d'ambitions parmi mes semblables m'épargnait bien des choses désagré-ables, comme de subir les terribles frustrations de mon ami qui attendait dans l'obscurité le désir des aut-res couronner sa réussite sociale et économique, Ah!Ah!Ah! Mon dieu, mais d'où pouvait lui venir cette étrange lubie ou utopie? je me demandais souvent. En tout cas, ceci montrait que j'étais très différent de lui par ma nature stoïcienne dont la doctrine était de faire uniquement les choses qui dépendaient de soi et jamais des autres! Bref, on ne pouvait pas être plus simple et plus logique pour accéder au bonheur in-dividuel, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et si je pouvais l'accuser d'être un éternel insatisfait, c'était par son côté obstiné et même idiot de vouloir concrétiser dans la réalité son utopie de devenir un jour une st-ar, Ah!Ah!Ah! Parfois, j'en rigolais tout seul quand je l'écoutais parler de son actualité( commre s'il avait une actualité dans la presse people ou dans les médias!). Mais bon, pour lui faire plaisir, je l'écoutais av-ec bienveillance pour ne pas me fâcher avec lui qui, entre nous, était le seul ami qu'il me restait sur cette terre! Pendant ses longs monologues, axés seulement sur sa personne, je l'écoutais avec les yeux ecarqui-llés d'un enfant où apparemment j'étais son unique et seul public! Et si je disparaissais un jour de sa vie, j'en suis sûr qu'il en mourrait de voir toutes ses illusions partir en fumée, Ah!Ah!Ah! Décidément, nous étions faits l'un pour l'autre où le rêve et la réalité s'affrontaient pour établir un équilibre vital entre deux personnalités différentes ou deux entités vivantes qui se cotoyaient sans avoir de rien en commun, sauf de pouvoir se parler. C'était comme comparer le ciel et la terre ou l'eau et l'air ne se mélangeaient jamais pour sauvegarder ses territoires et ses forces où les dieux régissaient les éléments afin de rester les maî-tres de leur royaume. Pour avoir une nature très simple, je voyais la Terre comme un appui formidable sur lequel me tenir et m'élever pour atteindre le divin et le sublime, comme une fusée organique conçue pour s'élever vers des hauteurs inimaginables! Apparemment, j'attendais très peu de choses de mes sembl-ables, mais tout de la nature. Comme nos anciens philosophe-mathématiciens qui concevaient, avec un bon appui et un levier, qu'on pouvait soulever des mondes colossaux et des planètes avec le minimum d'éfforts! Décidément, mon ami, qui faisait tant d'éfforts pour reussir auprès de ses semblables en allant à un nombre incalculable de casting dans l'année, me faisait vraiment pitié, Ah!AhAh! Et contrairement à ce que tout le monde croyait, la création se faisait toujours dans la joie et jamais dans la souffrance, co-mme je le fasais en ce moment dans mes écrits où je ne suais jamais sang et eau pour pondre une phrase ou atteindre le sublime. Mais une chose toute à fait naturelle quand vous laissiez vos sens vous guider dans la bonne direction afin d'atteindre la vérité où il n'était pas question de morale, mais seulement d' authenticité! Décidément, la définition du travail que nous donnait notre civilisation en déclin( toujours plongée dans le 19 ème siècle) était barbante et terriblement ennuyeuse pour nous tous en nous sciant les genoux dès qu'on en parlait où que nous touchions un marteau ou un tournevis, Ah!Ah!Ah!

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Avecs le sentiment que la socièté française était prise par une rouille institutionnelle provoquée par sa république vieillissante que le mouvement des gilets jaunes, paradoxalement, n'allait pas améliorer l'état, mais empirer par ses oxydes du passé, Ah!Ah!Ah! Avec cette envie farfelue de revenir en arrière où la soi-disant démocratie aurait existé pour le bonheur de tous, Ah!Ah!Ah! Mon dieu, mais quelle drôle de chi-mère, ils entretenaient dans leurs têtes et uniquement pour se donner une raison de vivre! Car ils n'arriva-ient pas à comprendre qu'ils n'étaient pas les grands perdants de cette soi-disant mondialisation, mais qu' une variable d'ajustement constituée par leur masse. Bref, le grand troupeau des gilets jaunes n'arrivait pas à comprendre que leur berger puisse les considerer en masse et non comme des individus à part enti-ère. Bien évidemment, tout ceci remettait en question, non pas seulement nos institutions, mais la nature même des choses où le troupeau n'avait pas à réfléchir sur son destin( car le berger y veillait), mais d'aller au champ brouter l'herbe verte afin de prendre du poids et produire de la viande et du lait, bref, de la vale-ur ajoutée, Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, le capitalisme n'avait pas été inventé par les Anglais au 19 ème siècle, mais par la nature elle-même afin que tout le monde puisse manger à sa faim, les petits comme les gros, Ah!Ah!Ah! En ne voulant pas forcément défendre les idées de Darwin( où les gros mangaient les petits), mais faire un constat évident pour nous tous que le destin du troupeau était de se reproduire pour produire de la viande et du lait afin de nourrir l'humanité, bref, une fonction qui justifiait son existence, n'est-ce pas? Et quand le troupeau ou le peuple faisait la révolution, c'était uniquement pour ces raisons là et jamais pour transcender la réalité ou inventer une nouvelle religion ou système politque. Comme les gilets jaunes dans la rue qui meuglaient le message de vouloir manger à leur faim, boire, dormir et se reproduire pour se sentir digne. Mais de là à penser qu'un génie puisse em-erger de ce mouvement des gilets jaunes, c'était croire au miracle! Car de ma vie, je n'ai jamais vu une chèvre se transformer en loup ou une souris en éléphant, Ah!Ah!Ah! Mais bon, laissons-les rêver à des choses impossibles que seule la démocratie put imaginer, comme dans une comédie hollywoodienne, Ah!Ah!Ah! Et si vous aviez du bon sens et une intelligence qui s'élevait au dessus du troupeau, vous saisiriez toutes ces choses, non pour mépriser le troupeau ou le peuple( qui avait son utilité dans le grand cycle de la vie), mais pour remettre les choses à leur place où le parcourt quotidien du troupeau était de l'étable jusqu'au champ et inversement le soir venu. Alors que celui du génie était un parcourt solitaire, mais vi-tal pour lui. Ainsi en remettant de l'ordre dans votre esprit, vous ne pouviez qu'affiner votre intelligence afin d'atteindre la vérité sur le monde et sur les Hommes malgré que l'argent faussait souvent les appare-nces. Mais quand vous saisirez qu'on échappait pas à son destin par sa propre nature, vous comprendrez qu'avec ou sans argent( si vous êtes d'une nature execptionnelle), vous finirez votre vie d'une façon exce-ptionnelle! Autrefois, nos vieux philosophes, amoureux de la vérité, disaient que votre caractère était votre destin! Décidement, ils avaient entièrement raison et même encore aujourd'hui.

Et si vous étiez d'une nature conformiste, je craignais le pire pour vous ou du moins un destin bien ordi-naire, Ah!Ah!Ah! En vous assurant qu'il n'y avait rien de déshonorant de ne pouvoir s'élever dans les airs quand on avait le poids d'un boeuf, Ah!Ah!Ah! Telle était la définition de l'esclave que les anciens donn-aient à ces hommes et à ces femmes qui rêvaient d'être libres, mais qui par une peur ancestrale refusaient de faire le premier pas, Ah!Ah!Ah! Décidément, la rouille institutionnelle était notre grand fardeau pour les temps à venir et tout particulièrement en France où la machine à bonheur était en panne. Où de l'ex-térieur, cette grosse machine rouillée représentée par la France d'aujourd'hui pourrait paraitre comme une oeuvre d'art pour les artistes décadents et digne d'être exposée dans un musée. En fait, je n'étais pas très loin de leur donner raison. Mais bon, la France exposée derrière une vitrine blindée, nous montrant avec détail tous ses mécanismes grippés par la rouille, n'avait rien de flamboyant pour les Français, mais une excellente idée pour la vendre aux touristes étrangers, comme une vieille antiquité, Ah!Ah!Ah! Bref, en France, on avait pas de pétrole, mais on avait des idées même si celles-ci étaient d'un ringardisme effrayant. En fait, notre grand problème institutionnel était l'absence totale de bon mécanicien au sein de nos gouvernements pour dégripper la machine où les pistons étaient bloqués, parce que nous avions seul-ement de petits bricoleurs du dimanche interessés uniquement par les manettes du pouvoir, mais n'y con-naissait rien en mécanique, Ah!Ah!Ah! Et moi qui avait travaillé dans l'industrie donc qui pouvait en parler en toute légitimité, j'utilisais souvent pour dégripper des pièces mécaniques du coca-cola qui est un très bon dégrippant, je vous l'assure. Bref, puisque nous étions en France dans un état très avancé de rouille, ne devrait-on pas faire appel à nouveau à l'Amérique( comme en 1945 ) pour nous sauver du dé-sastre grâce à son célèbre coca-cola idéologique qui décapait et dégrippait formidablement bien tout mé-canime en voie de paralysie? Ah!Ah!Ah! Décidement, Donald Trump avait toutes les chances de devenir le héros des Français pour les temps à venir et malgré la très mauvaise image qu'en donnait les médias qui, il faut le dire, précipitaient cette rouille sociale pour bloquer l'avenir des Français afin d'établir une dicature, la leur. Et comme ces derniers subissaient en ce moment une grosse crise de l'information par la concurrence d'Internet( où les gens comme moi s'exprimaient en toute liberté sans aucun filtre idéologi-que et économique), ils étaient obligés d'inventer des fake news pour surrenchérir et ne pas voir leur au-dience sombrer dans les abysses, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, les fake news étaient pour eux le seul moyen de survivre dans cette jungle où les nouveaux dieux se trouvaient sur Internet et non plus dans les médias. Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais le sentiment que mon site( qui comptabilisait plus de 300 visiteurs par mois) devait être aussi consulté par des journalistes qui devaient s'en lècher les babines d' avoir à leur diposition des idées pour écrire leurs articles. Bien évidemment, ils allaient s'en inspirer allè-grement, mais en occultant toutes les vérités que j'aurais pu dire sur leur profession!

En pensant subitement à mon ami, René( qui voulait devenir une star, mais sans y parvenir), j'avais la ce-rtitude que lui aussi était pris par la rouille de la socièté française. Et si complot, il y eut, ce fut certaine-ment de ce côté là qu'il fallait regarder. A propos des qualités dégrippantes et décapantes du coca-cola, le succès de Mac Donald et de Burger King en France me semblait comme une évidence, n'est-ce pas? Car elles permettaient aux Français une digestion rapide de leur vie en décomposition, Ah!Ah!Ah! Bref, de digérer leur triste réalité pour être clair. Apparemment, la plupart des Français avait des problèmes de constipation qu'il cachait avec art à leurs medecins traitants et à leur entourage. Mais pourquoi tant de souffrances endurées, alors qu'un bon tour aux chiottes pourrait les soulager? je me demandais souvent en les regardant dans la rue faire la grimace face à leur avenir, Ah!Ah!Ah! Avaient-ils trop de pudeur pour nous avouer leur faiblesse au niveau de l'estomac et des intestins ou bien niaient-ils leurs véritables ma-ux qui les rendaient complètement malades et idiots? Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, la jaunisse des gilets jaunes n'était pour moi qu'un symptôme parmi d'autres où le cancer généralisé menaçait. Mais je n'arriv-ais toujours pas à comprendre leur mode de fonctionnement où l'hypocrisie restait pour eux le seul grand remède ou le grand échappatoire des causes perdues, Ah!Ah!Ah! Où vomir une bonne fois pour toute fut pour moi la grande solution pour vider son sac et résoudre tous ses problèmes séculiers où la république nous avait mortifié, comme des momies égyptiennes, Ah!AhAh! Je vous avouerais, mon cher lecteur, qu-and une chose avait du mal à passer à travers mon estomac, je n'hésitais jamais à me faire vomir pour évacuer cette chose qui me semblait toxique. Il est vrai que ce n'était pas un plaisir, mais un vrai soulage-ment de vider son estomac et de nettoyer son ventre. Tout ceci n'était bien évidemment qu'une metaphore de la socièté française, mais qui restait vraie quand vous êtiez un bon mécanicien dans la vie ou votre propre medecin traitant. A ce propos, Monsieur Macron était-il un bon medecin qui faisait un bon diagn-ostique sur la socièté française ou bien n'était-il qu'un charlatan qui jouait la comèdie du medecin imagi-naire? Ah!Ah!Ah! C'est bizarre à dire, mais quand je l'écoutais parler de l'Europe et de vouloir la guerir pour la sauver, j'étais prêt à éclater de rire, Ah!Ah!Ah! Pour ressembler étonnamment aux interventions guignolesques de Cohen Bendit dans les années 60 où dans ses discours, il n'y avait aucune structure ni aucun plan pour construire une nouvelle sociète ou civilisation, mais un grand fourre-tout où tout le monde pourrait retrouver ses petits, Ah!Ah!Ah! C'est bien pour cette raison que je n'ai jamais apprécié les discours de ce personnage de fac où le génie était inexistant sauf peut-être pour la communication. C'est ce même sentiment que je ressentais quand j'écoutais Monsieur Macron parler de tout et de rien en même temps, bref, de ce vide sidéral où l'on pouvait mettre dedant tout ce qu'on voulait, Ah!Ah!Ah!

Apparemment, celui-ci n'avait aussi aucun génie, mais s'appuyait sur la communication pouir tromper son monde, comme Cohen Bendit. Comprenez-bien que je ne disais pas cela par méchanceté. Mais parce que Cohen Bendit, après son succés médiatique dans les années soixantes, n'a jamais pondu un seul chef-d'oeuvre intellectuel, philosophique et politique, mais a assuré son salaire en tant que député écologiste en Allemagne, Ah!Ah!Ah! Pourtant au départ, je pensais qu'il en serait capable, car je n'avais aucun préju-gé sur cet homme. Mais la réalité me prouva le contraire en me montrant qu'il n'était pas quelqu'un d'ex-ceptionnel, mais qu'un homme de communication, bref, comme Emmanuel Macron. En fait, mon cher lecteur, seuls les créateurs et les innovateurs m'interessaient et non les gens qui parlaient pour ne rien di-re, Ah!Ah!Ah! Car les créateurs nous offraient réellement des plans pour construire le monde de demain et non des discours rodés et plagiés sur les anciens pour nous faire croire qu'ils avaient du génie ou de la consistance. C'était là, me semble-t-il, la grosse différence qu'il y avait entre les vrais hommes et femmes dotés de talents constructeurs et les usurpateurs en fort nombre dans le monde de la politique. C'était co-mme comparer un écrivain d'imagination( qui écrivait des histoires captivantes) et un écrivain qui décriv-ivait la réalité autour de lui afin d'émouvoir ses contemporains ou son public. Et en tant qu'artiste qui produisait des oeuvres littéraires et symphoniques, je n'usurpais pas le titre d'écrivain ou de musicien. En écrivant bien des histoires et des partitions donc des plans réels que je soumettais à mes contemporains qu'ils pouvaient juger à leur goût ou pas. Afin de leur apporter un sens qui pouvait les aider à mieux co-mprendre leur époque. Mais étrangement, ils aimaient mieux écouter les brasseurs de vent où il y avait manger et à boire pour tout le monde et surtout pour ne pas voir la vérité en face, Ah!Ah!Ah! Mais un choix que je ne leur refusais pas si misérable soit-il, Ah!Ah!Ah! Visiblement, la France était peuplée de malades et de medecins imaginaires au point de ressembler à un vaudeville à la Feydeau. Bref,  c'était le pays des droits de l'homme avec ses grandes illusions universalistes qui la rendait aujourd'hui complème-ment ringarde face à l'Amérique et à la Chine qui travaillaient à l'édification de leur puissance économi-que et tout ce qui allait avec, bien évidemment. J'avais le sentiment que notre pays détravaillait pour con-struire son propre anéantissement afin de se complaire dans sa longue maladie payée par la sécurité soci-ale, Ah!Ah!Ah! Bref, une maladie civilisationnelle que les Français n'arrivaient pas à saisir les symptôm-es tant ils faisaient confiance à leurs medecins imaginaires retranchés derrière leurs institutions, Ah!Ah!Ah! Docteur Macron était en ce moment le medecin chef de tous les Français et vu le mauvais traitement médical qu'il leur avait infligé, les gilets jaunes se plaignaient de la jaunisse et les Européens le considér-aient comme un nul pour son incompètence flagrante. Et de là qu'ils le laissent réformer l'union europ-éenne, il était exlu pour eux de le laisser organiser le massacre, Ah!Ah!Ah!

Surtout les Allemands qui tapaient dans le dure en ne travaillant que sur des plans détaillés pour constru-ire la nouvelle union européenne. Mais là visiblement, Monsieur Macron dans sa dernière tribune n'avait rien compris et proposait comme un idiot d'ajouter une loge de concierge au bâtiment de l'union europ-éenne, Ah!Ah!Ah! Bref, tout le monde était sidéré par ce novice de la politique qui jouait très bien la co-médie, mais n'y connaissait rien en politique, sauf pour faire élire sa liste aux élections européennes, Ah!Ah!Ah! Mais bon, prendre des sièges au parlement européen était-ce faire de la politique ou bien caser ses amis pour qu'ils touchent de gros salaires? Décidement, la vraie politique était morte depuis belle lu-rette en démocratie où l'on ne se battait plus pour son peuple, mais pour ses interêts personnels! Je pense qu'à partir d'aujourd'hui, je ne vais plus prendre au sérieux les ordonnances de mon medecin en me soig-nant moi-même pour assurer ma survie dans ce pays déglingué qu'on appelle la France Ah!Ah!Ah! Tout en concevant, quand le peuple aura tout ce qu'il désire, que la politique n'aura plus lieu d'exister, n'est-ce pas? Avec le sentiment que nous soyons à ce point de basculement de notre civilisation Occidentale où l'Etat providence comblerait toutes les attentes du peuple! Ce qui serait d'une certaine façon, la fin de la politique et des idées, mais le début de la grande distribution de bouffe, de vêtements, de logements et de distractions pour le peuple dont les désirs sont réalistes et non transcendantaux, bien évidemment. Ainsi, je pouvais concevoir, dans cette époque charnière, que nos hommes et femmes politiques soient de piètre qualité, puisqu'il ne s'agissait pour eux que d'être les grandes nounous du peuple dont la mission étatique était de lui changer ses couches et de lui administrer son biberon quotidien, Ah!Ah!Ah! En fait, une chose que n'importe quel imbécile pourrait faire, n'est-ce pas? Sans vouloir accuser injustement Emmanuel Macron d'être un nul en politique, mais son manque de clairevoyance. En ignorant que la tendance actu-elle du peuple était de vouloir revenir en enfance en étant bordé tous les soirs dans son lit par sa maman qu'on appelle l'Etat providence, Ah!Ah!Ah! Pourtant, une chose très facile à comprendre quand on était un peu intelligent ou quand on avait encore les pieds sur terre et la tête sur les épaules, n'est-ce pas? Mais apparemment, les très mauvaises études entreprises par notre jeune président l'avaient éloigné très loin de la réalité où on lui avait appris que le sol était en haut et le ciel en bas, Ah!Ah!Ah! Et quand on avait eu la baracca en 2017 d'être élu président de la république à 40 ans, on pouvait aussi s'imaginer comme le me-ssie, Ah!Ah!Ah! Voyez-vous, mon cher lecteur, quand vous aviez toujours vos sens connectés au cosm-os et à votre environnement proche, vous saisissiez que personne ne pouvait échapper à la grande tendan-ce du moment ou du temps. En vous assurant qu'il était inutile de vouloir remonter le courant d'un fleu-ve malgré tous vos éfforts ou vos convictions politiques ou intellectuelles. Car la force du courant était telle qu'elle vous précipiterait sur les rives très loin de vos esperances ou dans le pire des cas à votre engloutissement total dans ses flots!

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Avec Emmanuel Macron, j'avais l'impression d'assister en direct à la noyade d'un homme sans consis-tance devant mon poste de lélévision, Ah!Ah!Ah! Parfois, j'avais tellement pitié de lui que je voulais lui lancer une bouée de sauvetage à travers mon écran. Mais malheureusement pour lui, ma bouée en plasti-que durant mes dernières vacances avait été percée par un méchant crabe, Ah!Ah!Ah! Et quand j'observais tous ces pseudo-artistes, écrivains, hommes politiques, philosophes, sociologues inonder nos écrans de télévision, j'étais convaincu que la communication avait supplanté l'art véritable. Car au bout du compte, quand je les écoutais, ils ne disaient rien de nouveau, mais faisaient l'apologie du vide, Ah!Ah!Ah! Ce qui était pour eux une façon rapide de rentabiliser leurs investissements en tant que plagieurs, pasticheurs des oeuvres anciennes, mais jamais en tant que créateurs, n'est-ce pas? En sachant bien que la création dema-ndait du temps avec le risque de ne pas rencontrer le succès auprès du public. Alors, on plagiait à tour de bras tout ce qui avait fonctionné par le passé où comme dans la musique rap ou hipop, on piquait des boucles ou des samples des anciens tubes afin que les gens ne soient pas trop bousculés dans leurs habi-tudes culturelles. Bref, rien de nouveau sous le soleil, mais qu'une envie effrènée de rentabiliser ses inve-stissements, n'est-ce pas? Apparemment, le temps des médias et de la communication arrivait à point no-mmé pour remplir ce grand vide de la création, mais avec le grand inconvénient de se répéter indéfinime-nt et de nous lasser, Ah!Ah!Ah! Et souvent, je me demandais avec une grande angoisse, mais quand ce gr-and cirque allait-il s'arrêter où guignol ne nous faisait plus rire en faisant pour la millionnème fois le même numéro qui nous inspirait plutôt de la pitié que de l'emerveillement bien qu'il ait son nez rouge, Ah!Ah!Ah! Et que dire de toutes ces personnes, vues des milliers de fois sur nos écrans de télévision, rép-éter toujours les mêmes mots, expressions, rictus, sourires, embarassements, fausse timidité, avec toujo-urs cette envie de faire le spectacle pour gagner leur vie? Ah!Ah!Ah! Dont les idées étaient de vieilles id-ées qu'elles elducoraient en fonction de l'actualité pour nous faire croire à de la nouveauté ou à un soi-disant renouvellement de la culture, Ah!Ah!Ah! Oui, bien sûr, bien sûr, comme dirait la marmotte d'une célèbre pâte à tartiner, Ah!Ah!Ah! En fait, pour résumer toutes nos observations sur les médias et sur ces personnes dont le destin était intimement lié, nous diront que leur force de communication était de recy-cler les choses du passé, puisqu'elles étaient incapable d'en produire de nouvelles par faute de temps et de capacités véritables à transcender le réel. Sous entendu que l'image avait supplanté les idées et la connai-ssance par sa manipulation facile par les professionnels de l'auiovisuel. Et qu'a partir de là, on pouvait faire dire aux images tout ce qu'on voulait et surtout vendre de la fausse monnaie aux téléspectateurs médusés devant leurs écrans de télévision, Ah!Ah!Ah!.

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Ou par exemple savoir qu'Anouna touchait 50 000 euros par émission en faisant le con à la télé, Ah!Ah!Ah! Ce qui faisait rêver la plupart d'entre nous qui touchions à peine le smic pour un litre de sueur versé par jour sur son lieu de travail! Décidement, la télé n'était pas du réel, mais une belle entreprise d'escrocs et d'arnaqueurs, Ah!Ah!Ah! Comprenez bien, mon cher lecteur, que je n'étais pas jaloux du salaire d'Ano-una, mais que j'exprimais seulement ici mon point de vue et non pas mon indignation où l'argent aurait un rapport avec l'immoralité, mais du bon vouloir de ses amis qui étaient prêts à vous couvrir d'or pour des raisons irrationnelles, Ah!Ah!Ah! Apparemment, à la télé, on couvrait d'or et de gloire de sombres es-crocs qui n'apportaient rien à notre civilisation, mais l'infantilisaient! Mais une chose que j'admettais ent-ièrement sachant que nous vivions aujourd'hui dans un grand vide spirituel et que la nature ayant horreur du vide souhaitait absolument remplir avec tout et n'importe quoi et pourquoi pas avec du vent? Ah!Ah!Ah! Décidement, la communication n'était que du vent! Et moi-même, qui avait travaillé dans une entre-prise de climatisation, je vous assure que produire du vent chaud ou froid rapportait beaucoup d'argent, ce que personne ne voulait croire tellement ça décoiffait, Ah!Ah!Ah! Comme vous le constatiez, la com-munication ne faisait pas partie du savoir ou de la connaissance, mais d'une juxtaposition d'infos( adr-oitement arrangées par les médias) pour faire passer le message de ses commanditaires auprès du public. Bien évidemment, ce message pouvait être de nature politique, économique, religieux, culturel etc afin de convaincre un maximum de spectateurs que leurs idées( présentées avec de grands moyens techniques par nos médias) étaient vraies, Ah!Ah!Ah! Mais ne voulant pas être à chaque fois en contradiction avec ces annonceurs d'avenir radieux (car j'étais comme tout le monde prêt à croire à tout ce qui était beau et charmant, Ah!Ah!Ah!), il me semblait important d'analyser chaque info afin de savoir si elle pouvait en-trer dans ce qu'on appellait la connaissance ou le savoir. Car j'avais entendu, au cours d'une emission sur France culture, un homme apparemment sensé( ce qui était assez rare de trouver dans une station de ra-dio positionnée à gauche ou l'intellectualisme avait fait des dégats irrémédiables) qu'il fallait ranger les infos par ordre d'importance afin de pouvoir les ranger correctement dans la boite à savoirs ou à connais-sances. Bien évidemment, j'étais partiellement d'accord avec lui. Car imaginer, mon cher lecteur, qu' on vous présentait à la télé ou à la radio de fausses informations ou fake news, il devenait évident que de les mettre dans l'ordre de leur d'importance ne changait rien à l'affaire n'est-ce pas? Décidément, la com-munication et la création n'avaient aucun rapport, sinon pour la première de faire du vent pour animer les pseudo-débats à la télé et pour l'autre de créer du réel ou de la matière, n'est-ce pas? 

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A propos du grand ventilateur bricolé par Emmanuel Macron pour organiser le grand débat sur la socièté française, qui consistait à faire souffler le vent dans sa direction et non plus en direction des gilets jaunes, il fonctionnait très bien au point de voir sa cote de popularité remontée dans les sondages, Ah!Ah!Ah! Apparemment faire du vent était plus éfficace que d'avoir de réelles idées pour enrichir la France et appo-rter du bonheur à sa population, n'est-ce pas? Bref, puisque incapable de diriger la France en étant const-amment en campagne électorale( paradoxalement comme Donald Trump pour se maintenir au pouvoir), nous pouvions dire en toute lucidité que la vraie politique était morte depuis belle lurette en démocratie, Ah!Ah!Ah! Mais une chose tout à fait logique aujourd'hui où nous vivions une époque de grand vide spi-rirtuel ou dans l'ère de la communuication ou l'important n'était pas d'être ce qu'on était en tant que pers-onne unique et authentique, mais de produire une image artificielle de soi. C'est à dire une belle image afin d'acceder au succès et au bonheur matèriel! Dit d'une autre façon d'être socialement visible pour justifier son existence parmi ses semblables, Ah!Ah!Ah! Bref, le règne des apparences! Ce qui pour Sake-speare( un homme de l'ombre pour qui la question de l'être était essentielle) aurait été comme un sacril-ège de changer le verbe être par le verbe avoir. Car sans authenticité, il ne peut y avoir de créations ni d' évolution morale dans la socièté des Hommes, n'est-ce pas? J'avais le sentiment que le capitalisme était une tentative de combler notre vide spirituel par le fait d'accumuler des biens matèriels à ne plus en finir, Ah!Ah!Ah! Et semble-t-il toutes les révolutions humaines motivées par le désir de changer le verbe être en verbe avoir pour accèder au bonheur social par un imaginaire cahier de doléances! Bref, une grande illusion, car personne n'échappait à sa vraie nature ni l'individu ni le peuple. Et de croire que le peuple puisse creer une nouvelle civilisation était une grande utopie, car les désirs du peuple sont des desirs réa-listes de manger, boire, dormir, se loger, se reproduire et non transcendantaux! O peuple des chimières et des gilets jaunes, laissez le génie aux génies qui eux seuls peuvent vous guider vers votre bonheur, som-me toute, très conventionnel, Ah!Ah!Ah! Hier, en regardant l'actualité à la télé, j'ai été très étonné de voir, après le mouvement des gilets jaunes, une sorte de mégalomanie s'emparer du peuple où des lycéens, des étudiants et des enfants d'écoles primaires manifestaient dans la rue pour soi-disant sauver la planète, Ah!Ah!Ah! Je ne vous cacherais pas, mon cher lecteur, que tout ceci m'a bien fait rire sans oublier de vous dire qu'un collectif d'écolos désoeuvrés comptait porter plainte contre la France pour négligeance envers la planète, Ah!Ah!Ah! Décidément, le peuple semblait montrer en ce moment des signes de démence en étant pris d'une folie mégalomaniaque rendue possible, il faut le dire, par les médias dont la communica-tion démagogique rendait fou le peuple, Ah!Ah!Ah!

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Entre nous, mon cher lecteur, une grave crise de la démocratie ou bien une grosse crise de nerf du peu-ple? Pour ma part, c'était un peu les deux à la fois, quand on voyait le peuple se prendre pour le centre du monde, Ah!Ah!Ah! Car le peuple n'etait pas le centre du monde, mais qu'une grosse nébuleuse où l'on pouvait tout imaginer, tout spéculer et pourquoi pas lui conférer des odeurs de sainteté, comme on le fai-sait aujourd' hui? Ah!Ah!Ah! Car lorsqu'on découpait un gros gâteau à la crème, on ne savait jamais ce qu'il y avait à l'intérieur peut-être seulement de la crème ou bien de délicieux ingrédients? En fait, on en savait rien tant qu'on ne lui avait pas ouvert le ventre pour voir à l'intérieur, Ah!Ah!Ah! Mais bon, à force d'écouter le peuple gémir, grogner, braire, meugler toute la journée dans les médias, on en avait un peu marre de visiter la ferme à maman-gâteau, Ah!Ah!Ah! Bref, beaucoup de crème à l'intérieur gonflée avec de l'air, mais peu d'ingrédients intérressants pour faire évoluer notre socièté dans le bon sens, n'est-ce pas? Des fois, j'aurais une folle envie de psychanaliser le peuple dans la rue sur un immense divan avec de la bouffe à volonté pour le mettre en confiance, ce qui serait, je pense une grande reussite, n'est-ce pas? En considérant que mon but n'était pas de savoir ce qu'il voulait( car je le savais parfaitement), mais de lui redonner l'impression qu'il était un personnage important dans cette ère des images où apparemm-ent, il avait perdu l'estime de lui-même en perdant son identité par cette impression de flou et de folie générée par les médias, Ah!Ah!Ah! Mais bon, est-ce que les CRS me laisseront poser sur les Champs Elysées d'mmenses divans d'un kilomètre de longueur? Personnellement, je n'y crois pas, mais bougre de dieu beaucoup plus interessant que d'enfiler ces sinistres gilets jaunes couleur pipi, n'est-ce pas? On di-sait dans des vieilles légendes que le jaune était la couleur du diable et en France la couleur des cocus, Ah!Ah!Ah! Bref, pouvait-on dire avec assez de distance que le peuple des gilets jaunes était cocufié par le gouvernement et les médias? Mon cher lecteur, je vous laisse la réponse. Hier samedi 16 Mars, en regar-dant à la télé les gilets jaunes casser et brûler les devantures des magasins sur les Champs Elysées, j'ai compris que le peuple français était un peuple d'idiots, Ah!Ah!Ah! Car étrangement, ce qui les  rendaient idiots, ce n'était pas leur propre nature, mais la république et les médias, Ah!Ah!Ah! Comme si leurs inst-itutions les avait enfermé depuis trop longtemps dans une boite hermétique où ils voulaient absolument en sortir pour goûter enfin à la liberté en ce début de printemps où le réchauffement climatique réchau-ffait apparemment les humeurs, Ah!Ah!Ah! Mais une chose que je pouvais parfaitement comprendre sac-hant que la république les avait enfermé depuis 1789 dans des étables peu reluisantes, il faut le dire. Et s' il m'est arrivé de vouloir la destruction de Paris( à cause de ses monopoles monstrueux sur la province), ce fut à titre symbolique, bien évidemment.

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En ne croyant pas que casser des devantures de magasins ou brûler les stores du Fouquet's ou de chez maxime's puisse nous apporter de véritables solutions pour atteindre le bonheur social dont le peuple as-pire atteindre les rivages paradisiaques, Ah!Ah!Ah! Mais plutôt de nous enfonçer dans un chaos où le ma-térialisme forcené du peuple sera sa perte! Pourtant, comme j'aurais aimé que le peuple français soit un peuple de philosophes! Mais apparemment, Voltaire fut pour lui un très mauvais philosophe et disons-le franchement, un escroc qui ne fut jamais un grand philosophe, mais qu'un arriviste qui avait saisi l'esprit de son temps pour se faire briller comme une petite médaille, Ah!Ah!Ah! Décidément, le peuple français avait une nature très superficielle vu ses très nombreuses manifestations grégaires dans la rue où il se ba-ttait en vain contre le réchauffement climatique et contre son propre destin autrefois guidé par des génies, mais aujourd'hui par des personnages autoproclamés par le peuple, comme les républicains, Ah!Ah!Ah! En sachant bien que le génie venait pour moi de la nature et non des concepts intellectuels du 18 ème siè-cle qui nous avaient entrainé sur la mauvaise route où le peuple se trouvait désormais malheureux, com-me les pierres, Ah!Ah!Ah! Parce que leurs guides autoproclamés lui avaient menti en lui faisant croire qu'il avait un visage d'une admirable beauté qu'il pourrait admirer afin de retrouver sa fierté ou l'estime de soi. Mais le gros problème, c'est qu'on ne pouvait pas donner de vrai visage au peuple parce que la masse n'en avait aucun, n'est-ce pas? En étant pour nous une évidence. Car sa fonction dictée par la nature était de produire de la viande et du lait pour nourrir l'humanité. Et je vous assure, mon cher lecteur, qu'il était inutile d'aller contre sa propre nature même si celle-ci vous avait assigné un destin tout à fait ordinaire, ce qui n'était pas déshonnorant. Car allez contre sa propre nature, c'était aller bien évide-mment contre son bonheur, ce qu personne ne désirait, n'est-ce pas? Et pour aller directement aux choses, mon cher lecteur, étiez-vous en ce moment heureux ou malheureux en compagnie de vos semblables? Si c'était votre cas( d'être malheureux), cela montrait votre génie où le mouton à cinq pattes était instincti-vement rejeté par le troupeau de clones, Ah!Ah!Ah! Et visiblement mon cas, quand j'essayais de parler à mes semblables où je sentais une grande méfiance à mon égard et un rejet de ne pas vouloir me croire tout à fait, comme si je leur dissimulais quelque chose, alors que j'étais d'une totale sincérité! Mais il faut dire que leur instinct primaire "de la peur du loup" ressurgeait à chaque fois pour leur signaler un danger où le troupeau pouvait ête menacé par des bêtes sauvages, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je ne pen-se pas qu' on pourra changer ces choses que la nature avait ancrées très profondément dans la chair des animaux. Il parait même, d'après une étude scientifique, que les souris n'ayant jamais vu un chat de leur vie étaient aussitôt éfrayées d'entendre le miaulement d'un chat! Décidément, tout était biologique et pas forcément culturel, comme le croyait dogmatiquement les intellos! Hier, en buvant ma bière sur la terr-asse ensoleillée du café Jutard, où il faisait un temps admirable, j'avais pitié pour le peuple qui manif-estait à Paris contre le réchauffement climatique. Bref, il me montrait une nouvelle fois qu'il était bête comme ses pieds, Ah!Ah!Ah! 

Une fois de plus, à cause des évènements des gilets jaunes à Paris, la côte de popularité de Monsieur Ma-cron avait chuté de 10 points! Où visiblement, la politique française était devenue un rendez-vous hebdo-madaire avec les gilets jaunes qui fixaient la météo et non plus les services de météo-france, Ah!Ah!Ah! Oùt voir tomber de la neige en plein mois d'août ou assister à une canicule en décembre ne fut pas une chose impossible dans ce beau pays des chimères qu'on appelle la France, Ah!Ah!Ah! Et des poissons tomber du ciel, comme tout à fait possible vu le prix du poisson sur les étales des marchés, n'est-ce pas? Apparemment, nous vivions dans la cour des miracles où l'impossible fut possible où une chèvre pouvait se transformer en lion et une souris en éléphant Ah!Ah!Ah! Mais pourquoi pas dans ce monde où tout tournait à l'envers même les aiguilles des horloges depuis que Monsieur Macron s'était proclamé le maî-tre des horloges? Ah!Ah!Ah! A ce propos, ce week-end, j'ai rencontré un de mes amis au Lorada Bar (un bar PMU dans la rue du mail à la Croix-Rousse) qui m'a dit qu' Emmanuel Macron était pour lui un grand président. Car ce dernier lui avait augmenté sa pension d'invalidité de 60 euros, ce qui lui perme-ttait de parier 60 euros de plus par mois au PMU, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, j'ai été très choqué d' entendre sa honteuse confession, alors que les gilets jaunes se plaignaient de mourir de faim, Ah!Ah!Ah! Certes, une chose grave, mais qui au bout du compte ne changeait guère les finances de l'Etat. Car mon ami perdant tout son argent au jeu, c'était l'Etat qui le récupérait par la taxe sur les jeux, n'est-ce pas? Imaginez ce même scènario joué par des millions d'assistés sociaux, vous comprendrez, mon cher lec-teur, que les assistés soient un bon investisement pour l'Etat en ne manifestant jamais ni ne complotant contre lui à cause de leurs infirmités mentales et physiques, Ah!Ah!Ah! Avec l'intime conviction que les blac-blocs ne soient pas des assistés comme les autres, mais en parfaite santé pour vouloir détruire l'Etat, Ah!Ah!Ah! Et puis, mon ami, avez-vous déjà vu un paralytique jeter un cocktail molotov sur la police, un malade courir un marathon, une souris foncer sur un éléphant? Visiblement jamais et tant mieux pour nous tous, n'est-ce pas? Pour être concrêt, mon ami touchait 900 euros de pension d'invalidité + 200 euros d'APL, ce qui lui revenait à payer son loyer seulement 30 euros! Bien évidemment, mon ami était outré par la violence des gilets jaunes et des blac-blocs et on pouvait parfaitement le comprendre. Après tout ce qu'on venait d'apprendre, il me semblait qu'Emmanuel et Brigitte Macron avaient un faible pour les handicapés mentaux et physiques peut-être pour leur côté inoffensif, Ah!Ah!Ah! Avec le malheureux constat que la France soit devenue un grand hôpital psychatrique où l'on pourrait soigner les Français de leurs maladies incurables, telles que la vanité et leur individualisme forcené, Ah!Ah!Ah! Tout ceci m'am-ènait à dire que monsieur Macron n'était pas un vrai homme politique, mais un medecin raté qui essayait de faire des expériences borderlines sur les Français, comme le docteur Mingele dans les camps de la mo-rt!

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BIen évidemment, je caricaturais un peu les choses, mais pourquoi pas voir en lui une sorte de docteur Maboule ou Frankeinstein en sachant que son père était medecin avec qui il semblait avoir un conflit de-puis l'enfance? Mais je ne vais pas essayer de faire une psychanalise sur notre jeune président qui éprou-verait un soi-disant refoulement ou de la haine envers son père en suivant l'idiote conception de Freud, Ah!Ah!Ah! Car personnellement, je ne pense pas que tout soit de nature sexuelle, mais bien plus compli-qué que cela ou, en fin de compte, la folie d'un homme ou d'une femme serait liée à son destin et non forcément à ses origines. Comme pour Emmanuel Macron où tout lui était tombé rôti dans le bec, le pouvoir et l'argent, comme le docteur Mingele, le pouvoir et les cobayes en nombre infini dans les camps de la mort! A l'évidence ses cobayes étaient ces pauvres Français attachés solidement à leur tables d'opé-rations pour ne pas qu'ils s'enfuient, Ah!Ah!Ah! La table d'opération étant bien évidemment la civilisation française qui était sur le point de succomber d'un instant à l'autre où Docteur Macron et son assisstante, Brigitte, penchés au dessus, comptaient soigner avec des outils vieux et rouillés comme la république, Ah!Ah!Ah! Et vu le spectacle pitoyable que nous offrait en ce moment les gilets jaunes dans les médias, une question de conscience semblait se poser à nous. En voulant parler de lucidité, bien évidemment. Car qui d'entre nous, mon cher lecteur, pourrait croire un seul instant que le troupeau ait une conscience, alors qu'il n'en a jamais eu? Ce qui me faisait dire ceci, c'était les propos d'un leader des gilets jaunes entendus à la télé qui disait aux journalistes : Désolé, messieurs, mais je ne suis pas le chef des gilets jau-nes! Visiblement, mon constat était juste et nous montrait bien que le troupeau n'avait aucune conscience politique en étant qu'un mouvement de masse où tout le monde suivait celui qui était devant lui, Ah!Ah!Ah! Ce qui d'une certaine façon, je vous assure, n'avait rien d'humiliant pour le peuple en étant sa propre façon d'agir, n'est-ce pas? Et puis entre nous qui n'a jamais fait la queue en trépignant des pieds devant la caisse d'un supermarché ou devant les bureaux du trésor public pour payer avec embarras son dû à la na-tion? Ah!Ah!Ah! Visiblement, peu de gens, à part des gens hors système, n'est-ce pas? Et puis essayer d' interviewer une vache dans le troupeau qui je vous assure vous dira en tremblant de peur( on peut la comprendre) : Désolé, mais ce n'est pas moi la cheffe du troupeau! Ah!Ah!Ah! Ce qui était logique et im-muable, n'est-ce pas? Car personne dans le troupeau ne voulait assumer la responsabilité de l'éffrayant tremblement de terre provoqué par son passage à travers les villes ou même devant l'Histoire où la casse risquait d'être très importante, n'est-ce pas? Comme dans le cas des gilets jaunes qui soutenaient indirect-ement les blac-blocs dont les ambitions n'étaient pas les leurs, mais toutes autres. Comprenez-bien que je ne faisais pas ici un jugement moral sur le troupeau, mais qu'une description de ce qui s'y passait à l'inté-rieur où tout était possible même l'érection du pénis comme la nouvelle idole du peuple, Ah!Ah!Ah! Mais pourquoi pas sachant que le grand désir du peuple était de produire de la viande et du lait? Oui, je sais, une belle métaphore de l'union entre l'homme et la femme qui, comme nous le savions tous, fabri-quait des enfants donc de la viande, n'est-ce pas? Mais n'y voyez pas de ma part, mon cher lecteur, un quelconque mépris, mais qu'un établissement de la vérité entre nous et non du mensonge.

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Car à la vérité, j'aimais bien les bêtes qui n'avaient aucune conscience politique, Ah!Ah!Ah! Tel était leur destin de ne pas savoir qu'elles étaient destinées aux abattoires, comme le peuple aux grands abattoirs de l'Histoire pour aller au fond des choses, Ah!Ah!Ah! En étant pas conscientes de leur mortalité et que leu-rs éleveurs les destinaient à la viande d'abattage, alors qu'elles auraient pu le deviner en vivant à leurs cô-tés depuis des millénaires, Ah!Ah!Ah! Mais visiblement, leur nullité politique leur faisait croire que leur éleveur était un homme bon puisque les nourrissant et les dorlotant chaque jour afin qu'elles prennent du poids, bref, de la viande! Ainsi voyait-on que les bêtes ou le peuple n'était pas contre la prise de poids( d' ou l'obésité galopante dans nos sociètés opulentes) et nous prouvait qu'elles étaient matérialistes et non métaphysiques. Jusqu'à dire sans me tromper qu'elles étaient naturellement capitalistes et communistes en même temps, telle était la tendance actuelle de nos sociètés modernes où la Chine nous montrait la direction à suire. Hier après-midi, assis à la terrasse du Jutard où je buvais ma pêtite bière, j'ai pu assister à un spectacle pitoyable de la part des gilets jaunes où, défilant sur le boulevard de la Croix-Rousse, ils scandaient: A mort le capitalisme! A mort le capitalisme! Sincérement, pendant un instant, j'ai cru qu'on était revenu aux temps préhistoriques de l'Histoire où je n'étais pas le seul à le penser en regardant mes voisins de table frappés de stupeur, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, pour les gilets jaunes, nous qui étions attablés aux terrasses des cafés à nous prélasser au soleil, nous étions de sales capitalistes, Ah!Ah!Ah! Décidément, la bêtise des gilets jaunes n'avait plus de limites au point d'ouvrir un nouveau champ d' exploration où l'on avait plus rien d'interessant à dire, sinon qu'approfondir la médiocrité, Ah!Ah!Ah! Et puis ne nous le cachons pas, comme j'étais un créateur et un artiste, je ne me sentais pas faire partie du peuple où la bêtise pointait son nez au milieur de son visage, Ah!Ah!Ah! En regardant ses représentants autoproclamés et ses élites intellectuelles qui nous montraient une dégénérescence mentale désormais visible. Décidément, les valeurs populaires n'étaient pas ma tasse de thé, comme vous l'auriez déviné. Car mon but était d'atteindre le sublime et non d'explorer la banalité, comme le faisait nos artistes et intelle-ctuels d'aujourd'hui proclamés par nos médias dont le fond de commerce était la démagogie pour attei-ndre un maximum de public! Bref, le succès populaire et non l'art véritable, comme je le recherchais. Dé-cidément, y' avait pas photo entre nous, n'est-ce pas? Et visiblement la grosse différence qu'il y avait en-tre la bête et l'homme. Où la première n'était pas consciente de sa mortalité( en vivant dans une sorte de nébuleuse ou paradis indéfinissable) et le second conscient de sa mortalité en développant en lui une con-science morale et politique! Bien évidemment, comme je vous le disais au début, j'aimais bien les bêtes car elles n'avaient aucune conscience politique et morale, mais en totale adéquation avec leur bonheur.

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Ainsi voyait-on par simple déduction que l'homme en comparaison avec la bête était un animal malheur-eux à moins qu'il se fonde dans le troupeau pour éprouver à nouveau ses instincts grégaires ou commun-autaires, Ah!Ah!Ah! Visiblement, la socièté telle qu'on la concevait depuis l'aube des temps n'avait pas vraiment évolué où l'on se baladait sans cesse entre ses deux pôles d'attractions et de répulsions où mal-heur et bonheur étaient intimement liés. Moi-même, je ne vous cacherais pas, que je sentais souvent en moi ma haine et mon amour pour l'humanité cohabiter comme deux frères ennemis. En le ressentant, co-mme un combat ridicule et inutile en étant convaincu que l'homme était une erreur de la nature ou pré-sentait une anomalie, Ah!Ah!Ah! Par la conscience de sa mortalité qui l'empêchait d'être heureux, comme la bête d'un troupeau où le peuple se reproduisait sans l'ombre d'une culpablité en pensant qu'il avait toujours raison en étant la finalité de tout, Ah!Ah!Ah! Où les grands démagogues ou politiciens qui avai-ent entendu son message le caresseraient dans le sens du poil pour le flatter, mais sans pour autant lui do-nner une conscience politique ou morale, mais seulement son utilité dans l'ordre des choses. C'est à dire un destin matériel auquel le peuple aspirait pour son bonheur terrestre ou si vous voulez la grande bana-lité comme idéologie pour les peuples sans métaphysique! Bien évidemment, on pouvait être pour ou contre, mais alors quel cauchemar pour notre imagination débordante, mon ami! En faisant quotidienne-ment l'apologie de la banalité pour faire partie du peuple, telle était l'odieuse machination ou torture que nous infligeait nos médias par l'intermédiare de leurs pseudo-artistes ou intellectuels obsédés par le succ-ès populaire, Ah!Ah!Ah! Sincèrement, moi qui n'avait aucun succès auprès du public, en produisant des chefs-d'oeuvre, moralement, ça ne me gènait aucunement. Car ma mission était d'attendre le sublime et non la plate banalité que nous offrait en spectacle le monde d'aujourd'hui en exploitant honteusement la technologie. En résumé, l'homme était un accident de la nature( par la conscience de sa mortalité) en gén-érant sur la Terre une cascade d'accidents tel qu'on pouvait le voir sur son environnement naturel, n'est-ce pas? En vous assurant, mon cher lecteur, que ceci n'était pas un concept intellectuel, mais une réalité ou l'invention de la voiture ou de la bombe atomique ne fut qu'un enchainement d'accidents provoqué par l'Homme qu'on pourrait appeler sans se tromper Monsieur Catastrophe assisté bien évidemment par sa fidèle compagne, Madame catastrophe, Ah!Ah!Ah! Et que l'évolution de notre civilisation ne fut pas le résultat de notre soi-disant intelligence, mais de notre nature accidentogêne inscrite dans nos gènes.

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Cela pourrait paraître aberrant ce que j'affirmais là, mais il me semblait bien que la réalité nous le prouv-ait chaque jour, n'est-ce pas? Et puis, mon ami, pourriez-vous faire confiance à cet Homme né d'un acc-ident de la nature qui prenait plaisir à provoquer des accidents autour de lui? Ah!Ah!Ah! Moi sincère-ment, j'éviterais de le côtoyer dans ma vie quotidienne afin qu'il ne fasse pas de mon existence un champ de bataille, Ah!Ah!Ah! A ce propos, hier soir, en regardant un débat politique à la télé( où des hommes politiques essayaient de nous convaincre qu'ils avaient tous raison, mais en se contredisant en perman-ence), j'avais le sentiment de me retrouver sur un champ de bataille intellectuel où leur arme favorite était le mensonge, Ah!Ah!Ah! Et paradoxalement, le principal organisateur du débat n'était pas les hom-mes politiques, mais les médias qui jouaient le rôle du chef d'orchestre qui sans eux le mensonge ne pourrait atteindre le public ou le peuple, Ah!Ah!Ah! En fait, pour être réaliste, je dirais que les hommes politique ne pouvaient plus se passer des médias qui sans eux n'auraient plus d'existence politique! C'est pour cette raison que j'ai ressenti au cours de cette émission politique, une grande hypocrisie venant aussi bien des hommes politiques que des médias qui surpomblant le débat pour devenir le grand chef d' orchestre qui donnait le LA à tous, bref, l'actualité. Bizarrement, cela me faisait penser à mon cafetier de la rue du Mail qui derrière son comptoir observait et écoutait tous ses clients afin de se donner une idée de se qui les préoccupait dans leur vie quotidienne. Bref, un observateur très bien placé comme les mé-dias pour spéculer sur leurs prochaines actions, Ah!Ah!Ah! Apparemment, les médias du monde entier étaient en connivence pour être un Etat dans l'Etat et prendre tous les pouvoirs! Bref, le grand fleau du monde de demain, mon cher lecteur, qui je pense interrogera les vrais hommes politiques et non les imp-osteurs qui inondaient nos plateaux télés. Et affirmer sans se tromper que la construction de l'union eu-ropéenne était un accident politique vu la catastrophe qu'elle avait engendré au sein des nations qui se sentant flouées réclamaient haut et fort le retour à leur souveraineté, Ah!Ah!Ah! Décidément, la cons-truction de l'union européenne, après la fin de la deuxième guerre mondiale, fut une très mauvaise idée puisque tous les pays avaient retrouvé la paix où il était inutile de compliquer les choses au risque de provoquer la 3 ème guerre mondiale ou la guerre civile par le retour aux nationalismes, n'est-ce pas? Et que ce retournement paradoxal des choses( observé dans tous nos pays qui ne pouvaient plus agir en tou-te liberté), nous montrait que l'Homme était le seul responsable, bref, par son penchant naturel à prov-oquer des accidents de toutes sortes dans son environnement. Et puis, mon ami, regardez cet Homme toujours insatisfait de lui-même, jamais content, cela nous montrait-il pas qu'il était une erreur de la na-ture et que ce surnom de Monsieur catastrophe lui allait à merveille? Décidément, mon cher lecteur, nous étions en ce moment dans le vrai, mais qu'aucun de nos intellectuels ou politiciens n'acceptera la critique en étant les grands défenseurs de la nature accidentogène des Hommes où au bout du compte la pensée politique et intellectuelle n'était qu'un banal accident de la route observé sur le parcourt de notre Histoire humaine! Je sais bien que c'est révolutionnaire ce que j'affirme là, mais mon but n'est pas de creer de concepts intellectuels pour renouveler nos erreurs passées, mais de revenir à l'essentiel afin de rectifier les Hommes que la nature avait créées de manière imparfaite!

Pour revenir à nos médias( dont le rêve était de devenir un Etat dans l'Etat en mettant constamment de l' huile sur le feu sur les évènements politiques), regardez comme ils observaient avec attention les évène-ments qui se passaient actuellement en Algérie où ils attendaient que les évenements s'enveminent afin de pouvoir remplir leurs colonnes d'actualités et faire tourner leur fond de commerce, Ah!Ah!Ah! Si vous possèdiez un sens aigu de la politique, vous constaterez une fois de plus que le peuple en général se mon-trait des plus idiots. Car le peuple Algérien, en se débarassant du président Bouteflika, avait permis à l'ar-mée de reprendre le pouvoir en Algérie! Décidément, le peuple n'avait aucune conscience politique car il était bête comme ses pieds, comme je vous l'avais dit précédemment, mon cher lecteur. C'est la même chose quand le peuple demandait la baisse des impôts. En ne sachant pas que l'Etat (qui n'avait pas les or-eilles d'un sourd) pour diminuer ses frais de fonctionnement priveratisera les entreprises en diminuant le nombre de fonctionnaires, bref, ce dont le peuple était opposé par nature, n'est-ce pas? Tout compte fait, il était inutile d'essayer de convaincre une tête de mûle qui croyait dure comme fer qu'elle avait toujours raison parce que faisant partie du troupeau ou du peuple dont les démagogues avaient lustré le poil de-puis des siècles, Ah!Ah!Ah! Toujours sur la même veine( où l'Homme était un accident de la nature par son talent prodigieux de provoquer des catastrophes sans fins autour de lui), il me semblait bien que l' incendie de la cathédrale de notre dame de Paris en soit un parfait exemple, n'est-ce pas? Et que les mé-dias pour ne pas être grossier en faisaient leur choux gras en nous bassinant toute la journée sur sa future rénovation où Monsieur Macron était devenu en quelques heures son futur reconstructeur, Ah!Ah!Ah! Mais bon, pourquoi pas quand on avait eu la baracca en 2017 sans aucun génie politique ou de construc-teur? Bref, tout ceci était une vaste fumisterie. Car visiblement notre président, au lieu de s'interesser à la vie présente des Français, avait l'air plutôt de s'interesser aux vieilles pierres, Ah!Ah!Ah! Ce qui nous prouvait qu'il était un homme du passé et non celui de l'avenir, n'est-ce pas? Mais une chose que j'ai dite à plusieurs reprises dans mes écrits où deseperement la France était devenue un grand musée où nos ho-mmes politiques n'étaient pas de vrais hommes politiques, mais les gardiens équipés de balayettes pour dépoussièrer les statues et non les statuts sociaux des Français, Ah!Ah!Ah! A propos de cet incendie de notre Dame de Paris où Macron avait eu beaucoup de chance qu'elle ne parte pas entièrement en fumée( car ça aurait été symboliquement catastrophique pour son quinquennat), j'ai remarqué aux cours des déb-ats dans les médias que personne ne parlait de Dieu, alors qu'un de ses illustres temples avait été incendié par une main invisible! Moi qui suis superstitieux, j'aurais pu y voir comme la main de diable à l'oeuvre. Mais bizarrement, l'idée n'avait effleuré personne, alors que la France était en état d'insurrection avec les gilets jaunes, le chômage en hausse, le nombre de tués sur les routes et que Monsieur Macron avait été élu président de la république comme par magie!

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Tout ceci, bien évidemment, me posait de grandes questions métaphysiques voires superstitieuses. Et ce n'était pas anodin si Monsieur Macron avait décidé de prendre cinq ans et non sept ans pour reconstruire la maison de dieu pour ne pas étre pris pour l'apôtre du diable, Ah!Ah!Ah! Et que le milliard d'euros de dons récoltés pour reconstruire notre Dame de Paris allait une nouvelle fois rendre la ville de Paris plus riche que jamais! Décidément, elle était pour nous la ville de tous les démons, Ah!Ah!Ah! Sachant que Monsieur Macron avait élu en 2017 où le chiffre 7 était le chiffre du diable, n'est-ce pas? Bref, 7 ans de malheurs comme le disait notre dicton populaire. Et une chance pour lui que son règne ne dure qu'un qu-inquennat au lieu d'un septennat grâce à la constitution française. Bref, qu'il remercie la république fran-çaise pour que son malheur ne s'éternise pas au-delà de son mandat politique, Ah!Ah!Ah! Mais où l'ince-ndie de notre Dame de Paris et sa reconstruction pourrait bien lui sauver son âme, Ah!Ah!Ah! Mon dieu, mais c'est fou de savoir que le hasard n'existe pas et que Dieu voit tout et entend tout! A ce propos, il est fort possible que Monsieur Macron soit le premier président républicain a renouer les liens entre l' Eglise et l'Etat dont la séparation en 1905 avait ébranlé fortement les Français. Tonnerre de dieu, l'incendie de notre Dame de Paris venait à point nommé, n'est-ce pas? Parfois, j'avais le sentiment que la séparation de l'Eglise et de l'Etat fut une véritable catastrophe pour la France et le monde entier en pensant aux deux guerres mondiales qui allaient détruire l'Europe parce que les Etats avaient souhaité se débarasser défini-tivement de Dieu pour le remplacer par le diable, Ah!Ah!Ah! Méditez cette hyperbole historique et religi-euse, mon cher lecteur, car il me semble bien que la vérité des Hommes s'y trouve, mais qu'aucun de nos historiens officiels n'avaient éffleuré l'esprit. Une fois de plus, notre jeune président très novice en politi-que s'était montré des plus decevant devant les Français au cours de son grand oral de vendredi dernier! Mais sans vouloir insister sur ces choses en ne voulant pas faire de notre jeune président le grand déver-soir de nos frustrations, comme le faisait les gilets jaunes! Car tout compte fait, un homme heureux se definissait avant tout comme une personne intelligente qui savait gérer ses frustrations parce qu'il en av-ait peu, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'était pas le cas des gilets jaunes et disons même de l'ensemble des Français qui toute leur vie avaient exercé des metiers qu'ils n'aimaient pas, fondé des familles sans savoir bien pourquoi, vécu sans passion, bref, fait comme tout le monde pour remplir le vide de leur existence, Ah!Ah!Ah! Et s'ils étaient malheureux aujourd'hui, c'était pour ces raisons en ne sachant plus comment jus-tifier leur inexistence dans la socièté des Hommes! Quant à moi, tant que j'avais assez d'argent pour man-ger, boire et me loger, je ne ressentais aucun sentiment de frustratrion, comme les Français au crépuscule de leur vie ou quand ils partaient à la retraite, Ah!Ah!Ah! En fait, le secret de mon bonheur, c'était la mé-ditation, la masturbation et la création, Ah!Ah!Ah! C'est à dire un grand programme de civilisation que je voudrais proposer au peuple français pour les siècles à venir et tout particulièrement aux gilets jaunes qui se sentaient nuls dans leur vie au point de vouloir organiser un suicide collectif devant les caméras du monde entier, Ah!Ah!Ah! En fait, nous en étions pas loin, n'est-ce pas?

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Bref, un samedi noir que nous attendions tous de voir avec impatience devant notre poste de télévision, Ah!Ah!Ah! En faisant ici un constat sur la socièté française et non ma petite vengeance personnelle pour satisfaire mes fantasmes ou prendre du plaisir là où je le pouvais encore, Ah!Ah!Ah! Car ce serait faire de la calomnie envers ma personne intègre dont le but était de redonner de la lucidité aux Français et leur intelligence que la république avait anéantie en quelques siècles, Ah!Ah!Ah! Néanmoins, un long travail, mais utile, n'est-ce pas? Mais après avoir mis la première pierre à l'édifice, grâce à mon génie, je pense que le travail se fera tout seul. Et quand les gilets jaunes scandaient aux policiers "Suicidez-vous", ils pa-rlaient en vérité pour eux-mêmes et pour tous les Français dont la vie ressemblait à celle d'un zombie, Ah!Ah!Ah! Il parait qu'en Amérique, la nouvelle expression à la mode était mort-vivant comme un Fran-çais, Ah!Ah!Ah! Apparemment, l'Amérique voulait devenir notre grand fossoyeur, comme elle avait ente-rré le communisme dans les pages de l'Histoire, Ah!Ah!Ah! Pour parler d'autre chose, il y a quelques te-mps, j'ai arrêté mes écrits pour me consacrer à la musique qui est mon autre passion. Car comme vous le savez, mon cher lecteur, je ne suis pas seulement écrivain, mais aussi compositteur où pour l'occasion j'ai composé deux chansons : No, It's never time et Rap philosophie dont les sources d'inspirations sont fort différentes. Pour la première, c'était l'envie de parler des femmes dont l'emprise sur les hommes était si forte qu'elle les empèchaient de devenir heureux, Ah!Ah!Ah! Et la deuxième en m'inspirant des gilets jaunes qui aujourd'hui travaillaient pour rien, sinon pour la gloire, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, si vous avez écouté ma première chanson, elle était teintée de regret, mais aucunement d'amertume envers les femmes. Car elles sont telles que la nature les avait  fabriquées et comme dirait Marc Aurèle qu'on ne pouvait pas se plaindre contre la nature, mais que de nous-mêmes, Ah!Ah!Ah! Car tout compte fait, nous restons libres de nous marier ou pas, n'est-ce pas? En vous disant cela, je ne disais pas qu'il ne fallait plus cotoyer les femmes, non. Mais de les cotoyer de temps en temps afin d'éviter que leur emprise sur vous, vous dévore totalement en vous transformant en larve rampante, Ah!Ah!Ah! Bref, que le choix existe toujours quand vous avez assez de volonté ou d'intelligence, n'est-ce pas? Comme vous l'avez compris, mon cher lecteur, je ne vouais aucune haine envers les femmes. Car j'ai été adoré par ma mère durant mon enfance où j'ai souvent remarqué que les femmes étaient des êtres passionnés et qu'on pouvait s'att-endre à tout avec elles, même à l'amour destructeur, Ah!Ah!Ah!

En vous affirmant sans mentir que j'ai été une de ses victimes, bref, de son amour immodéré et excessif! Malheureusement, il était trop tard pour moi d'y remédier. En vivant désormais avec ce lourd fardeau sur mes épaules sans jamais pouvoir m'en débarasser, sinon qu'à ma mort! Ah comme j'aurais aimé être l'enf-ant sauvage de François Truffaud dont le seul grand amour fut l'amour sans visage qu'on appelle la Nat-ure. De toute évidence, l'emprise des femmes était si forte dans notre socièté qu'il était difficile d'y éch-apper à part éviter nos contacts avec elles dont la grande passion était la fusion des corps, Ah!Ah!Ah! Qui apparemment, nous empêchait de devenir des hommes libres tel qu'on pouvait le voir autour de nous ou les hommes étaient devenus de pauvres petits maris térrifiés par une dictatrice ou dominatrice, Ah!Ah!Ah! Bref, pour revenir à ma chanson, Rap Philosophie, inspirée par les gilets jaunes, leurs frustrations nous avaient explosé à la figure sur nos petits écrans et duraient depuis plus de cinq mois. Et bien qu' Emmanuel Macron ait fait de grands éfforts en leur lâchant cinq milliards d'euros, ils continuaient à défi-ler et à défier l'Etat, comme si leurs frustrations étaient abyssales au point de ne pouvoir être négociées contre de l'argent. Telle était ma conclusion. Car nos gilets jaunes n'avaient pas besoin d'argent vu que la plupart travaillait et avait des revenus, mais besoin de reconnaissance. Ce qui me choquait beaucoup en pensant que seuls les artistes, les créateurs, les génies étaient légitimes à recevoir de la reconnaissance! Mais là visiblement, notre socièté d'aujourd'hui marchait sur la tête où paradoxalement le commun des mortels recherchait la reconnaissance ou la célèbrité, ce qui était une totale aberration dans le sens philo-sophique, n'est-ce pas? Mais avec la médiatisation à outrance des evénements insignifiants dans notre so-cièté, cela complexifiait énormément les choses au point de tout mélanger aussi bien les torchons que les serviettes, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je pense que rien de grand n'en sortira, car tout était mélangé en se confondant, bref, les fantasmes des uns et les frustrations des autres qui pour un homme intelligent étaient à sommes nulles, Ah!Ah!Ah! Et j'en parlais en toute connaissance de cause en étant moi-même un artiste( qui n'avait jamais reçu la moindre reconnaissance de mes contemporains) où mes frustrations éta-ient légitimes, bien entendu. Car je créé des chefs-d'oeuvre et non le commun des mortels que je ne dén-igre pas, mais pour lequel j'aurais souhaité qu'il garde sa place et non prendre la place des artistes ou des gens exceptionnels. Visiblement, l'outrance des médias donnait l'impression à tout le monde qu'il pouvait devenir quelqu'un d'extraordinaire, Ah!Ah!Ah! Telle était le grand fantasme véhiculé par les médias de fa-ire croire au miracle par les images, Ah!Ah!Ah! Ma chanson, Rap Philosophie, exprimait bien évidemm-ent toutes ces choses où le vide spirituel de notre socièté moderne rendait fou tout le monde en générant en nous encore plus de frustrations. Ah comme j'aurais souhaité vivre en Inde ou dans un temple boud-iste pour échapper à mes contemporains devenus fous et tout particulièrement les Français, Ah!Ah!Ah! En fait, ce qui leur manquait le plus, c'était de la sagesse!

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Et quand je voyais nos vieux défiler avec les gilets jaunes, j'avais pitié pour eux, Ah!Ah!Ah! Car j'ai touj-ours pensé que la vieillesse devait permettre aux hommes et aux femmes de rechercher la sagesse et une vie intérieure et pourquoi pas Dieu? Mais là visiblement nos vieux recherchaient la confrontation avec l' autorité pour se croire toujours jeune, Ah!Ah!Ah! Bref, la crise d'adolescence à 70 ans, Ah!Ah!Ah! Déci-dément en France tout marchait à l'envers et contre le bon sens. En prédisant le pire où la folie nous guet-tait parce que nous nous trouvions à la fin de notre civilisation française. Bien évidemment, la républi-que y était pour beaucoup en ne pouvant redonner la raison à des fous, Ah!Ah!Ah!

Ce matin en réecoutant mes symphonies, j'ai senti véritablement que j'avais écrit des chefs-d'oeuvre sans savoir comment! Comprenez, mon cher lecteur, que je ne disais pas cela pour me faire mousser ou pour compenser l'indifférence totale de mes auditeurs pour mes oeuvres, mais parce que seul le temps perme-ttait de donner à l'auteur le sentiment qu'il avait écrit soit un chef-d'oeuvre soit de la merde, Ah!Ah!Ah! Je sais que c'est rude d'entendre cela pour un auteur, mais c'est bien la vérité qu'il doit assumer et que le succès médiatique au bout du compte ne signifie rien du tout, sinon qu'on a parlé de lui grâce à son rés-eau d'amis dans les médias ou dans les milieux culturels. Bien évidemment, comme tout cela m'est inter-dit (comme beaucoup d'autres auteurs qui ne savent pas s'ils ont écrit des chefs-d'oeuvre ou de la merde), ils sont comme moi dans un flou total artistique ou intellectuel. Et ce matin, afin de me rassurer et dissi-per mes doutes qui pouvaient me rendre fou, j'ai réecouté mes oeuvres en tout objectivité et le verdict m'a semblé évident : Oui, j'avais bien écrit des chefs-d'oeuvre, mais que tout le monde feingnait d'ignorer l'existence, Ah!Ah!Ah! Visiblement, le monde niait mon existence et celles de mes oeuvres et tout partic-ulèrement le monde Internet qui était un monde vitruel rempli de fantômes, bref, une coquille vide, Ah!Ah!Ah! Un rude constat que je faisais sur la nouvelle technologie, mais nécéssaire pour ne pas se cacher la vérité. En me faisant penser bizarrement au cas tragique d'Aaron Swartz, un précurseur d'Internet, qui s'était suicidé en 2013 parce qu'il avait cru aux vertus du monde virtuel. Pauvre de lui, je me disais au-jourd'hui où sa grande naïveté l'avait poussé à mettre fin à ses jours et malgré ses millions d'amis virtuels sur Internet. Bref, comme vous le voyez, ses amis virtuels au bout du compte ne l'avaient pas sauvé, car ils n'étaient que virtuels et non réels, n'est-ce pas? Malheureusement pour lui, Aaron Swartz était inform-aticien et hacker et non un artiste comme je le suis en produisant réellement des oeuvres. C'est cela, je crois, qui lui avait manqué pour croire à la vie réelle et ne pas se suicider bêtement. Car hacker toute la journée pour creer de pseudo-oeuvres et les proposer aux internautes, c'était faire une grande erreur str-atégique voire existentielle. Bref, tout le contraire de l'artiste et du génie qui ne compilait pas tous les sa-voirs, mais les digérait pour créer des oeuvres nouvelles, non faites d'informations, mais de nouveaux savoirs. Le cas d'Aaron Swartz ressemblait énormément aux cas d'Assange et de Snowden, qui n'avaient rien créé réellement, mais hacké des informations hautement statégiques pour les Etats-Unis. Ce qui en-tre nous avait démoli l'image d'Obama pour précipiter la victoire de Donald Trump à la présidence amé-ricaine, ce qui n'était pas un cadeau, mais plutôt un cadeau empoisonné, n'est-ce pas? En toute objecti-vité, l'arrestation récente d'Assange était tout à fait justifiée vu les faits que je venais de vous mentionner. Quant au cas de Snowden sont sort était scellé pour autre trahison contre son pays, n'est-ce pas? Je sais que je ne suis pas tendre avec eux, mais il faut dire la vérité sur l'imposture qu'ils représentent en tant que lanceurs d'alertes!

Ainsi, mes amis, méfions-nous de ces pseudo-génies qui n'en sont pas, mais seulement des communic-ants, Ah!Ah!Ah! Pour parler d'autre chose, puisque règne un silence assourdissant autour de mes oeuvres symphoniques et littéraires( où la reconnaissance semble impossible à exprimer par mes visiteurs qui au bout du compte ne sont que virtuels), il m'est paru utile et intelligent de nier moi aussi leurs existences, Ah!Ah!Ah! Parce que des fantômes qui avaient tendance à entraîner le suicide chez les gens qui les croy-aient réels, comme le cas d'Assange, de Snowden et de Swartz, Ah!Ah!Ah! Pour parler plus intimement, j'ai souvent l'impression d'être seul dans un vaisseau spatial où chaque soir, j'envoie un message à la Terre, qui étrangement m'entend bien, mais ne me répond pas parce qu'il règne sur celle-ci le chaos gén-éré par la concurrence entre les Hommes ou l'hyper individualisme, Ah!Ah!Ah! A ce propos, cette nuit, j'ai fait un horrible cauchemar où j'étais sur une rive avec un enfant où nous attendions avec impatience de traverser un fleuve rempli d'eau sale et nauséanbonde. Mais bizarrement, la barge que nous attendions pour accéder à l'autre rive, où se trouvait pour nous le paradis, n'arrivait toujours pas en étant bloquée au milieu du fleuve où le capitaine avait stopé les machines, car les hommes à bord se battaient entre eux et empêchaient le voyage de se dérouler normalement! Symboliquement, après avoir analysé mon rêve, j'ai compris que le fleuve représentait la vie( qui ne sentait pas très bon) et la barge, la socièté des Hommes où tout le monde se battait pour sauver sa peau! Visiblement, le monde d'aujourd'hui allait très mal au point de hanter mes nuits, Ah!Ah!Ah! Toujours dans le domaine des prophéties, la nuit suivante, j'ai fait un nouveau cauchemar où un matin je me reveillais vieux! Oui, j'ai bien dit vieux comme un vieillard, Ah!Ah!Ah! C'est à dire avec des cheveux blancs et longue barbe telle qu'on pouvait les voir dans les vie-illes gravures christiques du moyen-age. Bref, très étonné moi-même qu'une telle précipitation du temps ait pu se produire en une seule nuit, je regardais et palpais ma longue barbe blanche avec un profond dé-goût, il faut le dire, puis je me levais de mon lit en entendant craquer mes articulations, comme de vieux ossements, Ah!Ah!Ah! Décidément, le temps était une très mauvaise affaire pour toute chose vivante! pensais-je en toute lucidité. Mais ce qui me choquait le plus en enfilant mes vieilles pantoufles( qui étai-ent usées jusqu'à la corde, mais que j'aimais plus que tout), c'était la faible luminosîté qu'il regnait dans ma chambre où derrière la fenêtre perçait la lumière du jour que mes yeux n'arrivaient plus à percevoir l'admirable clarté. Aussitôt, je compris que mes yeux avaient vieilli eux aussi comme mon corps et qu'il ne leur serait plus possible desormais d'admirer la beauté du monde sous le prisme du soleil. Bref, désa-busé par tout ce qui m'arrivait d'extrêmement désagréable, comme un petit vieux, je me dirigeais vers ma cuisine afin de me préparer mon petit déjeuner, comme je l'avais toujours fait avec plaisir, Ah!Ah!Ah!

Mais ce qui m'ébranla terriblement en allumant la lumière de mon salon, ce fut de voir le lieu entièrem-ent rempli de poussière et de toiles d'araignées! Visiblement, le temps s'était arrêté dans le lieu même de mon habitation où ma table était recouverte de poussière blanche ainsi que mon plateau où se trouvait mon pot à café et mon sucrier, comme si une neige étrange leur était tombée dessus la nuit dernière, co-mme produite par le temps. De mon lustre pendait des toiles d'araignées telles des voiles de fées que seul le temps avait pu sculpter par son immobilisme et son silence effrayant. Puis m'avançant péniblement vers mon évier, j'aperçus mon bol fétiche (qui avait accompagné ma vie d'adolescent et de jeune homme) rempli de poussière et de graviers sûrement tombés du plafond qui me desolait plus que tout. A côté, tels de petits capitaines prêts à partir pour le feu, mes casseroles vomissaient des toiles d'araignées en attend-ant des mets délicats et savoureux. Etrangement, je ne ressentais pas la mort dans les lieux de mon habit-ation, mais plutôt le sentiment de vivre un cauchemar et non une réalité. Et j'ai bien eu raison, car en ou-vrant les yeux ce matin dans mon lit, je me suis aperçu que je n'avais aucune barbiche blanche sur les joues et mes cheveux toujours bruns! Décidément, la vie quel cauchemar en puissance, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, mon cher lecteur, mon esprit avait l'air très préoccupé depuis ces derniers temps sans en connaître exactement la raison, car ma santé physique était plutôt bonne en ce moment. Fallait-il y voir alors comme une future catastrophe ou bien ma mort prochaine inattendue et violente? En fait, je n'en savais rien et ne voulais pas le savoir. Sans vous cacher que depuis quelques temps, je rêvais de dis-paraitre de la socièté des Hommes et m'évanouir dans la nature! Je sais un sentiment très bizarre que je ressentais là, mais c'était pourtant la vérité. Car la socièté des Hommes m'était devenue insupportable av-ec ses ambitions démesurées qui rendaient le monde impossible à vivre. Entre nous, mon ami, n'êtiez-vous pas dans le même état mental que le mien où vous attendiez avec impatience de partir vers l'inconnu pour ne plus avoir affaire aux Hommes et tout particulièrement aux critiques assassines de votre propre famille? Autour de moi, on disait que j'étais un gros imbécile, car je n' avais pas reussi socialement et bi-en que je prétendis avec arrogance avoir du génie! Bien évidemment, tout le monde rigolait dans mon dos à s'éclater les poumons, mais tel était le monde d'aujourd'hui où le malheur des uns faisait le bonheur des autres même si ces derniers étaient des nuls, Ah!Ah!Ah! Apparemment, nous offrions à la socièté capita-liste( qui vouait un culte à la reussite économique), une formidable étude sociologique où l'on étudiait pourquoi des gens extraordinaires rataient tout dans l'existence au point de toucher le RSA pour ne pas qu'ils meurent de faim? Sans parler des autres génies qui devenaient fous en étant internés pour débilités mentales, Ah!Ah!Ah!

Aurait-on peur dans ce monde de la vraie nature des gens qui pourrait changer notre civilisation, mais que les imposteurs refusaient de voir au risque de tout perdre? Ah!Ah!Ah! Décidément, dans ce monde économique où tout était calculé, assuré pour ne pas qu'il perdre d'argent, perdre des vies humaines ne semblaient pas compter beaucoup pour lui. Visiblement, l'argent avait remplacé le coeur des Hommes et en tant qu'être humain nous ne valions plus grand chose dans ce monde là. Ce qui m'inquiètait beaucoup, non pour ma propre vie( car si je mourais accidentellement, je n'aurais pas de regrets à quitter ce monde pour avoir eu affaire durant ma courte de vie à une bande d'imposteurs, Ah!Ah!Ah!), mais pour mes semblables dont le vide spirituel s'amplifiait de jour en jour jusqu'à éclater sous nos yeux, n'est-ce pas? N'étiez-vous pas comme moi témoin de ce phénomène ahurissant dans votre vie quotidienne où les gens étaient des nuls dans leurs rapports humains? Sans vous cacher que la création de mon site internet était une façon pour moi de sauver ma vie intérieure, mais aussi la vôtre, mon cher lecteur qui sentiez votre âme se liquéfier dans ce monde absurde? A l'évidence, ce vide spirituel ou la disparition de notre vie in-térieure allait nous transformer en gros consommateurs de drogues et de paradis artificiels, tel qu'on po-uvait le voir aux Etats-Unis, afin de compenser l'abysse effroyable qui se creusait entre notre monde intérieur et la réalité dominé par l'argent. Ce vide spirituel ressemblait étrangement à une vaste épidémie de peste qui se répandait sur la planète pour anéantir l'humanité! Un signe évident le montrait, c'était le cancer en pleine voie d'expansion. Car notre esprit était constamment préoccupé par l'argent et non par les choses essentielles qui, il faut le dire, nous maintenaient en vie. Regardez la vie de Steve Jobs : un homme préoccupé uniquement par sa reussite, mort d'un cancer à l'âge de 56 ans! En fait, ce que j'aurais rêvé, afin de changer ce monde vide de sens, ce ne fut point ma mort ou celle des autres, mais une grosse amnésie générale où tout le monde oublierait ses ambitions démesurées et surtout cette soif d'argent qui rendait nos vies insupportables! En fait, je pense après analyse avoir trouvé les raisons de mes cauche-mars nocturnes, c'est ce besoin clinique d'oublier mes tendres et cruels semblables pour qu'ils me soient supportables, Ah!Ah!Ah! Décidément, le temps des copains était une vieille histoire, n' est-ce pas?

Dernièrement, j'ai lu dans une revue médicale que rêver la nuit était le signe d'une bonne santé! Décidém-ent, le monde scientifique m'étonnait de jour en jour en s'inscrivant lui aussi dans cette folie du monde où il constatait chiffres à l'appui que le cauchemar des Hommes était devenu une réalité, Ah!Ah!Ah! Bref, un phénomène visible par nous tous, n'est-ce pas? Quant à moi, j'ai toujours pensé que de passer une nuit sans rêver était plutôt le signe d'une bonne santé et non le contraire, Ah!Ah!Ah! En étant le sym-bole d'un vrai sommeil réparateur et non d'un réglement de compte intérieur avec le monde réel qui nous épuisait durant nos nuits, Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, la folie des Hommes n'éc-happait pas elle aussi aux gens très rationnels qu'ils soient scientifiques, politiciens ou intellectuels.

Car tout compte fait, ils n'étaient que des Hommes et non des machines, n'est-ce pas? Où l'on confondait souvent nos rêves et nos cauchemars parce que tout le monde savait que le rêve des uns était souvent le cauchemar des autres, Ah!Ah!Ah! Car qui d'entre nous n'a jamais revé de mettre en bouillie son advers-aire politique, intellectuel, économique etc pour assouvir son propre fantasme, bref, réaliser son rêve su-blime dans la réalité, hum? Apparemment, tout le monde réalisait ses fantasmes durant la nuit et rede-venait de bons citoyens durant le jour, tel était l'Homme paradoxal que nous connaissions tous, mon cher lecteur. En faisant de la vie en socièté un grand mensonge où la majorité des Hommes n'étaient pas eux-mêmes, mais des fantômes qui démabulaient sous le soleil de satan, Ah!Ah!Ah! Moi-même, en n'arrivant pas à devenir ce que j'étais réellement, mes jours étaient comme de lourds fardeaux que je portais sans bien savoir pourquoi et qui me les avait posé injustement sur le dos, Ah!Ah!Ah! Ce que ressentait la plu-part d'entre nous alourdis injustement par la vie qui déjà n'était pas facile, n'est-ce pas? Mais il semblerait bien que ce poids injuste et inutile soit celui de notre propre famille et celui de la socièté toute entière! Car n'oubliez pas, mon cher lecteur, ce que nous avons dit auparavant que le rêve des uns était souvent le le cauchemar des autres et vis-versa. Décidement, mon livre intitulé " Des fleurs pour mon enterrement" portait merveilleusement son titre et que mon futur assassin avait toutes les raisons de perpetrer son crime sur ma personne en sachant bien que son rêve était mon propre cauchemar, Ah!Ah!Ah! Mais bon, mon cher lecteur, qui d'entre nous pourrait supporter la mort avec dignité sans avoir réalisé ses fantasmes dans la vie réelle et tout particulièrement mon futur assassin? Visiblement, la peur de la mort n'était que la peur de ne pas atteindre la jouissance avant de disparaitre dans l'autre monde, n'est-ce pas? Et que la vengeance, un fantasme comme un autre et inassouvi par la plupart de nos contemporains et tout partic-ulièrement par mon futur assassin qui méditait dans son coin sur la meilleur façon de m'enfonçer son grand poignard dans la poitrine, Ah!Ah!Ah! A ce propos, je n'ai jamais bien compris l'expression empl-oyée par nos modernes qui disaient que la vengeance était un plat qui se mangeait froid! Car en lisant dernièrement l'Iliade et l'Odyssée, j'ai appris que nos heros grecs disaient à propos de la vengeance qu' elle était plus douce que le miel! Visiblement, nos anciens ne voyaient pas les choses de la même façon que nos contemporains qui s'étaient éloignés une fois de plus de la réalité pour ne pas la voir en face, n'est-ce pas? En fait, je crois que le grand coupable était la religion chrétienne qui avait tout moralisé même notre langage au point d'avoir customisé nos apparences pour ne pas encourager le crime dans la socièté où la vengeance serait pour nous plus douce que le miel, Ah!AhAh!! En tout cas une bonne chose pour la vie en socièté, mais en faussant cruellement la vérité, n'est-ce pas? En voyant clairement ici que le mensonge avait du bon pour l'humanité et que l'Eglise chrétienne n'y échappait pas elle aussi en l'enc-ourageant à sa façon!

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Toujours à propos de cette expression employée bêtement par mes contemporains où la vengeance serait un plat qui se mangeait froid, mais manquant pour moi totalement de réalisme. J'ai appris en suivant une émission des enquètes impossibles de Pierre Belmare qu'un assassin, après qu'il ait achevé son ennemi de 40 coups de couteaux, l'avait fait cuire pour le dévorer et avait dit à la fin du repas en s'essuyant la bou-che avec délectation que la vengeance était aussi un plat qui se mangeait chaud, Ah!Ah!Ah! Ce qui avait provoqué chez Pierre Belmare un fou rire incontrôlé parfaitement justifiée, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, mon cher lecteur, bien que la morale fut une bonne chose pour nous tous, elle gâchait souvent nos plus grands plaisirs, Ah!Ah!Ah! Sauf ceux de mon futur assassin qui goûterait avec un délice au miel sa vengeance après qu'il m'ait assassiné bestialement, Ah!Ah!Ah! En fait, pour ne rien vous cacher, j'étais une sorte de Pasolini en sursis, genre hétéro, mais pas du tout homosexuel comme il était. Ni athée, ni communiste, car je croyais en Dieu, mais en un Dieu indivisible au contraire de nos religions monothé-éistes qui le divisaient pour nous imposer chacun leur Dieu en croyant qu'il était le vrai, Ah!Ah!Ah! Déc-idément, le marché aux bestiaux était leur fond de commerce, alors que moi le poète, je recherchais la liberté à tout prix! Il me semblait que le seul point commun que j'avais avec Pasolini fut d'être poète qui, comme nous le savions tous, mon cher lecteur, etait destiné à finir en martyr, Ah!Ah!Ah! Comme notre pauvre ami qui finira assassiné par un bel après-midi d'été sur une plage d'Italie, lors d'un guet apens déguisé en rendez-vous amoureux où l'amour et la mort seraient rèunis comme dans une tragédie grec-que pour entremèler l'admirable beauté et l'abominable laideur! Pour ne rien vous cacher, j'avais le sent-iment que je finirais ma vie comme lui assassiné par un lugubre individu dont la main serait armée par la socièté toute entière qui refusait d'entendre la vérité du poète, Ah!Ah!Ah! En regardant la table de mon salon, où j'avais posé sur la nappe fleurie, mon gros calibre face à mon vilain bouquets de fleurs, j'atte-ndais le pied ferme mon futur assassin pour lui montrer que je ne comptais pas finir comme notre pauvre Pasolini, Ah!Ah!Ah! Pour parler maintenant des poètes( qui n'étaient désormais plus écoutés par le peu-ple finalement vaincu et dévoré par le grand capitalisme), j'ai appris que Pasolini était un grand ennemi du capitalisme en reprochant à la socièté de consommation de tuer la Culture et tout particulièrement le multiculturalisme régional. Mais désormais dépassé par le multiculturalisme venant des pays étrangers par le phénomène de l'immigration où le capitalisme y trouvait ses intêrets économiques. Décidément un capitalisme qui avait finalement raflé la mise sur tous les terrains de la culture, de la connaissance et de nos moeurs. C'est bien pour cette raison que je n'étais pas anticapitaliste car désormais un combat dép-assé et inutile pour nous tous, n'est-ce pas?En ne voyant pas pourquoi, j'userai mes nerfs et ma salive à combattre un monstre qui vivait désormais sous mon toit et le vôtre, Ah!Ah!Ah!

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Et que dire aussi de nos amis achétes par le capitalisme prêts à nous contredire et à nous abandonner pour satisfaire leurs désirs de reussites sociales? Ah!Ah!Ah! Décidément, le monstre habitait en nous et on ne pouvait plus guère s'attaquer à lui sans se faire du mal ou bien s'arracher une partie du cerveau, ce que je ne souhaitais à personne, Ah!Ah!Ah! Mais à quoi bon? Pour sauver son âme? Mais pensez-vous vraiment que l'argent puisse détruire votre âme en sachant qu'elle était immortelle? Au juste, le capitalis-me ne nous prendrait-il pour des imbéciles pour dire clairement les choses? Car tout compte fait, l'argent pour les gens intelligents n'était qu'un moyen pour subvenir à leurs besoins et non une finalité, n'est-ce pas? Et si Donald Trump, disait le contraire, c'est parce qu'il était un idiot, Ah!Ah!Ah! Et puis mon ami, écoutez-le traiter les gens de losers parce qu'ils n'avaient pas reussi économiquement, c'était une bonne blague, n'est-ce pas? Mais un leitmotive souvent entendu dans sa bouche à travers la télé ou dans ses tw-eets. Bref, un gars désespérant, non pas seulement pour l'Amerique, mais aussi pour le monde entier, Ah!Ah!Ah! Je le répète une nouvelle fois, l'argent pour les gens intelligents n'était qu'un moyen pour subv-enir à leurs besoins réels et non pour fantasmer sur son soi-disant pouvoir de vous donner des qualités que vous n'aviez pas et pourquoi pas du génie, comme le croyait Donald Trump ou bien Emmanuel Ma-cron? Ah!Ah!Ah! Personnellement, j'ai toujours pensé que le génie n'avait aucun rapport avec l'argent et la socièté des Hommes, car il nous était donné par Dieu et la nature. En saisissant bien que les Hommes sur Terre était en constante concurrence pour satisfaire leurs égos surdimentionnés et empêcher leurs se-mblables de se parfaire, Ah!Ah!Ah! Et de là qu'ils vous avouent un jour que vous aviez du génie, il vous faudrait attendre la fin du monde, Ah!Ah!Ah! Au bout du compte, si j'aimais l'argent, c'était pour des rai-sons réelles et non fantasmagoriques. Car Dieu en me donnant du génie comblait tous mes désirs où il me fallait peu d'argent pour être heureux. Voilà ma vérité, mon cher lecteur, qui est simple comme bonjour, n'est-ce pas? C'est pour cette raison, lorsque j'ai de l'argent entre les mains, je n'ai jamais l'im-pression d'avoir le diable entre les mains pour satisfaire mes désirs les plus fous. Au contraire de mes semblables qui deviennent des démons afin d'humilier leurs semblables et satisfaire leur férocité ou leurs frustrations existentielles ou sexuelles. Bref, tout le contraire de moi qui aime bien gaspiller mon argent pour des plaisirs inoffensifs, car j'ai horreur de capitaliser, mais plutôt me payer du bon temps où je peux atteindre l'extase des sens où Dieu est à ma portée. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, on peut aimer l'argent sans pour autant être capitaliste et je vous assure que les poètes ne sont pas forcément des gens de gauche ou universaliste, comme le prétend la rumeur de gauche qui elle aussi est désormais dé-passée par les évenements. En sachant bien qu'à l'origine, les poètes faisaient l'éloge des princes et non du peuple. Et quand je pensais à mon pauvre Pasolini, j'avais le sentiment qu'il était mort pour pas grand chose, en vérité. Bref, pour des idées qui n'en valaient pas la peine au regard de cette vie que nous chér-issions tous comme des enfants. Et ce qui l'avait tué, ce n'était pas la poésie ou son homosexualité, mais la politique!

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Sous entendu que la recherche de Dieu restait notre mission première sur Terre avant de passer dans l' autre monde et non les idées intellectuelles ou scientifiques qui, au bout du compte, n'étaient que du bri-colage, Ah!Ah!Ah!

Vivant désormais dans une économie de masse, il faut comprendre que l'anéantissement de la culture et de nos traditions fut un long processus engagé depuis le 18 ème siècle par la révolution française de 17 89 en instituant l'égalité pour tous, puis finalisé par la victoire des Américains au cours de la seconde guerre mondiale en 1945 en instaurant la socièté de consommation où la télévision sera l'agent de prop-agande. En revenant un peu en arrière, on constatait que l'égalité prônée par la république ne fut point libérateur pour le peuple, comme on se trompait énormément en France par esprit de conformisme, mais un vrai massacre pour son multicultutralisme. Aujourd'hui en 2019, on pouvait dire sans bien se tromper que ces deux évènements n'étaient pas liés au hasard, mais à des faits historiques où manifestement la bourgeoisie victorieuse avait vaincu toutes les idéologies anciennes ou nouvelles qui s'étaient opposées à elle, comme l'aristocratie, le communisme ou le nazisme etc pour imposer à notre socièté le capitalis-me ou l'économie de masse. Et par simple déduction conclure que le déclin de la Culture et du multicul-turalisme avait commencé au 18 ème siècle pour être achevé par les américains en une culture de masse. A propos du déclin de la France, qui était devenu un débat recurrent dans nos émissions de télévision, j'ai constaté que certaines personnes comme Eric Zemmour disaient de grosses bêtises à propos du multicul-turalisme que ce dernier accusait d'être la raison du déclin de la France! Décidément, cet homme n'était qu'un petit journaliste d'un journal facho( le Figaro), mais en aucune façon un historien, un philosophe ou un intellectuel qui n'avait semble-t-il rien compris aux choses qu'il était incapable de saisr parce que celles-ci le dépassaient de très loin, mais avait trouvé un bon moyen de se faire de l'argent en vendant ses livres qui ne comportaient que des mensonges! Il faut bien voir, mon cher lecteur, que si vous écriviez des livres dont la thèse au départ était fausse tout le reste le serait lui aussi, comme dans les livres d'Eric Zemmour où décidément tout était faux pour fabriquer une fausse réalité au nom du capitalisme décom-plexé, Ah!Ah!Ah! Mais bon, tant que son business fonctionnait, il continuerait à nous empoisonner l'exi-stence jusqu'à ce que la télé n'en veule plus! Mais d'ici là, il aura bien trompé les Français. Car contrair-ement à lui, je pensais plutôt que le déclin de la France venait de la perte de son multiculuralisme régio-nal, bref, par l'instauration de l'égalité par la république française, puis finalisé par les américains en ins-taurant la socièté de consommation ou l'économie de masse. Mais qui va croire en France que l'égalité est à l'origine de tous nos malheurs, mon cher concitoyen? En fait, personne! Et qui pourrait croire que le mouvement des gilets jaune était la manifestation de ce desarroi civilisationnel où le peuple ne croyait plus en Dieu, ni à la culture, ni aux idéologies, mais à l'argent? Ah!Ah!Ah! Sans nier que le capialisme avait tout fait pour qu'il en soit ainsi, n'est-ce pas? Décidément, tout ceci me faisait penser à notre pauvre Pasolini lâchement assassiné pour des raisons idéologiques parce que le poète en lui voulait reconstruire le paradis sur les cendres fumantes de la Culture! Comprenez bien, mon cher lecteur, que l'image que je vous donnais là pour illustrer la vie de Pasolini n'était pas là pour faire joli ou faire genre cercle des poètes disparus, mais pour vous faire comprendre que la socièté de consommation était un monstre qui dévorait tout, consumait tout au point de transformer nos vies en cendres! N'avez-vous pas l'impression, mon cher lecteur, de rentrer chaque soir à la maison avec les mains sales et une couche de crasse sur le visage au point de perdre votre identité?

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A ce propos, j'imaginais une scène humoristique où une épouse, voyant son mari rentrer à la maison avec un visage cramoisi, lui disait: Mon dieu, mais qu'est-ce qu'il t'es arrivé? Et ce dernier lui répondait d'un air décontenancé : Mais chérie, j'ai seulement travaillé! En ne voulant pas lui avouer qu'il avait travaillé pour le capitalisme dont le gros défaut était de tout réduire en cendres, Ah!Ah!Ah! Mais bon, après une bonne douche, tout rentrera dans l'ordre et notre heros du quotidien sera lavé de tout soupçon, n'est-ce pas? Hier soir, en écoutant une émission à la télé concernant la propreté des gens, j'ai appris que c'était en Occident qu'on prenait le plus de douches! Décidément, mon intuition ne m'avait pas trompé sur le capi-talisme qui finalement faisait feu de tout bois pour alimenter son grand four à crématoire, Ah!Ah!Ah! Pour apporter plus de précision à mon lecteur sur le multiculturalisme( que certains accusaient d'être à l' origine du déclin de la France, comme Eric Zemmour et le RN qui finalement soutenaient la même thè-se), il faut comprendre qu'il existait deux formes de multicultutralisme. La première originaire de notre pays venant de nos régions qui avait façonné notre culture avant la révolution française et la seconde venant de l'étranger par le phénomène récent de l'immigration. Bien évidemment, nos deux grands guig-nols de service accusaient la seconde forme d'être à l'origine du déclin de la France. Ce qui pour moi était une aberration, car le multiculturalisme issu de l'étranger n'avait en vérité jamais existé et pu s'insta-ller durablement dans notre socièté française où le rouleau compresseur de l'égalité avait tout nivelé par le bas, n'est-ce pas? En fait, je crois qu'en France, on fantasmait beaucoup sur le danger qui viendrait de l' étranger parce qu'on manquait de génie et disons-même d'idées pour faire avancer la France, Ah!Ah!Ah! Notre pays était sans aucun doute en panne. Mais à qui la faute, au multiculturalisme ou bien la faute au capitalisme qui anéantissait tout, même notre intelligence? Bizarrement, hier soir en suivant à la télé la série des X-MEN, j'ai eu le sentiment qu'il manquait à cette série fantastique( célébrant le culte de l'Amé-rique et de son capitalisme triomphant), un épisode capital pour y mettre fin une bonne fois pour toute en les confrontant à une nouvelle race de mutants que j'appellerai les A-MEN, Ah!Ah!Ah! Avec l'intime conviction que seules les créatures de Dieu puissent désormais s'opposer à l'Amérique et à son capitalis-me carbonisant tout sur son passage. Et si les scénaristes d'Hollywood pouvaient aller sur mon site Inter-net et lire tout ce que je venais d'écrire d'extravagant, je pense qu'ils seraient emballés de faire un tel épi-sode où les X-MEN seraient battus par les A-MEN, les nouveaux mutants au service de Dieu et de la vérité, Ah!Ah!Ah! Vous pensez sans aucun doute que je suis un intellectuel pour dire des choses si intér-essa-tes, mon cher lecteur. Mais détrompez-vous, car je ne suis en vérité qu'un artiste dont les sens sont infaillibles. En saisissant bien que la série des X-MEN ne faisait pas l'apologie de l'Homme-Technolo-gique ou de l'Homme-augmenté par la science, mais du capitalisme amèricain que la nature avait soi-disant doté de mutants aux pouvoirs extraordinaires afin de sauver l'humanité de futurs grands périls, Ah!Ah!Ah! Apparemment, l'Homme de demain sera un américain de race blanche, de religion protestante qui avait entre les mains le destin du monde. Alors que nous les européens étions de pauvres créatures du passé qui avions perdu tous nos pouvoirs, Ah!Ah!Ah!

En grande partie à cause de nos hommes politiques sans génie qui avaient vendu leurs nations aux Amé-ricains vainqueurs de la seconde guerre mondiale où le général de Gaule ne faisait pas exception! Mais pour en revenir à notre série des X-MEN, on constatait que les mutants étaient des hommes et des fem-mes dotés par la Nature de pouvoirs extraordinaires et non part la Science à part Wolverine qui était le résultat d'une désastreuse expérience scientifique en ne pouvant plus contrôler son animalité et devenir un danger pour  les Hommes! Et quand Charles-Xavier coiffait son casque dans le célébro, c'était bien évidemment une métaphore de la socièté de consommation où il prenait contact avec tous les mutants de la planète qui représentaient en vérité tous les consommateurs en désir de consommation, mais aussi de puissance, Ah!Ah!hA! Bref, la définition du capitalisme qui produisait d'une manière industrielle tous les biens et services afin de nous satisfaire avec le moindre coût, bien évidemment. Par ce fait indéniable, on voyait bien que seul l'uniformisation de nos désirs et de nos besoins permettait à ce système de fonction-ner où le dogme de l'égalité prôné par la république fut l'élément déclencheur de notre économie de ma-sse et la fin de notre Culture. En ne vous cachant pas, mon cher lecteur, que de vivre dans un système ca-pitaliste ne me dérangeait pas du tout, car je n'étais pas matérialiste, mais un poète, bref, un rêveur dont les désirs ne pouvaient être comblés par le capitalisme puisque immatériels. Et comme la nature nous avait doté du bon sens pour nous conserver( où tout compte fait nous préférions la richesse à la pauvreté, comme aurait dit Lapalisse), on comprenait bien qu'il avait aussi des bons côtés en produisant à foison de l'argent, des produits matériels, culturels, alimentaires, mais en contre partie des déchets et de la polluti-on, n'est-ce pas? Mais des inconvénients auxquels personne ne pouvait échapper même nous qui produis-ions des déchets après avoir bien bu et mangé qu'on appelle des excréments, Ah!Ah!Ah! En étant convain-cu que le capitalisme nous évitait de mourir de faim, ce qui le rendait plutôt sympathique aux yeux de tous par pragmatisme et non par idéologie. Quant aux autres pays qui n'avaient pas choisi le capitalisme, mais le socialisme, comme le Vénézuela et autres, ces derniers étaient au bord de la famine! Décidément, la bouffe une stratégie vieille comme le monde pour soumettre les peuples, n'est-ce pas? Tenez juste-ment, hier après-midi en allant faire mes courses au Super U, j'ai pu acheter une quinzaine de Chipolatas pour la modique somme de 5 euros! Décidément, la production de masse prônée par le capitalisme avait du bon en nous évitant de mourir de faim, n'est-ce pas? Bien évidemment, j'ai pu acheter ces saucisses à ce prix là, car leur date de péremption était toute proche. Mais comme j'étais quelqu'un de pragmatique dans la vie, je les ai aussitôt congèlé dans mon frigo en les emballant par deux dans un film alimentaire, ce qui me permettait de faire de grosses économies sur la bouffe! 

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A ce propos, il m'arrive souvent de faire le tour des supermarchés de Caluire et de la Croix-Rousse uni-quement pour chercher des produits en promotion et si je n'en trouvrais pas, je repartais aussitôt du ma-gasin les mains vides, ce qui déplait forcément aux commerçants, Ah!Ah!Ah! De ce point de vu, il me semblait avoir feminisé mon comportement pour pouvoir survivre dans ce monde de brutes où la grande qualité des femmes était de faire de petites économies pour faire de grandes rivières, n'est-ce pas? Mais je vous assure, mon cher lecteur, que cela ne me gènais pas le moins du monde du moment que cela me maintenait en vie, Ah!Ah!Ah! Pour continuer mon histoire( vraiment très interessante!), j'ai eu la mauv-aise surprise en les faisant cuire de voir qu'elles contenaient enormément de graisse en étant de la bouffe inddustrielle dont le faible prix était parfaitement justifié! Mais sans pour autant être indigné, comme l' aurait été un écolo désoeuvré, en me permettant de ne pas mourir de faim, Ah!Ah!Ah! Bref, j'ai dû épon-ger toute la graisse contenue dans mes chipolatas avec du papier essuie-tout pour pouvoir les manger et surtout préserver mes artères auxquelles je tenais beaucoup. Finalement, j'ai pu les manger après toutes ces précautions de bonnes femmes, il faut le dire, mais avec un vrai questionnement philosophique sur la bouffe industrielle qui tout compte fait contenait plus de graisse que de viande! Intuitivement, j'ai com-pris que la culture de masse devait être de même nature et contenir plus de graisse que de viande où la graisse comblait le vide de nos portefeuilles, mais aussi celui de nos inexistences, Ah!Ah!Ah! Et si l'ob-ésité se répandait dans notre socièté occidentale comme une épidémie, vous en connaissiez désormais la raison. Apparemment, la mal-bouffe n'était pas seulement alimentaire, mais aussi cultuelle que malheu-reusement nos soi-disant grands écrivains français du moment( choyés par nos médias parce que défen-dant le capitalisme décomplexé), nous servaient en guise de repas digne d'un resto U, Ah!Ah!Ah! Mais bon, telle était aujourd'hui l'état de notre littérature française que la culture de masse avait digérée pour la transformer en gros morceau de gras (pour les maisons d'éditions) où il ne manquait en fin de compte que l'essentiel, c'est à dire de la viande pour le consommateur, Ah!Ah!Ah! Mon cher lecteur, n'avez-vous pas été déçu par le dernier "MUSSO" gros et gras comme une tranche de lard? Contrairement à ce qu'on pourrait croire, Houellebecq faisait partie lui aussi de la culture de masse, comme Marc Levy en écrivant des livres pour les bobos de la planète dans lesquels ils se reconnaissaient tous en tant que capitalistes et islamophobes, Ah!Ah!Ah! La seule différence qui distinguait nos deux auteurs de culture de masse, c'est que Michel Houellebecq était misogyne alors que Marc Levy était plutôt féministe sachant que la grande partie de ses lecteurs était des lectrices, Ah!Ah!Ah! Bref, buisness oblige, n'est-ce pas? Mais une fois de plus, il n'y avait rien de surprenant dans tous ces phénomènes générés par le capitalisme où chacun avait sa part de marché, bref, comme en France où les hommes politiques avaient scindé les Français en deux parties afin de simplifier la politique, bref, par commodité!

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J'ai appris dans une emission de télévision que Guillaume Musso était un ancien prof d'économie! Déci-dément, mon analyse était parfaitement exacte où cet auteur avait en fin de compte appliqué les règles éc-onomiques à la littérature, Ah!Ah!Ah! Mais bon, entre nous, mon cher lecteur, pouvions-nous dire avec sincérité que ses livres faisaient partie de la littérature? Certainement pas, mais seulement des livres pour la plage et pour les halles de gare où l'on s'y ennuyait à mourir, Ah!Ah!Ah! En fait, ces auteurs me faisa-ient penser à un auteur dont plus personne ne parlait aujourd'hui( qui pourtant avait vendu des millions de livres dans les années soixantes dix). C'était Guy des Cars qui puisait son inspiration dans les faits div-ers dans la presse. Etrangement, cet auteur avait complètement disparu de notre mémoire collective ainsi que de nos bibliothèques. Je crois qu'il en sera de même pour les auteurs de culture de masse que nous avons mentionnés qui, il faut le dire, puisaient leur inspiration non plus dans la presse comme au temps de Guy des Cars, mais dans les médias à travers la télévision. C'est triste à dire, mais la télévision n'était que l'agent de propagande du capitalisme et de la culture de masse où il ne fallait pas s'attendre qu' elle nous produise des chefs-d'oeuvre, mais de simples produits de consommation, Ah!Ah!Ah! L'art étant bien évidemment, la grande victime de ce grand laminoir qu'on appelle le capitalisme, ce qu'on pouvait dép-lorer, mon cher lecteur. Une chose importante à dire, ce serait l'indécence de comparer nos grands écriv-ains du passé, comme Dickens ou Balsac par exemple, avec nos écrivains d'aujourd'hui qui bénificiaient des médias pour se faire connaitre en sachant bien que nos écrivains illustres ne vivaient pas dans une économie de masse! En ne pouvant comparer que ce qui était comparable n'est-ce pas? Hier, en suivant une émission à la télé sur Marcel Duchamp, j'ai compris que cet homme était un escroc de l'art qui avait donné naissance, on peut le dire, à l'art comtemporain pour être de la fumisterie, Ah!Ah!Ah! En compre-nant bien que la télévision n'était pas pour moi un objet de culte, mais un moyen très éffiace( par une retrospective du passé) pour savoir ce qui était bon à garder pour la Culture ou à jeter à la poubelle. Marcel Duchamp faisait partie bien évidemment des choses qu'on devait jeter à la poubelle et tout partic-ulièrement son célèbre urinoir qui l'avait rendu célébre, Ah!Ah!Ah! Mais bon, si le but de l'art était de re-ndre célèbre son auteur pour en faire une affaire commerciale ou une icône publicitaire comme dans le cas de Houellebecq, Musso ou Marc Levy par exemple, cela signifait la fin de l'art et la naissance du lard et du cochon, Ah!Ah!Ah! Et tout ce que je venais de vous dire s'appliquait aussi à la musique, à la peintu-re et à la sculpture d'aujourd'hui qui frisaient de plus en plus la débilité! Mais, mon cher ami, ne vivions-nous pas en ce moment une époque complètement débile, hum? Et la montée de l'extrème droite dans nos pays européens et la montée du suprématisme blanc en Amérique n'en était-il pas la preuve évide-nte? 

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Avant tout, il était important de dire à notre cher lecteur qu'il serait maladroit de comparer l'extrême dr-oite de nos pays européens avec le populisme américain. Car en Amérique le mot populisme n'avait pas de connotations négatives en faisant partie de la vie politique américaine depuis fort longtemps et disons même depuis Tocqueville, l'auteur de la Démocratie en Amérique. Et si notre président Emmanuel Ma-cron traitait Donald Trump de populiste, c'est qu'il ne connaissait rien à la culture américaine. Mais bon, notre petit président français n'était pas une lumière, comme je l'ai dit à plusieurs reprises dans mes écrits voués à la postérité, Ah!Ah!Ah! En fait, ce qui nous inquiétait véritablement, ce n'était pas la montée du populisme en Amérique( car une tradition de la vie politique américaine), mais la montée du nazisme et du fachisme par le mouvement des suprématistes blancs! Pourtant l'Amérique marchait bien économiqu-ement, alors pourquoi le retour de cette idéologie raciste et antisémite parmi nous? Cétait un vrai mys-tère pour moi, car ce qui avait donné naissance au nazisme dans les années 30 en Allemagne, ne l'oublio-ns pas, ce ne fut point une crise migratoire, comme celle que nous vivons en ce moment, mais la crise économique provoquée par le capitalisme américain dû au crack boursier de 1929! Par ce fait historique, on constatait que le nazisme était un sous-produit idéologique du capitalisme et non la conséquence du phénomène de l'immigration, comme le soutenaient idiotement Eric Zemmour et l'extrême droite dans nos pays européens. Car entre nous, mes amis, pensez-vous vraiment que les Français puissent être jalo-ux des travailleurs immigrés ou clandestins dont les emplois étaient sous-payés, comme serveurs, plon-geurs dans les restaurants ou maçons dans le bâtiment? Y croyez-vous vraiment? Oh certainement pas et il en est de même pour l'Amérique où les latinos servaient en grande partie à nettoyer les chiottes des am-éricains! J'ai même entendu lors d'un discours prononcé par le président du Vénézuela( Maduro) qu'il av-ait honte pour ses compatriotes exilés qui nettoyaient les chiottes des américains, Ah!Ah!Ah! Mais une chose parfaitement compréhensible de sa part, n'est-ce pas? Décidément, on voyait bien que la thèse sou-tenue par Eric Zemmour ne tenait pas la route et était fausse. Soyons clair entre nous, mes chers lecteurs, je ne voulais en aucune façon défendre les étrangers ou les migrants au détriment de mes compatriotes, comme le faisait idiotement les gauchistes, Ah!Ah!Ah! Car j'étais avant tout français né sur la terre de France avec une sensibilité plutôt royaliste, mais en aucunement façon d'extrême droite. Et si nos anciens chevaliers savaient défendre leurs territoires, ce ne fut point par des arguments racistes ou antisémites, mais par amour pour leur pays, n'est-ce pas? Et si j'étais contre l'union européenne pour le retour à l'Eu-rope des  nations et pourquoi pas au retour des royaumes, ce fut pour ces raisons et non pour des raisons délirantes, comme celles d'Eric Zemmour ou du RN. Bref, je ne pouvais pas être plus clair avec vous en ce moment, mon cher lecteur. Il était possible vu tout ce que je venais de vous dire que le retour à l' aristocratie soit le seul recours pour nous éviter la 3 ème guerre mondiale! Je vous apprenais bien des choses interessantes, n'est-ce pas, mon cher lecteur?

Il est vrai hors des sentiers battus et de la propagande des médias dont le but était de défendre le capitalis-me décomplexé dont ils étaient issus. Cest aussi pour cette raison, quand j'écoutais les journalistes, que j'avais un grand doute sur ce qu'ils nous racontaient de soi-disant vrai, Ah!Ah!Ah! En fait, pour vous dire la vérité, ils n'étaient pour moi que des agents commerciaux au service du capitalisme et non de la vérité. Mais une chose importante à rappeler à nos chers lecteurs qui devaient faire souvent la grimace en écou-tant les journalistes leur annoncer telle ou telle nouvelle soi-disant vraie, alors qu'ils inventaient de bea-ux mensonges uniquement pour faire fonctionner la machine économique, Ah!Ah!Ah! Apparemment, l' axe du mal était dans les médias, mais aussi, pour moi un bon moyen d'accéder à la vérité en développant le négatif de leurs affirmations péremptoires ou de leur propagande qui suait le mensonge. Pour revenir à la politique, je vous assure que Donald Trump n'était pas un type d'extême droite, mais un populiste, co-mme savait très bien le fabriquer l'Amérique pour faire prospérer ses affaires, bref, un pur capitaliste. C'est pour cette raison qu'il avait refusé de rencontrer Marine Le Pen dans son QG pour qu'il n'y ait pas de confusion entre les genres et nous montrait que Marine Le Pen ainsi que le RN manquaient de culture à propos de l'Amérique, bref, comme Emmanuel Macron, Ah!Ah!Ah! Décidément, les Français étaient à la ramasse du point de vu politique, telle était aujourd'hui l'état de déliquescence de la France qui avait perdu sa grandeur par l'anéantissement de tous ses génies par la république. En saisissant bien que l'ex-trême droite était par nature anticapitaliste, comme le nazisme et le fachisme. Bref, une idéologie que l' Amérique et la Russie avaient combatue avec des moyens colossaux au cours de la seconde guerre mo-ndiale. Et de penser que Donald Trump puisse se rapprocher des suprématistes blancs (qui étaient des na-zis racistes, antisémites et anticapitalistes) était une grande erreur! Car il était capitaliste avant tout donc ennemi par principe aux idéologies racistes et antisémites qui pouvait casser l'économie de masse où tout le monde devait être des consommateurs quelle que soit sa couleur de peau ou sa confession religieuse! En suivant, il y a une semaine une émission à la télé sur les suprémtistes blancs, j'ai pu saisir que ces gars avaient un gros problème d'identité par le sentiment d'avoir été déclassés socialement par le capitalisme qui décidément nivelait tout par le bas par son principe républicain qui s'appelait l'égalité pour tous, Ah!Ah!Ah! Une fois de plus, on voyait bien que l'émergence du nazisme ou du fachisme n'était pas liée au phénomène de l'immigration, mais bien au capitalisme dont l'effet laminoir causait aux Hommes le sen-timent de perdre leur identité, bref, comme en Europe où l'on observait ce même phénomène, n'est-ce pas? Et à bien écouter leurs propos, ils avaient le sentiment d'être considéré comme des noirs ou des me-xicanos, Ah!Ah!Ah! Bref, une chose insupportable pour ces racistes qui se considéraient avant tout com-me faisant partie de la race supérieure! Décidément, le capitalisme produisait des choses farfelues, n'est-ce pas, mon cher lecteur?

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Pour illustrer avec humour ce ressentiment exprimé par nos suprématistes blancs, je vais reprendre un court extrait de mon texte qui disait: "Il faut bien comprendre que la socièté de consommation était un monstre qui dévorait tout, consumait tout au point de transformer nos vies en cendres! N'avez-vous pas l'impression, mon cher lecteur, de rentrer chaque soir à la maison avec les mains sales et une couche de crasse sur le visage au point de perdre votre identité?" En resumé, cela signifiait que nos suprématistes blancs ne supportaient pas de voir leurs visages noircis ou carbonisés par le capitalisme au point de res-sembler à des noirs ou à des mexicains, Ah!Ah!Ah! Par leur impuissance à comprendre les choses qui les dépassaient de très loin par un manque évident d'intelligence, comme le cas d'Eric Zemmour ou du RN qui soutenaient la même thèse. Oh mon dieu, pauvre France! Pourtant, moi qui suis de race blanche et dotée d'une intelligence supérieure, j'aurai pu être d'accord avec les suprématistes blancs pour gonfler mon égo, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Mais jamais de la vie, mon cher lecteur! Car leur idéologie appartenait "aux ratés du capitalisme" comme nous l'avons dit précédemment avec la montée du nazisme en Allema-gne dans les années 30. Et à ce propos, je n'ai jamais ressenti le sentiment d'être un raté dans cette dictat-ure économique en étant un poète et en aucune façon un défenseur du capitalisme ou un apôtre de la ré-ussite sociale, Ah!Ah!Ah! Et la seule qualité que j'accordais au capitalisme, c'était de produire des biens à profusion pour ne pas que nous mourions de faim, Ah!Ah!Ah! De plus, je croyais en Dieu donc à la spir-itualité et peu au matérialisme, ce qui d'une certaine façon me vaccinait contre la bêtise humaine et de leurs idées délirantes, Ah!Ah!Ah! Et tout particulièrement aux idées farfelues appartenant à nos supréma-tistes blancs qui pensaient faire partie de la race supérieure dont la ligne idéologique n'était pas si éloign-ée de nos extrèmistes blancs européens dont Eric Zemmour( qui était juif) faisait partie en étant devenu raciste et fachiste envers les noirs et les Arabes! Que vous dire d'autre, sinon qu'on avait affaire ici à des hommes qui déliraient complètement parce que la nature malheureusement ne les avait pas dôté d'intelli-gence, n'est-ce pas? Au point qu'aujourd'hui, nous avions en France des juifs qui étaient devenus antisé-mites, des gauchistes qui tapaient sur leur propre camp, des philosophes et des intellectuels en pleine dégénéréscence mentale, des femmes qui voulaient devenir des hommes et vis-versa au point d'être ino-ndé sur nos chaines télé par du rugby féminin, du foot féminin, du catch féminin, etc. Bref, une folie dont je vais arrêter de faire la liste où visiblement le capitalisme et l'argent rendaient fou tout le monde au point de détériorer notre intelligence, Ah!Ah!Ah! Mais une chose que j'ai dite à maintes reprises dans mon livre inclassable parce que génial, bien évidemment. En fait, mon cher lecteur, ce que nos supréma-tistes blancs ou extrémistes de droite n'arrivaient pas à comprendre (en faisant la sourde oreille), c'est que l'intelligence n'était pas liée à la couleur de notre peau, ni à la classe sociale dont nous faisions partie, ni à l'argent que nous possédions sur notre compte bancaire, mais à un cadeau formidable que la nature nous avait fait pour comprendre les choses et accéder à la vérité!

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En consultant mon intelligence, celle-ci me confirmait que Monsieur Zemmour ainsi que ses amis d' ex-trème droite inventaient des mensonges pour devenir riches et célèbres parce qu'ils étaient des ratés du capitalisme, Ah!Ah!Ah! Et si vous êtiez observateur, mon cher lecteur, vous auriez remarqué que Monsi-eur Zemmour avait une ressemblance physique avec le docteur Goebbels, le chef de la propagande nazie d'Adolf Hitler! Allez voir sur Internet et vous le verrez par vous-mêmes. C'est à dire petit et chétif avec le point commun d'avoir un langage d'une grande férocité envers les étrangers qui n'étaient pas de souche européenne. Décidément, la nature produisait d'étranges coïncidences où parfois elle semblait répéter les mêmes erreurs du passé, Ah!Ah!Ah! En comprenant bien que je n'avais rien contre Monsieur Zemmour en tant que personne, mais uniquement contre ses idées fachistes. Et si vous demandiez à un économiste de définir la pseudo-activité intellectuelle d'Eric Zemmour, il vous répondrait sans hésiter que c'était du fachisme-business, Ah!Ah!Ah! De plus, j'étais indigné par le silence de la communauté juive française qui n'avait jamais condamné les propos fachistes de Monsieur Zemmour. Décidément, dans ce monde ca-pitaliste, tout le monde perdait la boule, n'est-ce pas? Même en Ukraine où l'on avait élu récemment co-mme président de la république un comique de la télé, Ah!Ah!Ah! Il faut bien comprendre que ce choix "comique" des Ukrainiens n'était pas anodin, mais parce qu'ils voulaient se rapprocher des occidentaux pour devenir des capitalistes afin de prendre leur distance avec les Russes qui les oppressaient idéologi-quement et militairement. En envoyant à l'Occident un message fort et clair où les vedettes de la télé se-raient les agents de la propagande capitaliste, comme nous l'avons déjà dit, mon cher lecteur. On pouvait observer ce même phénomène délirant en Italie où un ancien comique de la télé( Beppe Grillo) avait fon-dé le mouvement 5 étoiles pour renverser le gouvernement de Matteo Renzi et mettre en place un gouve-rnement digne de la commédia dell' arte où l'extrème droite et l'extrème gauche avaient conclu un pacte diabolique entre autre impossible à réaliser en France à cause de sa dictature républicaine, Ah!Ah!Ah! Décidément, notre monde contemporain m'étonnait de jour en jour et défiait toute rationnalité, n'est-ce pas? Mais bon, si cette hystérie collective était la grande tendance du moment, pourquoi devrait-on s'en alarmer, mon cher lecteur, sachant que nous avions en nous cette formidable qualité de nous adapter aux nouvelles moeurs de notre époque? Concrêtement, j'encouragerais mon cher lecteur à garder son calme en attendant la fin du monde, Ah!Ah!Ah! Parfois, je me demandais si nous ne vivions pas dans un monde contre-nature où la science et le capitalisme étaient visiblement les grands responsables, avec cette quali-té impressionnante ou le défaut de fabriquer des anomalies transdimensionnelles? Bien évidemment, da-ns notre petit pays qu'était devenu la France, Monsieur Zemmour ainsi que Monsieur Mélenchon étaient des anomalies spaciotemporelles où le premier voulait remettre à la mode le fachisme et le second le co-mmunisme stalinien, Ah!Ah!Ah!

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Bref, rien de nouveau sous le soleil, mon cher lecteur, sinon des guignols voulant rechauffer de vieux plats appartenant au passé, Ah!Ah!Ah! Bref, aucun génie chez ces gens, même pas un gramme d'intellige-ce! Car il faut bien comprendre que la nature en cette matière est forte ingrate et ne distribue pas son in-telligence comme un distributeur de coca-cola, mais à faible dose pour ne pas destabiliser l'ordre des choses ou du monde en fabriquant intentionnellement 10% de genies, 15% de gens intelligents et 75% d' imbéciles, Ah!Ah!Ah! En vous assurant que ce ne sont pas des chiffres que je donne au hasard, mais des chiffres que j'ai pu vérifier moi-même au cours de ma vie auprès des gens où la plupart était des imbécil-es, Ah!Ah!Ah! Mais ne voyez aucun mépris de ma part pour ces gens, mon cher lecteur, car ils sont indis-pensables à la bonne marche du monde! Car imaginer si tout le monde était intelligent ou avait du génie, je vous assure qu'il y aurait dans le monde une guerre permanente où tout le monde voudrait être le chef, ce qui n'était pas possible, n'est-ce pas? Ainsi donc pour éviter le chaos sur la Terre, la nature avait distri-bué aux Hommes et aux créatures des qualités différentes pour qu'ils soient en harmonie et non en const-ante défiance. Et pour ne pas se faire d'illusions, on pouvait constater chez Monsieur Zemmour, Monsie-ur Mélenchon et Emmanuel Macron que le capitalisme et l'argent avaient fortement destabilisé l'ordre naturel des choses où des imbéciles croyaient avoir du génie, alors qu'il n'en avait aucun, Ah!Ah!Ah! Mais bon, pourquoi pas dans ce monde fait d'images et non de réalités, n'est-ce pas? Bref, le capitalisme fabriquait une quantié impressionnante d'imposteurs, n'est-ce pas? Toujours à propos d'anomalies( dont la nature avait le secret), récemment en feuilletant la vie de Stefan Sweig sur Internet( un écrivain très populaire dans les années 30, victime du nazisme parce qu'il était juif), j'ai été saisi par sa ressemblance avec Adolf Hitler! Allez voir sur Internet et vous le verrez par vous-même. Et paradoxalement dans bea-ucoup d'émissions littéraires que j'ai pu voir à la télé (qui lui rendaient hommage en tant qu'écrivain de la nostalgie, comme Proust), personne n'en parlait comme s'il s'agissait d'un sujet tabou! Comme dans le cas d'Eric Zemmour où les médias ne voulaient pas révéler sa ressemblance physique et intellectuelle avec le docteur Goebbels, le chef de la propagande nazie d'Adolf Hitler! Décidément, les médias étaient d'une grande hypocrisie envers le public, n'est-ce pas? Bien évidemment, je ne comparerais pas notre res-pectable écrivain Stefan Sweig avec notre écrivain raté Eric Zemmour qui était devenu un adepte du fac-hisme, Ah!Ah!Ah! Et si Stefan Sweig s'était suicidé en 1944 au Brésil avec sa secretaire, ce n'était pas à cause de la victoire du nazisme, mais aussi par sa ressemblance physique avec Adolf Hitler! Car imagi-nez-vous, mon cher lecteur, chaque matin vous regarder dans le miroir et voir avec horreur le portrait de l'homme qui avait assassiné votre famille! Que dire d'autre, sinon une bonne raison de se suicider, n'est-ce pas? A ce propos, certains soutenaient la thèse que son suicide avait été un manque évident de patience de sa part, car il aurait pu attendre la victoire des alliès en 1945, n'est-ce pas? Mais en tant qu' écrivain, je pense que cette thèse est fausse parce que édifiée après coup.  

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Pour avoir l'intime conviction que Stéfan Sweig ne désirait plus vivre dans ce monde devenu pour lui complètement fou et absurde! Etrangement, en m'interrogeant sur sa mort tragique, j'étais convaincu que le plaisir de vivre appartenait à la jeunesse et non aux vieux débris du passé rongés par le regret, n'est-ce pas? Telle fut, je pense, sa dernière pensée. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, je parlais avec vous sans tabou uniquement pour dire la vérité et non pour délirer ou faire le buzz sur Internet ou de l'audien-ce sur les plateaux télés, comme Eric Zemmour et plein d'autres qui faisaient du fric par des moyens hon-teux! Décidément, d'une manière maladroite, j'allongeais la liste de mes futurs assassins, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Et ce que je trouvais formidable avec mon livre inclassable, c'était son format qui me perme-ttait de dire tout ce que je voulais sur mes contemporains qu'ils soient hommes ou femmes. Et quand je critiquais sévèrement les suprémacistes blancs, je n'étais pas devenu pour autant antiblancs, comme nos idiots gauchistes qui par déformation idéologique étaient devenus les défenseurs des migrants et de la ca-use noire, Ah!Ah!Ah! De ce fait, mon cher lecteur, vous ne verrez jamais chez moi ce genre d'extrémis-me frisant la débilité mentale où les idées intellectuelles altéraient sévèrement notre intelligence, n'est-ce pas? Car comme chez les blancs et les noirs, nous avions 10% de génies, 15% de gens intelligents et 75 % d'imbéciles, comme nous l'avons dit précédemment. Et sincèrement, je ne voyais pas pourquoi, j'irai défendre une couleur plutôt qu'une autre comme un idiot supporter d'une équipe de foot, Ah!Ah!Ah! Pour moi, le racisme dans toutes ses formes( antiblancs, antinoirs, antijaunes etc) était condamnable. Mais je ne le confondais jamais avec un certain agacement exprimé par mes compatriotes, quand ils entr-aient par exemple dans le métro où ils trouvaient qu'ils y avaient trop de noirs ou de maghrébins! Moi même, qui possèdais des origines maghrébines par mon père, je me sentais parfois mal à l'aise en entrant dans le métro en ne sachant plus dans quel pays j'habitais, Ah!Ah!Ah! Mais ceci, je vous le certifie n'avait aucun rapport avec le racisme, car une minute plus tard, cela ne me causait plus aucun problème au co-ntraire de Monsieur Zemmour et de ses amis extrèmistes de droite qui en faisaient une maladie au point d'en faire une idéologie xénophobe! Pour ma part, cet agacement exprimé par mes compatriotes était tout à fait naturel et qu'ils ne devaient pas se culpabiliser car inoffensif, n'est-ce pas? Et puis rappelez-vous d' Alain Delon, suite à la victoire de l'équipe de France en 1998, qui avait dit dans les médias que ce n'était pas l'équipe de France qui avait gagné, mais l'équipe de France-Afrique, ce qui était parfaitement vrai sa-chant que la moitié des joueurs étaient noirs africains. En ne pensant pas qu'Alain Delon fut raciste, mais qu'il exprimait seulement son agacement de ne plus se sentir en France où la culture chrétienne-blanche-occidentale avait façonné notre façon de ressentir les choses où, il ne faut pas se le cacher, la couleur bla-nche était la couleur de la pureté et le noir la couleur du diable! En fait, on ne pouvait rien changer à ce-la, car tout cela était entré dans nos gènes et que nous devions entièrement l'assumer, mais sans pour au-tant en faire une maladie ou une funeste obssession comme chez nos suprématistes blancs qui haïssaient tout ce qui était noir ou musulman!

En fait, ce que j'aurais aimé faire à propos de nos suprémacistes blancs américains qui haïssaient les me-xicains et tout ce qui était bronzé, c'était de les renvoyer à l'école pour leur apprendre que les mexicains étaient issus de deux grandes civilisations qui s'appelaient les Mayas et les Aztèques! Mais entre nous pourraient-ils comprendre que les hommes et les femmes qui avaient fondé ces deux grandes civilisations n'étaient pas des blancs, mais des gens plutôt colorés voir basanés? Sans oublier de leur mentionner au passage la civilistaion Egyptienne dont la peau dans leurs représentations murales n'était pas blanche, ma-is colorée, n'est-ce pas? Mais je pense qu'il était inutile d'essayer de convaincre des idiots, comme les suprémacistes blancs ou bien Monsieur Zemmour qui faisaient une grave crise d'identité en croyant faire partie de la race supérieure blanche, Ah!Ah!Ah! Décidément, la connerie n'avait pas de limites surtout quand on passait régulièrement à la télé où l'on se faisait passer pour un génie, alors qu'on était un petit con, Ah!Ah!Ah! Toujours sur le même sujet, on constatait que les suprémacistes blancs justifiaient leur idéologie raciste par le fait que la civilisation blanche-occidentale était aujourd'hui dominante en ayant supplanté toutes les autres civilisations de type coloré, ce qui en partie était vrai! Mais je trouvais qu'ils allaient un peu vite en besogne dans cette matière en sachant que l'évolution de toute civilisation se dé-roulait en 5 actes, comme un drame au théâtre. C'est à dire par un commencement, une ascension, un poi-nt culminant, un déclin puis une fin. Et que la particularité de notre civilisation occidentale était basée sur 3 axes principaux qu'on appellait la science, la démocratie et le capitalisme où la doctrine permettait à tous d'atteindre le bonheur matériel et non spirituel. Car Dieu seul et la nature pouvaient donner une âme aux créatures vivantes, alors que l'Homme essayait en vain de donner une âme aux objets qu'il fabri-quait lui-même. Tel qu'on pouvait le voir au Japon où l'on considérait les robots en métal et en plastique posséder une âme, alors qu'ils n'en avaient pas, Ah!Ah!Ah! En mélangeant ici deux choses complètement différentes entre l'original et la copie où l'Homme transferait aux objets un semblant d'âme pour pouvoir les intégrer dans sa vie quotidienne. Mais sans vouloir dénigrer la création humaine( qui n'est au bout du compte que la copie de la nature), je dirais que l'âme d'une canette de coca-cola se trouvait dans l'âme de son concepteur de même que pour tous les objets fabriqués par l'Homme et qu'il ne fallait pas aller che-rcher plus loin, mon cher lecteur. Mais la grande question qu'on devait tous se poser était de savoir à qu-elle étape se trouvait notre civilisation occidentale : à la fin, au début, en phase ascensionnelle ou en son point culminant? Bref, on n'en savait rien, car le capitalisme reussisait à chaque fois à renaitre de ses cen-dres tel un phénix. C'est ce qu'on a pu voir au cours de notre Histoire où le capitalisme a pris naissance en Angleterre au 19 siècle, puis à subi un rude coup d'arrêt avec le crac boursier de Wall Street en 1929 pour donner naissance au nazisme et au fachisme et déclencher la seconde guerre mondiale! Bref, un en-chaînement calamiteux d'évènements où l'on pouvait dire sans se tromper que le capitalisme américain avait provoqué indirectement la seconde guerre mondiale pour y mettre fin en 1945 avec le concourt des Russes. C'est à dire grâce à l'étau du capitalisme et de l'anticapitalisme pour être exact!

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Par ce fait inéniable, on voyait bien que l'Amérique ne pouvait être que triomphante en possédant comme les tenants et les aboutissants de notre civilisation et de notre avenir, n'est-ce pas? Quant à la fin du capit-alisme, je n'y croyais guère vu sa puissance de créations et de destructions massives! A l'évidence, la fut-ure 3 ème guerre mondiale serait provoquée par les américains! Comprenez bien, mon cher lecteur, que je n'étais pas devenu pour autant un anticapitaliste forcené, comme nos chers communistes dont le cerve-au avait été retourné au cours du 19 ème siècle par Carl Marx. Car j'étais avant tout un artiste qui produ-isait des oeuvres réelles et non de la pacotille ou de la contestation gratuite comme nos gilets jaunes et nos écolos désoeuvrés, Ah!Ah!Ah! Oh seigneur ayez pitié pour eux et sauvez leur âme qui ne croit plus en rien sauf aux apparences produites par les médias! Ainsi voyons-nous que le capitalisme altèrait sévè-rement notre bon sens et même je dirais notre intelligence en produisant des choses farfelues, comme le foot féminin, le mariage pour tous, l'égalité homme-femme, la reconnaissance de la communauté LGBT, le rapp, le hip-hop, l'art contemporain, les GAFA, le fachisme-business de monsieur Zemmour, la stalin-o-nostalgie de monsieur Mélenchon, la littérature industrielle de Marc Levy et de Guillaume Musso, de faux philosophes, comme Bernard Henry Levy, Alain Finkielkraut, les végans, l'hystérie des femmes et pour finir en apothéose, la légalisation du canabis et prochainement celle de la cocaïne, Ah!Ah!Ah! Bref, arrêtons-nous là quelques instants, mes amis, au risque d'avoir une overdose de conneries, n'est-ce pas? Décidément, l'avenir nous prévoyait rien de bon si ce n'est la future 3 ème guerre mondiale qui servirait alors le capitalisme à relancer ses affaires, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, la seconde guerre mondiale ne fut qu'une petite anecdote qui dura 6 ans entre 1939 à 1945, n'est-ce pas? En voyant ce monstre produit par l'Occident faire feu de tout bois pour se maintenir en vie et quels que soient ses dommages collatéra-ux en pertes humaines! Avec le sentiment pénible qu'un jour, il me dévorerait pour produire de la riches-se matérielle, alors que mon âme s'y refusait d'une manière virulente! Car je n'étais pas un matérialiste, mais un être spirituel qui ne rêvait pas de gloires médiatiques, comme les imbéciles d'aujourd'hui, mais de la gloire de Dieu! Décidément, moi et le capitalisme nous ne faisions pas bon ménage, non pour des raisons d'argent ou d'injustices sociales, mais pour des raisons de nature où le poète que j'étais se refusa-it d'être dévoré tout cru par un monstre sans scrupules qui s'appelait la grosse bêbête de lOccident, Ah!Ah!Ah! Bref, nous n'avions pas quitté l'Empire Romain où Brutus s'appelait aujourd'hui Donald Trump, Ah!Ah!Ah! Ce que je trouvais d'hallucinant dans le capitalisme, c'était son pouvoir de métamorphoser les Hommes en être cupides, comme après les évènements de Mai 68( qui rejetait la socièté de consommati-on) où la plupart des leaders gauchistes étaient devenus des patrons capitalistes, Ah!Ah!Ah! Décidément, le socialisme à la française était une vaste fumisterie, comme nous l'avait démontré François Mitterrant, mais aussi François Hollande qui avaient le coeur à gauche et le portefeuille à droite. Etes-vous vraiment surpris par l'état déplorable de la France en ce moment, mon cher lecteur? Si oui, vous en connaissez dé-sormais les raisons!

Vous trouvez que je racontais bien les histoires, mon cher lecteur, ou peut-etre de petites histoires sans importances comme pourraient le dire mes détracteurs en pensant que Patrick était un guignol qui n'avait auun génie? Mais comment dire à ces imbéciles que mon livre unique dans l'histoire de la littérature " Des fleurs pour mon enterrement" était une grande histoire composée de petites histoires qui mises bout à bout formaient un récit fantastique! Bref, une histoire menée tambour battant du début jusqu'à la fin ou bien une suite de petites histoires qui n'avaient aucun lien entre elles? Telle était la grande question que devait se poser tous les écrivains doués d'imagination et non les plagiaires qui pullulaient aujourd'hui en recopiant le livre des autres dans le leur. Mais ne parlons pas de ces derniers qui n'avaient rien à faire dans la littérature, sinon recopier l'actualité des médias et tout particulièrement les écrivains-journalistes qui sapaient notre littérature et disons même notre Histoire qui est celle de la vérité. En fait, ce qu'il y avait de formidable quand on était un écrivain-journaliste, c'était d'avoir des copains dans les médias qui feraient aussitôt la promotion de votre livre même s'il était nul, Ah!Ah!Ah! Bref, le grand fléau d'aujou-rd'hui où la grande famille des journalistes nous éloignait de jour en jour de la vérité et disons même du vrai monde auquel nous croyons! Mais bon, pourquoi pas, quand on avait des moyens faramineux pour répandre le mensonge à l'échelle planètaire, n'est-ce pas? Quant à moi qui était un homme pragmatique et un jouisseur( où atteindre la vérité fut comme un grand orgasme) je laisserai le mensonge aux impost-eurs et la vérité aux vrais écrivains dont le travail était de rétablir la vérité. Et si je racontais si bien les histoires, mon cher lecteur, c'est parce que j'étais avant tout un compositeur soucieux d'assurer à ses oe-uvres une certaine continuité afin d'aller au bout de ses sensations, comme à bout de souffle! En faisant référence au cinéma de la nouvelle vague avec Jean-Luc Godard où l'on atteignait la vérité par un éffort physique et non intellectuel, comme le croyait idiotement nos pseudo-penseurs issus du 19 ème siècle. Et quand j'écrivais mes livres, d'une grande audace, je les écrivais toujours à partir de mon ventre ou de mes tripes et jamais à partir de ma tête qui un peu folle m'aurait entraîné sur les chemins de la folie intellect-uelle, comme Descartes, Voltaire, Carl Marx, Ah!Ah!Ah! Hum, comme il était bon d'atteindre la vérité comme un grand orgasme où tout votre corps se mettait à vibrer pour entrer en résonnace avec le cosmos et votre environnement proche! Et si pour l'instant, mon cher lecteur, vous n'aviez joui que des plaisirs intellectuels, je vous plaignais sévèrement, Ah!Ah!Ah! Mais lisez-moi et vous verrez une métamorphose s'opérer en vous et éclairer vos lanternes que les médias et les hommes de pouvoir avaient plongé dans l' obcurité pour des raisons mercantiles!

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Il ne faisait aucun doute pour moi que l'écrivain de demain serait un homme courageux et audacieux pour dire la vérité à ses contemporains quitte à assumer son insuccès auprès du public! Mais bon qui a dit que la littérature ou la musique était un business, sinon les médias? C'est bizarre à dire, mais depuis quelques temps, je sens en moi une petite déprime que je n'arrive pas à m'expliquer, car ma santé est plu-tôt bonne en ce moment. Et comme tout homme pragmatique, j'ai essayé de comprendre d'où cela pouv-ait provenir peut-être de la canicule qui m'aurait paralysé le cerveau ou au départ en vacances des Fran-çais qui me donnait le bourdon ou à la politique désastreuse de Monsieur Macron ou à une convocation récente au pôle emploi où j'ai dû apprendre pour la millième fois à rédiger mon CV? Ah!Ah!Ah! En fait, mon cher lecteur, pour ne rien vous cacher, je crois bien que c'était tout ça à la fois où la chaleur de la canicule m'empêchait de m'évader dans mes pensées en m'obligeant à regarder le spectacle du monde so-us le soleil des apparences. Où d'après les chiffres officiels, 50% des Français ne partaient jamais pas en vacances faute de moyens en regardant à travers la télévision le départ de l'autre moitié avec amertume, Ah!Ah!Ah! Alors que Monsieur Macron et sa copine Brigitte allaient piquer une tête dans leur piscine du fort de Brégançon payée aux frais du contribuable pour la modique somme de 34000 euros sans oublier le coup de blues provoqué par le pôle emploi qui sous la menace d'une radiation me convoquait en pleine canicule, Ah!Ah!Ah! Décidément beaucoup de désagréments pour pas grand chose, n'est-ce pas, mon cher lecteur? De ce fait, pour sortir de cette petite déprime(comme le font la plupart des femmes), j'ai dû faire quelques emplettes sur Internet et plus précisément sur Amazon. Pourtant, je m'étais juré de ne jamais ri-en acheter sur cette plateforme de vente mondiale qui pour moi tuait le commerce ainsi que l'économie française. Mais je vous avoue, mon cher lecteur, que j'ai pèché par faiblesse à cause de cette canicule qui avait affailbi mes facultés mentales, Ah!Ah!Ah! Décidément, le réchauchement climatique( comme je l'ai dit) était une bonne affaire pour relancer le commerce même en France où les Français malheureusement épargnaient trop au point que les coffres de nos établissements bancaires étaient plein à craquer en déte-nant environ 5000 milliards d'euros! Bref, de l'argent qui dormait et qui ne servait strictement à rien sauf à enrichir les banques en accordant des prêts à 1% où 1% représentait 50 milliards d'interêts, ce qui n' était pas rien, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais bon, il fallait rendre à Cesar ce qui appartenait à Ce-sar, c'est à dire aux banques et à l'Etat, n'est-ce pas? Finalement, nos écolos désoeuvrés n'arrivaient pas à saisir le changement de notre civilisation auquel nous assistions par le phénomène du réchauffement climatique et nous prouvaient qu'ils étaient de vieux dinosaures et des adeptes de la décroissance, Ah!Ah!Ah! En étant pas d'accord avec eux où le retour en arrière entraînerait le retour de la misère! Où il faut dire que la mondialisation capitaliste avait réduit la misère, ce qu'on pouvait constater dans tous les pays qui s'étaient occidentalisés, n'est-ce pas? Oui, je sais un grand paradoxe que je vous montrais là( quand on connaissait la dureté du capitalisme). Mais à l'évidence, il semblerait plus avantageux pour la majorité des gens d'avoir un voisin très riche qui jetait tous les matins dans ses poubelles les restes de son festin, n'est-ce pas?

J'ai même entendu dans une émission économique que le capitalisme pour se maintenir en vie envisagea-it de créditer nos comptes bancaires, bref, de nous donner de l'argent gratuitement! Décidément, le récha-uffement climatique avait tous les signes avant coureur d'un futur âge d'or, Ah!Ah!Ah! Les économistes appelaient cela dans leur jargon "l'hélicoptère monnaie" où un jour, on verrait des hélicoptères tourner au dessus des villes et déverser sur la population des tonnes de billets de banque pour sauver le capitalisme et surtout éviter la 3 ème guerre mondiale, Ah!Ah!Ah! Bref, un génial scénario pour une super producti-on Hollywoodienne, n'est-ce pas? Bien évidemment pour être réaliste dans ce film et qu'il soit captivant pour le spectateur, j'opposerai aux gens intelligents et plein de bon sens, une bande de furieux écolos qui verrait dans le largage de milliards d'euros à partir du ciel, comme une pollution insupportable, Ah!Ah!Ah! Décidément, la connerie n'avait pas de limite surtout quand on était con, n'est-ce pas? Je ne vous cac-herai pas, mon cher lecteur, que j'attendais comme vous avec impatience ce grand jour où il pleuvra du ciel de l'oseille et du vrai, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'avait rien de contradictoire avec le poète que j'étais en voyant dans cette vision surréaliste, comme un changement de civilisation où les inégalités sociales sera-ient enfin résolues, bref, mieux que dans le capital de Carl Marx, Ah!Ah!Ah! Bref, la gauche et les écolos étaient morts depuis bien longtemps et malgré leur grande instistance dans les médias à vouloir survivre dans ce nouveau monde fabriqué par la technologie! Très certainement, nous avions affaire ici, non pas à de la nouveauté, mais à de la nostalgie pure et dure où parait-il avant c'était mieux, bref, comme chez Alain Finkielkraut, le faux philosophe, Ah!Ah!Ah! Pour ma part, j'ai toujours détesté la nostalgie, car elle n'était pour moi qu'une rumination des choses passées qui nous empêchait réellement de vivre au présent en nous plongeant quotidiennement dans une nébuleuse où tous nos sens étaient déconnectés du cosmos et de notre environnement proche, bref, du flux de la vie où nous étions embarqués, comme des voyageurs temporels! Et puis je n'ai jamais supporté l'arrogance des écologistes qui se prenaient pour les portes paroles de la Nature et pourquoi pas de la planète? Ah!Ah!Ah! Décidément, le ridicule ne tuait plus et l'absurdité avait atteint des sommets avec les écologistes causé par la médiatisation à outrance de leur nostalgie idéologique où du soi-disant bonheur originel qu'on pourrait retrouver si on les écoutait. Pauvres imbéciles! m'écrais-je à chaque fois dire de telles sornettes, car le retour au passé était imposs-ible, mes chers écolos désoeuvrés et désolé de vous le dire, Ah!Ah!Ah! A vous entendre, vous rêveriez de réinventer la machine à remonter le temps et pourquoi pas le fil à couper le beurre ou peut-être la roue pendant que vous y êtes? Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, nous avions affaire ici à des imposteurs dont la seule ambition était d'ordre économique afin d'avoir de bons salaires dans nos ins-titutions et certainement pas de sauver la planète, comme ils le prétendaisent.

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Comme dans l'affaire "François de Rugy" où le ministre de la transition écologique organisait avec ses amis parlementaires des repas fastueux payés par le denier public, Ah!Ah!Ah! Sans oublier de vous men-tionner au menu des homards géants ainsi que des bouteilles de vin au prix de 500 euros l'unité! "Homa-rd m'a tué" Ah!Ah!Ah! Telle était la signature de son crime comme celui de Madame Maréchal perpétré par Omar Raddad qui, addict aux jeux et aux casinos de la Côte d'Azur, avait tout le temps besoin d'ar-gent où mentir à la justice fut pour lui un jeu comme un autre, je vous l'assure. Car celui qui vous le disait n'était pas n'importe qui, mais un ancien flambeur qui savait de quoi il parlait en connaissant pa-rfaitement les vices des joueurs pathologiques. En fait, la démission de notre ministre de la transition écologique m'a peu surpris en vérité. Car si vous êtiez observateur, vous auriez remarqué que le nom de François de Rugy comportait une particule issue de la noblesse ou dit d'une autre façon plus brutale qu'il avait trahi ses ancêtres royalistes pour se vautrer dans la boue républicaine, Ah!Ah!Ah! En fait, j'étais intimement convaincu que ce n'était pas le journal Médiapart et ses furieux gauchistes qui avaient réglé ses comptes à cet odieux individu, mais ni plus ni moins l'Histoire. De plus, ce qui était en totale con-tradiction avec la pensée de nos écologistes désoeuvrés, c'était un reportage à la télé où les Inuits nous montraient un visage radieux face au réchauffement climatique qui leur éviterait de se geler les couilles pendant les longs hivers rigoureux, mais surtout le bonheur de revoir pousser l'herbe sur leur terre qui s'appelait le Groenland ou la terre verte! Et d'après leurs légendes ancestrales, le retour à la terre verte par le réchauchement climatique symbolisait pour eux, le retour au bonheur originel. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, n'écoutez pas les écologistes débiter de grosses bêtises sur la socièté des Hommes et sur la nature qu'ils avaient pris en otage, non pour nous sauver, mais à des fins de pouvoirs personnels. Pour avoir une nature spirituelle (comme je l'ai dit à maintes reprises dans mes écrits), j'étais conscient d'être en totale contradiction avec mon époque et mes contemporains qui la plusart aspirait au bonheur matériel. Et paradoxalement, si je n'étais pas anticapitaliste, c'est parce que j'étais convaincu que le capit-alisme ou le matérialisme pouvait aussi mener vers le bonheur spirituel en étant la seconde étape d'un long processus pour accéder au bonheur auquel tous les Hommes aspiraient. En sachant bien que le pas-sage par le capitalisme pour accéder au vrai bonheur n'était pas forcèment une étape obligatoire pour les Hommes qui tout compte fait pourrait leur demander des siècles voir des générations entières pour leurs petits enfants ainsi que des éfforts colossaux pour passer cette étape douloureuse. Car l'accés au bonheur spirituel était accéssible par nous tous par un simple claquement de doigts où l'ascension spitrituelle vous était offerte comme par magie si vous êtiez assez intelligent ou évolué pour la saisir avec vos sens et non avec votre intellect, bien évidemment. Bref, connaissant la fin de toute chose par mon immense savoir, comprenez bien que l'ascension sociale n'était rien devant l'ascension spirituelle qui nous offrait les clefs du bonheur jusqu'à la fin des temps!

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Etrangement, depuis que j'avais écrit toutes ces choses positives, je ne ressentais en moi plus aucune dé-prime ni aucune douleur, comme si le bonheur ne dépendait que de nous même, bref, de notre accès au bonheur spirituel à toute heure de la journée et en toute gratuité, Ah!Ah!Ah! En étant convaincu si tous les Français se mettaient en quête du bonheur spirituel, cela diminuerait considérablement le trou de la sécurité sociale en diminuant notre stress au travail généré par le capitalisme, mais aussi le nombre de fonctionnaires de police dans la rue où la délinquance serait divisée par on ne sait combien ainsi que le nombre de nos hommes politiques dont le rôle serait de moindre importance dans cette nouvelle socièté idéale! Tout ce que j'affirmais ici était issue de mes intuitions où le capitalisme envisageait à l'avenir de nous distribuer gratuitement de l'argent pour se maintenir en vie où le salaire universel dont tout le mon-de parlait était comme les prémices ou les signes avant coureur d'un nouveau monde, n'est-ce pas? Et puis entre nous, mes amis, que représentaient exactement les aides sociales, sinon un présalaire univers-el? Sans oublier que ce salaire ou revenu universel serait aussitôt réinjecté dans l'économie réeelle, ce qui nous changerait beaucoup de ce capitalisme financier dont les revenus étaient soustraits aux Etats en allant se cacher dans les paradis fiscaux, n'est-ce pas? Personnellement, je pense que ce serait pour le capitalisme une façon honorable de soigner ses excès tels que les temps semblaient nous le montrer. Hier soir, en regardant une émission à la télé sur les futurs accords agricoles du Ceta( accords entre l'union européenne et le Canada) et du Mercosur (accords toujours en étude avec 4 pays d'amérique latine : le Brésil, l'Argentine, le Paraguay, l'Uruguay), j'ai été très étonné de voir une levée de boucliers de la part des gauchistes et des agriculteurs français, alors que ça allait indubitablemment faire baisser le prix des denrées alimentaires et augmenter le pouvoir d'achat des Français et des européens, n'est-ce pas? Cela voulait-il dire en termes crus que les gauchistes-bobos et les agriculteurs français étaient devenus des gens arrièrés en voulant s' opposer au bonheur des peuples? je me demandais d'une manière ahurie. Car jusqu'alors, j'avais toujours pensé que les paysans avaient les pieds sur terre. Mais là, en regardant sur mon poste de télévision, notre solide race de paysans perdre totalement pied devant cette mondialisation, j'avais vraiment pitié d'eux! Car par bêtise, ils avaient dogmatisé ou intellectualisé leur metier comme des écolos désoeuvrés en perdant leur légendaire pragmatisme, tel était le rude constat. En sachant bien de quoi je parlais, car mes grand-parents du côté de ma mère avaient été étaient paysans dans l'Indre-et-Loire et très proches des réalités, ce qu'elle me répetait souvent non sans quelques frayeurs! Bref, pour être franc avec vous, je dirais que si j'étais aujourd'hui un agriculteur avec un revenu de 600 euros par mois( comme la plupart le déclarait), je mettrais vite les clefs sous la porte en m'inscrivant immédiate-ment au RSA par pragmatisme, Ah!Ah!Ah Et pourquoi pas à 'AH( allocation pour handiapé) où travailler pour rien était un symptôme de la folie, n'est-ce pas? Décidément, je constatais avec amertume que les écolos polluaient notre environnement d'une manière intellectuelle avec leurs idées complètement farfe-lues et qu'il nous faudrait un jour les éradiquer pour nous permettre enfin de respirer!

Personnellement, j'étais convaincu qu'Emmanuel Macron et les parlementaires européens ratifieraient les accords du Ceta et du Mercosur pour le bien être des peuples. Car en tant que libéraux, ils pensaient dog-maiquement que la concurrence soit le meilleur moyen de sauver l'union européennne en poussant l'in-dividu à sortir de lui-même le meilleur de son potentiel! Ce à quoi, je n'ai jamais cru d'après mon expéri-ence personnelle, Ah!Ah!Ah! En remarquant une grosse contradiction dans la construction européenne dont la mission première était de créer une hégémonie européenne et non la mise en concrrence de tous ses pays membres d'une manière cannibale. C'est dire que la construction européenne comportait dès son début une erreur de fondation ou si vous voulez une grosse faille dont le résultat serait pire que celui de l'ancienne Europe des nations. Car en voulant supprimer toutes les frontières entre ses pays membres do-nc des frais de douanes, elle éliminerait toute régulation dans son système économique, mais aussi dém-ographique où l'ouverture des frontières allait attirer toute la misère du monde, comme un grand aspira-teur. Bref, en n'y voyant aucune avancée notable pour nous européens, mais plutôt un retour en arrière. Afin de complèter ce tableau déjà bien noir sur l'union européenne, je constatais que celle-ci allait rati-fier les accords du Ceta et du Mercosur pendant que tous les européens étaient partis en vacances, Ah!Ah!Ah! Mon cher lecteur, cela nous prouvait-il pas qu'il y avait comme du vice chez nos parlementaires qui profiteraient de l'absence de leurs concitoyens pour ratifier des accords en douce? Et pourquoi pas la réforme des retraites pendant que les Français étaient sur la plage? Ah!Ah!Ah! En prévoyant de grands mouvements sociaux dès la rentrée avec le retour de la momie appelée Jean-Luc Mélenchon! Ah!Ah!Ah! Ce qui ne sera pas une partie de plaisir pour notre cher Emannuel Macron au cul bordé de nouilles! A propos de retraite, j'ai un de mes amis qui est à l'AH( allocation pour handicapé) qui m'a dit qu'il espérait que l'âge de la retraire soit reculé! Bien évidemment, au début, je croyais entendre les propos d'un fou. Mais en l'écoutant bien, il m'a dit : Mais non, Patrick, je ne délire pas parce que ma pension de retraite sera inférieure à mon allocation handicapé! Ce qui était parfaitement exact en allant voir sur Internet. Décidément, les grandes généralités débitées par nos médias nous écartaient de jour en jour de la vérité, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Hier après-midi, en sortant dans la fournaise de la canicule, je me suis de-mandé avec raison, ce que pouvait bien faire notre héros des médias, monsieur Hulot, contre le réchauff-ement climatique? Apparemment rien du tout vu toutes les peines du monde que j'avais à me trainer jusqu'à mon café habituel, le Jutard, pour aller boire une petite mousse bien fraîche, Ah!Ah!Ah! Visible-ment notre sauveur de l'humanité ne détenait pas le thermostat de la planète entre ses mains, mais seule-ment le micro des médias pour nous dire des fadaises et toujours des fadaises, comme tous les escroc, Ah!Ah!Ah! Bref, une histoire vieille comme le monde, mais avec aujourd'hui des moyens hautement technologiques pour les servir, n'est-ce pas? Et quand je pensais à la petite suédoise Greta Thunberg( la nouvelle égérie des enfants, des médias et de l'écologie qui avait été reçue à l'assemblée nationale par nos idiots parlementaires), j'imaginais avec jubilation, monsieur Hulot bouillir sous la canicule en voyant une gamine lui piquer la vedette, Ah!Ah!Ah! Décidément, les imposteurs ne manquaient pas en ces pério-des caniculaires où la chaleur leur faisait perdre complètement la boule!

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En vous assurant, mon cher lecteur, que Nicolas Hulot était un illustre inconnu aux Etats-Unis de même que Greta Thunberg, parce que les américains fabriquaient eux-mêmes leurs propres stars grâce à Holly-wood et n'accordaient aucun interêt aux personnages médiatiques issus du petit écran. A ce propos, si les Français avaient reçu en grandes pompes à l'assemblée nationale la gamine Greta Thunberg, c'était bien évidemment pour se venger de Donald Trump qui avait sorti l'Amérique des accords de Paris sur le réch-auffement climatique. Tout en vous assurant que cela n'avait eu aucun impact sur les américains qui dét-estaient les gens parler pour ne rien dire ou tourner en rond, mais vouaient un culte aux créateurs et aux innovateurs parce qu'ils savaient qu'eux seuls détenaient la solution pour nous adapter au réchauffement climatique et pas de faire baisser la température de la planète, comme le stipulait les accords délirants de Paris, Ah!Ah!Ah! Ce qui nous montrait que les américains étaient des gens intelligents et pragmatiques, bref, comme je l'étais à vrai dire. Et ce qu'ils exécraient, c'était les étrangers qui se permettaient de les cr-itiquer ou de leur faire la morale. Et pourquoi pas leur donner un cours de roch'n'roll en sachant que l' Amérique avait inventé le rok'n'roll, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas une leçon sur le capîtalisme pour co-uronner le tout? Bref, tout cela était totalement absurde, n'est-ce pas? Car il faut dire que l'Amérique avait tout sur place et n'avait besoin de personne pour faire son autocritique et certainement pas l'avis des Français arrogants pour savoir ce qu'elle avait à faire, Ah!Ah!Ah! Bref, tandis qu'en France, on aboyait contre le réchauffement climatique, la montée du chômage, le prix de l'essence, de la baguette de pain et du pain au chocolat, etc, l'Amérique résolvait tous ses problèmes grâce à son esprit pragmatique. A prop-os du déclin de la France, j'ai vu un reportage très étonnant la semaine dernière se passant sur les côtes françaises où des marins-pêcheurs fouettaient la mer avec de grands bâtons pour la punir de ne pas leur donner assez de poissons, Ah!Ah!Ah! Décidément, l'union européenne rendait fou tout le monde avec ses quotas de pêches irréalistes par la mise en concurrence sauvage de tous ses pays membres. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, nous n'étions pas sortis de notre sujet sur la concurrence dont l'union europ-éenne accordait toutes les vertus, alors qu'elle était un concept destructeur. Je ne disais pas cela par grat-uité, mais en regardant l'Amérique de Donald Trump qui détestait la concurrence en abandonnant le libér-alisme pour s'adonner au pur plaisir du capitalisme monopolistique. Voyez comment il s'en prenait aux Chinois et aux européens en taxant leurs exportations vers l'Amérique parce qu'il detestait la concurren-ce libérale afin d'établir une régulation économique en faveur de l'Amérique, bien évidemment. De même quand il insultait par tweets Emmanuel Macron parce que la France venait de créer une taxe sur les GAF A composées en grande partie de sociètés américaines. Mais il faut signaler, une régulation économique tout à son honneur, quand on constatait les désastres occasionnés par la dérégulation dans notre union européenne en supprimant toutes les taxes douanières entre nos pays membres et encourager la libre circ-ulation des travailleurs détachès! Bref, sale temps pour l'union européenne où nous n'étions pas prêts de sortir de cette auberge espagnole, comme on disait dans le pays des tapas, Ah!Ah!Ah! Comprenez bien, quand je parlais de tout cela d'une façon passionnée, je n'étais pas jaloux de Monsieur Hulot ou de Greta Thunberg. Parce qu'ils n'étaient pour moi que des personnages médiatiques sans aucune réalité et qu'on pouvait taper dessus sans que cela leur fasse véritablement mal, Ah! Ah! Ah!

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Et fort possible qu'ils soient des gens forts sympathiques dans la vie réelle, mais cela je ne le saurai ja-mais ni vous, mon cher lecteur. En fait, comme j'avais une solide formation technique, je ne croyais qu' aux gens qui créaient ou innovaient, bref, en ceux qui réalisaient vraiment des choses et non aux impo-steurs qui baratinaient à longueur de journée dans les médias et qu'on appelait les "tourne-en-rond", com-me monsieur Hulot ou Greta Thunberg et bien d'autres. Décidément, sans le savoir, j'avais beaucoup de points communs avec les américains qui pensaient que seule la science pourrait sauver notre civilisation du chaos par des inventions plus ou moins délirantes, mais vitales pour notre survie. Et laissons les faux prophètes arranguer la foule sur la prochaine fin du monde, Ah!Ah!Ah! A ce propos, il parait qu'au temps des romains, la ville de Jérusalem comptait pas moins de 10 000 faux prophètes qui se battaient à chaque coin de rue pour arranguer la foule! Et qu'aujourd'hui, cela se passait dans nos médias et sur la toile Inte-rnet où les places étaient chères payées, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Bref, encore une histoire de concurrence entre tous où nous n'étions pas prêts de sortir agrandis, mais plutôt amoindris, Ah!Ah!Ah! Pour résumer ma pensée, je dirais que la mise en concurrence sauvage entre tous les individus était le sy-mptôme d'une socièté malade qui n'offrait plus assez d'avenir au plus grand nombre, mais qu'à un nom-bre limité de personnes pour augmenter la rentabilité du système économique libéral, n'est-ce pas? Je ne dirais pas pour le capitalisme, car la nature du capitalisme était de produire de la richesse, alors que le li-béralisme de la réduire par sa mise en compètition très rude des prix qui, il faut le dire, diminuait les sal-aires et la production de richesses, CQFD. Comme vous le voyez, je ne mélangeais pas le capitalisme et le libéralisme qui ce dernier au bout du compte exploitait le capitalisme pour établir son dogme dans le pire des mondes! Cétait apparemment, la seule doctrine qui était arrivée à exploiter le capitalisme et à rouler les honnêtes gens dans la farine, Ah!Ah!Ah! Et si le capitalisme se trouvait aujourd'hui à bout de souffle( et prêt à nous distribuer gratuitement de l'argent pour se maintenir en vie), c'était en grande part-ie à cause du cannibalo-libéralisme, Ah!Ah!Ah! Où le système concurrentiel libéral réduisait considéra-blement notre rèussite et notre épanouissement au sein de la socièté ainsi que la qualité de nos oeuvres intellectuelles et artistiques, comme on le voyait aujourd'hui, où la littérature, la musique, l'art contemp-orain et le cinéma avaient atteint une abyssale médiocrité, Ah!Ah!Ah! Apparemment, la qualité remarqu-able de nos oeuvres produites par le passé n'était pas le résultat d'une concurrence sauvage entre les art-istes ou les intellectuels, mais d'une absence totale de concurrence. Parce que tout bêtement, il y avait de la place pour tout le monde pour s'exprimer et réussir du fait que l'économie libérale n'avait pas encore établi sa compétition sauvage entre tous les individus. Bref, une chose tout à fait logique, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais en étant ni un extrêmiste ni un idiot, j'admettais entièrement qu'il devait y avoir de la concurrence sur les produits agricoles afin de faire baisser le prix de produits alimentaires et réduire la faim dans le monde. Ce qui au bout du compte n'était que du bon sens, n'est-ce pas?

Mais une chose malheureusement pas partagée par nos écolos désoeuvrés et nos vegans que j'aurais bien mis en saucisses à l'étale du boucher avec la mention sur l'étiquette"Pure viande végane!" Ah!Ah!Ah! Bref, un joli conte que ma folle imagination de romancier était prête à écrire le scénario en imaginant un groupe de bouchers très en colère contre les végans (dont les vitrines avaient été brisées pour d'idiotes raisons de défense des animaux) kidnapperaient une bande de végans (si possible bien en chair, ce qui serait une chose difficile à trouver vu leur régime à base de racines!) afin de les mettre en saucisses, puis sur leurs étales de bouchers avec la mention sur l'étiquette "Viande bio" Ah!Ah!Ah! Ce qui ferait sûrem-ent plaisir aux écolos désoeuvrés sans savoir qu'ils mangeraient leurs petits copains végans, Ah!Ah!Ah! Décidément, un joli conte digne à la Charles Perrault, comme le petit chaperon rouge, n'est-ce pas? En fait, le génie n'était qu'une histoire de folle imagination, n'est-ce pas? Et pour couronner mon joli petit conte, j'imginais alors un immense barbecue organisé sur les Champs Elysées par tous les bouchers de France qui seraient ravis d'offrir à la population de la viande de végans et pourquoi pas d'écolos où tout le monde pourrait dévorer avec grand appetit leurs pires ennemis, Ah!Ah!Ah! Avec une forte chance que ce soit de la viande très tendre vu que ces fainéants individus ne faisaient rien de leurs dix doigts en tant que fonctionnaires, Ah!Ah!Ah! Il est vrai que je n'aimais pas beaucoup les écolos, mais  pour des raisons tout à fait légitime. Car j'en avais eu un au dessus de chez moi qui pendant des années avait retapé son appartement, non pas dune manière écologique, mais en faisant un bruit infernal au point que ma mère et moi avions failli devenir fou! Bref, une vraie pollution sonore! Et si vous essayez de me convaincre que les écolos étaient des gens biens, mon cher lecteur, je vous enverrais volontier, mon poing sur la gueule, Ah!Ah!Ah! En vous assurant que mes petites histoires charmantes n'étaient pas de pures inventions de ma part, mais tirées de faits réels! Comme à propos de nos écolos et de nos végans que tout le monde en vé-rité détestait, parce qu'ils étaient des adeptes de la décroissance prêts à manger des racines infectes pour sauver la planète, Ah!Ah!Ah! Bref, un régime sec que le peuple se refusait de suivre pour toutes les raiso-ns du monde en adorant la croissance économique, manger de grosses entrecôtes bien saignantes et chant-er des chansons paillardes à la fin des repas, Ah!Ah!Ah! Bref, tout le contraire de nos pâlots extraterrestr-es qui rêvaient de vide sidéral en méditant sur le trou noir de la création parce qu'ils n'avaient en vérité rien à dire sauf : Sauvons la planète, les animaux de la ferme et les migrants! Ah!Ah!Ah! Bien évidemm-ent, quand j'entendais tout ce charabia médiatique sur mon poste de télévision, cela me faisait hurler de rires! Car visiblement nos petits Hommes verts mélangeaient tout par un manque évident d'intelligence et disons-le franchement par un manque de discipline intérieure qu'on appelait la rigueur intellectuelle ou pour dire clairement les choses, le bon sens!

En fait, l'avantage de n'avoir aucune rigueur intellectuelle était de pouvoir dire tout et n'importe quoi sur les sujets que les médias traitaient comme des spots de publicité où écologie, défense de la cause animale et des migrants faisait un curieux mélange surréaliste où l'on y perdait son latin, Ah!Ah!Ah! Bien évidem-ment, dans ce domaine de l'esbrouffe intellectuelle et dans la perte de nos valeurs, les gauchistes étaient très doués pour embrouiller nos concitoyens en leur faisant miroiter une liberté totale( alors qu'ils ne l' auront jamais) et pour pas un rond, Ah!Ah!Ah! Mon cher lecteur, cela ne vous fait-il pas plaisir d'enten-dre enfin la vérité sur ces imposteurs que nos médias dorlotaient et entretenaient avec soin pour mettre le feu là où ils le voulaient et quand ils le voulaient, hum? Car n'oublions pas de dire que nos écolos et nos végans étaient de furieux gauchistes! En fait, pour ne rien vous cacher, j'aurais bien mis un écolo ou un végan dans une cage aux lions pour lui montrer c'était quoi la nature, Ah!Ah!Ah! Et s'ils prenaient la par-ole d'une manière arrogante et complètement hystérique pour défendre la nature, c'est tout simplement parce qu'ils n'y étaient pas confrontés en vivant dans un monde de bisounours où les ours et les tigres étaient en peluches et rembourrés par de la cellulose, Ah!Ah!Ah! Pour aller au bout de ma pensée, je di-rais qu'ils ne vivaient pas dans la vie réelle, mais dans le monde de Disney sans le savoir vraiment, Ah!Ah!Ah! Ce qui bien évidemment était une ironie de l'histoire en refusant la socièté de consommation, alors qu'ils étaient un produit fabriqué par celle-ci! Vraiment stupéfiant ce que je vous apprenais là, mon cher lecteur, non? Mais voyez-vous, si vous vouliez connaitre la vérité sur ces gens, il vous suffisait sim-plement de gratter le vernis qui recouvrait leurs soi-disant idées généreuses où se cachaient la pire des dictatures! Mais que je ne comparerais pas avec nos hyppies des années soixantes dix que j'avais cotoyé durant mon adolescence. Car ces derniers (qui avaient souvent le ventre vide parce qu'ils n'aimaient pas travailler!) ne réchignaient jamais devant une belle tranche de steak qu'ils étaient prêts à engloutir avec grand appetit, Ah!Ah!Ah! Décidément, nos deux espéces d'homo-écolo-erectus n'avaient aucun rapport, sauf d'être toujours bipèdes! De plus, en annalysant la situation sur nos écolos et nos végans d'aujour-d'hui, je remarquais que la plupart était des fonctionnaires donc au service de l'Etat. Ce qui aurait ulcéré, je pense, un hyppie des annèes soixantes dix qui adorait la liberté et se serait jeté dans le canyon de la mort pour ne pas travailler pour l'Etat qui représentait pour lui, le mal incarné, Ah!Ah!Ah! En fait, ce qui m'avait mis sur la piste de nos écolos-fonctionnaires-désoeuvrés, c'était leur dégoût pour la viande parce que leur profession n'exigeait d'eux aucun travail de force en restant assis toute la journée à tripatouiller des papiers et toujours des papiers, Ah!Ah!Ah! Bref, en ne faisant rien de la journée pour dire clairement les choses sauf d'avoir beaucoup de temps à se consacrer pour sauver la planète, Ah!Ah!Ah! Mon dieu quelle idée farfelue! Alors que nous, les pauvres larbins, n'avions aucune hauteur de vue en consacrant notre misérable vie à enrichir le capitalisme, bien évidemment! On voyait bien ici, mon cher lecteur, que nos écolos usaient d'un monopole d'Etat pour se donner le beau rôle en ayant éliminé toute concurrence, n'est-ce pas?

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Mais que dire aussi de ce monopole d'Etat sur la vie politique française où l'on pouvait proposer sa cand-idature aux élections sans prendre vraiment de risques en retrouvant son poste en cas d'échec? Mon dieu quel scandale pour la socièté française soi-disant égalitaire! Liberté, Egalité, Fraternité, Mon cul! devrait être la nouvelle devise de la république française, hum? En observant avec attention nos écolos désoeuv-rés et nos hystériques végans, nous n'avions pas affaire à des hommes et à des femmes qui aimaient la na-ture, mais à des bureaucrates, bref, à des apprentis dictateurs, Ah!Ah!Ah! Sans vous cacher, mon cher lec-teur, que j'avais souvent l'impression d'avoir en moi un immense réservoir de haines qu'il me fallait abs-olument vider( quand il était plein) sur les gens que je haïssais comme les écolos, les végans, les médias et les hommes politiques pour ne pas sombrer dans la folie, Ah!Ah!Ah! C'était pour moi un besoin vital pour protéger ma santé physique et mentale afin d'éviter de retourner ma haine contre moi-même. D'une certaine façon, j'étais un grand hygièniste que tout le monde devrait suivre les recommandations afin de lui éviter de veillir prématurement ou d'attraper le cancer, n'est-ce pas? Mais sans vouloir défendre ces fous qui, pour vider leur immense réservoir de haines et de frustrations, étaient prêts à vider leurs charge-urs sur la foule! Car personnellement, j'ai toujours pensé qu'il ne fallait jamais s'attaquer aux innocents, mais aux coupables dont on connaissait parfaitement les noms en regardant tout bêtement la télévision, n'est-ce pas? Pour moi, c'était les écolos, les végans, les médias et les hommes politiques qui sommes to-utes représentaient très peu de gens à l'échelle mondiale peut-être 0,001 % qu'une éradication ne cau-serait aucune perte véritable pour l'humanité, n'est-ce pas? En étant pas un extrémiste ni un nazi, mais un homme de son temps qui avait entendu les désirs du peuple qui voulaient se débarrasser une bonne fois pour toute de tous ces gens inutiles qui lui gâchaient en grande partie l'existence, Ah!Ah!Ah! En compr-enant bien que le peuple n'était pas contre l'autorité de l'Etat( qui était une chose admise par tout le mon-de, aussi par moi-même, mais contre ses élus qui abusaient d'un monopole d'Etat, non pour servir le peu-ple, mais uniquement pour se maintenir en place! Ainsi voyait-on que les institutions républicaines mal-traitaient de jour en jour le peuple pour se maintenir au pouvoir, ce qui n'était pas bon signe pour notre démocratie, n'est-ce pas, mon cher concitoyens? Et que le meurtre récent du maire de Signes( un petit village Varois) par deux jeunes maçons qui déchargeaient des gravats sur le bord de la route n'était pas anodin, mais révélateur d'une époque où le peuple ne supportait plus l'autorité des élus républicains qui, il faut le dire, faisait tout pour lui gâcher la vie, Ah!Ah!Ah! Et tout particulièrement parce qu'il existait bien des déchetteries pour évacuer des gravats, mais malheureusement payantes pour les professionnels et gratuites pour le particulier! Bref, une taxe inspirée directement à l'Etat par les écologistes qui somm-es toutes étaient indirectement liés au meurtre du maire de Signes!

Mais une chose à laquelle il fallait s'attendre, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et que sous leurs beaux ha-bits verts se cachaient en vérité de grands criminels! Il parait, d'après des témoins, que Monsieur le maire (âgé de 75 ans) voyant son autorité bafoué par ces deux jeunes maçons forts et virils comme des boeufs, s'était mis au travers de leur véhicule pour ne pas qu'ils repartent sans avoir payé la grosse amende. Mais le jeune conducteur, voyant Monsieur le maire se prendre pour Superman, n'hésita pas un seul instant à lui fonçer dessus pour voir si cette jolie histoire était vraie et comme on devait s'y attendre, l'écrasa co-mme une vulgaire galette de pain, Ah!Ah!Ah! Car Monsieur le maire n'avait aucun super pouvoir conféré par la république pour faire rétablir l'ordre en n'étant qu'un citoyen ordinaire qui avait cru à la magie de sa fonction dans le pays des chimères qu'on appelle la république française, Ah!Ah!Ah Pour les deux jeu-nes maçons, il était évident que Monsieur le maire avait outre passé ses fonctions en se prenant pour su-perman et l'avait payé de sa vie! Et comme ils étaient intelligents( en connaissant parfaitement les lois ty-ranniques de la république), ils ne prirent point la fuite au risque de prouver leur cupabilité, mais attendi-rent avec la conscience tranquille l'arrivée des gendarmes. Pour ma part, j'étais convaincu que nos deux jeunes maçons avaient dû suivre "Les enquêtes impossibles" de Pierre belmare pour connaître toutes ces petites astuces employées par les policiers et la justice  pour appréhender les voyous et prouver leur culp-abilité. Décidément, une émission forte instructive qu'il ne fallait surtout pas mettre sous les yeux de tout le monde au risque de voir les futurs meurtriers devenir des experts en meurtre parfait, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment pour moi, il s'agissait d'un meurtre involontaire où Monsieur le maire l'avait bien che-rché, Ah!Ah!Ah! Tous les jours, les médias ne faisaient qu'en parler, comme s'il s'agissait de la nouvelle affaire du siècle ou d'un nouveau WaterGate où un élu de la république avait été lâchement assassiné, non pour une affaire d'Etat, mais pour une petite histoire de gravats jetés sur le bord d'une route, Ah!Ah!Ah! Bref, une affaire que j'appellerais bien l'affaire du GravatGate, Ah!Ah!Ah! Décidément, la république était tombée bien bas, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Au point que le maire de Signes eut droit à des fun-érailles nationales par médias interposés où j'avais cru assister, non pas aux funérailles de Monsieur le maire, mais à celles de l'Etat républicain, Ah!Ah!Ah! Bref, les chroniques d'une mort annoncée, n'est-ce pas? Concernant le procès, qui s'ouvrirait dans les mois prochains, je plaignais beaucoup nos deux héroï-ques maçons qui avaient réussi( que ceci reste entre nous) le meutrtre parfait! Car ils allaient devoir se défendre, non pas seulement contre les proches de la victime, mais aussi contre l'Etat qui comptait bien se venger sur l'assassinat de l'un de ses représentants. Peut-être les condamnerait-il à mort ou à une peine à perpétuité vu que la république était en ce moment au bord de la débacle en n'acceptant pas sa défaite? L'avenir nous le dira, bien évidemment, mon cher lecteur. Mais personnellement, je ne crois pas que l' Etat républicain gagnera son procès, car pour moi le crime était parfait!

Bref, une chose à méditer pour nous tous afin de faire tomber la république et pas forcément l'Etat qui, dépouillé de son dogme républicain, retrouvera sa grandeur et son autorité naturelle que la république avait roulé dans la boue depuis la révolution française, Ah!Ah!Ah! Décidément, j'avais beaucoup de cho-ses à reprocher à la socièté française et pas forcément à mes compatriotes qui étaient devenus à la longue des mort-vivants que la fin du monde ne dérangerait pas, Ah!Ah!Ah! Bref, avec le meurtre parfait de Mo-nsieur le maire en rase campagne, les médias allaient très certainement en faire une affaire" à la Vincent Lambert " qui, il faut dire la vérité, nous avait empoisonné l'existence pendant des années et uniquement pour éssayer de réssuciter un mort-vivant, Ah!Ah!Ah! Alors que des gens bien vivants et très inteligents comme moi n'avaient droit à aucune considération, Ah!Ah!Ah! Bref, une histoire de fous que seule la so-cièté française savait fabriquer avec grand art, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Ainsi le meurtre de Monsi-eur le maire deviendrait vite un marronnier ou une habitude éditoriale pour les médias lorsque la républi-que se retrouverait en danger, Ah!Ah!Ah! Mais un marronnier qui risquait de prendre profondément raci-ne vu le déclin profond de la France. Ah pauvre France, m'écriais-je en regardant mes compatriotes marc-her comme dans Walking dead, Ah!Ah!Ah! Avec ma folle imagination, j'imaginais avec une grande faci-lité une série policière se déroulant dans notre beau pays de cocagne où un serial-killer envisageait d'ass-assiner tous les maires de France parce qu'ils étaient nuisibles au bonheur des Français, Ah!Ah!Ah! Ima-ginez, mon cher lecteur, notre grand bonheur de visiter nos belles régions de France ou à chaque étape on y tuerait un élu de la république! Oh mon dieu, quelle superbe idée pour nos metteurs en scène ou ciné-astres en mal d'inspiration, n'est-ce pas? Et que dire aussi du suspens qu'il y aurait quand le sérial-killer, avant de tuer Monsieur le maire, nous ferait visiter les vignes de Monsieur le vicomte ou bien manger à la table d'une famille respectable? Pour moi, une série policière qui deviendrait culte auprès de nos télés-pectateurs que malheureusement nos chaines de télévision refuseraient le scènario car trop en avant sur son temps, Ah!Ah!Ah! En comprenant bien que tous les téléfilms ou films produits par la télévision avai-ent des cahiers de charges si contraignants en termes de libertés qu'ils laissaient souvent les cinéastes sur  leur faim. En faisant aujourd'hui du cinéma français quelque chose de médiocre pour être subventionné en grande partie par l'Etat. Et ce qu'il y avait de tabou aujourd'hui, mon cher lecteur, ce n'était pas le sexe ou l'argent, mais bien la politique où si vous voulez les privilèges des élus politiques qui abusaient du monopole d'Etat pour nous en faire voir de toutes les couleurs, Ah!Ah!Ah! Si nos cinéastr-es actuels pen-saient avoir du génie parce qu'ils mettaient des scènes de sexe dans leurs films ou des histoires de fric, de meurtres et de drogues, ils se faisaient beaucoup d'illusions, en occultant le plus important, c'est à dire la politique! Voilà en résumé le cinéma français d'aujourd'hui qui était d'une grande banalité, comme un steak frite afin de plaire au large public et ne surtout pas froisser l'Etat qui subventionnait en grande part-ie ses productions, Ah!Ah!Ah! A ce propos, quand je regardais ces films idiots, j'avais souvent l'impressi-on qu'il ne s'agissait pas de vrai cinéma, mais d'une bande annonce interminable d'un film dont on ne ver-ra jamais la couleur, parce que malheureusement nos cinéastres ne savaient plus raconter des histoires. Il s'agissait plutôt pour moi de clips video que de vrai cinéma!

Un phénomène identique aperçu dans notre littérature d'aujourd'hui où nos écrivains ne créaient plus, n' imaginaient plus, mais décrivaient la réalité économique où en fin de compte, il n'y avait rien à appren-dre, sinon saisir les apparences, Ah!Ah!Ah! Tout ceci étant bien entendu une affaire de professionnels de la litterature que de véritables artistes, ce que nous pouvons déplorer, mon cher lecteur. Mais pour reven-ir à ma série policière que j'envisageais de produire sur Internet( grâce au financement de courageux inte-rnautes sur ma cagnotte leetchi), je l'intitulerai : Mais qui a tué Monsieur le maire? Et pour ajouter plus de suspens aux épisodes, mon sérial-killer, avant d'assassiner bestialement Monsieur le maire, fredonn-erait "Douce France" la chanson de Charles Trenet, Ah!Ah!Ah! C'est dire une chanson pleines d'insoucia-nces, n'est-ce pas? A ce propos, j'aurais bien aimé foncer avec mon scooter sur le maire de Lyon afin de voir quel effet ça pouvait faire d'écrabouiller un petit imbécile, Ah!Ah!Ah! Décidément, je me sentais to-talement français par mon insolence viscérale et historique, n'est-ce pas, mon cher compatriote, qui ma-lheureusement râlait à longueur de journée faute de pouvoir s'exprimer en toute liberté, comme je le fai-sais en ce moment. Mais un jour viendra( comme dit la chanson) où vous Français vous retrouverez vo-tre vraie nature et le monde explosera à nouveau, Ah!Ah!Ah! Bref, j'avais hâte que la France sorte de sa monstrueuse létargie républicaine pour s'éveiller comme la Chine au point d'éffrayer l'Amérique de Don-ald Trump, Ah!Ah!Ah! Et comme nous avions en France 35000 communes( donc 35000 maires à assass-iner), notre sérial-killer avait pour ainsi dire beaucoup de travail sur la planche, Ah!Ah!Ah! Ce qui serait pour notre série policière un gage de pérénnité sur nos chaînes télé, n'est-ce pas? Mais pourquoi autant de communes en France, alors que les Etats-Unis( 6 fois plus peuplée et 15 fois plus grand que nous) possèdaient seulement 19500 muncipalités? Ceci restait pour moi un grand mystère que seule l'idiotie politique pouvait, bien évidemment expliquer. Décidément, la France traditionnelle avec son petit village gaulois avait encore de beaux jours devant elle, n'est-ce pas? A laquelle notre président Emmanuel Ma-cron faisait sa cour en permanence pour être admis dans son clan! Ce qui n'était pas une mince affaire pour lui sachant qu'il vivait dans les hauteurs atmosphériques de la république, bref, à Rome, Ah!Ah!Ah! A ce propos, je ne manquais jamais un épisode d'Atérix et Obélix quand il passait à la télé. En y voyant une représentation parfaite de la France d'aujourd'hui où le dernier G7( organisation des 7 pays les plus riches de la planète avec étrangement le nom d'une boisson alcolisée!) rendait fou tout le monde aussi bien ses organisateurs que ces hordes d'imbéciles qui se nommaient des anti-G7! Et pourquoi pas anti-tout pour se consoler de toutes ses frustrations? Ah!Ah!Ah! En fait, ce qu'il nous manquait en France pour nous sortir de ce mauvais pétrin et nous sauver de la ruine, c'était la potion magique d'Astérix et d'Obélix préparée par le druide Panoramix pour leur donner de super pouvoirs, Ah!Ah!Ah! Mais comme en France, on ne croyait plus en Dieu ni aux druides depuis la révolution française, notre déclin était pour ainsi dire programmé. A ce titre là, la bande dessinée de René Goscinny et d'Albert Uderzo était pro-ph-tique, n'est-ce pas? Et qu'au bout du compte, pour apprendre la vérité, il valait mieux lire des bandes déssinées que de lire des pseudo-philosophes, comme Michel Onfray, le chouchou des médias. Et puis, entre nous mes amis, pourriez-vous croire un seul instant qu'un philosophe de gauche qui ne croyait pas en Dieu puisse détenir la vérité? Pour ma part, je pense que cet homme est une imposture!

Car il faut dire à notre cher lecteur que sans la foi, on ne pouvait déplacer des montagnes et visiblement le cas pour Emmanuel Macron qui faisait n'importe quoi après avoir gagné au loto présidentiel de 2017, Ah!Ah!Ah! Ca ressemblait étrangement au cas d'Epstein, un milliardaire américain qui ne savait pas quoi faire de son argent et occupait son temps à violer les petites filles, Ah!Ah!Ah! Et que son suicide en pri-son, nous prouvait que l'argent ne vous rendait pas intelligent, mais plutôt dégénéré, Ah!Ah!Ah! Serait-ce le cas aussi pour Donald Trump qui en ce moment nous montrait des signes de dégénérescences mentales en insultant Emmanuel Macron sur tweeter pour la taxe sur les GAFA, mais aussi les Chinois qui avec leurs 800 millions de travailleurs payés à 2 euros de l'heure concurrençaient le monde entier d'une ma-nière tout à fait logique? A ce propos, il y a 3 jours, j'ai acheté sur AliExpress une clé blue-tooth pour emmerder Donald Trump, Ah!Ah!Ah! Bref, pendant ce temps là, Monsieur Melenchon était parti au para-dis des gauchistes qu'on appelait l'Amérique latine! Il parait, d'après des études très poussées des archéo-logues, que l'Amérique latine soit devenue en quelques décénnies le nouveau territoire des vieux dino-saures de la planète où ils se regroupaient après avoir subi la dernière glaciation politique où ils avaient perdu tous leurs pouvoirs, Ah!Ah!Ah! Il faut souligner à notre cher lecteur que si Spilberg y avait tourné Jurassic Parc, ce n'était pas sans raison, n'est-ce pas? Et d'après des informations hyper confidentielles, obtenues grâce à mon réseau secret, il ne s'y montait plus de laboratoires de narcotrafiquants, mais de clônages ou l'on essayait de ressuciter des anciens dictateurs à partir d'échantillons ADN. Et d'après mes dernières informations( dont je ne livrerai pas les sources), on essayait de ressuciter Joseph Staline où Monsieur Melenchon avait été convié pour l'occasion exceptionnelle, Ah!Ah!Ah! En fait, la raison pour laquelle il s'était absenté de la France où son parti politique " La France insoumise" subissait en ce mom-ent un cataclysme climato-politique où les vieux débris du passé devaient disparaitre du plancher avant de se transformer en vieux fossiles dans le permafrost, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, comme Monsieur Melenchon était plus intelligent que ses adeptes à la cervelle de fourmis ou d'invertébrés, il était parti en Amérique latine afin de continuer à vivre en vieux dinosaure parmi les derniers survivants de son espèce, Ah!Ah!Ah! Mais tout de même très dangereux pour notre civilisation avec le projet fou de faire ressu-citer Joseph Staline et pourquoi pas Néron? Bref, une fois de plus, ma folle imagination m'entrainait dans des histoires hallucinates( mais toutefois crédibles auprès des scientifiques) où je voyais les amis de Monsieur Melenchon se rendre à Moscou pour aller voler dans le mausolée de Staline des échantillons ADN! Mon dieu, quel livre prometteur en termes d'aventures digne d'un roman de John le Carré, n'est-ce pas? Il est possible aussi, vu mon imagination exceptionnelle à découvrir la vérité, que Spilberg m'app-elle dans les prochains jours afin de m'acheter les futurs droits d'auteurs. Ce qui, je pense, devrait mettre beaucoup de beurre dans mes épinards qui en ce moment en avaient bien besoin, Ah!Ah!Ah! Et si je n' étais pas devenu pour autant matérialiste, mon cher lecteur, c'est parce que j'ai toujours pensé que les plus belles choses au monde ne s'achetaient pas!

Comme la santé, la beauté, l'amour, l'amitié, l'intelligence, le génie. Sans y inclure le talent qui était pour moi une compromission avec le pubic. Alors que l'intelligence et le génie d'une nature parfaitement auto-nome qui n'avaient pas besoin de l'accord des autres pour exister, n'est-ce pas? C'est bien pour cette rais-on que je ne me définissais pas comme un homme qui avait du talent, mais du génie, Ah!Ah!Ah! Dit sans arrogance de ma part, car une chose que l'on ressentait au fond de soi comme une évidence. A ce propos, si vous êtes intéressés par les cinq qualités préférées des Hommes pour réussir dans la socièté, lisez le cercle magique que j'ai écrit il y a fort longtemps. Où vous saisirez que le cercle magique était la clé qui nous permettait de comprendre le fonctionnement de notre socièté française où l'Education Nationale tenait un grand rôle dans la destruction de notre intelligence, Ah!Ah!Ah! Leur stratégie étant bien évidem-ment de donner le pouvoir aux fonctionnaires pour qu'ils réussissent mieux que le reste de la population française, Ah!Ah!Ah! Et malheureusement le cas aujourd'hui où nous étions gouvernés par des idiots, non pour la grandeur de la France, mais pour de petites ambitions bureaucratiques. Monsieur Macron n' échappait pas lui aussi à cette défintition du parfait idiot où pendant le G7, il avait fait n'importe quoi en se mettant à dos aussi bien Donald Trump que Jair Bolsonaro en invitant en douce un diplômate Iranien, puis en accusant Bolsonaro d'être un soi-disant pyromane qui laisserait les cultivateurs Brésiliens brûler toute la foret Amazonienne! Décidément, notre petit président était devenu aussi impréisible que Donald Trump en ayant compris que l'imprévisibilité de ce dernier lui avait assuré son succès politique, Ah!Ah!Ah! Alors pourquoi ne pas faire pareil quand les sondages suivaient? se demandait-il avec envie en ne pe-nsant pas à la grandeur de la France, mais à sa réelection, Ah!Ah!Ah! Pour rester sur le même sujet, j'ai appris ce matin en écoutant BFM radio que notre guignol de président avait une nouvelle fois changé les règles sur la réforme des retraites en prévilégiant les années de cotisations au détriment de l'âge buttoir de la retraite! Bref, encore une imprévisibilité de notre petit président en sachant bien qu'il nous fallait un âge légal pour partir à la retraire et pourquoi pas 90 ans, comme le souhaitait notre petit monarque à l' Elysée? Décidément, la France avait perdu tous ses grands hommes et qu'il nous fallait désormais nous débrouiller avec des imbéciles, Ah!Ah!Ah! Et d'après les dernières informations, j'ai appris que Jair Bo-lsonaro comptait sortir des accords du Mercosur pour ne pas vendre sa viande de boeuf aux Français qui au bout du compte ne la méritait pas sans oublier de mentionner que son administration n'utiliserait plus de stylos BIC( une marque française) pour rédiger le moindre document papier après avoir subi une terr-ible humiliation médiatique de la part de notre petit président. Mais quand le monde politique deviendra-t-il intelligent? je me demandais souvent chaque matin en buvant mon café en écoutant BFM business : la radio des imbéciles qui voulaient devenir milliardaires, Ah!Ah!Ah!

En fait, si l'Education Nationale en était arrivée à saboter l'intelligence des petits français, c'était tout si-mplement pour se venger de son ministère qui, il faut le dire, ne l'écoutait jamais, Ah!Ah!Ah! En pensant un peu idiotement qu'elle était la plus apte à créer ses propres programmes. Ce qui bien évidemment était une ineptie pour les hommes intelligents. Car les profs et les instits étaient les ouvriers de l'Etat qui dev-aient suivre ses commandements et non l'inverse, n'est-ce pas? Et puis entre nous, mon cher lecteur, con-naissiez-vous une machine qui editerait son propre logiciel sans avoir l'intelligence pour le faire? Perso-nnellement, j'en connaissais pas en ne mélangeant jamais la boite à instructions avec l'intelligence qui l' avait créée! Décidément, nos profs n'étaient pas si intelligents qu'ils le disaient en mélangeant tout et no-us prouvaient que mon cercle magique disait la vérité sur le fait que les hommes les moins intelligents et les moins courageux choisissaient l'instruction pour rèussir socialement, ce qui était parfaitement exact. Mais alors quelle destruction massive pour la socièté française! Demain, 2 Septembre 2019, c'est la rent-rée des classes et je plains amèrement nos petits français dont le cerveau sera réduit en bouillie par l'Ed-ucation Nationale, Ah!Ah!Ah! Et puis soyons honnêtes avec nous-mêmes, mes chers lecteurs, vouloir la sécurité de l'emploi et la retraite assurée n'est-elle pas la philosophie des idiots, hum? Car confondre la prévoyance et l'intelligence est une grave érreur et malgré que les plus prévoyants soient souvent les ga-gnants de la partie, comme l'aurait dit Lapalisse, n'est-ce pas? Mais pour ne pas dégrader notre intelligen-ce afin de sauver la France de son déclin restons fidèles au don que la nature nous a donné pour restaurer l'intelligence des Français,  ce qui sera un travail de longue haleine, je ne le nie pas, mon cher compatrio-te. Pour parler d'autre chose, il y a quelques jours, j'ai vu à la télé un documentaire très intéressant sur la vie de Charles Manson, le célèbre criminel des annèes seventies que tout le monde connait, je crois. Où l'auteur du documentaire nous relatait et dans ses moindres détails la vie d'un gentil garçon( dénommé Charles Manson) qui avait eu la mauvaise idée de devenir un assassin parce que soi-disant( d'après l' auteur), il n'avait pas réussi à devenir une rock star! Oui, je sais un titre très racoleur pour faire connaître son documentaire auprès du jeune public, mais qui pour moi ne tenait pas la route. Car personnelleme-nt, je n'ai jamais pensé qu'on pouvait devenir un assassin parce qu'on avait pas réussi à devenir une rock star, Ah!Ah!Ah! Mais plutôt la conviction qu'on pouvait devenir un assassin parce qu'on avait le sentim-ent d'avoir raté sa vie! Ce qui n'était pas du tout la même chose, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Car qui d' entre nous n'a jamais eu l'idée d'assassiner ses voisins ou les membres de sa famille qui avaient mieux réussi que nous, hum? En fait, peu de monde, n'est-ce pas? Croyez bien que je n'étais pas là pour faire l' apologie du crime, mais plutôt pour le dénoncer afin de vivre dans un monde harmonieux. En fait, après le documentaire, j'ai compris que ce lourd ressentiment exprimé par Charles Manson( qui l'avait conduit au crime) était en vérité une chose très banale parmi nous en vous disant que même Jesus-Christ a dû le ressentir après avoir attendu beaucoup d'amour de ses prochains, mais sans en recevoir une miette!

Ah quelle deception l'humanité! aurait-il prononcé d'après des témoins sur sa croix avant de mourir. Et aujourd'hui combien étions-nous sur Terre à le dire sourdement pour ne fâcher personne autour de nous ou attiser leur haine? Sûrement des milliards et pas forcément des chrétiens, mais simplement des homm-es et des femmes injustement maltraités par leurs semblables, n'est-ce pas? Il parait d'après des rumeurs sur Internet que j'étais si méchant que j'avais peu de chance de me faire maltraiter par mes semblables, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je ne savais pas d'où pouvait venir cette rumeur sur ma pesonne, car je vous assure que j'étais maltraité comme tout le monde et tout particulièrement en France où l'Egalité était de-venue une tyrannie, Ah!Ah!Ah! Pour revenir à ce terrible ressentiment qui attisait notre haine au point de vouloir tuer notre semblable( en étant malheureusement le témoin de nos échecs), l'histoire de ce jeune Afgan à Villeurbanne en montrait un bel exemple où il avait tué un jeune homme de 19 ans et blessé 8 autres avec un couteau! D'après les policiers, il avait dit qu'il avait entendu des voix lui ordonner d'aller tuer ses semblables et ressenti un grand soulagement après avoir commis cet acte vital pour lui! Décidé-ment, le corps des autres quelle bonne raison de le maltraiter pour assouvir tous ses désirs et se délivrer de toutes ses frustrations, n'est-ce pas? A ce propos, je n'arrivais pas bien à comprendre les femmes d'au-jourd'hui qui refusaient de reconnaître qu'elles étaient les objets sexuels des hommes! Car personnellem-ent, quand j'ai envie de faire l'amour à une femme, c'est bien évidemment pour lui faire du mal, Ah!Ah!Ah! N'êtes-vous pas comme moi, mon cher collègue tortionnaire et amoureux des femmes, Ah!Ah!Ah! Décidement, le féminisme était contre nature pour la grande majorité des femmes en corrompant leur âme soumise depuis la création du monde aux hommes. Sans aucun doute ici, un féminisme hystérique encouragé par des femmes qui se prenaient pour des hommes, Ah!Ah!Ah! C'est à dire une totale aberrati-on pour la nature dont le mouvement des femens était la grosse carricature en dévoilant leurs seins pour dénoncer le pouvoir des hommes sur leurs corps et sur leurs âmes en nous montrant l'abêtissement des femmes par les intellectuelles, Ah!Ah!Ah! Mais bon, le pouvoir des féministes était passé par là au point de dénaturer complètement leur nature en voulant qu'elles deviennent des hommes, alors que cette chose était impossible à faire, sinon dans la tête de ces grandes folles, Ah!Ah!Ah! Et niant pas, en ce siècle déc-adent, que les femmes aient eu le désir de devenir des hommes! Mais bon pour l'instant, il était hors de question pour les hommes que cela arrive afin de pouvoir maltraiter leurs âmes et leurs corps comme l' objet de tous leurs désirs de puissance, Ah!Ah!Ah! En sachant bien que Dieu n'avait rien contre le sexe dont la pratique avait besoin de lieux et de moments différents de ceux de la prière et de la méditation, ce qui était une évidence pour les gens intelligents, n'est-ce pas? Mais malheureusement mal compris par les femens en profanant les lieux de culte avec leurs seins à l'air où elles avaient inscrit dessus : Touche pas à mon corps, vieux cochon! en parlant bien évidemment des hommes, Ah!Ah!Ah!

Bref, une grande hystérie de ces femmes qui refusaient que leurs corps soient labourés par les hommes depuis le début de la création, Ah!Ah!Ah! Je sais bien que la vie est injuste, mais nous a-ton demandé no-tre avis lorsque nous sommes nés et que la mort serait pour nous tous la règle du jeu? Personnellement, ça ne me choquait pas car je croyais en Dieu et en la nature qui avaient tout prévu en étant ses propres créations. Bien évidemment, pour celles et ceux qui ne croyaient pas en Dieu ni en la nature, la vie resse-mblerait à un long martyr et tout particulièrement pour les féministes et les intellectuels qui se croyaient des êtres supérieurs, Ah!Ah!Ah! C'est dire de la pure folie et malgré leur croyance aveugle à la Raison qu 'ils avaient en fait très mal comprise. Car Dieu n'était pas une idée intellectuelle ni une idée issue de not-re imagination qui pouvait aussi nous faire imaginer Dieu avec 3 têtes et pourquoi pas 4 paires de jam-bes? Mais une réalité prouvée chaque jour par la nature et niée par nos intellectuels qui vivaient dans le mensonge! Personnellement, j'ai toujours pensé que de vouloir intellectualiser la nature était une gross-ière erreur. Et pourquoi pas intellectualiser la bouffe pendant que nous y sommes avec les vegans qui voulaient nous interdire de manger de la viande? Tout ceci était bien évidemment grotesque. Car depuis l'aube de l'humanité, c'est à dire depuis 300 000 ans, l'Homme mangeait de la viande qui lui avait assuré sa survie, ce qu'il ne fallait pas négliger, n'est-ce pas? Et pensez-vous vraiment, vous qui aviez les pieds sur terre, qu'une petite compagnie d'imbéciles qu'on appellait les végans pourrait changer cet état des ch-oses datant depuis des temps immémorables? Personnement, je pense qu'on devrait interner les végans en hôpital psychatrique pour délire envers leurs semblables pouvant mettre en péril toute l'humanité. En sachant bien que sans cette protéines animale, nous ne serions pas là en 2019 où moi-même, en ce mom-ent, j'écrivais des choses si intéressantes, n'est-ce pas? Apparemment, les végans, les écolos, les féminist-es, les végétariens et les intellectuels avaient perdu la raison, Ah!Ah!Ah! Et bien que j'écrivîs avec clarté et limpidité, je n'étais pas un intellectuel, mais un artiste qui utilisait toujours ses sens pour accéder à la vérité. C'est pour cette raison que je n'étais pas devenu cartésien où cogiter sur soi-même ne m'intéressait pas afin de pouvoir transcender le réel et atteindre l'extase des sens. Et pourriez-vous croire un seul ins-tant que tous ces gens qui haissaient leurs corps, comme les vegans, les femens, les écolos et les intellect-uels, pourraient apporter le bonheur à l'humanité? Franchement, je n'y croyais guère en pensant plutôt qu' ils nous dirigeaient vers un despotisme dont nous connaissions déjà la finalité, bref, vers la fin et la faim de l'humanité où la décroissance était leur idéologie ou leur nazisme! En fait, je haissais tous ces gens dont les idées délirantes pouvaient mettre en péril l'humanité! Et si nous survivions toujours aux mala-dies et aux virus, mon cher lecteur, ce n'était pas grâce aux antibiotiques produits par la science, mais grâce aux propriètés immunitaires de la viande animale. En saisissant bien que ceci n'était pas des inven-tions de ma part, mais de simples observations faites par nos ancêtres qui avaient constaté que les anim-aux, vivant toute l'année au dehors et sous d'éffroyables conditions climatiques, ne tombaient jamais ma-lades et n'attrapaient jamais un seul rhume!

Bien évidemment, les hommes intelligents allaient s'en inspirer et manger leur viande afin de s'immuniser contre les maladies. Voilà en quelques mots, comment l'Homme avait survécu jusqu'alors en sachant bien que la nature ne lui faisait aucun cadeau. En remarquant que sans cette superstition de croire qu'il pouvait être aussi fort qu'un boeuf en mangeant sa chair, léger comme un oiseau en mangeant ces créat-ures ailées et fluidifier son intelligence en mangeant du poisson, etc, l'Homme n'aurait pas survécu. Oui, je sais un gros pavé que je balançais dans la mare des intellectuels et adeptes de la Raison, mais il faut leur dire la vérité, car la raison est aussi issue de nos superstitions! Et puis regardez le teint pâlot de nos végans, écolos, femens, intellos, n'était-ce pas la preuve qu'ils étaient en pleine déficience immunitaire? Pour ma part, je leur donnerai une dizaine d'années à vivre et pas plus en étant très gentil avec eux, Ah!Ah!Ah!

Pour parler d'autre chose, j'ai appris dernièrement le retour de Monsieur Melenchon de son périple en Amérique latine où malheureusement lui et ses amis les vieux dinosaures de la planète n'avaient pas réu- ssi à ressuciter Joseph Staline ni Vladimir Lénine, Ah!Ah!Ah! Dommage, car je pense que cela aurait bien pu l'aider à supporter sa prochaine convocation au tribunal pour outrage envers les agents de l'autorité de l'Etat lors des perquisitions de son domicile et des locaux de la "France insoumise" où il s'était pris pour la république humiliée et pourquoi pas la république de mon cul? Ah!Ah!Ah! Décidément, quand un gui-gnol se prenait pour un grand homme ça ne marchait pas du tout et tout particulièrement quand il voulait servir aux Français un vieux plat réchauffé qui sentait le pourri, Ah!Ah!Ah! En sachant bien que les Fran-çais n'étaient pas dupes sur ce genre d'idées passéistes et en ce moment tout à fait d'accord avec Emma-nuel Macron sur la réforme des retraires qui prévoyait la fin des régimes spéciaux, bref, l'égalité pour tous face à la retraite! Ce que les Français adoraient entendre par amour pour l'égalité, bien évidemment. Personnellement, je n'étais pas contre et malgré mon aversion pour l'égalité dogmatique. Mais bon, si cela pouvait rendre les Français plus heureux en ce moment, j'étais prêt à les soutenir pour en finir avec ces privilègiés du service public qui plombaient, il faut le dire, l'économie française. En pensant bien que ces nantis s'enrichissaient à vue d'oeil au point de devenir plus riches que le reste de la population! Mais si au moins, ils remettaient en circulation leur argent dans le système économique, je ne serais pas contre. Mais bien au contraire, ils l'épargnaient comme de petits écureuils afin d'imposer leur future domination sur le reste de la population, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, tous nos hommes politiques étaient conscien-ts de cette perversion du système où l'admnistration comptait prendre un jour le pouvoir sur le pouvoir politique! A ce propos, je pense qu'Emmanuel Macron l'avait très bien senti ainsi que tous les Français qui étaient prêts à réformer le régime des retraites afin de remettre les choses à plat pour le bien de tous, bien évidemment. Hier soir, en regardant la télé, j'ai vu une compagnie d'imbéciles qu'on appelle les fon-ctionnaires manifester contre l'égalité pour tous face à la retraite! Mon dieu, j'avais vraiment le sentiment d'assister à un retournement de l'Histoire où des républicains trahissaient leur dogme qui s'appelait l'Ega-lité pour tous, Ah!Ah!Ah! Apparemment, tout le monde avait perdu la raison pour des histoires de pog-non et de privilèges qui pourtant avaient été abolis le 4 aout 1789 par l'assemblée nationale constituante, mais que tout le monde avait semble-t-il oublié! Désormais dans ce monde qui marchait sur la tête, il n'y avait pas que Donald Trump, mais aussi nos fonctionnaires français qui se prenaient pour des aristocrates en ne glandant rien de toute la journée, Ah!Ah!Ah! Pesonnellement, je ne crois pas qu'ils gagnerons sur ce terrain même s'ils faisaient la grève durant des mois. Car leur employeur qui s'appelait l'Etat ne leur permettrait pas d'outrepasser ses ordres, n'est-ce pas, à moins de faire un coup d'Etat? Ce à quoi je ne croyais pas, bien évidemment!

Une chose m'avait fait beaucoup fait rire, c'était les agents des impôts qui manifestaient contre la ferrme-ture de leurs centres d'impots qui parait-il allait pénaliser les Français sur la qualité de leurs services pu-blics! Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, quand j'ai entendu cette connerie monumentale, j'ai éclaté de rire en sachant bien que les Français ne portaient aucune estime pour leurs centres d'impôts qui représentaient pour eux un ogre dévorant toutes leurs économies en vu d'enrichir les méchants fonctionnaires et pour-quoi pas payer son bourreau pendant que nous y sommes, mon cher concitoyen? Ah!Ah!Ah! En fait, j'av-ais le sentiiment que ces gens ne vivaient pas dans le même monde que le nôtre et qu'il nous fallait abso-lument les réinsérer dans la vie normale afin qu'ils ne précipitent pas la France vers le chaos, Ah!Ah!Ah! A cause de privilèges usurpés à la république en augmentant arbitrairement leur salaire à la fin de leur ca-rrière pour toucher une confortable retraite( sachant qu'elle était calculée sur les 6 derniers mois, alors que dans le privé sur les 25 dernières annèes), ce qui était tout simplement du vol institutionnel! Et tota-lement intenable dans cette France en déclin où les Français avaient bien compris qu'il fallait mettre fin à cette perversion du système qui risquait de provoquer à court terme une guerre civile ou leur total déco-uragement. Bizarrement, quand je regardais tout le monde dans la rue scotché sur son portable( en faisant une totale abstraction du monde extérieur), j'avais le sentiment qu'il attendait quelque chose que je n'arri-vais pas bien à définir : la fin du monde, la voix de Dieu, les résultats des courses, la célébrité, la reconn-aissance, un job sur Monster.fr? Ah!Ah!Ah! Avec le pressentiment que quelque chose de terrible allait nous tomber dessus dans la prochaine décénnie, mais je ne savais pas quoi exactement. Car nos contemp-orains étaient incapables de nous le dire au fait qu'ils communiquaient tout le temps avec des moyens électroniques et non humains. Où je prévoyais une grande surdité s'emparer de nous et nous plonger dans une extrème violence. Possible que la technologie soit la grande responsable de ce chaos en déshumani-sant nos rapports. Mais à ce propos, mon cher lecteur, je vous laisse la réponse ou bien la profonde médi-tation pour nos temps à venir. Pour ma part, je n'avais aucune animosité envers la technologie qui n'était pour moi qu'un outil et non une fin en soi. Parce que je n'étais pas matérialiste en ayant aucune fascin-ation pour l'objet technologique afin d'assouvir mes fantasmes que mon génie et mon imagination com-blaient entièrement. A l'inverse de certains qui vouaient un culte voir une adoration pour ces objets qu'ils considéraient comme des armes redoutables pour servir leurs ambitions afin de se venger de leurs enne-mis ou bien de la socièté! A ce propos, j'étais un peu comme les américains qui pensaient avec raison qu'une arme à feu ou une arme blanche était inoffensive tant qu'on appuyait pas sur la gâchette ou qu' enfonçait la lame de 20 centimètres dans le coeur de son ennemi, n'est-ce pas?

Je peux assurer mon cher lecteur qu'une arme à feu posée sur une commode ou sur la table d'un salon n' allait pas se relever toute seule et vous expédier 2 balles dans la tête par hasard, Ah!Ah!Ah! Ceci relevait bien évidemment d'un mythe souvent exploité par les mauvaises séries Z ou bien par le cinéma gore, mais jamais dans les films réalistes où il y avait toujours un homme ou une femme qui appuyait sur la gâch-ette pour assouvir ses pulsions criminelles, n'est-ce pas? Bref, quelque chose de tout à fait humain, n'est-ce pas? Pour ma part, je ne concevais pas la techonologie comme une arme, mais plutôt comme un mode d'expression inoffensif envers mes semblables. Sans nier qu'une arme à feu soit aussi un mode d'express-ion comme un autre pouvant être employée par n'importe quel utilisateur, Ah!Ah!Ah! Vu qu'une arme pouvait aussi servir à tuer qu'a défendre la veuve et l'orphelin, n'est-ce pas? C'est ce que faisait quotidi-ennement la police contre les voyous où parfois elle faisait quelques bavures sur des innocents! Mais bon, cela faisait partie malheureusement des dégâts colatéraux quand on voulait défendre la démoniaque démocratie, Ah!Ah!Ah! Voyez toute l'ambiguité d'une arme à feu qui pouvait servir aussi bien à faire le mal que le bien! Et puis mon ami, ne nous le cachons pas, mais on pouvait aussi tuer un homme ou une femme avec n'importe quel objet qui se trouvait dans son environnement immédiat telle une grosse pie-rre, un tire-bouchon et même une planche de bois qui d'après ma mémoire avait servi à tuer notre pauvre Pasolini! Décidement, il y avait seulement mort d'homme quand il y avait derrière une volonté de tuer, n' est-ce pas? Ce qui n'était pas très glorieux pour l'humanité où notre criminel ne manquait jamais d'ima-gination pour assouvir ses pulsions destructrices, n'est-ce pas? En fait, le problème dans cette affaire, je répète, ce n'était pas l'arme, mais l'homme ou la femme pris d'une folie meurtrière prêt à en découdre une bonne fois pour toute, Ah!Ah!Ah! Afin d'etre clair avec vous, mon cher lecteur, je ne comptais pas vous expédier deux balles dans la tête pour me venger de votre magistrale indifférence à l'égard de mon génie, Ah!Ah!Ah! Mais seulement vous faire comprendre que la création de mon site Internet et de son actuali-sation journalière par mes soins n'était pas un moyen de communiquer avec vous( car votre silence était abyssal!), mais uniquement un moyen de m'entretenir avec moi-même, c'est à dire avec Patrick, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais une activité bien égoïste de ma part. Mais il faut dire que dans ce monde technologique, je me sentais souvent seul, comme dans une capsule spaciale, en essayant de communiquer avec la Terre, mais sans recevoir en retour le moindre écho! Où il semblait régner un grand silence ou un bruit assour-dissant, Ah!Ah!Ah! Un signe avant la tempête, hum? A ce propos, mon cher lecteur que comptiez-vous faire durant le last day on the earth : vous envoyer en l'air avec votre voisine, allez attaquer une banque, allez assassiner vos anciens ennemis, allez vous confesser à l'église de votre quartier, vous masturber ou bien vous saouler la gueule avec une bonnne bouteille de Whisky? Décidément, les bonnes idées ne man-quaient jamais quand il était trop tard, Ah!Ah!Ah!

Quant à moi, en tant qu'écrivain, j'écrirai une nouvelle qui durerait le temps d'une journée, c'est à dire le temps de ma dernière journée sur la Terre, Ah!Ah!Ah! Bizarrement, cette nuit même, j'ai fait un horrible cauchemar où en allant faire mes besoins, je me suis aperçu que quelqu'un avait fait caca sur la lunette de mon wc, comme pour m'emmerder! Décidément, les êtres humains quels emmerdeurs en puissance!me suis-je écrié avec raison. Bien évidemment, je vous épargnerai tous les détails sur le grand nettoyage que j'ai dû faire pour remettre tout ça au propre où je m'en suis mis plein les doigts, Ah!Ah!Ah! Bref, après tous ces embarras causés visiblement par mes semblables( après l'analyse de mon cauchemar), je me suis assis sur mon trône où bizarrement, j'ai été envahi par une profonde méditaion sur la necessité pour nous tous de soulager nos intestins et nos vessies au risque de nous empoisonner de l'intérieur ou de provo-quer en nous une horrible explosion d'excréments et d'urines, Ah!Ah!Ah! Et par un mécanisme de pensée qui m'était propre, j'ai aussitôt établi un paralléle entre notre besoin de soulager nos intestins et le besoin de soulager notre conscience! Apparemment le confessionnal, vu sous l'angle de l'Eglise catholique n' était que des WC en communication directe avec Dieu, Ah!Ah!Ah! Une bien étrange idée qui me passait par la tête, mais apparemment vraie et indispensable pour nous tous afin que nous ne mourions pas em-poisonnés de l'intérieur, n'est-ce pas? Il est possible aussi qu'en allant faire nos besoins quotidiennement dans nos WC, nous allions tout bêtement à "confesses", Ah!Ah!Ah! Visiblement croire en Dieu était vital pour nous tous, sinon une intoxication à cours terme, n'est-ce pas? A ce propos, je plaignais beaucoup nos intellectuels et nos écologistes qui ne croyaient qu'à la puissance des Hommes à tout contrôler! Où j'étais prêt à leur dire : Désolé, Messieurs, Mesdames, mais vous ne pourrez pas baisser la température de la planète, car son destin n'est pas entre vos mains, mais entre celles de Dieu et de la nature! Et je peux vous assurer qu'en manifestant dans la rue contre le réchaufferment de la planète, vous ne ferez qu' acce-ntuer ce phénomème par vous gesticulations inutiles, Ah!Ah!Ah! Apparemment, vous vous donniez des pouvoirs que vous n'aviez pas. Mais bon, il est vrai qu'avec des idées intellectuelles, on pouvait tout se permettre même de faire tourner la Terre à l'envers pour revenir au temps zero de la création et pourquoi pas allez rendre visite à Louis 14, Ah!Ah!Ah! Décidément, une époque pleine de charlatans qui couraient quotidiennement les plateaux télé pour répandre leurs idées délirantes! Au bout du compte, l'écologie était une idéologie destinée aux bobos de la planète et certainement pas au peuple, qui aimait la croissan-ce économique, consommer à l'excès, faire du bruit, brûler du carburant dans leurs autos et aller à "conf-esses" pour décharger ses déchets créent par la socièté de consommation, Ah!Ah!Ah! Une manière saine de voir la vie où la boucle était bouclée, n'est-ce pas? J'espère seulement pour emmerder les écologistes qu'il fera 25 ° au mois de décembre, Ah!Ah!Ah! En vous assurant que tous les SDF( qui vivent dehors) seront d'accord avec moi ainsi que tous nos concitoyens qui ont du mal à payer leur factures de chauff-age, n'est-ce pas? En fait, il faudrait remettre les pieds sur Terre à nos intellos et à nos écolos de gauche qui avaient perdu leur bon sens par de mauvaises habitudes boboliesques! Apparemment, il était facile de faire la morale quand on était à l'abri du besoin, comme les bobos et les fonctionnaires, n'est-ce pas? 

Et pensez-vous vraiment que les fonctionnaires puissent être des avant-gardistes ou une bonne blague pour amuser les enfants? En voulant rétablir le froid sur la planète, les glaciers, la banquise et pourquoi pas les dinosaures, Ah!Ah!Ah! Par toutes ces évocations ubuesques, je pensais aussitôt à notre gamine Greta Thunberg qui était devenue l'égérie des enfants et des adolescents en matière d'écologie où visible-ment nous n'étions plus dans la réalité, mais dans le monde de Walt Disney où fées et sorcières s'affron-taient pour prendre le pouvoir en vu de séduire le prince charmant par un filtre d'amour, Ah!Ah!Ah! Bref, une métaphore en vu de séduire le public ou le prince symbolisait le pouvoir! Tout en admettant que dans cette histoire féerique, qu'elle essayait de nous raconter avec l'aide des médias, malheureusement, cela ne fonctionnait pas. Car notre petite Greta Thunberg était laide comme un poux et placée aux antipodes de la beauté suedoise où les filles étaient grandes, blondes avec d'immenses yeux bleus. Pour ressembler pl-utôt à une mongole qu'à une scandinave, Ah!Ah!Ah! Dommage, car je l'aurais bien écouté avec dévotion si cela avait été le cas, Ah!Ah!Ah! Faut dire aussi que la nature ne l'avait pas gâté et je me demandais pourquoi elle tenait absolument à défendre la nature qui l'avait si peu gâtée? Ah!Ah!Ah! C'était pour moi, un grand mystère qui défiait toute rationnalité à moins qu'elle ne soit qu'un escroc de plus peuplant ce monde des mé-dias ou celui de l'écologie où les faux prophètes se comptaient par milliers, comme notre cher Nicolas Hulot, par exemple, Ah!Ah!Ah! En l'écoutant aux actualités avec une grande curiosité( car elle ne faisait que grimacer sur l'écran sa laideur ou l'horrible destin de la Terre si on ne l'écoutait pas), j'ai aussitôt éclaté de rire en voyant bien qu'elle nous tenait, non pas un discours intelligent, mais un discours appartenant à l'écolo-terrorisme! Bref, après avoir connu le terrorisme djihadiste, nous étions aujourd'hui confrontés à l'écolo-terrorisme avec la petite Greta Thunberg et la nouvelle génération d' écolos prêtes à déclencher la 3 ème guerrre mondiale, non pour défendre la planète Terre, mais pour pre-ndre le pouvoir, Ah!Ah!Ah! Décidément, le monde d'aujourd'hui me surpenait de jour en jour avec ses nouvelles apocalyptiques nous parvenant par l'intermédiare des médias, il faut le dire. Mais bon était-ce pour autant une réalité ou une pure fiction inventée par nos bobos désoeuvrés qui aimaient se faire peur, nous faire peur? Décidément, quand on avait une vie de zombie comme nos écolos fonctionnaires, on était prêt à foutre le feu pour tuer son mortel ennui, Ah!Ah!Ah! Nous étions en pleine fiction et espérions tous que la fiction ne devienne pas réalité! Et je peux vous assurer que l'écolo-terrorisme créé par nos éc-olos désoeuvrés ne prendra jamais auprès du peuple qui en matière de peur était déjà bien servi par son instabilité économique, idéologique, religieuse etc, et n'avait pas besoin d'être surenchérie, n'est-ce pas?

Voilà une bonne chose de clarifiée pour nous permettre d'avancer dans la bonne direction et d'éviter de stigmatiser nos peurs déjà fortes importantes pour nous qui n'avions pas l'emploi à vie, ni le salaire à vie, ni la retraite assurée, comme nos écolos fonctionnaires aux tendances suicidaires, Ah!Ah!Ah! Voyez co-mme je dressais en un coup de crayon, le portrait de ces êtres malfaisants qui cherchaient à nous transme-ttre leur maladie qui s'appelait le désoeuvrement civilisationnel. Comme j'étais d'une nature heroïque, c'était pour moi un combat vital pour anéantir cette armée verte de zombies qu'on appelait les écolo-fon-ctionnaires. Hier soir, j'ai vu à la télé un de ces zombies s'exprimer et dire qu'il allait porter plainte contre les vâches parce qu'elles produisaient du methane qui polluait l'atmosphère de la planète, Ah!Ah!Ah! Mon dieu, mais quel idiot! je me suis écrié en levant les bras au ciel assis sur mon canapé. Apparemme-nt, nous n'étions qu'au début de ce grand délire civilisationnel créé par nos écolo-terroristes qui visible-ment s'ennuyaient à mourir au point de perdre la boule, Ah!Ah!Ah! Le lendemain sur la même chaine, j'ai entendu à nouveau un de ces zombies à la peau verte dire qu'il voulait intenter un procès contre le petit bonhomme vert du crédit Cetelem qui parait-il lui faisait une rude concurrence en brouillant son mess-age idéologique en prônant la consommation au lieu de la décroissance, Ah!Ah!Ah! Décidément, la conn-erie était en pleine expansion en France où des idiots se prenaient pour des gens intelligents parce qu'ils avaient la sécurité de l'emploi, Ah!Ah!Ah! Désormais, je comprenais parfaitement le besoin salutaire po-ur notre pays de reformer ses régimes spéciaux des retraites afin de remettre ces gens à leur place, n'est-ce pas? Personnellement, j'ai toujours pensé que les serviteurs de l'Etat devaient rester à leur place et ne pas se balader et de prendre leur aise dans le grand salon du pouvoir, n'est-ce pas? Comme Nicolas Hulot qui en avait fait les frais en étant ni un un homme politique ni un prophète, mais un charlatan, Ah!Ah!Ah! Toujours sur le sujet de l'écolo-terrorisme, je ne nierais pas que nous aimions parfois nous faire peur af-in de pimenter nos vies s'apparentant à celles des mollusques ou à nos bureaucrates. Tout en vous certifa-nt que le cinéma américain, genre catastrophe, y paliait à merveille et qu'il était inutile d'en rajouter une seconde couche, comme nos idiots écolo-terroristes. Et que pour bien bander le peuple avait besoin d'av-oir confiance en l'avenir, c'est à dire de croire à la croissance économique au contraire des écolos qui prônaient la décroissance, n'est-ce pas? C'est pour cette raison que le peuple ne portera jamais les écolos au pouvoir, car leur message est en total contradiction avec son désir de prospérité économique. En pens-ant qu'ils devaient être bien bêtes pour ne pas comprendre ces choses si simples où le peuple n'avait ni la sécurité de l'emploi, ni le salaire à vie, ni la retraite assurée, comme eux.

Les mystères de la connerie semblaient les envelopper pendant toute la journée où, il faut dire, ils ne fais-aient pas grand chose, sinon qu'emmerder les élèves ou bien gribouiller sur du papier des notes administ-ratives qui n'avaient rien d'humains, Ah!Ah!Ah! Sur le sujet de faire battre nos coeurs toujours plus vite et plus fort, j'ai remarqué que mon coeur parfois s'emballait sans raison apparente! En sachant bien qu' une pensée ou une action de ma part pouvait modifier mon rythme cardiaque, comme il était entendu pour tout le monde, bien évidemment. Mais là, couché paisiblement dans mon lit, je sentais parfois mon coeur battre la chamade, comme si ce dernier voulait vivre plus vite, plus fort afin de ressentir plus d'ém-otions que malheureusement ma vie de polochon ne pouvait pas lui procurer, Ah!Ah!Ah! C'était pour moi un grand mystère que j'arrivais pourtant à comprendre par le fait qu'il avait sa vie propre pour s'épro-uver afin de battre toujours. J'ai même pensé un instant s'il s'emballait mystérieusement que c'était pour lui une question de vie ou de mort, comme s'il était au bord du décrochage. Et que pour palier à son arrêt brutal, il se relançait d'une manière automatique telle une petite machine merveilleusement conçue par la nature! Cela ressemblait étonnamment aux décrochages des avions lorsqu'ils étaient absorbés par un trou d'air et qu'automatiquement, ils relançaient les gaz pour reprendre de l'altitude! Décidement, nous et les oiseaux avions beaucoup de points communs, n'est-ce pas? Et que visiblement, nous ne descendions pas des singes, comme le stipulaient nos idiots antropologues, mais des créatures ailées! Pour parler d'autres choses, où peut-être toujours en rapport, cette nuit, j'ai fait un horrible cauchemar où je vivais le supp-lice de la goutte d'eau resonner au fond de ma tête tel un bruit infernal impossible à arrêter! J'avais alors l'impression d'être tombé dans une cave pleine d'humidité où il faisait très sombre. Où bizarrement dans mon rêve, je pris mon sabre posé à côté de mon lit pour combattre pendant une bonne partie de la nuit des fantômes qui essayaient de m'exterminer! Puis soudainement, j'entendis le miaulement d'un chat me sortir de mon cauchemar, comme par enchantement! Bizarre ce rêve, non? Qu' en pensez-vous, mon cher lecteur? Etais-je en train de devenir fou ou bien vous montrer ma vraie nature? Après avoir réfléchi suff-isamment sur le sens caché de ce rêve, je saisissais que le supplice de la goutte d'eau pouvait symboliser pour moi, le temps qui s'écoulait contre ma volonté, mais sans en être complètement sûr. Car pour l'inst-ant, je n'avais jamais ressenti cette angoisse de vieillir par le fait que j'avais plutôt une bonne santé, ni aucun rhumatisme et que la vieillesse symbolisait pour moi, non pas la déchéance, mais le chemin vers la sagesse. Et si cette angoisse de vieillir m'était apparue incidemment dans mon rêve, c'est parce que j'avais atteint un sommeil si profond que j'étais proche de la mort! imaginais-je avec terreur. Bref, comme dans 2001 l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick où son héros touchait les limites du temps!

Et si cette angoisse s'était matérialisée dans mon rêve par une illusion sonore, en tant que musicien, je m' en étonnait guère! En saisissant que le bruit d'une goutte d'eau, tombant sans répis sur le parquet d'une maison abandonnée ou sur le sol d'une cave sombre et humide, ait eut le pouvoir de nous rendre complè-tement fou en ne sachant pas comment y mettre fin, n'est-ce pas? En étant malheureusement emprisonn-és dans notre cauchemar par un méchant individu qui nous voulait du mal, mais dont nous ne connai-ssions ni le nom, ni le visage! Sans nier que nous pouvions être à ce moment là, notre propre bourreau, mais sans réellement le savoir, n'est-ce pas, mon cher lecteur? C'est à dire la révélation de notre propre perversité ou auto-destruction à l'intérieur de nos rêves nocturnes, ce qui avait de quoi nous surpendre, mon ami! Un jour, j'ai entendu une histoire s'y rapprochant, mais qui au contraire de la mienne se dérou-lait en pleine journée où un jeune homme malade cloué au lit ne pouvait pas se lever pour aller éteindre la radio qui répétait toutes les dix minutes les mêmes informations, bref, un vrai supplice pour lui! Je ne sais plus de quelle radio il s'agissait (peut-être de France-infos), mais je pense que les membres de sa famille avant de partir au travail avaient cru bien faire en laissant la radio allumée pour qu'il s'ennuie pas. Mais visiblement, une très mauvaise idée, car ils avaient oublié que l'enfer, c'était la répétition, Ah!Ah!Ah! Et lorsqu'on était malade, le silence était préférable au bruit pour se rétablir, n'est-ce pas? Quant au miaulement du chat qui était intervenu pour me sortir de mon cauchemar, j'en parlerai ultérieurement vu les 2 heures de l'ap-rès-midi qui s'affichaient sur l'horloge de mon ordinateur où je n'avais pas encore fait ma toilette. Après analyse de mon rêve, je pense que le miaulement du chat avait joué le rôle d'un signal d'alarme pour me sortir du coma profond dans lequel j'étais plongé. Et que sans l'aide de cet animal idolatré par l'Egypte ancienne, je serais mort dans mon sommeil et que personne n'aurait su que Patrick Maaded avait existé et crée des chefs-d'oeuvre, Ah!Ah!Ah! Désormais, le chat représentait pour moi, non pas seulement ce petit lion qui chassait les rats dans les maisons ou dans les silos à grains, mais aussi les fantômes! Visiblement, les Egyptiens avaient vu juste en les intégrant à leurs habitations, comme des ani-maux protecteurs afin de chasser tous les maléfices ou maledictions qui pourraient y entrer d'une façon insidieuse pendant leur absence. Paradoxalement, dans notre monde moderne où les systèmes d'alarmes étaient pratiquement inviolables, les hommes continuaient à héberger chez eux, un chat ou un chien, non plus pour chasser les intrus ou les cambrioleurs, mais les fantômes ou si vous voulez les cambriloleurs des âmes, Ah!Ah!Ah! En fait, l'homme n'avait pas beaucoup évolué depuis ses origines en croyant touj-ours aux fantômes et aux superstitions, n'est-ce pas? Telle était sa nature et qui ne changerait pas d'ici tôt, je vous l'assure, mon cher lecteur. Car le besoin de croire faisait partie intégrante de sa nature et tout particulièrement au bien pour des raisons évidentes, n'est-ce pas? En analysant mon rêve, j'ai remarqué que les ingrédients qui le composaient étaient faits d'eau, d'un sabre, d'un chat et de fantômes qui représe-ntaient ni plus ni moins pour moi, un combat que je livrais contre les forces du mal! Visiblement, mon affreux cauchemar me révelait ce que j'étais réellement, c'est à dire un homme courageux qui se battait pour le bien et non pour le mal, comme le croyaient idiotement mes détracteurs!

Comme vous le voyez, je n'opposais pas la superstition à la religion. Car pour croire en Dieu, il fallait nécessairement croire à la bonne superstition et non à la mauvaise, Ah!Ah!Ah! C'est à dire à celle qui nous annonçait de bonnes nouvelles par ses prophètes légitimes, n'est-ce pas? Et la principale raison pour laquelle, je haïssais les écologistes et les gens de la France insoumise qui nous annonçaient quotidienne-ment des nouvelles apocalyptiques pour la planète et le retour du Stalinisme, Ah!Ah!Ah! Décidément, les faux prophètes étaient légions aujourd'hui dans les médias qui leur offraient une tribune formidable pour répandre la peur parmi nous! En comprenant bien, mes chers lecteurs, que ces gens étaient des êtres malf-aisants mués par les forces du mal et amies du diable! Où nuire au bonheur des autres était leur princip-ale motivation qu'on pouvait apercevoir à travers les médias où ils usaient de la rhétorique pour semer le doute dans nos esprits afin de nous rendre fou et provoquer la future révolution qui anéantira la France! Où tous les moyens étaient bons pour semer le chaos parmi nous, comme bloquer les voies de circulati-on, les trains, les rames de métro pour paralyser l'activité humaine, bref, la vie. A ce propos, hier, j'ai vu aux actualités un de ces zombies qui était monté sur le toit d'une rame de métro pour paralyser la circu-lation! Aussitôt, les gens excédés sont sortis des rames pour le dégager du toit et le jeter sans ménageme-ent sur le quai pour le lyncher violemment! Apparemment, cet idiot du mouvement écolo" Extinction-Rebellion" s'était pris pour un prophète et l'avait payé durement par les coups qu'on lui avait assemé, Ah!Ah!Ah! Désormais, l'hopital serait pour lui un lieu formidable pour méditer entre le mensonge et la vér-ité faute de croire en Dieu, n'est-ce pas? Bref, l'hôpital transformée en Eglise pour les incroyants, Ah!Ah!Ah! Pour poursuivre, je dirais que les futurs combats dans nos sociètés ne seront plus politiques, mais théologiques, c'est à dire entre le bien et le mal. Car la morale politique, si adroitement manipulée par la gauche, avait eu le désastreux résultat d'attribuer le bien à la gauche et le mal à la droite, Ah!Ah!Ah! Et la manipulation intellectuelle avait si bien marché que la morale politique était quasiment morte d'elle-même au point que le citoyen français ne savait plus à quel saint se vouer et surtout à qui confier son av-enir! En étant convaincu que nous étions entrés dans une nouvelle ère où nous allions redécouvrir le seul combat qui nous tenait vraiment à coeur, c'est à dire entre le bien et mal! Et qu'importe en quel Dieu vous croyez du moment que sa mission soit le bien au contraire des faux prophètes, comme les écolos et les adeptes de la France insoumise dont la mission était le mal! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, en analysant simplement mes sensations avec les nouvelles apocalyptiques des médias, j'arrivais à déco-der le monde d'aujourd'hui ainsi que nos futurs combats!

Et tout particulièrement, celui de la jeunesse qui( comme vous l'avez remarqué) passait tout son temps à consulter son portable en attendant je ne sais quel miracle, Ah!Ah!Ah! Et que cette attente passive quasi maladive devant son écran( la nouvelle addiction de l'ère numérique) signifiait pour moi son impuissance à agir pour son avenir! Personnellement, je ne savais pas exactement qui étaient les responsables de cette situation peut-être les élites, les fonctionnaires ou les conservateurs de tous bords, comme les sindycalis-tes défendant ceux qui avaient un emploi et non la jeunesse qui n'en avait pas encore? Bref, une vraie qu-estion qui meritait d'etre posée à la jeunesse qui comprendra ce que je veux dire. Et une inquiètude tout à fait légitime quand elle écoutait dans les médias les faux prophètes lui annoncer de si mauvaises nouv-elles en matière d'écologie et de morale politique où le populisme avait atteint des sommets avec les fake news faute d'idées nouvelles ou constructives, Ah!Ah!Ah! Où la seule percepective d'avenir de ces gens était de detruire leurs adversaires politiques pour prendre leur place faute de pouvoir les convaincre avec de vrais arguments, sinon obsolètes! Pour résumer ma pensée, je dirais que la jeunesse d'aujourd'hui atte-ndait tout simplement que l'ascenceur social redemarre afin de pouvoir goûter à la prospérité économi-que, Ah!Ah!Ah! Ce qui entre nous n'était pas nouveau, mais vieux comme le monde et qu'elle exprimait aujourd'hui par sa façon de vénérer son portable, écrin de lumière où un nouveau Dieu émergerait, Ah!Ah!Ah! Toujours sur les problèmes de socièté, je constatais en ce moment à travers les médias, une mult-iplication de manifestations des agriculteurs et des éleveurs, non plus contre le prix du blé, du litre de lait ou du kilo de cochon( en déversant souvent leur lait dans les rigoles ou des tonnes de fumiers devant les portes des mairies), mais contre le désamour qu'ils avaient ressenti auprès des Français pour leur profess-ion pourtant vitale pour nous. Visiblement, nos paysans avaient le coup de blues en ce moment, ce qui n' était pas du tout dans leurs habitudes, n'est-ce pas? Quand nous savions qu'ils étaient harcelés à travers les médias par les écologistes et les véganes que les premiers accusaient de polluer les sols et les rivières et les seconds d'organiser le génocide animal! Sans oublier l'union européenne où une grande partie des députés étaient de furieux écologistes en ressemblant de jour en jour à une séance de torture pour nos pauvres paysans français! Mais ce qui m'avait beaucoup étonné au cours de ces reportages sur les manif-estations paysannes, c'était le silence assourdissant de nos paysans à l'égard des écolos et des véganes po-ur lesquels ils étaient devenus les souffres douleurs pour des raisons électorales, bien évidemment. Logi-quement, on aurait dû les entendre les accuser violemment ou les menacer de mort pour être clair! Mais étrangement, rien de tout cela, mais un silence assourdissant comme si les journalistes avaient coupé les scènes embarrassantes lors du montage où les paysans accusaient les ecolos et les véganes d'être des tort-ionnaires à leur égard. Une fois de plus, les médias avaient utilisé les ciseaux pour ne pas nous montrer la réalité afin de défendre leurs interêts ou visiblement ils étaient du côté des écolos et des véganes ou du gauchisme-bobo et non pas du côté des bouseux qu'ils méprisaient, il faut le dire!

A l'évidence, nos médias fabriquaient de la fake news, mais aussi de la cut news, c'est à dire de l'informa-tion coupée pour défendre ses intérêts, Ah!Ah!Ah! Avec cette ambition délirante de devenir un Etat dans l'Etat qui représentait pour nos Etats, un vrai danger! Et si les puissants de ce monde s'en inquiètaient sé-rieusement, ce n'était pas anodin, mais tout à fait légitime, croyez-moi. Car leur stratégie était de mettre de l'huile sur le feu sur le moindre petit évènement qui se passait au niveau local ou mondial afin d'ali-menter leur fond de commerce où tout était sujet à polémique pour faire basculer les Etats. Et qu'une journée sans informations serait considérée par les médias, comme un jour de deuil pour leur profession au risque de mettre des milliers de journalistes au chômage, ce qui était pour eux une chose impossible à concevoir sachant qu'ils avaient entre les mains une machine formidable pour jeter de l'huile brûlante sur le moindre petit évènement local ou planètaire, Ah!Ah!Ah! Paradoxalement, tout le monde s'y brûlait les doigts sauf les journalistes qui portaient des combinaisons ininflammables qu'on appelait la liberté de la presse, Ah!Ah!Ah! Mais des avantages qu'on devrait leur supprimer afin qu'ils soient des citoyens comme les autres, n'est-ce pas? Et justement pendant que nous réformions nos régimes spéciaux de retraite, je pensais qu'on devrait aussi s'attaquer aux regimes spéciaux des journalistes afin de diminuer la tempéra-ture de leur huile de friteuse qu'ils nous envoyaient à la figure quotidiennement sans craindre à leur vie, Ah!Ah!Ah! En fait, pour devenir un Etat dans l'Etat, ils usaient de la polémique comme une arme redout-able en la confiant à des personnages médiatiques qu'ils mettaient au devant de la scène publique, mais qui malheureusement n'apportaient rien de bénéfique à la socièté, puisqu'ils n'étaient pas réels, mais des agents de communication à leur service ou si vous voulez des tuyaux vides où soufflaient à l'intérieur du vent pour attiser les braises, Ah!Ah!Ah! Comme Nicolas Hulot qui je vous assure ne fera jamais baisser la temperature de la planète ni Greta Tunberg en ressemblant à une vaste opération de marketing pour leur business vert, Ah!Ah!Ah! Car ces personnages étaient de pures inventions médiatiques qui n'avaient aucune réalité. Si au moins, ils avaient été des personnages de fictions, inventés par la littérature, j'aurais bien adhéré. Car celle-ci était le lieu par excellence où l'on pouvait créer du réel où l' écrivain pour son plaisir inventait des personnages avec une voix distincte des autres, un comportement qui lui était propre ainsi qu'un visage qu'un bon dessinateur pourrait reproduire sur une feuille de papier. Alors qu'avec un personnage inventé par les médias, rien de tout cela, mais la grosse caricature d'un personnage jouant de la communication pour exister, faute de mieux, bref, tout le contraite de ce que pouvait produire la mer-veilleuse littérature. A ce sujet, j'étais convaincu que Michel Houellebeck était un écrivain issu des méd-ias par le contenu de ses livres qui n'était pas génial, car impossible à adapter au cinéma, mais alimentait formidablement bien le fond de commerce des médias où la polèmique restait sa raison de vivre.

Où dans ses livres, il n'y avait pas vraiment d'histoires, sinon celle d'un petit occidental qui s'ennuyait à mourir en épiant la moindre nouvelle dans les médias pouvant le revivifier ou lui donner une raison de vivre, Ah!Ah!Ah! C'est à dire la démarche d'un journaliste et non d'un véritable écrivain, comme je le co-ncevais. En prophètisant sa resurrection littéraire uniquement par l'intermédiaire des médias en étant un enfant de la télévision, n'est-ce pas? A propos de sa polémique où il avait dit dans un de ces livres que la religion musulmane était la religion la plus conne du monde, ceci nous montrait parfaitement quel ind-ividu il était, n'est-ce pas? Sans pour autant avoir de la haine ou de la jalousie à son égard, car les ficelles de son art étaient grosses comme mes doigts, Ah!Ah!Ah! En étant pas du Mozart ni du Bach! On pourrait aussi ajouer à cette liste d'imposteurs, la figure d'Edward Snowden qui ne fut point le nouveau prophète que nous attendions tous, mais un fantôche qui s'était pris à son propre jeu en voulant séduire les médias, Ah!Ah!Ah! Désormais banni de son pays pour haute trahison (ce qui était irrévocable pour les Américai-ns ou aucun pardon ne lui serait accordé), je plaignais amèrement la vie ce jeune homme qui vivait au fin fond de la Russie où son âme devait être pleine de regrets et ses nuits peuplées d'horribles cauchemars sachant qu'il ne pouvait plus revenir en arrière! Mais c'était le prix à payer pour son geste inqualifiable, n' est-ce pas? Dans les temps anciens, on condamnait à mort celui qui avait trahi son pays pour des raisons mercantiles, comme l'enrichissement personnel ou la gloriole extraterritoriale, ce qui était exactement le cas d'Edward Snowden qui faute d'avoir été attrapé mourait à petit feu dans le froid sibérien et loin de ses compatriotes! En fait, j'étais convaincu que de vivre en démocratie exigeait de notre part une lourde res-ponsabilité, car la liberté qu'elle nous octroyait nous permettait de faire tout et n'importe quoi, n'est ce pas? Et pourquoi pas sortir dans la rue avec une kalachnikov et tirer sur la foule pour écvacuer ses frus-trations causées par le capitalisme? Ah!Ah!Ah! De toute évidence, Edward Snowden du fait de son man-que de maturité n'avait pas bien compris les devoirs de l'Homme libre qui l'avait entraîné à s'enfermer lui-même dans une prison post-soviètique, Ah!Ah!Ah! Hier, en allant faire mes courses au monoprix de la Croix-Rousse, j'ai remarqué sur un présentoir, le bouquin d'Edward Snowden où sur la couverture, il faisait une sale gueule, Ah!Ah!Ah! Décidément, un sale temps pour les traitres, n'est-ce pas? Si vous étiez observateur, mon cher lecteur, vous auriez remarqué que le nom de Snowden comportait le mot de neige( snow), c'est dire son destin tout tracé, n'est-ce pas? A propos de tous ces noms et prénoms où le destin semblait inscrit à l'encre invisible, j'ai souvent rêvé de faire ma propre enquète au-près des commissariats de police afin de connaître statistiquement le nom des criminels et le prénom de leurs victimes afin de sa-voir s'ils avaient des liens. En remarquant dans les enquêtes criminelles qu'on nommait toujours les assa-ssins par leurs noms de familles, comme Marc Dutrouc ou Michel Fourniret par exemple et les victimes par leurs prénoms, comme le petit Grégory ou Maelis afin de nous révéler qu' un nom de famille pouvait cacher en lui-même un passé inavouable. Car qui d'entre nous sait si dans notre famille, il n'y avait pas eu des monstres?

Et totalement justifié pour un enquêteur sérieux qui cherchait à connaître la raison de chaque meurtre ou le nom de Marc Dutrouc résonnait à nos oreilles, comme un horrible piège tendu à des victimes innocen-tes pour les torturer sans qu'on puisse les entendre crier, n'est-ce pas? De même que le nom de Michel Fourniret résonner, comme les pas d'un monstre fourrant son nez partout afin de trouver ses futures vict-imes pour son plaisir macabre! A ce propos, je ne sais pas si cela avait un rapport, mais j'ai été très éton-né de voir dans une émission de Laurent Morandini "Crimes" que le regard de la petite Maelis ressembl-ait étrangement à celui de son assassin, Nordhal Lelandais! Verifiez-le par vous-même et vous verrez que je n'inventais rien. Pouvait-on y voir, comme la raison de ce meurtre ou le psychopathe Nordhal Lelan-dais reglait ses comptes avec lui-même en torturant la petite Maelis? C'était une question qui se posait tout naturellement, car le fantasme d'un psychopathe était de faire souffrir les autres pour en tirer du plai-sir du fait qu'il les tenait entre ses mains telle une proie sans défense. Pour moi, je pense que Lelandais et Maelis s'étaient malheureusement rencontrés à cause de leurs regards qui se ressemblaient étonnamment! Mais pour revenir à ce que nous disions à propos des noms et des prénoms ou les destins étaient inscrits à l'encre invisible, je conseillerais donc aux mères de famille pour éviter de futurs malheurs à leur progé-niture de ne pas leur donner un nom, comme Grégory, Cristal, Angélique ou Rahoult par exemple qui d' après mes intuitions étaient les prénoms préférés des psychopathes afin d'assouvir leurs frustrations et le-ur bestialité, Ah!Ah!Ah! Car quel pervers sexuel ne voudrait pas martyriser une jeune fille qui s'appellait Angelique, hum? Voilà mon conseil du jours auprès de mes lecteurs et lectrices en espérant qu'aucun d' entre eux n'avait un nom à dormir dehors, comme Roger Lapute ou Françoise Lagouine qui je vous ass-ure aurait un avenir contrarié, Ah!Ah!Ah! Mais pour en revenir à l'Ecologie( un terrain où beaucoup de meurtres étaient perpétrés en rase campagne pour sa tranquilité et la facilité d'y cacher les corps, Ah!Ah!Ah!), j'étais convaincu que si elle était aujourd'hui sujet de discordes et de polémiques, c'était à cause des gauchistes qui l'avaient prise en otage. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, nous étions toujours da-ns les enquètes criminelles où la prise en otage d'une personne physique ou d'un thème qui préocupait notre socièté était bien un crime. L'ecologie était bien évidemment devenu le terrain de chasse des gauch-istes où aucun capitaliste n'avait droit de pénétrer les lieux au risque de recevoir une volée de bois vert ou de chevrotines, Ah!Ah!Ah! Ce qui était pour moi une totale aberration, car je ne pensais pas que la planète ait un message de gauche à nous délivrer pour sa survie, mais plutôt le contraire où la nature reprendrait ses droits, n'est-ce pas? Pour la simple raison que les gauchistes faisaient une erreur monum-entale en intellectualisant la nature, ce qui avait le grand défaut de fausser le message de la planète qui à vrai dire n'avait pas besoin des Hommes pour exister et que leur disparition ne dérangerait pas, n'est-ce pas? Personnellement, j'ai toujours pensé que les vrais écologistes n'étaient pas nos bobo-parisiens confinés dans leurs beaux bureaux près de l'assemblée nationale et des médias, mais nos agriculteurs, nos éleveurs et nos chasseurs qui avaient une relation intime et charnelle avec la nature, bref, tout le contrai-re de nos écolo-parisiens qui conceptualisaient la nature, comme une machine pour gagner les prochain-es élections, Ah!Ah!Ah!

Et rien de surprenant de les voir prendre en otage la nature en croyant qu'elle était un concept intellectuel ou un objet manipulable par la pensée. Alors qu'elle était une réalité liée aux cycles des saisons voir à la marche du cosmos! Sur ce plan, je leur trouvais les yeux plus grands que l'estomac, Ah!Ah!Ah! En sach-ant bien que les vrais écolos n'étaient pas des intellectuels, mais des hommes et des femmes qui avaient toujours travaillé conjointement avec la nature pour qu'elle les nourrissent durablement et y étaient arriv-és admirablement. Et je trouvais odieux aujourd'hui de voir nos éleveurs, nos agricullteurs et nos chass-eurs pris pour cible par les écologistes et les véganes par leur manipulation intellectuelle orchestrée dans les médias, mais qui n'avait pas fonctionné auprès des Français attachés à leurs racines paysannes qu'ils ne sacrifieraient jamais au prix d'un mensonge intellectuel, Ah!Ah!Ah! J'avais le sentiment comique de me retrouver dans une chanson de Chantal Goya ou un lapin avait tué un chasseur et que les animaux de la ferme avaient pris le pouvoir chez leur éleveur, Ah!Ah!Ah! Décidément, une histoire ubuesque où j' étais devenu par mes propos francs et sincères, la bête noire des écologistes où l'expéditeur de ma couro-nne mortuaire par la poste pouvait être un des leurs, n'est-ce pas? Apparemment, tout le monde voulait ma mort sauf les honnêtes gens qui aimaient entendre la vérité, Ah!Ah!Ah! C'est bizarre, mais ce matin en sortant de chez moi, j'ai remarqué que quelqu'un avait cassé ma boite à lettres pour m'atteindre lâchem-ent! Sûrement un manque de courage de sa part, je me suis dit, en pensant à un écolo. Car si je l'avais sur-pris sur le fait, je l'aurais bien éborgné pour la vie afin de lui montrer qui était Patrick Maaded, Ah!Ah!Ah! A propos de toutes ces aberrations intellectuelles produites par la gauche, au point de disparaître co-mplètement des radars de la politique, celle-ci pour préserver ses dernières troupes s'était retranchée dans l'Ecologie, comme ces animaux apeurés qui se cachaient derrière les buissons pour mourir, Ah!Ah!Ah! Bref, une image assez juste de la gauche d'aujourd'hui en pleine déliquescence et en voie de disparition de la scène politique. Sans pour autant dire que c'était la faute à Emmanuel Macron, comme on l'entend-ait souvent dans les médias. Car il n'avait pas l'envergure d'un révolutionnaire ou d'un innovateur en ma-tière politique, mais d'un homme politique élu grâce aux médias pour faire de la politique spectacle, Ah!Ah!Ah! Et depuis le début de son quniquennat, ils étaient entièrement satisfaits par le spectacle des gilets jaunes et d'Alexandre Benalla qui avaient occupé une grande partie des actualités où l'on pouvait insérer des pages de pubs très rénumératrices, n'est-ce pas? Décidement, Emmanuel Macron était une bonne aff-aire et un pari gagnant pour les médias, cela ne faisait aucun doute pour moi. Et que la déliquecence de la gauche était dù principalement à leurs aberrations intellectuelles en voulant par exemple aider les migra-nts à s'installer en France en leur donnant un logement et des aides financières au détriment des Français qui ne savaient plus dans quel pays, ils vivaient exactement, Ah!Ah!Ah!

Où grâce à leur manipulation intellectuelle, ils avaient réussi à brouiller le visage des Français en leur fa-isant perdre leur identité au nom de cet Homme universel sans visage, sans racines, sans pays, bref, une catastrophe annoncée aussi bien pour la France que pour la gauche, n'est-ce pas? A propos de toutes ces aberrations multiples et diverses, il y a quelques jours, j'ai entendu Monsieur Melenchon à l'assemblée nationale prendre la défense des musulmans suite à l'attentat à la mosquée de Bayonne perpétré par un vi-eux facho. Sincèrement, je n'en croyais pas mes oreilles au point de lâcher un grand éclat de rire en voy-ant ce clown se prendre pour le porte parole des musulmans, Ah!Ah!Ah Mon dieu qui l'eût cru? Je devi-nais que tous les musulmans de France derrière leurs petits écrans avaient dû éclater de rire, comme moi devant cette farce énorme! Décidément, la gauche en pleine déconfiture ne savait plus quel combat mener pour trouver de nouveaux electeurs pour se maintenir en vie. En ne comprenant rien à la philosophie de Mon-sieur Melenchon qui avait tout pour être heureux. C'est à dire un salaire juteux de 20 000 euros par mois grâce à son mandat de député, de président de la France insoumise, de sénateur, un accès aux médi-as quand il le voulait pour débiter ses conneries monumentales dont les journalistes étaient friands pour faire de l'audimat et alimenter leur fond de commerce, Ah!Ah!Ah! Sincèrement, je n'arrivais pas à saisir ce personnage et ce qu'il cherchait exactement sachant qu'il n'avait aucun génie politique, Ah!Ah!Ah! Per-sonnellement, si j'étais à sa place, j'irais tous les jours à la cueillette aux champignons pour m'occuper de choses plus accessibles, n'est-ce pas? Car il n'avait rien à faire dans le monde de la politique avec ses idé-es post-staliniennes, sinon dans les médias pour faire le remake d'octobre rouge, Ah!Ah!Ah! Décidement, en France nous avions la gauche la plus bête du monde, ce que ne démentira pas Donald Trump, qui sav-ait pertinement que les accords de Paris avaient été présidés par un gauchiste dénommé Laurent Fabius, n'est-ce pas? Il parait dans le privé que Donald Trump comparait les écologistes à de la morve parce que de couleur verte, Ah!Ah!Ah! Et comme il fallait s'y attendre, Monsieur Melenchon avait participé à la manifestation contre l'islamophobie pour essayer de récupérer des electeurs parmi les musulmans qui d' après les chiffres officiels étaient plus d'un milliard dans le monde, Ah!Ah!Ah! Ce qui avait de quoi l'éto-urdir pour lui permettre de redorer l'image de son parti politique de la France Insoumise à l'international, mais avec le grand défaut de devenir un jour le parti de la France soumise à l'Islam, Ah!Ah!Ah! Telles étaient malheureusement les aberrations intellectuelles produites par la gauche ou apparemment ce dern-ier comptait financer sa prochaine campagne présidentielle avec les fonds de l'Arabie Saoudite! Mais pourquoi pas quand plus rien n'avait de sens, mon cher lecteur? Bien évidemment, les musulmans n'avai-ent pas besoin de lui pour exister. Car l'islam s'est toujours développée sans l'aide des images ou des mé-dias dont le gros défaut était de créer des idoles que Mahomet avait toujours combattues férocement!

Et sur ce plan là, les musulmans restaient lucides en sachant bien que Monsieur Melenchon n'était qu'une image produite par les médias ou une idole en plâtre qu'ils casseraient à la moindre occasion pour des ra-isons fondatrices, Ah!Ah!Ah! Mes propos pourraient être confirmés par le grand Iman de la mosquée de Paris qui avait refusé de participer à la manifestation contre l'islamophobie. En sachant bien que l'Islam serait desservie par les médias occidentaux en la transformant en une bande d'Arabes qui défilerait avec leurs turbans et tchadors et les youyous des femmes hystériques, Ah!Ah!Ah! En niant pas que la France a toujours été islamophobe et antisémite depuis Voltaire qui ne se le cachait pas afin de plaire à son public français et européen, mais occulté malheureusement par l'Education Nationale! Et si Céline jouissait, parait-il, en lisant Voltaire, ce n'était pas un hasard, croyez-moi. Voyez, mon cher lecteur, comme il était utile de rentrer dans notre passé afin d'éclairer notre présent où les choses avaient peu changé, n'est-ce pas? Pourtant cette marche était aussi contre l'antisémitisme, mais que les juifs n'ont pas voulu soutenir parce qu'ils n'aimaient pas les Arabes et leur donner le beau rôle, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, pour les juifs et les Français, un intellectuel Arabe ça n'existait pas et la raison pour laquelle les écrivains franco-algériens étaient exclus de la littérature française et bien dommageable pour sa culture dont la finalité était la vérité. Mais comme les aberrations intellectuelles avaient gangréné sa culture, on pouvait s'interr-oger légitimement sur son avenir, n'est-ce pas? A propos de cette manifestation genre fourre-tout contre l'islamophobie, le racisme, l'antisémitisme, Monsieur Macron etc, on y avait aperçu brodée sur la poitri-ne des enfants maghrébins l'étoile jaune de David où dessus était écrit muslim, c'est à dire musulman. Bien entendu, la communauté juive était outrée de voir l'un de leur puissant symbole( pourtant inventé par Saint Louis) détourrné par les musulmans en comparant leur situation à un génocide comme la shoa! Sans aucun doute ici, la bataille des images et non la résolution des vrais problèmes civilisationnels sac-hant que la France resterait islamophobe et antisémite et que les juifs continueraient à haïr les Arabes, Ah!Ah!Ah! Bref, le triangle infernnal ou le triangle des Bermudes qui ne se trouvait pas en Floride, mais en France, Ah!Ah!Ah! Bref, une partie à trois où seul l'Etat pouvait taper du poing sur la table et leur dire d'arrêter leur guéguerre afin d'éviter une future guerre de religion sur notre territoire qui a vrai dire avait déjà commencé avec la mondialisation des marchandises et des infos pour devenir la mondialisation des conflits, n'est-ce pas? Bref, une très mauvaise affaire pour la stabilité du monde! Comprenez bien en dis-ant cela, je ne disais pas que c'était la faute au capitalisme. Car ce dernier n'a jamais eu la mission de mo-raliser la société, mais seulement de répondre aux besoins matériels des Hommes pour leur bien être, si possible.

En espérant que les gens intelligents aient bien compris que la morale ne se trouvait ni en politique ni en économie, mais dans la religion ou le bien reliait tous les Hommes! Pour parler du capitalisme, si par exemple les Hommes aimaient manger de la merdre, le capitalisme en fabriquerait sans complexe pour satisfaire leur besoin, Ah!Ah!Ah! En fait, le problème se trouvait ailleurs et dans la nature humaine où il ne fallait jamais intellectualiser ses besoins souvent très terre à terre, comme de ne pas mourir de faim, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, tout cela déplaisait aux gauchistes qui dans ce monde réel ne pourraient plus produire d'aberrations intellectuelles pour satisfaire leur débilité mentale, Ah!Ah!Ah! Pour la simple raison qu'ils n'avaient aucune créativité dans quelque domaine qui soit, mais le besoin de se donner le beau rôle avec leur bonne conscience, Ah!Ah!Ah! Ah, leur bonne conscience pour se sentir exister et ob-ligés d'aimer tout le monde( sauf les méchants fachos qui étaient en vérité un bon pretexte pour légitimer leur pseudo-combat politique) afin d'obtenir des postes bien rénumérés dans les institutions politiques. Et comme disait François Mitterand dans une vieille interview, ce qui intéressait les socialistes, c'était l' argent, Ah!Ah!Ah! En me rappelant un mauvais souvenir à propos de ma mère qui toute sa vie avait voté pour les socialistes sans en tirer le moindre bénéfice! Et souvent, je me fâchais avec elle sur son entêtem-ent à voter à gauche alors que le résultat était nul pour elle. Mais sa réponse restait sans appel en me dis-ant avec une grande franchise : Mais Patrick, penses-tu vraiment, vu ma situation de femme de ménage, que je pourrais voter un jour pour la droite, pour le parti des riches? Ainsi, je compris pourquoi ma mère s'obstinait à voter à gauche contre le bon sens où visiblement les socialistes avaient pris en otage les pau-vres! C'est à dire en leur procurant des stupéfiants qu'on appelle des drogues pour alimenter leurs illus-ions, Ah!Ah!Ah! Moi qui ne manquait jamais de lucidité en ne votant pour personne, j'avais alors pitié pour ma mère et pour tout ceux qui se nourrissaient d'illusions procurées par les drogues ou par le men-songe intellectuel produit par la gauche. Si aujourd'hui, le parti socialiste avait complètement disparu de la scène politique française et internationale, c'était la preuve qu'il avait été démasqué comme dealer de drogues idéologiques, Ah!Ah!Ah! Au point que l'Amérique latine était aujourd'hui à feu et à sang, mais sans pour autant dire que les peuples de la Terre voulaient devenir capitalistes. En recherchant leurs pro-pres destins afin de pouvoir vivre heureux avec l'essentiel et non forcément suivre le matérialisme occi-dental! Bien évidemment, pour y arriver, ils devaient absolument abandonner toutes ces drogues idéolog-iques produites par le socialisme et se relever les manches. Car malheureusement, les gauchistes leur av-ait fait entrer dans la tête que le travail était une aliénation où se trouvait la perte de leur dignité, ce qui était pour moi une totale aberration! Me prouvant qu'ils n'étaient pas des créateurs de richesses, mais des accaparateurs du bien d'autrui en utilisant des stupéfiants pour les endormir en vu de les voler, Ah!Ah!Ah! Bref, des dégâts colossaux désormais visibles sur l'etat mental des peuples, n'est-ce pas?

On disait souvent que les gauchistes étaient généreux! Oui, c'était vrai surtout avec l'argent des autres, Ah!Ah!Ah! Au point de confondre la sensibilité artistique avec la sensibilité de gauche qui avait anéanti toute la créativité des artistes pour des raisons idiotes de bonne conscience, Ah!AhAh! Où le bilan de la gauche était désormais catastrophique sur la plan culturel et économique, mais qu'on avait encore du mal à percevoir tellement il y avait de gauchistes dans les médias. Personnellement, en tant qu'artiste, je n'ai jamais su ce que signifiait avoir une bonne conscience dans l'art! Et si vous aviez la réponse, mon cher lecteur, j'aimerais la connaître de mon vivant, Ah!Ah!Ah! Bref, encore une aberration intellectuelle prod-uite par nos idiots gauchistes. Hier, samedi 17 Novembre 2019, j'ai été très heureux d'apprendre que le premier anniversaire des gilets jaunes avait été un flop, Ah!Ah!Ah! En sachant bien que ce n'était pas la France qui défilait dans les rues, mais qu'une poignée d'irréductibles d'extrêmes gauches et d'anarchistes qui par impuissance politique mettaient le feu aux poubelles, aux scooters, brisaient une stèle rendant hommage au Marechal Juin, un héros de la seconde guerre mondiale, Ah!Ah!Ah! Que dire sinon, par ces signes évident d'impuissances, la mort annoncée de la gauche? Mais en vérité, une mort que tout le mon-de attendait avec impatience pour passer à autre chose de plus intelligente, n'est-ce pas? Afin d'entrer dans une nouvelle ère et en finir avec ce gros mensonge intellectuel inventé au 19 ème siècle. Il était évident pour moi que la prochaine grève du 5 Décembre 2019( qui ne sera pas générale, mais uniquem-ent organisée par les gauchistes retranchés dans la fonction publique) sera un flop où la grande majorité des Français leur donneront le coup de grâce pour en finir avec ce socialisme répugnant! Donc, mes amis, rendez-vous devant vos écrans pour voir la mort en directe de la gauche, Ah!Ah!Ah! Pour l'occasion, je pense sabrer le champagne et m'habiller d'un joli costume de fêtes, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'aberr-ations intellectuelles, j'ai entendu dernièrement dans les médias Monsieur Bernard Henry-Levy dire qu'il allait soutenir les Kurdes parce que les Français n'avaient pas besoin d'être soutenu dans leur vie quoti-dienne! Décidément, un idiot qui ne savait plus quoi faire de son temps et de son argent qu'il comptait di-stribuer aux étrangers et non aux Français, Ah!Ah!Ah! Bref, du racisme anti-français produit par la gau-che la plus bête du monde qu'il nous fallait absolument éradiquer avant qu'elle entraîne la France dans son anéantissement, n'est-ce pas? A ce propos, j'ai appris dans l'émission "Le Meilleur patissier" qu'un chef avait inventé une tarte à la crème qu'il avait appelée" La Bernard-Levy" qui n'était pas destinée à être consommée, mais à s'envoyer dans la figure pour démasquer les imposteurs, Ah!Ah!Ah! Un grand succès parait-il dans les soirées mondaines de la gauche où Bernard Henry-Levy et son ami milliardaire Bernard Arnaud s'envoyaient des tartes à la crème pendant toute la soirée, Ah!Ah!Ah! D'après le chef patissier, la tarte était seulement composée de crème fouettée sans aucune saveur, mais très utile pour reconnaître les imposteurs, Ah!Ah:Ah! Pour revenir à la grève du 5 Décembre prochain, organisée par les gauchistes, je ne pensais pas qu'il y aurait convergence des luttes, parce que la gauche était en fin de vie idéologique. Et ce que nous allions voir en direct à la télé, ce serait ses obsèques relayées par tous les médias du monde où Donald Trump comptait organiser une soirée pizzas et burgers pour assister à l'évènement historique, Ah!Ah!Ah! Quant à la reine d'Angleterre, Elysabeth 2, elle se refusait de déranger la tradition du tea-bre-ak pour une chose si insignifiante, bien évidemment!

Décidément, l'Amérique et l'Angleterre étaient une nouvelle fois d'accord pour faire couler le vieux con-tinent européen où l'Angleterre avait toujours su sauver sa peau en restant une ile aux ambitions impéria-listes, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'aberrations intellectuelles, il y a quelques temps, j'ai vu à la télé un débat surréaliste entre Bernard Henry-Levy et Eric Zemmour. Personnellement, je ne pensais pas le voir de mon vivant! Mais visiblement, les médias avait réussi ce beau simulacre en mettant face à face sur un plateau télé, non pas un grand philosophe et un grand intellectuel, mais un faux philosophe et un petit journaliste facho, Ah!Ah!Ah! Mais visiblement dans ses cordes pour ne pas nous aider à trouver la vérité, mais plutôt à la camoufler derrière des personnages guignolesques. Où le premier se prenait pour un grand Homme( donc intouchable) en faisant l'apologie de l'Homme universel sans visage, sans racines sans pays et l'autre pour un grand essayiste qui voulait devenir plus Français que les Français, Ah!Ah!Ah! Décidément, la bêtise a l'état pur ou si vous voulez les deux essayistes du grand n'importe quoi où le premier était devenu invisible à force de nier la réalité et le second raciste et xénophobe, alors qu'il était juif! Une fois de plus, j'assistais ni plus ni moins devant mon petit écran aux aberrations intellectuelles produites par la socièté française qui ne savait plus ou se trouvait les portes et les fenêtres de la maison France, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, ces deux guignols avaient perdu complètement la raison et qu'il nous faudrait les interner en psychatrique pour des raisons de santé plubique! En fait, sans être antisémite( car je ne l'étais pas et malgré que le groupe Partouche avec ses casinos Le Lyon Vert et Le Pharaon m'aient volé une grande partie de mon argent dans leurs établissements, Ah!Ah!Ah!), j'avais le sentiment en suiv-ant ce débat surréaliste que le probleme juif n'était pas une invention des antisémites, mais une réalité bi-en visible sur mon petit écran. Où nos deux guignols de service, juifs eux-mêmes, voulaient absolument avoir raison l'un contre l'autre! Mais en voyant bien qu'ils avaient tort tous les deux en étant des imposte-urs fabriqués par les médias où la vérité ne sortirait pas, mais de grands mensonges au détriment des co-mmuautés juive et musulmane et de la socièté française. En tant que prophète, je voudrais demander aux juifs de France d'excommunier Monsieur Eric Zemmour pour hérésie et blâmer Monsieur Bernard Hen-ry-Levy pour trahison envers son pays, la France! Ce qui serait déjà une bonne sanction à prendre afin que la France retrouve la paix et qu'elle ne finisse pas à feu et à sang, comme en ce moment dans les pays d' amérique latine. A propos des simulacres organisés par les médias, j'imaginais dans les prochains mois sur les Champs-Elysées, une embrassade entre un CRS et un gilet jaune filmée par la télévision française pour faire un scoop, Ah!Ah!Ah! Sans oublier d'adjoindre à la scène, Alexandre Benalla à genoux priant en direction de la Mecque pour remercier Allah d'un tel miracle, Ah!Ah!Ah! Pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, j'ai eu cette vision au cours d'un rêve où j'imaginais sans difficulté des comédiens payés par les médias pour jouer cette scène grotesque, mais si rénumératrice en terme d'audience. Sûrement, la pos-sible fuite en avant des médias en fabriquant eux-mêmes leurs fake news pour ne pas être rendu au chôm-age, n'est-ce pas?

En assurant à mon cher lecteur que le 5 décembre prochain, il n'y aura pas de révolution en France, mais seulement la grève des fonctionnaires où l'on entendra le dernier coup de canon de la gauche avant de so-mbrer dans la mort définitive, Ah!Ah!Ah! En fait, il y a une chose que je n'ai toujours pas comprise, c'est la haine des gauchistes pour Emmanuel Macron, alors qu'il est issu de leur rang! A l'évidence, la preuve qu'ils étaient atteints d'une dégénérescence mentale, Ah!Ah!Ah! Et le temps pour nous de mettre fin à cette comédie afin de sauver la France de ce péril intellectuel qui l'avait complètement ruinée! Si l'hopital aujourd'hui était malade, ce n'était pas un hasard, mais la preuve que la France était malade de ce gauchi-sme répugnant qui avait miné sa santé! Au départ, un peu naïvement, je pensais que les urgences étaient engorgées à cause de la serie americaine "Urgences" où tout le monde voulait se faire soigner par Geor-ges Clooney, le beau gosse, brun et ténébreux, Ah!Ah!Ah! Mais en regardant les reportages à la télé, j'ai vite compris que c'était les étrangers qui engorgeaient les urgences où en fin de compte les soins étaient gratuits, merci la gauche et l'union européenne, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je n'avais rien contre les étrangers, mais cela devenait génant quand ils étaient trop nombreux sur notre territoire et que leur nom-bre augmentait chaque année, ce qui avait de quoi nous inquièter vraiment! Mais sans être xenophobe, comme Eric Zemmour qui en faisait une maladie voire une pathologie haineuse. Même si Socrate avait dit un jour, par l'intermédiaire de Platon, que l'étranger était l'ennemi d'un pays. Car pourquoi voudriez-vous qu'il se batte pour un pays qui n'était pas le sien? Bref, des arguments toujours d'actualités, mais sans verser dans la haine, n'est-ce pas? Mais dont les gauchistes n'appréciaient pas l'ambiguité, bien évid-emment. En fait, la grande erreur intellectuelle commise par le socialisme au cours du 19 ème siècle a été de croire que le travail était une aliénation pour le peuple où il perdrait sa dignité. Bien évidemment, tout cela était absolument faux. Car j'ai toujours pensé que le travail était un levier beaucoup plus puiss-ant pour maintenir en paix les peuples que l'idiote idéologie! Mais une vérité implacable et réaliste qui déplaisait aux gauchistes amoureux d'aberrations intellectuelles en étant des fainéants, Ah!Ah!Ah! Et co-mme disait la bande annonce d'un film d'horreur sur Netfix : Un jour tôt ou tard, la vérité refait surface! Et justement le cas pour la gauche dont nous allions assister en direct sur nos petits écrans à la mort dé-finitive le 5 Décembre prochain! Amen et bon débarras, Ah!Ah!Ah! Vivement des temps nouveaux pour nous tous où l'escroquerie intellectuelle aura totalement disparu. Que dieu sauve la France! Je ne sais pas si mon cher lecteur à fait des études d'économie, mais qu'il sâche que les fonctionnaires ne produis-aient aucune richesse et que la grève du 5 décembre prochain revenait à faire défiler dans la rue une ban-de de chômeurs qui par définition était une totale aberration, Ah!Ah!Ah! Mais bon, on était aujourd'hui dans une bizarrerie transdimentionnelle où le ridicule ne tuait plus, malheureusement!

En sachant bien que cette catégorie de la population, dans la définition économique de Carl Marx, ne tr-availlait pas, mais contrôlait, surveillait, transportait, enseignait etc pour servir le public sous les ordres de l'Etat, bien évidemment. Et si l'Etat n'arrivait pas à imposer sa réforme des retraites aux fonctionnaires le 5 décembre prochain se serait pour lui et pour nous tous, un shisme politique où l'administration aura pris le pouvoir politique en France! Ce que les hommes politiques et la plupart des Français redoutaient afin de maintenir la démocratie et éviter une future dictature à la soviètique en France, sauf pour les gau-chistes et les adeptes de la France Insoumise, Ah!Ah!Ah! Bref, le 5 décembre prochain, ça passe où ça ca-sse au point que j'ai commencé à préparer mes bagages pour partir à l'étranger en cas où les gauchistes reprendraient le pouvoir en France, Ah!Ah!Ah! N'êtes-vous pas de mon avis, mon cher lecteur? Sans bien comprendre pourquoi les fonctionnaires avaient choisi la date du 5 décembre pour retrouver leur instinct grégaire où ils allaient braire, meugler et vociférer comme du bétail, Ah!Ah!Ah! Alors que le mois d'oc-tobre fut plus judicieux où la plupart des révolutions s'étaient déroulées avec succès! Car en consultant mes livres d'histoire, je n'ai remarqué aucun évènement important durant un 5 décembre, sinon un évène-ment méteo où il était tombé quelques flocons de neige à Paris en 1830, Ah!Ah!Ah! Et quand je pensais aux blak-blocs et aux anarchistes qui allaient tout casser et brûler le 5 décembre prochain, j'avais la cer-titude que le mouvement des fonctionnaires serait un échec et discrédité par l'ensemble des Français, n' est-ce pas? En sachant bien que la population s'est toujours divisée en quatre catégories, puisque l'Educ-ation Nationale ne vous avait rien appris! C'est à dire en guerriers, sorciers, serviteurs et paysans. Et auj-ourd'hui peu changé puisqu'on retrouvait les militaires, les prêtres, les fonctionnnaies et les travailleurs, n'est-ce pas? Les chefs d'entreprises étant des travailleurs en produisant de la richesse, comme tous les ouvriers qualifiés ou non. Quant aux hommes politiques, je les mettrais dans la catégorie des fonctionna-ires puisqu'ils étaient payés par l'Etat, le temps de leur mandat. Par ces faits incontestables, on voyait bien que seuls les paysans et les travailleurs enrichissaient notre pays, puisque le reste de la population ne tra-vaillait pas en défendant la nation, priait pour l'âme du peuple pervertie par le matérialisme, surveillait, instruisait la population, etc. Et si aujourd'hui, la France s'apauvrissait d'année en année, c'était apparem-ment de leur faute en vivant sur le dos des travailleurs et des paysans, bref, sur le dos de l'Etat concentra-teur de la richesse nationale, ce que personne ne démentira, n'est-ce pas? Oh ruche adorée comme j'aime ton miel! chantaient les fonctionnaires au ventre bien grassouillet, Ah!AhAh! Mais je n'imputerai pas l'a-pauvrissement de la France aux prêtres qui étaient payés par l'Eglise depuis la séparation de l'Eglise et de l'Etat en 1905 vu leur nombre diminuer par manque de vocation, comme nous le savons tous. Quand à l'armée, j'étais moins dubitatif sachant que l'industrie de l'armement arrondissait beaucoup le budjet de l' Etat, n'est-ce pas? Bien évidemment, je ne parlais pas ici sur le plan moral, mais uniquement sur les chif-fres afin d'être réaliste!

Par cette simple analyse, on voyait bien que la France s'apauvrissait à cause des hommes politiques et des fonctionnaires qui avaient lié entre eux un pacte diabolique, ne nous le cachons pas. Je ne dirais pas que c'était dû seulement à leur surnombre dans la socièté française, mais surtout par le pouvoir qu'ils avaient pris sur le reste de la population qui devait leur demander à chaque fois la permission d'aller faire pipi, Ah!Ah!Ah! Bref, où les trois quarts des Français étaient aujourd'hui constipés parce que terrifiés de lever le petit doigt pour demander à maman-sangsue la permission d'aller aux toilettes, Ah!Ah!Ah! En fait, la France était ni plus ni moins paralysée par cette caste sociale au point de ne plus pouvoir entreprendre le moindre projet d'avenir et produire de la richesse! Pourtant ces choses pourraient être résolues simplem-ent en diminuant par exemple leur nombre et surtout l'emprise qu'ils avaient sur la socièté française où travailler pour l'Etat restait un graal pour chaque famille par amour de la gloriole, bien évidemment. En niant pas qu'en chaque Français sommeillait un fonctionnaire, comme vous le savez bien, mon cher com-patriote. Mais une quadrature du cercle difficile à resoudre, n'est-ce pas? A l'évidence, ce mal français ou ce destin misérable qui se profilait pour la France était dû à une aberration intellecttelle produite par la république! Car aujourd'hui, les hommes politiques commandaient tout aussi bien l'armée, les fonctionn-aires que le reste de la population qui devait suivre pour ne pas être traité de mauvais citoyens, Ah!Ah!Ah! Nul doute, une belle farce républicaine qui avait entraîné la France là où elle était aujourd'hui, c'est à dire dans la muise! Et quand je pensais qu'autrefois, la nature des gens était respectée où les chefs de guerre commandaient les guerriers parce que plus courageux que le reste de la population qui plus frileu-se devait suivre ses commandements. Mon dieu, quel retournement des choses en sachant que dans la ré-publique, c'était les moins courageux qui avaient pris le pouvoir grâce à une entourloupe intellectuelle, Ah!Ah!Ah! Apparemment, nous vivions une époque contre-nature où nous avions bouclé la boucle de l' absurdité où Emmanuel Macron d'après la constitution française était le chef des armées, ce qui avait de quoi nous rendre hillard, Ah!Ah!Ah! Mais bon, pourquoi pas quand nous savions que la socièté française était devenue une socièté de cons à cause de ses élites et de son Education Nationale qui avait saboté l' intelligence des Français. Mais que ce pacte diabolique qui liait les hommes politiques et les fonctionn-ires devrait être rompu si on voulait sauver la France de ses futurs malheurs. Le 5 décembre prochain, l' Etat aura l'occasion de le faire savoir et l'on verra s'il en aura le courage ou bien continuera ce grand mensonge républicain, Ah!Ah!Ah! Dernièrement, j'ai été très heureux d'apprendre que la manifestation des étudiants à Lyon avait été un flop où tous les étudiants gauchistes comptaient embraser les campus universitaires pour mesurer leur force en vu de la grève du 5 décembre prochain. Environ 500 étudiants avaient défilé dans les rues de Lyon et détallé aussitôt d'après les chiffres officiels, Ah!Ah!Ah! A mort, les gauchistes! A mort les gauchistes! aurait-on entendu parmi les passants lors du défilé de ces vieux dé-bris du passé, mais non relayés par les médias, bien évidemment. Comprenez-bien, mon cher lecteur, que mon but n'était pas d'anéantir les gauchistes, comme on pourrait le croire, mais de les remettre sur le bon chemin, Ah!Ah!Ah!

Premièrement, par soucis écologique, car je ne comptais pas gaspiller mon energie à écraser des fourmis et deuxièmement parce qu'ils le faisaient très bien tout seul, Ah!Ah!Ah! Et troisièmement en ne voulant pas sauver ces dinosaures de la pensée condamnés par la nature, Ah!Ah!Ah! Pour avoir nié la réalité dura-nt des décénnies au point de se retrouver aujourd'hui face à leurs propres aberrations intellectuelles qu'on appelle une glaciation politique, Ah!Ah!Ah! A ce propos, hier à la télé, j'ai entendu une aberration d'un député PS qui comptait voter une loi à l'assemblée nationale contre le black Friday! Et pourquoi pas con-tre Halloween? Ah!Ah!Ah! Décidément, la gauche n'avait plus les pieds sur terre et, comme ils étaient des intellos, il était très dur de leur faire entendre la vérité. Mais pour revenir aux étudiants lyonnais( do-nt la plupart n'étaient pas gauchistes, car à Lyon on était plutôt réaliste voir industrieux), j'ai été très touché par cet édudiant qui s'est immolé devant le Crous de Lyon, parce que son histoire me rappelait étrangement la mienne! Oui, bien sûr, vous allez me dire que j'exagérais encore une fois pour me faire mousser. Mais non, je vous assure, mon cher lecteur. Car à la fin des années 80, j'étais inscrit à la Doua où je préparais des études de droit et d'économie, mais qu'en cours d'année, le rectorat m'avait coupé bru-talement la bourse! La raison était parait-il un manque de budjet de l'Education Nationale. Bien sûr, je n' en croyais pas mes yeux en lisant la lettre, parce que j'y avais droit légalement et obtenu mon bac avec une mention. Très affecté par cette mauvaise nouvelle( qui anéantissait mon avenir en clôturant définitiv-ement mes études), bizarrement, je ne me suis pas immolé, comme notre jeune étudiant pour exprimer mon desespoir, mais je suis parti travailler pour gagner ma vie parce que je suis tout simplement coura-geux! Sans vouloir montrer du mépris à ce jeune étudiant( extrèmiste à sa façon), mais en lui trouvant un manque de courage face à la vie. Car d'après les infos dans les médias, il avait triplé sa dernière année à cause de ses mauvais résultats universitaires, comme s'il comptait devenir un éternel étudiant. Mais un symdrôme très connu des institutions qui était de prendre plaisir à user ses fonds de culottes sur les bancs de la Fac, Ah!Ah!Ah! Comprenez bien que cela ne me faisait pas du tout rire, car la vie de ce jeune était pratiquement foutue en étant brulé à 90 %! En fait, je pense que le rectorat lui avait tout simplement coupé la bourse parce qu'il avait constaté chez notre jeune étudiant ce syndrôme de l'eternel étudiant qui il faut le dire coûtait une vraie fortune aux contribuables, n'est-ce pas? Et puis mes amis qui d'entre nous n'a pas jamais connu dans sa vie, ce beau personnage de roman passant sa vie sur les bancs de la Fac en rêvant un jour y faire la révolution, hum? Apparemment, le grand fantasme des gauchistes, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, mon cher lecteur, mon cas n'était pas exactement le sien, parce que je n'étais pas gauchiste et plutôt courageux, n'est-ce pas? A propos de cette manifestation qui s'est déroulée le 5 déce-mbre( qui soi-disant devait rassembler la France entière dans la rue pour exprimer son mécontentement), malheureusement pour les gauchistes et les fonctionnaires, celle-ci a été un grand échec, Ah!Ah!Ah!

Et d'après les images, vues à la télé, beaucoup de drapeaux rouges dans le cortège et peu de drapeaux tri-colores, bref, une manif de gauche comme on était habitué en France depuis les années soixantes et mê-me je dirai depuis toujours en assistant à un défilé de vieux dinosaures retranchés dans la fonction pub-lique identifié à un nouveau Jurassic Parc, Ah!Ah!Ah. Où Spilber avait eu une intuition incroyable en im-aginant à notre époque moderne, le retour des dinosaures parmi nous par un clônage ADN sans savoir que cela existait déjà dans notre administration française, Ah!Ah!Ah! Un clônage opéré par les gauchistes en investissant ces troupes dans la fonction publique au point de contaminer toute notre administration et la rendre complètement dégénérée. En comprenant bien que ce phénomène de clônage intellectuel dans la fonction publique par les syndicats gauchistes était la conséquence de la désinstrualisation de la France et de sa délocalisation en Chine qui, ne l'oublions pas, était la patrie du communisme et du maoisme! Bref, un retour aux sources qui était de rendre à Cesar ce qui appartenait à Cesar en faisant la prospérité de la Chine, ne nous le cachons pas. Bizarrement, à une époque, je pensais que cette désinstrualisation de la France était dû aux syndicats patronaux qui voulaient se débarrasser des communistes en les réexpédiant dans leur pays d'origine, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'était pas totalement idiot de la part du Medef, mais infais-able, Ah!Ah!Ah! Mais après reflexion, je pensais plutôt aux taxes et aux impôts que les fonctionnaires ponctionnaient sur les entreprises pour garantir leurs salaires et leur haut niveau de retraite, Ah!Ah!Ah! En vous rappelant que les fonctionnaires ne travaillaient pas en ne produisant aucune richesse que même Carl Marx n'aurait pas démenti. D'après les chiffres officiels, il y avait eu à Paris 300 000 manifestants et non les un million prévu par les syndicats gauchistes. C'est dire un grand échec de la manifestation qui heureusement n'avait provoqué aucune révolution en France où l'administration aurait pu prendre le pouvoir politique, mais un petit bouchon dans les rues de Paris qui sentait les côtelettes et les gaz lacry-mogênes, Ah!Ah!Ah! Car en regardant les images, je n'ai vu aucun puissant cortège avancer telle ue mar-ée humaine prêt à découdre avec le gouvernement, mais un convois de zombies pratiquement à l'arrêt en ne sachant plus quelle direction prendre parce qu'il n'y avait aucun chef ou berger pour les mener soit à l'abattoir soit à étable, Ah!Ah!Ah! Et plutôt des gens hagards, complètement déboussolés ou rendus fous, non par la reforme des regimes spéciaux, mais parce qu'ils étaient devenus des idiots en puissance en ne saisissant pas la chance de vivre en France où les aides sociales étaient colossales pour les pauvres! En fait, nous assistions en direct à la dégénerescence mentales des gauchistes et des fonctionnaires par un clônage qui avait visiblement échoué parce que la mort des vieux dinosaures était programmée par la nat-ure, Ah!Ah!Ah! J'ai même entendu au cours de la manifestation, un fonctionnaire se plaindre de ne touc-her que 2600 euros de retraite par mois! Ce qui m'avait fait sursauter sur ma chaise et déclencher un hor-rible accouphène dans les oreilles! Bing-Bang! Bing-Bang! j'entendais alors résonner dans mon crâne, comme le glas pour la France!

Un bing-bang à l'origine de la création de l'univers pour les scientifiques et la destruction pour les gauch-istes, Ah!Ah!Ah! Décidément, on ne pouvait s'entendre avec des gens qui avaient perdu la raison, n'est-ce pas? En ne comprenant toujours pas pourquoi les fonctionnaires( qui avaient la sécurité de l'empoi, un salaire à vie, la retraite assurée, une augmentation de 2 % par an, une couverture maladie à 100%) avai-ent cette fâcheuse tendance à se surprotéger en se syndiquant à 80 %! La seule réponse que j'ai pu trou-ver, c'est que nous avions affaire ici à une population la plus frileuse du pays, c'est à dire la moins cou-rageuse! Et heureusement qu'ils n'étaient que 5 millions, sinon la France tomberait vite dans la désolati-on, Ah!Ah!Ah! Comme je l'ai déjà dit à propos de nos écologistes, précurseurs dans le domaine du chaos, nous avions affaire ici à une maladie civilisationnelle dont les symptômes étaient désormais visibles dans notre administration où l'on y mourait d'ennui, Ah!Ah!Ah! A ce sujet, dimanche dernier, mon frère est ve-nu manger à la maison et m'a dit à table qu'il avait horreur de son travail, mais qu'il n'en partirait jamais! Mais pourquoi donc, je lui ai demandé avec une grande curiosité? Sans hésiter, il m'a dit : Tant que j'y suis, j'y reste! Ah!Ah!Ah! En fait, il venait de m'exprimer sans le savoir, la maladie des Français qu'on ap-pelle le pourrissement de l'intérieur, comme on le pratiquait dans notre socièté française! Car lorqu'on était une personne intelligente et qu'on aimait pas son travail, il fallait plutôt le quitter pour en trouver un meilleur et surtout pour éviter de pourrir l'ambiance sur son lieu de travail au risque qu'il tourne au carnage, Ah!Ah!Ah! Sans bien le savoir, j'avais mis le doigt à l'endroit là où ça faisait mal et sur le point sensible des fonctionnnaires qui visiblement s'ennuyaient à mourir dans leurs bureaux au point de mani-fester, non pas contre la réforme des régimes spéciaux, mais pour se défouler et chercher de vraies émo-tions impossible à trouver dans leur travail de robot, Ah!Ah!Ah! Cela me faisait penser aussitôt à Nicolas 1er, tsar de Russie, qui mourant d'ennui dans son palais de Saint-Petersbourg avait déclenché la guerre de Crimée pour aller se divertir un peu. Bien évidemment, il avait été vaincu par la coalition franco-brita-nno-turque, car on ne partait pas à la guerre pour aller s'amuser, Ah!Ah!Ah! J'avais sans aucun doute tro-uvé leurs réelles motivations au point qu'ils étaient prêts à mettre à feu et à sang la France pour tuer leur mortel ennui! Pour éviter tout cela, je préconiserais au gouvernement de légaliser le cannabis dans la fonction publique où des séances de shoot pourraient régler les problèmes psychologiques et existentiels de nos fonctionna-ires désoeuvrés, Ah!AhAh! A bien les connaître, je pense qu'ils s'y opposeraient pas par principe idéologique, bien évidemment. Hier, j'ai entendu dans les médias que les syndicats gauchistes comptaient organiser une nouvelle manifestation à Paris le mardi 10 décembre, parce que la première av-ait été un rude échec. Pour ma part, je pense que la seconde manif n'aura pas plus de succès que la prem-ière. Car la grève dans les transports publics aura un effet inverse sur l'évènement en forçant les Français à rester chez eux à regarder à nouveau Jurassic Park, Ah!Ah!Ah! Allez, bon film, mes chers comptriotes! Décidément, mes intuitions étaient exactes, puisque la nouvelle manifestation des gauchistes avait rass-emblé moins de personnes que la première, Ah!Ah!Ah!

En ayant tapé dans le mille car mon analyse était basée sur des choses réelles et non sur des critères idéo-logiques, comme sur le nombre de fonctionnaires à Paris chiffré officiellement à 500 000 et représentait 25 % de la population parisienne intra-muros, bref, la plus haute densité des villes de France! Et compte tenu que beaucoup d'entre eux étaient des défenseurs de l'Etat donc pour l'instant partisans d'Emmanuel Macron, je savais qu'il serait moins 500 000. En fait, il y en avait eu à peine 200 000, ce qui nous montr-ait un essoufflement du mouvement des gauchistes en France, mais dans l'ordre des choses, car la nature avait prévu l'anéantissement des vieux dinosaures ainsi que de la France insoumise, Ah!AhAh! Toujours à propos d'aberrations intellectuelles dont les gauchistes étaient les champions du monde, j'ai entendu dans les médias qu'ils allaient organiser tous les trois jours des manifs pour faire plier le gouvernement sur la réforme des régimes spéciaux des retraites! Décidément, nous avions affaire ici à des têtes de mûl-es qui n'avaient rien compris à la marche du monde où les Français attendaient tous avec impatience le retour de la prospérité économique. Soit dit en passant, une prospérité économique pour laquelle les gau-chistes ont toujours eu de l'aversion, parce qu'ennemis de la socièté de consommation et du capitalisme, mais partisans de la décroissance, comme nos idiots écolos, Ah!Ah!Ah! C'est ce que nous avaient révélé les évènements de mai 68 où, après avoir été vaincus par le bon sens des Français, ils s'étaient retranchés dans la fonction publique en espérant y prendre leur prochaine revanche! Ce à quoi nous assistions au-jourd'hui, mon cher lecteur, où les gauchistes voulaient bloquer économiquement la France par la grève des transports et le blocage des raffineries identifié à un pourrissement de l'intérieur propre aux fainé-ants que sont les gauchistes, Ah!Ah!Ah! Bref, par les moins courageux d'entre nous, il faut le dire. Perso-nnellement, je ne pense pas que les manifestations feront plier le gouvernement, mais paralyseront plutôt économiquement la France. Et que leur importe notre PIB quand on sait qu'ils n'ont jamais produit un gramme de richesse, mais continueront à être payé par l'Etat en étant invirables, Ah!Ah!Ah! En y voyant comme la faille de notre démocratie où l'administration pourrait prendre un jour le pouvoir politique! Mais j'en doute fort, car la majorité des Français par leur sens paysan ont toujours su garder les pieds sur terre en prenant du plaisir à travailler au contraire des fainéants gauchistes, Ah!Ah!Ah! Et ce qu'il y avait d'odieux dans leur comportement, c'était leur arrogance de croire qu'ils avaient fait de grandes choses po-ur la France, alors qu'ils l'avaient pillés sans le moindre état d'âme, Ah!Ah!Ah! En constatant, chiffres à l' appui, que pendant les trentes glorieuses, ils s'étaient considérablement enrichis au point de devenir la ga-uche caviar au patrimoine immobilier hallucinant! Renseignez-vous sur le patrimoine de Jean-Luc Mele-nchon et de Ségolène Royal, vous serez stupéfait de savoir que ces gens, qui n'avaient jamais travaillé ou enrichi le pays, étaient devenus riches! Ainsi, j'arrivais à comprendre pourquoi en France, le travail n'était plus une valeur au point d'être si mal payé à cause de nos escrocs gauchistes! Mais ce qui était peu surpr-enant de leur part, c'est qu'en constituant leur patrimoine immobilier, en ne réinjectant pas leur argent dans l'économie, ils nous prouvaient qu'ils n'y connaissaient rien en économie. Car pour les économistes chercher à faire des rentes était une façon sûre de paralyser l'économie d'un pays! Comme en 1929, au moment du krack boursier de Wall Sreet, où les rentiers avaient précipité le monde dans la deuxième gu-erre mondiale! Bref, mon cher lecteur, je vous laisse deviner la suite pour notre pauvre pays!

Une fois de plus, la France était paralysée par les gens qui ne travaillaient pas qu'on appelait les fonction-naires, Ah!Ah!Ah! A propos d'aberrations franco-françaises, j'ai entendu dans les médias, un journaliste de gauche dire qu'Emmanuel Macron, avec sa réforme des retraitres contestée, allait aider le parti sociali-ste à se reconstruire! Bref, une totale idiotie à laquelle je ne croyais pas, car d'après les lois de la nature, les vieux dinosaures devaient disparaître dans la prochaine décénnie, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'abe-rrations transdimensionnelles dont la socièté française était championne du monde, hier en allant à mon café habituel, le Paddy's Corner, un clochard m'a demandé l'heure, comme si monsieur avait un carnet de rendez-vous plein à craquer, Ah!Ah!Ah! Bref, comprenant qu'il voulait se moquer de moi, je lui ai donné une mauvaise heure en lui disant qu'il était minuit moins quart, alors que nous étions au beau milieu de l'après-midi, Ah!Ah!Ah! Je sais bien qu'il m'a pas cru, mais croyait-il pouvoir se moquer de moi si facile-ment, le cloporte? Toujours en continuant ma route, avec cette bonne humeur d'être surpris par cette France dopée aux euphorisants qu'on appelle les aides sociales, j'ai vu un chien mâcher du chewing-gum comme son maître! Décidément, en France, nous avions fabriqué tellement d'aberrations multidimension-nelles qu'on ne savait plus qui était qui au point que les clochards se prenaient pour des hommes d'affai-res, les chiens pour des maitres, les femmes pour des hommes( en voulant s'implanter un pénis grâce à une phaloplastie pour niquer leurs maris et se venger), les gauchistes pour des gens intelligents et pour finir les chats pour des tigres, Ah!Ah!Ah! Sans oublier les aveugles, les paralytiques et les fous qui croya-ient au miracle! Mon cher lecteur, je vais arrêter ma longue énumération pour éviter de vous rendre fou et allonger la liste de mes futurs assassins, Ah!Ah!Ah! Mais bon, mon destin social m' importait peu après avoir dit la vérité à mes chers compatriotes! Décidément grâce à mon livre exceptionnel " Des fleurs pour mon enterrement" toutes mes intuitions s'étaient révélées exactes, comme vous l'avez sûrement remar-qué, mon cher lecteur, et devait être considéré comme une bible pour tous ceux qui s'intéressaient à la ch-ose politique et au destin de la France. Et tout particulièrement à la réussite du Brexit et l'extinction des vie-ux dinosaures gauchistes que j'avais préssentis et confirmés aujourd'hui par les actualités où Boris Johnson avait gagné les élections au Royaume-Uni en balayant les gauchistes représenttés par les trav-aillistes! En étant très fier d'être devenu en France, l'ennemi public numéro un, Ah!Ah!Ah! Et tout cela grâce à un mystérieux expéditeur qui m'avait envoyé des fleurs pour mon enterrement en ne sachant pas qu'il allait réveiller le génie en moi. Voyez-bien, mon cher lecteur, que je ne disais pas le monstre qu'il y avait en moi, car je n'étais pas un criminel de gauchiste, comme nous avions en ce moment en France, n'est-ce pas? Toujours à propos de mes prophéties sur le climat, souvenez-vous, j'avais prédit 25 ° au mois de décembre et ce matin en consultant la météo sur Inernet, il faisait 16 °, c'est dire que j'en étais pas loin, n'est-ce pas? En fait, moi et les écologistes, on ne pouvait pas s'entendre, car j'étais pour le réchauffement climatique, Ah!Ah!Ah!

Et puis, on nous bassinait tellement avec cette réforme des retraites que cette nuit, j'ai fait un horrible cauchemar où j'étais vieux, laid, ne bandant plus en train de déambuler en fauteuil roulant dans un long couloir sinistre d'une maison de retraite, Ah!Ah!Ah! Mais le plus terrible pour moi dans mon cauchemar, c'était d'être poursuivi par une medecin-cheffe qui me criait dessus : Monsieur Maaded, revenez-ici imm-édiatement pour prendre vos médicaments, sinon je vous attache sur votre fauteuil! Moi bien évidemm-ent, éffrayé par ma tortionnaire, je prenais la fuite sur mon fauteuil roulant en espérant trouver un endroit où me cacher. Il est vrai qu'elle avait toute les raisons d'être méchante avec moi, car je ne prenais jamais mes médicaments contre mon diabète, mon hypertension et mon alzheirner en ayant toujours eu une av-ersion pour les ordres, Ah!Ah!Ah! En fait, pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, je ne savais pas si j'étais dans une maison de retraite ou dans un hôpital psychatrique où il y avait si peu de différence, Ah!Ah!Ah! Mais le plus angoissant pour moi dans ce mouroir était de ressentir mon immense solitude où personne ne venait me voir, ni amis( car j'en avais plus), ni aucun membre de ma famille avec laquelle j' avais coupé tous les ponts depuis fort longtemps. Avec le grand regert de ne pas être mort avant d'entrer dans ce grand mouroir institutionnel où j'allais être harcelé par la vie qui ne supporterait pas de voir ma déchéance et la sienne, Ah!Ah!Ah! Et tout à fait d'accord avec ces hordes de barbares qui lors d'une razzia enlevaient les femmes et les enfants et massacraient les vieux parce que inutiles pour la société! Appare-mment, mon sens du sacrifice était tout à fait fondé, n'est-ce pas? Bref, en revenant à la réalité, je ne co-mprenais pas cette hystérisation autour de la réforme des retraites par les fonctionnaires en sachant bien que la retraite était l'antichambre de la mort! Et comme je plaignais en ce moment nos vieux fonctionn-aires, épris de repos éternel, Ah!Ah!Ah! Pour dire les choses simplement, ils étaient déjà morts et que le-ur extinction ne causerait aucun problème à la société française, mais la revifierait, Ah!Ah!Ah! Etrange-ment, cela me faisait penser à un empereur Chinois du 3 ème siècle qui avait fait exécuter tous ses fonct-ionnaires parce qu'ils complotaient contre lui, Ah!Ah!Ah! Bref, une situation qui n'avait guère changé au-jourd'hui où nos fonctionnaires, en voulant s'opposer à la réforme des retraites, complotaient contre l' E-tat, n'est-ce pas? Une même execution pourrait-elle être envisagée pour éviter que l'administration pre-nne un jour le pouvoir politique en France? Mais en étant pas extrêmiste, j'opterai plutôt pour la mise au placard des fonctionnaires qui, comme vous le savez, ne faisaient rien de la journée, ce qui ne changerait rien à leurs habitudes, Ah!Ah!Ah! Comme vous êtiez une personne intelligente, mon cher lecteur, vous alliez me dire, mais pourquoi ne pas les envoyer directement à la retraite pour s'en débarasser une bonne fois pour toute? Oui, bien effectivement, ceci n'était pas totalement absurde et justifierait l'arrêt des man-ifestations. Mais comprenez bien que nos fonctionnaires qui n'avaient jamais travaillé risquaient d'attein-dre des âges canoniques et nous emmerder jusqu'à la fin des temps en prenant le pouvoir dans nos mais-ons de retraite, Ah!Ah!Ah! Sans oublier que cela coûterait une fortune aux contribuables, n'est-ce pas? Pour vous dire que je n'inventais rien, j'ai une voisine au dessus de chez moi, ancienne professeure, qui avait 101 ans! Décidément, la fonction publique quel éldorado pour les mort-vivants, A!Ah!Ah!

En fait, l'Etat avait toutes les raisons du monde de réduire leur nombre où nos fonctionnaires comptaient se faire momifier aux frais du contribuable, Ah!Ah!Ah! Afin d'illustrer tous ces faits de socièté dont nous sommes témoins en ce moment et non moins inquiètant pour nous tous, mon cher lecteur, j'ai fait quel-ques dessins. Les voici :

LA BOMBE

LA VIEILLESSE

 

Décidément, le monde actuel était en train d'exploser ou d'imploser sous nos yeux, ce qui avait de quoi nous inquièter, mon cher lecteur! Et que toutes ces étincelles désormais visibles dans notre société fran-çaise, où les fonctionnaires complotaient contre l'Etat pour prendre le pouvoir, étaient dûes aux fortes frictions qui s'exerçaient entre l'ancien monde et le nouveau monde, bref, entre le gauchisme et le capita-lisme. Constatez que je n'ai pas dit entre le socialisme et le capitalisme, car le socialisme partout dans le monde était mort de lui-même pour avoir flirté pendant longtemps avec la bourgeoisie en étant devenu une sorte de boboland ou un monde de bisounours, Ah!Ah!Ah! En fait, les deux forces qui s'opposaient durement en ce moment étaient les forces du passé représentées par le gauchisme et les forces de l'avenir représentées par le capitalisme qui n'oublions pas créait de la richesse, alors que le gauchisme ne créait rien du tout, sinon du désordre en ce moment parce qu'il complotait contre l'Etat! Etrangement, ce gauc-hisme dont je vous parlais était d'origine maxiste et s'était retranché dans la fonction publique, mais aussi paradoxalement dans les médias et dans le monde artistique qui avaient besoin d'une idéologie démago-gique pour séduire le public, Ah!Ah!Ah! C'est que nous avait montré les élections aux USA où une gran-de partie des médias, mais aussi Hollywood avaient montré de l'aversion contre l'élection de Donald Trump à la présidence. Sâchez, mon cher lecteur, qu'en disant cela, je ne défendais ni l'un ni l'autre, mais faisait le simple constat que tout le monde avait perçu, n'est-ce pas? Pour aller droit au but, je dirais que nous assistions en France par le mouvement des fonctionnaires à un phénomène spaciotemporel qui s' appelait le retour du passé dans le présent. Où l'on était pas loin du film de Spilberg " Retour vers le fut-ur", mais cette fois-ci avec des hommes préhistoriques qui voulaient réinventer la roue et le fil à couper le beurre, Ah!Ah!Ah! Comme si les forces du passé ne voulaient pas abdiquer leur défaite historique en nous empêchant d' atteindre cette évolution spirituelle que nous attendions tous en se trouvant au-delà du matérialisme, bref, après le capitalisme. Bien évidemment, le retour au passé par le gauchisme, qui ni-ait l'existence de Dieu, alors que le capitalisme ne le niait pas, serait pour nous une fatale erreur qui nous plongerait à nouveau dans l'obscurantisme idéologique. En fait, ce phénomène du retour du passé dans le présent était un phénomène très connu par nos historiens que j'avais moi-même exploré dans mon roman "Le fils du désert" où Simone, quittant la gare de Varsovie pour fuir le nazisme, voyait à travers la vitre du compartiment une immense vague menaçant d'ensevelir le train et tous ses occupants pour les empêc-her d'atteindre l'avenir, bref, la liberté! Espérons que tous les Français seront assez intelligents pour com-prendre ce phénomène de résurgence du passé dans le présent où les gauchistes retranchés dans la fonct-ion publique et dans les médias essayaient de faire dérailler le train dans lequel nous étions embarqués, vous et moi, pour atteindre notre futur éveil spirituel! Et que la grève des cheminots et des conducteurs de trames en ce moment illustrait à merveille, n'est-ce pas? On disait souvent de moi que j'étais un garç-on extralucide. Oui, c'était vrai en grande partie, mais totalement faux quand il s'agissait de plaisanter sur ce monde en pleine déconfiture, Ah!Ah!Ah! Et bizarrement, je n'ai jamais eu la moindre idée de me suic-ider en le regardant s'écrouler sous mes yeux en étant pas matérialiste où vivre sur la Terre en tant qu'âme eut été pour moi, comme une félicité! Décidément, j'étais plutôt un garçon pragmatique, dans le sens mé-taphysique, bien évidemment!

Quant à mon deuxième dessin illustrant "la vieillesse", il était construit en respectant une loi mathémati-que évidente où l'existence de tout être vivant ou système était bâti autour de 2 axes dont le premier était vertical et dirigé de bas en haut représentant le temps( le passé, le présent, l'avenir) et le second axe horiz-ontal représentant le nombre d'évènements vécu par un individu et tout particulièrement dans mon dessin par un vieux prêt à tomber dans la fosse du passé, comme ses parents et arrières grand-parents, Ah!Ah!Ah! Etrangement, quand j'étais à l'école, on m'avait appris à tracer l'axe du temps horizontalement en marquant le passé à gauche, le présent au milieu et l'avenir à droite, ce qui m'avait toujours intrigué par ce non sens. Avec le sentiment qu'on politisait les mathématiques où le passé se trouvait à gauche, ce qui n'était pas entièrement faux( rires), mais l'avenir à droite qui ne me convenait pas pour autant. Mais grâce à mon dessin, mon cher lecteur, je pense avoir rétabli la vérité en redressant l'axe du temps verti-calement où l'avenir se trouvait en haut et le passé en bas et que le nombre d'évènements vécu par notre individu ne se trouvait ni à gauche, ni à droite, mais échelonné de bas en haut, ce qui était parfaitement exact! J'es-père que mon dessin permettra à mes lecteurs de comprendre comment l'Histoire fonctionnait où le nom-bre d'évènements vécu par une socièté variait en fonction des époques qu'on pouvait représenter par une droite dont la longueur était fixe sur l'axe horizontal. En fait, pour comprendre les choses liées au temps, afin d'être un bon historien, il fallait analyser les évènements comme un archéologue qui creusait le sol et constatait que les évènements du passé s'étaient déposés comme des sédiments s'échelonnant de bas en haut, bien évidemment! A ce  propos, quand je pensais à Internet( qu'on appelait souvent à tort la toile In-ternet en faisant réference à une immense toile d'araignée où l'on pouvait accrocher dessus tout ce qu'on voulait), il ressemblait plutôt pour moi en ce moment à une paroi rupestre où j'avais gravé mon histoire sur mon site Internet! Car d'après les experts en informatique, les données numériques étaient éternelles et qu'on pourrait les retrouver en parfait état même dans 3000 ans dans de vieux serveurs abandonnés au find fond de la Californie grâce à son climat chaud et sec! Ca ressemblait étonnamment aux momies Eg-yptiennes parfaitement conservées grâce au climat du désert, n'est-ce pas? Décidément, j'étais promu à un grand avenir dans 3000 ans vu la totale indifférence de mes contemporains pour mes oeuvres gravées sur la paroi Internet, Ah!Ah!Ah! En tant que prophète, j'avais le sentiment de lancer un appel outre-tombe à mon futur archéologue! Toujours en auscultant mes oracles, j'ai appris que le réchauffement de la pla-nète était dû à l'avancée du désert vers l'occident! Décidément, nos écolos de service étaient une fois de plus "à la ramasse". Pour la deuxième fois, j'ai passé tout seul mon réveillon à la maison où à minuit passé personne ne m'a souhaité la bonne année, sinon les animateurs télé qui avaient enregistré leurs émi-ssions la veille, Ah!Ah!Ah! Décidément, une aberration qui ne m'enthousiasmait pas du tout, mais qui me donnait plutôt le cafard. Mais entre nous, mon cher lecteur, à quoi bon souhaiter la bonne année à un type comme moi qui avait raté sa vie, hum? Sans parler des millions de Français qui étaient dans la même sit-uation que moi, Ah!Ah!Ah!

En fait, toute cette comédie me semblait totalement ridicule parce que le jour de l'an était pour moi un jour comme un autre que je nommerais sans problème, le jour de gland, Ah!Ah!Ah! C'est à dire le jour où tous les Français se faisaient chier à glander au lit pour ne pas voir la dure réalité venir dans les jours prochains! Ce matin, en allant faire un tour dans mon quartier, c'est fou le nombre de vomis que j'ai pu apercevoir sur les trottoirs! Décidément, tous les repas du réveillon des Croix-Roussiens illuminaient ma petite promenade quotidienne, Ah!Ah!Ah! Pour être franc avec vous, je dirais que les fêtes, où l'on s'em-piffrait comme des porcs, c'était très mauvais pour la santé et son cholesterol. En étant totalement conva-incu que mon maigre repas du réveillon avait fait baisser mon diabète, c'est dire une très bonne nouvelle pour la nouvelle année 2020, Ah!Ah!Ah! A propos du jour de gland, cette nuit, j'ai entendu la Marseill-aise sonner dans ma tête d'une manière délirante comme : Aux ânes citoyens, le jour de gland est arrivé, glandons, glandons pour le roupillion, glandons pour la nation, pan, pan, pan! Ah!Ah!Ah! Drôle, n'est-ce pas, mon cher concitoyen? En fait, démolir la Marseillaise ne me derangeait pas du tout, car je n'étais pas républicain, mais royaliste comme vous le saviez, mes chers lecteurs. Mais avec un côté chamaniste issu de mes origines orientales qui me permettait d'élargir considérablement mes facultés créatives. En cons-idérant le royalisme et le chamanisme très proches en pratiquant tous les deux, le culte des ancêtres, l'am-our pour la nature et la croyance en Dieu. Alors que le républicanisme avait rejeté tous ces ferments de la vie pour se consacrer au mensonge intellectuel, Ah!Ah!Ah! Et si aujourd'hui, je haïssais l'Education Na-tionale et la république, ce n'était pas seulement parce que le rectorat m'avait coupé la bourse en anéant-issant mon avenir, mais aussi pour évoquer les origines de ma mère qui se trouvaient dans les pays de la Loire, bref, l'ancien fief de l'aristocratie française! Tout devenait clair, n'est-ce pas, mon cher lecteur qui doutait sur mon état mental depuis l'écriture de mon livre hors norme "Des fleurs pour mon enterrem-ent"? Et fort possible que ces fleurs pour mon enterrement, je les mérite entièrement, Ah!Ah!Ah! Mais dont j'excluais totalement la reception avant l'heure prévue par Dieu et le cosmos, bien entendu. Car je n'avais rien contre la mort dite naturelle, mais je la trouvais totalement injuste qu'elle me soit donnée par un vulgaire assassin qu'on appelle un Homme, Ah!Ah!Ah! Ce matin, en buvant mon café, j'ai entendu qu-elqu'un frapper à ma porte. Bien évidemment, je n'ai pas osé bouger le petit doigt de peur de me trouver en face de mon assassin en ce début d'année 2020, Ah!Ah!Ah! Même si mon gros calibre était posé sur la table, je me refusais de l'utiliser pour faire de bon matin des feux d'artifices avec de la confiture de fraise, Ah!Ah!Ah! Sous entendu que la confiture de fraise serait le sang de ma victime dégoulinant sur le seuil de ma porte, Ah!Ah!Ah! En fait, j'ai pu me débarrasser de mon mystérieux visiteur en montant à fond le son de ma radio réglée sur France Culture, la radio la plus chiante de France, Ah!Ah!Ah! Faut dire aussi, après quinze jours de grève à Radio France, France Culture avait diffusé une série d'émissions sur l'éloge de la paresse, Ah!Ah!Ah!

C'est dire que les gauchistes à France Culture nous prenaient vraiment pour des cons, Ah!Ah!Ah! Bref, comme tous ces fonctionnaires qui bloquaient les trains pour gâcher les vacances des Français et tout particulièrement les miennes en m'empêchant d'aller à Courchevel faire du ski! Qu'ils aillent au diable, ces gens inutiles pour la socièté! En priant mère nature qu'elle leur envoye une épidémie de grippe cet hiver pour les exterminer, Ah!Ah!Ah! Ce qui, je pense, stopperait immédiatement leur grève ridicule, di-minuerait nos impôts, mais surtout le nombre d'imbéciles en France, Ah!Ah!Ah! En fait, la grève des gr-èvistes serait je pense la meilleur solution pour éviter que la France tombe dans le chaos, n'est-ce pas? Mais les fonctionnaires seront-ils assez intelligents pour le comprendre? Je ne vous le repeterai pas une nouvelle fois, mon cher lecteur, mais la fonction publique, c'était le tombeau de la France qui aspirait tout le sang des Français, comme un grand vampire, Ah!Ah!Ah! Et notre combat, c'était bien évidemment de combattre la bête immonde qui s'était installée dans notre salon et qui ne se privait pas de nous saigner pendant les repas! A force, les Français seront tellement affaiblis qu'ils n'auront plus la force d'entrepren-dre la moindre activité, alors que la bête sera devenue puissante et audacieuse au point de nous imposer la servitude, comme dans la planète des singes! Personnellement, en tant que croyant, je n'ai jamais pensé un seul instant que je pourrais descendre des singes! Mais bon, si les scientifiques pensaient le contraire, c'est qu'ils devaient en faire partie, Ah!Ah!Ah! En fait, nous n'étions pas loin de vivre sur la planète des singes si mes intuitions étaient bonnes, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et contrairement à ce que beauco-up de Français croyaient "la planète des singes" n'était pas tirée de la littérature américaine, genre antic-ipation, mais d'un auteur bien de chez nous qui s'appelait Pierre Boulle. Un roman d'anticipation écrit en 1963 où visiblement, il avait prévu la prise du pouvoir en France par les singes, Ah!Ah!Ah! Ce qui me semblait aujourd'hui d'une incroyable coïncidence avec nos vieux singes gauchistes, n'est-ce pas? Dern-ièrement, j'ai vu à la télé, une nouvelle version de la planète des singes( revisitée par Hollywood avec des moyens techniques considérables), mais qui ne m'a pas du tout plu car la production et le cinéastre avai-ent pris la défense des singes! En arrivant pas à comprendre comment le cinéma américain était tombé si bas, Ah!Ah!Ah! Et tout tremblant d'effroi, je me demandais si Hollywood n'était pas tombé lui aussi entre les bras poilus des singes ou pour parler crûment entre les bras poilus des communistes? Ah!Ah!Ah! Imaginez, mon cher lecteur, une super production américaine relatant la prise du pouvoir à Hollywood par les communistes et les écologistes! Mais une chose pas si éloignée de la réalité quand nous avions tous remarqué qu'Hollywood s'était montré très virulent contre l'élection de Donald Trump, le représen-tant du capitalisme, n'est-ce pas? En fait, après avoir supporté les barbus islamiques, nous étions désorm-ais confrontés aux poilus gauchistes, Ah!Ah!Ah! Décidément, le pouvoir, une histoire de poils, n'est-ce pas? Bien évidemment, dans le rôle principal, je mettrais Robert De Niro, le très méchant communiste avec une grosse moustache et des poils de partout pour faire peur aux gentils américains, Ah!Ah!Ah!

En précisant à notre cher lecteur que Robert De Niro avait insulté Donald Trump à travers les médias d' une manière très virulente! Mais une chose que je n'arrivais vraiment pas à comprendre sachant qu'il vou-lait faire la morale à Donald Trump, alors que dans la plupart de ses films, il avait joué des rôles de maf-ieux et d'assassins, Ah!Ah!Ah! Décidément, un histoire de fou, l'Amérique, n'est-ce pas? Où Robert De Niro avait perdu complètement la boule ou ignorait tout simplement qu'il était devenu un communiste milliardaire que seule l'Amérique savait fabriquer pour faire son grand cinéma, Ah!Ah!Ah! Pour revenir à la version gauchisée de la planète des singes par Hollywood( qui montrait des signes de dégénerescence mentale), j'ai été très étonné de voir dans le film un fait troublant où une bande de singes avait pris le contrôle d'un barrage hydroélectrique! Que les Hommes pour s'éclairer et se chauffer avaient besoin de remettre en marche, mais avec le consentement des singes! Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai aussitôt pen-sé à EDF où la CGT avait les mêmes intentions en voulant couper le courant aux Français pour plonger la France dans le chaos pour assièger de nuit l'Assemblée Nationale et le palais de l'Elysée, Ah!AhAh! Décidément, la version gauchisée de la planète des singes par Hollywood coïncidait parfaitement avec la situation en France où les fonctionnaires complotaient contre l'Etat pour prendre le pouvoir. En fait, il ne fallait pas remercier le cinéma américain de nous avoir révélé toutes ces choses croustillantes sur notre pays, mais tout simplement Pierre Boulle, un gars bien de chez nous, comme dirait la mère Denis, Ah!Ah!Ah! Décidément, générosité bien ordonnée commence toujours pas soi-même, n'est-ce pas? Ce matin en allumant ma radio sur France Culture( en espérant qu'il y aurait quelque chose de nouveau), j'ai été une nouvelle fois éffondré par l'émission "les chemins de la philosophie" dont le sujet était la grève! Fra-nchement, après quinze jours sur l'éloge de la paresse, nous étions toujours couchés sur le même divan à nous demander quand le réveil sonnera pour nous sortir du lit? Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, ce thème tombait à point nommé avec la grève dans la fonction publique qui contestait la réforme des ret-raites. Mais une raison que je trouvais illégitime pour nous endormir de bon matin, alors que j'avais passé une excellente nuit, Ah!Ah!Ah! Espérons seulement que France Culture se réveille de ses fantasmes gauchistes pour dire enfin la vérité aux Français! En fait, il faut bien comprendre qu'il existe trois types de grève appartenant aux classes sociales que nous connaissons tous, c'est à dire aux ouvriers, aux serv-iteurs de l' Etat et aux créateurs. Mais je ne parlerais pas de la grève de la faim qui est un acte individuel et sans con-séquence sur la socièté. Car même si un homme ou une femme faisait la grève de la faim pour dénoncer, par exemple, la violation des droits de l'Homme en Chine, je vous assure, mon cher lect-eur, que cela ne changerait rien à la face du monde, mais seulement le destin de notre grèviste de la faim qui serait traité en heros par l'Occident, Ah!Ah!Ah! Mais il est vrai, un phénomène qui pourrait vite dev-enir collectif si on laissait un jour les écolos et les véganes prendre le pouvoir, Ah!Ah!Ah!

Bref, régime sec pour tout le monde pour sauver la planète, alors que celle-ci aurait bien aimé se débar-rasser de cet Homme destructeur, Ah!Ah!Ah! Paradoxalement, en tant que royaliste, je trouvais la grève des ouvriers tout à fait légitime quand le capitalisme abusait de sa position pour obtenir des gains de production au-delà du raisonnable au risque d'achever l'ouvrier à la tâche! Car en observant la nature, on voyait bien que les animaux ne pouvaient pas produire plus de viande et de lait que la nature leur permet-tait ni les terres qui surexploitées finiraient par s'appauvrir en ne produisant plus aucune récolte, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, le royalisme ne défendait ni les ouvriers ni les capitalistes, mais le bon sens terrien qu'aucun système politique ou idéologique ne pourrait remplacer. En ne s'opposant pas au capita-lisme, qui croyait à l'existence de dieu, au contraire du communisme qui l'avait rejeté de son dogme au cours du 20 ème siècle. En fait, ce qu'il y avait d'insupportable, dans le communisme ou le gauchisme, c'était cette idée de fondre tous les Hommes ensemble en un seul bloc où tous leurs qualités se perdraient pour la pire des choses, c'est à dire pour l'abominable uniformité! Alors que la nature nous montrait jus-tement l'inverse avec sa diversité d'êtres et de plantes et ses changements constants afin de s'adapter aux saisons, sinon une mort assurée, n'est-ce pas? Bien sûr, on pouvait toujours décrêter derrière le bureau d' un parti politique que la nature n'existait pas et pourquoi pas le plancher des vaches quand on avait les pieds posés sur un plancher en bois, Ah!Ah!Ah! Oui, sans aucun doute. Mais entre nous, mes amis, pensi-ez-vous qu'il était intelligent de nier l'évidence où nous faisions partie intégrante de la nature où ses lois étaient inscrites dans notre chair et dans nos gènes? Paradoxalement, pour le royalisme, le travail n'était pas une valeur! En l'assimillant à de la servitude, ce qui était parfaitement exact, sauf quand il sagissait du travail des arts et aux activités de l'esprit qui permettaient aux Hommes d'élever leurs âmes! C'est bien pour cette raison qu'il detestait l'art contemporain qui, il faut le dire, n'élevait pas votre âme, mais l'expé-diait directement dans les chiottes, Ah!Ah!Ah! Hum, comme ça fait du bien d'entendre la vérité sur son époque, mon cher lecteur! A ce propos, j'ai toujours détesté les tableaux de Picasso qui ressemblaient plutôt à du tissu d'ameublement qu'a des chefs-d'oeuvre, Ah!Ah!Ah! Mais bon, la spéculation marchande était passée par là pour donner de la valeur aux choses qui n'en avaient pas réellement. Ah pauvre France! Mais sans pour autant mépriser le travail de la terre et de l'élevage qui restait pour le royalisme une noble activité où l'élevation de l'âme existait bien au moment des sem-ailles ou lorsque le berger menait son troupeau paître dans les champs, n'est-ce pas? Ainsi par principe, il s'opposait au travail sans âme des ma-sses qu'on rencontrait dans les usines ou dans les bureaux où les Hommes se jalousaient et se tiraient da-ns les pattes pour avoir de petites augmentations ou des pouvoirs ridicules, Ah!Ah!Ah! En fait, nos amis royalistes croyaient au courage individuel et à la loyauté, ce qu'on trouvait rarement dans ces lieux de perdition ni dans cette république qui avait massifié l'individu par cette idiote idée d'égalité! Quant à no-tre prochain sujet sur la grève des serviteurs de l'Etat, pour laquelle j'étais opposé, celle-ci tombait à poi-nt nommé avec la grève des fonctionnaires qui contestait en ce moment la réforme de retraites qui était pourtant nécessaire pour notre pays, n'est-ce pas, mon cher lecteur?

Imaginez, mes chers amis, vos serviteurs qui du jour au lendemain refusaient de faire le ménage, de laver la vaisselle, d'enlever les toiles d'araignées au plafond, de vider les poubelles, de préparer vos repas, de conduire votre équipage, de servir votre thé-break à 16 heures, etc parce qu'une étrange lubie leur était passée par la tête! Ce qui transformerait vite votre demeure en carpharnaum, n'est-ce pas, comme notre pays en ce moment où les serviteurs de l'Etat se prenaient pour les maîtres de la Maison France, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, tout ceci était complètement ridicule de leur part. Car si la grève des ouvriers était tout à fait légitime( parce que ces derniers travaillaient et produisaient de la richesse), je me refusais de croire que les serviteurs de l'Etat travaillaient, parce que servir n'était pas travailler! Et croyez bien que je ne disais pas cela par méchanceté envers les fonctionnaires, mais seulement pour rétablir une vérité ou servir était le choix délibéré d'un homme ou d'une femme de se soumettre à un maître pour en tirer des avantages( que l'ouvrier n'avait pas), comme de ne pas se tuer au travail, d'avoir chaud en hiver, d'être no-urri, logé, blanchi gratis, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Par ce fait évident, on voyait bien que le servi-teur était la personne la moins courageuse du monde et heureusement qu'elle était en minorité dans notre un pays qui pourrait vite devenir un pays de poltrons, Ah!Ah!Ah! A ce propos, un jour, un copain qui travaillait aux cuisines de la DASS m'a dit sans honte qu'il se servait grassement dans les frigos avec la complicité de ses chefs! Je vous assure, mon cher lecteur, que je n'invention rien, mais était une pratique courante chez la plupart des fonctionnaires dont le maitre était l'Etat qui malheureusement n'avait pas les yeux partout! Bref, multiplier ses petits gestes en millions d'exemplaires et vous comprendrez pourquoi la France avait un déficit record, Ah!Ah!Ah! Avec cette idée en tête que la contre-partie de leur soumissi-on à un maître (Etat ou particulier) soit le permis de voler en toute impunité, bien évidemment. En fait, on voyait ici par le tratement particulier des serviteurs qu'ils n'étaient pas soumis à la loi comme tout le monde, mais qu'il faudrait un jour y remédier, n'est-ce pas? La réforme des régimes spéciaux des retraites n'en montrait-elle des signes encourageants? Mais je vous le répète à nouveau, mon cher lecteur, je ne montrais ici aucun mépris pour les domestiques ou les serviteurs qui avaient choisi délibérément de ne pas être libres! Ce qui était tout à fait légitime vu les avantages qu'ils en tiraient afin de vivre une secon-de vie lors de leur retraitre où, parait-il, ils ateindraient des âges canoniques d'après les chiffres officiels, Ah!Ah!Ah! Quand aux Hommes libres, qui refusaient la soumission et la domesticité, par amour de la liberté, ils avaient toute la légitimité de dire la vérité à leurs concitoyens et c'est ce que je faisais en ce moment, Ah!Ah!Ah! Hier, en suivant l'actualité, j'ai été très heureux d'apprendre que la grève des fonctio-nnaires montrait des signes d'éssoufflements, non pour les raisons qu'on pourrait croire, mais parce la grève ne leur permettait plus de grappiller sur le dos de l'Etat, Ah!Ah!Ah! Je ne sais plus qui m'a dit un jour que j'étais le buldozer de la pensée! Décidément, j'étais un homme qui aimait bien défoncer les por-tes qu'on refusait de lui ouvrir, Ah!Ah!Ah! Bref, tout le contraire de Jean-Paul Sartre qui avait le vice de regarder à travers les trous de serrures! Mais c'est ce qui différentiait, semble-t-il, le vrai du faux philo-sophe, n'est-ce pas?

Quant à notre troisième sujet sur la grève des créateurs, mon cher lecteur, nous étions confrontés à la pl-us épique des questions métaphysiques que l'Homme et l'univers puissent se poser. En s'imaginant Dieu faire la grève parce qu'il en avait marre de prêcher dans le vide en voyant ses créatures se détourner de lui, Ah!Ah!Ah! Tout ceci vous semblait aberrant, n'est-ce pas? Pour moi aussi, je vous l'assure. Toujours pour aller dans le sens du grotesque, pourquoi ne pas imaginer le soleil faire la grève parce qu'il en avait marre de briller pour des créatures qui lui manquaient totalement de reconnaissance? Sans oublier, la Te-rre qui du jour au lendemain refusait de tourner parce qu'elle en avait marre de tourner en rond indéfini-ment comme assaillie par une grosse déprime? Ce qui pourrait être tout à fait imaginé par un Homme qui aurait perdu la tête, n'est-ce pas? Mais pour garder les pieds sur terre, on voyait bien que Dieu, le sol-eil et la Terre ne faisaient jamais la grève parce qu'ils n'avaient tout bonnement aucune revendication syn-dicale, commes chez les Hommes, ni attente de reconnaissance auprès des autres parce qu'ils éprouvaient leur propre gloire ou récompense dans leurs créations! Je sais bien que cela pourrait paraître d'un égoïs-me monstureux, mais c'était pourtant la vérité. Car au bout du compte, nous étions leurs créations ou si vous voulez leurs enfants où nos trois acteurs étaient les entités indispensables pour creer la vie où Dieu était la volonté, le soleil l'energie et la Terre le lieu pour installer la vie. Bref, tout ce qu'il y avait de plus simple, n'est-ce pas? Bien évidemment pour moi, Dieu avait crée l'Homme tel qu'il est aujourd'hui et n' avait pas transformé un poisson en Homme, comme il est dit dans les livres scientifiques. Sans oublier cette idiote aberration ou soi-disant, j'aurais comme descendants les singes, Ah!Ah!Ah! Oui, je peux bien comprendre que cela pourrait outrer nos intellos de service qui ne croyaient pas en Dieu, mais aux mas-ses laborieuses sans âme. Pourtant, c'était la vérité et que ça leur plaise ou non! Et puis imaginer, mon cher lecteur, la folie des Hommes où les uns voudraient voir tomber la pluie quand ils étaient malheur-eux ou voir briller le soleil quand ils étaient heureux ou voir des éclairs au dessus de leurs têtes quand ils étaient en colère! Tout ceci était de la pure folie qui jeterait aussitôt notre monde dans le chaos, n'est-ce pas? Ainsi par bon sens, on constatait que les créateurs ne faisaient jamais la grève parce qu'ils n'étaient pas commandé par les Hommes, mais par une force cosmique, comme un pommier qui donnait des pom-mes pour satisfaire son plaisir de produire des pommes, comme le bon plaisir de Dieu de créer nos exist-ences. Je ne pouvais pas être plus simple avec vous, mon cher lecteur. En imaginant un joli conte à la Charles Perrault où un jour, un pommier faisait la grève des pommes parce que les Hommes faisaient de ses fruits merveilleux de la vulgaire compote ou marmelade, Ah!Ah!Ah! Décidément, encore une idée farfelue produite par les Hommes qui pensaient que tout devait leur ressembler, comme le travail ennu-yeux et sans âme à l'usine où à l'Education Nationale! En sachant bien que la plupart d'entre eux n'était pas des créateurs, mais des grèvistes en puissance, Ah!Ah!Ah! Où la grève des cueilleurs de pommes fut possible, mais pas la grève des pommiers ou des abricotiers, Ah!Ah!Ah! Ah comme ça faisat du bien d'en-tendre enfin des choses qui avaient du sens que malheureusement nos intellos de service avaient déformé pour nous plonger dans le chaos, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Il faut dire, en tant que créateur, j'étais tout à fait légitime pour en parler. En déplorant, quelques fois, mon insuccès auprès du public où les édi-teurs refusaient de publier mes oeuvres et le public me montrer aucun signe d'affection, mais plutôt les dents, Ah!Ah!Ah! Mais j'en étais pas pour autant malheureux, voyez-vous, car mon plaisir était dans la création et non dans la fumée des médias!

A propos de la grève, si mes souvenirs sont bons, il me semble que la philosophe américaine, Ayn Rand en avait parlé d'une manière très polémique dans son roman "la grève" publié en 1957 où elle défendait l'égoïsme éclairé. En devenant la femme la plus détestée des Etats-Unis, Ah!Ah!Ah! Bref, c'était un peu moi en France, non? En ce début d'année 2020, j'étais plutôt de bonne humeur, comme vous l'aviez sûre-ment remarqué, mon cher lecteur. Et tout cela grâce au réchauffement climatique qui m'évitait d'entrer en hibernation et de congeler mes idées où le froid accentuait notre solitude, n'est-ce pas? O que Dieu béni-sse le réchauffement climatique pour tous ses bienfaits sur nos âmes et nos corps! Telle est ma prière en ce début du mois de janvier où j'ai l'impression que cette année nous n'aurons pas d'hiver! Alléluia et me-rde aux écolos qui voulaient rétablir le froid pour qu'on se gèle les couilles, Ah!Ah!Ah! En comprenant bien que le réchaufement climatique était dû au fait que nous nous rapprochions insensiblement du soleil et qu'il serait une aubaine pour nos économies que l'hiver plongeait cycliquement en hibernation, comme la nature en ralentissant nos activités. En tant que prophète du bonheur, je prévoyais une augmentation du PIB en France et une réduction du chômage. Bref, le retour de l'optimisme parmi les Français qui n'en seront que plus heureux après avoir enduré les discours apocalyptiques des écolos que j'appellerais les prophètes du malheur, Ah!Ah!Ah! En trouvant 2020 sonner bien, comme 20/20 ou bien vin-vin ou peut-être vain-vain pour les plus pessimistes d'entre nous? Tout ceci n'était que des spéculations, bien évidem-ment. Je ne sais pas si mon lecteur était un adepte de la numérologie, mais je trouvais le nombre 2020 particulièrement bien équilibré avec ses deux sommes égales de part et d'autre où j'y voyais comme un rééquilibrage de notre civilisation. Mais lequel, je ne savais pas exactement où le pire pouvait surgir, bi-en entendu. Sans nier que le nombre 2020 avait quelque chose de futuriste et bien plus fort que 2001 qui s'était montré décevant après avoir vu le film "l'odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick, Ah!Ah!Ah! Où mon rêve fut de construire une fusée et d'yinstaller à bord tous les gauchistes et de l'envoyer en direction du soleil pour les faire cramer, comme des merguez, Ah!Ah!Ah! Ce qui serait, je pense, un bon début po-ur construire une nouvelle civilisation où la création remplacerait la stérile contestation des gauchistes, n'est-ce pas? Car tout compte fait qu'est-ce que le désir des masses, sinon qu'une conception intellectu-elle ou une nébuleuse qui nous disait rien de précis, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Bien sûr, vous allez me dire qu'elles désiraient manger, boire, dormir, se reproduire etc. Oui, tout à fait exact, mais toujours rien de précis pour moi, sinon qu'une grande généralité pour les idiots, Ah!Ah!Ah! Alors qu'en écoutant un individu, comme vous le faites en ce moment avec moi, vous aviez accès directement à ses besoins ré-els et à ses fantasmes qui nous montraient le vrai visage de l'humanité et non le monstre anonyme que représentait la masse adûlée par nos idiots gauchistes. Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, le capitalisme ne répondait pas aux désirs des masses( en produisant des objets en masse), mais aux désirs des individus dont les besoins étaient aussi variés que les plantes dans la nature. Ce qui nous montrait bien que le capitalisme n'était pas raciste, antisémite, islamophobe, anticlérical afin de satisfaire tous ses clients n'est-ce pas?

Et si le capitalisme et le communisme s'affrontaient durement, c'est parce que l'un comptait répondre aux besoins réels des individus et l'autre aux désirs irréels des masses en nous plongeant dans une grande ma-re de boue, Ah!Ah!Ah! En fait, les gauchistes ne comprenaient pas que c'était l'individu qui formait la co-llectivité et non l'inverse. Décidément, nous avions affaire encore en France à des gens qui marchaient sur la tête où dernièrement, j'ai vu dans les médias des gauchistes pourchasser Emmanuel Macron à la sortie du théâtre" Les bouffes du Nord" avec la ferme intention de le manger tout cru devant les caméras de télévision, Ah!Ah!Ah! Un désir cannibale des gauchistes qui se manifestait avant de sombrer dans la mort idéologique? je me demandais en découpant ma côte de porc devant mon poste de télé, Ah!Ah!Ah! En fait, mon rêve pour être simple serait que tous les gauchistes s'entredévorent pour s'en débarrasser une bonne fois pour toute, Ah!Ah!Ah! Autrefois, on disait que les révolutions dévoraient ses propres enf-ants. Mais aujourd'hui, je pouvais dire avec certitude qu'un éffondrement idéologique produisait le mê-me effet, Ah!Ah!Ah! Afin d'être complet, j'ai appris récemment que les cégétistes avaient posé une bombe dans les locaux de la CFDT! Bref, une lutte à mort entre les derniers survivants de l'ancien monde, Ah!Ah!Ah! Pendant ce temps là, Monsieur Mélenchon grattait ses vieux poils d'ours sur un vieux tronc d' arbre isolé en pleine forêt, Ah!Ah!Ah! Il parait même qu'on pouvait le suivre à la trace grâce à ses touffes de poils tombées par-ci par-là depuis l'année 2017! C'est ce que m'ont dit des chasseurs qui passaient dans le coin avec la ferme intention d'abattre la bête immonde, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos de la chasse à l'Homme, j'ai appris hier dans les médias qu'une jeune fille avait insulté l'Islam à travers les réseaux sociaux parce qu'elle avait été draguée par de jeunes maghrébins. Personnellement, je ne pensais pas qu' une jeune fille puisse devenir raciste pour ces raisons sommes toutes banales à moins qu'elle ait toujours été, n'est-ce pas? Mais aux conséquences desastreuses en ne pouvant plus sortir de chez elle au risque d' être pourchassée dans son quartier par la communauté musulmane qui comptait bien la lapider dans la rue, Ah!Ah!Ah! Ce qui serait une formidable aubaine pour les médias de faire exploser leur taux d'audie-nce, mais aussi pour l'extrême droite à des fins électorales, n'est-ce pas? Tout en me mettant mal à l'aise à propos des socialistes, qui avaient soutenu pendant longtemps les juifs, mais qui du jour au lendemain soutenaient les musulmans! Décidément, un très mauvais calcul politique où ils se voyaient sombrer de jour en jour dans le néant, car les musulmans s'en foutaient complètement des socialistes qui les avaient trahi quand ils soutenaient les juifs, Ah!Ah!Ah! En fait, j'avais le sentiment qu'ils récoltaient les fruits de leur fumisterie poltitique tel un effet boomerang après avoir menti à tous les Français de toutes les conf-fessions. En saisissant que la mémoire collective n'était pas un vain mot, mais qu'elle ressurgissait aux moments singuliers de notre Histoire afin de nous révéler la vérité sur nous-mêmes où par moment nous avions été d'un courage exemplaire, mais souvent, il faut le dire, d'une grande lâcheté! Bien évidemment, par honnêteté intellectuelle, je ne me soustrairai pas à cette remarque particulièrement douloureuse pour nous tous. Visiblement cette jeune fille, dont nous avons parlé, était d'une grande lâcheté, comme le mo-uvement "metoo" qui utilisait les réseaux sociaux pour démolir les hommes et pourquoi pas leur couper les couilles pendant qu'elles y sont? Ah!Ah!Ah! 

J'avais le sentiment d'assister en direct aux métamorphoses d'Ovide où les femmes devenaient des homm-es et inversement, Ah!Ah!Ah! En vous rappelant la triste histoire du chasseur Actéon qui surprit Diane dans son bain avec ses petites copines( car elle était lesbienne) et le punit en le transformant en cerf que ses chiens dévorèrent sans le reconnaître! Décidément, une histoire sanglante qui semblait se poursuivre de nos jours, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et comme il est dit dans le Coran, lorsque les femmes devie-ndront des hommes et inversement, ce sera la fin du monde, Ah!Ah!Ah! En vous souhaitant une bonne ch-ance, mes chers collègues masculins! Bref, après avoir été castré psychologiquement par nos mères, nous étions désormais castrés physiquement par les femmes mutantes, Ah!Ah!Ah! En prédisant pour la prochai-ne décénnie une émasculation planétaire des hommes! Ce qui me permettait d'imaginer, en tant que roma-ncier, un thriller où une sérial-killeuse émasculait tous les hommes qu' elle rencontrait pour se venger des humiliations subies par les femmes depuis des millènaires en tant qu'esclaves sexuels, Ah!Ah!Ah! Et com-me psychopathe, je l'imaginais bien collectionner le sexe des hommes comme des trophées suspendus au dessus de son lit en éprouvant une suprême jouissance en termes de pouvoir, bien évidemment! C'est dire un beau thriller en perspective où les toutes femmes pourront se reconnaître et prendre du plaisir sans se culpabiliser, n'est-ce pas, mes chères lectrices? Ah!Ah!Ah! A l'avenir, pour protéger mes parties intimes, je compte m'acheter une coque de protection en cas où je rencontrerais notre serial-killeuse des temps mo-dernes! Sait-on jamais dans ce monde plein de bouleversements où le réchauffement climatique ne récha-uffait pas seulement notre planète, mais aussi l'humeur démoniaque des femmes, Ah!Ah!Ah! Espérons seulement que ça ne chauffe pas trop pour tout envoyer en fumée, homme et femme compris! J'avais la sinistre impression, quand la république aura atteint son idéal où la femme sera l'égale de l'homme que nous auront atteint la fin du monde, Ah!Ah!Ah! En pensant qu'on y était presque arrivé avec la nouvelle génération d'abrutis qu'on appelle les politiciens, les écologistes, les pseudo-intellectuels, les gauchistes en pleine dégénérescence mentale, Ah!Ah!Ah! Où la scission entre le féminin et le masculin était révéla-trice de notre époque qui subissait de grands déréglements climatiques et hormonaux, apparemment. Mais une chose dont j'ai déjà parlé dans mes écrits avec le phénomène de la féminisation de notre socièté, puis de notre future infantilisation, comme on le voyait aujourd'hui sur nos écrans avec la petite Greta Thun-berg, Ah!Ah!Ah! Où virilisation, féminisation, infantillisation était l'évolution de nos sociètés que j'avais découvert grâce à mon génie, mais que personne pour l'instant m'avait félicité à cause de l'abrutissement républicain, Ah!Ah!Ah! Mais pour en revenir à notre sujet, j'avais le sentiment que l'hémisphère gauche de notre cerveau( où se trouvait notre partie féminine ou émotionnelle) ne voulait plus obéir à l'hémisphère droit où se trouvait notre raison ou si vous voulez l'autorité. Visiblement, le féminin avait l'ambition de gagner son indépendance sans l'autorisation de son autre moitié afin de créer ses propres valeurs et pour-quoi pas son propre monde? je me demandais en sachant bien que le monde jusque là avait été bâti à 90 % par les hommes. Visiblement, ce monde masculin ne convenait plus aux femmes qui développaient en elles des symptômes alarmants, comme une grosse déprime, des maux de têtes insupportables, une crise existentielle, métaphysique, un corps qui était devenu trop encombrant, peut-être trop lourd à assumer?

Bref, une grosse crise en perspective pour la socièté avec des conséquences desastreuses sur la natalité où visiblement les femmes ne supportaient plus la quéquette des hommes et disons-le franchement de passer à la casserole, Ah!Ah!Ah! Mais une raison tout à fait légitime tombant à point nommé avec la PMA qui allait être voté prochainement à l'assemblée Nationale. En fait, mon cher lecteur, il n'y avait pas de hasard parce que le cosmos avait décidé de libérer les femmes de leurs chaines millénaires en vu de changer no-tre civilisation! En étant conscient que la partie féminine de notre cerveau était la plus farfelue et imprév-isible, Ah!Ah!Ah! Bref, nous allions assister dans les prochaines décennies à des choses hallucinantes de la part des femmes vu qu'elles comptaient avoir le beurre et l'argent du beurre, Ah!Ah!Ah! Bien évidem-ment, tout cela dépendra de vous si vous comptiez prendre du plaisir à vous laissez piétiner par ces fem-mes mutantes, Ah!Ah!Ah! Quant aux hommes qui avaient féminisé leurs comportements, cela ne leur causerait aucun problème en devenant les esclaves de ces femmes dominatrices afin de réussir socialem-ent! Sans aucun doute, un calcul payant pour ces derniers, mais vraiment écoeurant, Ah!Ah!Ah! Ainsi vo-yait-on que la guerre des sexes était de l'histoire ancienne puisque les feminivores avaient déjà pris le pouvoir aux hommes par la ruse! Par une sorte d'envoûtement cérébral où elles avaient convaincu la par-tie masculine de notre cerveau de se laisser absorber par notre partie féminine pour en faire de jolies par-illottes, Ah!Ah!Ah! Et si elles comptaient toujours avoir des enfants, ce serait désormais sans la présence des hommes grâce à la PMA et la banque mondiale de sperme érigée comme un nouvel Amazon des tem-ps modernes, Ah!Ah!Ah! Mon cher lecteur, je devine vos tourments devant cette abysse qui se creuse dev-ant vous où vous ne serez qu'un numéro de dossier et non plus un être humain ou un père de famille, Ah!Ah!Ah! Mais visiblement le prix à payer pour survivre dans cette nouvelle civilisation où nous exercerons plus notre pouvoir, comme autrefois, mais tricoterons des layettes et préparerons des confitures pour se consoler de la perte de tous nos pouvoirs masculins, Ah!Ah!Ah! Ainsi à l'avenir, on verra des villes exclu-sivement résevées aux femmes avec enfants conçus d'une manière totalement anonyme. C'est à dire le gr-and rêve des femmes qui n'auront plus affaire à la brutalité quotidienne des hommes, mais gagnerons leur liberté grâce à l'insémination artificielle ou si vous voulez grâce au Power Matriciel en Action appelé PMA, Ah!Ah!Ah! Quand ce monde adviendra, l'homme ne sera plus qu'un donneur anonyme inscrit à la banque mondiale du sperme qui recevra tous les mois par email un compte rendu sur sa production sém-inale! Au point de concevoir des milliers d'enfants sans jamais les connaitre! Sans occulter que la science comptait, pour palier à la dénatalité, fabriquer des ventres artificiels pour mettre au monde une nouvelle génération d'hommes et de femmes dont la particularité sera d'avoir une mère identique! Ainsi à l'avenir, on ne verra pas des clônes, mais des individus issus de la science victorieuse en prévoyant de grands bou-leversements sociètaux et humains. Mais qui semblait parfaitement coïncider avec le réchauffement clim-atique, n'est-ce pas? En remarquant depuis quelques années que les programmes télés étaient de plus en plus destinés aux femmes où nous étions submergés par de la psychologie féminime au point de nous causer de grosses migraines, Ah!Ah!Ah!

En sachant bien que le cerveau des femmes fonctionnait à 90 % sur le mode psychologique et peu sur la raison, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'était pas une critique, mais un constat qui faisait le charme de nos discutions avec nos petites copines écervelées, Ah!Ah!Ah! Mais bon, il faut de tout pour faire un monde, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Car la nature, pleine de bon sens, avait créé les femmes pour satisfaire le désir des hommes. En étant constamment à leur écoute, mais qu'elles semblaient aujourd'hui remettre en question à cause d'une grosse crise existentielle liée au dérèglement climatique et hormonal, visiblement. En niant pas que l'emprise des femmes sur la socièté était devenue si forte qu'il était difficile de s'y soustraire à moins d'être un fou ou un célibataire endurci, comme moi, Ah!Ah!Ah! Justement, hier, dans une émissi-on télé, j'ai vu des hommes qui portaient des collants et des talons aiguilles pour savoir ce que les femm-es ressentaient dans leur vie quotidienne, Ah!Ah!Ah! Bref, le début de la fin pour les hommes, n'est-ce pas? Mais pour ne pas entendre d'abominations qui allaient me dresser les cheveux sur la tête, j'ai aussi-tôt changé de chaine et je suis tombé sur une autre émission débile où l'on demandait à des hommes de laiss-er exprimer leurs émotions devant les caméras de télévision où ils pleuraient comme des gonzesses, Ah!Ah!Ah! Quant à la suite du programme aussi affligeante, j'ai vu un téléfilm policier où un homme de 120 kilos se faisait tabasser par une femme de 53 kilos en l'implorant de lui laisser la vie sauve! Visible-ment, nous avions atteint les sommets de l'absurdité où les femmes comptaient réaliser tous leurs fantas-mes dans la réalité en nous prenant pour leurs petits joujoux, Ah!Ah!Ah! Personnellement, si je n'ai jam-ais voulu réaliser mes fantasmes, c'est pour ne pas être déçu en sachant bien que la force de nos fantasm-es se trouvait dans notre imagination et nulle part ailleurs, n'est-ce pas? Mais bon, si les femmes compt-taient réaliser leurs fantasmes, je leur souhaitais bonne chance avant qu'elles deviennent complètement folles, Ah!Ah!Ah! Visiblement, le monde des grandes folles s'ouvrait à nous pour les prochaines décénn-ies! De quoi ouvrir de nouveaux hôpitaux psychiatriques, mais aussi de multiplier le nombre d'empoiso-nnement sachant qu'il était le moyen préféré des femmes pour éliminer leurs ennemis d'après les statisti-ques officielles de la police! Certes, moins de crimes de sang dans notre socièté, mais plus de cadavres sous les tapis et les lits de ces dames, Ah!Ah!Ah! Constatez, mon cher lecteur( en ce mois de fevrier 2020 où les températures étaient anormalement élevées environ 15°) que je n'inventais rien en vous confirmant que nous étions entrés dans une nouvelle ère ou civilisation. Et plus pércisément dans un âge d'or pour les femmes qui paradoxalement n'était pas le fruit des combats féministes, mais de la science et du cos-mos où toutes les planètes semblaient alignées afin qu'elles puissent réaliser tous leurs fantasmes, Ah!Ah!Ah! Apparamment, je vous annonçais d'une manière fracassante la prochaine révolution qui allait fai-re trembler notre socièté occidentale, n'est-ce pas? Mais modérons un peu nos propos, car cela risquerait d'emballer l'imagination de nos révolutionnaires maxistes en jupettes, Ah!Ah!Ah!

Pour être juste, nous dirons que nous étions entrés dans une évolution cosmique où le féminin voulait affirmer son autonomie et ses propres valeurs en se détachant du masculin! Afin de créer un nouveau monde où le mâle dominant n'aura plus le dernier mot, Ah!Ah!Ah! Tenez, justement, hier, dans mon café habituel au Paddy's Corner, j'ai essayé de discuter avec une fille, mais qui visiblement ne croyait pas un mot de ce que je lui racontais! Pourtant, je n'essayais pas de la séduire, mais j'ai senti aussitôt en elle une scission entre sa partie féminine et masculine où étrangement mademoiselle comptait penser par elle-mê-me, Ah!Ah!Ah! J'avais le sentiment d'avoir en face de moi, non pas une représentante du sexe faible, mais un penseur d'une autre nature auquel j'aurai bien donné le nom de Socratesse. Pour être honnête, nous n' étions pas véritablement en opposition, mais en totale indifférence par rapport à l'autre où mademoiselle comptait se passer de son autre moitié masculine pour explorer le monde à sa façon. Elle avait comm-andé un café à emporter pour le boire à l'extérieur, alors qu'il y avait beaucoup de vent! lui fis-je remar-quer en admirant son courage de vouloir braver les éléments en ne lui cachant pas que le vent me rendait fou. Mais je ne pensais pas qu'elle prendrait mon expression comme une attaque personnelle en me narg-uant en me disant qu'elle aimait beaucoup le vent et qu'elle n'avait peur de rien! Effrayé quelques instants par ses grands yeux bleus qu'elle ouvrit comme deux abysses pleins de projets surhumains, je compris aussitôt qu'elle avait inversé les rôles où apparamment, j'étais devenu une fille et elle un garçon avec des attributs masculins, Ah!Ah!Ah! Mais voyant sa ruse en action où son jeu était exclusivement de nature psychologique( comme la plupart des femmes), je lui dis que la pluie me causait aussi de la dépri-me! Mais contre toute attente, elle me dit brutalement que je devais me faire soigner! Décidément, mon autre moitié refusait de me materner, comme il était convenu dans le monde normal, Ah!Ah!Ah! Mais je m'en offusquais aucunement, mon cher lecteur, car j'étais plutôt un garçon intelligent qui savait par exp-érience qu'une intelligence sans partie virile était vouée à l'echec, sauf dans le monde des fantasmes, Ah!Ah!Ah! Tenant absolument à avoir le dernier mot dans cette désopillante conversation, je lui souhaitais une bonne journeé sous la tempête, Ah!Ah!Ah! Mais une expression qu'elle compris comme un aveux de ma part de n'être pas très courageux, bref, comme un homme qui était en train de se muer en femme. Ainsi, je compris, grâce à cette petite discution anodine dans mon café habituel, que les femmes avaient décidé de prendre leur destin en mains et leur distance avec les hommes en devenant les amazones des temps modernes. Etant né sous le signe du verseau, qui est le signe de la communication, comprenez bien que je n'inventais rien, mais consulltais régulièrement mes oracles dont les éléments étaient constitués d'air et d'eau. C'est dire la grande fluidité de ma pensée qui me permettait de connaître la vérité, non par déduction, mais par révélation!

Tel était mon génie qui me différentiait des intellectuels qui travaillaient sur des concepts obsolètes, Ah!Ah!Ah! Car l'astrologie sérieuse nous apprenait que le cosmos était en perpétuel mouvement et que les idées d'autrefois n'avaient plus aucune réalité, sinon qu'un vieux fantasme dans la tête de ceux qui vivai-ent dans le passé, Ah!Ah!Ah! Car comme je l'ai dit à maintes reprises, je détestais la nostalgie qui tromp-ait nos sens dont le rôle était de nous apprendre la vérité en se connectant aux choses vivantes. En fait, ce que je voulais dire à mon cher lecteur, c'est qu'il était inutile de nager à contre-courant quand la puissan-ce du courant nous poussait en aval où se trouvait peut-être un éffrayant canyon ou un lac merveilleux, n'est-ce pas? Mais entre nous, mes amis, était-ce vraiment important pour nous de le savoir qui étons co-urageux? En voyant bien que les gauchistes étaient les gens les moins courageux du monde en voulant rétablir le passé du 19 ème siècle, Ah!Ah!Ah! Sans occulter que l'extrême droite était aussi une idéolog-ie du passé. A ce propos, dernièrement, j'ai vu à la télé, un débat ridicule entre Eric Zemmour et Yann Moix! Où le premier s'entêtait avec ses idées passéistes et le second à vouloir retrouver une virginité mé-diatique après avoir réalisé un reportage sur les migrants à Calais. Car on avait su, grâce aux révélations stupéfiantes de son frère, que Yann l'avait torturé durant son adolescence, mais qu'il avait aussi un passé antisémite! Bref, un débat dont le sens m'échappait totalement où Eric zemmour, qui était juif, acceptait de débattre avec un antisémite qui avait rigolé sur les chambres à gaz d'Auschwitz! Décidément, nos deux guignols de service n'étaient ni de grands penseurs, ni de grands écrivains, mais des personnages médiati-ques qui nous éloignaient de jour en jour de la vérité, n'est-ce pas? Bref, une escroquerie intellectuelle qui n'avait pas échappé aux téléspectateurs, bien évidemment. Et quand Jean-Marc Levy traitait Yann Moix de charlatan, j'étais tout à fait de son avis! Visiblement notre socièté était en pleine mutation où les filles voulaient devenir des garçons où les gauchistes s'entretuaient avant de sombrer dans la mort idéo-logique ou les juifs devenaient antisémites pour devenir plus Français que les Français, bref, où le dérè-glement climatique n'était pas étranger, semble-t-il. En pensant qu'il n'y avait pas de hasard dans le déclin des sociètés pour la simple raison qu'elles ne vivaient plus au temps réel du cosmos, mais dans un vieux monde où les idées n'avaient plus aucune réalité tangible, sinon ressenties comme un grand assommoir où nous avions le sentiment de tourner en rond indéfiniment, Ah!Ah!Ah! Et chacun de nous se demand-ait avec une grande angoisse : Mais quand sortirons-nous de ce grand manège idéologique où l'intelligen-ce des Hommes n'était plus en service, mais la force d'inertie de l'Histoire qui nous empêchait de trouver une nouvelle voie pour exister autrement? C'était apparemment ce décalage qu'il existait entre la réalité cosmique et la réalité des Hommes qui provoquait ces mutations brutales où tout le monde avait le sen-timent de perdre la boule! Ce à quoi nous assistions tous les jours à travers les médias où tout le monde disait n'importe quoi, comme Eric Zemmour et Yann Moix, qui fixaient à longueur de journée leurs nombrils pour essayer d'y trouver la vérité, Ah!Ah!Ah!

Mais aussi les gilets jaunes, les hommes politques, les écologistes et les intellectuels de tout bord qui ne savaient plus où ils habitaient parce qu'ils ne vivaient plus dans le monde réel, mais dans un passé révolu! Comprenez bien que je n'étais pas en train d'inventer une histoire de science fiction, mais de décrire ce phénomène grâce à mes sens qui étaient connectés en permanence aux forces cosmiques! Et bien évidem-ment, dans ce monde paradoxal et absurde, il nous était possible de vivre trois fois le moyen-Age et pour-quoi pas deux fois la deuxième guerre mondiale? Ah!Ah!Ah! De plus, mon cher lecteur, n'avez-vous pas l'impression en vous levant le matin de vivre la même journée? A propos de notre monde en perdition et en pleine mutation, hier dans mon café habituel, au Paddy's Corner, j'ai discuté avec un artiste qui ne chantait plus parce que cela ne lui rapportait pas d'argent! Curieux de tout, je lui demandais, même sous la douche? Oui, même sous la douche! m'avoua-t-il avec amertume. De même un écrivain qui n'écrivait plus parce qu'il pensait qu'écrire était une activité qui devait lui rapporter de l'argent, Ah!Ah!Ah! Aucun doute que notre monde actuel tournait à l'envers, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et si un jour, vous aper-ceviez dans votre rue les gens marcher à reculons ou les voitures rouler en marche arrière, ne soyez pas surpris, car ce serait la nouvelle mode, Ah!Ah!Ah! A l'allure où vont les choses, il est possible aussi que la justice subisse elle aussi un grand bouleversement où les coupables deviendront les victimes et les victimes les coupables, Ah!Ah!Ah! Comme dans l'affaire "Benjamin Griveaux" où les diffuseurs de la sexe tape sur les réseaux sociaux se définissaient comme les nouveaux chevaliers blancs afin d'éradiquer toutes les hyprocrisies du monde politique! Ce qui me semblait en apparence plutôt vertueux pour la communauté, n'est-ce pas, mon cher concitoyen? Mais avec le gros inconvénient de ne rien connaître du passé ou de la moralité de ces soi-disant justiciers, Ah!Ah!Ah! Comme dans cette petite histoire plutôt comique où le diffuseur de la sexe tape était un Russe qui avait obtenu de la France le statut de réfugié politique, mais dont les désirs mégalomaniaques étaient de destabiliser la vie politique française! Décidé-ment en France, on recevait la merde du monde entier et tout particulièrement des fous, comme le pseu-do-artiste Piotr Pavlensky qui n'avait jamais produit une seule oeuvre artistique de sa vie, sinon prendre ses couilles en photo, Ah!Ah!Ah! Mais bon, comme j'étais d'une grande liberté d'esprit, je me disais pour-quoi pas quand plus rien aujourd'hui n'avait de sens? A ce propos, la semaine prochaine, je comptais app-rendre à marcher sur la tête pour être en phase avec mes contemporains, Ah!Ah!Ah! Où le symptôme ala-rmant de la féminisation de notre socièté était de recevoir des coups en dessous la ceinture, comme nous venions de le démontrer avec cette affaire de sexe tape, mais aussi avec le mouvement "metoo" et de "ba-lance ton porc". Bref, une chose vraiment pitoyable,  car apparamment l'arme préférée des faibles, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, le courage n'était plus une valeur partagée par l'ensemble de nos contemporains, mais plutôt l'entourloupe intellectuelle qui visiblement rapportait plus d'argent que le courage, Ah!Ah!Ah! Pour résumer la situation de la France actuelle, nous dirons que nous étions entrés dans les petits potins de l'Histoire, Ah!Ah!Ah!

A ce propos, hier, j'ai entendu une intervention hallucinante dans les médias de Christophe Castaner, mi-nistre de l'intérieur, qui parlait du divorce et des ruptures sentimentales d'Olivier Faure, le premier secré-taire du parti socialiste! Décidément, Paris-Match avait pris le pouvoir à l'Elysée, Ah!Ah!Ah! Sans écarter des choses farfelues, comme d'apprendre un jour qu'Emmanuel Macron était en vérité une femme, Ah!Ah!Ah! Mais une chose tout à fait crédible vu que son expression préférée était "en même temps" dont les femmes étaient de grandes ferventes en prenant beaucoup de plaisir à être en même temps au four et au moulin, Ah!Ah!Ah! Pour parler d'autre chose ou peut-être toujours en lien, j'ai remarqué( vu le peu de succès de mes créations sur mon Site Internet) que la création n'était pas la grande tendance du moment, mais plutôt le rabattage du passé, Ah!Ah!Ah! Car hier soir à la télé, j'ai vu des femmes politiques qui cro-yaient parler politique, alors qu'elles bavardaient de politique, ce qui n'avait aucun rapport, Ah!Ah!Ah! Mais en me disant que c'était la grande tendance du moment où le passé était à la mode par manque de génie, bien évidemment. Bref, un triste destin pour la France et pour son avenir! pensais-je avec amertu-me en voyant notre pays s'enliser dans son passé où seule Jeanne d'Arc put nous sauver de la mondialisat-ion Anglo-Saxonne, bref, des conflits et des épidémies planètaires, Ah!Ah!Ah! En résumé, les gens qui avaient beaucoup de succés dans les médias étaient les radoteurs du passé en travaillant sur une matière morte, mais très rentable, n' est-ce pas? Où plus besoin d'imagination pour créer, mais de piocher dans le passé pour se croire un génie, Ah!Ah!Ah! Et comme personne ne connaissait parfaitement le passé, pour-quoi ne pas tordre l'Histoire en inventant n'importe quoi, comme Eric Zemmour ou bien Yann Moix par exemple, hum? Bref, une imagination tournée vers le passé en étant pas de la création, mais une forme de nostalgie. Où imitation, répétition, bavardage, rabattage, radotage étaient pour moi des synonymes qui re-sumaient parfaitement notre époque. C'est pour cette raison que j'avais le sentiment( vu le peu de succès de mes oeuvres originales sur Internet) que la création n'était pas la tendance du moment où il valait mi-eux répéter le passé pour avoir un semblant de succès auprès du public, Ah!Ah!Ah! En n'oubliant pas de dire au cher lecteur que la création demandait du temps et qu'aujourd'hui visiblement nous n'en avions plus pour des raisons de rentabilité, n'est-ce pas? Mais une rentabilité que je ne remettrais pas en questi-on pour l'ensemble des activités humaines, sauf pour les arts, comme la musique, la littérature et la pen-sée, bien entendu. Apparemment, notre système capitaliste demandait aux Hommes de faire du fric par tous les moyens possibles quitte à produire de la merde pour le public qui n'y verrait que du feu parce qu' il avait de la merde dans les yeux et dans les oreilles, Ah!Ah!Ah! Mais comme je vous l'ai déjà dit dans mes écrits, je n'étais pas anticapitaliste, car le capitalisme par sa production de masse nous évitait de mo-urir de faim, Ah!Ah!Ah! En fait, ce qui me paraissait paradoxal aujourd'hui, c'était l'utilisation de la tech-nologie à de fins nostalgiques et non avant-gardistes. En ne vous cachant pas que j'écoutais avec mon lecteur MP3 de la musique classique et des chansons des seventies qui étaient plus riches artistiquement que les chansons d' aujourd'hui où le rap faisait partie de la culture de niveau zero, Ah!Ah!Ah!

Mais bon, si le rap était aujourd'hui la musique qui se vendait le plus, parait-il d'après les médias, je n' irais pas contre en sachant qu'elle ne durera pas longtemps. Même Ray Charles disait de son vivant que le rap n'était pas de la musique et il savait de quoi il parlait, n'est-ce pas? En comprenant bien, mon cher le-cteur, que la plupart des chanteurs de rap n'étaient pas des musiciens ou des instrumentistes, mais des uti-lisateurs de séquenceurs audios où ils avaient accés à des milliers de samples pour fabriquer leurs chans-ons. Ce qui nous montrait bien qu'ils utilisaient la technologie à des fins nostalgiques, car tous ces sam-ples avaient été créés par le passé par de vrais musiciens intrumentistes. C'est la raison pour laquelle, je n'ai jamais trouvé novateur ou révolutionnaire le rap ou l'électro qui puisaient ses idées dans le passé en faisant du recyclage, la grande tendance écologique du moment, n'est-ce pas? En vous répétant une seco-nde fois que la création demandait du temps et en ne lui accordant plus ce temps particulier, nous ne fais-ions plus oeuvre de création, mais de répétition du passé illustrant parfaitement notre époque décadente, n'est-ce pas? Moi qui prenait mon temps pour réfléchir et donc pour coucher mes pensées sur les pages web de mon site Internet, j'étais tout particulièrement attentif à ce long processus de la création où la triche etait exclue. Il est vrai aussi que le succés n'était pas au rendez-vous, mais qu'importe la gloriole, mes amis, Ah!Ah!Ah! Mais passé ce cap de la mesquinerie, vous atteigniez une force intérieure inébran-lable illustrée par ce célèbre dicton : Ce qui ne vous tuait pas, vous rendait plus fort! Une espression souvent employée par la famille Brown dans l'émission "Génération Alaska" où leur vie n'était pas de tout repos, n'est-ce pas? Je ne vous cacherais pas, mon cher lecteur, vu les éléments que je vous avais ap-porté que j'avais pratiquement arrêté la création pour ne pas me sentir ridicule devant ces grands répéti-teurs du passé inondant nos chaînes de télévision, Ah!Ah!Ah! La prochaine fois, nous parlerons de l'épi-démie de coronavirus qui nous plongeait aujourd'hui dans une atmosphère de fin du monde! Et si notre président Emmannuel Macron avait dit que nous étions en guerre, ce n'était pas anodin, mais pour nous confirmer que nous revivions la seconde guerre mondiale, Ah!Ah!Ah! Bref, un retour vers le passé que j'avais prédis grâce à ma nature prophétique, n'est-ce pas? Sans être cruel, j'avais le sentiment que le cor-onavirus voulait exterminer les Hommes du passé et tout particulièrement les personnes âgées d'après les chiffres officiels du mnistère de la santé et de l'OMS. Mais que cela signifiait-il exactement pour notre époque et notre civilisation? je me demandais avec terreur. Etait-ce un signe avant coureur d'une future apocalypse crèée par une surpopulation galopante ou bien un simple avertissement de la planète pour nous dire de changer notre façon de vivre et d'échanger avec les autres? Dit d'une autre façon, la mondia-lisation et la construction européennne étaient-elles des erreurs monumentales qui allaient nous coûter chères à l'avenir en termes épidémiques ou bien une fatalité à laquelle nous ne pouvions échapper? Telles étaient les premières questions qui me venaient à l'esprit en me fiant totalement à mes sens qui pour l'ins-tant ne m'avaient jamais égaré!

Où visiblement, les défenses immunitaires des vieux étaient devenues obsolètes en ne pouvant plus com-battre le coronavirus qui pour moi était un virus tropical produit par le réchauffement climatique! C'est mon intuition qui me le disait. Car en temps normal, on attrapait la grippe suite à un gros un coup de fro-id, n'est-ce pas? Mais là visiblement plus le cas où les températures hivernales avaient été plutôt cléme-ntes dans le monde entier. Bref, un gros paradoxe qui nous confirmait que nous retournions dans le passé où le coronavirus semblait se moquer éperdument du progrès médical des Hommes. Pouvait-on y voir ici comme un pied de nez à notre époque arrogante par sa science et sa technologie? Possible! pensais-je en interrogeant la nature qui bien évidemment aura le dernier mot ou semble-t-il nous étions allés trop loin en sophistications techniques et en propreté au point d'avoir perdu nos défenses immunitaires, Ah!Ah!Ah! En observant les sinistres dégats sur nos vieux qui pourtant avaient une bonne hygiène, n'est-ce pas? Hier, en regardant la télé, j'ai appris avec stupéfaction, suite au temoignage d'une personne, que sa vieille mère avait attrapé le coronavirus à l'hôpîtal et qu'elle en était morte! Personnellement, je conseill-erais aux vieux de rester chez eux pour ne pas mourir en prenant conscience que l'hôpital était un lieu contaminé par le coronavirus et autres virus qui circulaient dans l'air, n'est-ce^pas? Décidément, aujourd' hui, je plaignais amèrement le personnel soignant qui était en première ligne dont les hécatombes allaient s'annonçer dans les semaines à venir! Nos héros des temps modernes?

En refusant d'applaudir, comme nos idiots concitoyens du haut de leurs fenêtres ou balcons dès 20H, parce que je trouvais cela indécent d'applaudir à une future hécatombe! Et comme toute personne sensée, j'ai toujours applaudi à la fin d'un spectacle et jamais au milieu d'une tragédie, Ah!Ah!Ah! Bref, mon éth-ique personnelle m'interdisait d'honnorer ce rituel idiot où applaudir du haut de ses fenêtres me semblait directement inspiré par le parisianisme ou si vous voulez par la bobo-attitude! Justement hier dans les médias, j'ai vu des choses hallucinantes où de jeunes gens avaient installé sur leurs balcons des platines pour mettre de l'ambiance dans leur quartier pour pouvoir supporter le confinement imposé par les auto-rités. Sans parler de ces jeunes artistes qui en mal d'inspiration composaient des chansons de très mauvais goûts sur le thème du coronavirus en les postant sur YouYube, Ah!Ah!Ah! Décidément, le coronavirus rendait fou tout le monde en provoquant des crises d'hystéries parmi la population, mais au bout du com-pte tout à fait humaines, n'est-ce pas? Tout en niant pas que le confinement n'était pas une chose facile à vivre pour les personnes seules et pour les couples qui ne s'entendaient pas où parait-il on aurait enregis-tré une augmentation des violences conjugales ainsi que des suicides dus à l'isolement social en étant les victimes colatérales du coronavirus. Bien évidemment, toutes ces victimes ne seront pas comptabilisés par le ministére de la santé pour ne pas alourdir le chiffre déjà lourd des décès lié à l'épidémie! Pour ma part, j'aurais plutôt employé le terme de crise du coronavirus pour nommer cette épidémie. Car lorsque que tout le monde se sera auto-immunisé d'une manière naturelle en sortant dans la rue et en cotoyant les autres, celle-ci dispraitra d'elle-même, comme cela s'est toujours passé dans l'histoire des épidémies apr-ès une hécatombe, malheureusement!

Mais la grande crainte que nous avions pour l'instant, c'était la mutation du virus en quelque chose de pl-us virulant en s'attaquant à l'ensemble de la population au-delà des personnes âgées victimes actuelles du virus asiatique. Car tous nos efforts en matière de vaccins et de thérapies auront été vains. Espérons seu-lement que le coronavirus reste stable le temps qu'on puisse trouver un vaccin ou bien s'auto-immuniser d'une manière naturelle. Sachant qu'un virus qui mute sans cesse est impossible à éradiquer, comme celui de la peste noire ou de la grippe espagnole qui avait fait des dizaines de millions de morts lors des précé-dentes épidémies! Aux Etats-Unis, j'ai entendu que Donald Trump était contre le confinement de la popu-lation en risquant de provoquer une grosse crise économique dont les dégats seraient plus importants que le virus lui-même, ce qui était parfaitement juste. Mais quand il disait cela, il pensait surtout à son busin-ess qui allait être directement impacté par l'épidémie en possédant des hôtels et des casinos etc. Bref, une grosse crise économique en persepective pour le monde entier, n'est-ce pas? Mais d'après les dernières in-formations, j'ai appris que le congrés américain allait injecté 2000 milliards de dollars dans l'économie amé-ricaine pour supporter la crise du coronavirus jusqu'à utiliser l'hélicoptère monnaie pour relancer l'économie. Bref, une chose hallucinante dont j'avais parlé dans mes écrits et qui se concrêtisait, n'est-ce pas? Quant à l'union européenne, la BCE allait injecter 5000 milliards d'euros dans l'économie europé-enne, mais sans employer l'hélicoptère monnaie, ce qui était dommage pour nous tous où les banques allaient être une nouvelle fois les grandes gagnantes, Ah!Ah!Ah! Mais bon, c'était l'union européenne que nous connaissions tous pour son libéralisme éffrayant, n'est-ce pas? Ce matin en écoutant BFM business, j'ai appris que le CAC 40 avait bondi de 25 % suite à toutes ces annonces qui réconfortaient les marchés boursiers. Décidément, si tout se passe comme prévu, le capitalisme devrait endiguer la crise du coronav-irus en renaissant de ses cendres, Ah!Ah!Ah! A propos du confinement, mon cher lecteur, comment le su-pportiez-vous, bien ou mal? Je pense que ce sera notre prochaine discution sur mon site Internet où nous ne risquons pas de nous échanger le virus, Ah!Ah!Ah! Ah, la technologie quelle formidable invention po-ur communiquer sans se parler, mon cher lecteur, sous entendu que je n'aurai aucune réponse de votre part, bien évidemment. Mais est-ce bien utile un échange bilatéral, alors que je me complais formidable-ment bien dans mes monologues où je peux dire et penser ce que je veux, Ah!Ah!Ah! Bref, inutile d'en dire plus, n'est-ce pas? A ce propos, ce matin, j'ai téléchargé la nouvelle dérogation pour pouvoir sortir de chez moi sans que l'Etat français m'allonge une amende pour remplir ses caisses déjà bien creusées par la crise du coronavirus, Ah!Ah!Ah! C'est bizarre, mais depuis qu'Emmanuel Macron a été élu, j'ai le sen-timent qu'il nous arrivait tout plein de malheurs! Bref, après la crise des gilets jaunes, nous avions eu l' incendie de notre Dame de Paris, puis la réforme des retraites et maintenant l'épidémie de coronavirus! Fallait-il voir dans cet enchainement de catastrophes, comme un signe nous révélant la malédiction de Monsieur Macron ou si vous voulez d'un président qui avait la poisse, Ah!Ah!Ah!

Question étrange que je me posais en pensant à la malédiction de Toutankamon qui mourut jeune, les pieds à peine sur l'étrier du pouvoir. Les Dieux semblaient en colère! pensais-je en auscultant mes sens connectés au cosmos où l'imposture de monsieur Macron était flagrante, Ah!Ah!Ah! Mais une chose que j'avais préssentie si vous avez lu mes écrits depuis le début, mon cher lecteur. Bref, en attendant la fin de son mandat en 2022, nous risquons tous de mourir, non pas seulement du coronavirus, mais aussi de tous les fléaux engendrés par la malédiction de Monsieur Macron, comme les dix plaies d'Egypte, Ah! Ah! Ah! Et tous les matins, je prie Dieu afin qu'il nous débarrasse de cet imposteur, mais aussi de cette épidémie destinée à nous punir parce que nous étions devenus des êtres égocentriques motivés seulement par le pouvoir et l'argent! Car j'ai toujours pensé qu'il n'y avait pas de hasard et si aujourd'hui, nous subi-ssions de plein fouet cette épidémie, c'est parce que nous la méritions et que ceux qui la payaient malheu-reusement étaient nos vieux. C'est à dire ceux qui nous avaient engendré et transmis leurs tares que visib-lement Dieu et la nature souhaitaient éliminer d'une manière radicale. Par une épuration du passé afin de repartir sur des bases saines et faire des Hommes nouveaux pour le meilleur des mondes! C'est ce senti-ment très fort que je ressens au fond de moi, non comme du ressentiment à l'égard de nos vieux, mais co-mme une vérité d'une incroyable clarté dans l'époque troublante que nous vivions. Comme la révélation de tous nos mensonges à l'échelle planètaire, Ah!Ah!Ah! Alors, mon cher lecteur, comment se passe votre confinement forcé par l'épidémie planétaire? Avez-vous le sentiment de perdre la boule ou bien de profi-ter de ces instants si particuliers pour méditer sur vous-même et sur le sens de votre vie? Car quoiqu'on puisse en penser, n'est-ce pas le moment idéal pour mettre nos pendules à l'heure avec nous-même et le monde entier, hum? A ce propos, ce matin, j'avais complètement oublié qu'on était en heure d'été et je me suis réveillé à 10H30 avec le sentiment étrange de n'avoir pas assez dormi, Ah!Ah!Ah! Mon dieu, l'u-nion européenne quelle calamité avec ses changements d'heures qui nous faisaient tourner en bourrique même parait-il les animaux de la ferme, Ah!Ah!Ah! Sans parler du coronavirus qui nous envahissait de pensées morbides à chaque fois que nous croisions quelqu'un dans la rue qui pourrait nous infecter. A propos des distances que nous devions respecter pour éviter de nous contaminer, j'ai remarqué que les migrants dans mon quartier ne les respectaient pas en se baladant en petits groupes et en discutant ense-mble comme si de rien n'était! De plus, je savais qu'ils étaient hébergés derrière chez moi dans une école aménagée en dortoirs et en refectoirs. Je vous dis pas le risque de contamination qu'il risquait d'avoir si l'un d'eux était infecté par le coronavirus! Bref, une vraie bombe à retardement qui ne demandait qu'à ex-ploser dans mon quartier et éliminer tous ses habitants où du moins les plus âgés, Ah!Ah!Ah! Mais sac-hant que la plupart étaient assez jeunes, ils avaient peu de risque d'attraper le coronavirus d'après les épi-démiologistes. Mais bon, tout pouvait changer assez vite si le virus mutait, n'est-ce pas? Bref, en attenda-nt la mort, je gardais mon domicile en supportant assez bien le confinement. Car comme vous le saviez, mon cher lecteur, je vivais en grande partie de l'année dans ma bulle!

Ce qui d'une certaine façon m'évitait de tomber dans la folie, comme mes chers concitoyens qui, d'après les sondages récents, comsommaient beaucoup de films pornos, mais aussi des films catastrophes pour évacuer leur stress lié à la peur de mourir en ce début de printemps, Ah!Ah!Ah! Décidément, nous n'étio-ns pas loin des danses macabres du 14 ème siècle lors de la grande peste bubonique! Et dans cette ambia-nce de fin du monde, les chroniqueurs de l'époque notaient des faits ahurissants où les Hommes organis-aient des orgies en tout genre avant de sombrer dans la mort définitive! Mais une chose tout à fait conce-vable dans des circonstances si macabres, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Visiblement, les épidémies ou les catastrophes de grandes ampleurs révélaient à l'humanité sa vraie nature qui n'était pas d'une grande spiritualité, mais plutôt d'un grand égoïsme, n'est-ce pas? Sans pour autant vouloir juger l'humanité où dans des circonstances identiques, j'aurais agi de la sorte pour goûter à mes derniers plaisirs sur la terre, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas réaliser tous ses phantasmes avant de sombrer dans le néant, mon cher sem-blable qui ne croyez pas en Dieu? Une vengeance nourrie de longue date afin de commettre le crime par-fait dont le plaisir serait plus doux que le miel d'après nos hommes de l'antiquité, hum? Car quel crime commetterions-nous en tuant un homme condamné d'avance par l'épidémie de coronavirus? Visiblement aucun, mon cher confident dont le confinement actuel rendait complètement fou au point de vouloir se jeter par la fenêtre ou peut-être réaliser tous ses phantasmes, hum? Pour ma part, étant d'une grande sagesse, j'ai dormi une bonne partie de l'après-midi pour pouvoir penser à autre chose, puis j'ai grignoté un morceau avant d'aller sur mon site Internet où j'ai couché par écrit mes morbides pensées sur mon confinement ou si vous voulez sur ma quarantaine forcée par les autorités sanitaires, Ah!Ah!Ah! En fait, pour être honnête avec vous, j'avais le sentiment depuis ma plus tendre enfance d'avoir été mis en quar-antaine par la socièté française! C'est dire que les choses avaient peu changé pour moi, épidémie ou pas, n'est-ce pas? Car qu'est-ce que d'être pauvre, sinon d'être mis en quarantaine économique et sociale, mon cher concitoyen? En ce premier Avril 2020, j'avais la sinistre impression que le coronavirus ressemblait à s'y méprendre à un poisson d'avril envoyé par la nature, Ah!Ah!Ah! Contre lequel, il était inutile de por-ter plainte sachant que nous avions humillié la planète par une surpopulation galopante et une morale de domin-ation par l'argent! Bref, la rançon de la gloire pour nos mensonges planètaires, n'est-ce pas? Et tout particulièrement aujourd'hui pour nos vieux qui le payaient très cher où visiblement la nature vou-lait faire table rase du passé afin de réactualiser nos défenses immunitaires pour entrer dans une nouvelle ère! Où il ne s'agissait pas de morale, mais d'adaptation à un nouveau monde auquel la nature nous prép-arait! Et comme disait Stefan Zweig, l'ancien monde disparaîssait sous nos yeux sans qu'on sût pourquoi, alors que l'avenir était écrit pour les Hommes qui avaient délesté leur passé! Et son suicide était dû au fait qu'il s'était cramponné inutilement à son passé, comme un naufragé à une ile imaginaire qui finirait par être engloutie, comme toute chose qui n'avait plus aucune réalité!

C'est dur, oui je sais, mais il nous faut apprendre désormais à marcher dans le désert où passé et futur seront révolus! Etes-vous prêt, mon cher semblable, à marcher dans la nuit noire et profonde durant des siècles voir des millénaires? Et notre confinement actuel n'est-il pas notre première épreuve avant d'en-treprendre cette longue marche où vivre sans espoirs et sans nostalgies seront notre lot à tous, mes chers frères humains? Je ne prédis aucunement la fin du monde, mais l'avènement du présent comme une nou-velle religion afin de s'émouvoir dès les premières fleurs éclosent dans le désert! Dans les médias ont dis-ait que étions sur le sommet de la vague du coronavirus! Ce qui ne signifiait rien pour moi, car la vague pouvait durer haute pendant longtemps, n'est-ce pas? Pour imager la chose, j'avais le sentiment que les survivants surfaient sur cette vague immense, alors que les victimes étaient fracassées er englouties dans ses flots monstrueux! Certes, une image pas très belle à voir, mais qui me semblait très proche de la vérité, n'est-ce pas? Et bien évidemment, dans cette tempête épidémique que nous subissions notre seule bouée était nos défenses immunitaires et non point notre argent ou notre position sociale. C'est ce que j'ai pu constater dans les maisons de retraites de luxe où le coronavirus décimait les vieux tout parti-culièrement choyés par le personnel! Décidément, le virus asiatique était sans compromis pour une partie de la population dont les défenses immunitaires étaient devenues obsolètes pour entrer dans cette nouve-lle ère que je vous annonçais d'une manière fracassante pour les prochains siècles. Bref, pour revenir à des choses plus terre à terre et supporter mon confinement et mon terrible ennui. Cet après-midi, j'ai fait une sieste en rêvant à un nouveau monde où je pourrais marcher dans la rue sans attraper le moindre vi-rus, Ah!Ah!Ah! Décidément, le monde d'aujourd'hui, quel enfer pour les poêtes qui rêvaient de respirer l'air à plein poumons et de marcher la tête au soleil! Je vous souhaite bien du courage, mon cher confiné du 3 ème millénaire! A demain, j'espère bien! A moins que? Cette nuit, je vous l'avoue, j'ai très mal dor-mi en me réveillant parfois en sursaut en pensant que j'avais attrapé le coronavrus! Visiblement, mes pre-mières allucinations dûes à l'effet coronavirus, n'est-ce pas? Pourtant, en temps normal, je suis plutôt un type courageux, mais quand les médias vous en parlent toute la journée ça finit bien évidemment par han-ter vos nuits et vous causer bien des angoisses. Bref, ne trouvant pas le repos du guerrier qui me perme-ttait de reconstituer mes forces vitales, cette nuit, étrangement, j'ai fait des cauchemars se déroulant sous la révolution française! Tonnerre de dieu, mais quel lien il y avait entre le coronavirus et la révolution fr-ançaise? je me demandais intrigué ce matin, non point infecté par le coronavirus, mais en parfaite santé. Etait-il possible que durant cette nuit épouvantable, j'avais livré bataille contre le coronavirus comme on livre bataille contre la république que je haïssais de tout mon coeur? Ah!Ah!Ah!

Et si j'étais sorti vainqueur, c'est parce que je m'étais battu, non point contre mes frères humains, mais contre un passé républicain qui se liquéfiait sous nos yeux avec l'épidémie de coronavirus, Ah!Ah!Ah! Ca paraissait étrange, mais c'était une impression puissante qui m'avait envahie ce matin avec le sentiment d'avoir retrouvé mes forces vitales. Bref, un combat contre un passé révolu me semblait la meilleur fa-çon de lutter contre ce coronavirus dont les intentions cachées étaient d'éffacer un passé poussièreux, n' est-ce pas, mon cher lecteur? A ce propos, n'avez-vous pas entendu à travers les médias, les sévères criti-ques de l'opposition sur l'inéfficacité du gouvernement de Monsieur Macron pour endiguer cette épidém-ie? N'était-ce pas la preuve que nous attendions tous pour disqualifier cette république dont l'obsolesc-ence était désormais visible? Bref, par l'abandon programmé de son hôpital publique par un manque cru-el en ce moment de masques et de tests pour lutter contre la propagation du virus? C'est dire que cette épidémie était le révélateur de nos défaillances aussi bien immunitaires qu'idéologiques! En tant que poète, j'avais le sentiment urgent qu'il nous fallait inventer un nouveau monde pour survivre. Car depuis mon confinement, j'avais le sentiment d'être enfermé chez moi, comme un rat de laboratoire où je comm-ençais à me ronger les ongles, Ah!Ah!Ah! En étant considéré comme un cobaye par la socièté française, ce qui ne changeait pas vraiment ma situation, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Cet après-midi en ouvrant ma télé, j'ai appris, non sans réelle surprise, les premiers dégats occasionnés par le confinement sur la po-pulation où un jeune homme, devenu apparemment fou, était sorti dans la rue pour tuer deux personnes avec un couteau de boucher! Pour l'instant, l'enquête s'orientait vers un attentat islamique sachant que le jeune homme était Soudanais et priait en Arabe lors de son arrestation! Ce qui arrangeait bien les aut-orités afin de ne pas mettre ce massacre sur le dos du confinement qu'elles avaient instauré sans notre accord, bien évidemment. Mais sans vouloir faire de polémique( car nous tenions tous à survivre à cette saleté de coronavirus), j'avais le sentiment qu'on avait affaire ici à quelque chose d'inédit dans les annales de l'Histoire où se mélait étrangement le terrorisme islamique avec le terrorisme épidémique! Bref, un curieux mélange d'événements qui semblait nous révéler la prochaine apocalypse, n'est-ce pas, mon cher habitant de la planète terre dont les jours étaient comptés? Ah!Ah!Ah! Et quand je sortais en debut d'ap-rès-midi faire mes courses, je sentais dans la rue comme un climat de terreur où tout le monde avait vi-siblement peur de mourir de cette épidémie! Décidément, le terrorisme en tout genre avait de beaux jours devant lui, n'est-ce pas? Mais un sujet que j'avais déjà exploré, il y a fort longtemps dans un de mes text-es intitulé "le complot anti-arabe" où je décrivais l'évolution de l'Histoire, non plus comme une suite lo-gique d'évenements politiques, mais comme un enrayement de la machine occidentale par le phénomène du grain de sable. C'est à dire par un phénomène aléatoire et imprévisible comme le terrorisme et tout particulièrement en 2020, le terrorisme épidémique!

Sans fausse modestie, en écrivant ce texte, je ne pensais pas qu'il serait prohétique en observant aujourd' hui ce funeste mélange entre toutes les formes inimaginables du terrorisme! II est possible aussi que le capitalisme ne soit qu'une forme de terrorisme où la république visiblement n'arrivait pas a endiguer cet-te épidémie malgré ses moyens  matériels colossaux, n'est-ce pas? Sans nul doute, en ce moment, il nous tombait sur la tête tous les maux de la terre aussi bien économiques que bactériologiques avec l'étrange sentiment qu'on avait ouvert la boite de Pandore contenant tous les fléaux de la terre, Ah!Ah!Ah! Mais qui étaient exactement les coupables, je me demandais avec effroi : le capitalisme, la science, la mondial-isation, l'union européeenne, la surpopulation ou l'ensemble qui pouvait former le contenu de cette boite de Pandore? Bref, étions-nous allés trop loin dans la réalisation de tous nos désirs de consommation ou peut-être de nos fantasmes? je me demandais avec ce lourd bilan des morts où j'y voyais comme une cor-rélation directe. Il est dit dans la légende qu'une femme, ne pouvant réfréner ses désirs de curiosité, ouv-rit cette boite de Pandore en pensant qu'elle contenait de somptueux bijoux, Ah!Ah!Ah! Décidément, la curiosité était un vilain défaut, n'est-ce pas, mon cher lecteur, en nous plongeant aujourd'hui au coeur de cette légende où le capitalisme nous avait permis d'ouvrir cette Bad Box en croyant réaliser tous nos désirs et fantasmes, Ah!Ah!Ah! Une fois de plus, je constatais que nous assistions au retour du passé dans nos sociètés modernes, comme je l'avais prédit dans mes écrits, en pensant tout particulièrement au phé-nomène de la féminisation que j'avais estimé comme une calamité pour nos temps à venir! Bref, une co-ïncidence avec notre époque épidémique qui ne vous aura pas échappé, mon cher lecteur. Croyez-bien que je ne voulais pas accuser injustement les femmes d'être les seules responsables de cette épidémie de coronavirus, mais aussi le capitalisme qui leur avait permis d'assouvir tous leurs désirs et fantasmes ini-maginables! A l'avenir, je pense qu'on devrait éloigner cette putain boite de Pandore des mains des femm-es, Ah!Ah!Ah!

Aujourd'hui, 11 Avril 2020, 25 ème jour de confinement, je me sentais plutôt désabusé par la science des Hommes qui n'arrivait pas à trouver un vaccin contre le coronavirus et tout particulièrement l'Insti-tut Pasteur que je croyais habitée par des génies, Ah!Ah!Ah! Décidément, avec cette épidémie que person-ne n'avait prévue, ni les spécialistes ni les pseudo-prophètes des médias, toutes les réputations crées par le passé étaient comme parties en fumée, Ah!Ah!Ah! Même celle du professeur Raoult, qui dans une inte-rview en Janvier dernier, avait dit que l'épidémie venant de Chine était une petite grippette, Ah!Ah!Ah! Nul doute qu'il essayait aujourd'hui de rattraper ses erreurs avec la Chloroquine. Mais bon, cet homme me semblait plutôt obnubilé par la gloire médiatique que par la recherche d'un vaccin en sachant bien que notre soi-disant génie n'avait pas mis au point la chloroquine, Ah!Ah!Ah! Mais bon, ne soyons pas trop médisant avec cet homme qui voulait remonter le moral à tout le monde ou peut-être se faire passer pour le sauveur de l'humanité ou celui de la France, Ah!Ah!Ah! Apparemment, la raison pour laquelle notre président Emmanuel Macron était allé le voir à Marseille afin de redorer son blason qui, il est vrai, avait bien terni depuis son élection en 2017, Ah!Ah!Ah! Mais trêve de plaisanterie en ce 25 ème jour de con-finement où je sentais tout le monde perdre ses nerfs, sauf moi qui vivais très bien dans sa bulle imagin-aire. Car je ne parlais plus guère à personne depuis des années, puisque tout le monde me détestait, com-me si j'étais un pestiféré à cause de mon génie, Ah!Ah!Ah! Mais une chose qui ne changeait guère avec l'épidémie de coronavirus, n'est-ce pas? Pour employer les bons termes, je dirais aujourd'hui que j'étais un covidé, bref, un synonyme de pestiféré, Ah!Ah!Ah! J'ai appris aux dernières infos sur la maladie du covid-19 que les individus les moins touchés ou quasiment épargnés étaient du groupe sanguin 0, mais que l'obésité était un facteur aggravant de la maladie, ce qui touchait en grande partie nos vieux qui ne bougeaient plus beaucoup, Ah!Ah!Ah! De même, une chose hallucinante de la part d'un psychiatre, deve-nu fou par le coronavirus, qui voulaient euthanasier nos vieux( soi-disant condamnés d'avance) pour apa-iser leurs souffrances, Ah!Ah!Ah! Décidément, en ces temps infectieux, les escrocs sortaient de leurs tan-nières, comme les rats d'une navire pour nous dire n'importe quoi et pourquoi pas boire son pipi pour tuer le coronavirus, Ah!Ah!Ah! Ainsi qu'un écologiste essayer de nous vendre sa camelote "d'air pur et d'eau fraîche pour sauver la planète" alors qu'il était atteint du coronavirus, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas nous faire une interview sur son lit de mort pour nous convaincre qu'il avait raison, mais surtout ém-ouvoir le public qui s'ennuyait à mourir dans son confinement? Mon dieu, quelle horreur de voir que les donneurs de leçons étaient eux aussi infectés jusqu'a la moelle par le coronavirus et ne représentaient pas l'avenir de l'humanité, mais le passé! Etrangement, je constatais que la plupart des morts du coronavirus se trouvait dans les hôpitaux et peu à domicile! Cela voulait-il dire que le problème se trouvait à l'hôpital et nulle part ailleurs où les miasmes avaient envahi les lieux? Oui, je sais, une question rude, mais tout à fait légitime vu le lourd bilan des morts hospitaliers, n'est-ce pas? Un jour, j'ai appris aux actualités télé-visées, qu'un jeune homme était allé à l'hôpital pour faire soigner un petit bobo et était ressorti amputé des deux mains suite à une infection nosocomiale! Personnellement, s'il m'arrivait un accident, je refus-erais de monter dans l'ambulance pour aller à l'hôpital( quitte à me battre avec les ambulanciers!) en sac-hant que j'avais une forte chance d'y lasser ma peau, Ah!Ah!Ah! Allez, bonne journée, mes amis et portez-vous bien et ne faites surtout pas comme ces imbéciles qui sortent du confinement pour faire leur jog-ging en nous envoyant leurs microbes à la figure! Je sais bien que le confinement n'est pas une chose fac-ile pour tout le monde, mais faites comme moi, intéressez-vous à votre vie intérieure qui en ces temps troubles avait besoin d'une rénovation de fond en comble, n'est-ce pas? A ce propos, je trouve que cette épidémie nous offre une occasion formidable pour engager de grands travaux et pourquoi pas repeindre la salle de bain ou bien la niche du chien, Ah!Ah!Ah! Justement, on m'a dit que Le Roi Merlin l'encha-nteur était ouvert durant le confinement, pourquoi ne pas en profiter, mon cher lecteur au bord de la crise de nerf?

En ce 26 ème jour de confinement, je me sentais plutôt en bonne forme et à midi, j'ai mangé avec grand appétit une andouillette avec de la purée. Hum, je me suis vraiment régalé malgré que la préparation de la purée à base de flocons de pomme de terre fut pour moi laborieuse. Car j'avais mis trop d'eau et de lait dans la casserole qui avait rendu ma purée trop liquide pour être appréciée. Bref, j'ai dû ouvrir un seco-nd sachet de purée mousline pour épaissir le tout en trouvant le résultat exellent, comme si j'avais prép-aré une double purée digne d'un grand chef cuisinier, Ah!Ah!Ah! Ajoutez-y une noix de beurre et vous comblerez vos papilles d'une grande satisfaction! L'autre grand souci que vous devez très certainement connaitre, mon cher lecteur, a été de voir avec consternation mon andouillette éclater dans ma poêle et tous merveilleux morceaux de fraise de veau se mélanger à l'huile! C'est pour cette raison que je vous conseillerais, si vous comptiez faire cuire une andouillette, de ne jamais mettre de l'huile au risque de gâ-cher votre prochain repas, Ah!Ah!Ah! Et curieux de tout, je suis allé voir sur Internet sur ce qu'on disait sur les andouillettes en apprenant à ma grande surprise que les andouillettes ne devaient pas être cuites, mais seulement réchauffées à la poêle puisque déjà cuites. Décidément, les travaux pratiques nous mett-aient directement en contact avec la réalité et quoi de mieux pour parfaire ses goûts et accéder au bonh-eur, n'est-ce pas? Je sens que vous devez me trouver en ce moment un peu léger devant cette épidémie qui a fait plus de 100 000 morts dans le monde et plus de 14 000 en France? Oui, c'est juste. Mais pour ma part, la légerté ne signifie en aucune façon la désinvolture ou la moquerie envers les victimes qui sont pour la plupart nos ainés! Il est vrai aussi que je pourrais être impitoyable envers nos vieux dinosaures, puisque mes parents ne sont plus de ce monde depuis fort longtemps et que tout le monde semble se mo-quer éperdument de savoir si je suis heureux ou malheureux, Ah!Ah!Ah! Oui, cela est exact. Mais alors dans ce cas, mon cher lecteur, ne sommes-nous pas des millions à être maltraités par nos semblables et sans pour autant utiliser la violence contre eux? Voyez ma grande générosité envers mes semblables aux-quels je donne accès gratuitement à toutes mes créations sur mon site Internet sans que j'ai pu entendre de leur part un seul remerciement ou encouragement! Voyez ma témérité et ma pugnacité, mon cher lec-teur, de croire encore à l'homme malgré son coeur de pierre, Ah!Ah!Ah! Car je comprends tout à fait les hommes en étant un des leurs, mais qui a eu la chance de trouver le moyen de ramollir son coeur de pier-re grâce à la musique et la littérature, Ah!Ah!Ah! Bref, je connais trop bien ces choses pour ne pas vous en parler avec sincérité et font que mes haines envers les hommes sont plutôt des choses inoffensives, croyez-moi. Il est vrai aussi que de croire en Dieu, malgré mon absence totale d'éducation religieuse, m' aide beaucoup à supporter mes semblables, non pas à les prendre en pitié, mais à les juger tels qu'ils sont, c'est à dire souvent lunatiques à en perdre la raison, Ah!Ah!Ah! Mais bon, moi aussi, je le suis parfois et pour m'empecher de nuire à mes semblables, durant ces moments d'égarement, je m'attache avec des me-nottes à mon radiateur en attendant que cela passe, Ah!Ah!Ah! Faut dire que j'ai trouvé des menottes à ouverture retardée sur Internet! Décidément Internet, notre prochaine planche de salut, n'est-ce pas? Allez, bonne soirée, mes amis confinés pour on ne sait combien de temps. Ce matin en lisant les nouvell-es sur Planet à la Une, un journal sur Internet, j'ai appris que le nombre de morts avait diminué en Fran-ce! Espérons que cela se poursuive afin de sortir de notre confinement qui nous rendait complètement fous, n'est-ce pas, mon cher covidé? En pensant bizarrement ce matin aux écologistes, qui sont des adep-tes de la décroissance économique et démographique, j'avais le sentiment qu'ils devaient en ce moment sauter au plafond en voyant ce miracle opéré par le Covid-19! Bien évidemment, ils ne vous l'avoueront jamais de peur qu'on les prenne pour des monstres, Ah!Ah!Ah! Mais c'est je crois, ce qu'ils pensent idéol-ogiquement où l'arrêt de l'économie combiné avec le confinement de la population pourraient leur perm-ettre de réduire drastiquement toutes formes de pollution qu'elles soient sonores, atmosphériques et dis-ons même démographique qui est une pollution comme une autre en réduisant notre espace vital, n'est-ce pas, mon cher lecteur? En fait, ils n'ont pas tort sur tout, mais dont je désapprouve l'inhumanité en les considérant comme des nazis de l'environnement, Ah!Ah!Ah! Et si la nature voulait apparemment exter-miner une partie de la population, parce que nous étions trop nombreux sur cette planète, je pouvais le concevoir et même l'accepter en tant que petite créature terrienne! Mais de penser que des Hommes ins-ignifiants( les écologistes) puissent avoir le même dessein de la planète de vouloir nous exterminer pour des raisons politiques, j'étais bien évidemment totalement contre! En fait, ce que j'exprimais ici, c'était seulement du bon sens où l'arrêt total de l'activité économique nous plongerait aussitôt dans un profond chaos! En fait, la décroissance prônée par les écologistes était contre-nature en allant à l'encontre de l'ex- pansion du cosmos! Car nous savons tous, mes chers lecteurs, que la fin du cosmos s'appelle tout simpl-ement la fin du monde, Ah!Ah!Ah! Toujours sur le même sujet où notre civilisation occidentale semblait proche du chaos, j'avais le sentiment que Monsieur Mélenchon préparait un coup d'Etat pour faire une seconde fois, la révolution de 1917, Ah!Ah!Ah! Sous entendu que la révolution bolchévique de 1917 s' était passée lors de la première guerre mondiale et de la grippe espagnole! C'est dire des coïncidences qui ne devaient pas nous tromper, mon cher lecteur. Je vous souhaite une bonne soirée, mes chers covidés du 3 ème millénaire!

Hier, en apprenant dans les médias qu'Amazon allait devoir arrêter son activité pendant 5 jours pour des raisons sanitaires, soulevées par les syndicats cégétistes, j'étais furieux, car j'avais récemment commandé des cartouches d'encre pour mon imprimante Canon! Mais ce matin, en consultant ma boite emails, j'ai eu le plaisir d'apprendre qu'Amazon avait tout de même réussi à m'expédier ma commande! Bref, j'avais le sentiment que les communistes en France, voyant l'économie se casser la gueule, voulaient profiter de l'occasion pour faire un coup d'Etat et prendre le pouvoir, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos de cette situati-on inédite dans les annales de l'Histoire, tous les après-midi, j'écoute la radio allongé sur mon lit où j'ai appris qu'on enregistrait une hausse des délations à la police des gens qui ne respectaient pas le confine-ment! Comme cette femme qui, visiblement très en colère, trouvait honteux que son voisin parte prome-ner son chien cinq fois dans la journée, alors qu'elle une seule fois! Décidément pendant ces périodes tro-ubles, on retrouvait la vraie nature du Français, c'est à dire collaboratiste, comme en 40, Ah!Ah!Ah! A propos de crottes, puisque nous en sommes là, j'ai remarqué depuis le confinement que la place de la Croix-Rousse( que je traverse par aller acheter mon pain à l'Atelier du Boulanger) en était recouverte, comme si les habitants du quartier avaient trouvé l'endroit idéal pour soulager les besoins de leur animal à quatre pattes! Plusieurs fois, j'ai dû nettoyer mes chaussures avec du papier pour ne pas emporter chez moi un possible coronavirus des chiens, Ah!Ah!Ah! Tout en remarquant aussi que les voitures, du fait de leur stationnement prolongé, étaient recouvertes de poussière, comme si l'on était proche de la fin du monde! Sans oublier, cet écoeurant constat de voir sur les trottoirs de la rue du Chariot d'or des vomissu-res et des éclaboussures douteuses, comme si les alcooliques se donnaient rendez-vous toutes les nuits pour se déchirer la gueule, comme des zombies, Ah!Ah!Ah! La dernière fois, en sortant de chez moi, j'ai aperçu une bouteille de bière posée au milieu du trottoir, comme si elle avait été posé intentionnellem-ent à cet endroit stratégique pour barrer le passage aux piétons! Aussitôt, j'ai pensé qu'il devait s'agir d' un délire d'alcoolique! Et pourquoi pas se cacher derrière son petit doigt pour passer inaperçu? Ah!Ah!Ah! Apparemment, depuis le confinement, d'étranges cérémonies se déroulaient au pied de mon immeu-ble. Peut-être occultes ou sataniques où des hommes et des femmes, perdus définitivement pour le bien, célèbraient un culte à Satan pour qu'il accentue la virulence du coronavirus afin d'exterminer cette hum-anité malfaisante? Un soir, je pense sortir de chez moi afin d'aller voir ce qui s'y déroule vraiment. Bien évidemment, j'emporterai avec moi mon pistolet pour ne pas me faire dévorer par ces zombies qui avai-ent survécu au coronavirus en se transformant en monstres, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, ce sera peut-être mon prochain roman? Le titre étant tout trouvé, c'est à dire le CoronaZombie, Ah!Ah!Ah! ou pour les puristes, le CZ. Toujours sur les phénomènes observés durant les grandes épidémies ou les catastrop-hes naturelles ou non, les spécialistes du confinement prévoyaient une hausse des divorces, mais aussi de la natalité! Oui, je sais une chose paradoxale, mais tout à fait observée lors des confinements qui prod-uisaient deux phénomènes opposés qui sont soit le resserement du couple soit sa rupture définitive, Ah!Ah!Ah! Bref, l'épreuve de vérité pour tous les couples et disons même pour toutes les familles, n'est-ce pas, mon cher lecteur et ma chère lectrice au bord de la crise de nerf? Et justement, ce matin, en écoutant BFM Business, j'ai appris qu'après le confinement, il y aurait une hausse des demandes de pensions alim-entaires, mais aussi une crise immobilière vu l'augmentation du nombre de célibataires sur le marché immobilier, Ah!Ah!Ah!

Par ces faits incontestables, on prévoyait dans neuf mois exactement, c'est à dire en Décembre 2020, une sorte de BabyBoom, Ah!Ah!Ah! Ce qui permettrait à la France de compenser le nombre des décès du co-ronavirus et des accidents de la route qui avaient chuté de 50 % grâce au confinement. Tout compte fait, d'une année sur l'autre, les chiffres de la mortalité s'équilibrerait afin de permettre à la France de garder une démographie stable! Décidément, cette épidémie nous révélait notre vraie nature qui n'était pas form-idable, mais plutôt d'une nature égoïste, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais pour être franc avec vous, l' égoïsme de mes semblables ne m'a jamais véritablement causé de problèmes. Car qu'est-ce que l'égoïsme exactement? je me suis souvent demandé lorsqu'il m'arrivait d'offrir des cadeaux aux autres pour mon seul plaisir, Ah!Ah!Ah! Bref, une rude question qu'on est pas prêt à résoudre, n'est-ce pas? Et puis que suis-je en train de faire en ce moment, sinon d'exprimer mon affreux égoïsme en écrivant à mon lecteur mes pensées personnelles qui lui permettrons de supporter un peu mieux son confinement, hum? Et com-me le dit trivialement la chanson se faire du bien, ça fait aussi du bien aux autres, n'est-ce pas? Comme vous l'avez compris, je ne confondais pas l'égoïsme avec l'ego surdimensionné de certains qui lorsqu'ils s'exprimaient me faisaient dresser les cheveux sur la tête, Ah!Ah!Ah! Car ces derniers visiblement par manque d'intelligence et de talents s'inventaient d'étranges lubies sur eux-mêmes et pourquoi pas se pren-dre pour le pape? Ah!Ah!Ah! Car lorsque vous étiez intelligent ou que vous aviez du talent, il vous était inutile d'avoir un égo surdimensionné, car vos ressources intérieures vous permettaient d'être peu frustré dans la vie, n'est-ce pas? Moi-même, qui n'avait aucun succés auprès du public, bien que je produisis des chefs-d'oeuvre, je ne lui en voulais pas, car la vie m'apportait plus de plaisir que la gloriole, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, y avait pas photo, n'est-ce pas? En résumé, si votre égoïsme pouvait être partagé avec les autres, c'était du bon égoïsme, comme celui des artistes, qu'on confondait malheureusement avec du narcissisme ou de la mégalomanie, alors qu'ils avaient le coeur sur la main comme moi! Décidément si je continue à parler de la sorte, je vais commencer à pleurer sur mon pauvre sort, Ah!Ah!Ah! Pour changer de sujet, je remarque depuis le confinement que mon site Internet tient plutôt bien la route avec plus de 230 visiteurs par mois dont la plus grande partie se trouve aux USA. Oui, je sais une chose bien parado-xale sachant que les américains ne comprennent pas le français. Mais il est possible, vu leur avancée tech-nologique, qu'ils utilisent tout bonnement des traducteurs de pages web pour lire mes bouquins et pour-quoi pas? De même, j'ai remarqué que la plupart de mes visites aux USA se trouvait à Chicago qui, il est vrai, avait un passé français grâce à un dénommé Jean Baptiste Pointe du Sable qui y avait établi un com-ptoir commercial au 18 ème siècle. Il est possible que cela en soit la raison où il y aurait encore de nos jours des traces de la communauté française et bien évidemment de sa culture! L'autre ville américaine, où j'avais un semblant de succés, était la ville de Boardman située au nord ouest du continent américain dont la richesse principale était la culture de la pomme de terre et je suppose aussi du Whisky, Ah!Ah!Ah! Décidément, beaucoup de surprises pour moi depuis la création de mon site Internet! Mais en constatant que j'avais peu de succès dans la grande ville, comme New York, Los angeles, Paris, Londres etc. Bref, j' avais le sentiment d'intéresser uniquement les petites villes de provinces dont le coeur était encore sens-ible pour apprécier les pensées d'un jeune homme!

Décidément, l'égocentrisme et la mégalomanie des grandes capitales du monde entier seraient leur perte, Ah!Ah!Ah! Parole de prophète! Excepté la ville de Lyon dont le passé catholique restait malgré la moder-nité, une ville de province où j'étais suivi par un nombre non négligeable de Lyonnais. Pour l'occasion, j'en profite pour remercier leur fidélité ainsi que cette attention qu'ils semblent me porter à moi l'illustre inconnu plongé quotidiennement dans la multitude et aujourd'hui dans la solitude du confinement! Car malgré mon esprit libre penseur, je respecte bien le confinement en ne sortant que deux fois par jour. C' est à dire à 14H30 pour aller faire mes courses et prendre mon café à emporter à la boulangerie "ô fou-rnil des artistes" située dans la rue du Mail où le patron est sympathique comme une porte de prison, Ah!Ah!Ah! Mais il faut dire à mon cher lecteur que son pain, ses viennoiseries et ses patisseries sont les plus chères de la Croix-Rousse et ont tendance à faire fuir les clients, ce qui expliquerait sa mauvaise humeur, Ah!Ah!Ah! Pour revenir à notre sujet, hier après-midi, après qu'on m'ait servi mon café, le patron, sym-pathique comme une porte de prison, m'a dit que prochainement il ne me servirait plus mon café, car ce n'était plus rentable pour lui! Décidément, la première impression était souvent la bonne. Car la première fois que je suis entré dans sa boulangerie, j'ai senti aussitôt de sa part une certaine animosité à me servir, bref, comme si je le prenais pour mon larbin, Ah!Ah!Ah! Visiblement, mon boulanger avait un orgueil très mal placé, car je n'ai jamais considéré les gens comme mes larbins même quand j'avais de l'argent! Mais bon, quand on est con, on est con, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Bref, depuis le confinement tout le monde semblait me vouloir du mal et si ce n'était pas le coronavirus, c'était maintenant mon boulan-ger, Ah!Ah!Ah! Quant à ma deuxième sortie, je la faisais vers les 9 heures du soir pour aller me dégour-dir les jambes et prendre l'air. En remarquant ces derniers temps depuis le confinement et l'arrêt de la cir-culation automobile, un air de meilleur qualité au point de retrouver comme un second souffle ou une seconde jeunesse, Ah!Ah!Ah! Justement, hier soir, en sortant de chez moi, où il avait plu quelques insta-nts plus tôt, j'ai eu l'agréable surprise de respirer dans les couloirs de mon immeuble une bonne odeur printanière, comme je n'en n'avais pas senti depuis fort longtemps! En précisant à mon cher lecteur que l' immeuble posséde une cour intérieure où les couloirs sont à l'air libre que les grands arbres de la place Bertone surplombent et parfument d'une bonne odeur de printemps quand il pleut. Ce soir là, je ne vous cacherais pas que j'avais le sentiment de retrouver mes 16 ans avec des poumons en parfaite santé! Visib-lement, l'épidémie avait le rôle d'un grand désinfectant pour tous ceux qui étaient en bonne santé au point de nous redonner une seconde jeunesse, Ah!Ah!Ah! Mais comme je l'ai dit à maintes reprises dans mes écrits, cette épidémie nous replongeait dans le passé en exterminant malheureusement une partie de nos vieux qui avait vécu jusque là grâce aux progrés de la science, il faut le dire. Ce qui était déjà une chose formidable sachant qu'au moyen-âge les gens vivaient à peine jusqu'à 40 ans! Mais bon, prenons les cho-ses avec philosophie et disons que toutes les bonnes choses ont une fin et que nos vieux n'étaient pas éte-rnels, comme il est convenu par la nature, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Bref, tous les soirs pendant ma promenade nocturne, j'ai l'impression de visiter une ville fantôme où je suis le seul survivant! Mais étra-ngement, une solitude qui ne me dérange pas du tout où je peux marcher librement au milieu de la rue sans craindre à ma vie en me sentant un surhomme ou le survivant d'une ère nouvelle, Ah!Ah!Ah! Malgré tout ce qu'on a dit, la ville de Lyon reste pour moi une ville chargée de mystères par ses côtés obscurs où se mélangent étrangement son passé catholique et ses désirs d'embourgeoisements. C'est dire des tabous qui sont loin d'être dépassés, n'est-ce pas, mon cher compatriote Lyonnais? Mais justement, mon site Int-ernet ne serait-il pas là pour résoudre les grands mystères de Lyon en dévoilant au monde entier, c'est qu-oi d'être Lyonnais au 21 siècle? Ah!Ah!Ah! Mais il faut vous avouer avec sincèrité que je n'aie jamais ai-mé ma ville de naissance, car comment peut-on aimer une ville ou une femme qui vous cachait tous ses secrets pour d'obscures raisons, hum? A ce titre, il devient évident que notre desamour soit tout à fait légitime, n'est-ce pas, mon cher lecteur à qui je donne toute la nuit pour répondre à cette question toute philosophique, mais pleine de bon sens! Bonne soirée, mes chers amis covidés, car il est bientôt 21 heu-res!

Bref, après une nuit pleine de reflexions, je suppose mon lecteur où ma lectrice prêt à découdre avec moi sur cette épineuse question de savoir si la vérité est superflue quand on aime? En sachant bien que les plus romantiques d'entre vous me diront que ce qu'ils préférent chez leur femme ou leur amant, c'est leur côté mystérieux qui stimule leur imagination ainsi que leurs jouissances, Ah!Ah!Ah! Oui, sans aucun do-ute et tout particulièrement pour les auteurs de romans d'amour ou de polars dont les passions humaines doivent servir à magnifier une histoire dont le but est de dévenir un bestseller, Ah!Ah!Ah! En pouvant parfaitement le comprendre en étant moi-même un écrivain d'imagination. Mais quant à admettre les my-stères et les secrets envahir notre vie réelle, j'étais totalement opposé. Car si je vous disais en toute franc-hise, mon cher lecteur, que la femme dont vous étiez follement amoureux par son charme mystérieux avait assassiné ses deux derniers maris, seriez-vous heureux de l'apprendre? Ah!Ah!Ah! Décidément, la vérité n'était pas bonne à dire quand elle vous touchait de près, n'est-ce pas? En fait, tout ce que je vous disais, c'était du bon sens et ne concernait pas seulement les femmes et les hommes, mais aussi les villes qui avec un grand art arrivaient à nous dissimuler tous ses crimes derrière les portes et les fenêtres calfe-utrées de ses habitations où les bouches étaient muselées par des monstres domestiques! Et comme disait très justement Oscar Wilde ( un poète Irlandais du 19 ème siècle) : Tout va bien, les enfants crient à voix basse, Ah!Ah!Ah! Ce qui semblait parfaitement coïncider avec ce confinement sanitaire où les violences conjugales et les harcèlements familliaux se répandaient à la vitesse de l'épidémie de coronavirus, n'est ce pas? Sans oublier le crime parfait qu'on pouvait réaliser sans être inquièté par la justice en injectant le virus du coronavirus à son pire ennemi, Ah!Ah!Ah! Décidément, mon imagination me jouait en ce mom-ent de vilains tours tellement je m'ennuyais dans mon confinement à la Croix-Rousse où tout le monde me destestait, sauf le chien de ma voisine, Ah!Ah!Ah! Alors, mon cher lecteur ou lectrice, toujours conv-aincu que la culture du secret et des mystères soit une bonne chose pour nous tous et pour l'harmonie du monde? Et tout particulièrement aujourd'hui où l'épidémie semblait nous révéler sans compromis tout ce nous avions caché aux autres depuis la mondialisation des échanges et de ces soi-disant marchandises inoffensives? Une fois de plus, mon cher lecteur, je ne pouvais m'empêcher de vous poser des questions, non pour vous harceler dans votre confinement, mais simplement pour occuper votre cerveau qui en ce moment devait bouillir par son inactivité forcée, Ah!Ah!Ah! A propos d'occupations intellectuelles et art-istiques, je trouvais ma situation formidable en ce moment avec mon site Internet où je pouvais m'ex-primer en toute liberté par le fait que je n'avais aucun compte à rendre à personne ni à mes lecteurs ni aux maisons d'editions. Car les premiers jusque là ne m'avaient jamais montré le moindre enthousiasme pour mes oeuvres littéraires et musicales et les seconds pour m'avoir exclu tout bonnement du monde des lett-res! En trouvant cela bien mystérieux, Ah!Ah!Ah! Voulaient-ils alors me cacher des secrets inavouables afin que je ne découvre pas la vérité sur ce qu'ils me dissimulaient? me demandais-je pris d'une soudaine frayeur. Tout compte fait, l'épidémie de coronavirus tombait à point nommé pour remettre les pendules à l' heure afin de recommencer un nouveau monde ou peut-être une nouvelle histoire, mon cher lecteur? Etrangement, ce matin, en me levant, j'ai entendu dans ma tête une voix me dire : Les bonnes nouvelles arrivent toujours sans prévenir! Mais sans comprendre le sens exact de cette phrase en étant à moitié dans les vapes. Mais juste ciel, me suis-je écrié soudainement, serait-ce le signe de la fin de l'épidémie et du confinement? Aussitôt, pris d'une immense joie, je me suis précipité dans ma cuisine afin de me préparer un copieux petit-déjeuner! Faut dire aussi que les révélations chez les prophètes et les génies ont touj-ours eu l'effet d'ouvrir leur immense appétit, Ah!Ah!Ah!

Bref, j'avais le sentiment que cette épidémie soit l'occasion rêvée pour faire tomber nos masques, Ah!Ah!Ah! Mais non, je plaisantais, mon cher lecteur, car une chose bien périlleuse en ce moment, je vous l'acc-orde bien volontier! Mais tout à fait envisageable quand nous seront sortis de l'épidémie afin de bâtir une nouvelle socièté juste et honnête pour le bonheur de l'humanité, n'est-ce pas? Mais cette nuit, pour une raison étrange, j'ai fait un drôle de rêve où je rencontrais Emmanuel Macron et lui disais mes 4 vérités sur son incomptétence à gérer la crise du Covid-19, Ah!Ah!Ah! Celui-ci, visiblement très traumatisé par mes questions vérités, se mit soudainement à transpirer comme un boeuf sous sa belle chemise présiden-tielle, Ah!Ah!Ah! Faut dire aussi que je ne portais pas de masque depuis le début le l'épidémie, car il était impossible d'en trouver en pharmacie ou en grande surface ni sur Internet où les prix étaient démentiels! Bref, en sortant de chez moi, sans le savoir, je prenais de grands risques de me faire contaminer par mes chers concitoyens à cause de notre incompétent président, Ah!Ah!Ah! A la télé, la dernière fois, j'ai été choqué d'apprendre qu'une femme par manque de masques les fabriquait avec ses petites culottes, Ah!Ah!Ah! Franchement, si elle m'en offrait un gratuitement, je le refuserais pour ne pas attraper des maladies peut être pire que le coronavirus, Ah!Ah!Ah! Tout en niant pas que des fétichistes seraient prêts à prendre avec plaisir ce risque pour d'abominables raisons, Ah!Ah!Ah! Oh mon dieu, les monstres! Bref, pour parler de ma santé actuelle, j'ai eu quelques frayeurs ce matin où j'ai eu un perte d' équilibre en sortant de mon lit! J'ai pensé aussitôt que j'avais attrapé le coronavirus et que j'allais mourir d'ici un quinzaine de jours en laissant à ma famille un compte bancaire bien vide, Ah!Ah!Ah! Mais en faisant quelques pas vers mon salon, je n'ai rien remarqué d'anormal, aucune perte d'équilibre, ni d'éssou-fflements, ni de perte de goût et d'odorat, bref, je me sentais en parfaite santé prêt à engloutir un boeuf entier, Ah!Ah!Ah! En fait, après analyse, je pense que ces déséquilibres matinaux étaient dûs à mes sorties de lit trop rapides ou trop brusques qui déstabilisaient mon oreille interne donc les organes de l'équilibre! Décidément, j'avais tous les symptômes, non pas du coronavirus, mais d'un petit vieux, Ah!Ah!Ah! Bref, il faudrait que j'aille faire vérifier ma tension ainsi que l'état de mes artères afin de survivre à cette épidémie dont la maladie n'était pas seulement virale, mais aussi mentale en nous rendant complètement fou avec tous les symptômes de la vache folle, Ah!Ah!Ah! A ce propos, il est possible que ce soit sa prochaine mutation en nous transfor-mant en sombres idiots pour les siècles à venir en attendant qu'un vaccin miracle nous permette de retro-uver notre santé mentale et physique? Décidément, beaucoup de questions et d'inccertitudes quant à notre avenir sur cette planéte, n'est-ce pas? Bizarrement, je me demandais ce que pouvait bien faire en ce mom-ent Monsieur Hulot( le soi-disant sauveur de la planète), car on ne l'avait pas entendu depuis le début de l'épidémie! Serait-il mort d'asphixie dans son abri anti-atomique ou bien aurait-il attrapé le coronavivus avec la honte d'en parler dans les médias? Ah!Ah!Ah! Visiblement, notre sauveur de la planete se faisait tout petit en ce moment où le virus du coronavirus était prêt à le rayer de la carte, écologiste ou non, Ah!Ah!Ah! Car pensez-vous vraiment que le coronavirus soit sensible à vos idées politiques ou à vos bonnes intentions pour la planète, hum? Bien évidemment, tout ceci avait l'air d'une bonne farce, Ah!Ah!Ah! Mais par honnêteté intellectuelle, mon cher lecteur, je vous laisse toute la nuit pour répondre à cette rude question qui vous permettra de démasquer tous les charlatans dont Monsieur Hulot et Greta Thunberg font partie, Ah!Ah!Ah! A demain, mes chers covidés du 3 ème millénaire! En fait, la grande hypocrisie des écologistes était de critiquer injustement les Américains, alors qu'ils étaient eux aussi des survivalis-tes, bref, l'idéologie partagée par la plupart des Américains! Dé-idément, une nouvelle désillusion tom-bait sur les écologistes grâce à l'épidémie de coronavirus, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Tout compte fait, si la pénurie de masques continuait, je comptais sortir dehors avec le masque de Zorro, Ah!Ah!Ah! Et si certains avaient une préférence pour le masque d'Anonymous( le masque de l'anonymat par exce-llence), c'est parce qu'ils étaient des idiots et non point des heros com-me moi, Ah!Ah!Ah! Parfois, je me demandais si je n'étais pas en train de devenir fou à force d'être con-finé dans un espace clos et surtout à cogiter sur mes propres pensées qui ne menaient nulle part? Bref, ce matin, j'étais tellement déprimé que j'ai avalé à moi tout seul un pot de confiture à la fraise! Et ce qui faisait le charme exquis de vider un pot de confiture sans aucun témoin( sachant que les gens étaient jaloux quand vous preniez du plaisir tout seul!), c'était d'entendre le bruit de ma petite cuillère plonger inlassablement dans le pot et ressortir pl-eine de bonnes choses prêtes à être englouties! Au point d'imaginer, un concert de petits cuillères, de pots de confiture et de tasses à café, Ah!Ah!Ah! Où en tant que compositeur et chef d'orchestre, le concert dé-buterait par l'ouverture d'une multitude de couvercles des pots de confiture, suivi des hum de gourman-dise des musiciens, puis le tintement impatient des petites cuillères et des tasses à café! Imaginez mon cher lecteur, ce concert fabuleux fait de bruits métalliques, de verre, de porcelaine, de bouches et le tout acc-ompagné par toutes ces odeurs de confiture et de café pénétrer les narines du public! Décidément, une idée de génie, n'est-ce pas? Mais que malheureusement la France sclérosée n'était pas prête à offrir à mon génie, Ah!Ah!Ah! Dommage et espérons que je tienne le coup jusqu'à la fin du confinement qui aura lieu le 11 Mai prochain! Pendant ce temps là, je vais continuer à écrire mes pensées personnelles sur mon site Internet, mais aussi à composer des chansons et de la musique. Car depuis quelques temps, j'ai rem-arqué que l'approche de la fin du monde me donnait comme de l'inspiration, Ah!Ah!Ah! A ce propos, je vous donne les premières paroles d'une chanson que j'ai composée hier. Les voici :

 

Tous les matins, moi j'me lève,

La tête plein de rêves,

Même si j'ai trop bu la veille,

Ma vie est sans mystère,

Et poutant la nuit, je voyage

Dans des mondes éffroyables!

Décidément, des paroles inspirées directement de l'épidémie, n'est ce pas?

 

A vrai dire, on ne pouvait pas s'en prendre au coronavirus qui comme nous voulait absolument survivre, Ah!Ah!Ah! Et depuis le début de l'épidémie, il ne faisait que de nous manifester son désir de vivre ou si vous voulez son instinct de conservation, bref, comme le nôtre, n'est-ce pas, mon cher homo-sapiens? Car d'après la nature, nous les hommes étions de gros parasites qui avions colonisé la planète Terre en exterminant des millions d'espéces, il ne faut pas se le cacher. Visiblement, il s'agissait d'une histoire de concurrence entre les espéces dont le capitalisme s'était peu embarrassé depuis la révolution industrielle, mais aujourd'hui impuissant à combattre ce virus à dimension planètaire qui s'appelait le Covid-19! Du point de vue bactériologique, cela était parfaitement exact et qu'on ne pouvait pas accuser injustement le coronavirus de vouloir lui aussi envahir la planète, comme nous l'avions fait depuis 100 000 ans, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, mon cher lecteur, grâce à ma formidable imagination, j'arrivais à me met-tre à la place du coronavirus et lui donner la parole afin qu'il nous parle de ses ambitions sommes toutes banales comme les nôtres, Ah!Ah!Ah! J'étais sans aucun doute en ce moment d'un grand cynisme. Mais entre nous, mes amis, quel être vivant ne le serait pas quand il s'agissait de sa propre survie au détriment des autres? L'Histoire humaine n'en montrait-elle pas un bel exemple par toutes ses guerres passées où l' on exterminait ses semblables pour des raisons territoriales ou de richesses ou tout simplement pour des raisons de surpopulation qu'on arrivait plus à nourrir? Bref, il semblerait aujourd'hui que nous soyons entrés à un point de non retour où la future guerre qui exterminera l'humanité sera la guerre bactériologi-que dont le coronavirus nous en montrait les prémices, n'est-ce pas? Mais une chose que mon semblable connaissait déjà en lui rappelant d'une manière froide et cynique, il est vrai! Tout en lui assurant que de dire la vérité sur l'humanité n'était pas un voeux de ma part de vouloir son extermination, mais seuleme-nt de connaître ses points faibles afin qu'elle devienne meilleur pour nous tous, bien évidemment. J'avais le sentiment que ce coronavrus n'était pas d'origine naturelle, mais qu'il avait été fabriqué par un labora-toire Chinois, celui de Wuhan, afin d'exterminer tous les vieux de la planète dont le poids économique était devenu insupportable pour nos systèmes de retraites et pour la Chine tout particulièrement. S'agis-sait-il d'une machination diabolique d'un savant fou aux yeux bridés qui avait l'intention d'exterminer tous les vieux de la planète parce qu'ils n'avaient plus aucune utilité économique, sinon d'appauvrir les nouvelles générations en termes de vitalité? Où s'agissait-il d'un complot à l'échelle planètaire pour lim-iter la surpopulation afin de se débarrasser d'un passé qu'on ne voulait plus assumer économiquement et moralement pour dire les choses froidement? Mais pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, j'avais déjà exploré ce thème dans mon roman "la crise de la fièvre bleue" : un chef-d'oeuvre écrit il y a bien lon-gtemps, mais refusé par la plupart des maisons d'éditions! Décidément, nous vivions depuis des décénn-ies dans le mensonge où j'avais prédit l'épidémie du Covid-19 ainsi que la pénurie de masques! Regardez la couverture de mon livre et vous verrez l'étrange coïncidence avec notre époque épidémique! Voir

Visiblement, le coronavirus était un virus dont la cible était assez précise, n'est-ce pas? Ce qui signifiait pour moi qu'il avait été conçu en laboratoire par des scientifiques dont les idées étaient celles des anciens nazis! Un retour du passé dans le présent, mon cher lecteur? Un consortium d'extrême droite désirant bâ-tir une nouvelle civilisation? Possible! Mais si vous voulez connaître tous les détails sur la prochaine ex-tinction de l'humanité lisez mon livre " la crise de la fièvre bleue" Ah!Ah!Ah! Un roman d'anticipation où je racontais l'histoire d'un savant fou dénommé le professeur Banbilock qui avait conçu le virus de la fièvre bleue ainsi que son antidote pour prendre le pouvoir sur la planète! Tout en soulignant à notre cher lecteur que le professeur voulait rester un homme tout à fait réaliste en ne voulant exterminer que 50% de la population mondiale. Car entre nous, mes amis, que serait alors un monde où il n'y aurait plus pers-onne à gouverner? Ah!Ah!Ah! Décidément, j'étais pas loin de devenir fou en pensant que le rêve du pro-fesseur était en train de se réaliser sous nos yeux avec le coronavirus! Avec l'intime conviction qu'il s'ag-issait pour l'instant d'un premier essai sur la population avant de balancer le big virus qui décimerait la moitié de la population! Désormais, nos abris anti-atomiques ne serviraient plus à rien dans ce monde épidémique où les virus pouvaient passer par les gaines d'aérations, n'est-ce pas, mon cher lecteur confi-né dans ses pensées post-apocalyptiques? A ce propos, mais pourquoi n'envisagerions-nous pas la conce-ption de nouveaux abris types anti-viraux qui coûteraient beaucoup moins chers que ces abris anti-atomiques faits en béton armé de plus 2 mètres d'apaisseur? Une fois de plus, je remarquais que les idées ne nous manquaient jamais quand nous étions proches de la fin du monde où au bord de la mort, Ah!Ah!Ah! Et que tout compte fait, cette idée de vie éternelle après la mort me semblait tout à fait crédible qu-and vous croyez en Dieu, bien évidemment. Quant aux autres qui ne croyaient en rien sauf qu'a leur vie réelle, le rien serait leur misérable destin, Ah!Ah!Ah! Mais moi qui croyait en Dieu, j'avais d'admirables projets pour ma vie après la mort! Car pour l'instant la vie auprès de mes semblables m'avait beaucoup déçu, puisque ces derniers ne pensaient qu'à leurs petits interêts personnels, bref, comme le coronavirus qui voulait absolument survivre par instinct de conservation. Et je pensais sincèrement que la survie ne soit pour nous qu'une misérable chose en sachant qu'une vie était digne d'être vécue quand on la vivait pleinement, n'est-ce pas? Puisque mourir sans avoir vécu pleinement, alors qu'on avait eu le choix, nous assurait une mort indigne et pleine de souffrances morales! Mais ne soyons pas trop méchants avec nos semblables qui toute compte fait étaient des clônes ignorant toutes ces choses évidentes pour nous. En n' étant que des fantômes qui étaient passés sur la Terre en un coup de vent, Ah!Ah!Ah! Mais pour revenir à notre sujet, il est vrai que mon livre prophétique " la crise de la fièvre bleue " était passé inaperçu auprès des maisons d'éditions, alors qu'il nous révélait notre avenir. Visiblement, la connerie avait atteint les pl-us hautes sphères intellectuelles de la socièté française. Mais une chose parfaitement prévisible par nous-mêmes en sachant que la dégénérescence mentale avait gagné toutes nos institutions républicaines, Ah!Ah!Ah! Et il parait, d'après des informations que j'ai lues sur Internet, qu'Emmanuel Macron était en train de dévenir fou à cause de son incompétence à gérer la crise du Covid-19! Tout en spéculant pour 2022, aux prochaines élections présidentielles, la chute de son gouvernement à cause de l'effet Covid-19 et de la crise économique qu'il aura engendré. Mais prions, mes chers concitoyens, que le coronavirus ne terra-sse pas notre petit président avant les élections de 2022. Car nous voulons absolument le voir tomber de son illustre piedestal décidément bien trop grand pour lui, Ah!Ah!Ah! A propos des commerçants qui creusaient leurs tombes depuis la crise des gilets jaunes, de la réforme des retraites et maintenant avec la crise du coronavirus, j'étais convaincu que leur fossoyeur s'appelait Emmanuel Macron. Au point d'avoir vraiment pitié pour ces derniers qui avaient voté en 2017 pour un homme qui serait désigné par les his-toriens, comme une calamité pour la France, Ah!Ah!Ah!

Bref, la malédiction de Monsieur Macron dont j'ai déjà parlé dans ce livre destiné à la postérité, car hors du commun! Cette nuit, bizarrement, j'ai fait un drôle de rêve où je participais à un jeu télévisé où l'on me proposait de gagner un million de dollars si j'arrivais à traverser un désert sans une goutte d'eau! Bien évidemment, nous serions tous équipés d'une caméra GoPro pour filmer notre longue agonie, puis notre mort en direct, mais aussi la joie du vainqueur pour le plaisir des téléspectateurs, Ah!Ah!Ah! Sans oubli-er la grande imagination des organisateurs qui nous proposaient de prendre deux litres d'eau avec nous, mais de gagner seulement 500 000 dollars ainsi de suite. Décidément, un jeu très modulable selon la folie des participants, n'est-ce pas? Mais pour une raison inconnue, je me suis réveillé brutalement de mon rêve au moment où j'allais accepter ce jeu voué à ma mort certaine où un hélicoptère m'attendait pour me déposer au milieu d'un désert aride! Au bout du compte, j'étais plutôt un garçon raisonnable en stopant ce rêve diaboloque au bon moment, n'est-ce pas, mon cher lecteur, Ah!Ah!Ah! Pour l'instant, je n' avais pas analysé ce rêve dont les ingrédiens étaient plutôt farfelues à moins que vous en saviez plus que moi, mon cher lecteur? Ah!Ah!Ah! Mais j'attendrai avec impatience votre analyse sur les réseaux sociaux où votre férocité virtuelle me mettra en bouillie pour chien, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos de ces choses, chargées de symboles très forts pour nous, j'ai remarqué ce matin en entrant dans mon salon que mon horloge murale avait rendu l'âme en indiquant 16H30! Au début, je pensais que c'était à cause des piles. Mais en les remplacant, celle-ci ne me montra aucun signe de vie en entendant plus son tic-tac chaleureux qui avait accompagné ma vie dans cet appartement durant au moins 25 ans en présence de ma tendre mère qui n'était plus de ce monde! Décidément, en cette période de confinement, le moindre choc émotionnel semblait nous ébranler fortement et nous abattre moralement, n'est-ce pas? Bien que je sois très bricol-eur, en ayant un bagage de technicien, j'aurais pu la réparer. Mais sachant que les aiguilles de cette horl-oge avait fait trois fois le tour de la terre, j'y renonçais ainsi que pour m'éviter d'éprouver de la nostalgie pour un objet somme toute banal! Car je tenais absolument à ma santé mentale durant cette période de confinement où le moindre évènement pouvait nous faire péter les plombs! Comme hier, dans la rue du Mail, où j'ai rencontré une connaissance, mais qui n'était pas un ami, qui ne faisait que de me contredire à propos du chômage partiel qu'il n'avait semble-t-il pas bien compris. Car récemment, j'avais appris le dépôt de bilan du "bull Café"( un café situé sur la place la Croix-Rousse), car le patron ne pouvait pas payer d'avance ses salariés même s'il savait qu'il serait remboursé par l'Etat! Bizarrement, mon idiot de service ne croyait pas un mot de ce que je lui disais en pensant que l'employeur n'avait rien à verser à ses salariés puisqu'ils étaient en chômage partiel! Visiblement mon idiot n'avait rien compris au chômage partiel ni à l'Etat qui ne donnait rien de gratuit aux employeurs, mais leur accordait des prêts qu'ils devai-ent rembourser plus tard, bien évidemment. Bref, voyant mon idiot de service me contredire pour avoir simplement raison, je l'ai insulté et je suis parti en espérant ne plus jamais le revoir! En fait, j'avais le sentiment que les débiles mentaux couraient en ce moment dans les rues pour évacuer leur stress lié à l' épidémie de coronavirus qui les rendait complètement fous, Ah!Ah!Ah! Une possible mutation du Covid-19 en virus de la vache folle? Mon cher lecteur, je vous laisse méditer sur cette question ultra urgente pour notre socièté française en décomposition. Hier, sur Internet, j'ai entendu le coup de gueule de Phili-pe Etchebest où il disait clairement que c'était lui pour l'instant qui payait le salaire de ses 60 salariés de ses restaurants avec l'optique de déposer le bilan si on autorisait pas les restaurants à rouvrir dans les prochaines semaines! Décidément pour notre pauvre Phillipe Etchebest, c'était cauchemar en cuisine, Ah!Ah!Ah! Mais sans vouloir trop rire de la situation, car c'était trop grave! Allez, bon courage Philipe et tous les covidés du 3 ème millénaire en espérant que le confinement ne soit pas prolongé pour d'idiotes raisons de pouvoir! Ce à quoi on pourrait s'attendre avec notre gouvernement de fantoches!

Toujours à propos de ces cauchemars que je faisais pendant ce confinement, cette nuit pour une raison mystérieuse, je me trouvais à la NASA où je travaillais comme technicien! Pour planter le décor, la fusée était sur le pas de tir et n'attendait que l'accord du centre de contrôle pour décoller. Quand subitement, un ingénieur me demanda d'aller vérifier dans la fusée un module qui semblait montrer une défaillance. Au-ssitôt, je pris ma caisse à outils pour aller le dépanner. Mais pour une raison étrange, je m'égarai à l'intér-ieur de la fusée en ne trouvant pas l'endroit exact où se touvait le module défectueux. Quelques instants plus tard, à ma grande stupeur, j'entendis la fusée décoller avec moi à l'intérieur! Etrange ce rêve, non? Celui-ci dissimulerait-il un côté poissard de ma personnalité que j'ignorais complètement? Ah!Ah!Ah! Qu'en pensez-vous, mon cher lecteur, qui commençiez à me connaitre depuis plusieurs années en me sui-vant sur mon site Internet? Etions-nous proches de la vérité? Mais pour l'instant, par manque de courage, je me refusais d'analyser ce rêve totalement absurde pour moi. Peut-être s'agissait-il d'une crise paranoïa-que provoquée par mon confinement en y voyant comme un complot contre ma personne ou bien d'une envie de quitter la Terre parce que je ne supportais plus mes semblables atteints de dégénérescence men-tale? Ah!Ah!Ah! Tout cela me semblait fort crédible avec le sentiment d'avoir développé en moi, un déni de réalité où le coronavirus n'était pas étranger, me semble-t-il. Et vous, mon cher lécteur, étiez-vous att-eint de la même maladie que la mienne, mais sans vous l'avouer de peur d'apprendre la terrible nouvelle? Oui, je sais beaucoup de questions en ce moment. Car qu'est-ce au juste le confinement, sinon l'enferme-ent sur soi-même où la folie nous guettait à chaque instant? Tout en assurant à mon cher lecteur que sur mon site Internet, nous étions entre nous et que nous pouvions en toute honnêteté nous avouer qu'on était tous en train de devenir fous, Ah!Ah!Ah! Pensiez-vous alors à une nouveauté ou à l'évolution norm-ale des hommes et des femmes depuis le début de l'humanité? Sans aucun doute, une question hautement philosophique, mais inutile de nous cacher sachant que notre guérison consistait à mettre des mots sur notre mal incurable! Et je me demandais souvent, en regardant l'état dégénéré de l'humanité, si elle avait loupé quelque chose d'important pour constater aujourd'hui son état déplorable? Ah!Ah!Ah! En étant tous enfermés dans un même lieu où nous nous posions sans cesse cette même question : mais qu'avions nous loupé d'important dans notre vie pour être des éternels insatisfaits ou malheureux? Ainsi se passa-ient nos longues soirées en tête à tete où nous nous racontions nos échecs et nos éternelles insatisfactions afin de savoir comment nous étions tombés dans ce no man's land où la vie s'était retirée, Ah!Ah!Ah! Assis face à face, nous observions nos visages de monstres, mais que personne ne voulait reconnaitre de peur d'être démasqué, Ah!Ah!Ah! Bref, celui de l'humanité! A d'autres étages de ce bâtiment désaffecté, on entendait d'autres comités de personnes fêter bruyamment leur réussite sociale en se prenant pour des meneurs d'hommes où la vantardise atteignait des sommets, Ah!Ah!Ah! Aux étages supérieurs se trouv-aient des groupes de sages qui réflechissaient sur le destin de l'humanité en proposant aux hommes des choses simples et essentielles pour qu'ils redeviennent heureux! En ressemblant à une vraie quadrature du cercle où tout le monde savait ce que son voisin possédait qui idiotement s'en vantait en public, Ah!Ah!Ah! Bref, il était évident qu'en regardant nos écrans de télévision, assis sur nos canapés, nous ne faisions que remuer le couteau dans la plaie en convoitant le succés des autres!

Décidément, le progrès technique, une fausse bonne idée pour accéder au bonheur? Avec le grand probl-ème qu'à la télé tout le monde se prenait pour des saints, alors qu'ils étaient des monstres en puissance parce qu'ils avaient reussi économiquement, Ah!Ah!Ah! Un fait que la télé ne soit que le miroir de nous-même, n'est-ce pas? Et si nous étions si peu créatifs en ce moment, c'est parce que nous étions devenus les propres spectateurs de notre vie où le débat public, stérile, ne nous offrait plus la possibilité de créa-tions culturelles, mais seulement de vouloir devenir populaire et gagner de l'argent, Ah!Ah!Ah! Et si la post-vérité essayait de résoudre ce problème civilisationnel en déformant le passé, elle faisait fausse rou-te en voulant parler à la place des hommes qui en avaient toute la légitimité! Bref, une imposture où ne se trouvait plus sur la scène de la vie, les vrais acteurs, mais des imitateurs ou des comédiens si vous voulez! Du point du Shakespearien, étiez-vous un vrai acteur qui agissait dans le réel sans aucun filet de sécurité ou bien un comédien dont le rôle était écrit d'avance? Tout ceci me faisait penser tout particu-lièrement à Robert de Niro, la star mondiale, qui pour moi n'avait aucun mériite. Car tous ses rôles éta-ient taillés sur mesure pour lui par des scénaristes qui lui concoctaient des rôles aux petits oignons, Ah!Ah!Ah! En fait, dans tous ses films, il jouait toujours le même rôle, celui de Robert de Niro le comédien aux multiples facettes de même que Tom Cruise dont les rôles taillés sur mesure exprimaient un jeu froid et sans humour, bref, tout le contraire de Robert de Niro! Mais il faut de tout pour plaire au public, n'est-ce pas? Si je vous parlais de tout cela, c'est parce que j'avais lu la dernière fois sur Internet, une tribune où des stars mondiales, comme Robert de Niro, Juliette Binoche etc s'exprimaient d'une manière délirante sur l'après déconfinement où notre mafieux de service se prenait pour un prophète en nous ann-onçant bientôt la fin du monde si nous changions pas notre façon de vivre et Juliette Binoche prévoyait un futur complot de Bill Gates pour prendre le contrôle de la planète en nous insérant une puce électr-onique sous la peau sans omettre aussi ce grand délire où parait-il la 5G nous transmettait le virus du coronavirus par les ondes, Ah!Ah!Ah! Décidement, des comédiens, certes de grands renoms, mais qui en ce moment perdaient complètement la boule en confondant le cinéma avec la vraie vie, Ah!Ah!Ah! En fait, les seuls personnes habilités à changer le monde étaient les génies qui je vous le rappelle agissaient sans aucun filet de sécurité, bref, comme moi, Ah!Ah!Ah! Bref, tout le contraire des comédiens et des hommes politiques dont les rôles étaient écrits pour les uns par des scénaristes et pour les autres par les institutions, n'est-ce pas? Et si vous trouviez, mon cher lecteur, que la vie politique française ressemblait aujourd'hui à une vase comédie, ce n'était pas bien surprenant, Ah!Ah!Ah! Car nos hommes politiques n' étaient que des comédiens grimaçant les grands hommes du passé et qui bien évidemment n'assumeraient aucune responsabilité sur leurs actions puisqu'ils ne jouaient que des rôles distribués par nos institu-tions! Oui, bien sûr, vous allez me dire qu'il en fallait bien, car notre pays risquerait de s'éffondrer? Oui, cela est vrai. Mais alors jusqu'à quand cette vaste comédie où les escrocs grimaçaient comme des singes et pourquoi pas jusqu'à la fin des temps? Ah!Ah!Ah! Toujours sur le même sujet, mais que dire aussi des écriv-ains qui plagiaient à tour de bras les oeuvres du passé pour se croire de grands écrivains? Ah!Ah!Ah! Je ne nierai pas que cela avait un certain charme au début, mais épuisant à la longue! Et quand il m' arrivait d'écouter des émissions culturelles à la radio ou à la télé, j'étais pris soudainement par des naus-ées avec le sentiment d'assister à l'enterrement du vivant et à l'exhumation d'un nombre incalculable de morts, Ah!Ah!Ah!

Visiblement, nous vivions aujourd'hui dans une culture mortifère qui consistait à déterrer les cadavres du passé, Ah!Ah!Ah! Avec cette grande difficulté d'admettre que nous étions devenus les terrassiers du passé en construisant nos propres tombes! Je sais bien qu'il est dure de l'entendre pour nos universitaires ou défenseurs de la culture qui croyaient détenir la vérité en possèdant la connaissance encyclopédique, alors qu'ils détenaient seulement entre leurs mains les ossements du passé avec ce grand délire de vouloir les réssuciter, Ah!Ah!Ah! Je vous avouerai, mon cher lecteur, en tant que créateur, je n'utilisais jamais la culture pour inspirer mes oeuvres. Car je composais et écrivais en temps réel, c'est à dire sans aucun filet de sécurité grâce à mes sens connectés en permanence au cosmos et à mon environnement proche. Bref, par des révélations qui me guidaient dans la bonne direction afin de connaitre la vérité. Pour moi, seule la révélation nous permettait d'y accéder sans éfforts, alors que la connaissance encyclopédique plombait malheureusement notre intelligence. Et puis, entre nous, mes amis, qui serait contre l'allégement de son cerveau pour accéder à la béatitude? Ah!Ah!Ah! En fait, la vérité était simple comme bonjour, alors que la connaissance alourdissait considérablement nos âmes désirant s'élever dans les cieux éternels! Et si vous êtiez malheureux en ce moment, mon cher lecteur, c'est parce que votre âme était remplie de vieux crapauds, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, l'ignorance serait notre nouvel Eldorado pour redevenir des hom-mes heureux, n'est-ce pas? En comprenant bien que l'ignorance n'était pas le contraire de l'intelligence, mais la condition pour notre retour aux sources de l'étonnement. C'est à dire à une émotion pure qu'il ne fallait surtout pas confondre avec le sentiment d'admiration qui portait un jugement moral, esthétique ou social sur un exploit accompli par un individu ou un groupe. Comme par exemple, un athlète qui aurait accompli un exploit sportif devant lequel je serai en admiration, mais jamais dans le pur étonnement. Car je savais qu'il avait travaillé toute sa vie pour accomplir cet exploit et s'il y arrivait, ce ne serait pas vrai-ment une surprise pour lui ni pour nous, mais la juste récompense de ses éfforts, Ah!Ah!Ah! Bref, tout le contraire de l'étonnement, qui était une émotion pure, surgissant de nulle part parce que imprévisible, n' est-ce pas? C'est comme lorsque j'écrivais ou composais et que les idées m'arrivaient sans véritable refle-xion de ma part, car je n'y avais jamais pensé auparavant. En reconnaissant que la littérature et la musiq-ue étaient des arts divinatoires pour les artistes et les génies. A la condition d'être étonné soi-même par les choses qui nous parvenaient de l'autre monde, bien entendu. Pour des raisons étranges et mystérieus-es, j'ai souvent remarqué que cet autre monde était difficilement localisable par nous-même. En constat-ant, non sans frayeur, que les notions de temps et d'espace étaient abolies, comme si nous accédions à des temps éternels pour atteindre le monde des révélations! Bien évidemment, le chemin qui y menait était totalement mystérieux, sans aucun panneau indicateur, comme un labyrinthe qu'il fallait à chaque fois emprunter avec le risque de s'y perdre et de ne pas trouver l'accès à ce monde magique. C'est pourquoi, les gens qui n'aimaient pas prendre de risques dans la vie n'avaient aucune chance d'y accéder et comme disaient très justement les poètes : seuls les voleurs de feu étaient aptes à connaître la vérité puisqu'ils ne pas fermeraient pas les yeux devant la terrifiante vérité, Ah!Ah!Ah! Mais en fait, une vérité qui n'était pas si terrifiante pour l'homme ou la femme qui ne trichait pas avec lui-même, ce qui était assez rare de tro-uver parmi nos semblables. Parce que de savoir qu'on allait mourir un jour choquait uniquement ceux qui ne croyaient pas à la vie après la mort, n'est-ce pas?

Et que ceux qui ne croyaient pas en cet au-delà, je ne dis pas forcément en Dieu, n'étaient pas des fous, mais des imbéciles, Ah!Ah!Ah! Comme le bourgeois bien installé dans sa vie matérielle qui n'aura jamais aucun génie ni le gauchiste qui ne croyait qu'en l'homme et à la vie sociale, Ah!Ah!Ah! Par tout ce que je venais de vous apprendre, mon cher lecteur, il me semblait avoir atteint cet autre monde sans savoir com-ment. Car en ce moment, je suis seul dans ma chambre, assis devant mon ordinateur, où j'écris ce que l'autre monde me dicte en étant un receptacle idéal pour lui. C'est à dire un intermédiaire sûr et honnête qui ne déformerait pas son message de haute importance. Et pour être pédagogique envers mes sembl-ables, car je veux que mes secrets doivent aussi servir à ceux qui voudraient accéder à cet autre monde, je leur dirais qu'il suffisait d'un simple déclic pour y parvenir. C'est à dire d'écouter le plus honnêtement possible ses pensées qui défilaient dans son esprit. Ce qui paradoxalement ne demandait aucun travail ardu, mais une écoute attentive de son propre corps, car notre corps nous parlait avec ses mots à lui! Il parait même que Socrate, le plus grand philosophe de tous les temps, avait une pratique bien particulière pour accéder aux véritès éternelles en s'installant au milieu d'une piéce dans la pénombre, assis sur une chaise, où immobile il regardait ses pensées défiler dans sa tête. Et quand une pensée lui semblait intéres-sante à étudier, il la photographiait par l'esprit et l'enregistrait dans sa mémoire. Ainsi, il avait dans sa tête une image de la vérité qu'il pourrait ressortir quand il voudrait l'étudier de près grâce à un zoom inté-rieur. De ce fait, on remarquait que l'immobilité du corps était essentielle pour accéder à cet au-delà où nous attendait toutes les vérités du monde! Mais une chose évidente pour les artistes et les génies qui cré-aient souvent à partir d'une page blanche ou d'un instrument de musique d'où ils attendaient un miracle, Ah!Ah!Ah! Et mystérieusement, souvent ce miracle se produisait où la page blanche se remplissait d'idé-es et d'histoires fabuleuses de même qu'une mélodie s'échapper d'un instrument où les cordes ne demand-aient qu'à vibrer! Avec le sentiment que mon corps n'était qu'une menbrane vibratoire sensible aux vibra-tions du monde et du cosmos. Et paradoxalement, lorsque je sortais dans la rue, je n'essayais jamais de ressentir les problèmes des gens( qui produisaient énormément d'ondes négatives et sans aucun interêts pour nous parfaire), mais seulement l'ambiance générale qui me donnait plus de précisions sur l'Etat du monde ou de notre socièté Occidentale! Et que les soucis souvent exagérés de mes semblables, nous enf-ermaient à l'intérieur d'un gros nuage qui nous cachait la vérité ou le ciel bleu! Et en les cotoyant quoti-diennement, j'étais obligé de réduire ma voilure vibratoire pour ne pas devenir fou, Ah!Ah!Ah! Vibrer, oui, mais pour des choses qui en valaient le coup, bien évidemment! Ainsi, l'ignorance et l'étonnement seraient nos guides pour parvenir à ce monde magique où nous attendait les révélations et les prophétiqu-es! A ce propos, j'étais très étonné en ces temps épidémiques qu'on ne parlait pas de Nostradamus et de ses célèbres prophéties! Car cet homme exceptionnel, medecin et alchimiste, avait survécu à la peste bub-onique de 1530 en Provence où sa femme et son fils avaient malheureusement succombè!

Il parait, d'après ses biographes émérites, qu'il avait survécu grâce à une potion qu'il avait réalisée lui mê-me à partir de plantes qu'il laissait infuser dans de l'alcool et la complètait d'une formule magique avant de la boire! Mais à ce sujet, il resta très prudent sur son éfficacité sachant que cette potion "magique" malheureusement ne sauva point sa femme et son fils de la peste! Pour ma part, je pense qu'il avait eu soit beaucoup de chance soit une santé de fer pour échapper à cette hécatombe humaine! Mais je plan-cherais plutôt pour la deuxième explication sachant que Michel de Nostredame (son vrai nom) ne pouv-ait être qu'un homme exceptionnel par ses dons de prophète même si ses prophéties prêtaient à polémi-que sur ses milles et une interprétation. Mais en tant que prophète, je ne remettrai pas en question ses do-ns de divination. Car durant cette épidémie de coronavirus, étrangement, son nom me revenait sans cesse sur le bout de la langue, sans bien savoir pourquoi, sinon qu'il essayait de communiquer avec moi depuis l'au-delà! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, tous les prophètes communiquaient ensemble au-delà de l'espace et du temps en se tenant la main, comme par un lien invisible. Et si vous ne croyez pas à l'exi-stence de cet autre monde( je ne parle pas forcément de Dieu), vous ne pourrez jamais accéder à la vérité dont le but n'était pas de vous éffrayer, mais de vous aider à gagner la béatitude ou la paix de l'âme. A ce propos, je faisais souvent le même rêve où je m'enfonçais dans la nuit noire en apercevant au loin, une petite lumière briller qui semblait m'indiquer la bonne direction à suivre. Sans douter un seul instant que cette direction fut celle de ma prochaine résurrection ou de ma seconde vie! D'après mes propres songes, j'aurai accès à 7 vies, c'est à dire à une existence terrestre de 7 fois 80 ans= 560 ans! Oui, je sais que ça parait extravagant, mais c'est je crois mon destin de prophète d'avoir un avenir exceptionnel, n'est-ce pas? Mais pour revenir à notre ami, Nostradamus, peu de gens savaient qu'il avait écrit ses prophéties à un âge assez avancé pour son époque. Et d'après ses biographes à partir d'une cinquantaine d'années, ce qui corr-espondait au 16 ème siècle à l'âge d'un vieillard! Mais qui ne devait pas vous surprendre, mon cher lec-teur, car Platon disait souvent à ses élèves qu'on devenait un sage à partir de la cinquantaine et qu'aupara-vant on avait été un jeune con, Ah!Ah!Ah! Et si pour l'instant, je n'avais fondé aucune famille, je ne m'en inquiètais guère, car je prévoyais en fonder une lors de ma prochaine vie vu qu'il m'en restait encore 6 à vivre soit 480 ans, Ah!Ah!Ah! Et en ce moment, j'occupais mes journées à explorer avec passion ce mo-nde du célibat afin d'épuiser toutes ses libertés ô possibles, mais toutes fois raisonnables, afin de ne rien regretter lors de ma prochaine vie de prisonnier, Ah!Ah!Ah! Paradoxalement, je ne comprenais pas très bien cette soi-disant solitude du célibataire que je n'avais jamais vraiment ressentie. Car en tant que prop-hète, je me sentais jamais seul en dialoguant constamment avec mes amis, les poètes et les prophètes! Et à ce sujet, nos disctutions étaient sans fin et jamais ennuyeuses, car le rôle que nous avait assigné Dieu était d'orienter les hommes vers la sagesse et la béatitude! Sans vous cacher que je n'étais pas un saint en tant que célibataire, mais en me vantant jamais de mes prouesses sexuelles ou autres en comprenant bien que tout ceci fut un mauvais exemple à donner à mes semblables, Ah!Ah!Ah! Et que pour vivre heureux, en tant que célibataire, il fallait vivre caché pour ne pas être mis en bouillie sur les réseaux sociaux par nos contemporains, Ah!Ah!Ah! Mais sans pour autant sacrifier la vérité pour avoir une pseudo gloire au-près des médias, bien évidemment!

J'ai remarqué récemment, quand on avait comme moi aucun compte à rendre à ses lecteurs, qu'on pouva-it les flageller ou les caresser à sa guise, Ah!Ah!Ah! Bref, le rêve de tout écrivain qui malheureusement était empétré dans un rapport de séduction avec ses lecteurs. n'est-ce pas? C'est pour cette raison que je ne regardais jamais les émissions littéraires à la télé où l'on ne parlait pas de littérature, mais seulement de séduction avec le public afin qu'il ouvre son portefeuille et enrichisse les auteurs et les maisons d'édit-ions, Ah!Ah!Ah! En fait, dans ces émissions soi-disant culturelles, alors qu'elles n'en étaient pas puisque économiques, l'écrivain nous racontait aucune histoire extraordinaire qui aurait pu nous captiver et nous élever du sol, mais sa petite success story avec son public où il lui faisait des oeillades en permanence, Ah!Ah!Ah! Bref, adieu à la littérature, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Pour autant, je ne disais pas qu'il était indécent de vivre de sa plume en pouvant se confondre avec le metier d'un boucher ou d'un maçon, car il n'y avait pas de sot metier, mais malheureusement en sacrifiant la littérature sur l'autel de l'argent! Et si au cours de ces émissions, nous constations avec éffroi, la mort indigne de la littérature, c'était bien évidemment pour cette funeste raison! Pour ma part, j'ai toujours pensé que la littérature devait être sans compromis avec ses lecteurs, car son grand souci était de dire la vérité aux hommes même par le truche-ment d'une fiction qui, je vous assure, n'était pas incompatible avec la vérité puisque personne sur la Ter-re ne connaissait toutes les histoires que la vie fut capable d'inventer, n'est-ce pas? Mais de raconter sa petite success story dans ces émisions littéraires devant des millions de télespectateurs, je trouvais ça ind-igne en étant pas le rôle de la littérature, mais des businesmens, Ah!Ah!Ah! Par contre, si vous étiez vrai-ment captivé par la vraie littérature, dont le rôle n'était pas économique, mais transcendental, vous seriez étonné d'apprendre des choses allucinantes auxquelles vous n'auriez jamais pensé auparavant, parce que tout simplement provenant de l'autre monde qui n'était autre que l'Histoire de l'humanité inscrite dans vos gènes! Et si vous étiez comme moi issu d'un metissage entre la race Arabe et Européenne, vous aviez le sentiment de sentir couler dans vos veines deux fleuves immenses qui s'appelaient la civilisation Ori-èentale et la civilisation Occidentale dont les passerelles étaient peu nombreuses, il faut le dire. Car ces derniers ne coulaient pas au même rythme dans votre corps où le fleuve occidental coulait d'une manière rapide et sans interruption vers son destin d'ordre matériel, alors que le fleuve oriental prenait son temps pour couler en faisant de grands détours ou ondulations pour le plaisir de voir s'écouler le temps! Bref, deux grandes philosophies en constante opposition sur la finalité de la vie, n'est-ce pas? Et si je prenais apparemment tout mon temps, mon cher lecteur, pour écrire mon oeuvre, c'est parce qu'il était primordi-ial pour moi de jouir de l'instant. Et que le travail devait passer après la jouissance, Ah!Ah!Ah! En fait, je vous avouerais en toute franchise, mon cher lecteur, que le travail ne m'a jamais procuré aucun palisir, Ah!Ah!Ah! Peut-être que vous aussi? En fait, par toutes ces constatations de bon sens que je venais de vous faire, il me semblait que la littérarure était morte parce qu'elle ne procurait plus aucun plaisir à ses auteurs, mais de grandes angoisses existentielles à propos de leurs carrières professionnelles, Ah!Ah!Ah! Car ils ne jouissaient plus en pratiquant la littérature à cause d'un tyran qu'on appelle le temps qu'ils con-fondaient malheureusement avec l'argent!

Pour ma part, j'ai toujours dissocié le temps et l'argent. Car le temps est pratiquement gratuit pour une personne qui vit simplement, alors que l'argent coûte une fortune en matière de contrainte dans l'existen-ce, n'est-ce pas? A ce propos, en ce moment, je suis en train de composer une nouvelle symphonie que j'ai appelée América, qui est un hymne pour l'Amérique, mais qui n'est pas celle de Donald Trump, Ah!Ah!Ah! J'espère vous la faite entendre bientôt sur mon site Internet où pour moi l'Amérique est un pays imaginaire où tout est possible, comme d'entrapercevoir un nouveau monde s'ouvrir! Pourtant, j'aurais bien voulu écrire un hymne pour la France, mais le simple fait qu'on soit considéré en France par nos éli-tes, comme des minus, les bras m'en sont souvent tombés, Ah!Ah!Ah! Et qu'il est bon d'avoir du temps devant soi pour exprimer ce qui nous tient à coeur ou bien ce qui nous agace pour rester poli. A ce pro-pos, la prochaine fois, je vous parlerai de ces messages publicitaires que je reçois dans ma boite email qui pour la plupart m'agacent et d'autres prêtent plutôt à rire. Comme ceux de ces sociètés d'assurances qui veulent absolument me vendre une convention obsèque, comme si j'étais proche de la mort, Ah!Ah!Ah! Et comme je suis très superstitieux, je n'ose même pas ouvrir le message de peur d'ouvrir prématu-rément le couvercle de mon cercueil, Ah!Ah!Ah! Car j'ai appris( par des statistiques non publiées officie-llement pour ne pas causer la ruine des sociètés d'assurances!) qu'une partie non négligeable de la po-pulation qui avait souscrit une assurance décès mourait dans les deux années suivantes, Ah!Ah!Ah! Bref, de quoi vous donner des sueurs froides, n'est-ce pas, mon cher lecteur? En fait, je crois d'après mes intui-tions, si vous sentiez le besoin de souscrire à une assurance décés, c'est parce que vous sentiez la mort bientôt arriver! Bref, un funeste pressentiment que les sociètés d'assurances décès n'ignoraient pas en co-nnaissant parfaitement la psychologie du mort en sursi, Ah!Ah!Ah! Bref, il n'y a pas de fumée sans feu, n'est-ce pas? Toujours pour rester dans la revue nécrologique de mes mortels messages( que je supprime aussitôt de ma boite email afin qu'il ne m'apporte pas la poisse), il y en a tout particulièrement qui m' indigne lorsqu'un astrologue ou un gourou soutient qu'il a des choses très importantes à me dire conc-ernant mon avenir, Ah!Ah!Ah! Sincérement, je trouve cela insultant pour le prophète que je suis, qui con-nait parfaitement son avenir en étant tout particulièrement habilité à lire le destin des autres et non l'inv-erse n'est-ce pas? Mais bon, sur Internet, on était dans la cour des miracles ou si vous voulez dans la ca-verne d'Ali Baba où tout le monde se prenait pour une personne importante parce qu'il avait soit un petit pécule de côté soit un gros ordinateur avec deux processeurs à double coeur, Ah!Ah!Ah! Bref, la plus grande démocratie virtuelle du monde où les escrocs pullulaient en toute impunité au milieu des vrais génies qui passaient alors inaperçu. Pour exprimer leur monstrueux orgueil qui à la moindre occasion montaient sur leurs grands chevaux parce qu'ils étaient des médiocres dans la vie réelle, Ah!Ah!Ah. En voulant simplement dire à mes chers lecteurs et lectrices que de consulter un astrologue ou un soi-disant médium sur Internet ou dans la vie réelle n'était pas anodin, car vous risquiez d'être sous son emprise! Et celui qui vous le dit n'est pas n'importe qui, mais un prophète qui sait de quoi il parle où il est tout à fait possible que vous y perdiez votre âme! En fait, ce qui différenciait un astrologue d'un prophéte, c'est qu' un astrologue ne croyait pas forcément en dieu et risquait de vous orienter vers une mauvaise direction en voulant multiplier vos consultations par appât du gain où vous risquiez de dépendre tout simplement de lui!

Et si statistiquement, les femmes consultaient le plus les voyants ou les astrologues, c'est parce qu'elles étaient très superstitieuses, mais surtout parce qu'elles aimaient se faire commander, Ah!Ah!Ah! Bref, tout le contraire de moi qui étais très superstitieux, mais qui avait horreur de recevoir des ordres, Ah!Ah!Ah! C'est je pense, ce qui défférentiait les hommes des femmes, n'est-ce pas? En fait, les voyants et les astrologues abusaient tout simplement de la faiblesse des gens pour avoir de l'emprise sur eux. Mais une chose que je pouvais aussi comprendre sachant qu'autour de nous, il y avait beaucoup de gens faibles qui ne demandaient qu'une seule chose qu'on s'occupe d'eux, car ils n'avaient aucun but dans la vie, Ah!Ah!Ah! La raison pour laquelle, je n'avais personnellement aucune animosité envers les astrologues ou les voyants, car ils auront toujours de la clientèle, comme les scientologues. Et pour aller toujours plus loin, mon cher lecteur, qu'est-ce le pôle emploi sinon un cabinet d'astrologues qui s'occupe d'assistés sociaux en voulant garder une emprise sur ses allocataires, Ah!Ah!Ah! Bref, un cabinet institutionnel que je pour-rais appeler sans problème, le bureau des légendes quant à son éfficacité à vous trouver du travail, Ah!Ah!Ah! Mais ne soyons pas haineux envers ces astrologues institutionnels qui entretienent le rêve chez tous les chômeurs qui, je vous le rappelle une seconde fois, veulent qu'on s'occupe d'eux pour n'avoir aucun but dans la vie, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais une chose difficilement saisissable par la majorité des gens, mais qui est bien une réalité, comme les SDF que je croise tous les jours sur la petite place de la Croix-Rousse qui semblent attendre la fin du monde, Ah!Ah!Ah! Mais que dire aussi des restos du coeur, sinon qu'il est un monde merveilleux où l'on s'occupe formidablement bien des faibles! Décidément, mon cher lecteur, il faut de tout pour faire un monde où le plus important est de savoir si vous faites partie des faibles ou des forts? Tout en vous assurant que le fort n'est pas pour moi cet homme brutal, comme le dit la légende, mais celui qui a tout compris en utilisant la force uniquement contre les imbéciles et non contre les faibles, car les imbéciles sont des arrogants. Et si aujourd'hui, nous constations beaucoup de violence dans notre socièté, c'est parce qu'il y avait apparemment de plus en plus d'imbéciles, Ah!Ah!Ah! Comme dans la crise des gilets jaunes où la majorité des manifestants avait une situation et des revenus, mais voulait braver le gouvernement parce qu'elle était devenue arrogante en voulant plus de fric! Et les évènènents aux Etats-Unis, suite à la mort d'un afro-américain qui avait payé un soda avec un faux billet de 20 dollars, n'y échappaient pas! Car si tragique soit la mort de cet homme, elle ne devait aucunement embraser toute l'Amérique, n'est-ce pas? En fait, je pense que si cet évènement avait pris une telle ampl-eur, c'est parce qu'une armée d'imbéciles avait récupéré le mouvement pour braver Donald Trump! Sans vous cacher un seul instant, mon cher lecteur, que les faibles ne participaient jamais à ce genre d'évènem-ent haineux, car ils n'avaient aucun but dans la vie et quant à les voir un jour s'en prendre aux institutio-ns, vous le ne verrez pas de sitôt, je vous l'assure, Ah!Ah!Ah! Comme ce grand fantasme chez la plupart des communistes s'imaginant un jour rassembler tous les chômeurs dans la rue pour manifester contre le gouvernement et puis le renverser, Ah!Ah!Ah! Je vous assure, mon cher lecteur, que vous le ne verrez jamais de votre vivant à moins que toute la population française tombe dans un chômage de masse, bien évidemment. En fait, shakespeare avait déjà tout dit à ce sujet dans sa célèbre tirade : Etre ou ne pas être, là est la question où il s'agissait de savoir si vous faisiez partie des forts, des faibles ou des imbéciles?

Apparemment, le monde était divisé en trois catégories de personnes où les plus méchants étaient les im-béciles, Ah!Ah!Ah! Et aujourd'hui, les imbéciles s'appelaient les gauchistes! Car leur idéologie étant mo-rte d'elle-même, ils n'avaient plus aucun combat politique à mener ou à se mettre sous la dent sauf celui du racisme et de l'antisémitisme. Mais entre nous, mon cher lecteur, ce combat fut-il un vrai programme politique pour la majorité des Français qui, ne l'oublions pas, était blanche et non juive, n'est-ce pas? Ce qui ne signifiait en rien qu'elle soit raciste ou antisémite, mais qu'elle avait relégué ce débat dans le pa-ssé, comme l'idéologie socialiste qui aujourd'hui n'avait plus aucune réalité! Je sais qu'il est dur d'enten-dre la vérité pour ces vieux dinosaures, mais il faut leur dire, même si j'ai toujours considéré les gens de gauche comme des gens très généreux avec l'argent des autres, Ah!Ah!Ah! Mais vu leur imminente dispa-rition de la vie politique, ne leur faudrait-il revenir à une vraie générosité qui est le don de sa personne qu'on appelle l'humanisme? Voyez comme j'entrevois pour les gauchistes, un nouvel avenir, mais qui leur coûteront certainement des larmes et du sang, ce dont ils ne sont pas prêts à verser tels que je les co-nnais, Ah!Ah!Ah! Car leur programme politique a toujours été de l'esbrouffe consistant à faire rêver les pauvres sans se mouiller la chemise, ce que n'importe quel imbécile est capable de faire même mon chien qui lorsqu'il a faim me montre qu'il m'aime, Ah!Ah!Ah! En fait, le mensonge avait duré trop longtemps pour nous tous où les dernières manifestations concernant la mort de George Floyd et d'Adam Traoré re-ssemblaient aux derniers soubressauts de la gauche brandissant l'étendart de l'antiracisme puisqu'elle n' avait plus aucun programme politique à offrir au peuple! A ce propos, dans cette triste histoire, si George floyd n'avait pas essayé de fourguer de la fausse monnaie dans une épicerie et ne s'était pas opposé à son arrestation, il serait toujours vivant! Mais comme aujourd'hui plus personne ne voulait être arreté même en flagrant délit à cause des nouvelles moeurs des délinquants, comme Adama Traoré qui dealait de la dr-ogue (car pourquoi fuir à l'approche des gendarmes?) tout devenait alors possible, n'est-ce pas? En fait, ce que beaucoup de gens avaient oublié, c'était le risque qu'on prenait à chaque fois qu'on agissait ou disait des choses contre l'autorité! Moi même qui disais la vérité sur mon site, je prenais un risque mais que j'assumais entièrement, car j'aimais prendre des risques étant donné ma nature joueuse! Comme je le crois pour George Floyd et Adama Traoré dont le jeu avait mal tourné, malheureusement! Qu'en dire, sinon qu'ils n'étaient aucunement des héros( au contraire de ce que pensaient les gauchistes!), mais des victimes de l'argent, n'est-ce pas? En fait, ce qui ressortait de cette triste histoire, c'est que personne ne voulait qu'on dise sur la place publique qu'un des siens était un petit dealer ou un petit escroc pour ne pas ternir l'image de sa soi-disant belle famille, Ah!Ah!Ah! Ce qu'essayait maladroitement de cacher, le bruit assourdissant des manifestations antiracistes, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Bref, un rôle parfait pour les gauchistes dont les manoeuvres politiques ont toujours été de cacher la vérité au peuple! Voilà mon sentiment sur ces choses démesurées qu'on apercevait aujourd'hui où un faux billet de 20 dollars et 50 grammes de shit avait entraîné la mort de deux hommes! Mais bon, il parait qu'on pouvait mourir po-ur moins que cela, comme pour une cigarette ou bien pour un regard lancé de travers à un individu dans la rue, n'est-ce pas? Bref, ne soyons pas hypocrite, mon cher lecteur, car c'est la vérité qui doit triompher et qu' elle soit belle ou pas, là n'est pas la question!

Bien évidemment, nos Etats n'établiraient aucune plaque commémorative pour ces deux hommes dont les faits d'armes malheureusement ne comportaient aucune trace d'héroïsme, Ah!Ah!Ah! Mais où l'inititi-ative privée restait toujours possible pour ces cas! Hier, en regardant à la télé encore et encore des man-ifestations gauchistes dans les rues, contre le racisme, je me demandais quand cela s'arrêtera-il et quand on se remettra au travail pour enrichir la France? Certainement pas avec les gauchistes qui par nature étaient de gros fainéants, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je n'avais rien contre les gens qui n'aimaient pas le travail, mais totalement opposé aux gens qui voulaient édifier le non-travail comme système politique pour le peuple en pensant que le travail était une aliénation! Car il y avait des gens qui aimaient travailler pour x ou y raisons( nous n'allons pas rentrer dans les détails), mais dont l'utilité était vitale pour faire fonctionner la société, n'est-ce pas? A ce propos, imaginez, mon cher lecteur, une socièté dégénérée rem-plie de fainéants où plus personne ne voulait faire le pain ou découper la viande pour les consommateurs parce qu'il pensait que le travail dégradait leur dignité, Ah!Ah!Ah! Bref, une totale aberration causée par un délire intellectuel de gauche qui menait a du grand n'importe quoi, n'est-ce pas? Dont les conséquen-ces seraient desastreuses pour un pays qui irait tout droit vers le chaos! Bien évidemment, les Français, qui avaient senti le funeste projet de la gauche de vouloir détruire la France, les avaient rélégué vers la porte de sortie qu'on appelle le passé, Ah!Ah!Ah! Mais je ne pense pas qu'on pourra les changer, ni l'épid-émie de coronavirus, car l'esbrouffe intellectuelle fait partie de leur ADN, Ah!Ah!Ah! Et depuis la crise des gilets jaunes, la réforme des retraites, l'incendie criminel de Notre Dame de Paris par des communis-tes anti-dieu, la crise du coronavirus et le confinement, je voyais la France filer du mauvais coton, Ah!Ah!Ah! Apparemment, par désespoir de cause( en ayant plus aucun programme politique à proposer aux Français), les gauchistes voulaient racialiser le débat politique! Ce qui me semblait une grosse erreur, car la politique en général devait servir la majorité et non les minorités, n'est-ce pas? Mais bon, à force de délirer intellectuellement, ils étaient devenus des idiots qui ne comprenaient plus le b.a.b.a de la politi-que où en France, je vous le répète une nouvelle fois, la majorité de la population était européenne et occidentale! Ce que semblait avoir complètement oublié nos débiles mentaux de gauche en s'entêtant à défendre la cause des mînorités parce qu'ils étaient devenus eux-mêmes une minorité, Ah!Ah!Ah! Mais un projet politique qui, je vous l'assure, n'avait aucun avenir! Car le destin des minorités était de se fon-dre dans le groupe majoritaire qui en Europe ou aux Etats-Unis était formé par les occidentaux dont la philosophe s'appelait le matérialisme! Oui, je sais une dure réalité à encaisser pour les minorités intellec-tuelles ou de couleurs dont les philosophies dataient du 19 ème siècle ou orientales ou africaines! Mais je vous le répète une nouvelle fois, l'occident ne voulait forcer personne à devenir un matérialiste. Car les Grecs, qui avaient donné naissance à la pensée occidentale, nous avaient montré avec génie que les sages avaient eux aussi leur place dans le monde occidental! Mais en regardant les images pitoyables des gauchistes défiler dans les rues d'une manière arrogante, je constatais avec amertume que malheureuse-ment la sagesse ne s'enseignait pas, Ah!Ah!Ah! Pour moi, le débat sur le racisme était un vieux débat qu'il fallait reléguer dans le passé, car il était important pour nous aujourd'hui qu'on s'occupe de notre avenir, n'est-ce pas?

En affirmant sans mépris que les minorités n'avaient aucun avenir, sinon de se fondre dans la grande ma-jorité! Bien évidemment, ce message ne pourrait être compris que par des gens intelligents qui vivaient dans le monde réel et non dans celui des bisounours, Ah!Ah!Ah! Bref, comme dans les médias qui défor-maient la vérité où George Floyd( qui avait un casier judicaire long comme le bras) aurait droit à des fu-nérailles digne d'un roi, Ah!Ah!Ah! Décidément, le monde d'aujourd'hui était devenu complètement hys-térique au point qu'on avait le sentiment de se trouver dans les studios d'Hollywood, Ah!Ah!Ah! Bon, pu-isque nous étions en pleine fantasmagorie médiatique, mais pourquoi pas ressuciter Adama Traoré, com-me semblait le vouloir sa soeur qui demandait à l'Etat français des actes? Personnellement, je ne pense pas que l'Etat soit capable d'un tel miracle avec tous les problèmes économiques qu'il avait à résoudre suite à l'épidémie de coronavirus, Ah!Ah!Ah! Décidément, si je continuais à regarder la télé, j'allais dev-(enir complètement fou! Afin de présever ma santé mentale, je comptais débrancher ma télé pendant une semaine, le temps que ces évènements absurdes et totalement mineurs soient passése en pensant pas qu' ils dureront plus longtemps, Ah!Ah!Ah! Et si aujourd'hui, on accusait la police de tous les maux de la terre( d'être grangrenée par la violence et le racisme), j'étais en vérité peu surpris, car personne n'aimait la police, Ah!Ah!Ah! Pourtant, théoriquement, elle était indispensable pour faire respecter l'ordre dans la cité, n'est-ce pas? Mais quand on y regardait de près, on constatait malheureusement qu'elle arrivait tou-jours après que le crime ait été commis, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Sans oublier, cette peur horrible qu'elle frappe à votre porte pour vous arrêter ou bien vous annoncer qu'un de vos proches était mort dans un accident de la route ou bien assassiné par un psychopathe en liberté! Bref, pas très formidables nos rap-ports avec la police, n'est-ce pas? Vu ce désolant constat observé sur la police, on pouvait se demander en toute légitimité quelle était alors son utilité, sinon d'oppresser la population pour créer une sorte de climat de terreur pour maintenir la paix dans la cité? Tel était semble-t-il l'ambiance complotiste dans la-quelle nous vivions actuellement et principalement véhiculée par les gauchistes en pleine déroute idéolo-gique, Ah!Ah!Ah! Mais sans vouloir défendre la police( pour avoir été menotté plusieurs fois dans ma vie en vous assurant que ça faisait plutôt mal aux poignets!), je n'y croyais guère. Car lorsqu'on avait rien à se reprocher, la présence policière ne gènait personne, sauf lorsqu'elle était en surnombre dans la rue en vous mettant mal à l'aise avec cette impression désagréable de vivre dans une dictature policière, n'est-ce pas, mon cher citoyen? Mais connaissant l'intelligence de la police, elle faisait tout pour passer inaperçu auprès de la population pour ne pas inquièter l'honnête citoyen, bien évidemment. Et si aujourd'hui, les gauchistes accusaient la police de tous les maux de la terre, c'est parce qu'ils avaient forcément quelque chose à se reprocher, n'est-ce pas? Car pourquoi vouloir démolir l'image des forces de l'ordre sinon dire qu'on était un ami du désordre? Apparemment, ils vivaient en ce moment une grosse crise existentielle qui les rendaient complètement paranoiaques et disons même proches de l'hopital psychiatrique, Ah!Ah!Ah! Mais pour lesquels, je comprenais entièrement le mal être au fait qu'ils n'avaient plus de boussole idéologique pour se diriger! Ce que tout le monde pourra comprendre, je pense. Hier, en regardant la télé, j'ai eu la grande surprise de voir, non pas les manifestations habituelles des gauchistes contre le rac-isme et l'antisémitisme, mais celles des policiers qui semblaient très en colère contre leur ministre, Chri-stophe Castaner, qu'ils accusaient de les avoir lâché en les soupçonnant d'être des racistes en puissance!

Bien évidemment, pour cette grande dame habillée en bleu, c'était intolérable d'entendre ce genre de disc-ours au niveau de l'Etat qui ne ferait pas plaisir à la majorité des Français, mais seulement aux gauchistes traditionnellement bouffeurs de curé et de flics, Ah!Ah!Ah! Mais à vrai dire des propos de Christophe Castaner qui n'ont peu surpris. Car avant de rejoindre le groupe Larem d'Emmanuel Macron pour booster sa carrière politique, il était membre du parti socialiste! En constatant avec consternation que notre mi-nistre de l'intérieur avait renoué avec ses vieux démons qu'on appelait le gauchisme, Ah!Ah!Ah! Mon dieu, la politique quel panier de crabes! Et comme j'étais un créatif, je mettrai un nouveau mot dans le dictionnaire afin d'enrichir la langue française. Ce mot serait celui de castanérisation qui signifierait ren-ouer avec ses vieux pour trahir son camp, Ah!Ah!Ah! Et pour ne pas trahir la philosophie de mon livre, j'accusais ouvertement les gauchistes d'aujourd'hui de vouloir opposer les Français entre eux en voulant donner une existence politique aux minorités! Ce qui me semblait de la haute trahison envers leur pays, n'est-ce pas? Décidément, mon "J'accuse" se trouvait à l'opposé de celui d'Emile Zola par les faits d'actu-alités, n'est-ce pas? En vous disant en toute franchise, mon cher lecteur, que l'Histoire ne se répétait jamais sauf pour les imbéciles, Ah!Ah!Ah! En fait, Christophe Castaner était un habitué de la trahison. Rappelez-vous de cette affaire où dans les médias, il avait déballé tous les problèmes conjugaux de son ancien ami Olivier Faure( premier secrétaire du parti socialiste!). En rendant ce dernier furieux en consi-dérant cela comme une trahison envers leur ancienne amitié! Mais il faut vous avouer, mon cher lecteur, qu'en politique, l'amitié ça n'existait pas, car cette dernière pouvait vous plan-ter un beau poignard dans le dos au cours de votre carrière politique, comme l'avait expérimenté avec douleur Olivier Faure, Ah!Ah!Ah! Mais pour être réaliste, un déballage médiatique qui ne fut pas cataclysmique pour le premier secrétaire du parti socialisme ni pour son parti en pleine voie de decomposition, Ah!Ah!Ah! Car aujour-d'hui, nous n'étions plus dans les combats idéologiques, mais dans les potins de l'Histoire, Ah!Ah!Ah! Enfin, nous savions à quelle catégorie d'homme Christophe Castaner appartenait où trahir les policiers fut chez lui, comme un reflexe naturel, Ah!Ah!Ah! Et si Emmanuel Macron l'avait pris dans son gouvern-ment, c'était par stratégie, car le traitre avait en sa posséssion beaucoup d'informations sur la vie intime de ses ex-compagnons du parti socialiste en vu de les descendre un jour! Mais bon, entre nous, à quoi pouvait bien servir de descendre ses adversaires politiques qui à vrai dire n'avaient aucun avenir polit-ique, comme Olivier Faure ou bien Jean-Luc Melenchon? Ah!Ah!Ah! Car le gauchisme n'avait plus au-cun avenir, sinon de jouer aux pantins dans les médias, n'est-ce pas? Comme hier dans la manifestation des soignants que j'ai trouvée très malvenue, alors que nous sortions à peine du déconfinement pour rela-ncer l'économie. Apparemment, une bande d'imbéciles gangrenée par des gauchistes et des anarchistes qui n'avaient eu eu aucun scrupule à affronter les forces de l'ordre! J'ai même vu dans les images, une infirm-ière en blouse blanche lancer des projectiles sur la police. Décidément, une image choc! Sans oublier cette image honteuse pour un groupe de manifestants qui s'est précipité sur un policier tombé au sol pour le lincher! Mais sans vouloir défendre les forces de l'ordre, je trouvais cela d' une grande lâcheté de battre un homme à terre, n'est-ce pas? Et si vous pensiez que les soignants n'étaient pas complices, vous pou-viez bien vous mettre un doigt là où je pense, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, les soignants n'étaient pas des cerveaux, mais seulement des larbins au service des hôpitaux, n'est-ce pas?

Et comme je l'ai dit à maintes reprises dans mon livre iconoclaste, la recrudescence de la violence dans nos sociètes occidentales était la conséquence d'une augmentation importante du nombre d'imbéciles, Ah!Ah!Ah! Je ne sais pas si c'était la faute à l'Europe ou à l'Education Nationale, mais apparemment aux deux, Ah!Ah!Ah! Pour résumer ma pensée, je dirais en toute franchise que les soignants, vu leur état de santé mentale déplorable, devraient aller se faire soigner, Ah!Ah!Ah! Hier, suite à la désolante prestation des soignants sur la place des Invalides( s'agissait-il d'une pure coincïdence ou bien d'un choix mûrement réflechi par une bande de débiles mentaux?), j'ai entendu Patrick Pelloux, l'urgentiste des causes perdues, perdre ses nerfs, Ah!Ah!Ah! J'espére seulement dans le cas où j'aurais un accident qu'il ne vienne pas me secourir avec cette peur horrible de me faire soigner par un journaliste, Ah!Ah!Ah! Quoiqu'on en dise, puisque les médias étaient de gauche pour des raisons de démagogie politique, l'incendie contestataire en France continuerait tant qu'ils ne cesseraient pas de mettre de l'huile sur le feu, n'est-ce pas? Et compte tenu que je n'avais jamais applaudi aux soignants durant le confinement( en estimant que c'était leur tra-vail de sauver des vies), je me sentais aujourd'hui en parfaite tranquilité avec ma conscience, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'Urgences, hier soir, j'ai vu un film étonnant avec George Clooney où le beau gosse était trompé par sa femme! Décidément, un film pas du tout crédible pour moi, mais aussi pour le public féminin, je pense! Et pourquoi pas apprendre un jour, le suicide de Rocco Siffredi parce qu'il n'arrivait plus à bander, Ah!Ah!Ah! Pour parler plus sérieusement, quand je regardais actuellement la télévision, j'entendais beaucoup d'aneries à propos du soi-disant racisme dans la police. Car celle-ci ne l'était pas d' une manière institutionnelle, mais professionnellement, Ah!Ah!Ah! En étant malheureusement emmerdée toute la journée par la petite délinquance qui était constituée par des magrébins et des blacks! Mais des mots visiblement qu'on ne voulait pas prononcer dans les médias par la crainte de voir les Français voter pour l'extrème droite! Ce que les médias redoutaient en étant positionnés à gauche, bien évidemment. Mais en les trouvant bien méprisant envers les Français qui ne croyaient pas un seul instant que tous les Arabes et les Blacks étaient des voleurs ou des trafiquants de drogue, sinon les imbéciles ou les racistes? Car il s'agissait bien ici d'une petite minorité de voyous comme Adama Traoré, de George Floyd ou de Redoine Faid qui malheureusement portaient un grave préjudice à leurs communautés respectives, n'est-ce pas? Et qu'il était important pour nous de ne pas les considérer commes des héros, mais plutôt comme des anti-héros que malheureusement les gauchistes idôlatraient pour des raisons idiotes qu'on appelle le romantisme idéologique, Ah!Ah!Ah! Bref, les tristes conséquences d'un délire intellectuel auquel on dev-rait mettre fin pour ne pas détruire notre beau pays, la France, bien entendu. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, nous étions ici pour dire la vérité et non pour faire de grandes généralités qui ne mènaient nulle part, sinon dans le mur! Tout en concevant qu'il était dur d'entendre la vérité pour les minorités, mais utile afin qu'elles oublient leur passé calamiteux pour participer à l'enrichissement général de l'Occ-ident où misère sociale et morale seront vaincues grâce aux éfforts de tous les hommes, n'est-ce pas? Mais sans vouloir être méprisant envers elles, je le répéte à nouveau, le gauchisme et le racisme étaient de vieux débats qu'il fallait réleguer dans le passé pour être à nouveau positif et guérir notre pays de ce cancer passéiste!

Justement, hier, en regardant la télé, j'ai été très étonné de voir des antiracistes et des gauchistes déboulo-nner des statues parce qu'elles représentaient notre passé colonial ou raciste! Personnellement, je ne voy-ais pas en quoi ça pouvait changer les choses vu que notre passé était écrit définitivement et qu'il devait être assumé par chacun d'entre nous, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Tout compte fait, cela nous montrait que les gauchistes n'étaient pas des gens bien courageux en refusant de voir la vérité en face, n'est-ce pas? Et pour finir sur mes réflexions issues de notre époque absurde, j'envisagerai de mettre le socialisme et l' antiracisme dans nos musées afin qu'il nous laisse tranquille, Ah!Ah!Ah! Décidément, mon livre était une vraie mine d'or pour ceux qui recherchaient la vérité! Alors que d'autres, plongés dans leurs vieux bouqu-ins jaunis, essayaient en vain de la trouver en faisant fausse route, Ah!Ah!Ah! Mais abandonnons, si vous le voulez bien, pendant un instant le racisme sur le lequel il y aurait tant à dire, car j'ai connu personnell-ement une personne qui haïssait les gros et une autre les maigres, Ah!Ah!Ah! Afin de vous parler d'un email frauduleux que j'ai reçu hier émanant semble-t-il de mon hébergeur Internet qui me demandait de régler un montant de 4,19 euros pour renouveler le nom de mon domaine avec la menace de le suspen-dre! Bien que j'aie été surpris au premier abord par ce message agressif( en sachant que mon hébergeur possédait les données de ma carte bancaire et qu'il pouvait préléver cette somme sans me demander mon avis), celui-ci bizarrement n'a éveillé en moi aucun soupçon vu le logo officiel sur la page ainsi que sa rédaction ne comportant aucune fautes de français! Apparemment, mes escrocs avaient fait des bonne ét-udes de lettres, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Bref, rassuré par tous ces éléments, je commençais à remplir la page de payement pour ne pas voir mon site suspendu d'ici 72 heures, comme il le disait. Bien évidemm-ent, je signalerai à mon cher lecteur ou bien à mes escrocs( qui semblaient avoir beaucoup d'informations sur moi pour me nuire à cause de mon antigauchisme?) que sur Internet, je ne payais jamais avec ma vraie carte bleue, mais avec une carte bleue virtuelle dont le numéro était généré par ma banque ainsi qu'un code de sécurité par le service Visa pour éviter toute fraude. Mais au moment de payer, le centre VISA m'a demandé d'entrer le code de sécurité pour valider le payement. Mais n'ayant reçu aucun code de sécurité sur mon portable, j'ai compris que la page de payement n'était reliée à aucun compte bancaire, mais à un site fantôme qui enregistrait les numéros de carte bleue des internautes dupés par l'email fraud-uleux! Car ce qui les intéressaient n'était pas la somme de 4,19 euros, mais les données confidentielles de ma carte bleue pour vider mon compte en faisant des achats sur Internet. Comme le payement avait écho-ué pour des raisons techniques, j'ai aussitôt téléphoné à mon hébergeur pour avoir quelques informations sur cet étrange email et m'ont confirmé qu'il s'agissait d'un email frauduleux qu'on appelle dans le jargon informtique, un phishing ou partie de pêche où des escrocs en ligne pratiquaient l'ameçonnage en vu de voler les informations bancaires des internautes. En fait, pour résumer la situation, je dirais que ces escr-ocs avaient échoué dans leur tentative de m'extorquer de l'argent en se croyant plus intelligent que moi, Ah!Ah!Ah! Car au bout du compte, ils n'avaient en leur posséssion qu'un numéro de carte bleue virtuelle qui n'avait aucune validité sur Internet. Bref, j'avais le pressentiment que ces escrocs étaient des gauchist-es qui voulaient se venger pour mes propos antigauchistes dans mon livre "Des fleurs pour mon enterre-ment". Voici l'email frauduleux en question.

S'ils pouvaient me lire en ce moment, je leur dirais en toute franchise que je n'étais malheureusement pas anticapitaliste en faisant entièrement confiance à la technologie pour sauver notre civilisation, Ah!Ah!Ah! Et signaler à ceux qui voudraient bien l'entendre que "Des fleurs pour mon enterrement" n'était qu'un livre où je m'étais inventé un personnage affreux, sale et méchant, Ah!Ah!Ah! Et fort possible que dans la vie, je sois une personne totalement différente pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur! Et si je n'étais ni anticapitaliste, ni antiaméricain, c'est parce que ces derniers avaient inventé la technologie d'Internet qui nous permettait d'ajouter à notre vie réelle, une existence virtuelle! Ce qui était une chose formidab-le et pleine d'espoir quand nous constations jour après jour notre vie réelle se réduire comme une peau de chagrin, Ah!Ah!Ah! Non forcément à cause de l'argent ou du capitalisme, mais de l'arrogance de nos élites intellectuelles, politiques et médiatiques! Et si les américains aimaient bien nous envoyer sur la lu-ne ou sur mars, quand notre civilisation était en panne, je trouvais le projet fabuleux en me sentant com-plètement en phase avec eux! Mais revenons, si vous le voulez bien, sur le racisme où l'on racontait be-aucoup d'aneries dans les médias. En sachant bien que c'était bien les blacks qui achètaient des produits l'Oréal ou autres pour se blanchir la peau, n'est-ce pas? Et si l'Oréal comptait supprimer de ses produits cosmétiques tous les termes qu'on pouvait confondre avec du racisme tels que produits blanchissant pour teint mat ou foncé par exemple, c'était de la pure bêtise! Mais bon, comme l'Oréal était dans l'industrie de la mode, elle devait absolument la suivre pour ne pas voir son chiffre d'affaire diminuer sévèrement, bien évidemment. Mais quoiqu'on puisse en penser, on y pouvait rien, car c'était la grande tendance actuelle qui frisait le grotesque à cause des gauchistes qui polluaient notre environnement politique parce qu'ils étaient en pleine déroute, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'aneries qu'on racontait sur le racisme, je me souviens d'un fait qui avait marque mon adolescence où un jour mes copains( qui étaient tous des magré-bins) m'ont pris à parti pour me dire ; Mais Patrick, tu ne peux pas savoir c'est quoi le racisme, car tu n'as pas une tête d'Arabe! Bien évidemment, mon cher lecteur, je ne vous cacherai pas que j'étais très choqué par leur remarque en me croyant jusque alors, comme un des leurs! Mais visiblement, mes propres co-pains me discriminaient à cause de mes origines moitié occidentales et orientales que j'assimilais ni plus ni moins à du racisme à mon égard! Voyez, mon cher lecteur, comment le racisme s'introduisait partout où il y avait de la misère sociale et économique! Mais le comble dans cette toute histoire, c'est que la plupart de mes copains étaient des petits voleurs et des dealers de drogue qui me faisaient ni plus ni mo-ins la morale, Ah!Ah!Ah! Visiblement, le racisme racial découlait avant tout d'un racisme social. Car mes copains étant plus riches que moi en trafiquant me prenaient tout simplement pour un imbécile! Cest pour cette raison, mon cher lecteur, quand on vous parlait de racisme qu'il fallait aussitôt s'en éloigner, car ses premières victimes étaient les pauvres et de n'importe quelle couleur, n'est-ce pas? Et que le raci-sme des minorités existait bel et bien, comme je venais de vous le démontrer. En mettant bien évidemm-ent à mal tous nos préjugés qu'on croyait jusque là inébranlables. En fait, ce que mes copains avait expr-imé à mon égard, c'était de la pure bêtise. Car en faisant partie des minorités, ils se faisaient beaucoup d' illusions sur ce qu'on appelle la majorité où apparemment j'en faisais partie! Car bien évidemment, en tant que "petit-blanc", j'allais être accueilli les bras ouverts par mes propres frères "petit-blancs", Ah!Ah!Ah! Ce qui était d'une totale absurdité qui me démontrait par A+B que mes copains étaient de petits idi-ots en croyant que l'argent malhonnêtement gagné pouvait les rendre plus intelligents, Ah!Ah!Ah!

En fait, comme je l'ai dit à maintes reprises dans mon livre, la population était divisée en 3 catégories. C' est à dire en 75 % d'imbéciles, 15% de gens intelligents et 10 % de génies! Et visiblement, mes copains n'étaient pas des génies, mais plutôt des imbéciles, Ah!Ah!Ah! Tout en signalant à mon cher lecteur, en lui racontant tous ces faits qui avaient marqué ma vie, que je n'éssayais de regler mes comptes avec mes an-ciens copains qui pour la plupart n'étaient plus de ce monde ou bien m'avaient complètement oublié! Mais il nous fallait bien parler dans ce livre de choses vraies, car si on écoutait toute la journée les méd-ias, on deviendrait complètement idiots, Ah!Ah!Ah! La prochaine fois, mon cher lecteur, nous parlerons de ces dernières élections municipales et tout particulièrement de toutes ces calamités qui sont abatues sur notre beau pays qui, après l'épidémie de coronavirus, était frappé de plein fouet par une vague écolo-giste, Ah!Ah!Ah! Décidément, nous n'étions pas loin de la fin du monde, n'est-ce pas? A ce propos, je co-mptais demander son avis à Nostradamus, Ah!Ah!Ah! Mais pour revenir à la victoire des écologistes dans les grandes villes, j'ai compris après une fine analyse qu'elle était dûe à une faille de notre système démo-cratique produite par l'épidémie de coronavirus et le confinement où 60% de la population s'était abste-nue d'aller voter comme victime d'une peur irrationnelle d'être contaminée en se déplaçant aux urnes! Af-in d'affiner mon analyse, je dirais que les écologistes avaient senti le coup venir et avaient voté en masse pour être sûr de gagner dans les grandes villes et c'est ce qui s'était passé, n'est-ce pas? En comprenant bi-en, mon cher lecteur, que la population des grandes villes était composée en grande partie par des bobos et des fonctionnnaires adeptes de la décroissance et des écolos en puissance, bien entendu. Pour la simple raison qu'ils avaient un emploi à vie et qu'ils ne connaîtraient jamais le chômage en continuant à tou-cher leurs salaires même si la France se trouvait au bord du gouffre économique, Ah!Ah!Ah! Décidément des gens très bien placés pour prendre un jour le pouvoir en France et nous imposer leur dictature verte, n'est-ce pas? Mais il faut dire à ce propos que l'Etat veillait à ce que cela n'arrive jamais grâce aux éle-ctions dém-ocratiques, mais qui aux dernières élections municipales avaient falli en permettant aux écol-ogistes de gagner d'une manière déloyage en bourrant les urnes sachant qu'elles seraient laissées vides par leurs concitoyens, Ah!Ah!Ah! En me faisant dire sans aucun scrupule que celles-ci devraient être invali-dées par respect pour la démocratie, n'est-ce pas? Mais bon, comme nous étions sous le règne d'Emma-nuel Macron( marqué par une malédiction dont j'ai parlé déjà dans ce livre), plus rien désormais ne nous étonnait, Ah!Ah!Ah! Apparemment, nous vivions une grande aberration intellectuelle que j'appellerai une anom-alie spaciotemporelle. C'est dire qu'on était pas loin d'aller sur Mars et de rencontrer de petits ho-mmes verts! Bref, c'était bientôt Mars Attaque, Ah!Ah!Ah! A ce propos, je comptais demander à Tim Bu-rton( le réalisateur de Mars Attacks) de ce qu'il en pensait de la mairie de Lyon prise par des Martiens, Ah!Ah!Ah! Peut-être songeait-il à nous sauver en diffusant sur YouTube une horrible chanson country pour les dés-intégrer vu que l'épidémie de coronavirus n'y était pas arrivée à bout, Ah!Ah!Ah! Mais ce qui m'inquiètait vraiment aujourd'hui, c'était l'avenir des entrepreneurs du BTP qui devront livrer leurs de sacs de ciment en trottinette, Ah!Ah!Ah! Sans oublier cette horrible optique de voir un jour une ville sans voitures parce que les écologistes comptaient punir le citoyen soi-disant pollueur!

Comme vous le voyez, mon cher lecteur, les projets écolos ne manquaient pas pour nous emmerder et pourquoi pas taxer l'air pendant qu'ils y sont? Ah!Ah!Ah! Ainsi voyait-on se profiler dans nos grandes vi-lles, une future dictature verte afin de prendre un jour le pouvoir au niveau national! Ce qui ressemblait étonnamment à une immense végétation sauvage qui se répandait partout parce que des petits hommes verts y avaient banni toute activité économique! Bref, un spectacle digne de la fin du monde où l'on au-rait une ville sans voitures, un ciel sans avions et des rues encombrées par des centaines de milliers de vé-los et de trottinettes, Ah!Ah!Ah! Décidement de bien mauvais présages pour la France et pour ses enfa-nts à part s'ils voulaient rester d'éternels enfants, Ah!Ah!Ah! Mais comme je l'ai dit à maintes reprises da-ns mon livre hors catégorie, nos sociètés occidentales se dirigeaient tout droit vers l'infantilisation après être passées par le stade de la virilisation et de la féminisation. Mais une évolution sociètale que je ne re-mettrai pas en question puisqu'il sagissait d'un phénomène cyclique inhérant à toute socièté en mouve-ment. Et de là à dire que demain nous seront gouvernés par des enfants, en fait, nous en étions pas loin, mon cher lecteur, Ah!Ah!Ah! Et pour être dans le mouv', j'envisageais pour les prochaines vacances de manger des glaces à la fraise et de me promener en petit baigneur sur les plages de France, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas m'acheter une bouée en matière plastique verte pour avoir du succès auprès des petites filles, Ah!Ah!Ah! En fait, j'étais convaincu que l'infantilisation de notre socièté fabriquait sans le savoir une socièté de pédophiles, ce que les faits d'actualité semblaient démontrer, n'est-ce pas? Bonne baignade dans ce bain immonde, mon cher lecteur, Ah!Ah!Ah! Car la socièté japonaise nous en montrait un bel ex-emple avec tous ces adultes qui vouaient un culte obsessionnel pour les petites filles et le petits garçons! Regardez les dessins animés nippons et les mangas et vous constaterez par vous-même que mon observ-ation était juste! Et ce qui m'avait permis de faire ces simples observations, c'était mon goût pour le des-sin auquel je comptais me consacrer afin d'illustrer mes romans. Mais après avoir fait le tour des sites In-ternet pour m'acheter une tablette graphique afin d'être de mon temps, je remarquais avec une certaine amertume que la plupart des écrans graphiques étaient illustrés par des dessins pour enfants ou adolesce-nts! Même si le graphisme était d'une qualité remarquable, je trouvais cela trop mignon pour être vraim-ent apprécié par des adultes à moins qu'ils ne soient des pédophiles, Ah!Ah!Ah! Bref, de jeunes adolesc-ents ou adolescentes avec de grands yeux et un physique juvénile tout cela me semblait pas bien catho-lique, Ah!Ah!Ah! Mais qui ne m'avait pas rebuté à acheter une tablette graphique de marque Huion qui étaient les moins chères du marché. Mais sans savoir que je n'aurais pas le temps de m'y consacrer en ay-ant toujours sur la planche mes romans, mes chansons et mes symphonies à écrire. Bref, beaucoup d'id-ées de créations, mais un temps qui n'était pas extensible comme du caoutchouc, n'est-ce pas? Mais un achat sans regret que j'utilisais pour l'instant comme écran d'ordinateur de 19 pouces en étant d'un grand confort visuel, il faut le dire. De même qu'une façon très pratique pour moi de corriger les couleurs et les contours de mes timbres accéssibles gratuitement sur la page " Philatélie" de mon site Internet. Bref, un succès que je n'aurais pas imaginé auprès des internautes du monde entier pour la simple raison que c'était des timbres assez rares à trouver que ma mère avait récupéré lorsqu'elle travaillait au CNED( cou-rs national de l'enseignement à distance), car le personnel chargé de l' ouverture du courrier les jetaient à la poubelle, Ah!Ah!Ah!

A part ça, tout va bien, mon cher lecteur, sauf avec les cons que je rencontre régulièrement à la Croix-Rousse, Ah!Ah!Ah! A ce propos, un jour un ami m'a dit en me regardant comme une bête curieuse : Patr-ick, sans vouloir être déplaisant avec toi, je trouve que tu n'es jamais d'accord avec personne! Bien évide-mment, prenant sa remarque avec philosophie comme à mon ordinaire, je lui dis : Tu sais René, tu te tro-mpes, car je suis toujours d'accord avec moi-même, Ah!Ah!Ah! Apparemment, je n'étais pas quelqu'un de très humain, mais qu'un vulgaire animal qu'on appelle un hérisson, Ah!Ah!Ah! Pour revenir aux pédophi-les, j'avais le sentiment en regardant l'émission "Crimes" que Jean-Marc Morandini en était un! Je ne sav-ais pas bien pourquoi, mais mon instinct ne me trompait jamais. Et puis entre nous présenter une émiss-ion comme "Crimes" n'était pas anodin, n'est-ce pas? Pour parler d'autre chose, depuis quelques temps, je reçois un nombre important d'email frauduleux! Personnellement, je pense que c'était dû à l'épidémie de coronavirus dont les escrocs voulaient exploiter le filon vu l'état d'affolement général de la population en vu de leur extorquer de l'argent. Pour aller droit au but, voici le nouvel email frauduleux que j'ai reçu dernièrement.

Surprenant, non? Apparemment, ce bon samaritain voulait me donner de l'argent parce qu'il en avait trop, Ah!Ah!Ah! Ce qui était bien évidemment à tordre de rire, n'est-ce pas? Car j'ai toujours pensé, quand on était intelligent, qu'on devait d'abord s'occuper de sa famille, puis de ses amis et en dernier de ses com-patriotes, n'est-ce pas? Alors pourquoi vouloir s'embarrasser avec les pauvres du monde entier qui ne pouvaient que vous apporter des ennuis, Ah!Ah!Ah! Visiblement, il s'agissait d'un email frauduleux et d' un grand mépris pour les pauvres, comme vous l'avez sûrement remarqué, mon cher lecteur, en soulign-ant la phrase en question, n'est-ce pas? Et tout ça pour essayer de soutirer de l'argent aux pauvres en leur dema-ndant( je devine) 1 euro de participation pour avoir droit au don de cet escroc se faisant passer pour un millionnaire, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, je n'ai pas voulu ouvrir le lien pour ne pas téléc-harger un logicel espion ou cheval de troie dans mon ordinateur, Ah!Ah!Ah! Et puis si son histoire était vraie, pourquoi ne m'a-t-il pas versé le moindre centimes sur ma cagnote Leetchi? Décidément en ces temps épidémiques, les escrocs pullulaient sur la toile, comme des virus avec un très grand appetit d'ar-gent, Ah!Ah!Ah! Dans la même veine, voici un autre email frauduleux que j'ai reçu recemment.

A lire attentivement l'adresse email de cet escroc, il provenait du Brésil avec sa terminaison en BR. Bref, un pays auquel il ne fallait pas faire confiance vu le taux d'homicides par année le plus important du mo-nde, Ah!Ah!Ah! Personnellement, accorder des prêts de 10 000 à 15 millions d'euros uniquement par co-urrier electronique, ça sentait la magouille à plein nez puisque totalement farfelue, n'est-ce pas? Bref, en-core un escroc qui allait demander des frais d'inscriptions, puis disparaitre dans la nature, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'escros agisssant masqués derrière leurs écrans d'ordinateurs, j'ai reçu récemment un nouvel email totalement lunaire pour moi, car je n'ai jamais acheté le moindre BitCoin sur Internet en sa-chant bien que n'importe quel escroc pouvait se faire passer pour un vendeur de BitCoin, n'est-ce pas? Ainsi que pour la délivrance gratuite d'une carte bleue ou gold sur Internet où sans le savoir vous alliez transferer votre argent sur le compte d'un escroc, Ah!Ah!Ah! Saisissez, mon cher lecteur, que mon site Internet était aussi un lieu d'informations pratiques pour éviter votre ruine en 3 clics de souris, Voici l'email en question.

Toujours à propos d'emails bizzards que je reçois, il en a tout particulièrement qui sont chargés pour moi d'un grand hérotisme, comme celui-la, Et si j'ai commis volontairement une faute d'orthographe sur le mot érotisme en mettant un h, mon cher lecteur, c'est parce que j'ai toujours trouvé les femmes très hér-oïques d'aller chez des inconnus sans porter de culottes, Ah!Ah!Ah!

je remarquais en ce moment que les médias déliraient complètement avec la reprise de l'épidémie de cor-onavirus. Car si les cas de contaminations augmentaient sévèrement en France, c'est parce que nous fais-ions plus de tests Covid et non forcément le signe de la reprise de l'épidémie vu le peu de gens admis en réhamination et le nombre de décès. Visiblement, les médias voulaient nous plonger une nouvelle fois dans la psychose afin que nous restions enfermés chez nous devant notre poste de télévision pour gôber leurs conneries monumentales, Ah!Ah!Ah! Ainsi que sur France Culture qui nous ressassait à longueur de journée, le passé, l'emmerdant passé, Ah!Ah!Ah! Décidément, cette fin de l'été me semblait particuliè-rement calamiteuse pour les Français où j'imaginais avec grand plaisir le retour des vacances avec une gueule d'enterrement et la psychose du Covid entretenue par les médias, Ah!Ah!Ah! Sans oublier le reto-ur des momies avec Jean-Luc Mélenchon, les écolos et les gauchistes! Bref, une rentrée pleine de ranco-eur pour les Français, mais qui n'était pas bien nouveau, n'est-ce pas, mon cher compatriote? En imagin-ant assez facilement, vu l'arrêt de l'économie provoquée par le coronavirus, les écologistes sauter au plafond pour être des adeptes de la décroissance, n'est-ce pas? Et pas loin d'avoir atteint leur but sans l' aide d'aucun programme politique, mais uniquement grâce à un virus planétaire, Ah!Ah!Ah! Et je me demandais avec lucidité si le coronavirus n'avait pas été conçu par un écologiste Chinois ou si vous vou-lez par un dictateur en herbe? La semaine prochaine, c'est la rentrée pour tout le monde sauf pour les chômeurs et les rentiers, Ah!Ah!Ah! Mais je ne parlerai pas des fonctionnaires qui durant toute l'année étaient en vacances, Ah!Ah!Ah! Ah enfin le retour du calme chez soi, car tout l'été, il y avait eu beaucoup de bruit dans la cour de mon immeuble où les gens laissaient leurs fenêtres ouvertes et m'empêchaient, il faut le dire, d'écrire en toute sérénité, Ah!Ah!Ah!

La raison pour laquelle, j'avais peu écrit sur mon récit "Des fleurs pour mon enterrement", mais poursui-vi avec grand plaisir l'histoire d'Alfred Swan qui se passait sur la Côte d'Azur, comme pour me consoler de n'être pas parti en vacances cet été, Ah!Ah!Ah! Décidément, j'étais un cérébral qui aurait rêvé être un homme d'action! Mais entre nous, mes chers compatriotes, pourriez-vous croire un seul instant qu'un homme d'action put exister en France, sinon dans nos fantasmes? Ah!Ah!Ah! Car si la culture était dans l'ADN du peuple français, ce n'était pas anodin, mais le signe évident qu'il était un peuple de frustrés qui avait soif de libertés, n'est-ce pas? Visiblement, pour la grande majorité des Français, la révolution franç-aise de 1789 avaient été un grand échec puisqu'ils s'obstinaient toujours dans la littérature à s'imaginer en hommes d'actions faute de pouvoir le faire dans la réalité, Ah!Ah!Ah! C'était un peu mon cas et diso-ns-le carrément, mais que j'avouais rarement à mes amis pour ne pas passer pour un loser, Ah!Ah!Ah! Car si Donald Trump cataloguait les gens en deux espéces, les losers et les winners, il n'avait pas entière-ment tort. Car un homme ou une femme d'action devait forcément subir les revers de fortune avant de réussir et que ceux qui refusaient l'echec étaient indignes de vivre dans notre socièté, n'est-ce pas? Visi-blement, Donald Trump, malgré la haine des médias et des gauchistes contre lui, nous faisait une grande leçon de réalisme, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et s'il n'aimait pas beaucoup les Français, c'est parce qu'il les considérait comme des losers qui avaient renoncé à prendre des risques en se complaisant dans leur passé et leur administration obsolète, Ah!Ah!Ah! Et quand je regardais les informations sur n'impo-rte quelle chaine, c'est fou comme les médias lui cassaient du sucre sur le dos parce qu'il disait la vérité! Et s'ils exécraient Donald Trump, c'est parce qu'il avait reussi à devenir président des Etats-Unis sans leur aide! Mais une chose inadmissible pour ces derniers qui se prenaient pour les nouveaux rois du mo-nde en usant de la démagogie comme une arme de destruction massive! Mais une arme qui en vérité tirait à blanc parce qu'ils confondaient  malheureusement le public et le peuple qui n'étaient pas du tout la mê-me chose, je vous l'assure, mon cher lecteur. Car si les médias pouvaient facilement manipuler le public, il en etait tout autre pour le peuple qui ne confondait jamais les emissions de distractions avec les enjeux politiques important pour son pays. Comme pour le cas de Nicolas Hulot qui aurait rêvé être pris au séri-eux par les Français, mais qui ne l'était pas, car il était issu du monde des médias, Ah!Ah!Ah! De même que Monsieur Melenchon qui était un vieux débris du passé se faisant passer pour un rénovateur, alors qu'il était un vieux Stalinien ainsi que le professeur Didier Raoult qui était un imposteur adûlé par les médias pour faire de l'audience, Ah!Ah!Ah! Visiblement, le peuple avait une conscience du réel qui l'em-pêchait d'être manipulé comme une marrionnette par les médias dont le rôle n'était en fin de compte que de lui servir de l'information et de la distraction après une dure journée de travail, n'est-ce pas? Ceci est je pense très important à rappeler à mes lecteurs que je compte instruire d'une manière intelligente, car je me suis toujours considéré comme un grand philosophe digne d'être écouté, Ah!Ah!Ah! Et contrairem-ent à ce qu'on aurait pu penser, écrire pour moi n'était pas une distraction ou un passe-temps, mais une question de vie ou de mort! Bonne rentrée, mes amis! Une fois de plus, la rentrée littéraire se fera sans moi, Ah!Ah!Ah! Mais bon était-ce si important que cela sachant que les livres auront été sélectionnés par la mafia littéraire parisienne? Ah!Ah!Ah! A ce propos, je prévoyais pour le prix Goncourt 2020, un livre sur le confinement ou sur l'éloge du vide assimilé à de l'écologie, Ah!Ah!Ah!

Bref, cette année nous aurons droit encore une fois à des navets comme les années précédentes, Ah!Ah!Ah! Et que les membres du jury du prix Goncourt auront atteint désormais l'âge moyen de 90 ans, Ah!Ah!Ah! Décidément, un jury de grabataires qui allait juger la littérature d'aujourd'hui avec les symptômes de la maladie de Parkinson et d'Alzheimer, Ah!Ah!Ah! Bref, pas très réjouissant pour nous, n'est-ce pas, mon cher lecteur? En attendant, je vais aller à la pêche pour oublier ce moment douloureux pour la litté-rature française, Ah!Ah!Ah! Bref, adieu aux grands écrivains et bonjour aux auto-entrepreneurs de la litt-érature de merde, Ah!Ah!Ah! Un jour, j'ai entendu une anerie à la télévision où un comité d'écrivains dis-ait qu'ils s'appréciaient tous parce qu'ils formaient une communauté d'esprits veillant aux libertés! Perso-nnellement, je n'avais jamais entendu une si grande anerie de ma vie, car il y avait des écrivains que je dé-testais en étant pas le seul dans ce cas! Mon dieu, la soi-disant solidarité entre les écrivains, quelle bouff-onnerie, alors qu'ils se tiraient tous dans les pattes à travers leurs livres, Ah!Ah!Ah! Mais il faut dire qu' on était pas en présence de vrais écrivains, mais d'écrivains choisis adroitement par les médias pour répa-ndre le grand mensonge à la population française! Une fois de plus, c'était la littérature qui allait en pâtir où il ne sera plus question de vérités, mais de gros sous, Ah!Ah!Ah! Bref, adios à la terre de la liberté et bonjour à toi grand désert de l'inutilité! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, il m'était impossible d' écrire en basse tension, mais toujours en haute tension où 100 000 Volts fussent le minimum pour prati-quer mon écriture ou ma littérature. Dans le but, bien évidemment, de créer des étincelles entre les mots, car je tenais absolument à cette magie pour atteindre la vérité et non pas l'illusion comme on pourrait le croire. En fait, l'électricité et la littérature avaient beaucoup de points communs, car il leur fallait à tous les deux, une tension suffisante pour créer un courant éléctrique où les deux pôles de la littérature se tro-uvaient entre le début et la fin d'une phrase. Malheureusement, beaucoup d'écrivains travaillaient en bas-se tension qui avait l'effet désastreux de rendre leurs bouquins d'une grande platitude, mais il est vrai ap-préciés par les mous de la feuille, Ah!Ah!Ah! Tout ce que je venais de vous dire à propos de tension entre deux pôles, vous pouviez aussi l'appliquer à la musique, au dessin et à la peinture. Car dans la musique pour qu'il y ait une attirance entre deux notes, il fallait nécessairement une tension entre elles dont le sec-ret résidait dans la tête du compositeur, bien évidemment. Voilà pour le principe! Quant au dessin, le si-mple fait de tracer une ligne droite sur une feuille de papier, vous permettait de creer une ligne de tension entre 2 espaces. Mais qu'en surchargeant trop ces deux espaces en traits ou en dessins casserait cette li-gne d'energie où le travail du bon dessinateur consistait à ne pas trop charger son dessin en lignes inutiles pour qu'il garde son énergie potentielle ou émotionnelle. Quant à la peinture, la tension dont nous parli-ons se trouvait entre les contrastes des couleurs où la tension était maximale entre le blanc et le noir. Ce qui ne signifiait en aucune façon justifier le racisme, mais une possible explication du phénomène qu'on appelle la tension raciale? Toutes ces choses me semblaient évidentes, mais que personne ne voulait par-ler par la crainte d'être pris pour un raciste, Ah!Ah!Ah! Pourtant que de mariages possibles entre les cou-leurs, mais aussi entre toutes les disciplines artistiques afin d'atteindre cet art total fantasmé par la plup-art des artistes incomplets, n'est-ce pas? Car vous avez sûrement remarqué( si vous pratiquiez une de ces disciplines) que de marier par exemple la musique et la littérature pour devenir un écrivain et un compo-siteur fut une entreprise quasiment impossible à réaliser, n'est-ce pas?

En sachant bien que les mots et les notes de musiques étaient des éléments énergétiques de nature très di-fférentes, bien évidemment. Mais à ce propos, je vous avouerai en toute honnêteté que j'y étais arrivé, non pour m'en vanter, mais seulement pour vous apprendre à le faire. En considérant mon site comme un lieu d'initiation à la vérité afin de contrebalancer le mensonge organisé par les médias et les pseudo-pen-seurs. Et que ce travail, si l'on peut dire, ne vous demandait aucunement de verser sang et eau, mais de trouver en vous les passerelles qui reliaient entre elles les disciplines artistiques grâce à vos cinq sens qui étaient les piliers de votre imagination et non votre intellect, le lieu de votre égo, Ah!Ah!Ah! Car lorsque René Descartes disait "Je pense donc je suis", c'était son égo qui parlait et non son intelligence! Sous en-tendu que nous parlions ici de création et non d'un empilage de savoirs ou de concepts intellectuels pour impressionner les masses idiotes, Ah!Ah!Ah! Pour être simple, je dirais, afin de marier deux disciplines artistiques entre elles, qu'il était primordial de bien analyser ses pensées, sensations, impressions, sentim-ents, émotions avec vos cinq sens pour les traduire dans le langage que vous souhaitiez grâce aux inter-faces biologiques que vous aurez creés pour atteindre une sorte de Nirvana! Car j'ai souvent remarqué que toute pensée, émotion ou sensation correspondait à un mouvement de notre âme que nous pouvions traduire soit par des mots, soit par des notes de musique soit par des images! Ce qui signifiait que toute pensée ou mouvement de notre âme préexistait avant les mots! C'est à dire qu'il existait un langage sou-rce ou primitif qu'il était possible de traduire en une infinité de langues pour exprimer autant de cultures inimaginables et observées dans la réalité, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Pour moi, il ne faisait aucun doute que le mystère de la vie se trouvait au fond de notre âme ancestrale qui paradoxalement était touj-ours en pleine posséssion de ses moyens quelque soit le lieu où l'époque où elle se trouvait pour saisir la réalité du monde! Et si les hommes n'exploitaient que 5 % de leurs cerveaux( d'après les scientifiques), il y avait bien une explications. Pour la simple raison qu'ils refusaient de croire que leur intelligence se trouvait dans leur âme, mais dans leur intellect! Ce qui était une grossière erreur, car notre intellect ne produisait aucune création ni aucun mouvement d'âme pour n'être qu'un atelier de bricolage ou de conc-epts où l'on faisait sa petite cuisine pour faire gonfler son égo, Ah!Ah!Ah! En comprenant bien, mon cher lecteur, que sans âme il ne pouvait y avoir de vie parce que tout être vivant ou machine pensante avait besoin d'une âme pour s'éprouver et justifier son existence! Bref, où la matière ne pouvait se passer de l'esprit, comme le bien du mal, le capitalisme du communisme, les philosophes des intellectuels etc. Mais pour revenir à notre sujet, mon cher lecteur, je ne vous demandais pas de traduire la littérature en musique, ce qui était totalement ridicule, mais de traduire votre pensée primitive afin de justifier votre existence! Ce qui était pour tout artiste, une question de vie ou de mort, n'est-ce pas? Et si vous vouliez marier la littérature et la musique, afin de devenir un écrivain et un compositeur, il vous suffisait seule-ment d'écouter la petite musique qui défilait dans votre tête, c'est simple! Bref, une petite musique, que j'appellerai la source de notre pensée, mais souvent parasitée par les soucis de la vie quotidienne et le va-carme assourdissant de notre civilisation rendant son accès quasiment impossible aux gens non initiés ou coupés de leurs sens. Car j'ai souvent remarqué que notre âme essayait constamment de nous raconter une histoire, bref, notre histoire. Et pour aller au bout de ma pensée, celle de l'âme humaine dont nous étions les dépositaires ou les témoins en temps réel pour observer notre propre évolution spirituelle ou perfection!

Bien évidemment, il nous était impossible de tricher avec elle sachant qu'elle épousait les moindres reco-ins de notre passé, mais aussi le long cheminement de nos sentiments, émotions etc afin de connaître l'ét-at précis de notre évolution spirituelle et non matérielle et intellectuelle. En nous posant constamment cette question : Avions-nous régréssé ou évolué? Ce qui pourraient ressembler à un tribunal sans compr-omis à notre égard ou peut-être à un bulletin méterologique produit par notre âme? En fait, pour dire la vérité, c'était ni l'un ni l'autre, car le but de celle-ci n'était pas de nous faire la morale ou de nous donner la meteo, comme à la télé, mais d'établir en nous un ciel bleu permanent afin que nous soyons heureux! Et grâce à votre volonté et à vos sages résolutions, vous pouviez transformer votre ciel intérieur en ciel bleu pour découvrir de nouveaux horizons que peu d'hommes sur la terre ont abordé le rivage à part les prophètes! Ce qui représentait pour moi, la plus grande aventure humaine que notre âme puisse concevo-ir pour nous débarrasser de ce matérialisme envahissant et encombrant. Car au bout du compte, jouir de son âme, c'était comme faire l'amour avec Dieu, bref, avec nos sens! Comprenez-bien, mon cher lecteur, que je ne vous parlais pas ici de morale imposée par nos institutions républicaines ou catholiques. Car lorsque vous aurez atteint cet état de perfection, la question de la morale ne se posera plus pour vous puisqu'elle aura disparu comme par enchantement! Pour la simple raison que notre âme était une grande magicienne dont nous connaissions peu les pouvoirs magiques sur le réel et bien dommageable pour l' humanité qui pourrait faire alors un bond prodigieux vers son élévation spirituelle! Avec l'intime convic-tion qu'en elle se trouvait le creuset de tous nos sens afin de saisir la réalité du monde! Et que pour tra-duire les mouvements de notre âme en musique, il suffisait de l'écouter tel un seismologue et de noter ses moindres vibrations sur notre seismographe intérieur. Et si pour l'instant vous n'entendiez que du bruit ou du vacarme, cela signifiait que vos sens étaient disfonctionnels ou altérés par une mauvaise hab-itude de ne pas écouter votre petite voix intérieure, mais celle des autres qu'on appelle la bêtise humaine, Ah!Ah!Ah! Où notre perfection se trouvait dans le parfait équilibre entre tous nos sens afin d'établir en nous un sentiment de bien-être ou d'harmonie. Apparemment, il se trouvait entre notre âme et la réalité, une petite lucarne que nous pouvions ouvrir ou fermer à notre guise pour avoir un peu de repos dans ce monde de brutes, Ah!Ah!Ah! Ce qui pourrait paraître bien simpliste, mais c'était pourtant la vérité. Et que le but de notre existence n'était pas la quête de l'or, comme dans l'emission "Australie, la ruée vers l'or"( que je regardais toujours avec un grand amusement vu que ça les rendait complètement fou, Ah!Ah!Ah!), mais de permettre à notre âme d'atteindre l'immortalité! Oui, je dis bien l'immortalité de notre vivant! Et si vous comptiez l'atteindre vous aussi, mon cher lecteur, il était temps de vous y mettre, n'est-ce pas? Sans passer bien évidemment par l'entremise des médias qui n'étaient qu'une fumisterie pour faire son au-topromotion ou gonfler son égo voir se refaire une virginité médiatique, Ah!Ah!Ah! Comme Yann Moix que j'ai vu hier dans une émission télé où il se battait contre vents et marrées pour se refaire une virginité sachant que tout le monde savait qu'il avait un passé antisémite et qu'il avait torturé son frère durant son adolescence, Ah!Ah!Ah! Mais en toute franchise, mon cher lecteur, je vous avouerai dès qu'il a ouvert la bouche que j'ai aussitôt zappé pour ne pas devoir écouter cet odieux personnage qui prenait les médias pour une église confessionnelle et le public à témoin, Ah!Ah!Ah!

Mais j'avais toujours beaucoup de mal à comprendre les médias qui osaient encore l'inviter, alors qu'il y avait beaucoup de juifs en leur sein! C'était pour moi, un grand mystère que seul l'audimat pouvait expli-quer ou tout simplement la bêtise humaine, Ah!Ah!Ah! Bref, tout cela ne nous améliorait pas, mais nous faisait plutôt régresser, n'est-ce pas? J'avais le pressentiment que le prochain livre de Yann Moix s'appe-llerait : Comment j'ai rencontré dieu? Ah!Ah!Ah! Pour revenir au sujet de notre âme dont le but était d' atteindre la perfection qu'on appelle l'immortalité, j'avais lintime conviction que mon site Internet était ni plus ni moins une extension de ses capacités à saisir le monde dans toutes ses dimensions. Avec la grande intelligence de ne pas figurer sur les réseaux sociaux, comme Facebook, Twitter ou TikTok pour ne pas être emmerdé toute la journée par des imbéciles ou si vous voulez par le brouhaha du monde, Ah!Ah!Ah! Pour être concrêt, mon cher lecteur, comprenez bien que les éléments qui allaient vous permettre d'attei-ndre l'immortalité ou de marier les disciplines artistiques entre elles étaient au nombre de cinq et s'appel-aient nos sens. C'est à dire l'ouie, la vue, l'odorat, le goût, le toucher, bref, des choses assez simples à mettre en oeuvre, n'est-ce pas? Sachant que tout objet avait un son, une forme, une odeur, un goût et une texture dont notre âme ne pouvait se passer pour atteindre des sommets. Apparemment, elle utilisait une simple boite à outils procurée par la nature pour extraire la quintescence des choses qu'on appelle le su-blime! Mais qui ne concernait pas les intellectuels qui malheureusement travaillaient avec des matériaux creux, c'est à dire sans matière et sans odeur pour résumer les choses, Ah!Ah!Ah! Et que leur atelier de concepts avait le triste destin de finir en vieil entrepot d'objets obsolètes par le fait que nous observions aujourd'hui la chute des idéologies, n'est-ce pas? Ce qui signifiait que notre âme ne s'embarrassait pas avec le temporaire, mais s'occupait de la permanence des choses pour être clair. Bref, avec la vérité. C'est pour cette raison que j'étais souvent très critique à l'égard de France-Culture qui nous ressasssait à long-ueur de journée le passé en confondant malheureusement les philosophes et les intellectuels qui étaient des gens forts différents. Comme Jean-Paul Sartre qui n'était pas pour moi un philosophe, mais un intell-ectuel de gauche de même qu'Albert Camus qui était un intello-jourrnaliste. Et si je vous parlais d'eux en ce moment, c'est parce que sur France-Culture, on avait continuellement un overdose de ces deux faux philosophes, comme pour essayer de nous prouver que leurs idées étaient toujours d'actualites, alors qu' elles étaient complètement obsolètes, Ah!Ah!Ah Cela nous prouvait, mon cher lecteur, que ces deux per-sonnages médiatiques n'étaient pas de vrais philosophes, mais des intellectuels dont les concepts avaient vieilli prématurément parce que faits de matérieux creux ou temporaires, CQFD. En fait, le grand crime de France-Culture, si l'on peut dire, était de nous plonger quotidiennement la tête sous l'eau afin de ne plus percevoir le réel ou le cosmos en mouvement. En fait, dans ces émissions, j'attendais toujours qu' un de leurs invités digresse un peu pour nous parler de son présent et des idées qui le proccupaient en ce moment en tant qu'écrivain, philosophe ou intellectel. Mais souvent, je n'entendais rien de nouveau, sinon le ressac du passé sur les ondes radiophoniques de France-Culture, Ah!Ah!Ah! En fait, pour essayer de comprendre ce qui se passait réellement dans la tête des gens, j'étais un peu forcé de regarder des émis-sions débiles, comme Balance ton post de Cyril Anouna, Ah!Ah!Ah!

Mais en vous avouant que je ne les regardais jamais entièrement pour ne pas devenir fou, car au bout de dix minutes tout le monde perdait la boule pour faire son autopromotion, Ah!Ah!Ah! A l'évidence dans ces émissions tout le monde avait un égo surdimensionné en m'apparaissant, comme le nouveau fleau qui allait plonger notre civilisation dans le chaos, Ah!Ah!Ah! Où le confinement provoqué par le covid-19 n' arrangeait pas les choses, mais les empirait! A ce propos, dans une de ces émissions, j'ai revu Yann Moix qui une fois de plus essayait contre vents et marrées de se refaire une virginité en attaquant violemment Marine Le Pen en la traitant d'idiote congénitale qui bien évidemment ne deviendrait jamais présidente de la république française, Ah!Ah!Ah! Avec le sentiment dans ces émissions que tout le monde se prenait po-ur ce qu'il n'était pas, comme Yann Moix qui se prenait pour un grand écrivain, alors qu'il n'était qu'un petit imbécile et un petit littérateur de kermesse, Ah!Ah!Ah! Sans oublier Cyril Anouna qui se prenait pour un maitre de cérémonie menant les débats, alors qu'il n'était qu'un amuseur public, Ah!Ah!Ah! Bref, la télé nous apprenait beaucoup de choses, pas forcément sur nous-mêmes, mais sur la socièté qui se de-ssinait devant nous et semblait s'orienter vers la folie, Ah!Ah!Ah! Par le developpement de l'egocentrisme ou de l'hyperindividualisme chez tous nos concitoyens pour des raisons injustifiées( car 75 % d'entre eux étaient des imbeciles) en nous dirigeant tout droit vers la zombification de notre socièté. Où plus perso-nne ne voulait écouter son voisin ni le croire, comme dans les émissions débiles de Cyril Anouna, Ah!Ah!Ah! En vous avouant sans honte que je ne fréquentais plus les cafés dans mon quartier de la Croix-Rou-sse, non à cause du covid19, mais pour m'être confronté à des murs de briques ces derniers temps, Ah!Ah!Ah! Décidément, la folie nous guettait pendant que le coronavirus se répandait à grande vitesse dans nos sociètés occidentales! Etait-ce un hasard ou bien une malédiction pour les hommes dont l'orgueil était devenu monstrueux à cause de l'argent et de la technologie? me demandais-je pris de frayeur. Pour revenir à notre sujet sur la musique, il était nécessaire que le compositeur sâche jouer d'un instrument( guitare, piano etc) afin d'entendre réellement sa petite musique intérieure qu'il pourra transformer en opéra ou en symphonie s'il veut atteindre le sublime. Car imaginer un écrivain sans stylo ni papier ou sans ordinateur serait comme un non sens, n'est-ce pas? A ce propos, j'ai composé l'Hymne AMERICA avec 4 accords de guitare D, G, E, A ou pour être plus précis avec la suite d'accords D,G,D,G-E,A,E,A qui m'avait séduit pour je ne sais quelle raison, mais qui apparemment cachait quelque chose de puissant, comme un hymne dédié à la réussite d'un pays comme l'Amériqu.! Bien évidemment, le travail du musicien consistait à tro-uver le sens cacher d'une suite d'accords ou d'une mélodie, ce qui n'était pas facile sachant que sa petite musique intérieure était souvent lointaine; mais qu'avec un peu de travail( sans suer sang et eau, car ce ne serait pas amusant du tout, Ah!Ah!Ah!), vous reussirez à l'exprimer pour écrire une oeuvre qui somme-illait en vous. Car en vérité, nous n'inventions rien, mais puisions dans ce grand reservoir qu'on appelle notre imagination dont les piliers sont nos cinq sens( la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût, le toucher). C'est pour cette raison que je conseillerais toujours le compositeur d'écrire sa musique à partir d'accords, car ces derniers possèdent en eux les éléments essentiels, bref, la rythmique et la mélodie qui en découle natu-rellement. Quant aux musiciens solistes, tout cela était bien beau, mais sans rythmique et sans basse, leur discours manquait de force et de sens, n'est-ce pas? Comme vous l'auriez compris, mon cher lecteur, nous recherchions sans cesse aussi bien en musique qu'en littérature, le sens caché des choses, comme à la rech-erche de la vérité, n'est-ce pas?

En trouvant beaucoup de points communs entre le musicien et l'écrivain qui étaient agités par la même maladie qu'on appelait l'obsession, Ah!Ah!Ah! Bref, où le musicien était obsédé de trouver la mélodie qui emouvra son coeur et l'écrivain la phrase qui sonnera juste dans la bouche de ses personnages ou bien dans la sienne s'il compte un jour rédiger ses confessions avec honnêtété, Ah!Ah!Ah! C'est dire un travail de longue haleine pour l'un ou pour l'autre, comme s'il s'agissait d'une question de vie ou de mort, n'est-ce pas? Mais bon entre nous, mes amis, avions-nous vraiment le choix entre vivre ou mourir dans la vie? Inutile d'en dire plus, je crois. Ce qui nous faisait dire en toute honnêteté que souvent nous nous investis-sions corps et âme dans toutes nos activités quelles soient alimentaires ou artistiques, car nous voulions bien faire les choses, n'est-ce pas? En fait, ce n'était qu'une question de choix où le musicien et l'écrivain avaient choisi l'insondable afin d'extirper d'eux mêmes la quintessence des choses en sachant bien que l' imaginable fut une chose réalisable concrêtement! Ce que malheureusement peu de gens croyaient en éta-nt enfermés dans leurs petites habitudes existentielles pour ne pas imaginer le pire, Ah!Ah!Ah! Mais bon dans la vie, il y'avait des choses plus interessantes à explorer, n'est-ce pas? Quant à nos deux forcenés, ils comptaient bien voir un jour réaliser leurs rêves où le musicien entendrait sa musique jouer par un orch-estre et l'écrivain voir incarner ses personnages au cinéma! Ce qui leur demandait bien évidemment une tenacité hors du commun, car la majorité échouera, non pas à écrire des oeuvres, mais qu'elles soient ac-ceptées par leurs contemporains. Car malheureusement, le succès ne dépendait pas de nous, mais des au-tres, n'est-ce pas? Et si je faisais toujours aujourd'hui de la musique et de la littérature, ce n'était pas par entêtement pour réussir socialement ou économiquement, mais comme une façon intelligente d'accomp-agner ma vie. Et à ce titre, j'étais plutôt comblé par ces dernières qui étaient pour moi de formidables co-mpagnes en me laissant une totale liberté de création! Mais pour revenir à mon hymne AMERICA, que j'avais composé à partir de quatre accords de guitare, j'utilisais un logiciel de composition NOTION 6 (payé une centaine d'euros) dans lequel j'ouvrais une partition en selectionnant les instruments qui me se-rviraient à écrire cet hymne. Bref, un ensemble de violonccelles, de seconds vilons et de contrebasses et de voix. En fait, peu d'instruments solos dans mes compositions, car je trouvais qu'ils sonnaient un peu vieillots style 19 ème siècle, comme le violon, sauf pour la trompette et les timbales dont la sonorité n' avait pas d'époque. Puis à partir de mes quatre accords, j'écrivais les notes sur la portée des violoncelles, puis les basses sur la portée des contrebasses, puis j'écoutais le résultat en sachant bien que seule votre oreille était le juge et non forcément les notes écrites. Et si votre intuition était la bonne, il s'ouvrait au-ssitôt à vous un univers musical auquel vous n'auriez jamais pensé et ainsi commençait pour vous le travail de votre imagination. Car si le début était bon, le reste le serait lui aussi telles étaient mes expé-riences en matière de compositions littéraires et musicales. En fait, l'intro en musique et la première phr-ase dans un roman étaient primordiales afin de planter le décors pour la suite. En résumer, toujours bien commencer une oeuvre afin de n'avoir pas trop de mauvaises surprises par la suite, Ah!Ah!Ah! Car vous ne saviez jamais dans quelle direction irait votre composition, bref, droit dans le mur ou atteindre le sub-lime, on n'en savait rien. Mais il faut dire que le risque faisait partie de toute entreprise créative et si vous n'aimiez pas prendre de risque, il était inutile de s'aventurer sur ce terrain où vous seriez sûrement déçu, Ah!Ah!Ah!

Mais si vous étiez quelqu'un de courageux et d'audacieux, vous auriez toutes les chances de reussir votre projet artistique. Je ne parlais pas bien évidemment de reussite économique, mais seulement de reussir votre projet qui vous apportera une grande satisfaction dans la vie, ce qui était le plus important, n'est-ce pas? En fait, pour être simple, il faut qu'il y ait de la matière derrière vos accords que la composition va révéler la dimension. Et souvent, j'ai été très étonné moi même que j'arrivais à composer une symphonie sans avoir étudié la composition dans une école, mais uniquement grâce à petit un logiciel qui me donn-ait accés à des instruments aux sonorités très réalistes. En voyant ici la réalisation de mes rêves de mu-sicien grâce à un logiciel que j'avais payé une centaine d'euros! C'est dire que pour exprimer ses talents, il était inutile de gaspiller une fortune, n'est-ce pas, mon cher lecteur? J'ai oublié de vous dire que de savoir chanter pour un musicien était un grand avantage, car la mélodie lui viendra naturellement par le chant, mais fredonner suffit aussi pour composer, bien évidemment. C'est pour cette raison que je conseillerais le compositeur de ne pas devenir un geek ou un amoureux fou de l'informatique musicale, car il y perdra son âme de musicien qui tout compte fait n'avait besoin que d'une guitare ou d'un piano pour composer. En fait, le matériel audio et informatique lui serviront à enregistrer et à enrichir sa musique grâce à un séquenceur comme Nuendo ou autre en ajoutant des instruments suplémentaires, mais pas trop, car vous risquez de détruire le charme de votre composition, ce qu'il faut éviter, bien évidemment. Bref, faites jo-uer au maximum trois ou quatre instruments différents en même temps, c'est largement suffisant, car au delà, c'est un vrai cafouillis! En fait, il faut rester simple dans la musique et dans la chanson, comme dans la littérature où faire parler trop de personnages rendra votre roman inaudible. Paradoxalement, tout ce que je venais de vous exposer sur la composition ne s'appliquait pas aux rapeurs parce que la plupart ne chantait pas et ne savait pas jouer d'un instrument acoustique, mais utilisait des samples ou des boucles qu'ils bidouillaient avec un séquenceur audio afin de plaquer leurs textes merdiques dessus, Ah!Ah!Ah! Pour être franc avec vous, je dirai que le rap n'était ni de la musique ni de la chanson, mais un bidouilla-ge informatique qui avait donné le coup de grâce à nos deux muses afin de rentabiliser au maximum la production d'un disque! Car composer de la musique et des chansons demandaient du temps ou si vous voulez un temps d'incubation pour l'artiste qui ne voulait pas tricher avec son public. Et pendant ce tem-ps là, le rap envahissait toute la planète et anéantissait tous les rêves des chanteurs et des musiciens tel était le triste constat que je faisais aujourd'hui qui n'était pas loin de la vérité, n'est-ce pas? Mais sans vouloir m'opposer à ce ras de marée provoqué par la technologie, bien évidemment, car ce serait comme perdre son temps, Ah!Ah!Ah! Et puis personnellement, j'aimais bien la techonologie qui nous permettait de réaliser ses rêves et ceux des rapeurs de devenir riche, Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, il ne sagissait plus ici de musique ou de chanson, mais de promotion sociale, Ah!Ah!Ah! Et pou-rquoi pas après tout puisque la musique avait rendu l'âme et que nous vivions très certainement aujour-d'hui la fin de la chanson et de la musique que le rap avait réduit au silence en la kidnappant, car dans le mot rap se trouvait le mot rapt, n'est-ce pas?

Ca ressemblait etonnamment aux époques discos où les rockeurs avaient été mis au rancart parce qu'ils ne savaient pas faire danser les masses, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, pour ces derniers, le disco était une musique pour les pédés et les gonzesses, ce qui n'était pas loin de la vérité, Ah!Ah!Ah! Oui, comme je vous le disais, j'aimais bien la technologie numérique, car elle m'avait permis de me créer une vie virtu-elle sur mon site Internet. Parce que ma vie réelle avait été réduite à peau de chagrin par les élites intelle-ctuelles, politiques et médiatiques qui avaient monopolisé la réussite, Ah!Ah!Ah! Ce qui devait être aussi votre cas, mon cher lecteur, n'est-ce pas? Bref, un rude constat pour nous tous qui avions des rêves à ac-complir durant cette vie! Visiblement, l'evolution normale des hommes s'était arrêtée en France pour les raisons que nous connaissions tous en étant les conséquences désastreuses de l'égalité, mais qu' étrange-ment nos élites ne s'appliquaient pas, Ah!Ah!Ah! Bref, par le grand retournement des choses où le peuple était désormais au service de ses élites et non plus l'inverse! Tout en vous assurant, mon cher lecteur, que ceci n'était pas une chose bien nouvelle dans l'Histoire de nos sociètés, mais un scénario récurrent pour ceux qui avaient le pouvoir et ne comptaient pas le lâcher, Ah!Ah!Ah! Car le propre du pouvoir était d'en abuser, puisqu'on le détenait, Ah!Ah!Ah! Et tout particulièrement dans ces périodes épidémiques du Cov-id-19 où nos gouvernants n'y avaient pas été avec le dos de la cuillère pour nous imposer le confinement ou le couvre-feu pour nous dire clairement qu'ils detenaient le pouvoir, Ah!Ah!Ah! Pouvoir qui parait-il procurait une grande jouissance à ses initiateurs d'après Machiavel et autres dictateurs du passé, Ah!Ah!Ah! Imaginez-vous, mon cher lecteur, dire à la France toute entière, comme notre président Emmanuel Macron, que vous lui interdisiez d'aller faire du ski cet hiver en France où à l'étranger à moins d'être hors la loi ainsi que d'inviter au maximum six personnes à table durant les fêtes de noël avec le risque de voir débarquer chez vous la police entre la bûche patissière et l'ouverture des cadeaux, Ah!Ah!Ah! Décidém-ent que de décisions farfelues prises par notre gouvernement pour reprendre en main le pouvoir qui, il est vrai, lui avait échappé durant une grande partie de l'année 2020 où les gilets jaunes et les black-blocs avaient massacré l'image de la police et de l'autorité de l'Etat, n'est-ce pas? A l'évidence, le covid-19, était une occasion inespérée pour le gouvernement de restaurer son autorité, n'est-ce pas? En tout cas, ça ressemblait beaucoup à une revanche sur l'année 2020 qui avait été desastreuse pour le gouvernement de monsieur Macron. Et malgré les milliards versés aux gilets jaunes et aux entreprises en grande difficulté, cela ne changera rien à son bilan car, après avoir consultation les astres, notre jeune président avait visib-lement la poisse qui le condamnait à ne pas être réelu en 2022, Ah!Ah!Ah! Mais pour parler de ce plaisir de dire aux 66 millions de Français de rester enfermer chez eux pendant les fêtes, comme des enfants, je trouvais cela grisant, n'est-ce pas? En étant pas loin de 1984, le célèbre roman de George Orwell, Ah!Ah!Ah! Et j'imaginais avec une grande facilité la tête de Jean-Juc Melenchon devant son poste de télévision après qu'il ait entendu Emmanuel Macron dicter ses decisions dictatoriales à la France toute entière en sachant qu'il aurait rêvé être à sa place en tant que dictateur frustré, Ah!Ah!Ah! Décidément, le pouvoir était comme un pot de miel dont on ne pouvait plus se passer à plonger ses doigts dedant, Ah!Ah!Ah! A propos de monsieur Melenchon, qui était un vieux débris du passé, le pouvoir il ne l'aura jamais parce que l'Histoire ne se repétait jamais sauf pour les imbéciles, Ah!Ah!Ah! Bref, comme cet hiver, je ne pou-rrai pas aller au ski ni inviter le père noël pour m'apporter mon cadeau, puisqu'avec lui on sera 7, je com-ptais passer tout seul noël en compagnie de ma langouste que j'avais adoptée pour des raisons existen-tielles. Tout en espérant que mon futur assassin ne s'invite pas chez moi avec son grand coutelas ou son colt 45 pour me dégommer! Mais pour éviter toute mauvaise surprise durant ce noël 2020, je comptais diner avec mon pistolet sur la table en cas où ce fou furieux frapperait à ma porte. En l'imaginant bien déguisé en père noël en sachant que l'année 2020 serait l'année de tous les malheurs, Ah!Ah!Ah! Décidé-ment, un joli titre pour un nouveau roman, n'est-ce pas? A l'évidence écrire un texte ou de la musique revenait au même puisqu'il sagissait pour no-us de lâcher nos émotions!

Mais un roman que je ne comptais pas écrire durant mon confinement pour ne pas avoir le moral tomber dans mes chaussettes, Ah!Ah!Ah! Sans vous cacher que j'avais de plus en plus de mal à supporter ce conf-inement où pendant des jours, je ne parlais à personne sauf aux commerçants de mon quartier pour des raisons alimntaires, bien évidemment, Ah!Ah!Ah! A part ça, à la Croix-Rousse, il règnait une ambiance mortelle où toute convivialité avait été réduite à neant à cause du Covid-19, mais aussi par l'absence de la vogue qui avait été annulée pour les causes qu'on connaissait. En sachant bien que les Croix-Roussi-ens, habitant près du boulevard, ne s'en plaindront pas à cause du bruit assourdissant qu'elle générait chaque année. Pourtant avec tous ses bruits de manèges, ses odeurs de gaufres et de sucre et ses lumières éblouissantes, cela mettaient quant même de l'ambiance dans le quartier et qu'on semblait regretter aujo-urd'hui où l'air sentait la mort! Pour poursuivre sur cette ligne bien sinistre, il y a quelques semaines, j'ai failli devenir fou quand j'ai eu une panne Internet avec le sentiment de vivre un double confinement! Pourtant SFR m'a envoyé un technicien assez rapidement, mais qui n'a pas trouvé la panne! Apparemm-ent, il s'agissait d'une panne réseau causée par le télétravail qui avait engorgé le réseau. Puis me souven-ant d'avoir eu une panne identique, il ya quelques années, je suis allé aussitôt à la boutique SFR dans la grande rue de la Croix-Rousse pour emprunter une clé wifi 4G. Mais où j'ai été très mal reçu par un te-chnicien ou plutôt par un vendeur qui apparemment ne comprenait pas ma solitude numérique, bref, d' être doublement confiné! Car pour avoir un clé 4G qu'il fallait faire une demande au préalable chez SFR qui alors l'expédirait la boutique concernée. Mais comme il m'était impossible de joindre SFR par téléph-one dont le service était inacessible, je pensais pouvoir le faire à partir de la boutique SFR. Mais à mon grand étonnement, le vendeur a refusé de me rendre ce service!  Décidément, SRF avait un service après vente quasi nul pour d'évidentes raisons économiques! Une semaine plus tard, j'ai pu joindre le service SFR en mode Chat puisque impossible à joindre par téléphone et je suis allé chercher ma clé 4 G en bou-tique. Et pour comble de malchance, je suis tombé sur le même vendeur qui n'a pas manqué de me mont-rer une nouvelle fois sa mauvaise humeur en m'envoyant presque à la figure ma clé 4G! Personnellem-ent, je me demandais si sa place était de travailler dans cette boutique dont le coeur du metier était de bien accueillir les clients, n'est-ce pas? Visiblement, je n'étais pas la seule victime du Covid-19 et de ses dégâts psychologiques sur le moral des hommes. Mais tout rentra dans l'ordre grâce à ma clé 4G qui me permit de sortir de mon double confinement, mais pas du Covid-19 dont nous attendions avec impatience son éradication grâce à la prochaine campagne de vaccination où la France était toujours en retard par rapport à celle des Américains et des Anglais!

Décidément, la France toujours en retard à cause de sa lourde administration bureaucratique ne m'éton-nait guère, Ah!Ah!Ah! Mais un confinement qui permettait aux GAFAM de bien tirer leur carte du jeu puisque la fermeture des commerces non essentiels nous obligeait d'une certaine façon à faire nos achats sur Internet, non forcément par nécessité, mais pour combler notre ennui, Ah!Ah!Ah! C'est ce que j'ai pu remarquer en faisant quelques petits achats sur le Boncoin et sur Ebay où j'ai fait l'acquisition d'un PC Windows 7 pour 40 euros et d'une carte son Presonus pour 50 euros qui en valait 200! Décidément que de bonnes affaires durant cette période épidémique où les gens étaient prêts à vendre leurs chemises pour avoir de quoi manger, n'est-ce pas? Mais je veux assurer, mon cher lecteur, que cela ne me faisait pas du tout rire! Bien sûr, vous allez me demander pourquoi un PC Windows 7 au lieu d'un Windows 10? En fait, parce que mon ancien PC windows 7, suite au changement de son système d'exploitation en Win-dows 10, avait rendu mon séquenceur audio Nuendo 3 inaccéssible à cause de son système de protection des licences! Sans vous cacher que j'avais cracké Nuendo 3 sur Internet et que j'en étais très satisfait. Pourtant, j'avais acheté officiellement Cubase SE et sa collection de VST qui m'avaient coûté environ 500 euros à l'époque, mais dont j'étais peu satisfait où il était compliqué de découper les évènements audios et que l'exportation de fichiers en MP3 avait pris fin au bout de 20 essais! Décidément que de pingreries chez Steinberg qui m'avait obligé à abandonner son séquenceur pour un Nuendo 3 cracké, mais qui avait comblé mes attentes de compositeur. Voilà pourquoi, j'avais racheté un PC Windows 7 afin d'y réinstaller Nuendo 3 qu'il a effectué sans aucun problème. En fait, pour resumer mon expérience, je dirais que Windows 10, c'était de la daube, Ah!Ah!Ah! Quand à la nouvelle carte son Presonus payée pour la modique somme de 50 euros, bien évidemment, je ne pouvais pas laisser passer une telle occa-sion, n'est-ce pas? J'ai fait aussi l'acquisition sur Ebay de Nuendo 5 qui était vendu avec une licence pour la modique somme de 45 euros. Décidément que de bonnes affaires durant ces temps épidémiques où je n'étais pas le seul à profiter, Ah!Ah!Ah! Toujours dans cette optique de faire des emplettes à moindre co-ût, sur Ebay, j'ai pu acheter pour 40 euros le logiciel Namo web editor 6 qui avait servi à bâtir mon Site internet, mais que j'avais par idiotie donné à mon frère avec lequel j'étais brouillé pour des raisons mar-tiennes, Ah!Ah!Ah! Car lorsque mon PC m'a lâché après dix années de loyaux services, avec la bêtise de n'avoir pas clôné le disque dur, j'étais dans l'impossibilité d'accéder à mon site Internet au niveau local pour y travailler, ce qui m'avait rendu presque fou! Avec le sentiment pénible qu'on m'avait arraché à ma vie virtuelle, Ah!Ah!Ah! Ce qui représentait pour moi, un véritable drame par le fait que je n'avais plus aucune vie réelle avec mes semblables! A l'évidence, Ebay et le Boncoin avaient été mes sauveurs en ces temps épidémiques afin de poursuivre ma vie tout simplement. Comprenez, mon cher lecteur, si je vous racontais toutes ces choses bien fumeuses, c'était dans le but d'analyser nos comportements durant cette épidémie de Covid-19 où visiblement celle-ci souhaitait remettre nos pendules à l'heure!

Et vu les achats que j'avais faits, il était simple d'analyser que mon souhait plus ou moins inconscient était de restaurer mes logiciels afin de pouvoir continuer à écrire mes oeuvres musicales et littéraires. Bref, de remettre nos pendules à l'heure, n'est-ce pas? Sans se cacher que cette épidémie avait modifié fo-rtement notre façon de consommer, mais qui ne l'avait pas interrompu vu les éléments que je vous avais apporté par ma propre expérience. En fait, pour moi, remettre nos pendules à l'heure signifiait s'occuper de l'essentiel qui n'était pas le retour à l'age de pierre( souhaité par les écologistes en vu de créer le chaos économique et prendre le pouvoir, Ah!Ah!Ah!), mais de pouvoir réaliser nos ambitions ou nos rêves grâ-ce à la technologié en mode virtuel faute d'avenir dans le réel, n'est-ce pas? Sous entendu que la techno-logie n'était qu'un outil et non une fin en soi! En vous assurant qu'aucune machine n'était capable d'écrire une oeuvre littéraire ou musicale. Et que le débat sur la technologie, proposé par les écologistes, était un faux débat. Car si vous aviez du talent ou de l'imagination, celle-ci faciliterait énormément votre travail. Parce que la technologie concernait essentiellement les créateurs et non les intellectuels de gauche qui rabâchaient à longueur de journée leurs vieux concepts obsolètes, Ah!Ah!Ah! Pour être positif, je leur proposerais courtoisement de mettre à jour leur vieux logiciel en profitant de cette épidémie de Covid-19 qui souhaitait remettre à tous les pendules à l'heure, Ah!Ah!Ah! Mais l'accepteraient-ils sans crier au scandale? Personnellement, je n'y croyais guère en étant des êtres du passé où la nostalgie tenait une gra-nde part avec les idées de Marx et de Hegel! Bref, tout le contraire des créateurs qui écoutaient le mou-vement du cosmos pour vivre le jour d'aujourd'hui. Et tout paticulièrement, ma personne qui cherchait du nouveau dans cette nouvelle réalité imposée par la Covid-19. Dont le message était clair, celui de nous donner l'heure exacte du cosmos en vu de nous débarrasser du passé qui nous empêchait d'aller vers l'avenir. N'avez-vous pas l'impression parfois, mon cher lecteur, de sentir sur vos épaules le poids du pa-ssé, comme le poids d'une enclûme vous empêchant d'avancer là où vous vouliez? Dit d'une autre façon, la faillite de l'Ecole serait-elle programmée par le cosmos qui voulait se débarasser de l'inutile pour ava-ncer plus vite? Oui, je sais de rudes questions métaphysiques et philosophiques pour nous tous, mais ess-entielles pour analyser et comprendre ce que le présent voulait nous dire ou faire comprendre. Et si visib-lement, les jeunes générations avaient de l'aversion pour la Culture ou pour faire la cuisine, ce qui reven-ait au même, ce n'était pas sans raison. Mais parce qu'elles pensaient qu'il était vital pour elles de voyag-er léger dans ce nouveau monde où la culture était désormais accéssible à tout moment sur Internet! Et pourquoi se farcir le ciboulot, alors que l'information nous sera donnée en un clic? pensaient les nouv-elles générations pragmatiques.

A l'évidence, l'épidémie de Covid-19 ressemblait à un grand nettoyage du passé en décimant nos vieux concepts idéologiques ainsi que nos vieux, afin que nous puissions entrer dans une nouvelle ère où nous vivrons désormais sans nostalgie! Ce qui ne sera pas facile à vivre, je peux vous l'assurer, mon cher lec-teur. Mais sans aucun regret, puisque la réalité était devenue pour nous une peau de chagrin où nous ne pouvions plus nous créer de souvenirs, n'est-ce pas? Et comme j'étais musicien, écouter le temps était pour moi une chose naturelle. A ce propos, j'ai souvent eu des discutions surréalistes avec mon frère qui voudrait que je compose de la musique comme Mozart et que je chante comme James Brown, Ah!Ah!Ah! Mais à chaque fois, je lui répondais que ces artistes, bien qu'ils aient fait des choses formidables, ap-partenaient au passé et que ce qu'ils avaient exprimé en leur temps ne pouvaient plus être exprimé aujo-urd'hui à moins de faire de l'imitation ou pasticher les oeuvres, comme on le voyait dans les médias, Ah!Ah!Ah! Sans vous cacher que mon frère imitait très bien Johnny Hallyday dans les karaokés avec ses am-is, mais ignorait complètement c'était quoi de chanter avec sa propre voix, Ah!Ah!Ah! Et la semaine dern-ière, quand il est venu à la maison, comme on parlait de chansons et de musiques, il m'a dit que je n'étais pas un chanteur! Ce qui m'avait beaucoup étonné et attristé en même temps sachant que sur mon site In-ternet, j'avais composé de bonnes chansons qui étaient écoutées par les internautes, ce qui était pour moi le plus important. En fait, comme il n'était pas un artiste, alors qu'il aurait pu l'être avec quelques efforts, il ignorait qu'une voix se construisait étape par étape et tout particulièrement grâce aux chansons que le chanteur composait ou qu'on lui proposait. Car il faut dire à notre cher lecteur que c'était la bonne cha-nson qui révèlait au chanteur sa propre voix et tant qu'il ne l'avait pas trouvé, il serait déçu! Demandez aux chanteurs s'ils aiment leur voix, la majorité vous diront que non en ne l'entendant pas, comme les auditeurs et pour en avoir un peu marre de l'entendre, Ah!Ah!Ah! En fait, ce qui faisait le succès d'un ch-anteur, ce n'était pas sa voix, mais la bonne chanson qui lui permettait d'exprimer toutes ses nuances! Bien évidemment, je ne parlais pas ici des rapeurs qui ne chantaient pas, mais parlaient où l'envolée ly-rique était inexistante ainsi que l'absence totale de romantisme, Ah!Ah!Ah! En fait, j'étais convaincu que le rap n'était pas le produit de la contre-culture, comme les chansons et la musique des années 70 ou d' une autre époque, mais le produit de la non-culture, Ah!Ah!Ah! Et plus précisément de la technologie numérique. Car lorsque j'écoutais du rap, je restais souvent sur ma faim en me demandant à chaque fois quand ça allait décoller pour nous faire rêver, Ah!Ah!Ah! Décidément, le pavé et le rap étaient liés com-me par une malédiction!

Où la répétition et la morosité étaient les effets produits par la technologie tel qu'on pouvait le voir dans le rap, mais aussi dans le cinéma hollywoodien où les effets speciaux étaient là pour combler la nullité du scénario, Ah!Ah!Ah! En vous rappelant, mon cher lecteur, que pour écrire un bon sénario, il fallait du temps pour explorer à nouveau le réel, n'est-ce pas? Mais un temps que nous n'avions plus apparemment pour écrire des oeuvres, sinon de la merde, Ah!Ah!Ah! Mais bon si produire de la merde était dans l'air du temps, malheureusement, on y pouvait rien, Ah!Ah!Ah! En d'autres termes, remettre nos horloges à l' heure revenait à réinitialiser notre horloge espace-temps afin de prendre un nouveau départ tel était le message envoyé par le cosmos à travers la Covid-19. Mais un message qui ne sera pas entendu par la Fr-ance, où le bon sens des Français avait été anéanti par les intellectuels depuis la révolution française, Ah!Ah!Ah! Et pour preuve, regardez la compagne de vaccination en France qui pour l'instant avait vacciné 600 personnes, alors qu'en Amérique près de 2 millions! Décidément, la France sourde à l'évolution du cosmos ne m'étonnait guère pour avoir placé sa république au dessus de Dieu et de l'univers en mouve-ment, Ah!Ah!Ah! Ah pauvre France, m'écriais-je souvent en la voyant sombrer chaque jour dans l'obscur-antisme de la raison qu'on appelle l'obscurité sidérale. Toujours à propos des horloges (un thème très important aujourd'hui pour comprendre les choses), rappelez-vous quand Emmanuel Macron suite à sa victoire présidentielle s'était identifié au maître des horloges! En pensant, un peu naïvement, qu'il avait été choisi par le destin pour sauver la France et devenir un grand homme, Ah!Ah!Ah! Malheureusement, quelques années plus tard, le destin en avait décidé autrement en le déboussolant complètement avec les gilets jaunes et la Covid-19, Ah!Ah!Ah! En fait, je crois qu'il était malsain pour un homme ordinaire de se prendre pour un génie, bref, comme tous les républicains qui étaient le produit des écoles d'administr-ation et non de la vie! Et la raison pour laquelle, la France ne bougera pas et ne suivra pas l'évolution du cosmos parce que chaque Français était enfermé dans sa bulle où il rêvait un jour de devenir ministre où président de la république, Ah!Ah!Ah! Mais d'ici là, le monde aura bien changé et la France traînera touj-ours derrière elle son wagon de fonctionnaires et de pseudo-intellectuels alourdissant considérablement, non plus sa locomotive, mais son vaisseau spacial où le cosmos voudrait l'emmener vers un avenir meil-leur! Bref, la France toujours à la traîne n'était pas une chose nouvelle, mais un immense gâchis pour son avenir où tous ses génies avaient été remplacés par des bureaucrates qui avaient fossilisé la France! En saisissant bien, mon cher compatriote, que je n'avais aucune haine contre mon pays où j'étais né, mais seulement contre la socièté produite par la république décadente qui avait mortifié notre beau pays en la transformant en grand tombeau! Et depuis la Covid-19, cette odeur de la mort rôdait autour de nous telle une femme en noire munie d'une grande faucille! En fait, le monde n'était pas touché par le coronavirus, mais par la peste ambiante qui s'appelait l'ennui et la morosité, Ah!Ah!Ah! Espérons seulement que la te-chnologie numérique évoluera dans le bon sens pour nous aider à transcender le réel pour un monde me-illeur, n'est-ce pas? Désormais, il était temps pour nous, mes amis, de lancer des plans sur la comête, car il s'agissait de choisir dans quel monde nous viverons demain? Pour la simple raison qu'il était périlleux et incertain de voyager sans connaître sa destination, n'est-ce pas?

Certes, une vérité de Lapalisse, mais que les Français n'avaient pas bien comprise en marchant sur la tête depuis trop longtemps, Ah!Ah!Ah! En leur rappelant que de marcher sur la tête était une très mauvaise id-ée parce que primo ça faisait mal à la tête et secondo parce que de mettre un pied devant l'autre était la meilleure solution pour avançer, n'est-ce pas? Ce que faisait habituellement les gens intelligents pour ne pas reculer et tomber dans le ravin qu'on appelle le passé, Ah!Ah!Ah! Et aujourd'hui, comme vous l'avez constaté, mon cher lecteur, ce ravin s'appelait la Covid-19 qui d'une grande profondeur entraînait dans ses fonds toute notre économie ainsi que notre façon de vivre et de consommer. Mais comme je vous le disais précédemment, c'était pour le meilleur des mondes, car le cosmos voulait se débarrasser de son pa-ssé pour avancer dans la bonne direction. Certes des propos dures à l'égard de nos vieux, mais qui n'étai-ent pas ceux de ma volonté, puisque d'ordre cosmique. Sans nier un seul instant que la perte de mes par-ents( il y a fort longtemps) m'avait rendu très égoïste et très vindycatif lorsque le reste de ma famille s'est brouillé avec moi, alors que j'étais le génie de la famille! Bref, une totale incompréhension pour moi qui m'avait plongé dans la plus grande des solitudes. Mais assumée par moi-même, car primo, je n'avais pas bien le choix et secondo parce que ma solitude me permettait de juger avec lucidité mes contemporains qui à l'évidence étaient aussi de gros égoïstes, Ah!Ah!Ah! A propos de cette crise cosmique que nous tra-versions en ce moment, j'aurais bien aimé qu'elle nous débarrasse de France-Culture qui nous rabâchait à longueur de journée, l'emmerdant passé, Ah!Ah!Ah! Car j'étais contre le retour à la nature ou à la culture ancienne où les écologistes croyaient trouver la solution à tous nos problèmes de civilisation en remon-tant nos horloges. Ce qui était pour moi une absurdité vu que le cosmos voulait nous catapulter vers l'a-venir et non remonter son horloge interne, n'est-ce pas? En résumé, l'appel de la forêt, c'était pas du tout mon truc, Ah!Ah!Ah! Et tout particulièrement en ce mois de Janvier où l'on commençait à se geler les couilles, Ah!Ah!Ah! Où visiblement, les bobos qui vivaient toute l'année dans leurs beaux appartements chauffés à la bonne température, le froid et la solitude des autres ne semblaient pas les angoisser, Ah!Ah!Ah! Une fois de plus, nous avions affaire ici à de gros égoïstes qui ne pensaient pas aux gens, comme moi, qui avaient du mal à payer leurs factures de chauffage, n'est-ce pas? J'espère seulement que ces gens n'arriverons jamais au pouvoir, car je crains qu' ils nous laissent mourir de faim et de froid, Ah!Ah!Ah! Comme il ne fait que 14° chez moi et que mes voisins du dessous chauffent peu leur logement en le bai-ssant quand ils partent au travail, j'ai beaucoup de mal à écrire et à mettre mes idées en place avec ces températures peu clémentes pour la création.

Mais bon avec un gros pull et deux couches de vêtements, l'affaire était réglée, je vous l'assure. Et même certains affirmaient qu'il était plus difficile de lutter contre la chaleur que le froid. Ce que j'approuvais entièrement sachant qu'on ne pouvait pas retirer sa peau pour avoir moins froid, n'est-ce pas? J'ai aussi remarqué que le froid et l'obscurité accentuaient notre solitude et que si vous étiez seul dans la vie, com-me moi, l'hiver était une période difficile à passer. Et tout particulièrement en cette période de confinem-ent où tous les cafés et lieux de rencontres étaient fermés où l'on était pas loin de devenir fou, Ah!Ah!Ah! Mais afin de rester positif et de combler ma solitude, je vais souvent faire un tour au monoprix pour voir du monde et surtout pour me réchauffer car il est chauffé, Ah!Ah!Ah! C'est à dire une pierre deux coups pour moi en y ressortant requinqué par l'humanité et en énergie. Il y a quelques années, où le froid était plus intense qu'aujourd'hui( car le réchauffement climatique était inexitant), j'allais à la bibliothèque de la Croix-Rousse, non pour lire, mais pour me réchauffer, Ah!Ah!Ah! Mais le problème que je rencontrais souvent( car beaucoup de gens faisaient comme moi), c'était la difficulté de trouver une place disponible et surtout une chaise pour s'asseoir, Ah!Ah!Ah! Parfois, il m'arrivait d'attendre debout pendant vingt min-utes en espérant qu'un lecteur libère sa place; mais aussitôt, je voyais des personnes mieux placées que moi se jeter sur la place vide, comme une bande de requins, Ah!Ah!Ah! Bref, ne pouvant trouver une pla-ce assise, je consultais alors les magazines et les revues qui n'étaient pas trés récents, il faut le dire, ainsi que les livres de photos d'art que j'appuyais contre les étagères tellement ils étaient lourds, Ah!Ah!Ah! Sans nier que de lire debout musclait les jambes et les bras, n'est-ce pas? Il est possible un jour qu'on me retrouve mort devant mon ordinateur pris par les glaces, Ah!Ah!Ah! Mais tout compte fait, une noble mort pour un écrivain, n'est-ce pas? En fait, je crois que le rêve de beaucoup d'écrivains était de devenir bibliothécaire pour pouvoir écrire leurs romans bien au chaud, Ah!Ah!Ah! Mais sans pour autant croire que la sécurité de l'emploi puisse leur assurer d'écrire un chef-d'oeuvre, Ah!Ah!Ah! Car l'écrivain était avant tout un nomade qui aimait par dessus tout la liberté ou si vous voulez marcher sur un fil tel un acr-obate! Et tout particulièrement, les écrivains d'imagination comme moi qui se mettaient en danger dans leurs romans. Au contraire des écrivains sociologues qui ne faisaient que décrire la réalité qu'ils avaient sous les yeux où vue à la télé, Ah!Ah!Ah! Mais qu'il était important pour nous de ne pas comparer les descripteurs du réel qu'on avait à la pelle aujourd'hui dans les médias et les créateurs qui se comptaient sur les doigts de la main! Car inventer une histoire était une autre paire de manches que décrire la banale réalité, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et que ceux qui écrivaient un roman par an, tels des automates, étaient à l'évidence des descripteurs du réel qui n'apportaient rien de nouveau au monde. En ne faisant pas de littérature, mais du journalisme afin de plaire aux médias pour leur garantir le succès, Ah!Ah!Ah! Et je veux vous assurer, mon cher lecteur, qu'écrire un roman d'amour n'était pas inventer une histoire, mais raconter la banale réalité que les jeunes filles s'empresseraient de lire avant de passer à la casserole, Ah!Ah!Ah!

Et si les femmes assimillaient la poésie à la vie quotidienne, j'étais bien évdemment contre en tant que poète! Pour avoir réussi à transformer les héros de l'Iliade en bon père de famille, Ah!Ah!Ah! Ce qui je pense aurait rendu furieux Homer d'une telle fin pour son Odyssée où il avait placé la poésie au dessus de la réalité, n'est-ce pas? Mais bon aujourd'hui, on ne savait plus inventer des histoires ou fabriquer des mythes puisque la réalité avait tout absorbé tel un immense buvard ou Kleenex, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais, une triste fin pour nous tous dont les débuts furent flamboyants dans cette Odyssée humaine, n'est-ce pas? Car aujourd'hui, le problème, c'est que nous voulions vivre le plus vieux possible pour des raisons qui m'échappaient complètement! Bien évidemment, personne ne voulait mourir à la fleur de l'âge, mais s'obstiner à vivre en étant des nuls, je ne voyais pas là où ça pouvait mener, Ah!Ah!Ah! En assurant à mon cher lecteur que je ne faisais pas en ce moment une grosse déprime en vu de me suicider, Ah!Ah!Ah! Mais le besoin de faire un examen approfondi de ma conscience où, bizarrement, je trouvais mes journ-ées bien longues avec le sentiment qu'elles ne finiraient jamais! Visiblement, mon horloge biologique av-ait été dérèglée par la Covid-19 où il me semblait combattre un ennemi qui s'appelait le temps. Mais pourquoi ce sentiment d'avoir trop vécu surgissait alors de mes pensées? Car je n'en savais strictement rien pour aimer toujours la vie et toutes ces possibilités de prendre du plaisir et de rire avec ses amis, Ah!Ah!Ah! Mais pour l'instant tout ceci semblait en stanby à mon grand desarroi. Comme si j'étais pris par les glaces de l'hiver et de la Covid-19 qui avaient anéanti notre vie quotidienne et disons-le franchement, nos rapports humains! Malgré cela, je continuais à penser et à communiquer avec mes semblables grâce à mon site Internet avec la certitude que la technologie numérique était au service des hommes pour rom-pre leur solitude. Et que ceux qui avaient la chance d'avoir des amis en chair et en os à qui parler ne pou-vaient pas saisir les bienfaits de la technologie pour les gens comme moi qui n'avait pratiquement plus de rapports humains avec les autres! A qui la faute, je n'en savais rien, mais un constat bien réel pour moi. Où je ressemblais étrangement à ma mère qui de son vivant n'avait pratiquement aucune amie et détestait aller chez les autres pour discuter ou échanger. A l'évidence, j'avais hérité de ce gros défaut de famille ou si vous voulez de cet esprit casanier qui avait gâché toutes mes amitié possibles avec les garçons et les filles! Bien évidemment, il m'était impossible de revenir en arrière, car le temps était passé en me retou-vant bien seul aujourd'hui à communiquer avec des fantômes sur Internet, Ah!Ah!Ah!

Comprenez-bien, mon cher confident, que je n'essayais pas de retourner dans le passé pour retrouver que-lques nostalgies consolatrices! Car le plus important pour moi était le présent où je pouvais toujours exercer mes sens et les connecter à mon environnement proche et au cosmos pour apprendre des choses interessantes à mes semblables. Tout en sachant que mon site Internet ne me permettait pas de dialoguer réellement avec eux, mais virtuellement. Ce qui était assez frustrant au début, je vous l'accorderais bien; mais avec un peu d'imagination, on arrivait à se représenter son lecteur ou sa lectrice dans sa tête, faute de mieux, Ah!Ah!Ah! Avec le sentiment d'avoir toute l'humanité dans ma tête ou essayer de communiqu-er avec elle était un principe vieux comme le monde pour ne pas sombrer dans la folie, Ah!Ah!Ah! Et que faisais-je en ce moment, mon cher lecteur, sinon d'appliquer ce vieux principe en me reconnectant à vous pour rompre ma solitude? En saisissant bien que je n'entendais pas des voix dans ma tête, comme Jeanne d'Arc ou certains skyzophrènes, mais une seule voix qui était la mienne en s'adressant à l'intelligence des hommes qui voulait bien me prêter une petite attention en me lisant! Et quoi de mieux, en ces temps obs-curs et épidémiques, que de renouer ce lien qui nous unissait depuis l'aube de l'humanité, mon cher lect-eur? Je vois qu'il est 21h30 sur l'horloge de mon ordinateur et je vais clore maintenant ce chapitre afin de le reprendre demain pour un nouveau rendez-vous avec vous, Ah!AhAh! Beaucoup d'écrivains honn-êtes vous diront qu'écrire leur permettait d'oublier leurs douleurs et tout particulièrement un corps sou-mis à la gravité et au temps! Et qu'écrire ses pensées ou sensations sur un support papier ou numérique permettait à nos journées de se dérouler plus vite en abolissant le temps. En ressemblant étonnamment à de l'heroïne cérébrale, Ah!Ah!Ah! Mais il faut dire totalement gratuite pour l'écrivain qui la produisait dans son cerveau. Et j'ai souvent pensé, si les gens se droguaient, c'est parce qu'ils n'avaient pas su se cré-er un monde intérieur. Ici, une possible piste pour soigner les drogués, n'est-ce pas? Et pourquoi pas sti-muler leur cerveau avec des électrodes afin qu'elles produisent cette héroïne naturelle ou hormone du bonheur? Oublier le temps, mais quel bonheur pour chacun d'entre nous qui étions soumis à la décrépi-tude, Ah!Ah!Ah! En aimant tout particulièrement écrire sur mon ordinateur et non sur une feuille de pap-ier où mon écran m'offrait une véritable luminothérapie en ce mois de janvier où sur Lyon, il faisait une horrible grisaille. Où le manque de lumière nous plongeait le moral dans les chaussettes ainsi que notre libido, Ah!Ah!Ah! En imaginant avec horreur les hivers moyen-ageux où l'éclairage n'existait pratiquem-ent pas, sinon à la bougie, au point qu'ils semblaient s'éterniser et rendre fous les gens!

Décidément pour moi, le retour à la nature( rêvé par les écologistes) m'inspirait une véritable terreur, Ah!Ah!Ah! En pensant à l'obscurité hivernale recouvrant les régions polaires et ses environs où la vie des ha-bitants était plongée dans un horrible cauchemar durant 5 mois de l'année, comme en Finlande ou en Ala-ska! C'est à dire les conditions rêvées pour réveiller ses vieux démons, n'est-ce pas? Et si dans ces régio-ns, on buvait comme des trous, ce n'était pas bien surprenant, Ah!Ah!Ah! Où accuser les Russes d'être des ivrognes fut un pléonasme parce qu'ils n'avaient pas bien le choix, n'est-ce pas? Mais apparemment dan-gereux de parler en France de ses vieux démons où semble-t-il la république avait réussi à les faire dispa-raître grâce à son incantation magique qui s'appelle la déclaration des droits de l'homme, Ah!Ah!Ah! Tout en étant qu'une vaste fumisterie, car ces derniers ne demandaient qu'à se reveiller et tout particulièment en ces périodes de confinements où la folie nous guettait! Si Erasme avait écrit l'éloge de la folie au mo-yen-age, où le confinement ressemblait étonnamment au nôtre par la hantise d'une épidémie de peste, ce ne fut pas bien surpenant, croyez-moi. Car j'étais convaincu que la France était toujours possédée par ses vieux démons, mais sans oser se l'avouer par la peur de sombrer dans la folie, Ah!Ah!Ah! Ce que je pou-vais parfaitement comprendre, mais avec la lâcheté de ne pas les regarder en face, sinon pour les domesti-quer afin de résoudre tous nos problémes politiques et économiques. Nul doute que la France et l'autru-che avaient beaucoup de points communs, c'est à dire de mettre la tête sous le sable au moindre danger et surtout par son incapacité à voler de ses propres ailes! Car l'autruche n'était pas un oiseau, mais une gro-sse dinde courant très vite, Ah!Ah!Ah! Pour être pédagogue, il faut bien  comprendre que nos vieux dém-ons nous empêchaient d'avancer dans la vie, comme notre pays, qui perdait son temps et son energie dans de vieilles querelles franco-françaises qui n'avaient plus lieu d'être! Où nos vieux démons s'appelaient tout simplement la politique qui rendait fou la plupart des Français, Ah!Ah!Ah! Pour être concrêt, j'ai en-tendu dernièrement aux informations, Jean-Pierre Ruffin de la France Insoumise prendre la défense de Donald Trump suite à la supression de son compte Twitter! Décidément, la politique rendait fou tous les Français et tout particulièrement ceux qui l'étaient déjà, Ah!Ah!Ah! Et si Jean-Luc Melenchon n'avait ri-en dit pour l'instant, c'est parce qu'il hibernait dans sa tannière grand luxe à Paris en attendant l'arrivée du printemps pour dévorer tous ses adversaires politiques, Ah!Ah!Ah! Apparemment, un ours qui avait les yeux plus grands que l'estomac, Ah!Ah!Ah!

A l'évidence, les Français avaient une nature pessimiste parce qu'ils étaient obsédés par la politique qui les dévorait de l'intérieur quand elle n'allait pas dans leur sens, Ah!Ah!Ah! Ajouter à cela, leurs traumat-ismes de l'enfance et les tares familliales, la panoplie de leurs vieux démons me semblait au complèt, Ah!Ah!Ah! Pour changer de sujet, cette nuit, j'ai fait un rêve formidable où j'étais dans un pays chaud où je me dorais au soleil! Et comme il ne faisait que 14° chez moi, il fallait bien s'y attendre! Car faute de pou-voir payer mes factures de chauffage, j'avais l'impression de vivre dans un frigo depuis début Janvier, ce qui n'était pas très drôle, je vous assure, mon cher lecteur. Sans nier un instant que le froid conservait la viande, mais avec l'inconvénient de vous geler les pieds et le bas du dos, Ah!Ah!Ah! A propos du froid, j' ai appris dans une émission qui parlait de haute montagne que les alpinistes avant de mourir d'hypother-mie avaient des hallucinations en se voyant transportés comme par magie dans un pays chaud où suffoqu-ant de chaleur, ils retiraient leurs habits pour mourir aussitôt, non pas d'hyperthermie, mais d'hypother-mie! Des récits véridiques attestaient qu'on avait retrouvé des alpinistes morts au sommet de l'Hymalaya en bras de chemise et en caleçon! C'est dire que le cerveau humain était une machine complexe qui nous pr-ouvait que l'homme devenait fou dans certaines circonstances avec une âme prête à s'envoler pour un autre monde, n'est-ce pas? Comme moi en ce moment qui était victime du froid avec des hallucinations durant mon sommeil où je rêvais de sable chaud et d'océan, mais sans craindre à ma vie sous ma couette, Ah!Ah!Ah! Vivement le retour du printemps et la lumière du soleil pour nous rendre plus léger et retrou-ver notre belle insouciance à laquelle je tenais tant! En regardant cet après-midi la météo, j'ai vu que les températures allaient remonter dans les jours prochains. Une sacrée bonne nouvelle pour moi et pour ceux qui grelottaient faute de pouvoir payer leurs factures de chauffage, n'est-ce pas? Même si à la long-ue, on arrivait à s'habituer aux basses températures en étant bien couvert et en mangeant suffisamment, il y avait le problème de l'humidité qui nous donnait l'impression d'avoir une piscine dans son salon, Ah!Ah!Ah! Et tout particulièrement en ce mois de janvier 2021 où il pleuvait pratiquement tous les jours en accentuant notre solitude dans le quartier de la Croix-Rousse où le couvre-feu allait parait-il être avançé à 18 heures! Décidément que de mauvaises nouvelles en ce mois de janvier malgré notre confinement et la campagne de vaccination du Covid-19 qui risquait de prendre plusieurs années afin de vacciner 70 % de la population française soit environ 44 millions de personnes pour avoir une immunité collective, n' est-ce pas?

Bref, de quoi plomber toutes nos ambitions et nos futures réjouissances, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais que je vais essayer d'oublier en me mettant en hibernation, Ah!Ah!Ah! Ce matin, je suis allé faire un tour sur la place Bellevue( connue de tous les Lyonnais) en remarquant que la ville de Lyon vue d'en haut semblait figée et mise à l'arrêt par l'épidémie de Covid-19! Car habituellement, elle est plutôt bruyante et ce matin prodigieusement silencieuse! Je sais bien que beaucoup de gens et particulièrement les écologis-tes ne se plaindront pas où l'épidémie avait réduit notablement la pollution sonore et atmosphérique en paralysant quasiment la ville de Lyon. Avec l'impression désormais de vivre dans une ville fantôme où je verrais dans les prochains jours sortir des rues des colonies de zombies, Ah!Ah!Ah! Car quoiqu'on puisse en penser, un trop long confinement des individus les rendaient complètement fous en les transformant en monstres, Ah!Ah!Ah! Et le couvre-feu à 18 heures annoncé par le premier ministre, comme la goutte d' eau qui fera déborder le vase en ouvrant un grand avenir à la psychiatrie françaises, Ah!Ah!Ah! Bonne so-irée, mes chers zombies avec l'espoir d'engager avec vous la danse macabre, chère à nos amis du moyen-age pétrifiés par la grande épidémie de peste noire! Etant désormais tout figé autour de nous, comme dans un grand linceuil à cause de l'épidémie, la culture l'était elle aussi. Et si le gouvernement avait fer-mé tous les lieux culturels dits traditionnels, comme les théatres, les cinémas, les musées etc, personn-ellement, j'ai toujours pensé que les restaurants étaient aussi des lieux culturels où les gens discutaient ensemble et échangeaient des points de vue et des idées dans la bonne humeur, n'est-ce pas? En excluant les bars et les cafés où l'alcool envenimait souvent les conversations où tout compte fait l'échange cul-turel virait au massacre, Ah!Ah!Ah! Pour m'être souvent retrouvé dans ces lieux, non pas en face d'êtres humains curieux de savoirs, mais d'égos surdimentionnés, Ah!Ah!Ah! Pour vous dire en toute franchise : Non, malheureusement, les bars et les cafés n'étaient pas des lieux culturels, mais des endroits formida-bles pour se fâcher avec les autres, Ah!Ah!Ah! Si en ce moment, le gouvernement accusait la culture de tous les maux et plus précisément de propager l'épidémie de Covid-19, alors qu'il en avait aucunement la preuve, ce n' était pas bien nouveau. Car dans les périodes troubles, il lui fallait toujours trouver un bouc émissaire qui aujourd'hui était la culture, bref, la grande coupable propageant le virus mortel, Ah!Ah!Ah! Alors que durant l'épidémie de peste noire au moyen-age où l'Eglise était puissante, c'était Dieu qui puni-ssait les hommes pervertis par l'argent et l'ambition! Décidément chacun avait besoin d'un bouc émissaire pour exorciser la situation, n'est-ce pas? Si actutellement la culture était mise à l'arrêt pour les raisons que nous connaissions tous, personnellement, je pense que la culture l'était déjà avant l'épidémie de Cov-id-19! Où tout compte fait, l'épidémie n'a fait que nous révéler une cruelle vérité, c'est à dire que la cult-ure était morte depuis belle lurette, Ah!Ah!Ah! Ne l'aviez-vous pas déjà remarqué, mon lecteur, qui écou-tiez à longueur de journée du rap et regardiez des vidéos débiles sur YouTube? Ah!Ah,Ah! Sans parler de TikToc qui rendait les gamines complètement hystériques et disons-le franchement complètement toqu-ées, Ah!Ah!Ah! Bonne chance à la France de demain!

Oh, mon beau miroir, qui est la plus belle? demandent-elles à travers le miroir de TikTok où il semble que nous soyons entrés dans un conte bien cruel ressemblant étrangement à Blanche neige et les sept nai-ns, Ah!Ah!Ah! Car si autrefois, on parlait de la névrose comme d'une maladie touchant plutôt une popul-ation agée, j'avais le sentiment quelle touchait désormais nos adolescents et adolescentes! Pour la simple raison que nous avions semble-t-il perdu l'estime de soi! Saisissez-bien, mon cher lecteur, que je ne vous parlais pas d'amour propre ou d'orgueil, mais d'estime de soi nous permettant de nous aimer le plus sim-plement du monde afin d'être bien avec soi-même et les autres. En étant une chose essentielle pour la co-nstruction d'un homme ou d'une femme désirant habiter un monde harmonieux, n'est-ce pas? Mais vu la névrose qui s'était installée au sein de la jeunesse, alors quelle avait obtenu plus de choses que les ancie-ns, le monde d'aujourd'hui me semblait basculer dans un cauchemar où le règne de la sorcière n'était pas loin, Ah!Ah!Ah! Personnellement, j'ai toujours eu du mal a ressentir de l'estime pour moi-même, non par débilité mentale, mais parce que mon enfance et mon adolescence avaient été pour moi comme un grand désert émotionnel! Je ne savais pas exactement pour quelles raisons, mais à l'évidence, l'estime de soi m' était complètement étranger et par conséquent inateignable ou peut-être non désiré? Comme si l'estime de soi fut un sentiment de luxe ou de confort que mes parents ignoraient eux aussi l'existence! Ainsi ai-je été élevé, comme un enfant sans passé et sans avenir, on peut dire sans identité, d'où le sentiment de n' avoir aujourd'hui aucune existence réelle! Pourtant, j'étais bien réel puisque lorsque je tapais sur mon clavier d'ordinateur, les lettres s'affichaient sur mon écran, n'est-ce pas? A l'évidence, j'étais atteint par le syndrôme de l'homme invisible qui avait le besoin vital de se prouver qu'il existait bien à force d'être de-venu invisible aux yeux de mes frères et soeurs et des hommes! Vu les symptômes que je venais de vous décrire, mon cher lecteur, ce mal invisible nous rongeait de l'intérieur et touchait désormais toute la pla-nète, Ah!Ah!Ah! Et la grande question qu'on devait tous se poser maintenant était de savoir comment la retrouver? Bien évidemment, TikToc et les réseaux sociaux essayaient d'y répondre, mais en rendant prat-iquement fou tout le monde et moi compris, Ah!Ah!Ah! Car se situant entre l'amour propre et l'orgueil, elle était un fragile équilibre entre nous et le monde. Et qu'elle n'était pas le produit de notre nature, mais le produit des autres qui voulaient bien nous accorder quelques attentions! Ce qui en disait long sur le rôle détermnant de nos parents, frères, soeurs, amis et contemporains, n'est-ce pas?

Car en tant qu'enfant esseulé pour lequel on ne portait guère d'attention, j'étais le mieux placé pour en parler, n'est-ce pas? Et si aujourd'hui, j'avais le courage d'évoquer le sujet sans tabou, c'est parce que j' avais réussi à vivre sans son appui en vivant dans ma propre bulle! Mais sans savoir exactement si l'une était la conséquence de l'autre, car malheureusement, ma mémoire sélective avait refoulé dans les limbes, les moments pénibles de mon existence! Mais pourquoi me sentais-je si étranger au monde qui m'envir-onnait? je me demandais souvent avec l'espoir un jour de briser ma bulle pour communiquer avec les ho-mmes. J'étais à l'évidence prisonnier dans ma propre bulle, comme le numéro 1, le heros tragique du cél-èbre téléfilm anglais des annèes soixantes, The Prisoner! Si aujourd'hui, on évoquait souvent dans les médias, le plafond de verre quand on parlait de pôlitique, ce n'était pas sans raison. Car il fallait compre-ndre désormais que le monde politique et médiatique vivaient dans leurs bulles, comme vous l'auriez co-nstaté, mon cher lecteur. Et ce qui me faisait particulièrement sourire, quand je regardais les informatio-ns où les journalistes essayaient de nous décortiquer le vrai du faux en analysant les fake news, c'était de penser qu'ils puissent détenir la vérité, Ah!Ah!Ah! Apparemment eux aussi vivaient dans leurs bulles, c' est à dire dans leurs grandes illusions, comme le rassemblement national qui tentait à chaque élection de briser le plafond de verre avec un manche à balai pour atteindre le pouvoir, Ah!Ah!Ah! Décidément, le manque d'estime de soi nous faisait faire des folies, n'est-ce pas? J'en venais même à penser que les révo-lutions avaient comme origine, le désamour qu'on avait pour soi-même! Ce qui n'était pas loin de la vér-ité en sachant que tout le monde voulait être reconnu pour l'importance qu'il pensait avoir dans ce mon-de, Ah!Ah!Ah! Décidément, la liberté issue de la révolution de 1789 était un vrai cauchemar pour nous tous où les débiles mentaux pensaient eux aussi avoir du génie puisque la liberté leur permettait de le croire, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, j'étais heureux de vivre dans ma bulle pour ne pas entendre le chant des gre-nouilles me casser les oreilles, Ah!Ah!Ah! Pour être juste, je comparerais sans grande difficulté notre sit-uation épidémique d'aujourd'hui avec celle du moyen-âge où l'enfermement sur soi-même était le symptôme évident! Pour parler d'autre chose, hier, j'ai appris la mort de Jean-Pierre Bacri à 69 ans, mais qui m'a fait ni chaud ni froid, car je n'ai jamais aimé cet acteur, Ah!Ah!Ah! Excusez ma franchise, mais son accent pied-noir irascible me donnait comme des boutons! Alors que celui de Robert Castel( acteur de théatre et humoriste pied-noir) était plutôt chaleureux! Avec la conviction que de vouloir jouer des rôles dramatiques avec un accent pied-noir était une hérésie, Ah!Ah!Ah! Rappelez-vous Roger Hanin jouant le rôle de Britannicus, c'était complètement ridicule!

Décidément dans le cinéma comme dans le théatre tout était une question de voix où l'âme du personna-ge devait transparaitre si possible sans accent afin qu'on entende tout! Malheureusement, je n'ai jamais apprécié le jeu d'acteur de Jean-Pierre Bacri qui était forcé voir caricatural. Tout en concevant que les goûts et les couleurs ne se discutaient pas, ce qui ne m'empêchait pas de dire mes quatre vérités sur mes contemporains dans mon livre iconoclaste " Des fleurs pour mon enterrement" qu'ils jetteront au feu ap-rès ma mort, Ah!Ah!Ah! Toujours au sujet des polémiques, j'étais convaincu qu'on avait volé la victoire à la présidence des Etats-Unis à Donald Trump! Les voleurs étant bien évidemment, le coronavirus et les médias gauchistes du monde entier qui voulaient s'en débarrasser une bonne fois pour toute, Ah!Ah!Ah! Car lorsqu'on voulait se débarrasser de son chien, il fallait l'accuser de la rage et son président de n'avoir pas su éradiquer la Covid-19, Ah!Ah!Ah! Et depuis la victoire de Joe Biden, c'est fou comme les journal-istes avaient retrouvé le sourire, mais n'assurant en rien aux Américains que Joe Biden sera un bon prés-ident! Vu qu'il était un vieux monsieur dont les jours étaient comptés en voulant remettre tout comme avant l'arrivée de Donald Trump! Décidément, quel programme politique innovant pour l'Amérique et le monde entier, Ah!Ah!Ah! Et comme je l'ai dit précédemment, l'épidémie de coronavirus avait la fonction de remettre nos horloges biologiques et temporelles à l'heure, alors que Joe Biden comptait les retarder en pensant idiotement qu'avant c'était mieux, Ah!Ah!Ah! Comme Alain Finkielkraut, qui était pour moi un has-been de la pensée, alors que la planète Terre voulait faire table rase du passé! Et si le coronavirus s'attaquait particulèrement aux personnes âgées, ce n'était pas un hasard, croyez-moi. Décidément pour survivre à tous ces cataclysmes épidémiques et économiques, il était vital pour nous de nous enfermer dans notre propre bulle où nous étions protégés, n'est-ce pas! En pensant que la bullomanie sera la grande tendance des temps modernes, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas construire nos futures habitations en forme de bulle? Car s'enfermer dans sa bulle était un reflexe de survie avec l'inconvénient de se retirer du monde! Ce qui n'éffrayait pas les sages, mais les hommes qui avaient besoin des autres pour exister, n'est-ce pas? A l'évidence s'enfermer dans sa bulle était une forme d'autisme dont j'avais bien évidemment les symptô-mes que l'avancée en âge n'améliorait pas, Ah!Ah!Ah! Mais en étant pas une chose nouvelle, car illustrée à merv-eille dans la caverne de Platon où les esclaves refusaient de sortir en s'y sentant en sécurité, n'est-ce pas? De même que les hommes préhistoriques enfermés dans leurs grottes où ils avaient peu de cha-nce de se faire dévorer par les animaux sauvages, Ah!Ah!Ah!

Et puis regardez la planète Terre, enfermée dans sa bulle atmosphérique, n'est-ce pas la preuve que sans bulle la vie ne peut pas exister, hum? Et que fais-je en ce moment devant mon ordinateur, sinon d'écrire à partir de ma bulle pour me sentir exister? Avec une forte chance en ces temps épidémiques que la vie loc-ale cesse au détriment d'une mondialisation inflationniste jusqu'à imploser comme une bulle, Ah!Ah!Ah! Mais d'ici là, nous ne seront plus là, à part mes écrits qui resteront comme des testaments de l'humanité, Ah!Ah!Ah! Où mon site Internet, étant lui aussi une bulle, sera conservé dans des serveurs en Californie bien au chaud! Hier soir, en écoutant les infos, j'ai été très heureux d'apprendre que LCI avait renvoyé Alain Finkielkraut de la chaine pour avoir pris la défense d'Olivier Duhamel accusé d'inceste dans l'affa-ire Camille Kouchner. Mais tout ceci ne m'étonnait guère, car il ne faisait que défendre son vieil ami ga-uchiste, Ah!Ah!Ah! Décidément, chez les gauchistes que de pédophiles en puissance et de dérives en tout genre, Ah!Ah!Ah! Si au moins, ils croyaient en dieu, je pense qu'ils seraient moins monstrueux, n'est-ce pas? A l'évidence, la bulle du gauchisme avait implosé et on commençaient maintenant à ramasser les ca-davres dans les médias, Ah!Ah!Ah! Et à qui le tour dans nos prochaines émissions préférées? me demand-ais-je avec la peur de recevoir sur le visage les morceaux de cervelles de gauche dégoûtantes, Ah!Ah!Ah! et d'attraper le variant gauchiste du Covid-19 appelé le Gauvid-19! A l'évidence, j'étais très méchant à l' égard des personnes qui se croyaient très intelligentes par leur statut social, Ah!Ah!Ah! Mais primordial pour moi de laisser gambader ma pensée là où elle voulait pour ne pas devenir fou durant ce confinement où le couvre-feu de 18 H sonnait comme la cloche d'un enterrement. C'est bizarre à dire, mais il y a quel-ques jours, j'étais si mal en point que j'ai cru mourir comme une bête! Mais contrairement à ce qu'on au-rait pu croire, je n'étais pas du tout affolé par l'idée de mourir, car je croyais au destin. Et si la mort vou-lut m'emporter, parce que j'avais fait mon temps, je n'aurais pas protesté contre, comme un héros de l'Ili-ade, voyant son sang s'écouler d'une grave blessure, accepterait la mort sans aucune émotion! C'était un senti-ment assez étrange où la peur de la mort avait complètement disparu de ma conscience où dispa-raître du jour au lendemain de l'humanité fut pour moi comme une délivrance! A l'évidence, je n'étais pas très heureux parmi mes semblables, mais entre nous qui l'était en vérité? Avec l'envie de quitter la Terre pour voyager dans d'autres mondes où je serai accompagné par Dieu, le maître de la création! Puisque les hommes ne m'aimaient guère, il fallut mieux s'en dispenser pour être enfin heureux, n'est-ce pas? Tel éta-it alors ma sublime pensée pendant ces instants où la mort me parlait au creux de l'oreille. Mais quelques jours plus tard, j'ai senti en moi une sorte de résurrection qui me parlait d'avenir et de futures jouissances comme un soleil se levant à l''horizon! Mais avec une peur soudaine de rater ces moments délicieux!

A l'évidence, j'étais revenu à la réalité, mais avec toutes les angoisses des vivants, n'est-ce pas? En étant convaincu qu'un jour, je mourais sans m'en apercevoir où, après avoir écrit quelques pages sublimes sur mon Site Internet, j'irai me coucher pour ne plus jamais me réveiller, Ah!Ah!Ah! Telle était la mort de l' écrivain que je préssentais au fond de moi en ayant jamais eu de l'estime pour lui-même ni reçu la moi-ndre reconnaissance des autres! Décidément, l'humanité quel cauchemar et vivement qu'on s'en débarra-sse une bonne fois pour toute au point de considérer la réincarnation, comme une malédiction, Ah!Ah!Ah! En vous parlant de cette façon si radicale, mon cher lecteur, je vous assure que l'idée de suicide ne m'a jamais efleuré l'esprit. Car n'ayant aucune existence réelle, me donner un coup de poignard dans le coeur fut pour moi comme un coup d'épée dans l'eau! Peut-être n'avais-je pas de coeur et c'est ce que les Hommes me reprochaient férocement? Il parait que les vieux dans les EHPAD ne mouraient pas du Covid-19, mais de solitude! Décidément, cette Covid-19, quel grand stratège d'extermination, n'est-ce pas? Et fort possible que mon mal être dernier, où j'avais cru mourir, soient les signes inquiètants d'une trop grande solitude! Et bien que j'ai toujours été un garçon plutôt calme et patient, il me semblait sentir en moi les pre-miers affres de la solitude. Pour l'instant aucun toc visible ni prostration corporelle, mais je commençais à mourir d'ennui dans ma bulle où ma mise en quarantaine avait épuisé tout mon capital bonne humeur ou si vous voulez vidé toutes mes bouteilles d'oxygène! J'avais le sentiment d'être tombé sur Mars en me sentant bien seul. Avec cette impossibilité pour moi de me laisser mourir, car la nature avait mis en moi tous les matériaux pour reconstruire la vie même sur les sols les plus ingrats, Ah!Ah!Ah! Et s'il me manquait de l'oxigène, je le produirais avec mes propres moyens! Et s'il me manquait la compagnie de mes semblables, je créerais un clône humain pour me tenir compagnie, Ah!Ah!Ah! Et s'il me manquait une femme, je la créerais dans mon esprit pour avoir de temps en temps des scènes de mén-age, Ah!Ah!Ah! En sachant bien que notre cerveau était une machine formidable contenant du masculin et du féminin pouvant résoudre tous nos problèmes exitentiels où l'ennui ne pouvait pas durer éternelle-ment et gâcher nos vie, n'est-ce pas? Mais alors quelles ressources infinies, il y avait en nous, mon cher lecteur et ma chère lectrice, qui en ce moment doutait peut-être de ses capacités extraordinaires? Bonne soirée, mes amis et à demain! Ecrire en ce moment était pour moi la meilleur thérapie pour ne pas mourir d'ennui, Ah!Ah!Ah! Car exprimer ses pensées sur un support extérieur à nous, puisque faute d'amis en ch-air et en os, nous permettait de les évacuer hors de soi afin de retrouver une santé mentale.

Ce dont nous avions bien besoin en ce moment, mon cher lecteur! Où exprimer ses mauvaises pensées faisaient partie aussi du jeu et de ma thérapie personnelle pour être heureux, Ah!Ah!Ah! Rire aussi des autres et pourquoi pas les réduire en bouillie par la pensée, Ah!Ah!Ah! Sachant que vouloir la mort des autres, d'après Hercule Poirot, n'était pas un crime du moment qu'on ne passait pas à l'acte, n'est-ce pas? Pour être franc avec vous, je dirais que l'humanité était méchante parce qu'elle était constamment en état de frustration, Ah!Ah!Ah! La faute bien évidemment à la nature qui avait créé une créature insatisfaite vivant en vérité plus d'illusions que de réalités, Ah!Ah!Ah! Et dire sans se tromper que l'homme était plu-tôt une créature métaphysique que physique. Car j'avais du mal à comprendre que l'homme, qui avait tout pour être heureux, puisse encore chercher ce qu'il n'avait pas, Ah!Ah!Ah! C'est à dire un fou qui ne trou-vera jamais le bonheur, à part dans les illusions. C'est la raison pour laquelle, la démocratie eut un grand succès parmi les Hommes sachant qu'elle leur offrait un lieu idyllique pour entretenir leurs grandes illus-ions. Au point que les sages la detestaient, Ah!Ah!Ah! Où se bourrer d'illusions, comme de sucre était la grande invention de la démocratie. Sans nier qu'elle soit être le meilleur des systèmes politiques pour les hommes qui rêvaient de liberté, puisque en état constant de frustration, n'est-ce pas? Ses victimes au cou-rs de l'Histoire ont été bien évidemment, les systèmes totalitaires, comme le communisme et les monarc-hies dont on connait désormais le triste destin, n'est-ce pas? A prioris, il était impossible de combattre la démocratie, sinon se rendre ridicule aux yeux du peuple en sachant bien que de lui enlever ses illusions serait considéré comme un crime impardonnable, Ah!Ah!Ah! Donc, je ne combatterai pas aujourd'hui la démocratie au risque de passer à la guilotine en France ou à la chaise elec-trique aux Etats-Unis, Ah!Ah!Ah! J'en venais même à penser dans mon malheur que la démocratie m'offrirait gratuitement mes frais d'obsèques, Ah!Ah!Ah! Ce qui ne serait pas une mauvaise idée à faire voter au parlement afin de donner du courage au peuple qui n'avait ni les moyens de vivre décemment ni les moyens de mourir dignement! Ah douces illusions quand tu nous tiens que la vie devient belle! Et si Staline avait dit très justement que la religion était l'opium du peuple en intégrant aussi la démocratie, le communisme était son poison, Ah!Ah!Ah! C'est à dire une chose encore pire, n'est-ce pas? Et quand je pensais à cette épidémie de coronav-irus qui ne semblait pas décroître, bien que nous ayons trouvé un vaccin pour lutter contre, j'avais le sen-timent que mon semblable était devenu mon pire ennemi, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais des propos très dures à son égard. Mais si cela continuait ne risquions-nous pas d'avoir une guerre civile, mon cher lecteur? Bref, une guerre civile provoquée par l'épidémie de coronavirus, comme nous en n'avions jamais connu auparavant?

Je me posais cette étrange question en sachant bien que l'Histoire ne se répétait jamais de la même maniè-re et pourquoi pas concevoir ce funeste dénouement? En ne voulant pas inquièter, mon lecteur, qui subi-ssait en ce moment un confinement aux conséquences psychologiques peut-être irréversibles? Mais je me demandais avec raison si les américains n'étaient pas en avance avec leur 2 ème amendement leur permet-tant de posséder des armes pour se défendre? Et devrait-on faire de même en France quand la guerre civ-ile sera déclarée par la Covid-19, mon cher concitoyen? Je sais, je vous entends dire que j'étais en train de délirer en ce moment, ce qui n'était pas totalement faux. Mais qui d'entre nous savait si la Covid-19 ne nous rendra pas fou? Bien évidemment, personne, car les scientifiques n'avaient pour l'instant mené auc-une étude sur le plan neuronal, ce qui était bien dommage. Mais qu'il devrait s'y atteler, car il s'agissait d' une question de vie ou de mort pour nos sociètés avec le sentiment que le coronavirus avait été conçu par un savant fou aux yeux bridés pour exterminer l'humanité. Et celui qui le disait était une génie qui se trompait rarement sur ses intuitions. Bonne nuit, mes amis et surtout ne faites pas trop de cauchemars afin de vous retrouver demain en pleine forme, Ah!Ah!Ah! Bref, en attendant le prochain confinement, je prenais les choses avec philosophie pour ne pas me jeter par la fenêtre, Ah!Ah!Ah! Où tout compte fait, l' humour était une bouée de sauvetage qu'on devait saisir quand le bateau coulait, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Si pour l'instant le commandant du Titanic s'appelait Emmanuel Macron, je n'y étais pour rien, mais aux Français qui avaient malheureusement choisi un homme qui portait la poisse, Ah!Ah!Ah! En ne voulant pas être à sa place en ce moment où dans les livres d'Histoire, il sera nommé : le président poiss-ard, Ah!Ah!Ah! Tout à l'heure, je suis allé sur Internet et j'ai regardé une video où Françis Lalanne, com-plètement hystérique, lançait un appel à la population pour faire un coup d'Etat et renverser Emmanuel Macron! Personnellement, j'ai trouvé cela très intéressant, mais très mal venu au moment où le bateau France était en train de couler sous nos yeux, Ah!Ah!Ah! Et faire une mutinerie en pleine perdition me sembla tout à fait irresponsable de la part d'un sous-lieutenant dénommé Françis Lalanne, Ah!Ah!Ah! J' avais le sentiment que notre poète romantique, avec sa grande écharpe autour du cou, était devenu com-plètement fou à cause du coronavirus qui lui était monté au cerveau et qu'on devrait l'interner en psychi-atrie avec sa guitare, Ah!Ah!Ah! Mais qui ne m'étonnait guère sachant que les artistes étaient souvent les premières victimes des épidémies ou du premier microbe qui passait dans l'air, car trop fragiles et trop sensibles, n'est-ce pas? Et puis regardez autour de vous le génocide culturel, n'était-ce pas la preuve de ce que j'avançais? En étant convaincu que la mort de la culture était programmée par le cosmos et les artist-es avec en attendant des jours meilleurs, nécessairement! Bon courage aux artistes, car les temps vont êt-re très durs, très durs! A ce propos, je ne me suis toujours considéré comme un artiste sans public, Ah!Ah!Ah! Pour être mon propre spectateur, ce qui ne me dérangeait pas dans ce monde au bord du chaos, Ah!Ah!Ah! Au point de vouloir creuser ma tombe quelques heures avant de mourir! Décidément, je n' étais pas un garçon bien prévoyant tout en espérant avoir assez de force pour manipuler la pelle, Ah!Ah!Ah!

Après avoir vu dans les médias, aux Pays-Bas, les émeutes de la jeunesse contre le confinement, j'avais le sentiment que la guerre civile n'était pas loin! Où son message était clair pour moi en voulant sacrifier les vieux pour recommencer à vivre! Car tout compte fait, le problème c'était les vieux qu'on voulait pr-otéger contre le coronavirus dont les conséquences étaient desastreuses pour l'activité économique et l' avenir de la jeunesse, n'est-ce pas? Et qu'elle avait toutes les raisons de s'alarmer en sachant que nos vie-ux avaient bien vécu et atteint des âges canoniques grâce à la science, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais un constat bien cruel et lucide à la fois sur ceux qui nous avaient engendré, mais que la jeunesse d'aujourd'hui sem-blait mettre sur une balance pour sauver son avenir! Car bien que je ne sois ni jeune ni vieux, j'arrivais à entendre son message subliminal à travers les médias que ces derniers ne relayeront pas parce que sourds à la vérité, Ah!Ah!Ah! Car il faut dire que dans nos sociètés ancestrales, on abandonnait les vieux sur le chemin quand ils ne pouvaient pas suivre la migration des hommes vers des terres plus hospitalières. Eti-ons-nous arrivés aujourd'hui à la même situation, mon cher lecteur, où nos vieux nous empêchaient de nous projeter vers l'avenir? Et si l'épidémie avait apparemment le but d'exterminer nos vieux afin de co-mmencer un nouveau monde, nous les hommes en 2021, aurions-nous le courage ou la folie de les sac-rifier pour garantir notre avenir, comme nos peuples anciens? Je vous posais cette question sans tabou, car si l'épidémie perdurait, nous risquions d'anéantir notre avenir, mais aussi l'avenir du monde! Dans les années soixantes dix, on entendait souvent dire à propos des flics : Mort aux vaches! et aujourd'hui dans la bouche de la jeunesse : Mort aux vieux, Ah!Ah!Ah! En ne vous cachant pas, mon cher lecteur, que je n' ai jamais eu de l'estime pour les vieux. Car un jour, j'ai été reçu comme un chien par mon beau-frère de 70 ans, alors que j'étais venu le voir avec de bonnes intentions! Décidément, la vieillesse ne pouvait pas co-mprendre la jeunesse! me suis-je écrié en sortant de chez lui très en colère. Et s'il m'avait reçu à coups de lance-pierre, c'était à cause de ma demi-soeur qui lui avait dit que j'étais un voleur suite au déces de ma mère où parait-il j'avais volé toutes ses économies! Ce qui était totalement faux, car ma mère, femme de ménage de profession et s'occupant de ses cinq enfants, n'avait jamais pu faire la moindre économie! Mais quand on était un vieux con, on ne pouvait pas comprendre ces choses de bon sens, n'est-ce pas? Bref, depuis ce jour, j'étais devenu la bête à abattre par toute ma famille dont les haines et les jalousies faisaient partie totalement de son ADN, Ah!Ah!Ah!

Bref, comme dans toutes les familles, je crois! A prioris pour ces raisons que je vivais seul dans ma bulle pour ne pas recevoir leurs flèches empoisonnées, Ah!Ah!Ah! Sans vous cacher que je ne répondais plus au téléphone pour ne pas recevoir des messages de mort, Ah!Ah!Ah! Décidément, la famille quel panier de serpents en réalité! Alors que dans les magazines féminins, elle était présentée comme un lieu idylli-que où les enfants s'épanouissaient dans le bonheur, Ah!Ah!Ah! Mon dieu quelle supercherie qu'on nous vendait pour 2 euros 50 dans ces magazines où il faut dire les femmes nous montraient une très grande naïveté, n'est-ce pas? Mais une naïveté que je pouvais comprendre entièrement de la part des jeunes filles qui n'avaient pas encore fondé de famille en fantasmant beaucoup sur le bonheur d'en avoir une, Ah!Ah!Ah! Mais croyez-bien que je n'étais pas là pour briser le rêve des jeunes filles ni celui des jeunes hommes prêts à se sacrifier pour agrandir l'humanité ainsi que le nombre de chômeurs Ah!Ah!Ah! Décidément, j' avais si peu d'estime pour moi-même que je me demandais souvent pourquoi je voulais continuer à vivre dans un monde soumis à la destruction permanente? Etait-ce l'instinct de conservation qui me permettait de tenir le coup où bien une folie en moi dont j'ignorais l'existence? Comme par une totale inconscience d'exister sans amour, sans amis et sans reconnaissance des autres? En fait, je n'en savais rien, car très dif-ficile pour moi d'explorer ma propre nature et de savoir ce qui tenait de l'acquis ou de l'innée. C'est com-me si vous demandiez à une chèvre, c'était quoi d'être une chèvre? Bien évidemment, elle vous répondra que vous êtes fou, Ah!Ah!Ah! En comprenant bien, mon cher lecteur, que je n'étais pas un garçon déses-péré dans ce monde absurde, parce que je n'étais pas du tout un romantique, mais plutôt un cérébral ou un matheux, si vous voulez. A l'évidence, ma famille et le monde avaient fait de moi, une sorte de machi-ne qui ressentait en vérité peu de choses pour les autres, mais devait imaginer par la pensée où l'imaginat-ion leurs reactions faute de sensibilté! En étant souvent plongé dans mon monde à moi, pas loin de l' aut-isme, qui m'empêchait d'entrer en commuication avec mes semblables, telle était ma nature intérieure qui n'était pas en conflit avec moi-même, je vous assure. Et si j'écrivais tant de choses à ce sujet, c'était pour retrouver un senblant d'émotion que ma nature me refusait et qu'on pourrait expliquer peut-être par un manque d'affection durant mon enfance? Mais à vrai dire, il m'était difficile de juger entre l'acquis et l'in-née au risque de juger sévèrement mes parents, n'est-ce pas? Pour avoir une bonne nature qui me permet-tait d'oublier assez facilement les moments pénibles, Ah!Ah!Ah! En ne voulant pas considérer mes paren-ts comme des tortionnaires, mais des gens qui n'avaient pas réussi à résoudre leurs problèmes existentiels où nous, les enfants, allions les continuer telle une malédiction!

C'est souvent pour cette raison que je me suis demandé pourquoi les jeunes gens voulaient se marier, sinon vouloir compliquer les choses, Ah!Ah!Ah! Car au bout du compte fonder une famille, c'était auto-matiquement multiplier ses problèmes, ce qui n'était pas un signe de sagesse, n'est-ce pas? Mais ainsi éta-it l'homme et la femme, c'est à dire bordeliques. Ah!Ah!Ah! Mais que je ne comptais pas ce soir changer en écrivant cette terrifiante vérité, n'est-ce pas? De toute façon comme les choses étaient écrites et qu'on ne pouvait pas revenir en arrière, je gérais mon insensibilté à l'égard de mes semblables du mieux que je pouvais en me comportant comme un medecin qui n'avait aucun diplôme en la matière, Ah!Ah!Ah! En étant mon unique patient pour ne pas affoler la psychiatrie française, Ah!Ah!Ah! Avec l'étrange singulari-té de ne pas me considerer comme un malade, mais comme un malade assumant toues ses maladies pour ne pas creuser le déficit de la sécurité sociale, Ah!Ah!Ah! Décidément, j'étais un fou qui s'ignorait, mais ô combien utile en ce moment pour la France qui déprimait sévèrement avec l'épidémie de coronavirus! Cliniquement, j'étais atteint de la folie douce pour n'avoir pour l'instant assassiner personne pour résou-dre mes incurables problèmes existentiels et en espérant le rester, Ah!Ah!Ah! Avec cette éternelle interro-gation sur les criminels, qui d'une très grande naïveté où idiotie, pensaient que d'assassiner un de leur semblable ou plusieurs allait permettre de résoudre tous leurs problèmes existentiels, Ah!Ah!Ah! Et qu' en faisant la une des journaux croyaient entrer dans la légende et faite partie de l'Histoire, comme les gra-nds Hommes! Ce qui était pour moi d'une totale absurdité et disons-le franchement monstrueux! Mais comme tout personne lucide savait, la folie ne se guérissait pas ni se soignait, sinon à l'aide d'une bonne camisiole de force, Ah!Ah!Ah! Et dire sans se tromper que la prison était une immense camisole de force à l'échelle dun pays, n'est-ce pas? Et qu'on devrait rénommer nos prisons en prisons psychiatriques pour être dans le vrai où tout compte fait, on enfermait plutôt la folie derrière les barreaux que des hommes ou des femmes aux incurables problèmes existentiels, n'est-ce pas? Avec la ferme conviction que le coro-navirus allait accroître l'épidémie de folie dans notre socièté et remplir nos prisons de nouveaux cas! Je crains que cela arrive plus tôt que prévu avec tout ce qu'on voyait sur Internet où tout le monde devenait fou( comme Francis Lalanne, Didier Raoult etc) par un confinement sanitaire trop long. En fait, vous et moi n'étions pas confinés chez nous, mais en prison où notre gouvernement détenait les clefs! Emmanuel Macron étant bien évidemment, le chef des matons, Ah!Ah!Ah! Certains appelaient ça, une dictature sani-taire pour le bien de tous, nécéssairement.

Que j'appellerais personnellement, la dictature des vieux, Ah!Ah!Ah! Avec l'horrible sentiment en ce mo-ment d'être enfermés dans une maison de retraite où notre seul horizon était de regarder : Questions pour un champion, Ah!Ah!Ah! A vue d'oeil, la France vieillissait en entretenant ses neurones faute de pouvoir se lever de sa chaise roulante, Ah!Ah!Ah! Ah vivement, la mort héroïque! lançai-je devant mon écran d' ordinateur en sachant bien que je ne pourrais pas entrer dans une EHPAD faute de places à moins que le coronavirus tue tous les vieux, Ah!Ah!Ah! A quand le bonheur, mon cher lecteur? Vous qui étiez plus jeune que moi( je suppose) seriez-vous la génération sacrifiée comme en 14-18? Décidément, une drôle de guerre qui revenait au galop pour terrasser les forces vives d'un pays, mais sans pour autant me consi-dérer comme un homme terminé, puisque j'étais un génie, Ah!Ah!Ah! Ou peut-être totalement fou en me croyant immortel? Propos qui pourraient paraître farfelues, mais qui ne l'étaient pas en vérité vu que Di-eu nous offrait une âme immortelle! Mais sans pour autant penser que les incroyants brûleraient en en-fer, comme au temps de l'inquisition, Ah!Ah!Ah! Car ne pas croire en l'immortalité de l'âme permettait de ne pas trop encombrer le paradis, Ah!Ah!Ah! Décidément que de bon sens chez Dieu où la sélection se faisait sur la Terre où tout le monde était libre de penser ce qu'il voulait même de nier l'existence de son créateur! Pourquoi pas après tout, quand on se sentait au dessus de toute chose par l'intellect, n'est-ce pas? Qui permettait de concevoir une maison sans toit et pourquoi pas une vie sans atmosphère? Pour être un non sens, comme la vie de tous ces incroyants qui erreraient éternellement sur la Terre, comme des fantômes aux semelles de plomb! Et après des milliers d'années d'errances, ils rêveront s'élever au ci-el pour en finir avec ce calvaire terrestre, n'est-ce pas? En fin de compte, l'homme était libre de croire où de ne pas croire en Dieu durant sa courte existence, ce qui semblait suffisant pour apprendre la vérité, n' est-ce pas? En parlant de Dieu, je ne parlais pas d'une religion précise, sinon celle de l'âme où toutes nos forces seront réunies pour atteindre l' immortalité! A vous de miser dessus pendant que vous en avez le temps, mon cher lecteur, car la roue du destin roule très vite, très vite, comme les rouleaux d'une mach-ine à sous, Ah!Ah!Ah! En trouvant assez étrange que je parle de Dieu en ce moment, comme si le sujet voulait s'imposer à nous dans ce monde hyper matérialiste où l'âme avait tendance à rétrécir. A l'évid-ence, une entité en nous se réveillait de temps en temps pour nous le rappeler afin d'atteindre l'eveil spir-ituel? Cela était fort problable, mon cher lecteur. Car en tant qu'écrivain et musicien, j'étais convaincu qu'on ne choisissait pas les sujets qu'on voulait traiter, mais qu'ils s'imposaient à nous!

Comme aujourd'hui où l'épidémie de coronavirus occupait nos esprits jours et nuits! Pour être plus gai ce matin, je suis allé sur Internet en apprenant que Didier Raoult avait découvert un variant marseillais du coronavirus! Et je ne sais pas pourquoi, mais j'ai aussitôt pensé que le nouveau virus marseillais, c' était lui, Ah!Ah!Ah! Une chose tout à fait crédible puisque depuis le début de l'épidémie, il perdait comp-lètement la boule en disant n'importe quoi dans les médias, Ah!Ah!Ah! Décidément, le coronavirus mett-ait tout le monde à l'heure en nous révélant que Didier Raoult n'était pas un éminent chercheur, mais un charlatan, Ah!Ah!Ah! Le coronavirus, le révélateur de la vérité? En fait, je n'étais pas loin de le penser. En attendant le 3 ème confinement, j'occupais mes journées à philosopher sur la vie quand il nous restait qu'un quart d'heure à vivre, Ah!Ah!Ah! Et prensiez-vous, mon cher lecteur, que nous étions proches de la fin du monde quand nous sentions le sol se dérober sous nos pieds et notre avenir se faire la malle sous nos yeux? Je vous posais cette térrifiante question en voulant savoir si vous sentiez comme moi l'apocal-ypse arriver avec ses gros sabots avec la ferme intention d'interrompre brutalement nos vies? Paradoxale-ment, lorsque j'interrogeais le cosmos, celui-ci me disait que l'apocalypse ne signifiait pas la fin du mon-de, mais le début d'un nouveau monde. Et si vous et moi pouvions en faire partie, je répondrais par oui, car le cosmos pariait sur ses étoiles jeunes pour arriver à destination qu'on appelle l'avenir. Et étrangem-ent, en cette matière, je me sentais plutôt confiant même si de prêcher le bien quand tout allait mal sem-blait tenir de la folie voir de la débilité mentale! Mais qui d'entre nous pouvait dire, en ces temps si trou-bles, ce qui était vrai ou faux sachant que le cosmos avait jeté les dès pour une nouvelle partie? Bien évi-demment, personne, à part les poètes dont les sens hyper developpés pouvaient entendre au dessus de le-urs têtes médusées, les dès rouler pour décider de notre sort! En ces temps furieux, Dieu ressemblait étr-angement à un être dionysaque qui ne ferait certainement pas plaisir aux chrétiens dont le Christ était figé sur sa croix, n'est-ce pas? Mais je ne parlais pas ici de son messie, mais du Dieu véritable. C'est à dire de sa face cachée qui n'était pas très tendre avec nous, comme je le percevais à travers mes dons surnaturels dont les origines étaient divines en tant que poète au service du grand créateur de l'univers! Justement, à ce propos, j'ai toujours pensé que la Terre avait été ensemencée par de la poussière d'étoile et que nous les hommes avions des origines extraterrrestres! Le croyez-vous aussi, mon cher lecteur, qui recherchiez sans relâche un paradis perdu ou la planète de vos origines, comme moi? Où en tant que poète, j'étais so-uvent plongé dans cette quête incessante tel un saumon sauvage qui essayait de remonter le fleuve de ses origines pour atteindre le lieu de sa naissance, comme étant le but ultime de sa vie!

Je ne parlais pas ici de race ou de nationalité, mais d'une patrie extraterrestre! Ce qui en disait long sur l' étroitesse de nos esprits soumis à l'actualité des journaux télévisés, n'est-ce pas? En regardant souvent la télé avec une grande suspicion sachant que les apparences étaient souvent trompeuses et furtives, comme une belle voiture le long d'un grand boulevard, Ah!Ah!Ah! N'avez-vous pas remarqué, mon cher lecteur, que nos regards se tournaient aussitôt vers le ciel quand la vie terrestre commençait à nous ennuyer terri-blement avec le discours assommant des hommes qui voulaient absolument prendre racine sur Terre? Si-ncèrement faire greffe avec elle n'a jamais été mon obsession sachant que mes origines étaient extraterr-estres en comptant les retrouver quand mon âme entendra l'écho venir du cosmos. C'est pour ces raisons que je détestais les écologistes dont le grand rêve était de devenir des plantes vertes, Ah!Ah!Ah! Un jour peut-être verra-t-on s'opérer sous nos yeux ce miracle où nous pourrons enfin passer la tondeuse à gazon sur la tête de Nicolas Hulot et de Greta thunberg, Ah!Ah!Ah! Décidément, nous ne pouvions pas nous entendre sur ce terrain où entre nous, il y avait  des millions d'années lumière où les écolos étaient des êt-res archaïques, Ah!Ah!Ah! Et si je vous parlais de Dieu en ce moment, c'était pour vous montrer qu'il y avait un lien avec tout ce que je venais de vous raconter ou fait ressentir. Car sous l'angle cosmique, Di-eu n'était qu'un écho de ce monde perdu! Et quel que soit le nom que vous lui donniez, son appel travers-ait toujours l'espace et le temps depuis l'aube de l'humanité ou tout compte fait, il avait crée l'univers et le bing bang. Au bout du compte, la science cherchait elle aussi Dieu en l'occurence par des moyens mat-ériels. Car n'a-t-elle pas rêvé depuis l'aube des temps de nous transporter en un éclair de temps d'un lieu à un autre avec ce moyen qu'on appelle la téléportation? Mais aussi de nous nourrir avec une simple pill-ule pour nous recharger en énergie, de nous guérir de la vieillesse avec des organes de substitution qu'on pourrait acheter sur un catalogue ou peut-être un jour sur Amazon-Eden? Et pourquoi pas nous aider à atteindre l'immortalité comme Dieu le promettait à tous ceux qui croyaient en lui? Décidément que de similitudes entre la science et le projet de Dieu, n'est-ce pas? Bien évidemment, les moyens étaient diffé-rents pour y parvenir où la science employerait la technologie la plus sosphistiquée, alors que Dieu util-iserait votre âme comme un véhicule extraordinaire pour défier le temps et vous rendre immortel. Car pour le devenir, il fallait ignorer l'emprise du temps sur vos cellules. C'est à dire de ne plus ressentir les choses avec son corps, mais avec son âme qui par définition n'était pas soumise au temps puisque immo-rtelle. Bien évidemment, si vous n'y croyez pas, il vous faudra attendre les progrès colossaux de la scien-ce pour l'atteindre en prenant sûrement 10 000 ans ou plus, Ah!Ah!Ah! Sans avoir la maladresse de vous souhaiter un bon courage, car ce serait incongru de ma part, Ah!Ah!Ah!

Tout compte fait, l'ennui était notre pire ennemi et tout particulièrement en ces temps de confinement tr-ès durs où nous étions devenus nos propres faussoyeurs! Oui, je sais, des choses difficiles à comprendre en ignorant qu'il y avait en nous une bombe à retardement n'attendant qu'un signal pour exploser et nous autodetruire! Car pendant longtemps, je vous avouerais sans honte, que je n'arrivais à rien faire dans ma vie à cause d'un phénomène d'autodestruction qui m'en empêchait. Sans savoir exactement, si c'était la faute à la vie merdique que je menais ou bien à mes parents qui m'avaient transmise cette bombe intérie-ure comme un héritage maudit! Et la question la plus importante que devait se poser les jeunes gens était de savoir comment désamorçer cette bombe qui se trouvait malheureusement à l'emplacement du coeur? Oui, je sais une rude question pour chacun d'entre nous dont la vie ressemblait à un statu quo, n'est-ce pas? Et si en ce moment, votre vie n'avançait pas d'un chouia, c'est parce que votre coeur était ceinturé d' explosifs qui l'empêchaient de battre pleinement dans votre poitrine et explorer la vie d'une façon posi-tive. A l'évidence, vous aviez besoin d'un bon démineur pour effectuer ce travail périlleux où toute mala-dresse de votre part risquait de faire exploser cette bombe à tout instant et vous avec, fatalement. Et d'ap-rès mon expérience personnelle, un long travail patient était nécéssaire pour retirer un à un chaque bâton de dynamite afin d'allèger votre coeur d'un très lourd fardeau familial, n'est-ce pas? Pour avoir pesé le pour et le contre entre l'acquis et l'innée, j'avais l'intime conviction que cette bombe avait été posée en nous par nos parents qui n'avaient pas réussi à résoudre leurs problèmes existentiels! C'est à dire pour la majorité d'entre nous qui n'avions pas eu une vie facile, n'est-ce pas? Bref, un héritage maudit que nous allions devoir porter sans que nous en soyons véritablement conscient et qu'il nous faudrait une vie entiè-re pour s'en débarrasser définitivement. Décidément que de temps perdu pour tout simplement redevenir heureux, n'est-ce pas? Alors en attendant cette délivrance, la plupart des gens, plongés dans ce statu quo, occupaient leur temps à occulter leurs problèmes existentiels en se réfugiant dans les paradis artific-iels, comme l'alcool, les stupéfiants et les jeux d'argent etc. Comme moi qui, durant une vingtaine d'ann-ées, était devenu accro aux jeux d'argent en pensant étrangement que l'étourdissement offert par les lumi-ères et les bruits des machines à sous du casino le lyon vert allait résoudre tous mes problèmes existenti-els, Ah!Ah!Ah! Il est vrai que durant mes folles journées de jeu, où parfois je sortais à deux heures du matin du casino, je rentrais chez moi complètement exténué avec la seule envie d'aller me coucher pour oublier mes pertes de jeu, Ah!Ah!Ah! Toujours pour être dans le vrai et ne pas divaguer inutilement, il faut dire que mon père durant sa brève vie fut un joueur malchanceux! Apparemment, je suivais le même chemin que lui, Ah!Ah!Ah! Bref, une malédiction dont on arrivait pas à se défaire tellement elle était anc-rée en nous où l'acquis et l'innée se confondaient terriblement. Etait-ce pour ces raisons que je me sentais particulièrement maudit par la vie avec cette étrange sensation d'être dévoré de l'intérieur? Au point de disparaître un jour complètement?

Comprenez-bien, mon cher lecteur, afin d'aller au-delà des analyses grotesques des psychologues et des psychanalistes, que ce n'était pas l'orgueil de n'avoir pas réussi qui me rongeait de l'intérieur! Car suite à mes échecs, jamais l'idée de me suicider m'est venue à l'esprit! Tout bêtement parce que je n'étais pas qu-elqu'un d'orgueilleux ni d'ambitieux, Ah!Ah!Ah! En connaissant tout particulièrement dans mon entoura-ge, une personne pourrie par l'orgueil qui avait fait plusieurs tentatives de suicides, parce qu'elle n'avait pas reussi à devenir une star de cinéma, Ah!Ah!Ah! Bref, un sale type que je croisais de temps en temps à la Croix-Rousse en attendant qu'il reussisse son suicide, Ah!Ah!Ah! Ce qui, je vous assure, ne serait pas une perte pour l'humanité sachant que ce type n'écoutait que lui à moins que vous lui jetiez des compli-ments où vous lui demandiez son actualité, Ah!Ah!Ah! Bref, plus ignoble inidividu que lui, je ne connai-ssais pas en vous confessant n'avoir jamais eu la moindre discution intelligente avec lui au risque qu'il dévoile sa faible intelligence et son absence de talents! En fait de ma vie, jamais je n'avais rencontré un tel monstre d'orgueil qui semblait nier ma propre existence quand je me trouvais en face de lui où toutes mes remarques pertinentes étaient à chaque fois balayées d'un revers de manche ou d'une grimace qui me disait : Tout ce que tu dis ne m'intéresse pas, car moi seul m'intéresse, Ah!Ah!Ah! Pourtant, je connaissa-is cette personne depuis 40 ans, puisqu'elle avait vécu dans le même quartier que le mien durant mon en-fance situé sur les quais de Saône, mais qui apparemment n'avait pas évolué humainement et était restée encore à l'âge de pierre, Ah!Ah!Ah! Sous entendu que l'orgueil monstrueux appartenait pour moi à un autre âge avant le néolithique ou aux cro-magnons, Ah!Ah!Ah! Si au moins, il avait eu du talent, j' aurais bien concédé à recevoir ses humilliations inhumaines; mais comme il n'en avait aucun, j'étais forcé de penser qu'il tenait debout uniquement grâce à son l'orgueil et à son ambition démesurée et surtout en se berçant beaucoup d'illusions, Ah!Ah!Ah! Ainsi quand je le voyais déambuler dans le quartier, je n' allais jamais à sa rencontre au risque de me fracasser le crâne contre un mur de brique, Ah!Ah!Ah! Et ce qui me choquait en tant qu'artiste, c'était de savoir que ce type, qui voulait devenir une star de cinéma af-in d'être aimé par le public, n'avait aucune empathie pour les autres! Bref, un gros paradoxe qui me desa-rçonnait et qui ne pouvait pas fonctionner, n'est-ce pas? Car pour devenir un acteur de cinéma, voir un écrivain ou un musicien, il fallait nécessairement être à l'écoute des autres afin de se nourrir de leurs expériences et faire germer en nous des idées de romans, de rôles ou de chansons ect. Et malheureusement, ce n'était pas son cas, en étant mué seulement par une ambition démesurée soutenu par un monstrueux orgueil, Ah!Ah!Ah! Bref, depuis sa tentative de suicide manquée( qu'il avait cachée à tout le monde, mais que j'avais ap-prise grâce à mon frère qui gardait toujours des contacts avec les anciennes connaissances du monstre), je le voyais à la Croix-Rousse déambuler comme un fantôme en esperant de tout mon coeur qu'il reussisse un jour son suicide! Ah!Ah!Ah! Ainsi la terre serait allégée du poids d'un con, n'est-ce pâs?

Et par la grâce de Dieu, je n'étais ni orgueilleux ni ambitieux, ce qui ne m'empêchait pas de vouloir bien faire les choses, n'est-ce pas? Comme vous l'avez sûrement remarqué en lisant et en écoutant mes oeuvr-es qu'on peut nommer de qualité pour être honnête. Car paradoxalement, la plupart des gens pensaient qu' on ne pouvait pas écrire de chefs-d'oeuvre sans être motivé par une ambition démesurée ou par un orgue-il monstrueux. Ce qui était pour moi un grand préjugé en étant convaincu qu'on pouvait écrire des chefs-d'oeuvre sans l'intention d'en écrire puisque échappant à notre propre volonté, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais, un grand paradoxe, mais pourtant vraie, car l'écrivain sans ambition existait bel et bien parmi nous. En n'éta-is-je pas la preuve vivante, mon cher lecteur? A ce sujet, Hémingway en avait parlé d'une manière proph-étique dans un de ces romans intitulé"Paris est une fête"si mes souvenirs sont bons. Afin d'ouvrir de nou-velles perspectives aux écrivains de demain pour échapper à cette littérature commerciale qui annonçait rien de bon, n'est-ce pas? Qui ne sera faite que de pastiches des oeuvres passées ou d'emprunts grossiers, bref, de redites à n'en plus finir où l'on finira par detester la littérature pour son contenu riche en gras et peu en viande. Et le phénomène auquel nous assistions aujourd'hui, mon cher lecteur, quand nous obse-rvions dans les librairies les gens acheter de la littérature comme on achète un paquet de lessive ou un rouleau de paper toilette? Ah!Ah!Ah! A quand la boite de kleenex offert avec le livre? Ah!Ah!Ah! Pour être convancu que la littérature avait rendu l'âme depuis fort longtemps parce que massacrée par l'ambiti-on demesurée de nos écrivains bobos qui voulaient absolument réussir! Où le travail des maisons d'édi-tions consistait à entretenir le mythe de la littérature pour assurer leur train de vie royal, Ah!Ah!Ah! Bref, puisqu'on ne fabriquait plus de littérature, mais un bavardage assourdissant où l'on parlait pour ne rien dire, comme ces femmes écrivaines qui nous parlaient de leurs petites culottes et de leurs fuites urinaires en pensant faire de la littérature, Ah!Ah!Ah! Il était normal que la lttérature prît ses jambes à son cou pour échapper à ce calvaire, n'est-ce pas? Bref, écrire sans ambition tel était mon audacieux projet litté-raire qui, il faut le dire, avait peu de chance de réussir face à tous ces écrivains aux dents très longues prêts à tout pour la gloire littéraire même à se prostituer auprès des maisons d' éditions, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, j'étais bien content de n'être ni orgueilleux ni ambitieux afin de ne pas me faire sodomiser par les maisons d'éditions et le public qui semblait rester toujours sur sa faim, Ah!Ah!Ah! Ce qui m' épa-rgnait bien des cauchemars, je vous l'assure, mon cher lecteur. Pour être franc avec vous, je n'étais pas prêt à sacrifier ma vie pour une gloire éphèmère ni pour une page sublime de littérature!

Car j'amais avant tout la vie qui par elle-même était la meilleur des littératures qui soit en s'écrivant en nous comme dans un grand livre! Et qu'a chaque instant, on pouvait le feuilleter pour tuer son ennui et se raconter sa propre histoire et son épopée à l'échelle individuelle. Alors pourquoi rechercher la gloire au-près du public quand il y avait en nous tout ce qu'il fallait pour devenir son propre héros? Et pourquoi rechercher la distraction hors de soi quand Dieu avait déposé en nous tout ce dont nous avions besoin pour être heureux? Décidément bien des questions inutiles que se posaient mes contemporains animés d' une voracité sans limite au point de les rendre complètement fous, Ah!Ah!Ah! Pour changer de sujet, si l' on peut dire, j'ai remarqué depuis plusieurs années que la littérature me faisait maigrir! Je ne savais pas exactement pour quelle raison mystèrieuse. Car je ne pensais pas que de taper sur les touches de mon cla-vier soit une activité bien énergivore, Ah!Ah!Ah! Décidément, une pratique bien plus économique que le régime "CommeJaime" qui vous prenait 240 euros par mois pour perdre une dizaine de kilos, alors qu' écrire vous permettait de les perdre gartuitement, Ah!AhlAh! Au point de penser que la pratique de l'écr-iture soit plutôt une activité physique qu'intellectuelle. Oui, je sais un paradoxe, mais un phénomène qu' il nous fallait absolument explorer pour résoudre le grand mystère. Où apparemment s'assoir à son bure-au pour écrire équivalait à s'assoir à une table de force ou de torture, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'était pas loin de la vérité, mon cher lecteur, peut-être écrivain en herbe ou confirmé? Ce qui n'avait aucune importance pour moi en ne suant jamais sang et eau pour écrire grâce à ma capacité formidable de suivre le fil de ma pensée, comme sur le fil de l'eau. Mais d'où venait au juste cette dépense d'énergie lorsque j'écrivais? je me demandais en sondant mon cerveau. En me répondant tout simplement que je dépensais de l'energie dans l'acte d'écrire, parce que ma pensée était sollicitée pour faire avancer mon récit! Ce qui me semblait tout à fait logique en tant qu'écrivain, mais sans savoir pour quelle raison exacte. Car personne ne m'obl-igeait à écrire et à dépenser autant d'énergie pour des lecteurs et des maisons d'éditions qui me montrai-ent une totale indifférence, Ah!Ah!Ah! Ceci restait pour moi un grand mystère, mais que je n'essayerais ce soir de résoudre. Car il y avait des choses qui dépendaient de nous, c'est à dire le talent, et des choses qui ne dépendaient pas de nous, c'est à dire le succès, Ah!Ah!Ah! Mais pour revenir à notre sujet très en-ergivore et très ingrat en retombées économiques et médiatiques, visiblement, notre pensée subissait une action mécanique où les mots et les phrases étaient pour elle, comme des poids et des haltères à soulever, n'est-ce pas?

Bref, un effort physique qu'on pourrait nommer sans problème "petite poucette" en empruntant cette exp-ression au philosophe, Michel Serres( décédé en 2019) pour désigner la nécéssité de faire les choses avec les moyens qu'on avait! Visiblement, la pensée avait besoin d'avancer pour exister où seule notre âme était capable de la mettre en branle en lui fournissant une énergie suffisante. Car je ne pensais pas que l' action intellectuelle ait eu ce pouvoir en considérant que les concepts étaient pour moi des matériaux creux demandant peu d'energie pour les déplacer ou les soulever et ne pouvaient donc pas vous faire maigrir, n'est-ce pas? A l'évidence, j'exprimais ici, non pas une thérorie, mais un fait réel! Ce à quoi nous voulions répondre, mon cher lecteur, en constatant mon amaigraissement causé par la littérature, n'est-ce pas? Au point d'imaginer une histoire fantastique où l'écrivain disparaitrait à la fin de son roman! Mais un phénomène seulement observable sur la longue durée où l'écrivain après sa mort laisserait ses oeuvres aux futures générations, n'est-ce pas? Mais visiblement faux pour l'écrivain bobo dont la fin d'un roman s'accompagnait par une prise de poids en passant par les médias, Ah!Ah!Ah! Où il ne s'agissait pas ici de littérature, mais de business, bien entendu. En fait, si vous ne maigrissiez pas en écrivant, cela signifiait tout bêtement que vous ne faisiez pas de littérature, Ah!Ah!Ah! Bref, comme les intellectuels qui travaill-aient sur des concepts ultra légers où la dépense énergétique était minimale pour un cerveau. Sans parler de cette littérature académique qui vous éloignait de la réalité où l'important pour un écrivain était d' exprimer les choses d'aujourd'hui avec ses propres mots, même imparfaits, où le lecteur pourra lire la vérité entre les lignes. Comme en musique où les silences entre les notes ponctuaient la mélodie en étant les respirations intérieures du compositeur. Mais en ne voulant pas tout mâcher pour le lecteur ou l'audi-teur afin de lui laisser un espace de liberté pour y insérer sa propre vie à laquelle l'auteur n'avait pas forc-ément pensé. Afin d'éviter l'effet chewing-gum qui longuement mâché n'aurait à la fin plus aucun goût, Ah!Ah!Ah! Un jour en regardant une émission littéraire, j'ai éclaté de rire, quand un écrivain déclarait que la litérature le nourrissait intérieurement! Personnellement, je n'avais jamais entendu de ma vie une si grande ânerie sachant que la littérature avait tendance à me desosser, Ah!Ah!Ah! En fait, je crois qu'il parlait financière-ment, le gredin! Bref, comme ma pensée n'était pas soumise à ma volonté, contrairem-ent aux intellectuels et aux écrivains aux projets commerciaux, il était normal que nous abordions le sujet sur l'effacement de soi!

Vu que mon amaigrissement, après plusieurs années d'écriture, pouvait être les conséquences de ce pro-gressif éffacement de soi dans l'existence, n'est-ce pas? Visiblement, la littérature avait le projet de m'ab-sorber afin que je devienne un personnage de roman! Ce qui pour moi était tout à fait crédible vu le tem-ps que je passais avec les personnages de mes romans et peu avec mes contemporains en chair et en os, Ah!Ah!Ah! Décidément, en grattant un peu le verni sur les apparences, c'est fou ce qu'on découvrait de choses intéressantes! Comme cette image lisse que nous présentions aux autres pour des raisons de faci-lité en vu de s'adapter partout et de réaliser nos ambitions, n'est-ce pas? Bref, un mimétisme idiot qui all-ait appauvrir nos sociètés humaines où la culture finirait par devenir un album photos et non plus un lieu de créations! En devenant le mouroir pour la littérature et le cinéma qui auront été absorbées par la vie quotidienne et la banalité en ne produisant plus d'oeuvres littéraires, théatrales ou cinématographique, n'est-ce pas? Même si certains adoraient regarder pour la millième fois, la sortie des usines des frères Lu-mières ou relire Madame Bovarie pour la onze millième fois en pensant que le livre était toujours d'ac-tualité, Ah!Ah!Ah! Décidément que de faux-semblants dans ce monde d'imposteurs où l'on niait les nou-veaux talents, comme dans une chasse-gardée! En fait, j'avais la conviction que l'épidémie de coronavirus était le révélateur de notre époque décadente en mettant nos pendules à l'heure. Avec le sentiment pénible de ne plus pouvoir supporter cet incessant ressacement du passé produit par les médias et répété autour de nous comme un requiem ou un chant de perroquets, Ah!Ah!Ah! Décidément, nous étions pas loin de la cise de nerf ou de la mutinerie, n'est-ce pas, mon cher lecteur? A propos d'hallucinations sonores, il m' arrivait certains soirs d'entendre vers les 8 heures, le bruit d'un navire passer dans ma tête, puis de dispar-aître aussitôt! Je ne savais pas exactement pour quelle raison, mais cela me faisait penser à un navire aff-reté par la mort pour embarquer tous les morts de la journée! Et bien évidemment, quand le bruit s'éloi-gnait et disparaissait, vous pouviez pousser un Ouf de soulagement en sachant que votre jour n'était pas arrivé, Ah!Ah!Ah! Autrement dit, tous les soirs nous frolions la mort sans le savoir! Pour moi, ça resse-mblait étonnament à un marchand de sable qui passait tous les soirs dans votre rue en produisant un son particulier pour vous vendre du sable ou peut-être de la terre pour votre enterrement, Ah!Ah!Ah! Ce qui était tout à fait possible en analysant les sons produits par la réalité et par nos hallucinations qui sembla-ient nous révéler nos angoisses existentielles ou notre peur de quitter la vie sans avoir rien pu réaliser, n'est-ce pas? Au bout du compte, vivre c'était avoir peur de mourir parce que la vie était un cadeau à du-rée limitée, Ah!Ah!Ah! Ou si vous voulez, un cadeau qui s'autodétruirait après qu'il ait délivré son mess-age, le vôtre, comme dans "Mission impossible" Ah!Ah!Ah! Et quand je parlais de mission impossible, je parlais bien évidemment de ce curieux objet impossible à déçamorcer, Ah!Ah!Ah!

A l'évidence vous et moi étions des jouets fabriqués par nos parents et par la vie qui visiblement avaient besoin de s'amuser avec nos âmes sensibles, Ah!Ah!Ah! Ainsi en extrapolant, on pouvait dire sans bien se tromper que les attentats islamiques n'étaient pas la cause de problèmes politiques ou religieux, mais de jouets qui disfonctionnaient en explosant avant les autres, Ah!Ah!Ah! Mais pourquoi ne mettrions-nous pas en place, mon cher lecteur, une casse pour les jouets defectueux ou obsolètes? Mais la république française aura-t-elle le courage d'enlever à leurs prarents leurs joujoux démoniaqu-es? Ah!Ah!Ah! Bref, comme les chats ne faisaient pas de chiens et vis-versa, on était sûr au moins que les monstres faisaient des monstres, Ah!Ah!Ah! Je disais ça d'une manière générale en ne voulant pas accuser l'Islam d'héberger en son sein une bande de criminels, bien évidemment! Car les monstres naissaient partout où il y avait des disfonctionnements avec ce grand fantasme de répandre le sang de leurs semblables pour le plaisir, Ah!Ah!Ah! C'est dire qu'ils n'étaient pas liés à un problème politique ou social, mais congénital qu'on appelle un problème psychiatrique! Et si le monde ressemblait à l'évidence à un immense hôpital psychia-trique à ciel ouvert, il semblait impossible à reformer ou si vous voulez à soigner à moins d'euthanazier tous les malades et medecins compris, Ah!Ah!Ah! Comme vous l'avez sûrment remarqué, mon cher lect-eur, j'ai mis un z au mot euthananiziez en référence aux nazis qui durant la deuxième guerre mondiale avait eu ce grand projet d'exterminer les débiles mentaux! Mais je vous assure que jamais je n'aurais été de leur avis sachant que j'étais moi-même un fou, Ah!Ah!Ah! Sans se cacher que plus il y'avait de fous plus on s'amusait, n'est-ce pas? Mais étrangement, en ces temps épidémiques, où le nombre de fous avait augmenté considérablement, plus personne ne riait! Parce que l'épidémie de Covid-19 avait déclenché en même temps une épidémie de folie dans notre socièté risquant d'encombrer nos hôpitaux psychiatriques où tous les gouvernements avaient réduit le nombre de lits en vu de cette funeste perspective, n'est-ce pas? Bref, gouverner c'était prévoir le pire, Ah!Ah!Ah! Parfois, je me demandais si ce bilan désastreux n' était pas les conséquences de l'enterrement de la culture par le gouvernement qui l'avait estimé non esse-ntielle à la vie des hommes? En produisant un génocide culturel en pensant bêtement que les hommes avaient besoin seulement de comestibles et d'un toit sur la tête pour exister! Ce qui bien évidemment était une grossière erreur sachant que l'essentiel était ailleurs où l'homme était un être métaphysique vivant aussi par son imagination, n'est-ce pas? Et que de vivre dans une prison toute la journée le rendait complètement fou sauf moi qui l'était déjà, Ah!Ah!Ah! Mais pour ne pas déprimer, mon cher lecteur, arrêtons ce jeu de massacre et projetons-nous vers l'avenir qui si vous survivez à l'épidemie vous ouvrira ses bras en grand! Comme vous l'avez sûrement remarqué, j'étais un garçon plutôt insouciant qui avait la grande faculté d'oublier ses problèmes, Ah!Ah!Ah! Possible que dans cette qualité se trouvait le secret de la jeunesse éternelle? Pour revenir à mon amaigrissement inattendu, après m'être pesé sur ma balance, j'ai remarqué que j'avais perdu dix grammes, bref, le poids équivalent pour écrire deux pages, Ah!Ah!Ah! Tout en spéculant qu'écrire un livre de 400 pages me ferait maigrir de 2 kilos, c'est dire un régime effica-ce sans bouger de sa chaise, Ah!Ah!Ah! A demain, mes amis!

Toujours à propos de mon amaigrissement mystérieux, j'ai remarqué aussi que la musique avait l'effet de me creuser l'estomac! Personnellement, je ne pensais pas qu'écouter de la musique puisse nous coûter de l'energie en considérant qu'écouter n'était pas un exercice physique en apparence, n'est-ce pas? Mais si à ce sujet, mon cher lecteur, on se trompait en mésestimant l'effort que la musique et l'écoute des autres nous demandait vraiment? Et pourriez-vous croire que cette dépense d'energie nous soit véritablement indispensable sachant qu'elle nous bouffait une grande partie de notre energie pour rien du tout? Ah!Ah!Ah! Avec l'impression aujourd'hui que cette musique incessante autour de nous, faite de Boum, Boum, nous épuisait les nerfs au point de vouloir nous boucher les oreilles pour goûter au silence? Oui, je sais une rude question en ces temps épidémiques où la solitude nous forçait pour ainsi dire à écouter les au-tres même s'ils n'avaient rien à dire d'intéressant, Ah!Ah!Ah! Dit d'une façon plus brutale, avions-nous atteint les limites de notre écoute pour les autres où l'on sentait dans leurs discours un désordre fonction-nel qui nous irritaient les nerfs au point de nous rendre fou? Le temps du silence n'était-il pas venu pour nous tous afin de recharger nos batteries et retrouver une paix intérieure pour avancer dans la vie? Oui, je sais beaucoup de questions, mon cher lecteur, qui vous étaient aussi destinées, non pas pour vous ang-oisser, mais pour simplifier vos raisonnements dans ce monde où l'argent avait pris le pouvoir, malheur-eusement. Puisque l'argent était devenu une finalité et non un moyen de vivre dignement, il fallait se ren-dre à l'évidence que ce monde était à changer pour ne pas le voir s'autodétruire et nous avec, n'est-ce pas? Car je croyais à l'intelligence des hommes pour résoudre tous nos problèmes afin de rendre l'humanité heureuse pour des siècles où vivre en son sein serait une joie de tous les instants! Vous me dites que j' étais un idéaliste! Peut-être que vous aviez raison, mais le temps n'etai-il pas venu de le devenir en ces temps où le discours des hommes nous semblait rayé, comme un vieux disque? Où en tant que musicien, il me suffisait de tendre l'oreille pour entendre des choses qui sonnaient faux et souvent masquées par de la musique voulant absolument nous faire danser ou egayer nos vies dans un état déplorable, n'est-ce pas? Devions-nous alors nous forcer à danser au dessus du volcan pour nous donner l'impression de vivre ou bien assister sans émotion à ce monde sombrant dans le chaos? Je vous laisse bien évidemment la réponse ou tout compte fait les deux attitudes étaient légitimes. Car que faisais-je en ce moment, sinon que d' écrire mes angoisses existentielles sur ces pages vouées à la destruction à moins que mon Site Internet survive à la prochaine explosion nucléaire où à la montée soudaine des températures mettant en panne les climatiseurs dans les salles informatiques, Ah!Ah!Ah!

Signalons à notre cher lecteur qu'il faut toujours rester pessimiste dans la vie afin d'être surpris agréable-ment quand les évènements tournent à votre faveur, Ah!Ah!Ah! Et si les Français le sont par nature, ce n' est pas un hasard, mais parce qu'ils ne croient qu'en ce qu'ils voient, comme Saint Thomas, Ah!Ah!Ah! Et quand l'épidémie sera éradiquée par le vaccin, les Français le verront de leurs propres yeux et retrouvero-nt leur joie de vivre où nous pourrons à nouveau engager le dialogue et oublier qu'un jour le discours fut interrompu pour d'abominables raisons! Avec l'espoir que la télé et le football cessent de verser des mill-ions à des gens qui ne servent à rien, sinon à nous abrutir! A ce propos, j'ai appris dernièrement sur Inter-net que France télévision avait donné 100 millions d'euros à Nagui pour des émissions qui n'étaient pas précisées dans le contrat et étonnamment sans aucun resultat d'audience exigé! Mon dieu, mais quel scan-dale de donner autant d'argent à un type qui n'était pas un artiste, alors que nos artistes en ce moment creuvaient de faim! Mais j'ai aussi appris que le ministère de la culture allait lancer une enquête, car cela sentait comme le blanchiment d'argent à la tête de France télévision, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Personnellement, je ne pensais pas que France Télévision avait autant d'argent à distribuer sans l'accord de leurs actionnaires dont l'Etat faisait partie, n'est-ce pas? En vous encourageant, mon cher citoyen, à ne plus payer votre redevence télé vu qu'elle était utilisée pour enrichir les imposteurs et non les artistes! Décidement en ce moment, j'avais honte pour la France et pour sa culture qui était devenue un alibi pour enrichir certains. Mais comme je l'ai dit à maintes reprises dans mes écrits, la culture était morte depuis fort longtemps et ce scandale à la tête de France Télévision le démontrait par A+B, comme étant la gou-tte d'eau qui avait fait déborder le vase, n'est-ce pas? Bref, j'étais tellement dégoûté par cette mafia aud-iovisuelle parisienne que j'étais prêt à me retirer dans une abbaye pour ne plus regarder la télévision, Ah!Ah!Ah! Où je pourrais enfin retrouver des pensées simples et surtout des gens qui ne pourriront pas mon existence, Ah!Ah!Ah! Que dieu sauve la France en ce moment qui en avait bien besoin avec l'épidémie de Covid-19 qui n'en finissait pas, car je crains que le rassemblement national arrive au pouvoir et purge brutalement la sociète. Parole de prophète! Bref, à force d'écrire, j'avais le sentiment de disparaître de la réalité. Comme une image de moi sur une photo où je souriais bêtement à l'avenir avec mes amis et mes proches, mais qui allait virer à la grimace pour s'éffacer complètement, Ah!Ah!Ah! Ce qui au bout du co-mpte ne me génait pas vraiment sachant que ma famille et mes contemporains m'avaient toujours ignoré, Ah!Ah!Ah! Car je m'étais éloigné si loin d'eux durant ma vie que même si je réapparaissais, ils ne vou-draient pas y croire, Ah!Ah!Ah! Décidément, écrire n'était pas un acte anodin, mais se retirer du monde sans l'accord des autres.

Oui, je sais une attitude bien egoïste de ma part, mais avais-je bien eu le choix, mon cher lecteur, pour ne pas mourir dans un vide existentiel? Apparemment, les manques affectifs durant mon enfance et mon ad-olescence avaient créé en moi des monstruosités, mais que je ne voulais pas mettre sur le dos de ma fam-lle ni sur celui de mes contemporains, car je n'avais pas une nature victimaire, mais plutôt héroïque! Et bien évidemment, je n'y pouvais rien, sinon l'assumer jusqu'au bout, n'est-ce pas? C'est à dire jusqu'à l' effacement complet de mon image souriante sur la photo que je vous avais montrée tout à l'heure. A ce propos, je me souvenais d'une photo particulièrement émouvante pour moi, prise sur l'ile de Gersey, où l'on me voit aux côtés de ma tendre mère presque collés ensemble où sur la bouche nous avons pratique-ment le même sourire. C'était pendant les vacances de 1994 en Bretagne où nous avions visités les sites touristiques connus de tous tels que Saint-Malo, le mont Saint-Michel et assister aux tempètes d'equnoxe qui avaient toujours attiré ma curiosité. Et bizarrement, quand je regardais à nouveau cette photo très émouvante pour moi, car ma mère n'était plus de ce monde depuis 2007, l'image de ma mère avait prati-quement disparu où il ne restait plus que moi dont les contours et les traits commençaient à s'effacer d' une manière irréversible. A l'évidence, je disparaissais du monde réel sans savoir exactement dans quel monde j'allais réapparaître, Ah!Ah!Ah! Allais-je retrouver ma mère au paradis ou bien allais-je errer éter-nellement entre l'enfer et le paradis qu'on appelle le purgatoire à cause de mon égoïsme forcené pour la solitude? En fait, je n'en savais rien en regardant péniblement mon image s'éffacer progressivement de la photo avec le grand espoir d'une resurrection qu'on pourrait appeler une réapparition inattendue? Décidé-ment, je ne pouvais me lasser de mes illusions pour vivre jusqu'à plus soif ou du moins pour écrire jusq-u'au dernier coup de crayon jeté sur ma feuille blanche d'écrivain. Il était possible par ce principe peu ort-hodoxe que j'atteindrais l'immortalité en éffaçant mon propre ego afin de me diluer dans la matière noire de l'univers. Avec le sentiment que mon image sur la photo ne fut en vérité que des sels d'argent impress- ionnés par la lumière violente du solel. Sans occulter que nos photos numériques d'aujourd'hui étaient composées de 0 et de 1. C'est dire le peu de poids de nos vies en images, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Où mon écriture compulsive était une façon à moi de nier ma propre mort! Car malgré mes efforts tout semblait disparaître au fur et à mesure que j'écrivais mon histoire personnelle où mes angoisses existen-tielles apparaissaient, comme de petits cristaux de sel rongeant mon récit. Avec le triste destin de finir en lac de sel ou en desert, n'est-ce pas? Mais ne nous le cachons pas, une fin heureuse pour l'écrivain qu'on appelle la fin de toutes ses emmerdes, Ah!Ah!Ah! Ce qui me réjouissais plutôt en sachant que le sel et le sable avaient les qualités de conserver la viande morte qu'on appelle les momies, Ah!Ah!Ah!

En fait, finir en vieille momie pour un écrivain était une noble fin où il vous suffirait de gratter la croûte de sel recouvrant son corps pour voir apparaître toute son oeuvre, Ah!ah!Ah! Comme vous l'avez compr-is, mon cher lecteur ou mon futur découvreur, la littérature n'était pas pour moi un amoncellement de mots qui à la longue finiront par perdre leur sens, mais une entreprise géologique où passé, présent et fu-tur s'étageaient en couches sédimentaires. Ecrire était pour moi comme revenir aux temps préhistoriques de l'écriture où l'homme pour la première fois utilisait ses doigts pour tracer une forme sur les parois de sa grotte originelle. Ce qui me poussait à croire que l'écrivain voyageur était une invention du monde moderne pour faire rêver le public, Ah!Ah!Ah! Car l'écrivain n'était pas un nomade dans la vie réelle, mais dans sa tête. Où l'important pour lui n'était pas de voyager, mais d'explorer son environnement qui parait-il n'allait pas au-delà des 10 kilomêtres de chez lui, Ah!Ah!Ah! Et quoi de mieux pour un écrivain, que d'arpenter la ville de son coeur, puis de s'enfermer dans sa chambre étroite et mal chauffée pour raco-nter ses nouvelles sensations? Car si vous vouliez, mon cher lecteur ou écrivain en herbe, revenir aux temps préhistoriques de l'écriture, il vous fallait nécessairement avoir froid dans l'existence avec cette impossibilité de vous rechauffer sans mettre le feu à votre cervelle, Ah!Ah!Ah! Et que de mettre le feu à votre cervelle revenait à vous tirer une balle dans la tête d'une manière symbolique, car le projet de l' écrivain était faire feu de tout bois au prix de se consumer lui-même afin de continuer son récit en sui-vant ses intuitions et non sa raison, n'est-ce pas? Car comme je l'ai dit à maintes reprises dans mes écrits, ma pensée n'était pas soumise à ma volonté, mais à un esprit de vagabondage pour échapper à la lourdeur du réel! Et l'important pour vous était de savoir de quel endroit vous écriviez? Du haut d'une montagne édifiée par les médias pour vous faire croire que vous étiez un phare de la littérature ou bien d'une petite chambre que vous n'aviez pas quittée depuis l'enfance? Décidément, mon cher lecteur, il n'y avait pas ph-oto, n'est-ce pas? En me relisant, j'avais la certitude que les jeunes gens d'aujourd'hui me prendraient po-ur un homme préhistorique, Ah!Ah!Ah! Car je leur parlais de culture sédimentaire, déposée au cours d' une vie, alors qu'ils étaient dans la culture de l'instantané sur les réseaux sociaux. Avec le gros handicap de ne pas fabriquer de la culture, mais un bruit assourdissant qu'on appelle faire le buzz, Ah!Ah!Ah! A ce propos, j'ai vu la dernière fois sur Internet, un youtuber, qui avait apparemment les moyens, mettre un lingot d'or sous une presse afin de voir ce que ça faisait! Franchement, si la nouvelle culture consistait à expérimenter ce principe idiot, je prédisais la dégénéresence mentale pour les futures générations, Ah!Ah!Ah! En ne comprenant pas bien leurs motivations où un canular en chassait un autre pour rester d' étern-els adolescents ou enfants? Bref, avions-nous atteint ce stade de l'infantilisation que j'avais prédit dans mes écrits?

Mais une chose qui ne me choquait pas vraiment du moment que ça ne durait pas éternellement, Ah!Ah!Ah! Bref, comme la connerie que je supportais très bien durant un bon quart d'heure, mais pas au-delà, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, une partie de la jeunesse s'était engouffrée dans cette culture de l'instantané qui pour moi n'était promise à aucun avenir, sinon à celle de la folie, car entretenue par des youtubers et des influenceurs sponsorisés par des marques publicitaires, Ah!Ah!Ah! C'est à dire par le monde de la comm-unication et pas de la création. Ainsi voyait-on qu'on ne pouvait pas fabriquer de la culture en accumu-lant des nombres de vues sur YouTube ni des canulars frisant l'idiotie allant jusqu'au suicide! En appre-nant dernièrement qu'un jeune de 20 ans avait été abattu lors d'un canular filmé où il avait brandi un cou-teau de boucher pour faire peur à un groupe de personnes. Malheureusement, une des personnes qui s' était sentie menacée avait sorti une arme à feu et l'avait abattu par légitime défense! Mais laissée libre par la justice pour des raisons tout à fait justifiées, n'est-ce pas? Pouvions-nous alors affirmer que la culture du buzz était la forme suicidaire qu'avait prise la jeunesse? En fait, nous y étions pas loin, car la jeunesse d'aujourd'hui était une jeunesse névrosée qui se camait aux reseaux sociaux en pensant avoir trouvé une échappatoire à ses problèmes existentiels. Alors qui lui suffisait de les assumer entièrement pour ne pas devenir fou en créant une vraie culture qui n'était pas celle de l'instantané, mais de la formation d'une ba-se solide pour s'elever humainement, comme l'avait toujours fait nos anciens. Mais une direction qu'elle ne voulait pas prendre et visiblement trop ardue pour elle en voulant réussir au plus vite où la techno-logie lui permettrait de faire des miracles sans sortir de sa chambre, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, la véritable création demandait du temps à l'auteur avec l'inconvénient d'être très ingrate en retombées médiatiques et économiques, Alors que la folie du buzz comblait instantanément leurs auteurs en produisant de la mer-de, Ah!Ah!Ah! Visiblement, la technologie avait le pouvoir de créer de grandes illusions chez la jeunesse, n'est-ce pas? Mais pouvait-on vraiment s'en passer aujourd'hui où la réalité s'était réduite à peau de cha-grin faute de perspectives d'avenir? Je vous laisse la réponse, mon cher lecteur. Bref, pour être réaliste, laissons passer cette vague d'infantilisation qui traverse la socièté actuelle. En vous rappelant, si vous l' aviez oublié, que la socièté évoluait cycliquement en trois étapes. C'est à dire par la virilisation, la fémin-isation et l'infant-ilisation. Sans exclure une possible 4 ème étape que j'appellerais la pédophilisation de la sociète vu la recrudescence des affaires d'incestes sortant actuellement dans les médias. Décidément, nous n'étions pas sortis de la merde, Ah!Ah!Ah! Sous entendu que le confinement actuel favorisait l'infa-ntilisation des masses, l'inceste et les actes de pédophilie, n'est-ce pas?

Sacre bleu, mais pourquoi notre socièté se désagrageait si vite, alors que nous avions parait-il les gens les plus intelligents au pouvoir et dans les médias? Ah!Ah!Ah! En étant plutôt convaincu du contraire où tous ces gens étaient en vérité des communiquants et pas des cerveaux. Bref, une nouvelle espèce d'hom-mes et de femmes, venue de je ne sais quelle planète, sûrement de l'Education Nationale, qui n'apportait rien de bon à l'humanité ni à la France parce qu'elle regardait à longueur de journée son nombril à travers les médias, Ah!Ah!Ah! En se demandant continuellement si elle avait une belle image auprès du public, Ah!Ah!Ah! Comme vous le voyez, mon cher lecteur, l'image était au coeur de nos problèmes de civilisa-tion sachant qu'elle n'était qu'une information composée de 0 et de 1 et non pourvue d'intelligence. Car les gens intelligents travaillaient toujours dans l'ombre, comme je le faisais en ce moment devant mon ordinateur, non pour fabriquer des images, mais du contenu réel afin d'apprendre la vérité à mes lecteurs. C'est à dire par leurs oeuvres réelles souvent rejetées par les médias en ne trouvant pas leur compte dans cette vérité pour manipuler le public, Ah!Ah!Ah! Et si la communication avait visiblement terrassé l'inte-lligence dans la socièté française, ce phénomène était plutôt récent où la technologie était en grande par-tie responsable! Car n'avez-vous pas remarqué comme moi, mon cher lecteur, sur les plateaux télé de grands épidémiologistes voir des medecins se contredire en perm-anence sur la Covid-19? J'ai même ent-endu chez Cyril Hanouna, Yann Moix dire qu'il fallait laisser mourir les vieux, car ils n'en avaient pas pour longtemps! En fait, je crois qu'ils parlaient plutôt de ses vieux qu'il semblait haïr, Ah!Ah!Ah! Car Yann Moix était une tête à claques, comme le considérait son père ainsi que les Français d'après un son-dage vu sur Internet. En voulant véhiculer à travers les médias, l'image d'un type hyper intelligent, alors qu'il était tout le contraire, Ah!Ah!Ah! Mais les Français ne s'étaient pas trompés en le catalogant comme un gros con parfaitement employable par les médias pour emflammer les plateaux télé de grosses con-neries, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, il n'était qu'un communiquant comme les autres pour favoriser son petit business, mais en aucun cas un innovateur ou un créateur, mais un pasticheur. N'était-ce pas lui qui avait écrit Podium, un livre passéiste sur la vie de Claude François? Décidément, un auteur qui n'arrivait à pas à creer de nouveau personnages de romans, car incapable de le faire, n'est-ce pas? Mais heureusement qu' il y avait à la télé des émissions bidons, comme balance ton post, pour le maintenir en vie médiatiquem-ent, Ah!Ah!Ah! En fait, à la hauteur de son image. Parfois, je me demandais si je n'étais pas jaloux de la reussite médiatique des autres, comme bon nombre de Français adorateurs de l'égalité?

Mais en consultant mon Site Internet, où j'avais écrit et composé des chefs-d'oeuvre littéraires et sym-phoniques, je trouvais que non, Ah!Ah!Ah! Car si la jalousie était une maladie touchant l'orgueil de cha-cun, elle concernait particulièrement les gens qui avaient le sentiment de n'avoir rien fait dans la vie ou du moins à ce qu'ils croyaient! Ce qui était totalement absurde, car personne n'avait à justifier sa vie aux regards des autres puisque tout le monde faisait ce qu'il voulait de sa vie même de se jeter par la fenêtre, Ah!Ah!Ah! De ce fait, je n'étais pas du tout choqué de voir autour de moi cette maladie orgueilleuse ren-dre fou certain ou certaine en étant convaincu que la jalousie faisait tourner le monde, Ah!Ah!Ah! Et que sans elle, la vie serait triste à mourir et manquerait de cette passion destructrice et créative qui faisait avancer le monde, n'est-ce pas? Justement, à ce sujet, regardez les jeunes filles dans la rue quand elles cr-oisent une mère de famille avec un enfant, aussitôt s'éveille en elles un sentiment de jalousie de n'avoir pas encore d'enfant, n'est-ce pas? Et les premiers mots qui retentissent alors dans son crâne sont : Moi aussi, je veux un enfant! Ah!Ah!Ah! Visiblement, la vie semble connaitre parfaitement notre nature en vue de nous multiplier ou de nous rapprocher, n'est-ce pas? Cette maladie, comme on le sait, touche pa-rticulièrement les femmes, les homosexuels et les artistes qui pourtant ont peu de points communs, sinon de ressentir en eux un grand vide existentiel. Mais qui ne sera pas du tout combler de la même façon du fait de leurs natures différentes, bien évidemment. Bref, si vous n'étiez pas dans la norme, comme moi, vous comprendriez que la vie fabriquait les êtres qu'elle voulait et étrangement sans leur donner de mode d'emploi, Ah!Ah!Ah! Avec l'intuition que cette absence de mode d'emploi d'un corps ou d'un cerveau soit la raison de notre grand desarroi ou d'un vide existentiel virant à l'obsessionnel. Décidément, un mystère pour nous-mêmes qui restera irrésolu tant qu'on aura pas assumé sa propre nature, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Il parait que cela demande une vie entière pour vraiment se connaître à moins d'être tombé enfa-nt dans le chaudron magique d'Astérix et les gaulois, Ah!Ah!Ah! Etiez vous chien, chat ou hyppopotame tel était la question universelle que chaque homme se posait en se levant le matin, Ah!Ah!Ah! Et si vous le saviez, je vous certifie que votre vie serait comme simplifiée. Pour illustrer mes propos, regardez nos animaux de compagnie qui d'un calme olymppien ne semblent pas se poser de questions philosophiques, car visiblement ils savent ce qu'ils sont, Ah!Ah!Ah! En vous assurant, mon cher lecteur, qu'aucun chien ne se prendra pour le président des chiens ni un hyppopotame pour le sauveur de la planète, comme Ni-colas Hulot ou Greta Thunberg, Ah!Ah!Ah! En fait, le plus bête dans l'affaire, ce n'est pas l'animal, mais l'homme qui interroge sans cesse son escence afin de savoir qui il est. Alors qu'il peut simplement le sav-oir en expérimentant honnêtement ses qualités parmi ses semblables et attendre leurs réactions, Ah!Ah!Ah!

A titre personnel, quand je parle à mes contemporains, étrangement, personne ne veut m'écouter, comme si j'étais un homme qui n'avait aucun poids existentiel, alors que je fais plus de 80 kilos, Ah!Ah!Ah! Apparemment, mes contemporains doivent faire plus de 3 mètres de haut et peser 160 kilos pour me con-sidérer comme un minus, Ah!Ah!Ah! Pour être franc avec vous, je dirais que nous étions devenus invisi-bles aux yeux de nos contemporains( d'où cette hystérisation sur les réseaux sociaux) où l'on ne pensait qu'à sa gueule, Ah!Ah!Ah! En reconnaissant sans tabou que nous vivions aujourd'hui dans un monde égocentrique où la fraternité était une illusion. En juxtaposant ses individus les uns à côté des autres parce que chacun était guidé par ses propres interêts. Mais une réalité que je ne remettrai pas en question, car l'homme sans volonté ou sans ambition était un mythe existant seulement dans la littérature romanti-que. A ce titre, il est possible que je sois un heros romantique, mais qui l'ignore en ne voulant pas se l' avouer. Car qu'est-ce un héros, sinon un héros romantique par définition? Mais apparemment, un mot que nos contemporains avaient banni de leur langage pour ne pas être considérés, comme des soldats de l'arrière garde ou des personnages Balsaciens ou Stendaliens! C'est à dire d'eternels perdants qui n'avaient plus leur place dans ce monde où le capitalisme avait édifié la reussite au dessus de Dieu. Visiblement, mon projet héroïque de construire une oeuvre dans ce 3 ème millénaire hautement technologique semb-lait une entreprise vouée à l'échec, n'est-ce pas? Mais entre nous qu'était-ce un héros, sinon un homme bravant les tabous et les mensonges de son époque pour viser l'impossible vérité? Il ne faisait aucun do-ute pour moi que j'étais un fou illuminé, Ah!Ah!Ah! Mais une chose, en fait, qui ne me choquait pas du tout en connaissant parfaitement ma nature profonde grâce à cet examen littéraire de ma conscience. Sans pour autant me considérer comme quelqu'un de démodé, car mon accuité sensorielle et intellectuelle me permettaient de décrypter les codes de mon époque afin de connaître ses enjeux ou ses finalités existen-tielles. Mais avec le grand défaut, connu de nos chers opérateurs radio, de ne recevoir aucun signal retour pour confirmer qu'on avait bien reçu mon message. Bref, comme si mes contemporains vivaient sur une autre planète que la mienne. D'où ce sentiment de me sentir souvent étranger à mon époque, alors que j'étais bel et bien vivant! Car mon Site Internet tournait en ce moment au dessus de la planète, comme une balise emettant mon propre signal cardiaque, Ah!Ah!Ah! En voici la preuve, mon cher lecteur.  

Ceci afin d'élever le débat, car je ne pensais pas que nos youtubers, avec leur nombre de vues trafiqués, pourraient nous sortir de ce grand merdier qu'on appelle la connerie diffusée à l'échelle planètaires, Ah!Ah!Ah! Sachant que ce qui nous intéressait au bout du compte, c'était l'intelligence produite par les hom-mes et non la connerie produite par nos adolescents attardés. A ce propos, dans une émission télé, j'ai été très étonné de voir qu'on prenait la parole des adolescents très au serieux, alors qu'ils étaient en pleine mutation physique et intellectuelle qu'on appelle le transitoire. Décidément dans les médias, on avait rien compris à ce qui constituait l'intelligence. Mais bon, c'était notre époque qui apparemment avait perdu sa consistance pour nous encourager à rester d'éternels enfants, Ah!Ah!Ah! Bref, l'infantilisation comme mode d'existence afin de nous déculpabiliser sur nos futures erreurs, n'est-ce pas? En gros, c'était Disne-yland en version hard, Ah!Ah!Ah! Tout en étant une possible façon de concevoir la liberté, puisque la vr-aie liberté avait disparu de la socièté française depuis fort longtemps. Où l'on était pas loin d'instaurer le grand bêtisier pour remplacer la culture et l'intelligence, car nos adolescents croyaient qu'elles étaient les responsables de leurs vies merdiques, Ah!Ah!Ah! Ce qui pour moi était une erreur de jugement, car nos élites politiques, médiatiques, intellectuelles etc n'étaient pas les personnes les plus intelligentes au mon-de, mais de simples communiquants. C'est à dire des gens qui soufflaient dans les tuyaux des médias po-ur faire croire aux Français que les tuyaux étaient pleins de projets pour eux, alors qu'ils étaient vides, Ah!Ah!Ah! Et la raison pour laquelle, ils ne croyaient plus en leurs élites qui ne pourront jamais changer leurs vies, en étant pas géniales, mais seulement chargées de communication auprès des citoyens dont l' erectomètre était en berne, Ah!Ah!Ah! Malgré ce constat desastreux sur nos élites françaises, je trouvais néammoins maladroit que notre jeunessse se jete tête baissée dans ce qu'on appelle l'exploration de la bêtise faute de trouver mieux, Ah!Ah!Ah! Car si nos élites étaient des imbéciles, ce n'était pas une raison de les imiter, n'est-ce pas? Pour illustrer mes propos, dans une émission télé, j'ai vu un étudiant parler comme un homme politique en utilisant les mêmes tournures de phrases qui avaient fait florette dans le discours de langue de bois des politques, Ah!Ah!Ah! Apparemment, nous avions affaire ici à un pâle imi-tateur de l'homme politique pour avoir une chance de faire carrière dans l'esbrouffe intellectuelle, Ah!Ah!Ah! Mon dieu, mais quelle tristesse de voir la jeunesse se jeter dans l'imitation à tout azimut en vu d' accéder aux meilleurs places de la socièté! Où visiblement imiter était plus facile que de créer qui dema-ndait du temps à son auteur, n'est-ce pas? Et se lancer dans la bêtise planètaire, en observant nos youtu-bers, comme le nouvel Eldorado de la jeunesse, Ah!Ah!Ah! Comprenez bien, mon cher lecteur, que mon but était de vous restituer votre inelligence que la bêtise avait commencé à massacrer en vu d'aneantir le peu de raison qu'il vous restait. Et si la jeunesse ne prenait pas conscience de ce fleau insidieux, nous ris-quions tous un jour de nous retrouver en psychhiatrie. Bonjour chambre 14 et mister Hyde, Ah!Ah!Ah!

N'avez-vous pas l'impression, mon cher lecteur, de sombrer parfois dans la folie quand vous écoutiez les médias et les réseaux sociaux? Sans vouloir accuser forcément le confinement, mais ne vivions-nous pas une époque complètement hystérique où la technologie n'était pas étrangère? Et quand vous vous saisiss-iez de votre portable, n'étiez-vous pas soudainement fasciné par l'objet, apparemment inoffensif, mais ap-partenant au diable? Sachant que n'importe qui pouvait vous appeler à n'importe quelle heure de la jou-rnée et de n'importe où? N'était-ce pas par définition la présence du diable dans votre poche ou sur votre table de nuit? Tout en concevant que cette révétation pourrait vous paraître brutale, voir insupporable si vous croyez en Dieu, n'est-ce pas? Mais le diable ne se cachait-il pas dans les détails et dans les choses banales du quotidien, comme pour mieux nous tenter et nous tromper? Apparemment, nous vivions une époque hautement diabolique où le diable avait réussi à s'installer à l'intérieur de nos objets connectés, car il avait besoin de l'homme pour répandre le mal sur toute la planète! C'est pour cette raison que je surfais très peu sur Internet afin de ne pas devenir fou et surtout mauvais, Ah!Ah!Ah! De plus, j'avais mis mon portable à l'arrêt pour ne pas être dérangé toutes les 30 secondes en l'utilisant seulement en cas où j' aurais un arrêt cardiaque, Ah!Ah!Ah! Décidément de bonnes résolutions, n'est-ce pas? Sans oublier, mon cher lecteur, les mauvaises nouvelles de la famille en matière de décés ainsi que les térrifiants messages de nos amis et amies nous annonçant leurs ruptures en mode texto, Ah!Ah!Ah! Au bout du compte étein-dre son portable serait pour chacun d'entre nous un gage pour sa santé mentale ou si vous voulez le mei-lleur moyen pour échapper à la folie, Ah!Ah!Ah! Et qu'il est fort à parier qu'à l'avenir, nous boycoterons tous notre portable afin de retrouver la paix intérieure. C'est bien évidemment le prophète que je suis qui vous le dit et qui se trompe rarement, mon cher lecteur!.Ainsi verra-t-on dans la prochaine décennie des manifestants en colère dans les rues jeter leurs portables devant les caméras du monde entier pour anno-ncer une nouvelle ére à l'humanité. En pensant qu'il sera pour la planète l'événement le plus important après la découverte de la bombe atomique, Ah!Ah!Ah! Croyez-bien, que je ne parlais pas ici de la réussite des écologistes, mais d'une nouvelle religion dont le but sera d'atteindre la socièté idéale en extirpant le diable de notre technologie où il s'était installé à notre insu. Décidément, Dieu veillait au destin de l'hu-manité en suveillant même ses objets connectés. Par le fait qu'il voyait tout, entendait tout pour notre bien, n'est-ce pas? Ce qui ne voulait pas dire se culpabiliser à chaque instant, car la vie serait alors impo-ssible. Car du moment que vous ne tuez point, violez point, volez point, Dieu serait à votre côté pour trouver le chemin du bonheur, ce qui au bout du compte ne demandait aucune étude universitaire, ma-is que du bon sens, n'est-ce pas?

Bref, à cause de la Covid-19, nous étions tous aujourd'hui en stand by en tournant en rond chez soi ou en faisant le tour de son paté de maison en espérant trouver une anomalie spaciotemporelle pour nous écha- pper de ce grand merdier, Ah!Ah!Ah! Au point d'en rêver tous les matins sachant que ma journée allait re-ssembler à celle d'un rat en cage où à se répéter à l'infini, Ah!Ah!Ah! N'êtiez-vous pas dans la même situ-ation que moi, mon cher lecteur, qui commenciez à vous ronger les ongles et pourquoi pas s'attaquer aux boiseries de votre logement pour avoir quelque chose à ronger, sinon son ennui? Et dans cette situation insolite, n'aviez-vous pas l'impression de vous dévorer vous-même en rongeant ce que vous pouviez, c' est à dire vous-même? Visiblement le mal avait commencé à travailler en nous pour semble-t-il nous fa-ire disparaitre de la surface de la terre puisque nos vies n'avaient plus de sens avec des rapports humains réduits à minima. Sachez, mon cher lecteur, que je n'étais pas là pour vous miner le moral et considérez plutôt mes écrits comme une façon de mieux connaître notre situation calamiteuse en allant au-delà des apparences pour nous plonger dans notre vie intérieure! Car tout compte fait, il n'y avait pas seulement une vie hors de soi que nous expérimentions chaque jour du lever au coucher du soleil, mais une vie in-térieure qui pouvait aussi justifier notre raison de vivre, n'est-ce pas? Car nous avions souvent le grand défaut d'attendre des autres la justification de notre vie, alors qu'elle n'était qu'une illusion, je vous l'ass-ure. Prenons mon exemple personnel où j'ai créé une oeuvre littéraire, symphonique et poetique sans au-cun admirateur, Ah!Ah!Ah! Et pourtant, je continuais à créer parce que ma vie intérieure s'était dévelop-pée au détriment d'une vie sociale inexistante où mes semblables m'avaient exclu pour d'obscures raisons liées à mes talents et à mon intelligence, Ah!Ah!Ah! Mais comme nous vivions aujourd'hui dans un mon-de particulièrement narcissique, la chose était prévisible, n'est-ce pas? Et peu problable pour moi qu'un retour en arrière soit possible en sachant que je pouvais désormais me passer d'eux et tout particuliè-rement de leurs assentiments. Sans pour autant, mon cher lecteur, crier à l'injustice, car l'injustice faisait partie de la vie et qu'elle n'avait jamais éffrayé le héros que j'étais. En ne me considérant jamais comme un héros déchu ou des causes perdues, car mes oeuvres étaient réelles et accessibles à tout le monde pour qu'il puisse entendre autre chose que la civilisation décadente lui proposait d'avaler. Où le problème n'était pas celui d'avaler, mais de digérer ses aliments civilisationnels que notre estomac avait de plus en plus de mal à tirer des substances nutritives. A l'évidence, notre civilisation décadente ne nous nourrisait plus convenablement et nous le ressentions chaque jour avec une faim toujours plus pressante d'autres cho-ses!

Etant un passionné d'archéologie et de géologie, il m'arrivait souvent de considérer mon site Internet, co-mme un site archéologique! Oui, je sais une chose paradoxale( sachant que la plupart des gens assimill-aient l'archéologie à des vestiges appartenant à un passé très lointain), alors que mon site était composé de monuments artistiques trés récents, c'est à dire en voie de construction. Décidément que de malen-tendus avec nos contemporains qui n'avaient aucune notion du temps en n'y voyant pas au-dela du bout de leur nez, Ah!Ah!Ah! Ainsi étais-je témoin de ma propre formation géologique que mes contemporains ignoraient complètement l'existence en étant focalisés uniquement sur leurs intérêts à très cours termes, c'est à dire sur l'argent et la gloriole, Ah!Ah!Ah! Alors que sous nos pieds, les plaques tectoniques boug-eaient et que les formations géologiques naissaient sans que nos yeux les apercoivent puisque fixés sur notre nombril, Ah!Ah!Ah! En fait, pour saisir toutes ces choses très sensorielles, il fallait avoir nécess-airement les pieds sur terre au contraire de nos contemporains qui couraient si vite vers le futur que leurs pieds avaient quitté le sol comme propulsés par la technologie, Ah!Ah!Ah! Sachant que mon site archéo-logique était composé de chefs-d'oeuvres divers, on pourrait aussi le considérer comme la bibliothèque de mes états d'âmes où les creux et les pics s'apparentaient à une formation géologique qui m'était pro-pre. Décidément que de mystères résolus grâce à mon hyper conscience, n'est-ce pas? Avec souvent, le sentiment de vivre comme Robinson Crusoé sur une ile déserte au milieu de la jungle hunaine. Sans pour autant souffrir de la solitude, car j'avais devant moi un spectacle digne d'un cirque, Ah!Ah!Ah! Toujours sous les traits de l'humour, comprenez, mon cher lecteur, que si je me nommais de génie, c'est parce que personne ne pouvait me démontrer le contraire, Ah!Ah!Ah! Et qu' être un génie, c'était être unique en son genre, comme moi, qui était incompris par la plupart de mes contemporains! Décidément, un signe divin qui ne trompait personne, n'est-ce pas? Ainsi vous dévoilais-je mon paysage intérieur fait de montagnes, de vallées, de lacs et d'abysses insondables! Pour vous dire tout simplement que nous étions à l'image de la nature qui nous avait créée où notre âme régissait nos forces intérieures pour construire des routes, des chemins pour nous mener vers le bonheur. Et ô combien de fois, n'ai-je pas emprunté ces voies pour accéder à la vérité, mon cher lecteur? Ainsi qu'aperçu ce soleil intérieur éclairer mes jours sombres sur la Terre? Je vous le répète une nouvelle fois, la vie hors de soi n'était qu'une illusion, car notre âme poss-édait déjà tout pour nous combler, c'est à dire le secret du bonheur! Et que le monde réel nous servait seulement à maintenir en vie notre corps en lui permettant de respirer et de se nourrir, car malheureu-sement l'expérience avec nos semblables ressemblait à un vrai désastre, Ah!Ah!Ah!

Car la plupart des hommes croyaient au monde réel, alors qu'il n'était qu'une illusion fabriquée par notre âme où elle projetait ses désirs. En fait, il n'y avait rien de nouveau sous le soleil, mon cher lecteur, sinon un chemin nous menant vers nos propres désillusions, Ah!Ah!Ah! En étant nos propres fantômes en voie d'effacement de la réalité! Décidément, le "Je pense donc je suis" de René Descartes semblait convenir parfaitement à ce fantôme qui croyait avoir une existence réelle, alors qu'il n'en avait pas, Ah!Ah!Ah! Et si notre monde intérieur projetait ses désirs vers le monde extérieur pour les réaliser, mais alors pourqu-oi cette grande désillusion, mon cher lecteur? Et pourquoi un tel décalage entre notre vie intérieure et le monde reél, sinon vouloir le fuir à tout prix en ne correspondant plus à nos attentes? Mais paradoxalem-ent, l'homme têtu croyait dure comme fer à sa réalité et prêt à meurtrir le monde pour échapper à sa vie intérieure! En fait, le monde n'était plus à l'image de notre âme bienveillante, mais à l'image de nos perv-ersions pour entrer à grand fracas dans le monde de la folie! Car j'ai toujours pensé que jouir de mon âme était comme une félicité sachant qu'elle nous decevait rarement en réduisant au maximum ses dommages collatéraux, Ah!Ah!Ah! Alors que l'expérience avec ses semblables, mon dieu, quel massacre et quelle deception! Avec la conviction que de rien faire dans la vie soit la chose la plus sage au monde afin de ne plus attendre le moindre assentiment de mes semblables et ne plus leur rendre de compte! Car la goutte d'eau avait fait déborder le vase en ne supportant plus leur assujettissement millénaire où j'étais devenu un zombie parmi les zombies, Ah!Ah!Ah! A ce propos, n'aviez-vous pas comme moi, mon cher lecteur, le sentiment de ne pas être considéré à votre juste valeur, mais dévalorisé systématiquement par vos cont-emporanis, parce que tout le monde se bousculait au portillon de l'argent et de la gloire? Et n'était-il pas venu le temps pour nous de démissionner de cette humanité en déliquescence puisque sans avenir pour les meilleurs d'entre nous et un grand avenir pour les pires d'entre nous? Visi-blement, cet immense fossé qui séparait notre vie intérieure et notre vie réelle marquait pour moi une fracture que rien ne pourrait combler, sinon la bêtise de vouloir faire partie de ce monde qui n'avait plus aucun sens! Sous entendu que le rôle qu'on voulait m'attribuer était celui de l'homme insignifiant, Ah!Ah!Ah! Décidément, une socièté française en bout de course où il fallait tout réinventer ou bien s'exclure pour ne pas devenir fou! Mais un choix qui s'imposait à nous tous, n'est-ce pas? Car il était vital pour nous de préserver notre intelligence que le monde actuel était prêt à massacrer pour avoir quelque chose à se mettre sous la dent, Ah!Ah!Ah! Sous entendu que notre monde était en pleine voie de canibalisme en dévorant ses propres enfants. A ce propos, j'avais le sentiment de graver sur le marbre blanc de mon site, la vérité de mon tem-ps que les hommes du futur découvriront tel un monument archéologique, Ah!Ah!Ah! Alors que sous nos pieds, la terre tremblait, tout le monde feignait de ne rien apercevoir en sautant en l'air pour échapper à la gravité, Ah!Ah!Ah!

N'avez-vous pas comme moi, mon cher lecteur, l'envie de démissionner de cette humanité devenue imp-ossible à vivre? Décidément, les fins de civilisation étaient souvent pénibles pour ceux qui les vivaient, comme nous en ce moment, n'est-ce pas? Pour être franc avec vous, je dirais que notre civilisation était devenue ennuyeuse à mourir, Ah!Ah!Ah! Mais parfaitement prévisible par le fait qu'on viellissait à la mê-me vitesse que notre civilisation et que le coup de jeune qu'on aurait pu lui donner la technologie n'aura été qu'une grande illusion, Ah!Ah!Ah! Par le fait que nous étions agés en vérité de 2500 ans depuis l'in-vention de la démocratie et de la république par les Grecs. Et depuis tout ce temps, nous tournions en ro-nd en attendant un miracle pour nous sortir de cette prison idéologique que j'appellerais un grand centre gériartrique pour vieux gâteux, Ah!Ah!Ah! Et si la maladie d'Alzheimer était en pleine expansion, ce n' était pas étonnant, croyez-moi. Et merde alors, mais comme je me sentais vieux aujourd'hui en étant for-cé de regarder tous les après-midi "Questions pour un champion" parce que j'étais cloué dans mon faut-euil roulant institutionnel, Ah!Ah!Ah! Avec une grande envie en ce moment de faire des bêtises pour em-merder le medecin chef et son infirmière cheffe dénommés Emmanuel et Brigite Macron, Ah!Ah!Ah! Car je n'inventais rien, mais décrivais la réalité dans laquelle nous vivions où la jeunesse avait pris semble-t-il un gros coup de vieux que personne n'osait lui dire par peur des réprésailles sur les réseaux sociaux, Ah!Ah!Ah! Si je vous parlais souvent de nos adolescents attardés qui pullulaient sur youtube pour nous dire des bêtises à longueur de journée, c'était le signe évident d'une dégéneresence menale. Avec la cara-ctéristique d'avoir le cerveau atrophié d'un homme de 90 ans, mais sans le croire vraiment. Et ce n'est pas parce que vous rigoliez toute la journée que cette vérité serait étouffée par vos bruits assourdissants, Ah!Ah!Ah! Ah mes vieux adolescents, comme je vous plaignais aujourd'hui d'avoir 20 ans, Ah!Ah!Ah! En fait, vous vous croyez jeune, alors que vous étiez des vieillards. En vivant désormais en démocratie dep-uis 2500 ans où votre esprit était rempli de poussière et de toiles d'araignées! Et si vous adoriez Spider-man de la serie cultes des comics américains, ce n'était pas sans raison, n'est-ce pas? Mais il fallait bien qu'un héros des temps modernes comme moi vous le dise brutalement. Avec l'idée d'inventer un nouveau personnage de comics américains que j'appellerais Menageman dont la mission héroïque serait de dépou-ssièrer et d'enlever les toiles d'araignées dans l'esprit des gens, Ah!Ah!Ah! C'est à dire de nettoyer à l'acide critique notre époque où les choses obsolètes avaient pris racines à cause de mauvaises habitudes prises par nos contemporains.

Ainsi surgirait du neuf dans nos vies comme après un bon décapage de la socièté, n'est-ce pas? Décidém-ent, Menageman avait tout l'aspect d'un héros des temps modernes, n'est-ce pas? Comprenez bien que je ne parlais pas ici d'une quelconque épuration, mais d'un grand coup de balai idéologique afin d'entrer da-ns une nouvelle civilisation pour restaurer notre intelligence et retrouver le goût de vivre! Car en ce mo-ment, c'est fou comme le bonheur semblait s'éloigner de nous, comme si nous ne le méritions plus? C'est bien évidemment, le poète que je suis qui vous le dit un peu brutalement. Car chaque soir, les muses me chuchotent à l'oreille : Patrick, j'ai bien peur que le bonheur ne revienne plus jamais si les hommes pers-istent à faire les imbéciles! Moi, transi de peur, je ne peux être que d'accord avec elles, mais en ne leur parlant jamais de nos youtubers dont les cerveaux étaient troués comme du gruyère, Ah!Ah!Ah! Mais une chose qu'on devait prendre très au sérieux pour éviter que leurs cerveaux enflent et explosent comme leur nombre de vues trafiquèes, Ah!Ah!Ah! Bref, l'obésité avait aussi gagné nos cerveaux et l'on se dem-andait quel exercice pourrait lui permettre de retrouver sa taille normale sachant que la graisse média-tique avait remplacé l'intelligence ou le muscle, Ah!Ah!Ah! En étant convaincu que le mal de notre épo-que se trouvait dans les images qu'elle produisait sans discontinuité dans les médias, mais aussi en cette croyance idiote que le public puisse être notre juge suprême en matière de vérité. Une fois de plus, je constatais avec amertume que nous vivions dans la grande illusion où le public pourrait justifier nos vies. Parfois, j'avais envie d'assassiner ce public idiot que les médias avaient mis sur un piedestal pour se défendre contre les futures attaques d'individus hautement intelligents. En me voyant comme Robin de bois sauvant notre civilisation que nos élites politiques, médiatiques et intellectuelles avaient mené au chaos! O héros de demain, levez-vous pour sauver le monde! tel était mon appel adressé ce soir à tous mes lecteurs. En ce moment, j'écoutais très peu l'actualité axé uniquement sur l'épidémie de Covid-19 en nous enfermant comme dans une prison psychiatrique, Ah!Ah!Ah! Mais qui arrangeait bien les journali-stes en leur permettant de meubler leur journal d'infos en se servant de ce bouche-trou faute de vraies actualités, Ah!Ah!Ah! Mais  bon, ça ne changeait pas vraiment les choses pour nous qui attendions avec impatience la fin du monde sans trop de souffrances, Ah!Ah!Ah! A ce propos, j'ai été très surpris d'en-tendre dans le dernier journal télé que les soignants refusaient de se faire vacciner contre la Covid-19 par suspicion à l'égard du vaccin! Mais alors quel drame pour nous tous qui allions être soignés dans nos hô-pitaux où le personnel pouvait nous transmettre le virus!

Et la raison pour laquelle nous avions en France autant de morts du coronavirus dans nos hôpitaux? me demandais-je avec inquiètude. Décidément, nos soignants français étaient de gros imbéciles, comme ils l' avaient montré dans les derniers manifestations en faisant grêve, alors qu'on mourait dans nos hôpitaux! En espérant jamais me faire soigner par l'un d'entre eux au risque d'attraper le Covid-19 ainsi que le virus de la connerie, Ah!Ah!Ah! Pour ma part, je pense que le gouvernement devrait leur imposer la vaccina-tion obligatoire afin de ne pas faire de la France le nouveau foyer d'infection du coronavius, n'est-ce pas? Visiblement, la France sous couvre-feux ou sous le feu de l'épidémie ne semblait pas vouloir changer ses habitudes puisqu'on arrivait même pas à exterminer les cons avec l'aide du coronavirus, Ah!Ah!Ah! Nous faudrait-il alors utiliser la bombe atomique pour exterminer cette partie de la population qui semblait increvable? Ah!Ah!Ah! Au point de penser que la France était devenue en quelques décénnies la patrie de la connerie en étant pas loin de la vérité, Ah!Ah!Ah! Car depuis que j'avais commencé ce livre hors nor-me" Des fleurs pour mon enterrement" qui faisait partie désormais de la littérature française, j'avais eu beaucoup de chance de ne pas renconter mon assassin avec la conviction qu'il avait renoncé à son crime parce qu'il avait eu du remord à tuer un génie, Ah!Ah!Ah! Où tout compte fait, le génie et le criminel se confondaient souvent dans la vie quotidienne en voulant assassiner les choses ou les gens qu'ils haïssai-ent, n'est-ce pas? A ce propos, j'imaginais un roman où deux criminels partaient à la recherche de l'autre, non pour s'associer, mais pour s'entretuer! En sachant bien que tous les deux étaient d'une extrême intel-ligence et que la course poursuite serait sans fin en se terminant dans leurs vieux jours où ils règleront leur compte, Ah!Ah!Ah! Bref, comme dans la vie, n'est-ce pas? Bizarrement, je ne savais pas exactement d'où pouvait me venir ces funestes inspirations ou révélations criminelles? Comme par exemple, hier, j'ai vu sur le toit d'une voiture, un meuble ressembler étrangement à un coffre-fort en pensant aussitôt que les occupants venaient de commettre un cambriolage! Et pour pimenter mon délire ou mon histoire, j'im-aginais alors le véhicule perdre son précieux chargement sur une petite route de campagne où une bande d'adolescents du coin le récupérait en le cachant au fond des bois! Et lorsque les malfaiteurs s'apercev-ront de leur perte, parce qu'ils avaient mis la musique trop forte dans la voiture, ils reviendront sur leurs traces afin de savoir où leur précieux chargement était tombé. Je vous laisse imaginer la suite, mon cher lecteur, qui avait soif de suspens et de rebondissements et pourquoi pas être le témoin du meurtre d'une bande d'adolescents qui ne savait pas à qui elle avait affaire?

Décidément, un thriller à la française où la littérature américaine n'avait rien à nous apprendre en matiè-re de crime, n'est-ce pas? Mon cher lecteur, je vous avouerai sans honte que j'adorais écrire, non pour des raisons intellectuelles ou artistiques, mais tout simplement parce que pendant ce temps là personne ne m' interrompait, Ah!Ah!Ah! Car cet après-midi, j'ai renconté rue Victor Fort, un con qui ne faisait que de me contredire pour semble-t-il le plaisir de me contredire, Ah!Ah!Ah! Apparemment, il ne supportait pas que je sois plus brillant que lui dans notre conversation où nous parlions d'économie en lui certifiant que c'était le capitalisme qui produisait la richesse par l'intermédiaire des entreprises en créant des biens, des emplois et des salaires, n'est-ce pas? Mais ce qui le génait, je crois, c'est qu'il croyait que je défendais le capitalisme, alors que je luis expliquais seulement son fonctionnement. Sans oublier que je lui avait dis que j'étais pour le salaire universel vu que les emplois se raréfiaient surtout en cette période épidémique qui n'allait pas arranger les choses, n'est-ce pas? Mais à ma grande surprise, il me dit qu'il était contre, alors qu'il était serveur au smic au Ninkasi! Visiblement, j'avais en face de moi un joli con qui faute d' intelligence et de connaissances s'opposait à moi par principe, car il n'avait aucun argument à m'opposer, Ah!Ah!Ah! Bref, j'avais la preuve devant moi que la France filait en ce moment du mauvais coton où ses habitants avaient perdu leur bon sens. A l'évidence, la civilisation française était en péril et pas seulement ses monuments historiques, mais aussi son intelligence et sa culture vivante. Tout compte fait se sentir isolé aujourd'hui de la socièté française par le confinement me semblait comme la meilleur solution pour préserver notre intelligence, Ah!Ah!Ah! A ce propos, je me souviens très bien d'avoir dit un jour à ma mère, un peu brutalement, que j'étais tombé malheureusement dans le mauvais milieu social où j'étais un incompris! Mais une vérité que je ne me reprochais pas de lui avoir dit, car c'était la vérité qui sur le co-up la culpabilisa. A l'évidence, j'étais très remonté envers ma mère de m'avoir mis au monde sans qu' elle eut les moyens d'assurer mon avenir! Décidément, des mots très dures envers elle auxquelles toutes les mères devaient s'attendre d'entendre un jour de la part de leurs projénitures, n'est-ce pas? Tel était sem-ble-t-il la dure tâche des mères d'assumer cette lourde responsabilité de faire comprendre à leurs enfants qu'ils étaient seuls face au monde! Il parait même chez les gens très riches que les enfants reprochaient souvent à leurs mères de ne les avoir pas assez aimé! Décidément, quand on était malheureux, rien ne nous interdisait d'accuser nos proches à tort ou à raison, n'est-ce pas? Bref, des bouc émissaires bien pratiques pour justifier nos vies ratées, Ah!Ah!Ah!

Comme vous l'auriez compris, mon cher lecteur, d'entendre la vérité ne me choquait pas du tout, car je n' avais aucune existence réelle! C'est ce que mes contemporains m'avaient fair comprendre depuis fort lon-gtemps où visiblement dans ce monde, mensonges et vérités ne faisaient qu'un, n'est-ce pas? En ne faisant pas ici un déni de réalité pour justifier mes échecs dans la vie, comme pourrait le penser les psychanalist-es ou les psychologues, mais parce j'étais devenu un homme invisible parmi les hommes! Avec la grande satisfaction néanmoins de n'avoir plus de compte à leur rendre, Ah!Ah!Ah! Ce qui ne voulait pas dire po-ur autant que j'avais le droit de dire et de faire n'importe quoi, car je n'étais pas un diabolique, mais plu-tôt un garçon intelligent qui n'abuserait jamais de son invisibilité ou d'être un passe-murail pour voler ou assassiner ses semblables, Ah!Ah!Ah! En étant pas du tout un tricheur pour avoir toujours respecté les règles du jeu dans la socièté. Au contraire de mes copains d'enfance qui durant mon adolescence avaient décidé de tricher en se lançant dans le vol tout azimut et dans le trafic de drogue pour ne pas se sentir des losers, Ah!Ah!Ah! Mais alors quel desastre et uniquement pour sauver les apparences, n'est-ce pas? En vous précisant, si cela vous intéressait, que la plupart avait mal fini en se croyant plus malins que les mi-lliers de policiers qui étaient à leurs trousses durant leurs brèves vies, Ah!Ah!Ah! Décidément, tricher n' était pas jouer, n'est-ce pas? Tiens donc, un joli titre pour un film de James Bond! D'une certaine façon, par mon invisibilité sociale, j'étais devenu leur mémorialiste, ce qui n'était pas franchement un cadeau, mais plutôt un lourd fardeau, Ah!Ah!Ah! Sans vous cacher que mes meilleurs moments, je les avais passé avec eux, malheureusement. Et si je le déplorais désormais, c'est parce que j'étais peu fier d'avoir partici-pé pendant quelques temps à leurs magouilles pour gagner de l'argent où j'aimais bien faire du recel, Ah!Ah!Ah! Mais que j'avais vite abandonné en trouvant ça honteux de vendre des ojets qui ne m'appartenaie-nt pas pour en tirer du bénéfice. Décidément, j'étais un gars honnête, mais qui avait beaucoup de mal à se passer de ses copains qui lui procuraient des moments formidables, n'est-ce pas? Ce qui me faisait auss-itôt penser à un vieux dicton Grec qui disait : Si t'es pauvre, amuses-toi afin de ne rien regretter, Ah!Ah!Ah! Bref, c'était clair comme de l'eau de roche, n'est-ce pas? Comme vous l'auriez compris, mon cher lecteur, la malhonnêteté n'était pas forcément un vice congénital, comme certains pourraient le croire, mais la conséquense d'un profond ennui. Et quand on était un ado pauvre dans son quartier, c'est fou co-mme on s'ennuyait à mourir au point de chercher l'aventure sur des chemins bien périlleux pour toucher un peu l'azur ou le bonheur.

Et la montée de la violence actuelle dans nos banlieues montrait qu'on s'y ennuyait à mourir, Ah!Ah!Ah! Où le trafic de drogue n'était pour eux qu'une façon d'occuper leurs vies merdiques où la socièté les avait abandonné à leurs pauvres sorts de zombies, n'est-ce pas? Et qu'il ne s'agissait certainement pas ici de territoires perdus par la république, comme on l'entendait sottement dans les médias, mais de territoires abandonnés volontairement par la république! C'est à dire une grosse différence, n'est-ce pas, mon cher lecteur? En ne voulant aucunement justifier le trafic de drogue( qui empoisonnait une partie de la popul-ation), mais signaler l'urgence vitale pour la socièté de s'occuper de sa jeunesse dont le poison était le mortel ennui. D'autant plus accrue par le confinement qui exacerbait les moindres petits accrocs avec la police ou l'autorité. A l'évidence, la prochaine révolution du 3 ème millénaire ne serait pas provoquée par les injustices sociales, mais par l'ennui mortel de nos concitoyens, Ah!Ah!Ah! Où l'occupation des hommes sera le grand enjeux pour les sociètés de demain et de leur stabilité. C'est à dire quelque chose de très pratique et pas du tout morale ou philosophique, mais d'expérimental comme le futur projet de la réal-politique, n'est-ce pas? Et que dans les décénnies à venir, les hommes politiques seront contraints de s'y plier vu que les temps semblent se diriger tout droit vers l'infantilisation de notre sociète occidentale. Et la chance que nous avions en France était d'avoir un nounou formidable qui s'appelait l'Etat, Ah!Ah!Ah! Avec l'ambition à l'avenir de moucher tous les petits Français qui avaient le nez plein de morve et de caprices, Ah!Ah!Ah! J'espère seulement que l'Etat ne nous écorchera pas le nez avec son grand mouchoir inrtitutionnel qu'on disait rapeux, comme du papier de verre, Ah!Ah!Ah!  Car je tenais absolument à mon nez qui n'était ni trop long ni trop gros, mais bien proportionné et doté de qualités ofalctives hors du co-mmun pour découvir la vérité dans les poubelles de la république, Ah!Ah!Ah! Bref, avec tout ce que je venais de vous dévoiler sur mon passé de voyou, je pense que les Français me haïront. Mais une chose qui ne me génait pas du tout, car le pire pour moi était l'indifférence, Ah!Ah!Ah! Car je ne suis jamais appitoyé sur moi-même grâce à na nature héroïque dont le combat était sa raison de vivre! Où écrire fais-ait partie de mon récit, comme un reflexe de survie dans ce monde promis à un grand marasme économi-que, idéologique, artistique etc en attendant la fin de ce grand vide qu'on appelle notre ennui existentiel. Et tous les jours, je m'y applique en créant des histoires et des commentaires qui pourraient susciter de l' intérêt pour mes contemporains, mais ne semblaient pas bien les intéresser vu leur silence assourdissant sur mes oeuvres en passant tout leur temps sur YouTube à regarder les vidéos débiles de nos adolescents attardés, Ah!Ah!Ah!

En imaginant avec facilité le grand desarroi de nos vrais artistes devant cette grosse caricature artistique où le maître mot était le nombre de vues pour les youtubers en repostant leurs videos tous les jours afin qu'elles ne soient pas noyées par les milliers d'autres qui s'ammoncelaient sur YouTube, Ah!Ah!Ah! Et puis, ils confondaient le nombre de vues avec le nombre de visiteurs qui n'était pas la meme chose vu qu' un seul visiteur pouvait regarder X fois la même vidéo et comptabilisée comme X vues. Ce qui perme-ttait au youtuber de tricher avec ça et pourquoi pas passer sa vidéo en boucle pour augmenter le nombre de vues, Ah!Ah!Ah! Décidément que d'impostures sur YouTube qui mettait le moral à zero à nos vrais artistes qui créaient du vrai contenu et pas des canulars à répétition en étant l'arbre qui cachait la forêt, n' est-ce pas? Ah mon dieu, comme je detestais mon époque en étant pas le seul à le penser, bien évidemm-ent. J'avais souvent le sentiment d'être un roi exilé dans son propre pays en ne recherchant pas son passé, je vous l'assure, mais la route qui le ménerait vers la liberté et la compagnie des hommes. Et malheureu-sement, les routes que j'avais empruntées depuis mes jeunes années n'avaient mené qu'à des culs de sac ou à des voies sans issues où je m'étais senti comme abandonné par tous! En me retrouvant soudainem-ent seul devant un mur immense de briques que les hommes diaboliques avaient construit pour limiter nos libertés essentielles. Et à chaque fois, je vous l'assure, je n'avais pas crié ma haine contre les homm-es, sachant que j'étais un héros, mais essayé de contourner ce mur habilement construit au bord d'une falaise abyssale. Mais ne pouvant m'y risquer au péril de ma vie, en voyant en contre bas des milliers de cadavres, ceux de nos héros déchus, j'avais rebroussé chemin avec la certitude que je trouverais un jour le bon chemin qui me ménerait vers la liberté. Au bout du compte, après tant de chemins explorés en vai-n, je remarquais que ma liberté se trouvait précisément dans cette recherche inlassable de ma liberté où tout compte fait si je l'avais trouvée, je n'aurais plus rien à vous raconter, Ah!Ah!Ah! En fait, exister n' était pas pour moi résoudre nos problèmes existentiels, mais de les vivre intensément jusqu'au bout, c'est à dire jusqu'à leur épuisement total! Et que ce chemin difficile demandait visiblement une vie entière aux hommes courageux, n'est-ce pas? L'important étant bien évidemment pour nous de ne pas nous appitoyer sur nous-mêmes, car pleurer ne servait à rien même si certains pouvaient y trouver quelques consolatio-ns. En sachant bien que le héros ne pleurait jamais devant l'adversité puisque son âme était faite d'un métal inaltérable produit par le dieu de son coeur qui veillait sur lui comme un enfant. En ne vous cac-hant pas, durant ces moments difficiles, si je devais pleurer ou bien rester froid comme un glaçon devant ces évè-nements qui me prenaient aux tripes?

Car à ma grande surprise, mon âme me disait : Patrick ne pleure pas, car ça ne sert à rien, sinon à remuer le couteau dans la plaie! Ce qui ne signifiait pas qu'on était insensible aux choses, mais qu'on les mettait au congel afin de maintenir son intégrité. A titre personnel, ça faisait des années que je n'avais pas pleuré et je m'en portais d'autant mieux, croyez-moi. Tout compte fait, j'étais plutôt un garçon rigolo, mais avec un moral d'acier, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'était pas incompatible, je vous l'assure, mon cher lecteur. Car qui connaissait vraiment les ressources de la nature humaine, sinon les personnes concernées et certainement pas les pseudo-prêtres-sociologues des médias qui balançaient sur les plateaux télé de grandes généralités pour nous faire croire qu'ils savaient tout, n'est-ce pas? Comme prendre de l'aspirine quand on avait mal à la tête ou bien manger quand on avait faim ou boire quand on avait soif, Ah!Ah!Ah! Décidément que d' impostures dans les médias caractérisant la médiocrité de notre époque. Toujours à ce sujet, j'ai remarq-ué tous les soirs devant mon poste de télé que je zappais comme un forcené en trouvant les programmes d'une grande médiocrité. Où l'on débattait trop, selon moi, sur l'actualité qui, il faut le dire, ne durait que le temps de l'actualité, c'est à dire un temps très court. Alors qu'on aurait pu voir un bon film pour nous changer les idées, mais qui semblait aujourd'hui introuvable vu la disparition des vrais cinéastres au pro-fit des vidéastes sans grand talent, Ah! Ah!Ah! Au point de devoir changer les piles de ma télécommande tous les mois vu la cadence éffreinée de mes zapping. En étant convaincu que le cinéma était mort depuis fort longtemps en étant plus fabriqué par la littérature, comme le faisait auparavant nos grands cinéastres, mais à partir des films dans lesquels on piochait largement des scènes qui mises bout à bout devaient, selon les nouveaux cinéastres, créer des chefs-d'oeuvre cinématographiques. A l'évidence, le nouveau cinéma pillait sans scrupule le vrai cinéma comme un vampire pour des raisons de facilité et surtout éco-nomiques. Mais alors quelle supercherie artistique sachant que seule la littérature savait raconter des histoires du début à la fin avec force détails et des transitions choisies adroitement par l'écrivain, n'est-ce pas? C'était visiblement pour ces raisons que je n'arrivais plus à suivre un film sur mon ecran où l'on passait du coq à l'âne avec le sentiment de regarder une bande annonce interminable où l'on attendait impatiemment le début du film, mais qui ne venait jamais, Ah!Ah!Ah! En trouvant cela affligeant où la technologie d'aujourd'hui pourrait faire des merveilles en reinstaurant le rêve dans le cinéma et non le cauchemar permanent avec le trafic de drogue mis à tou-tes les sauces, Ah!Ah!Ah!

Visiblement, la mort de la littérature avait entraîné la mort du cinéma. En sachant pertinemment que la littérature avait créé le cinéma et pas seulement les frères lumières! En ce moment, je voulais rassurer mon cher lecteur en lui disant que je n'avais pas attrapé la Covid-19 et malgré une petite déprime pass-agère qui je pense ne m'achèvera pas, Ah!Ah!Ah! Et cet après-midi, j'en ai profité pour faire une petite sieste, car je ne me sentais un peu fatigué pour une raison inconnue. En étant toujours à l'écoute de mon corps afin qu'il devienne immortel et me permettre d'atteindre la résurrection sous la forme d'une étoile et pourquoi sous la forme d'une galaxie? Car pour restaurer ses forces interieures, il était nécessaire de ne penser à rien afin de faire le vide en soi. Ce qui pour le monde occidental était une ineptie en croyant que la pensée était produite par notre volonté, alors que je pensais plutôt le contraire et à quelque chose de mystérieux qui nous échappait. Comme à des ondes venant de l'espace où l'univers nous parlait avec son propre langage télépathique pour régler notre horloge interne qui mettait en branle notre pensée, pui-sque nous avions des origines extraterrestres. Avec le sentiment que nos ancêtres extraterrestres voulai-ent garder le contact avec nous afin que nous puissions les accueillir dans leur prochain voyage intersi-déral où nous seront leurs hôtes. Ce qui bien évidemment serait tout le contraire de Mars Attacks, Ah!Ah!Ah! Dans le but de nous apporter la nouvelle civilisation que nous attendions sur Terre depuis des millénaires où nous n'avançions plus à cause d'un système politique et économique qui nous avait coupé de l'univers et de nos ancêtres extraterrestres. Où nous atteindront enfin l'éveil spirituel que je pressentais au fond de ma pensée tel un programme philosophique et non informatique. Car l'informatique, c'était bon pour les machines et non pour les créatures vivantes que nous étions! me disaient-ils avec plein d'es-poir pour nous. De même réunir en nous, les trois religions monothéistes qui au bout du compte servai-ent un seul et même dieu, n'est-ce pas? Ah mon cher lecteur, n'entendez-vous pas l'appel du cosmos réso-nner en vous afin de faire un bond gigantesque pour l'humanité et sortir de cet intellecualis-sme qui aait ruiné nos exsitences? En fait, nos ancêtres extraterrestres n'attendaient qu'un signe amical de notre part pour intervenir dans nos vies. Assis devant le hublot de mon vaisseau spatial, j'observais avec fascination l'univers en attendant un signe libérateur! Peut-être sous la forme d'un V, comme celui de la victoire au fond d'une galaxie?

J'inventais sans aucun doute un nouveau signe astrologique pour les temps futurs où peut-être existait-il déjà au fond de l'univers sans qu'on y fassions attention? Car en ce moment, l'humanité m'ennuyait à mo-urir au point de marcher dehors la tête constamment tournée vers le ciel avec le risque de me faire écraser par une voiture, Ah!Ah!Ah! Et ce qui me sauvait particulièrement de ma triste existence, c'était d'être un doux rêveur et pas du tout un matérialiste. En me voyant souvent deambuler parmi mes semblables, com-me un homme invisible, qui semblait ignorer leurs existences! Tel était le crime odieux qu'ils me repro-chaient avec des yeux plein de colère! A l'évidence, j'étais devenu un extraterrestre qui s'était approché dangereusement de la vérité. Et Nietzsche avait bien raison quand il déclarait aux hommes : Humains, trop humains! Par le fait qu'ils avaient renié leurs origines extraterrestres pour se rouler dans la boue, Ah!Ah!Ah! Et que leur dégeneresence mentale semblait venir de ce changement de paradigme en voulant créer une espèce d'homme sans origine métaphysique ou estraterrestre. Tel était semble-t-il le drame que nous vivions aujourd'hui où l'écologie était devenue le signe inquiètant en voulant faire de l'homme, un homme plus vrai que nature! Ce qui était pour moi une erreur monumentale si nous voulions atteindre la perfection dans les prochains millénaires grâce à nos ancêtres extraterrestre. Par des plans hautement phi-losophiques que l'homme n'avait pas encore conscience en étant omnubilé par sa personne humaine plus vraie que nature. J'ouvrais ici sans bien le savoir, une nouvelle ère pour l' humanité grâce à mes ancêtres qui me conferaient une mission extraordinaire d'être leur prophète sur la Terre! Et comme il y avait eu le prophète Jeremie, il y aura le prophète Patrick qui marquera désormais l'Histoire des prophéties! Oui, je sais des propos qui pourraient faire rire mes contemporains. Mais que connaissaient-ils exactement de la vérité en ayant les yeux constamment fixés sur leurs nombrils? Je devine que mes lecteurs doivent trou-ver mes écrits bien mystérieuux, n'est-ce pas? Mais ne vous-ai-je pas dit auparavant que ma pensée ne m' appartenait pas? Et que pour étayer ma théorie sur nos origines extraterrestres, n'est-ce pas Rimbaud qui a dit : Je est un autre et qu'on me pense? Décidément que de coincïdences, nous avions désormais devant nous, mon cher lecteur, mais pour l'instant seulement accessible aux poètes et aux grands philosophes, n'est-ce pas? Il parait que pour bien rebondir, il fallait toucher le fond. Et tant qu'on ne l'avait pas atteint, on coulait comme une grosse pierre.

j'avais le sentiment actuellement que l'humanité se raccrochait à de vieux concepts obsolètes en croyant qu'ils allaient pouvoir la sauver. A l'évidence, l'humanité faisait en ce moment fausse route en retenant à chaque instant sa chute vers cette abysse libératrice en étant notre seule prossibilté de rebondir vers une autre civilisation, n'est-ce pas? C'est la raison pour laquelle, nous trouvions affreusement long la com-pagnie de nos semblables et tout particulièrement ennuyeuse à mourir puisqu'ils n'avaient plus rien de nouveau à nous dire, sinon des imbécilités, Ah!Ah!Ah! A ce propos, Oscar Wilde ne disait-il pas régulièr-ement à ses amis : Si vous n'avez rien d'interessant à me dire, j'aimerais que vous la fermiez, Ah!Ah!Ah! Décidément, la banalité avait envahi nore monde, comme une immense plante carnivore dont les femmes étaient les grandes investigatrices pour promouvoir le bavardage comme l'ultime moyen de sauver l'hu-manité, Ah!Ah!Ah! Et si la majorité des livres qui sortaient aujourd'hui dans les librairies étaient écrits par les fem-mes, cela signifiait que le bavardage avait remplacé la littérature, Ah!Ah!Ah! Mais pour être franc avec vous, cela ne me génait pas du tout, car nous vivions en ce moment la féminisation de notre socièté en attendant qu'elle touche le fond pour pouvoir rebondir et sortir de ce grand merdier, Ah!Ah!Ah! C'est bizarre à dire, mais les homosexuels détestaient les femmes, alors que personne ne leur repro-chait! Tiens donc, comme c'est étrange! Y'aurait-il alors du racisme chez les femmes à l'égard des homm-es et tout particulièrement pour les mâles blancs dominants? Décidément, l'occident filait en ce moment du mau-vais coton en attendant que les femmes deviennent des hommes et vis versa comme le symbole de notre futur chaos, Ah!Ah!Ah! Mon invisibilité sociale me permettait d'observer toutes ces choses ahu-rissantes autour de nous, mais qui ne semblaient pas choquer nos contemporans atteints d'une grave céc-ité. En sentant de loin arriver la guerre des sexes, Ah!Ah!Ah! Chouette, la guerre entre les hommes et les femmes où je pourrais enfin étriper une femme à moins qu'elle me demande pitié de s'être prise pour un homme, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, bientôt le rêve d'égalité des femmes en passant par les armes, n'est-ce pas? Et je me demandais parfois, afin de sauver l'humanité, s'il ne fallait pas exterminer une grande partie des femmes pour lutter contre la surpopulation? Oui, je sais une rude question, mais que se pose-ront forcément les futures générations qui seront proches du chaos. Comprenez bien que ce n'était mon voeux, mais des questions vitales que me posaient ma pensée qui, je vous le répète, n'appartenait pas à ma volonté, mais à une intelligence supérieure. Bref, un joli roman d'anticipation en perspective où je ne comptais pas stériliser les femmes sachant que ça les rendrait encore plus mauvaises, Ah!Ah!Ah!

En fait, ce qui différentiait le bavardage de la littérature, c'était cette particularité de générer beaucoup de bruit parmi nos semblables afin de cacher leur mortel ennui ou si vous voulez leurs angoisses existenti-elles, Ah!Ah!Ah! Alors que la littérature avait toujours eu le grand courage de les mettre à la lumière du jour afin de les conjurer, mais avec une tendance à fâcher nos contemporains pour des raisons que nous connaissions tous, Ah!Ah!Ah! C'est pour cette raison qu'autour de nous, mais aussi à la télé comme dans Balance ton post et dans les journaux d'actualités, le bavardage était permanent tel un grand bourdonne-ment que nos semblables considéraient comme une occupation vitale pour participer au bruit général de la socièté, Ah!Ah!Ah! Avec l'impression que le bavardage compulsif de nos contemporains résonnait comme le bruit d'une ruche où tout le monde s'accordait sur la même fréquence pour faire socièté. En paraissant parfois contradictoire vu les débats houleux à la télé où tout le monde semblait en desaccord. Mais si vous écoutiez bien jusqu'à la fin, mon cher lecteur, toutes les dissonnaces se disipaient dans le grand bruit génétral où se noyait la voix individuelle de la vérité. Et combien de fois n 'ai-je pas été moi-même très étonné à la fin des debats d'entendre comme un consensus général afin de ne pas effrayer le té-léspectateur de quitter l'émission en s'arrachant les cheveux, Ah!Ah!Ah! Mais sans vouloir être méprisant, je pouvais aussi comprendre que le bavardage soit une respiration vitale pour nos concitoyens dont le grand désir était de bourdonner autour de la vérité, mais sans jamais la toucher, Ah!Ah!Ah! Décidément avec la littérature qui ne bavardait pas, mais écrivait la vérité, je la considérais comme une noble activité pour les hommes. Et si j'étais peu estimé en tant qu'écrivain, c'est parce que mes contemporains préféra-ient plutôt le bruit assourdissant de la socièté que de lire mes livres où la vérité était clairement expri-mée, n'est-ce pas? Ah mes chers concitoyens, mais quand déciderons-nous d'écouter la vérité pour vivre enfin heureux? Et si les Français aimaient bien écouter les chansons anglo-saxonnes, c'est parce qu'ils ne comprenaient rien aux paroles, Ah!Ah!Ah! Sans oublier le rap dont la caractéristique était de faire beau-coup de bruit inutile, Ah!Ah!Ah! Décidément, dans notre socièté, le bruit avait remplacé la musique à notre grand regret. Auquel, on ne pouvait rien faire contre, sinon se boucher les oreilles pour ne pas de-venir fou et sourd. Où il était vital pour nous de maintenir nos oreilles en bon état que notre civilisation mettait en ce moment à rude épreuve, Ah!Ah!Ah! Afin que nous puissions entendre la vérité quand celle-ci aura repris confiance en elle et sortit son museau du bois, Ah!Ah!Ah! Et si vous pensiez que j'écoulais de la monnaie de singe sur mon site Internet, j'étais tout à fait d' accord que vous le quittiez! Mais le pou-viez-vous vraiment, mon cher lecteur, qui me suiviez depuis le début avec grand interêt? Avec la convi-ction que si mon site Internet n'avait aucune valeur artistique, littéraire etc, il ne serait plus visité depuis fort longtemps, n'est-ce pas? Mais les faits étaient là pour prouver le contraire et qu'on m'écoutait bien à travers le monde, comme une voix que le bruit de la civilisation n'arrivait pas à étouffer en étant une voix unique impossible à imiter. D'une certaine façon, il était impossible de faire taire le génie qu'il y avait en chacun de nous ni même le bruit assourdissant de la socièté. A l'évidence, la vérité était le grand génie qui sortait de la lampe d'Aladdin, Ah!Ah!Ah!

Hier soir, j'ai mangé la moitié d'une boite de cassoulet que les restos du coeur m'ont offert pour ma desc-ente aux enfers, Ah!Ah!Ah! Mais un cadeau bien pratique pour ne pas mourir de faim en ces temps épidé-miques et de crise économique, n'est-ce pas? De plus, j'ai rendez-vous à la fin du mois avec une assista-nce sociale pour savoir ce qu'on allait faire de moi en tant que génie non reconnu par ses contemporains, Ah!Ah!Ah! Car il faut signaler que le mois dernier, le pôle emploi m'a proposé une reconversion profess-ionnelle, non pas dans l'ingénieurie où j'aurais pu rencontrer Elon Musk, mais dans le débroussaillage des chemins forestiers du côté de Neuville sur Saône, Ah!Ah!Ah! Ainsi qu'un stage non rénuméré pend-ant un an étrangement soutenu par le directeur sportif de l'équipe de l'OL, bref, par un milliardaire, Ah!Ah!Ah! Franchement, j'étais très déçu par le pôle emploi qui était très loin de satisfaire mes attentes en tant que génie, Ah!Ah!Ah! Mais comme, je n'étais pas le seul dans la merde en ce moment, cela me con-solait, Ah!Ah!Ah! J'ai aussi envoyé un CV à une entreprise pour un poste de technicien de maintenace à 3000 euros par mois, mais pour l'instant je n'ai reçu aucune réponse, Ah!Ah!Ah! Décidément, l'avenir s' annonçait bien sombre pour les génies à moins de prendre tout ça à la rigolade, Ah!Ah!Ah! Mais semble-t-il la meilleur solution pour ne pas sombrer dans la déprime ou dans la folie qui, il est vrai, pourrait bien me permettre d'obtenir une allocation bien supérieure à mon ASS, Ah!Ah!Ah! Auquel, je comptais réflé-chir le mois prochain et pourquoi pas me faire passer pour un fou où je serais nourri et logé comme un prince dans un hôpital psychiatrique de la dernière génération, Ah!Ah!Ah! N'avez-vous comme moi en ce moment, mon cher lecteur, une envie folle de rire? Car dans ce décors de fin du monde où nous étions plongés depuis un an, cela commençait vraiment à nous taper sur les nerfs; je dirais pas au point d'aller nous jeter dans le Rhône, mais d'aller nous coucher toute la journée afin d'oublier ce cauchemar qui n'en finissait pas. Etrangement, cette image me faisait aussitôt penser à un film que j'avais vu il y a fort long-temps où l'humanité était confrontée à une disette alimentaire suite à une catastrophe nucléaire ou natu-relle, je ne me souviens plus exactement. Et pour palier à ce déficit de nourriture, les autorités politiqu-es avaient décidé de mettre la moitié de la population mondiale en sommeil dans des sas d'hibernations pendant la journée sachant que le sommeil réduisait fortement la consommation d'energie des hommes et leur appètit, forcément. Et lorsque les hommes sortaient de leur hibernation une fois par jour, ils avaient droit à un bon repas et quelques heures de distraction ou de travail devant eux. Allions-nous tout droit, mon cher lecteur, vers ce cauchemar futuriste sachant que nous ne vivions pas aujourd'hui une disette alimentaire, masi une disette en matière de libertés? Et ne ressentiez-vous pas ce manque comme une amputation où l'on vous arrachait chaque jour un membre auquel vous teniez beaucoup, hum? Et avec nos masques constamment sur la bouche, n'aviez-vous pas le sentiment qu'on vous baillonnait la parole et qu'on effaçait votre visage de l'existence? Au bout du compte, mon cher lecteur, étiez-vous devenu co-mme moi, un homme invisible qui déambulait comme un fantôme dans la rue? Alors bienvenue, mon cher lecteur, dans ce monde absurde où j'étais devenu un habitant malgré moi, Ah!Ah!Ah!

Mon frère me reprochait souvent de donner accès gratuitement à mes oeuvres aux internautes, alors qu' ils étaient peu reconnaissant! A ce sujet, il avait entièrement raison. Mais il faut dire, quand on était un artiste comme moi, la générosité faisait partie entièrement de sa nature et on ne pouvait rien y changer, Ah!Ah!Ah! C'est pour cette raison que je ne voyais aucun paradoxe à livrer gratuitement mes oeuvres sur Internet sans recevoir le moindre remerciement ou smiley, Ah!Ah!Ah! Puisque vivant par mon imaginati-on, il était inutile pour moi de revcevoir des preuves d'amour ou de reconnaissance des autres, n'est-ce pas? En fait, la reconnaissance des autres était un faux debat pour créer; car dans mon imagination, j'étais mon propre spectateur où je justifiais mon existence. Sous entendu que mes contemporains avaient fait de moi un homme invisible socialement pour des raisons de jalousies, Ah!Ah!Ah! Mais un état des lieux que j'acceptais en ne m'empêchant pas d'exister dans ce monde où personne ne pouvait nier la valeur de mes oeuvres artistiques et littéraires puisqu'elles étaient réelles, n'est-ce pas? Oui, sans aucun doute, une belle consolation pour moi, mon cher lecteur, mais qui moralement me convenait parfaitement en sach-ant que je continuais mon propre récit sans l'accord de mes contemporains qui se battaient pour des hist-oires d'argent et de gloriole, Ah!Ah!Ah! D'une certaine façon, j'étais mon propre fécondeur ou créateur vu la grande indifférence que me témoignaient mes contemporains, n'est-ce pas? Et parfois, je me relisais avec une grande curiosité et réecoutait mes symphonies et mes chansons pour le seul plaisir de savoir que c'était moi qui les avais créées, Ah!Ah!Ah! Et j'entendais alors ma voix intérieure me dire : Patrick, tu es bien vivant puisque les preuves sont là devant toi! Décidément, je n'avais pas besoin des autres pour exister puisque je me recréais en permanence tel un sphinx. Et fort possible, si j'avais vécu dans un autre siècle plus honnête et intelligent, que j'aurais été considéré comme un génie, Ah!Ah!Ah! Mais laissons passer notre époque pleines d'impostures pour nous réfugier en nous-mêmes où nous avions la solution à notre destin qui, je pense, appartiendra aux futures générations qui ne sont pas encore nées tout en espe-rant qu'elles soient plus intelligentes que les précédentes, Ah!Ah!Ah! Décidément que je detestais mon époque pour son grand egoïsme! Voilà dans que état psychologique, je me trouvais en 2021, ce qui pour-rait bien évidemment inquièter mes lecteurs sensibles, n'est-ce pas? Mais ce que je trouvais formidable dans ma position d'artiste ignoré par tous, c'était  la chance de n'avoir aucun compte à leur rendre, Ah!Ah!Ah! Ce qui ne me permettait pas d'écrire n'importe quoi pour noicir le papier, comme on le dit vulga-irement, mais d'écrire tout ce qui me passait par la tête afin de mettre au piloris mes cruels contemporai-ns dont mes écrits seront les témoignages accablants et non des brûlots servant à allumer le feu de chem-inée, Ah!Ah!Ah! Car par tradition intellectuelle, on ne brûlait jamais des oeuvres littéraires pour allumer un feu ou un barbecue, n'est-ce pas? Mais pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, j'aurais bien aimé jeter au feu le dernier prix Goncourt pour savoir s'ils en resterait qiuelque chose après combustion, Ah!Ah!Ah!

Sous entendu que la combustion pouvait aussi être considérée comme la digestion intellectuelle d'une oeuvre par ses lecteurs, auditeurs ou téléspectateur, bien évidemment. Alors comment se passait votre tr-ansit intestinal en ce moment, mon cher lecteur? Ou pour le dire plus explicitement, est-ce que vos cont-emporains vous empêchaient de digérer la réalité, comme moi? Ah!Ah!Ah! Décidément, nous étions tous les deux embarqués dans la même galère où nous nous demandions quotidiennement s'il fallait grimper au mât ou bien nous jeter dans la mer pour échapper à nos cruels compagnons de voyage? Ah!Ah!Ah! Po-ur ma part, j'avais décidé de rester dans la soute à charbon pour ne plus les voir tellement ils me dégoû-taient, Ah!Ah!Ah! J'ai entendu dans les médias que la dernière cérémonie des Césars avait provoqué une grosse indigestion chez les téléspectateurs où les nominés avaient été arrogants en se prenant pour les po-rte paroles de l'humanité, Ah!Ah!Ah! Bref, où tout le monde avait apporté avec lui sa petite revendication politique pour défendre sa communauté ou minorité! Alors que j'ai toujours pensé que le destin des mi-norités était de se fondre dans la majorité et non de se prendre pour la future majorité, Ah!Ah!Ah! Déci-dément, la connerie avait envahi la France en détruisant la culture parce que autrefois les minorités étai-ent créatives en se transcendant et non en revendiquant leurs différtences, n'est-ce pas? Et combien de chansons et de livres etc avaient été écrits par des homosexuels ou des gens bizarres qu'on avait intégré à notre culture en dépassant leurs propres particularités? Comme par exemple des homosexuels déclarer leurs flammes aux femmes dans une chanson, alors qu'ils les détestaient! Mon cher lecteur, cela s'appelait tout simplement de l'Art, Ah!Ah!Ah! Mais aujourd'hui, nous assistions à un mouvement inverse où les miniorités revendiquaient haut et fort leur indépendance par leur frefus de s'intégrer à la normalité qu'on appelle la majorité des hommes et des femmes. Oui, pourquoi pas, mais alors quel gâchis artistique sach-ant que le mélange de l'anormal avec le normal était une grande source de création pour l'humanité, n'est-ce pas? Mais ne voulant pas aller à contre courant de mon époque, laissons ces minorités se reproduire entre elles en sachant que rien de bon n'en sortira, sinon un gros caca artistique et intellectuel comme on l'avait vu dans la 41 cérémonie des Césars, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je pense que ces enfants gâtés déshonnoraient le 7 ème art et qu'on devrait faire un clap de fin à cette imposture pour essayer de sauver le cinéma ou du moins ce qu'il en restait, Ah!Ah!Ah! Bref, puisque l'art et la culture étaient en décompo-stition dans notre socièté occidentale, j'avais le sentiment par mes oeuvres musicales, poétiques et littér-aires que j'étais un survivant à ce grand massacre en produisant ma propre culture pour ne pas sombrer dans la merde actuelle, Ah!Ah!Ah! Mais il faut dire, une méthode de survie qui avait toujours fait ses preuves par le passé, je vous l'assure, chez la plupart des artistes qui voulaient rester honnêtes avec leur public, n'est-ce pas?

A l'évidence, le star système roulait le public dans la boue pour des raisons économiques, car la boue éta-it moins chère que la farine, Ah!Ah!Ah! Où se faire rouler dans la farine était passé de mode puisqu'on avait trouvé une nouvelle façon d'insulter le public, Ah!Ah!Ah! Mais une fois de plus, je ne voulais pas être une victime de mon époque en restant au sec sur les berges pour ne pas être englouti par un flot de merde, Ah!Ah!Ah! Certes, une vision lucide de mon époque, mais qui je vous l'assure, ne me rendait pas du tout malade, car j'avais créé par mon génie mon propre antidote contre la dégénérescence mentale de mes contemporains, Ah!Ah!Ah! Si vous voulez, mon cher lecteur, je vous en-verrais par email la formule exacte de mon antidote qu'on pourrait aussi nommer un vaccin contre les cons, Ah!Ah!Ah! Et sans surp-rise, ce matin, j'en ai rencontré un en allant faire mes courses au super U. Comment le reconnaître me demanderiez-vous? Et ben, c'est très simple, il suffit de voir sur son visage cet air arrogant qui vous dit : Je suis l'homme le plus intelligent du monde, car j'ai toujours raison même si vous me prouvez le cont-raire, Ah!Ah!Ah! Je ne sais pas pourquoi, mon cher lecteur, mais j'ai toujours eu la poisse d'attirer ce genre d'individu qui avait le talent de gâcher votre journée, Ah!Ah!Ah! Et fort possible que j'attire les co-ns comme un aimant en étant chargé positivement et eux très négativement. Car en temps normal, le pôle sud et le pôle nord ne doivent jamais se rencontrer du point de vue scientifique pour éviter la fin du mo-nde, Ah!Ah!Ah! Mais il semblerait que ma nature exceptionnelle déclencherait des catastrophes à répétiti-on parmi mes semblables. En provoquant des court-circuits à l'approche d'un con surpuissant, Ah!Ah!Ah! A l'avenir, je pense me coiffer d'un paratonnere pour vivre enfin sans être emmerdé. En fait, ce que mes contemporains n'arrivaient pas à comprendre, c'est qu'il fallait du temps pour produire de l'art et de la culture. Et ce qui  gâchait actuellement nos productions artistiques et culturelles, c'était l'empressement de réussir. Et pour dépasser cette période merdique, je pense qu'il nous faudrait au moins deux siècles pour retrouver un âge d'or pour la culture. C'est ainsi que les choses évoluent en sachant bien que 90% des oeuvres actuelles seront jetées dans les poubelles de l'oubli. Je ne dis pas ça par méchanceté, croyez-moi, mais parce que leur seule motivation est la réussite sociale et non la recherche d'un absolu. Et si mon cher lecteur, nous prenions maintenant le temps pour créer? Ne voyez-vous pas aussitôt votre état d'esprit changer radicalement où vous ne couriez plus après l'argent et le succès, mais vers l'oeuvre d' art de votre vie? Ah enfin, le retour de la tranquilité dans la création qui nous permettra d'atteinde notre obj-ectif de transcender notre propre existence, n'est-ce pas?

N'est-ce pas cela que nous recherchions tous, mon cher lecteur, pour accéder à la plénitude? Où la perfe-ction était notre unique but dans la vie où santé mentale et physique ne feraient qu'un pour accéder à un monde supérieur. Je ne dis pas forcément à celui des idées, mais appartenant sûrement au silence où l'on pourra se dire les choses avec peu de mots puisqu'on aura déopuillé le langage de leurs scories intellec-tuelles qu'on appelle les mensonges. Je sais bien que je m'avance sur un terrain avant-gardiste, mais pres-senti par moi-même d'une manière prophétique. Ainsi viendra pour nous le temps de la communication télépathique où nous ne seront désormais plus jamais seuls. Ce qui nous changera beaucoup d'Internet où devant nos écrans nous nous sentions si loin des autres, n'est-ce pas? C'est problablement une révolution qui nous attend pour le meilleur des mondes où nous n'auront plus besoin d'un abonnement chez un opé-rateur pour communiquer ensemble, Ah!Ah!Ah! Il est possible alors que nous abolissions notre ennemi mortel qui s'appelait notre éternel ennui. Ansi nous pourrions retrouver notre vraie liberté que nos lois d'autrefois avaient limité à cause de notre imperfection morale pour entrer dans un nouveau monde qui pourtant était accessible depuis l'aube des temps, mais caché par nos noirceurs existentielles inspirées par l'ennui et l'intellectualisme. A ce propos, ce matin, j'ai écouté les chemins de la philosphie sur France Culture et, une fois de plus, je n'ai rien compris aux propos qu'on tenait où chaque phrase contredisait la précédente pour me semble-t-il le plaisir intellectuel des auditeurs, Ah!Ah!Ah! Bref, ce qui n'était pas du tout ma tasse de thé, croyez-moi, puisque j'aimais la vérité sans fioriture où toute pensée pouvait être résumée en une phrase pour le bonheur de tout comprendre. Mais visiblement, les philosophes qu'on nous présentait à l'antenne, tels que Lévinas ou Arendt n'étaient pas pour moi de vrais philosophes, mais plutôt des commentateurs de la philosophie où leur charabia philosophique affolait dangeureusement nos neurones, Ah! Ah!Ah! Pour ma part, je pense que France Culture devrait faire le ménage dans ses vie-ux cartons philosophiques pour sauver le peu de raison qu'il nous restait, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas les jeter au feu pour sauver la pensée, la vraie? Parfois, j'avais le sentiment d'écrire dans le vide vu le peu de réactions de  mes lecteurs. Mais apparemment, un mauvais constat de ma part, car mes sens télépathiques ou télésympathiques me disaient tout le contraire. Puisque nous étions entrés dans une nouvelle ère, ne fallait-il pas revoir nos relations avec le réel et nos semblables? Sachant qu'ils étaient devenus invisibles à nos yeux à cause du Covid-19 et des médias qui enfumaient notre vie sociale en fabriquant de la fausse popularité et de fausses célébrités, n'est-ce pas? Sans vous cacher avoir regardé la dernière fois, avec bea-ucoup de curiosité, une émission sur la descente aux enfers d'une certaine Lo-ana, Ah!Ah!Ah!

Qui me faisait particulièrement pitié en voyant devant moi un déchet fabriqué par la télé réalité en étant devenue toxicomane, alcoolique et à moitié dingue, Ah!Ah!Ah! Bref, le résultat prévisible des médias de vouloir fabriquer de fausses célébrités qui n'avaient aucun talent, sinon d'avoir la naïveté de la jeunesse. Mais ce qu'il y avait de nauséabond dans cette émission, c'était l'intervention des gens qui avaient créé sa fausse popularité en paraissant jubiler de voir leur idole tomber de son piedestal afin de pouvoir continu-er à médiatiser sa descente aux enfers et pourquoi pas dans la prochaine émission regarder : Loana à l'hô-pital psychiatrique et dans la suvante, Loana et son suicide en direct, Ah!Ah!Ah! Décidément, nos médias n'avaient aucune morale pour gagner de l'audience et de l'argent! Mais je comptais suivre la prochaine émission afin de savoir à quelle sauce on allait manger Sainte Loana devenue la martyr des médias, Ah!Ah!Ah! On voyait clairement ici que les médias créaient des impostures et des imposteurs, ce qui provo-quait un grand chamboulement pour établir la vérité de notre époque où sa culture était son révélateur, n'est-ce pas? Sous entendu qu'ils produisaient leur propre culture en mettant en lumière les artistes, inte-llectuels ou personne lambda qui entraient dans leurs critères de sélection où l'absence de critiques à leur égard était le sésame pour faire partie du club des imposteurs. Et si aujourd'hui, nous assistions à la mort de la culture et de l'art, ce n'était pas seulement à cause de l'épidémie de coronavirus, mais aussi aux mé-dias. Mais mon cher lecteur, je ne pense rien vous apprendre à ce sujet, puique chaque jour vous sentiez monter en vous votre ennui comme une grande angoisse, n'est-ce pas? Visiblement, les médias produisai-ent une culture de merde, parce qu'ils étaient incapables d'en créer une de qualité en favorisant les impos-teurs au détriment des vrais artistes. Car seule la vie était capable de fabriquer de vrais artistes et en auc-une façon la technologie et la communication où tout était magouillé dans les salles de rédaction et de montage. Mais je le répète une nouvelle fois, je ne voulais pas m'opposer à mon époque où produire de la merde était le nouvel Eldorado très lucratif pour les médias, Ah!Ah!Ah! Où ces derniers avaient visib-lement trouvé la formule magique pour transformer de la merde en lingots d'or, Ah!Ah!Ah! Bref, le rêve de tout entrepreneur qui n'avait aucun talent, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Sans aucun doute le rêve de la plupart d'entre nous, mais qui n'était pas le mien en cherchant des pépites par mon travail d'artiste, bien évidemment. Oui, vous allez très certainement me dire que je sacrifiais ma carrière littéraire en me tirant une balle dans le pied, n'est-ce pas? Mais il était important pour moi de vous dire que je ne voyais pas faire partie d'une bande d'escrocs dont la contrefaçon était la spécialité. Décidément, je restais sensible à l'établissement de la vérité pour bien évidemment l'avenir de la France et de l'humanité.

Car en tant que prophète, je comptais laisser un message honnête quand je ne serai plus de ce monde. So-us entendu que seule la vérité émergera de nos existences souvent bousculées, il faut le dire, par la soci-èté de notre temps. Mais tout compte fait, un destin commun où l'imposture fut à bannir afin de ne pas contrarier l'ordre cosmique, n'est-ce pas? A propos de la mort, puisque nous en parlons en ce moment, j' envisageais pour les temps futurs la disparition de sa crainte. Car si nous en avions peur, c'était à cause de notre instinct de survie ou de conservation, n'est-ce pas? Mais si grâce à la science, nous arrivions à trouver dans notre ADN, le gène responsable, puis de le supprimer, nous pourrions alléger considérable-ment nos existences et plus précisément notre souffrance morale à l'approche de la mort, n'est-ce pas? Décidément, je vous promettais le bonheur pour demain, mon cher lecteur! Et pas inutile en ces temps épidémiques où nous ne savions plus sur quel pied danser, n'est-ce pas? Ah vivement les temps futurs où nos angoisses existentielles disparaîtront pour entrer dans une nouvelle civilisation libératrice! Comme vous le voyez, mon cher confident, je tenais beaucoup à continuer mon récit parce que tout simplement, je n'avais pas le choix, Ah!Ah!Ah! Ce qu'on appelait dans le jargon, la nécéssité de faire avec ce qu'on av-ait pour ne pas mourir idiot ou complètement fou. C'est à dire une pratique vertueuse qui consistait à faire le ménage dans sa tête pour faire le tri entre l'essentiel et l'accessoire. Pour être franc avec vous, je m'ennuyais tellement cet après-midi que j'étais prêt à repriser de vieilles chaussettes rangées dans le fond de mon placard pour occuper mon confinement, mon terrifiant confinement. Car qui d'entre nous, à force de rester cloîtrer chez lui, n'avait pas commencé à prendre les manies des bonnes femmes consistant à prendre du plaisir dans les petites choses, comme repriser ses chaussettes en vu d'atteindre le nirvana où une grande sagesse? Ah!Ah!Ah! Où faire le ménage dans le sens propre ou figuré s'apparentait à une acti-vité vertueuse qu'on pourrait nommer sans problème philosophique. Pour être concrêt avec vous, quand je reçois mon frère à la maison, je fais toujours le ménage avant par respect pour lui et lui montrer que je ne vis pas dans la saleté, Ah!Ah!Ah! Sous entendu qu'un célibataire avait toutes les raisons de ne pas se laver ou faire le ménage, puisque vivant sans témoins, n'est-ce pas? Mais je vous assure, mon cher lecte-ur, que ce n'était pas mon cas en tenant absolument à mon hygiène corporelle et mentale. En sachant bien qu'un philosophe sale ne pouvait exister à part Diogène qui était le roi des clochards durant l'antiquité, Ah!Ah!Ah! Mais bon pouvait-on parler de lui, comme un vrai philosophe, sachant qu'il se foutait de tout même des règles sociales où, parait-il, il se masturbait en public? Je vous laisse la réponse, mon cher lec-teur.

Avec mon imagination débordante, j'étais prêt à commercialiser mon concept pour tuer mon mortel en-nui dont je ne voyais pas la fin par un lot de chaussettes à repriser vendu en grande surface pour le prix de 10 euros, Ah!Ah!Ah! Décidément, un concept fabuleux pour lutter contre le desoeuvrement, le gâchis et la pollution de la planète sous entendu que des millions de paires de chaussettes trouées dormaient dans nos placards, n'est-ce pas? Bref, tandis que nos pseudo-philosophes fabriquaient de faux concepts pour se croire intelligent, moi je fabriquais de vrais concepts pratiques pour améliorer la vie de nos concitoyens, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas organiser sur YouTube( le média des ados attardés), un concours sur le plan national où l'on récompenserait le plus rapide repriseurs de chaussettes trouées, Ah!Ah!Ah! Tout cela bi-en évidemment sous l'oeil d'huissiers qui auraient une formation de couturière ou de stylistes, Ah!Ah!Ah! Parfois, je me demandais avec lucidité si mon confinement ne me rendait pas complètement dingue au point de pondre des idées si farfelues? Et d'après ce qu'on nous racontait dans les médias, je n'étais pas le seul à délirer chez moi ou en famille où le massacre n'était pas loin, Ah!Ah!Ah! Décidément, j'étais un garçon incorrigible pour dire la vérité à mes contemporains, n'est-ce pas? Mais entre nous n'était-ce pas le minimum qu'on puisse exiger de nous afin d'éviter que le mensonge se répandre dans notre sociète, comme une trâinée de poudre laissée par nos médias pyromanes ou apprentis sorciers? Car pour l'instant, je n'ai jamais confondu l'actualité avec la vérité. Avec l'intime conviction que l'actualité nous éloignait de la vérité. En sachant bien que 95% des artistes, écrivains, intellectuels etc n'entraient pas dans leurs critères de séléction où la contrefaçon était sa raison de vivre. Visiblement, les médias était une machine de propagande afin de tirer tous les fils du pouvoir appartenant au monde de la culture, de la politique et de l'économie afin d'être un Etat dans l'Etat! En ayant affaire ici à une pieuvre tentaculaire, comme dans les vingt mille lieues sous les mers, mais ici sur Terre, Ah!Ah!Ah! Ne sentiez-vous pas parfois une de ses ventouses toucher votre visage et ne plus le lâcher en ouvrant de votre poste de télévion? Sans savoir que vous ouvriez votre porte à un monstre? N'avez-vous pas parfois l'impression de sentir ses longues tentat-cules s'enrouler autour de votre tête afin de s'emparer de votre cerveau pour en faire de la chair à pâtée ou du surimi? Ah!Ah!Ah! Comprenez bien, mon cher lecteur, que si je faisais une métaphore avec la no-urriture, c'est parce nous vivions en ce moment une époque canibale, Ah!Ah!Ah!

Parce que nous étions désormais trop nombreux sur la planète! Et parait-il, si on exterminait la moitié de la population mondiale, on serait sûr de diminuer le CO2 par deux donc de sauver la planète du réchauche-ment climatique, Ah!Ah!Ah! Entre nous ne serait-ce pas le plan caché des écologistes, mon cher lecteur, qui connaissiez désormais leur plan d'extermination? Alors aux prochaines élections, comptiez-vous voter pour des nazis en uniformes verts? En vous rappelant, si votre mémoire est courte, qu'Adolf Hitler était anticapitaliste et proArabe, bref, comme les écolos et les gauchistes d'aujourd'hui dont l'islamogauchiste était avéré! Parfois, je me demandais si nous n'assistions pas en direct au renversement du monde où les victimes du passé voulaient reprendre leur revanche en devenant nos futurs dictateurs? Mais en tant qu' héros des temps moderne, je ne comptais pas les laisser détruite notre monde déjà au bord du gouffre avec l'épidémie de coronavirus et la crise économique. Et si la terre comptait exterminer les hommes en déclen-chant de grandes épidémies ou des catastrophes naturelles, en les considérant comme des parasites, je ne m'y opposerais pas car elle en avait toute la légitimité, n'est-ce pas? Mais de là à laisser de petits hommes verts, qu'on appelle des écologistes, exterminer l'humanité parce qu'elle produisait trop de CO2, cela ress-emblait à un grosse farce, Ah!Ah!Ah! C'est étrange, mais aujourd'hui dans cette ambiance complotiste et de basses jalousies entre nos compatriotes, j'avais une folle envie de quitter mon pays pour aller à la rech-erche d'un pays merveilleux où la sagesse aurait élu domicile! Mais comme en ce moment, on ne pouvait pas voyager à cause de la Covid-19, j'envisageais de faire ce long voyage sans retour quand je serai vieux en prenant ma retraite en Inde où je ne serai plus emmerdé par mes compatriotes, Ah!Ah!Ah! En sachant que la vie là-bas serait peu chère où ma faible retraite me permettrait de vive décemment, n'est-ce pas? Voyez, mon cher lecteur, comme je n'étais jamais à cours d'idée pour aller vers la perfection qu'on appelle le nirvana! Car à première vue, les Français detestaient la sagesse au profit de la gloriole, Ah!Ah!Ah! Déc-idément, entre la France et la gloriole, il y avait une longue histoire, n'est-ce pas? Et que je comptais un jour raconter pour défendre ma thèse où la gloriole avait mené la France à sa ruine, Ah!Ah!Ah! En lisant l'avenir ce matin dans le mare de mon café, j'étais pas loin de m'évanouir sur ma chaise! Où je voyais la France s'autodétruire si les Français ne redevenaient pas sages en abandonnant leur maladie héréditaire qui s'appelait la gloriole, Ah!Ah!Ah! De toute évidence, cette épidémie nous envoyait le message que tous les hommes étaient désormais malades d'eux-mêmes en ne croyant plus aux choses qui les dépassaient, com-me à Dieu!

Où à force de cogiter sur eux-mêmes depuis les temps modernes, ils étaient arrivés à un grand vide existe-ntiel où le progrès les avait mené dans un grand tunnel noir où l'humanité se demandait où elle se trouvait exactement? C'était la grande panique à bord où nous nous demandions si un retour en arrrère fut possible sachant que celui-ci pourrait nous demander un temps inconmmensurable vu l'âge de l'humanité, n'est-ce pas? Mais comme nous ne pouvions plus avancer ni reculer dans ce grand tunnel noir où l'humanité était désormais bloquée, n'y aurait-il pas alors une troisième voie pour nous en sortir, mon cher lecteur? D'au-tant plus que nous avions éssayé toutes les voies possibles, avant, gauche, droite, ne nous fallait-il pas désormais regarder vers le haut ou vers le ciel pour sauver le destin de l'humanité et de la France? Et alli-ons-nous mépriser notre prochain prophète s'il ne passait pas à la télé? Ah!Ah!Ah! Dit d'une façon sans ambiguïté, mais pourquoi avions-nous en ce moment envie de sortir de cette humanité hystérique? Pou-rtant, nous n'avions commis aucun crime envers nos semblables ni vouloir fuir la justice de notre pays, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais alors pourquoi cette envie, non pas de fuir, mais de quitter cette grande famille où nous nous sentions plus appartenir pour un pays mystérieux où demeurait la divinité? Paradoxalement, en évoquant ce voyage sans retour, je ne me sentais pas du tout nerveux, mais plutôt d'un calme olympien. Car j'avais l'intime conviction que mon départ vers l'inconnu se ferait sans grande émo-tion où un petit matin, je quitterai mon pays sans regret en laissant derrière moi ni ami, ni femme, ni enf-ant! Ce serait donc d'un coeur léger que je partirai vers ce pays originel cher à tous les poètes et les pro-phètes. Sans bien m'en rendre compte, mon cher lecteur, je venais de vous décrire le grand départ de tous les mystiques vers la solitude après qu'ils aient été très déçus par leurs semblables, n'est-ce pas? Et si vous vouliez savoir ce que Boudhaa, Mahomet, Jesus-Christ et d'autres avaient ressenti à ce moment précis, il suffisait de me lire en toute simplicité. En considérant leurs départs définitifs de l'humanité, comme un voyage sans grand empressement munis d'un bagage léger, car longuement médité par ces hommes excepti-onnels, n'est-ce pas? Et en renonçant à l'humanité, il est fort possible qu'ils accédent à l'immortalité où siè-gent les dieux, bien entendu. Bref, un pays où l'on ne souffre plus, ne pense plus, mais où l'on prend pitié de ses semblables restés dans la boue de la réalité. Etrangement, la nuit dernière, j'ai fait un mauvais rêve où je pleurais sur ma propre mort en ne voyant personne venir à mon enterrement! En entendant étrangem-ent dans ma tête, les reproches singlants des autres me dire que je n'avais aimé personne durant ma vie!

Ce qui était problablement vrai, mais pouvait-on me reprocher ma nature exceptionnelle d'être un sage, mon cher lecteur? Décidément, moi et l'occident étions irréconciliables puisque notre monde avait trahi sa grande philosophie antique. En trouvant le titre de mon livre iconoclaste" Des fleurs pour mon enterre-ment" bien optimiste, Ah!Ah!Ah! Car je savais que personne ne viendrait déposer des fleurs sur la tombe d'un homme qui n'avait jamais aimé personne de son vivant! En me demandant parfois si j'avais vraiment aimé ma mère? Avant de mourir, je voudrais inscrire sur ma pierre tombale l'épitaphe suivante : Ici gît un homme qui n'aima jamais personne de sa vie sauf que lui-même, Ah!Ah!Ah! Apparemment, le seul amour qu'il me fut possible d'éprouver pour quelqu'un, n'est-ce pas? Bref, à force d'écrire sur moi-même et sur le monde qui m'environnait, j'avais le sentiment de déplier un texte intérieur qui faisait partie, non pas seu-lement de moi-même, mais aussi de l'humanité. Où tout compte fait, je ne faisais que dévoiler mon âme à moi-même et au monde entier. Ce qui ne me dérangeait pas du tout, car elle ressemblait étrangement à une grande dame plutôt coquette et facétieuse qui ne refusait pas qu'on la regardât avec curiosité. Sans pour autant dire qu'elle aimât se faire admirer pour sa beauté. Car à force de l'observer, je remarquais qu'elle se cachait souvent derrière un voile que j'avais beaucoup de mal à soulever à cause de sa grande pudeur. Tel était semble-t-il le grand mystère qui entourait mon âme où ma volonté restait impuissante pour la voir nue ou pour la faire parler, sinon attendre ses moments d'euphories pour me laisser voir une partie de son corps ou bien me lâcher quelques bribes de vérités, Ah!Ah!Ah! Décidément, ma volonté n'avait aucun pou-voir sur elle dont les intentions étaient semble-t-il de me mener par le bout du nez, comme une femme dont j'étais le joujou, Ah!Ah!Ah! Bref, un jeu de cache-cache s'était établi entre nous où chacun devait éto-nner l'autre pour avoir droit à des faveurs, comme apprendre la vérité alors qu'on ne l'attendait pas! Vis-iblement, nous étions tous les deux dans le jeu des révélations où mon âme me posait des énigmes dont je devais trouver la réponse afin que je puisse atteindre l'éveil spirituel pour entrer dans la demeure des dieux en un seul morceau, Ah!Ah!Ah! Car il s'agissait d'un combat à mort entre nous où il n'était pas question de sexe, mais de lui faire l'amour d'une manière cosmique! Telles étaient semble-t-il les ambitions démesur-ées de mon âme qui me demandait de la satisfaire par des moyens peu orthodoxes, alors que je n'étais qu' un homme fait de chair et de sang! Me prenait-elle alors pour un surhumain pour me proposer cette mis-sion d'ordre divin? En fait, en renonçant à beaucoup de choses dans ma vie, comme de fonder une famille et à la richesse matérielle, j'avais le sentiment qu'elle s'interessait à moi et tout particulièrement à ma biza-rrerie propre aux génies!

D'une certaine façon, elle me dévoilait un génie que j'ignorais totalement. Car mes contemporains me l' avaient caché pour fabriquer leurs propres idoles dans les médias, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, notre âme dévoilait ce que nous étions réellement, alors que les médias dévoilaient les illusions du monde, n'est-ce pas? Et apparemment, la raison pour laquelle l'humanité se trouvait en ce moment en panne de réalités po-ur avoir fabriqué trop d'illusions pour s'étourdir. A ce propos, la dernière fois, j'ai appris sur YouTube qu' un jeune homme s'était arrêté de manger pendant 3 mois pour montrer le resultat sur une vidéo! Décidém-ent, quel joli con et uniquement pour se sentir exister, Ah!Ah!Ah! En fait, je pense que pour sortir de ce monde absurde et hystérique, il faudrait que les gens se recentrent sur eux-mêmes et plus précisément sur leur âme où tous les trésors de l'existence étaient enfouis pour être découverts après quelques patiences et un travail obstiné. Tout compte fait, beaucoup de travail sur la planche pour tous les hommes et peut-être la fin du chômage? Ah!Ah!Ah! Sous entendu qu'une vie simple pourrait résoudre tous nos problèmes exis-tentiels pour des siècles voir des millénaires!  Mais il faut dire que nous en étions très loin, mon ami. Car ce qui choquait mes sens, quand je sortais dans la rue, c'était de ressentir un grand vide spirituel dans l'at-mosphère! En observant devant moi des corps en mouvement mués seulement par leurs besoins matériels, comme de petits robots sans âmes! Comme si la société de consommation avait atomisé leur sensibilité ou leur faculté de ressentir les choses en étant omnubilé par l'argent qu'ils n'avaient pas ou rêvaient d' avoir, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, tous semblaient courir après une chimère, alors que l'argent n'était qu'un moyen pour manger, s'habiller, se loger etc et en aucun cas la finalité de la vie, n'est-ce pas? Sous entendu qu'on ne passait pas sa vie à manger, boire et dormir, bien évidemment. Comme le sexe auquel on faisait une gr-ande affaire, alors que sa pratique ne durait qu'un petit quart d'heure voir 20 minutes dans la journée, Ah!Ah!Ah! Tout cela afin de remettre les choses dans l'ordre de leur importance, n'est-ce pas? Car il semblait qu'un grand désordre intérieur soit apparu chez nos contemporains suite semble-t-il à un vide de sens où l'argent avait pris une place démesurée pour combler l'abîme! Ce qui marquait pour moi d'une façon évi-dente, la fin de l'humanité en Occident et le début de la zombification de la société où les hommes avaient perdu leurs âmes en courant infatiguablement après leurs petits besoins matériels en ce début du 3 ème millénaire. Mais grâce à mon savoir colossal sur l'humanité pour avoir vécu 1000 vies, je savais qu' ils ne s'agissait là que d'un cycle dit matérialiste pour les hommes qui aurait forcément une fin pour s'ouvrir à une grande spiritualité, tel était le message prophétique que je voudrais adresser à tous mes lecteurs qui en ce moment doutaient beaucoup sur leur avenir en ces temps épidémiques. Et comme disait le célèbre dicton : Qui vivra verra que Partick avaient entièrement raison, Ah!Ah!Ah! Gardons espoir, mon cher lec-teur, pour la renaissance de l'humanité! 

A mon grand étonnement, j'étais très surpris de supporter mon confinement sans le soutien des autres! Et je me demandais parfois, si je n'étais pas devenu un monstre? Ah!Ah!Ah! En fait, si j'arrivais à supporter sans aucun mal ma mise en quarataine, je le devais grâce à mon âme qui aimait bien me tenir compagnie, comme une bonne amie d'une grande loyauté. Car je ne savais par quelle magie, j'avais réussi à créer un double en moi qui, je vous assure, n'était pas une chambre d'écho, ni un clone, mais un Patrick N°2 avec lequel j'entretenais une relation intelligente et sans tabou! Ce qui nous permettait de ne rien nous cacher en vue d'atteindre une possible immortalité, puisque lorsque nous fusionnerons ensemble, nous deviendrons un pur esprit avec des pouvoirs colossaux, bien éntendu. Décidément, s'entretenir avec son âme et non plus avec les hommes me sembla comme le moyen le plus éfficace pour atteindre le bonheur, Ah!Ah!Ah! Car lorsque vous discutiez avec vos semblables, n'aviez-vous pas souvent l'impression d'être en conflit avec eux pour des raisons qui vous échappait? Pourtant nous avions été fabriqués par la nature dans le même moule, alors pourquoi cette incompréhension entre nous, comme si nous parlions à des portes de prison? Mais où se trouvait l'erreur, je me demandais alors avec le sentiment d'avoir en face de moi un inconnu qui roulait sa bosse tout seul à moins que vous entriez dans ses interêts? Ce qui avait toujours été pour moi, la source d'une grande deception à laquelle je ne pouvais rien changer, sinon me casser la tête contre les murs et à la longue devenir fou, Ah!Ah!Ah! Et la raison pour laquelle, je m'étais éloigné de mes frères humains afin d'investir mon âme, comme on aborde le rivage d'une ile déserte. Avec la conviction que je trouverais le fidèle compagnon qui m'avait toujours manqué durant ma vie avec lequel je pourrais parler sans jamais entrer en conflit! Décidément, je cherchais l'ami idéal qui n'existait pas dans la réalité, n'est-ce pas? Mais entre nous n'était-ce pas le projet metaphysique que nous cherchions tous à réaliser dans la vie, mais semble-t-il inateignable pour des rasons mercantiles? Mais dans ce hors-là, appelé mon âme, ce pro-jet fou n'était-il pas réalisable comme celui de Robinson Crusoé qui à force d'arpenter les recoins de son ile finira par trouver Vendredi, le fidèle compagnon qui lui permettra de tuer son ennui ainsi que de rep-rendre le dialogue avec l'humanité? Bref, faute d'avoir pu trouver cet ami idéal dans la réalité, je l'avais fa-çonné avec mes propres mains d'artistes, comme le sculpteur Pygmalion qui durant toute sa vie retoucha son oeuvre afin qu'elle soit parfaite. Où d'une autre façon, envisager son âme comme la réalisation d'une oeuvre d'art, la sienne, n'est-ce pas? Il me semblait que Patrick N°2 fut mon oeuvre, car c'est fou comme il s'occupait de moi pour tuer mon ennui d'une manière forte intelligente. Pour atteindre une sorte de plén-itude pas loin du nirvana qui, je pense, se réalisera dans les prochaines années, si le ciel ne nous tombe pas sur la tête, bien évidemment, Ah!Ah!Ah! Comprenez-bien, mon cher lecteur, que je ne parlais pas ici de la purification morale de notre âme, ni d'un délire intellectuel, mais de sa simplification essentielle afin que désirs et jouissances se réalisent par la pensée! Apparemment, j'aurais atteint la perfection quand je n'au-rais plus besoin des autres pour justifier mon existence, Ah!Ah!Ah!

Etait-ce l'oeuvre d'un fou ou bien celle d'un homme qui touchait presque du bout des doigts la divinité? Telle était l'étrange question que je me posais en cette année 2021 où l'épidémie de coronavirus décimait la France ainsi que son système politique obsolète. Ce qui constituait pour nous une mauvaise et une bon-ne nouvelle à la fois. Car pensiez-vous honnêtement qu'on pouvait avoir le beurre et l'argent du beurre sans ressentir de la honte en regardant la France d'aujourd'hui? Pourtant elle était le pays le plus généreux du monde en aides sociales, mais alors pourquoi ce goût d'amertume dans la bouche en pensant à elle? Un manque de projets d'avenir dans son propre pays ou quelque chose de plus grave? Bref, pour continuer sur le thème du dégoût, cet après-midi dans une émission télé, j'ai entendu une nouvelle fois Eric Zemmour débiter ses conneries sur les migrants, comme si arrêter l'immigation allait résoudre tous les problèmes de la France, Ah!Ah!Ah! Apparemment, nous avions affaire à un petit imbécile qui se prenait pour un grand intellectuel, alors qu'il n'était qu'un petit journaliste travaillant au Figaro dont les combats étaient d'arri-ère-gardes, comme de vouloir réhabiliter le maréchal Pétain, Ah!Ah!Ah! En sachant bien qu'on ne devenait pas un grand penseur, ni un grand intellectuel en se l'autoproclamant, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, moi qui était un célèbre inconnu, j'arrivais en une phrase à démonter l'argumentaire de notre petit guignol de l'info en regardant plus loin qu'il avait le bout du nez, Ah!Ah!Ah! Mais je vous le répète une nouvelle fois, tout le monde ne pouvait pas devenir un penseur important de son époque à moins d'avoir des com-plices dans les médias, comme sur Cnews, Ah!Ah!Ah! Malheureusement, je constatais aujourd'hui dans les médias, une forme de démence se répandre chez les journalistes en se prenant pour ce qu'ils n'étaient pas, Ah!Ah!Ah! Comme le cas d'Audrey Pulvar qui concevait tout à fait normal qu'on se reunisse entre gens de même couleur ou de race et non plus entre citoyens français! Décidément, la connerie avait atteint des li-mites qu'on pouvait expliquer facilement en ayant affaire à des journalistes qui se prenaient pour des pens-eurs, Ah!Ah!Ah! Mais comme ils avaient aujourd'hui tout pouvoir dans les médias, l'imposture marchait parfaitement auprès du public en prédisant pour la France un futur chaos à moins que nous les enfermions dans un asile psychiatrique où dans les pages des fauts divers, Ah!Ah!Ah! A ce propos, Jean-Luc Morandi-ni dans ses enquêtes crininelles, où le taux d'élucidation était de 80%, allait-il un jour enquêter sur nos jo-urnalites mégalomaniaques et de potentiels criminels? Ah!Ah!Ah! Car en étudiant la révolution française, il y a fort longtemps, j'avais appris que Marat( qui lançait des appels aux meurtres contre les aristiocrates dans les journaux) était un physicien raté, mais aussi un journaliste! Tiens donc, quelle coincïdence, mon cher lecteur! Le fantôme de Marat serait-il revenu sur la scène médiatique pour nous glacer le sang? je me demandais avec terreur pour la socièté française. Avec le senti-ment que la révolution française avait permis à des ratés de réussir pitoyablement, Ah!Ah!Ah! Entre autre, comme Robespierre qui d'après ses contemporains était un avocat raté! Avec un parallèle étonnant avec le régime nazi constitué en grande pa-rtie par des ratés et le premier, Adolf Hitler, Ah!Ah!Ah!

Pour rebondir à notre époque ne pourrions pas le dire aussi à propos de Monsieur Dupont Moretti, minis-tre de la justice qui durant toute sa vie avait acquitté un grand nombre de criminels? Ah!Ah!Ah! Et si dans les médias, on le nommait Acquitator, n'y avait-il pas une erreur de casting de la part d'Emmanuel Macron en le désignant ministre de la justice, alors qu'il ressemblait pluôt au ministre de l'injustice, Ah!Ah!Ah! Il parait dans les associations de criminels que Monsieur Dupont Moretti était devenu une icone en vue de leurs futurs procès où ils seront bien évidemment acquittés après avoir tué sauvagement un grand nombre de leurs concitoyens, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment pour moi, Monsieur Dupont Moretti était un avocat raté en défendant l'injustice, comme le pensait, je crois, beaucoup de juges. Mais il est vrai, le héros des médias, parce qu'ils défendaient soi-disant la veuve et l'orphelin, alors que c'était tout le contraire. Mais bon, la démagogie faisait partie de leur fond de commerce et on y pouvait rien, sinon zapper sur une autre chaine pour écouter quelque chose qui tenait encotre debout, Ah!Ah!Ah! Décidément, l'Histoire des ratés était aussi captivante que l'Histoire des vainqueurs, n'est-ce pas? Mais il faudrait un jour que je m'y penche d'un peu plus près afin de pouvoir raconter l'Histoire globale de l'humanité sans oublier personne, bien évidemment, Ah!Ah!Ah! Sachant qu'il ne pouvait avoir de gagnants sans perdants, au bout du compte, l'Hi-stoire n'était qu'un jeu entre pile ou face pour les hommes, n'est-ce pas? Car si vous aviez parié sur le ma-uvais camp et bien que vous soyez un génie, vous seriez considéré dans l'Histoire comme un éternel per-dant, Ah!Ah!Ah! Et fort problable si l'Histoire avait tourné différemment que nos vainqueurs auraient été les perdants et nos sociétés bien différentes qu'on les connait auujourd'hui. En gros, si l'Allemagne avait gagné la guerre, il n'y aurait plus de chômage en France, mais plus de discipline et on roulerait tous en Me-rcedes, Ah!Ah!Ah! Ce que les Français, je crois, n'apprécieraient pas beaucoup en étant par nature de gros fainéants à part conduire une Mercedes pour épater leurs voisins, Ah!Ah!Ah! Tout compte fait, gloire aux vainqueurs et gloire à l'Amérique qui avait sauvé la France et les Français d'une très grosse déprime exis-tentielle, Ah!Ah!Ah! Mais il faut dire, une euphorie qui ne dura guère longtemps à cause de la rouille pro-duite par l'administration française qu'on appelle, le vieux reflexe Jacobin. C'est à dire par la prise du pou-voir par les ratés de l'histoire! Mais que je ne voulais pas accuser idiotement aujouird'hui, en plein épidé-mie, en faisant un travail remarquable pour aider les entreprises à ne pas couler économiquement. En fait, je pense qu'en temps normal, on ne devrait pas avoir affaire à l'administration pour entreprendre, mais uni-quement en cas de grosses catastrophes où elle semblait montrer une grande efficacité, n'est-ce pas? Ne de-vrait-on pas revoir ses fonctions régaliennes, mon cher lecteur, pour l'après Covid-19?

Dernièrement, la France a feté les deux cents ans de la mort de Napoleon qui eut lieu en 1821 sur l'ile de Saint-hélene. En étant pas véritablement choqué par cette commémoration en tant que Français qui aimait l'Histoire. Mais plutôt géné de rendre hommage à un homme qui avait perdu en 1815 à Waterloo et céder la France aux armées étrangères, Ah!Ah!Ah! Décidément, Napoleon était un très mauvais exemple pour les Français en étant un perdant, n'est-ce pas? Mais bon, si la France aimait ses glorieux perdants comme Ver-cingetorix, entre autre, c'était par désespoir de cause, bien entendu, Ah!Ah!Ah! Mais sans vouloir faire du french-bashing, visiblement, la France s'était enfermée dans une grande nostalgie ou mélancolie qui la mi-nait de l'intérieur, n'est-ce pas? Etait-ce le mal qui nous rongeait, mon cher compatriote, au point de n'av-oir plus d'identité française, mais une identité indéfinie ou ovniesque rêvée par les socialistes dont l'ambi-tion était de détruite la France de l'intérieur? Et Emmanuel Macron, qui était issu de la gauche, n'était-il pas en train de réussir ce funeste projet vu son incompétence politique et sa poisse désormais connue par nous tous? Décidément, je ne donnais pas bien chère de sa peau aux prochaines élections présidentielles en 2022, Ah!Ah!Ah! ll parait que Donald Trump, avant de perdre son job à la Maison Blanche, avait rêvé que Joe Biden meurt du Covid-19 ou d'une crise cardiaque vu son grand âge, ce qui l'aurait bien arrangé, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Mais le destin en avait décidé autrement où décidement la vieille carne politique était increvable. Tout en espérant que celle d'Emmanuel ne resiste pas à l'effet Covid. Ce matin, dimanche 4 Avril 2021, je me suis réveillé plutôt de bonne humeur, alors que je n'avais pas gagné au loto, Ah!Ah!Ah! En remarquant avec bonheur que je n'avais mal nulle part et le plaisir de contempler le soleil inonder ma chambre de ses rayons ardents en vu d'accompagner ma journée très ordinaire, Ah!Ah!Ah! Sachant que j' avais dilapidé mon argent au cours de ma vie pour jouir du moment présent, bien évidemment. En plaign-ant amèrement ceux qui l'entassaient sur leurs comptes bancaires en ignorant que la jeunesse ne reviendrait plus jamais même avec un million de dollars, ni vous sauver du cancer, bref, de votre mortalité, Ah!Ah!Ah! Certes, l'argent donnait de l'assurance aux hommes, je ne le nierai pas, mais l'assurance pourquoi faire exactement, mon cher lecteur? Et pensez-vous vraiment qu'il faudrait en avoir plus que les autres pour vaincre votre fragilité ou vos doutes, alors que la majorité des hommes voudraient avoir des rapports vrais avec leurs semblables, n'est-ce pas? Ce quii me faisait parler de ceci, c'était une rencontre que j'avais faite la semaine dernière avec un ami sur la place de la Croix-Rousse où pendant notre conversation, une pers-onne s'était invitée elle-même, alors que je ne la connaissais pas.

Apparemment, une connaissance de mon ami qui comptait s'imposer pour nous montrer qu'elle avait de l' argent en nous affichant sur son visage une arrogance qui nous avait mis mal à l'aise, il faut le dire. Et co-mme prévu, alors que nous parlions de choses agréables, celui-ci diriga aussitôt la discution sur la valeur des biens immobiliers à la Croix-Rousse en nous disant que son père possédait un immeuble! Ce dont on se moquait complètement, bien évidemment, moi et mon ami. Et puis voulant changer de sujet, car c'était un sujet inintéressant et très clivant, je lui disais que j'aimais bien faire les courses chez les commerçants, car eux au moins, ils nous faisaient un sourire quand on leur achetait quelque chose, Ah!Ah!Ah! Ce qu'il prit pour une attaque personnelle en lui faisant comprendre qu'il nous disait tout ce qu'il voulait sans nous verser le moindre kopeck, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'avait pas fait rire mon zigotto en croyant mener la conver-sation là où il le voulait. Comprenant qu'il s'était glissé parmi nous pour imposer son hideuse arrogance et non pour partager un bon moment, je quittais mon ami en lui disant que demain j'espérais reprendre notre conversation sans être dérangé, Ah!Ah!Ah! Voici un bel exemple où nos meilleurs moments étaient gâchés par l'arrogance des gens qui possédaient de l'argent, mais qui ne voulaient pas le gaspiller, Ah!Ah!Ah! En ne voulant pas incrimner l'argent, mais l'usage destructeur qu'on en faisait pour s'imposer aux autres d'une manière déloyale. Ce qui pouvait être aussi un mal français où parait-il durant le confinement et la fermet-ure des commerces non-essentiels, ils avaient engrangé des centaines de milliards d'euros sur  leurs comp-tes bancaires! Allions-nous devoir supporter leur arrogance insupportable à la fin de l'épidémie? Ah!Ah!Ah! Mais pour revenir à des choses plus agréables, je me sentais ce matin plutôt de bonne humeur et mal-gré la mentalité detestable de certains de nos compatriotes, Ah!Ah!Ah! En considérant le soleil et la santé, comme mes meilleurs amis qui me voulaient du bien. Comme vous le voyez, mon cher lecteur, il suffisait peu de chose pour être heureux, n'est-ce pas? De plus, j'avais la chance de bien dormir la nuit et de ne pas pas connaître la terrifiante insomnie qui parait-il touchait souvent les écrivains. Ni les angoisses pour être plutôt un écrivain du bonheur et de l'insouciance, Ah!Ah!Ah! Etais-je pour autant un écrivain raté du point de vue des médias pour être complètement déconnecté de mes intérêts personnels? Oui, très certainement. Mais qui a dit qu'ils étaient la référence en matière de culture et de littérature, sinon qu'eux-mêmes? Ce que j'admirais dans la littérature, par rapport au langage parlé, c'était de pouvoir raconter mon histoire du début jusqu'à la fin sans être interrompu par des cons, Ah!Ah!Ah! Décidément, il n'y avait pas photo, n'est-ce pas?

A l'évidence, l'écriture était la seule discipline où l'on pouvait apprendre la vérité sur soi-même, alors que la confrontation avec ses semblables une véritable cacophonie ou combat de coq, Ah!Ah!Ah! Mais sans vouloir généraliser mon cas, un jour, alors que je chantais une chanson devant un public, quelqu'un m'a interrompu brutalement! Pas pour me dire que je chantais mal, mais parce qu'il n'était pas d'accord avec les paroles de ma chanson! Sincérement, je pensais alors que j'étais la personne la plus malchanceuse de la terre, Ah!Ah!Ah En remarquant à maintes reprises, quand je m'exprimais d'une manière brillante devant des gens, qu'ils avaient la sale manie de m'interrompre pour des raisons qui m'échappaient complètement, sin-on pour le plaisir de me contredire, Ah!Ah!Ah! A l'évidence, j'avais une personnalité dérangeante que mes contemporains semblait détester. Tel était le triste constat de mes rapports avec les autres où l'indispensa-ble éloignement fut pour moi une raison de survie. D'où la création de mon site Internet qui me permettait de tenir à distance mes semblables, mais aussi de me donner l'entière liberté de pouvoir m'exprimer sans être interrompu à chaque instant par des cons, Ah!Ah!Ah! Paradoxalement, j'étais victime en tant que petit blanc d'un racisme inavoué et la fin d'un mythe concernant le racisme de couleur, n'est-ce pas? Et un fond de commerce formidable pour les pseudo-intellectuels qui pensaient ériger une idéologie sur la couleur de la peau que ce soient les racistes ou les antiracistes, n'est-ce pas? Mais un faux débat pour moi, car j'ai toujours pensé que les minorités devaient se fondre dans la majorité qui en Europe et en Amérique était majoritairement blanche, n'est-ce pas? Et si le racisme était une confrontation entre minorité et majorité, celui-ci disparaîtrait avec le temps à moins que certains groupes ennemis héréditaires, comme les racistes et les antiracistes souhaitaient entretenir le conflit dans un but politique. En le considérant comme un phé-nomène réactionnaire dans nos sociétés modernes pour être une grosse tarte à la crème intellectuelle, Ah!Ah!Ah! Car ce qui nous intéressait avant tout, ce n'était pas les vieux débats conflictuels, mais la nouvelle création afin de changer nos vies et d'atteindre l'éveil spirituel. Car lorsque nous seront déchargés de tous nos désirs matèrialistes donc de nos haines et de nos convoitises, nous ne seront plus interrompu par les hommes et les machines pour marcher vers le bonheur. Et que l'on soit blanc, noir ou jaune n'aura plus aucune importance, puisque nous vivrons dans un monde intérieur où la lumière divine effaçera toutes les couleurs grâce à son soleil éclatant! A l'évidence, le retour de Dieu ou de la spiritualité dans nos sociètés matérialistes nous semblait inéluctable pour sauver l'humanité ou du moins ce qu'il en restait, n'est-ce pas?

Car Dieu, et quelque soit le nom que vous lui donniez, intervenait toujours quand les hommes allaient au plus mal et tout particulièrement en ce moment où ils n'arrivaient plus à dialoguer ensembe parce que la réussite individuelle leur était montée à la tête, Ah!Ah!Ah! Parfois, je me demandais si Dieu ne leur avait pas envoyé cette épidémie de coronavirus pour leur remettre les pieds sur terre? Comme dans l'arche de Noé, lorsqu'il inonda la surface de la terre pour les punir de tous leurs péchès! Décidément, que de coïnci-dences, mon cher lecteur! Et si vous aviez aujourd'hui cette envie de fuir vos semblables, c'était à l'éviden-ce un signe de Dieu où la socièté actuelle des hommes vous rendait particulièrement malade, n'est-ce pas? Vous me disiez à mi-mots que vous n'aimiez plus vos prochains pour ce qu'ils étaient devenus! Mais mon ami n'ayez aucune honte de la dire, car en ce moment Dieu detestait les hommes! Et si vous pensiez qu'il était amour, vous faisiez une grave erreur, car il était prêt à détruire sa créature pour la recréer saine et vi-goureuse. A l'évidence, l'homme d'aujourd'hui était malade de lui-même que la science maintenait en vie artificiellement en voulant l'affranchir de Dieu. C'est à dire par un procédé mécanique et chimique sor-tit d'un labo scientifique. Si l'est vrai que la science à ce niveau permettait de faire des miracles, par contre les maladies de l'âme étaient en forte progression où l'usage des drogues était devenu le moyen magique d' atteindre les paradis artificiels pour oublier toutes ses frustrations, Ah!Ah!Ah! Alors qu'en s'entretenant quotidiennement avec son âme de la façon la plus sincère, on pouvait éviter son autodestruction! Car notre âme étant immortelle, on avait pas besoin de paradis artificiels pour exister puisqu'elle était réelle et conn-ectée en permanence à l'univers. Et quand je rentrais en moi-même, j'avais la vision d'une voie lactée où une petite étoile brillait de mille feux en jetant des éclats lumineux comme des éclats de rire, Ah!Ah!Ah! De toute évidence, j'avais été conçu dans un grand éclat de rire par une planète exubérante en fusion per-manente! Et souvent pour des raisons inexpliquées, je riais d'une manière démesurée, car la vie n'était pas très drôle, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Il semblait que le rire fut pour moi, comme un reflexe de survie défini-ssant parfaitement mon être intérieur. Avec une forte chance que je meurs un jour dans un grand éclat de rire afin de revenir à la cité de mon coeur appelée Farce-Ville, Ah!Ah!Ah! Et si la vie n'était qu'un farce, l'accepteriez-vous sans broncher, mon cher lecteur? Et le bing-bang, décrit par les astronomes pour expli-quer la création de l'univers, comme le grand éclat de rire de Dieu? Et l'erreur de la religion chrétienne de croire que Dieu était quelqu'un de pas bien rigolo, alors qu'il était tout le contraire en riant comme un fou sur sa propre création? En fait, je crois qu'elle confondait Dieu avec le Christ, ce qui n'était pas du tout la même chose, n'est-ce pas?

Décidément que de questions farfelues à son propos, mon cher lecteur, n'est-ce pas? Mais la vie conçue comme une farce fabuleuse pourrait bien être la vérité où la vie semblait nous mener tout droit vers une scène où l'on disparaîtra après un tour de magie magistral, Ah!Ah!Ah! Sans être absurde pour moi, car la vie avait un sens où j'ai pu rire et m'amuser comme un fou, Ah!Ah!Ah! Avez-vous parfois le sentiment de n'avoir pas assez rit durant votre vie, mon cher lecteur? Et le temps n'était-il pas venu de rattraper ce temps perdu pour plaire à Dieu même en pleine pandémie? Sous entendu que le rire était libérateur pour nous tous où se moquer de nos semblables revenait à se moquer de nous-mêmes et le début de la perfection, n' est-ce pas? Et s'il était facile de se moquer des débiles mentaux, mais rien n'interdisait ces derniers de se moquer des gens normaux ou extraordinaires, bien entendu. Car si nos élites pensaient detenir la vérité, el-les détenaient seulement une grande illusion entretenue par leur caste intellectuelle, Ah!Ah!Ah! A l'évide-nce, Dieu se moquait eperdument des hommes parce qu'il les avaient créé dans un grand éclat de rire et qu'ils finiraient tous en pleurant de n'avoir pas compris qu'ils faisaient partie d'une grande farce orchestrée par la vie. J'espère seulement à ma mort pouvoir jeter un grand éclat de riire à la face de toute ma famille, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas administrer aux malades avant de mourir, non pas de la morphine, mais un co-ktail euphorisant afin qu'ils partent dans un grand éclat de rire où mourir de rire serait la mort rêvée par nous tous, n'est-ce pas? Ainsi la boucle serait bouclée, comme dirait le seigneur qui nous avait créé ou si vous voulez Amen pour les chrétiens et Inch Allah pour les musulmans, Ah!Ah!Ah! Et poussière d'étoiles, tu finiras! tel était le message que nous avait laissé nos ancêtres extraterrestre. Cet après-midi en me prom-enant sur boulevard de la Croix-Rousse par une belle journée ensoleillée, j'ai eu une étrange vision où je me suis vu sortir de mon corps et disparaître dans le décors! Mais sans éprouver la moindre peur en voyant ma vie filer sous mes yeux. Car celle-ci m'était plutôt agréable en ne ressentant aucun regret de partir de la terre en m'évanouissant dans l'immensité de l'espace-temps. Où je retrouvais les éléments qui m'avaient formé en me dispersant en une infinité de particules pour rejoindre la voie lactée qui m'avait donné naiss-ance. Etrangement, je sentais mon âme vibrer au son d'une merveilleuse symphonie jouée par l'univers qui me rappelait la mélodie du bonheur destinée au poète pour regagner le fleuve d'airain où il avait été forgé par les dieux immortels! Ainsi, je fusionnais dans une formidable apothéose poétique, Ah!Ah!Ah! De toute évidence, je traversais en ce moment une crise mystique, mais qui ne me génait pas du tout, car je savais qu'elle serait résolue en moi par une paix intérieure et non par la folie.

Contrairement à certaines connaissances qui, suite à une crise mystique, étaient devenues complètement folles voires des illuminés, Ah!Ah!Ah! Ce qui n'était pas mon cas après avoir suivi toutes les étapes indisp-ensables pour parvenir à l'éveil spirituel sans l'utilisation de stupéfiants, Ah!Ah!Ah! En étant convaincu pour parvenir à un stade supérieur du bonheur qu'il ne fallait jamais tricher avec soi-même ni avec les au-tres, ce qui revenait au même, n'est-ce pas? Et malheureusement quand je regardais la socièté française à travers les médias, je voyais une bande de tricheurs prête à tout pour réussir socialement, Ah!Ah!Ah! C'est à dire en éliminant en masse leurs concurrents d'une manière déloyale en détenant le pouvoir des instituti-ons et de la communication, bref, par l'Ecole et la télévision, Ah!Ah!Ah! En prédisant de grands malheurs pour la socièté occidentale déjà commencés avec la pandémie de coronavirus, n'est-ce pas? Sans pour aut-ant devenir l'oiseau de mauvaise augure pour mes compatriotes, ni me réjouir sur leurs futurs malheurs. Car je n'avais aucune haine en moi, mais seulement l'ambition leur dire la vérité sur les conséquences dés-astreuses quand on trichait avec ses concitoyens. Il parait que la France pour les boudistes était le centre du monde, alors qu'elle était en vérité le pays des tricheurs, Ah!Ah!Ah! Et si Emmanuel Macron avait déci-dé de supprimer l'ENA, ce n'était pas anodin, mais le temps de réformer nos institutions bureaucratiques et médiatiques devenues calamiteuses, n'est-ce pas? C'est la raison pour laquelle, j'avais souvent le sentiment de vivre en France dans un no man's land où je me demandais où j'étais et qui j'étais? Sans vous cacher que j' étais pas loin de la folie en croisant tous les jours dans les rues des robots sans coeur et sans âme, Ah!Ah!Ah! Par ces faits incontestables, j'étais forcé de me retirer de la sociète mécanique des hommes pour aller cotoyer le monde de la divinité où l'on ne trichait jamais avec soi-même. C'est à dire un retour vers nos origines en étant une étape indispensable pour ne pas devenir fou et surtout faire de notre crise mys-tique une catapulte cosmique pour rejoindre les dieux extraterrestres qui nous avaient enfanté. En tant que poète, ce chemin avait été tracé par nos ancêtres et je n'avais qu'à le suivre sans précipitation pour arriver à bonne destination! Ah qu'il était bon enfin qu'on s'occupât de moi, alors que sur la Terre, mes frères hum-ains m'avaient complètement délaissé en ne pensant qu'à leurs petits interêts mercantiles! m'écriai-je le coeur joyeux en sachant qu'on m'attendrait les bras ouverts à la fin de mon voyage terrestre. Sans dire pour autant que la Terre fut pour moi un enfer, car je ne me sentis jamais maudit par les hommes, mais seulem-ent délaissé comme un ours en cage en entendant rarement un mot tendre de leur part, Ah!Ah!Ah! A l'évid-ence, l'homme avait une pierre à la place du coeur que seul le malheur put ramollir.

Un signe du destin pour les hommes et pour les siècles à venir, mon cher lecteur? Aujourd'hui, il a plu to-ute la journée et je ne me suis pas du tout ennuyé chez moi à regarder la pluie tomber derrière ma fenêtre. Car j'ai toujours aimé écouter la pluie tomber doucement sur la ville, comme une mélodie embrassant ten-drement la Terre par ses baisers de pluie. Avec une fascination pour l'eau après avoir vécu une grande par-tie de mon enfance et adolescence sur les bords de Saône avec ses interminables parapets où souvent je me tenais pour admirer la puissance de ses eaux vertes. Au point d'entendre, grâce à mon ouie très fine, l'éco-ulement puissant de ses flots entre ses rives tel un monstre en mouvement. Et petit, quand je traversais avec ma mère la passerelle Mazaryk pour aller au grand bazar de Vaise, j'étais souvent terrifié de voir sous mes yeux, ce monstre glauque prêt à m'engloutir dans ses eaux! Alors tout au long du parcours, je tenais fermement la main de ma mère pour ne pas passer à travers les quelques cables d'acier qui me séparaient du vide et de la mort. Car enfant, étant de petite taille, nous regardions le monde d'en bas où tout était gi-gantesque avec une forte probabilité de s'y perdre, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Visiblement, dans mon enfance, j'avais vécu dans la peur d'être séparé de ma maman qui fut le seul ilot sur lequel je me sentis en sécurité. Par le fait que le monde m'était totalement inconnu en comportant des risques que je ne pouvais ni mesurer, ni m'imaginer. Pour changer de sujet, contrairement à ce que mon lecteur pourrait penser, je ne sais jamais d'avance ce que je vais écrire pour continuer mon récit qui est celui de ma vie, je vous avou-erai. Car n'ayant aucune existence réelle parmi mes semblables, il me faut bien m'inventer une vie digne d' être vécue même de façon littéraire, Ah!Ah!Ah! Ce qui est le moindre mal, n'est-ce pas? Et pour y parvenir, je rêve d'écrire comme je respire afin que mes écrits restent vivant même après des milliers d'années. Car quand on ne triche pas comme moi, au contraire de mes contemporains sur les plateaux télé pour vendre leurs camelotes intellectuelles et leur rap de merde, j'ai le sentiment que la sincèrité a de beaux jours deva-nt elle. Puisque après des décénnies de mensonges et de tricheries de tout ordre, la vérité deviendra le nou-vel ordre du monde, tel est mon sentiment en écrivant ces mots sans arrière pensée car sans but lucratif, Ah!Ah!Ah! Aujourd'hui, où nous percevions dans la sociète un engouement féroce pour la réussite facile, les médias promotionnaient la culture ado sur leurs chaines télé. Mais qui pour moi était une mauvaise piste pour orienter la culture dans une nouvelle voie. Car les ados ne connaissaient rien de la vie, sinon le délire permanent dans lequel ils étaient plongés pour rigoler toute la journée avec leurs potes, Ah!Ah!Ah! Auquel, je ne m'opposais pas en sachant que l'adolescence était la période la plus conne de la vie, Ah!Ah!Ah! Mais de là à prendre leur parole comme quelque chose de formidable et d'enrichissant, je n'y croyais pas un seul instant. Car le jeunisme n'était pas ma tasse de thé afin d'éviter de revenir à l'an zero de la cult-ure et de l'intelligence, Ah!Ah!Ah!

Car pour créer de la culture, il fallait nécessairement avoir du temps, n'est-ce pas? Et de prendre pour arg-ent comptant ce que la culture ado pourrait nous apporter réellement me sembla comme une grande illusi-on véhiculée par les médias et les réseaux sociaux. Car comme nous disaient les grands communicateurs de l'ére numérique, il fallait bien mettre quelque chose dans les tuyaux même si cela fut de la merde, Ah!Ah!Ah! C'est la raison pour laquelle, je n'écrivais jamais pour les adolescents, non à cause de préjugés, mais de leur état délirant permanent qu'on appelait la débilité, Ah!Ah!Ah! Sincèrement, je vous avouerai que je n'ai jamais créé mes oeuvres symphoniques, littéraires, poètiques dans un état délirant en vu de faire le buzz comme nos ados, Ah!Ah!Ah! Et si vous pensiez que le nombre de vues su YouTube était synonyme de qualité artistique, vous faisiez une grave erreur. Tenez à ce propos, j'ai appris sur Internet que Gims et Booba étaient en conflit où ce dernier accusait Gims de gonfler artificiellement le chiffre de ses ventes ainsi que le nombre de ses vues sur YouTube. Ce qui me semblait très révélateur sur la malhonnêteté de notre époque sachant que la musique était accéssible gratuitement sur Internet en ne voyant pas pourquoi les adolescents, qui n'avaient le sou, iraient acheter les disques de Gims! Voyez comment sur Internet, on pouvait aussi apprendre la vérité d'une manière inattendue, mon cher lecteur. Une fois de plus, je constat-tais que la France était devenue le pays des tricheurs en éliminant d'une manière déloyale leurs concurrents pour réussir, Ah!Ah!Ah! Mais alors quel désastre sachant que la musique de Gims c'était de la merde, Ah!Ah!Ah! Mais toutefois de la merde convenant parfaitement aux adolescents qui n'avaient aucun goût pour les arts et la musique en vivant dans un grand délire où ils se croyaient les maîtres du monde, Ah!Ah!Ah! Bref, comme sur le Titanic avant de sombrer, Ah!Ah!Ah! Avec le grand espoir que ce délire cesse au plus vite pour sauver la France et sa culture mise en bouillie par les médias et les réseaux sociaux. A cause de cela, je me sentais extrêmement seul dans mon propre pays qui semblait basculer dans un vide abyssal. J' espérais seulement que les mots de la langue française me permettraient de garder mon embarcation loin de ce maelström engloutissant tout sur son passage! Tonnere de dieu, mais étais-je le seul en France à dire la vérité en voyant mon pays sombrer sous mes yeux éffarés? On racontait dans la bible que l'antéchrist ressemblait à un jeune adolescent chevauchant un cheval blanc avec l'ambition d'anéantir tout ce que la Terre avait porté de sacré, comme la culture et la religion. Avec le sentiment que nous y étions presque ar-rivé, mon cher lecteur, avec la culture des ados célébrées par les médias et les réseaux sociaux, n'est-ce pas? Et j'étais convaincu que notre seule façon de sauver le monde était de ne pas prendre au sérieux la pa-role des adolescents au risque de réaliser leur rêve d'anéantissement de Dieu et de la culture dans un grand délire, Ah!Ah!Ah!

Comprenez-bien que je n'inventais rien, mais suivais seulement mes intuitions en sachant bien de quoi je parlais pour avoir été moi aussi un adolescent débile dans une vie passée, Ah!Ah!Ah! Car pour savoir si vous aviez affaire à un objet culturel ou non, il fallait se demander si vous vous sentiez plus intelligent ou plus bête après l'avoir écouté ou regardé. Et bizarrement, quand j'acoutais Gims ou Booba, car ça m'est arrivé, je me sentais beaucoup plus bête, Ah!Ah!Ah! De même qu'avec Djamel Debbouze et Kev Adams, je sentais mon intelligence foutre le camp, Ah!Ah!Ah! Décidément, il n'y avait pas photo, n'est-ce pas? Et je pense qu'il était inutile de sortir de polytechnique pour savoir ce qui vous rendait intelligent ou idiot, Ah!Ah!Ah! Mais seulement de sentir si cet objet culturel qu'on vous présentait vous bonnifiait ou détruisait vos neurones, Ah!Ah!Ah! Attention, mes chers lecteur, je ne disais pas que la culture pouvait vous rendre plus intelligent que vous l'étiez, mais qu'elle vous évitait de devenir plus bête, Ah!Ah!Ah! Car tout se pass-ait au niveau de nos sensations où l'objet culturel semblait coïncider avec la vérité que nous recherchions depuis toujours. Ce qui n'était pas du tout le cas avec Gims, Booba, Debouzze, Adams, Hanouna dans TP MP etc où nous avions affaire ici à des objets exclusivement économiques. C'est à dire sans transcendan-ce ou si vous voulez à des phènomènes éphémères comparables à l'achat d'une baguette de pain ou d'un soda ne méritant aucune étude approfondie, bien évidemment. Ah!Ah!Ah! Comme vous l'auriez compris, mon cher lecteur, les grands responsables de cet éffondrement culturel et du recul de notre intelligence étaient les médias en priviliègiant les produits économiques aux produits culturels! Je sais bien qu'il n'est agréable à personne d'entendre la vérité le concernant, mais il faut la dire afin d'avertir nos concitoyens qu' ils étaient roulés dans la farine par les médias, Ah!Ah!Ah! Désolé, mes amis, mais je suis obligé d'en rire car cela est triste à mourir, Ah!Ah!Ah! Je ne disais pas cela pour le plaisir de dire des mécchancetés gra-tuites sur notre sociète ou pour remplir mon récit, mais pour saisir l'imposture dans laquelle nous vivions actuellement. Car vous saviez aussi bien que moi qu'on fabriquait la culture à partir d'un récit écrit hon-nêtement par nos semblables, n'est-ce pas? Et en tant qu'écrivain et musicien, je savais exactement de quoi était constitué un récit, c'est à dire par un début, un milieu et une fin où tout s'enchaînait clairement pour nous monter l'authenticité du récit ainsi que l'honnêteté intellectuelle de son auteur. En vous certifiant qu'il n'était en aucune façon, une compilation d'histoires plagiées à gauche et à droite ou la somme d'infos mises bout à bout pour faire croire à un vrai récit, comme les médias le concevaient pour ses interêts économiques et idéologiques. Et qund je les écoutais, j'étais souvent mal à l'aise, comme si on me lisait le récit farfelue d'un bonimenteur qui voulait absolument me vendre sa camelote, Ah!Ah!Ah!

Visiblement, notre roman national était mis à rude épreuve par cette caste de journalistes en nous sentant de plus en plus étranger au destin de notre pays au point de le haîr, n'est-ce pas? Nous prouvant ainsi que leur récit était une imposture culturelle qui nous éloignait de jour en jour de la France où nous étions de plus en plus malheureux. C'est dire un signe qui ne devait tromper personne où la France était désormais située au 31 ème rang des pays les plus heureux dans le monde, bref, en queue de peloton, n'est-ce pas? Et paradoxalement dans un pays où l'on était le plus généreux en aides sociales nous prouvant que le mal n' était plus lié aux injustices sociales, comme au temps des misérables, mais à la triche généralisée de nos élites dont la caste des journalistes faisait partie en prenant leurs concitoyens pour des cons, Ah!Ah!Ah! Apparemment, une perte d'amour propre difficile à supporter par nos compatriotes avec le sentiment d'av-oir perdu leur fierté d'être Français et qu'on les mesestimât pour des raisons sordides de pouvoir! Personn-ellement, je ne ne savais plus c'était quoi d'être Français aujourd'hui en 2021 où notre roman national était réecrit quotidennement par des escrocs qu'on appelait les écrivains-journalistes, sociologues-journalistes, philosophes-journalistes, medecins-journalistes etc. Bref par une bande de mercenaires qui comptait pre-ndre le pouvoir en France par un procédé technique qui s'appelait la télévision, Ah!Ah!Ah! Ce qui pour moi était immoral, car c'était les Français qui en patissaient en étant roulés dans la farine, Ah!Ah!Ah! Déc-idément, le petit blanc que nous étions était mis à mal, non pas seulement par les gauchistes, mais aussi par les médias afin que nous perdions notre identité dans notre pays constitué en majorité par des blancs. Ce qu'il ne fallait pas oublier à moins de croire à une autre histoire qui n'était pas la nôtre, mais inventée tota-lement par les médias peu scupuleux sur son authenticité. Si Marcel Aymé pouvait revenir, il dirait que nous avions affaire ici à de le monnaie de singe, Ah!Ah!Ah! En espérant que notre prochaine fiche de paye ne soit pas réglée en kilo de bananes, Ah!Ah!Ah! De toute évidence, ce qui tuait la culture et la littérature était les écrivains-journalistes en vous rappelant, mon cher lecteur, qu'une grande partie avait participé à la collaboration avec les Allemands pendant l'occupation! Et vérifiable sur Internet, s'il aimait la vérité hist-orique. Et aujourd'hui, par leur omniprésence sur les plateaux télé où ils faisaient leur autopromotion afin qu'on leur achète leurs livres merdiques, comme ceux d'Eric Zemmour, Ah!Ah!Ah! En les considérant co-mme des travailleurs de surface qui raclaient l'actualité en vue de créer un récit factice de la réalité. Alors que le vrai écrivain était un travailleur de fond, qui ne raclaient jamais dans les journaux télévisés ni dans les images, mais créait tout par son imagination. Car la création était son obsession pour créer une oeuvre sincère et authentique. Ce qui n'était pas le cas des écrivains-journalistes qui n'étaient pas des créateurs, mais des opportunistes accumulant des informations en vu de tromper leurs concitoyens. En fait, sans le savoir, ils écrivaient le grand bêtisier du monde, Ah!Ah!Ah!

Bref, deux mondes situés aux antipodes, n'est-ce pas? Ce qui rendait leurs livres vite obsolètes, alors que ceux des vrais écrivains se bonnifiaient avec le temps, car non basés sur les faits d'actualités ou faits dive-rs, mais sur un travail en profondeur afin de trouver la vérité des hommes. Et si nous nous sentions aujou-urd'hui particulièrement perdus en France et dans notre socièté occidentale, c'est parce ces derniers avaient remplacé les vrais évrivains par abus de pouvoir dans les médias. A ce propos, j'ai appris grâce aux chiffres officiels de l'édition que seulement 5% des écrivains étaient publiés, alors que 90% chez les écrivains-journalistes! C'est dire l'escroquerie intellectuelle à laquelle on avait affaire et qui n'allait pas améliorer notre état mental ni notre situation économique, mais nous plonger dans un grand marasme voir dans un état psychiatrique inquiètant, comme nous le percevions aujourd'hui en France, n'est-ce pas? Et tout cela parce que nos élites trichaient avec nous d'une manière déloyale. Complotiste, moi, vous croyez, mon cher lecteur? Mais qui a dit que le complotisme n'existait pas et qu'il n'était qu'une théorie farfelue inventée par les soi-disant ratés voulant justifier leurs échecs? Mais personnellement, pensiez-vous qu'on pouvait dev-enir complotiste pour ces raisons, comme le suggérait nos élites qui avaient parait-il admirablement réussi grâce à leurs mérites? Ah!Ah!Ah! Mais n'étaient-ils pas aussi dans la théorie du complot avec les pauvres? C'est ce que j'ai pu entendre dernièrement dans les médias où il essayaient de démêler le vrai du faux en étudiant les fake-news. Ce qui m'a bien fait rire, car je n'ai jamais pensé un seul instant que les journalistes pouvaient détenir la vérité et nous le prouver par A+B, Ah!Ah!Ah! Ah mon dieu quelle imposture dans les médias, mon cher lecteur, où nous vivions désormais dans la république des  cons! Où ils distillaient à lo-ngueur de journée leur poison dans l'opinion publique pour l'envoûter et la manipuler grotesquement. Au point d'en être rendu à ramper parmi nos semblables, comme des larves, pour essayer d'exister, Ah!Ah!Ah! En refusant de nous croire quand nous leur parlions, parce qu'ils étaient habitués à écouter des menteurs dans les médias, Ah!Ah!Ah! Décidément, quel destin funeste pour la France et les Français, n'est-ce pas? Etait-ce pour ces raisons que nous nous sentions de plus en plus étranger au destin de la France, alors qu'il était le pays le plus beau du monde? Mais pourquoi tant de tricheurs autour de nous se faisant passer pour des gens qui avaient admirablement rèussi par leurs mérites, alors qu'ils n'étaient que des tricheurs? Ah!Ah!Ah! A force de mensonges, la France ne serait-elle pas devenue la république des tricheurs? Bref, lib-erté, égalité, tricherie, serait-elle la nouvelle devise de la France avant de sombrer dans le chaos? Croyez-bien, mon cher lecteur, que je n'inventais rien, mais vous disais seulement la vérité.

Et ce n'était pas Patrick, le célèbre inconnu qui s'exprimait en ce moment, mais la France qui par sa langue inflexible ne comptait pas mâcher ses mots pour dire la vérité à ses compatriotes! Car j'ai toujours pensé que la France ne se trouvait pas seulement dans la richesse de ses paysages, maus aussi dans sa langue où des territoires inconnus nous attendaient afin de servir Dieu et la vérité. Où nous pourrons, j'en suis sûr, ouvrir de nouvelles friches pour planter les nouveaux semis de la langue française afin de terrasser le men-songe qui s'était developpé dans notre pays, comme de la mauvaise herbe dans les esprits. J'avais l'impre-ssion en ce moment que la France fut sous hypnose en regardant les émissions télé avec des yeux halluci-nés.En esperant assister en direct à un miracle, non pas de la foi, mais de la prestigiditation, Ah!Ah!Ah! Car tout compte fait, la technique permettait aux escrocs de manipuler les images comme les micro-trottoirs en retenant seulement les propos qui les arrangeaient bien, n'est-ce pas? Décidément, David Copperfield n'était pas bien loin en opérant en magicien dans les régies des plateaux télé, Ah!Ah!Ah! Ainsi s'insinuait en France, le grand mensonge médiatique qui allait considérablement changer nos vies en ne sachant plus exactement qui nous étions et où nous étions? Tout compte fait, le voyage sur mars tombait à pic pour no-us envoyer au septième ciel, Ah!Ah!Ah! Si apparemment, nous avions soif aujourd'hui de magie, c'est par-ce que la réalité nous decevait profondément, n'est-ce pas? Pourtant la réalité, quel formidable champ d' expérimentation pour nous qui voulions garder les pieds sur Terre pour ne pas tomber dans le vide sidéral, n'est-ce pas? Etait-il possible que la réalité nous ait été volée pour des raison sordides de pouvoir en l'oc curence par nos élites politiques, économiques, intellectuelles et médiatiques? Et devenir le dindon de la farce pour assouvir leur désir d'organiser un immense barbecue en voulant nous faire rôtir à la broche? Ah!Ah!Ah! Et serions-nous devenus en quelques siècles de la viande de boucherie, mon cher lecteur? Pou-rtant le capitalisme avait réduit notablement la misère dans le monde en augmentant la masse monetaire, mais sans pour autant réduit notre mal être en constatant que l'argent ne faisait pas le bonheur et provo-quait le cancer en nous nous occupant plus de nous-même, mais de notre argent, Ah!Ah!Ah! Bref, un oubli mortel, n'est-ce pas? Car l'argent n'était qu'un moyen et non une fin en soi, n'est-ce pas? Au bout du com-pte, le capitalisme nous avait dévoilé nos limites existentielles et ce à quoi nous aspirions en réalité. C'est à dire à une vie tranquille pour goûter au bonheur! Bien sûr vous allez me dire qu'il fallait de la passion dans la vie pour ne pas s'ennuyer. Certes, oui, mais qui vous dit qu'une vie tranquille vous empêchait de mettre de la passion dans les choses et avec les autres? Visiblement encore beaucoup de préjugés chez nos semblables qui semblaient atteint de Bovarysme en croyant que l'ennui allait les achever faute d'imagina-tion de leur part, bien entendu.

Justement, à ce propos, je comptais réecrire Madame Bovary en 2021 en l'imaginant toxicomane ou la dro-gue comblerait tous ses désirs, Ah!Ah!Ah! Visiblement, Madame Bovary était devenue un roman démodé par ses moeurs qui n'avaient plus de résonances avec les nôtres où l'infidélité ne fut plus un tabou pouvant choquer le monde et la socièté, sinon les gens concernés, Ah!Ah!Ah! Mais un roman qui n'aurait plus rien de romantique en se passant exclusivement dans la tête de notre héroïne, n'est-ce pas? Où une cinquantaine de pages devrait suffire pour raconter notre roman moderne où tout serait dissout dans l'anéantissement total du monde, Ah!Ah!Ah! Mais pourquoi avions-nous le sentiment que tout s'éffondrait autour de nous, non pas seulement à cause de la pandémie de Covid-19, mais en général? Avions-nous commis une faute irrévocable durant notre parcourt de petit occidental ou bien vieilli prématurément après avoir mangé de la nourriture contaminée par la bêtise humaine? Telles étaient les étranges questions que je me posais en ce dimanche 25 Avril 2021 où un vide abyssal semblait s' ouvrir devant moi telle une bouche béante et bien que je sois plutôt un garçon optimiste aimant bien rigoler et manger. De plus peu enclin aux insomnies et aux cauchemars plongeant vos nuits dans des sueurs froides, Ah!Ah!Ah! Sans pour autant connaître l'origi-ne de ce mal lançinant qui ne m'atteignait pas pour l'instant, mais me rongeait à petit feu comme pour m' annonçer des choses irrémédiables. Etions-nous atteint du cancer de l'âme, je me demandais en tant que petit occidental qui semblait avoir franchi les étapes plus vite que Dieu ou la nature le permît? Ou avions-nous pris le mauvais tournant au cours de notre Histoire pour nous retrouver dans une impasse existentielle qu'on appelle une voie sans issue? Décidément que de question, mon cher lecteur, qui en ce moment devait plutôt penser au déconfinement prochain, qu'au déclin de notre civilisation occidentale, n'est-ce pas? Mais qu'il se rassure, je n'étais pas là pour lui gâcher sa joie de retrouver un semblant de liberté, Ah!Ah!Ah! Car tout compte fait, l'après pandémie ou l'after day, personne n'en savait rien, sinon les prophètes qui n'étaient pas forcément ceux qui annonçaient les mauvaise nouvelles, comme les écolos adeptes du catastrophisme, Ah!Ah!Ah! Mais pour en parler avec honnêteté et ne tromper personne sur son avenir. Et qu'un prophète n'était pas forcément un Cassandre, annonçant des catastrophes, mais un homme dont le récit était justifié pour annoncer la vérité à ses semblables. En fait, je crois que les gens confondaient malheureusement les confessions d'une homme avec les confessions de ses péchés, Ah!Ah!Ah!

Alors qu'on pouvait aussi confesser aux autres ses bonnes pensées ou bonnes actions, n'est-ce pas? Mais qui parmi nous pourrait lire les confessions d'un honnête homme sans éclater de rire ou bien sans être dégo-ûté par son propre palmarès de mauvaise actiions ou pensées? Ah!Ah!Ah! A ce propos, j'aurais bien aimé écrire un roman sur un homme ou une femme irréprochable afin de dégoûer mes contemporains, Ah!Ah!Ah! Sans aucun doute, un livre à scandale promis à un succès planètaites à l'approche de l'anéantissement global de notre monde, n'est-ce pas? Mais pourquoi nous sentions-nous si seuls dans cette ère numérique dont l'ambition était de rompre notre solitude existentielle grâce à ses formidables moyens de communica-tion? Avions-nous loupé un épisode important dans notre parcourt de vie pour faire aujourd'hui ce désolant constat? Décidément, j'avais l'impression de faire moi-même les questions et les réponses faute de pouvoir dialoguer avec mes contemporains hors d'atteinte ou atteints de surdité, Ah!Ah!Ah! En me rerouvant bien seul dans ce monde où la vraie communication avait été rompue par la communication numérique, comme étant une grande illusion d'un progrès moral des hommes. Où tout compte fait, la révolution numérique n' avait pas eu lieu en produisant une surinflation de moi individuels au détriment d'un moi fusionnel qui au-rait pu réaliser une véritable révolution culturelle, comme nous l'attendions tous. Décidément, l'enfer était souvent pavé de bonnes intentions, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Bref, pendant ce temps là, les débiles mentaux pullulaient sur les réseaux sociaux et je me demandais à quoi pouvait bien servir mon hyper intel-ligence dans cette situation, Ah!Ah!Ah! A la folie, à l'autodestruction, au terrorisme, au fascisme, à la débil-ité mentale, à un état végétatif, à l'alcoolisme, à la toxicomanie, à une vie monastique, au gauchisme, au ra-cisme, à l'antiracisme, à l'écologie, à aimer le rap? Décidément, une fuite en avant qui sentait les catastrop-hes à venir, Ah!Ah!Ah! Et curieusement, ce que pourrait penser, mon lecteur, je n'étais pas du tout déprimé pour avoir dépassé le cap de l'esperance, Ah!Ah!Ah! Bref, un isthme où mon destin me demandait de choisir entre la peste et choléra comme fin tragique, Ah!Ah!Ah! Mais le sort de tout le monde, n'est-ce pas? Aujou-rd'hui, je me suis levé tellement indifférent à mon propre sort que j'aurais pu mourir sans crier à l'injustice ou jeter des éclairs conter Zeus ou Dieu, Ah!Ah!Ah! Parce que j'étais joyeusement déprimé en faisant de moi un cas unique dans l'Histoire de la medecine, n'est-ce pas? Bon, puisqu'on était abandonné un peu près par tout le monde aujourd'hui, ne devrait-on pas se considérer comme quelqu'un d'exceptionnel parmi ses semblables qui vous montraient une totale indifférence? Ah!Ah!Ah! Et si ce phénomène sociètal était dû au délitement de la sociète française, pourriez-vous croire un seul instant qu'il soit réversible ou solutionné, mon cher lecteur? Car apparemment dans les médias, on semblait bien optimiste où tous les partis politiqu-es, sociologues, politologues, philosophes etc avaient leurs petites solutions pour redonner à la France sa grandeur d'antan. Bref, par un retour au passé qui n'avait pour moi aucun sens puisque le mal était fait et pour longtemps, Ah!Ah!Ah!

Décidément que d'imposteurs dans les médias, qui ne diront jamas la vérité aux Français, en étant convain-cu que ce délitement de la sociète française soit malheureusement irréversible! Sous entendu que ce délite-ment n'était pas un phénomène récent, bien que révélé par la tribune d'une vingtaine de généraux à la retra-ite, mais datait d'une quarantaine d'années depuis le règne laxiste des socialistes, Ah!Ah!Ah! En ignorant pas qu'Emmanuel Macron était issu de leurs rangs et qu'il n'y avait pas vraiment de surprise, n'est-ce pas? Aujo-urd'hui, je suis allé au resto du coeur où l'on m'a donné une ration pour ne pas mourir de faim d'ici 3 jours, Ah!Ah!Ah! Décidément, quelle époque formidable, n'est-ce pas? Mais il faut vous dire que je n'étais pas qu-elqu'un qui crachait dans la soupe. Car si la France ne nous offrait plus aucun avenir, la bouffe gratis c'était toujours ça, Ah!Ah!Ah! En ce moment, j'avais vraiment le sentiment de déprimer en regardant ma situation où je n'avais aucun ami, amie, femme, enfant, plus mes parents qui étaient décédés depuis longtemps, bref, la désolation complète! Et je me demandais souvent comment je faisais pour supporter une telle existence sans aucun soutien pour ressembler à un désert aride? Pour moi, c'était un grand mystère, comme si la nat-ure humaine possédait des ressources inépuisables pour nous garder debout telle une machine sans le sou-tien d'un coeur aimant! Bref, à force de solitudes, volontaires ou involontaires, j'étais devenu une sorte d'h-umanoïde marchant seul sans amour parmi mes semblables qui me reprochaient d'être un robot sans coeur, Ah!Ah!Ah! Certes, c'était sûrement vrai, puisque la vie m'avait arraché le coeur, comme on arrache le joyau d'une couronne! Et tous les jours, je me demandais comment il fallait faire pour remettre du coeur dans une machine qui n'en avait plus? Ce qui était pour moi plutôt un travail harrassant, car mes semblables ne me montraient aucun éffort de leurs côtés, Ah!Ah!Ah! Telle était la question philosophique que devait se poser toutes les machines pour exister ou du moins pour faire partie d'une colonie de robots qu' était devenue les hommes, Ah!Ah!Ah! D'une certaine façon, j'étais de mon temps où mon cas semblait plus commun qu'on pourrait le penser dans nos cités surpeuplées où le célibat se développait, non pas comme une maladie, mais comme une religion des temps modernes. Où les nouvelles générations ne croyaient plus à l'humanité telle qu'on la concevait depuis fort longtemps. Et qu'elles étaient en train de la réinventer pour rompre avec cette Histoire qui sentait la poussière et la rouille idéologique. Car lorsqu'on ouvrait la télévision, on retrouvait les mêmes vieux singes débiter leurs vieux concepts qui n'avaient plus aucune réalité, Ah!Ah!Ah! Dit d'une autre façon, le poids du passé serait-il devenu si lourd qu'il nous empêchait de nous lever et d'avancer dans la bonne direction? Et si l'on ne faisait rien, ne risquait-on pas d'être englouti pour toujours, comme l'Atla-ntide ou comme un homme jeté à la mer sur des fonds abyssaux sans la perspective d'une ile?

Tel était semble-t-il le nouveau péril de l'humanité où elle avait du mal désormais à sortir la tête hors de l' eau faute d'avoir conçu de nouveaux navires ou arches de Noé! J'avais le sentiment d'être bloqué entre la débilité des adolescents sur les réseaux sociaux et le savoir périmé des élites dans les médias, Ah!Ah!Ah! Pour resumer notre situation auprès de mon lecteur, je lui dirai que nous étions en stand by en attendant de pou-voir reprendre un second souffle pour respirer à nouveau. Et si le niveau des océans montait, ce n'était pas dû au réchauffement climatique, mais à cause du poids du passé qui enfonçait nos continents sous les eaux où l'on était pas loin de la noyade dans nos sociètés occidentales. Mais combien de temps pourrions-nous marcher sans amour dans ce désert sans nom? Telle était la grande question qu'il fallait nous poser de-vant l'avancée inéluctable de ce désert émotionnel aux pieds de nos maisons. Bref, le sable ou l'eau comme malédiction à notre matérialisme forcené et démesurée? Sous entendu que le désert et l'océan comptaient recouvrir nos continents, n'est-ce pas? Sans oublier la dérive des continents qui un jour provoquerait de grands cataclismes vu les élements que je venais de vous donner, mon cher lecteur. Et fort possible dans ces temps très lointains qu'on puisse aller en Amérique, non plus en traversant l'Atlantique, mais en marchant 15 jours par voie terrestre ou en prenant sa voiture, Ah!Ah!Ah! Oui, je sais des propos farfelues, mais pou-rquoi ne pas les envisager sous l'angle des prophéties qui parfois me submergeaient tel un ras-de-maré? J' avais sans aucun doute du génie, mais totalement ignoré par mes compatriotes qui étaient focalisés sur les pseudo-génies produits par les médias qui, je vous l'assure, ne résoudront jamais nos problèmes civilisatio-nnels, mais en feront un commerce lucratif. Car penser qu'on puisse résoudre tous nos problèmes de société ou de civilisation sur les plateaux télé était une grande illusion, Ah!Ah!Ah! En produisant de l'illusion chez les téléspectateurs auxquels il suffisait de dire : Oui, je connais la solution( mais sans jamais la donner pui-squ'on ne la connaissait pas) pour être aussitôt sanctifié par le public, Ah!Ah!Ah! En fait, c'est comme si vous demandiez combien de temps ça prendrait pour aller d'un point A à un point B en vous répondant : le temps que ça prendrait, Ah!Ah!Ah! En fait, tous les jours à la télé, on faisait des vérités de Lapalissse pour faire croire au public qu'on était savant, alors qu'on était ignorant, Ah!Ah!Ah! Mais il faut dire que le char-latanisme était monnaie courante dans les médias, comme il l'était autrefois dans nos campagnes où des bonimenteurs venaient vendre de la poudre de perlimpinpin aux habitants très incultes qui croyaient aux miracles, Ah!Ah!Ah!

Et si vous vouliez garder votre raison, mon cher lecteur, il ne fallait surtout pas croire les médias qui em-poisonnaient les esprits de nos compatriotes! Et s'ils avaient mauvaise presse auprès des Français, ce n'était pas un hasard, mais parce que tous pensaient qu'on leur mentait à plate couture et qu'on les éloignait de la réalité! Comme par exemple, ce matin sur France Culture dans l'émission Talmudique, je n'ai rien compris aux propos qu'on tenait sur le philosophe Heidegerre( phénoménologiste ou observateur du réel) qui étai-ent d'une telle complexité que j'en ai eu mal à la tête, Ah!Ah!Ah! En fait, pour rester dans l'esprit d'un phén-oménologiste, j'ai compris que sur Talmudique, ce qui rendait les choses incompréhensibles, c'était le prob-lème juif qui par je ne sais quelle complication intellectuelle voulait tout expliquer à partir de la religion juive! Ce qui était pour moi une grave erreur philosophique car la majotrité des hommes n'étaient pas juifs( sans forcément être antisémites), mais souhaitaient avoir une explication simple du monde pour vivre en paix, Ah!Ah!Ah! Bref, je suppliais nos amis juifs d'être plus simples avec leurs compatriotes afin de ne pas se brouiller en permanence avec eux. Mais une particularité que je pouvais aussi comprendre en étant pas juif, mais souvent rejeté par les autres sans aucune explication, Ah!Ah!Ah! Visiblement, le problème juif se trouvait dans cette impossibilité de se fondre dans un autre peuple par une anomalie originelle qu'on pou-rrait appeler une volonté d'être différent des autres, n'est-ce pas? Ce qui n'était pas loin de mon cas où pour une raison inconnue, j'ai toujours voulu être différent des autres, Ah!Ah!Ah! Sans devenir pour autant anti-sémite, mais curieux de toute anomalie existentielle ou biblique, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos de ces inco-mpréhensions qui me faisaient dresser les cheveux sur la tête quand j'écoutais les médias officiels, il y avait l'émission sur la libre pensée diffusée par France Culture. Où paradoxalement, des francs maçons nous ex-pliquaient tout au long de l'émission qu'ils étaient des libres penseurs parce qu'ils étaient républicains, Ah!Ah!Ah! Personnellement, j'ai toujours pensé qu'un libre penseur devait être plutôt antirépublicain pour mé-riter un tel nom, n'est-ce pas? Mais je crois qu'ils mélangeaient tout en s'octroyant des qualités qu'ils n'avai-ent plus depuis fort longtemps où j'ai pu entendre avec stupéfaction qu'il existait un président de la libre pensée chez les francs maçons, Ah!Ah!Ah! Mon dieu quelle absurdité philosophique, mon cher lecteur. Car en les écoutant, j'entendais plutôt de grandes généralités qui n'avaient aucun rapport avec la libre pensée, mais avec les idées très convenues de notre temps qui ne méritaient pas qu'on en fasse une émission, Ah!Ah!Ah! Bref, j'étais convaincu que la franc-maçonnerie était une secte qui avait réussi à se rendre utile à la république, mais en aucune façon à la libre pensée! En devenant une succursale de la médiocrité pour pant-héistes, Ah!Ah!Ah! Décidément, on ne savait plus où se trouvait les génies d'aujourd'hui, sinon dans l'om-bre!

Car pour la majorité des gens, la franc-maçonnerie était une organisation complotiste voulant se rapprocher du pouvoir afin de l'influencer, n'est-ce pas? Ce qui pour moi n'avait rien à voir avec la libre pensée, mais du fleuretage avec les puissants. Et quoi de mieux  pour leur faire plaisir que de leur dire qu'on était plus républicains que les républicains, Ah!Ah!Ah! C'est à dire en leur offrant la célèbre tarte à la crème fourrée aux droits de l'homme et à la séparation des Eglises et de l'Etat, Ah!Ah!Ah! Ce qui une fois de plus n'avait rien à voir avec la libre pensée, mais avec l'institutionnalisation d'une pensée qui appartenait à un passé ré-volu. Où graver la libre pensée dans le marbre me sembla comme une totale gageure en sachant qu'elle év-oluait en permanence en fonction de l'actualité et des évènements politiques, n'est-ce pas? Comme dans un roman en écriture permanente où les libres penseurs cherchaient la vérité de leur temps et non les officiels qui avaient de vieux reflexes panthéistes, comme la loge maçonnique, Ah!Ah!Ah! J'étais convaincu, en tant que libre penseur, que notre époque fut des plus déplorables en matière d'intelligibilité en y comprenant pl-us rien à cause de l'imposture de nos élites qui brouillaient les pistes pour nous empêcher d'atteindre la vé-rité et la liberté. Où nous étions désormais plongés dans un grand trou noir qui s'apparentait à de l'obscura-ntisme intellectuel! Et si l'obscurantisme religieux fut par le passé combattu avec virulence par les intellect-uels, qui ne croyaient pas à l'existence de Dieu, nous avions affaire désormais à une tyrannie intellectuelle qui bousillait notre intelligence pour des raisons carrièristes, Ah!Ah!Ah! Et visiblement pour ces raisons, quand j'écoutais les médias officiels, que j'entendais un brouhaha inextricable qui avait tendance à me rend-re fou, Ah!Ah!Ah! Et qu'il me parut vital qu'une chose périmée soit jetée à la poubelle au risque de nous empoisonner l'existence ou de nous achever, n'est-ce pas? En étant pas loin de l'intoxication intellectuelle produite par nos élites ou si vous voulez d'une overdose institutionnelle de la connerie gravée dans le mar-bre de la république française, Ah!Ah!Ah! Visiblement, la France sombrait dans un obscurantisme auquel on aurait jamais pu penser sauf les boudistes qui pensaient qu'elle était le centre du monde avec comme philosophie, le néant, Ah!Ah!Ah! Le Dalaï Lama aurait-il été prophète en voyant la France, comme une terre promise pour le boudisme ou Dieu avait été mis à la porte par un coup de pied aux fesses, alors qu'elle était la fille de l'Eglise? Décidément que de bouleversements dans notre pays, non pas seulement climatiques, mais civilisationnels au point d'imaginer la France rayée de la carte pour son impuissance à changer le mon-de! Etait-ce pour ces raisons qu'en ce moment, j'avais honte d'être Français ainsi que tous nos compatriotes au point de lui vouloir du mal? je me demandais tragiquement en sachant bien que le mal venait de nos éli-tes qui proposaient au peuple français de la bouillie pour chat, comme programme politique et civilisati-onnel, Ah!Ah!Ah!

Mais bougre de Dieu, pourquoi avions-nous le sentiment d'avoir été usurpé par de faux monayeurs ou par de faux prophètes fabriqués par la république? Le temps n'était-il pas venu pour nous de changer de civilis-ation en toute intelligence, mon cher lecteur? C'est à dire, non plus en faisant une révolution à l'ancienne en répandant le feu et le sang, mais une révolution douce pour ne pas gâcher une fois de plus notre chance de réussir à éléver l'homme à sa juste place? Décidément, un nouveau programme civilisationnel s'ouvrait à nous que seuls nos génies pourraient réaliser un jour si on acceptait de leur laisser la main, n'est-ce pas? Mais il est vrai, en démocratie, une chose très difficile à faire sachant que toutes les opnions se valaient pour notre plus grand malheur. Pour résumer nos propos, le terrorisme islamique aurait-il trouvé le parfait adversaire sur le sol français qui s'appelait le terrorisme intellectuel? Etait-ce la grande question qu'on dev-ait de se poser aujourd'hui, mon cher lecteur, et non plus écouter le bavardage décadent de nos intellectuels qui assombrissaient notre avenir pour de vils interêts? Au bout du compte, le terrorisme islamique n'était-il pas le révélateur de notre médiocrité occidentale où l'on avait choisi la terre brûlée comme religion? C'est à dire un appel à peine voilé pour l'Orient et le grand désert que les orientaux avaient peuplé d'une religion voyageuse appelée l'islam? Avec l'honnêteté de reconnaître que si le désert avançait, l'Islam avançait lui au-ssi dans la même direction, c'est à dire vers l'Occident, n'est-ce pas? En fait, comme je l'ai déjà dit à mes lecteurs, je n'étais ni juif, ni musulman, ni chrétien, mais je croyais en Dieu d'une façon particulière en étant né poète où je n'avais pas besoin d'être relié aux hommes ou à un religion pour dialoguer avec lui. Et par ce grand privilège, il m'octroyait une immense liberté de juger mes semblables avec discernement, non pas du point de vu morale, mais d'une façon juste. Car ce ne sera pas Dieu qui les jugera, mais eux-mêmes, en sai-sissant au dernier jour que leur vie fut tricherie auprès de leurs semblables pour réussir et cacher leur médi-ocrité, Ah!Ah!Ah! Et si l'on perdait sa vie en la gagnant, comme disait le dicton, il y avait des hommes qui la perdaient entièrement en trichant avec les autres, n'est-ce pas? Cela me faisait penser aussitôt à mes cop-ains de quartier, lorsque j'étais adolescent, qui avaient décidé de tricher pour rèussir en se lançant dans le trafic de drogue et d'objets volés dans des cambriolages pour se faire passer pour des gens intelligents dans la socièté, Ah!Ah!Ah! Et bien évidemment, moi qui avait arrêté toutes mes activités avec eux du jour au lendemain pour des raisons d'honnêteté, ils me détestaient tous en connaissant désormais l'origine de leur richesse qui n'était pas très glorieuse, Ah!Ah!Ah! Sans vous cacher que la majeure partie avait mal terminé sa vie quand la triche fut découverte et qu'elle les perdrait pour de vrai, Ah!Ah!A! On pourrait dire sans fau-sse modestie que j'étais un survivant de ce jeu de massacre social ou en tant qu'honnête homme, je savo-urais ma victoire de n'avoir pas triché avec mes semblables pour devenir quelque d'autre, mais que moi-même.

Bref, comme l'alcoolique buvait pour oublier qu'il était alcoolique, le tricheur trichait avec lui-même pour oublier qu'il devra rendre des comptes à Dieu à la socièté, Ah!Ah!Ah! Et quand mes copains trafiquants ren-traient dans le quartier avec ue voiture somptueuse, ils espéraient ne pas me voir, car je saurai qu'elle avait été acquise d'une manière malhonnête. Mais qu'ils passeraient auprès des inconnus comme des cadors, Ah!Ah!Ah! Décidément, la triche quelle grande illusion, n'est-ce pas? A ce propos, je me demandais si la décad-ence de la France actuelle n'était pas liée à la triche généralisée de nos élites qui s'en mettaient plein les fou-illes? Ah!Ah!Ah! Aujourd'hui, vendredi 7 mai 2021, je me sentais plutôt en bonne forme pour des raisons que j'ignorais totalement, Ah!Ah!Ah! Car je n'étais pas du tout un adepte de l'exercice physique ni un surv-ivaliste sans pour autant négliger ma santé physique et mentale grâce à de bonnes habitudes qui étaient le secret de la jeunesse éternelle, Ah!Ah!Ah! Bref, par une petite promenade quotidienne autour de la place de la Croix-Rousse et d'une méditaion sans tabou sur la vie de mes contemporains que je consignais aussitôt dans mes écrits destinés à la postérité, Ah!Ah!Ah! En y révélant leur vie insignifiante qui se dirigaiit tout dr-oit vers l'infantilisation faute de vrais projets avec un contenu, bien malheureusement. Comme hier sur la place de la Croix-Rousse où j'étais assis en buvant mon café, je remarquais un groupe de jeunes gens qui se filmaient avec leurs Iphones, comme s'ils avaient oublié c'était quoi de vivre! Pour ne rien vous cacher, j'étais plutôt choqué. Car étant d'une autre génération que la leur, j'avais l'intime conviction que de vivre n 'était en aucune façon se regarder vivre, mais oublier le regard des autres pour goûter à la vraie liberté, n' est-ce pas? Ainsi je compris que la jeunesse d'aujourd'hui ne vivait plus, car elle était privée de liberté, mais forcée d'agir comme des enfants que la socièté économique matriarcale avait infantilisé! Sous entendu qu'un enfant, c'était idiot et qu'il fallait lui mettre entre les mains quelques joujoux technologiques pour fa-ire son bonheur et calmer ses caprices, Ah!Ah!Ah! Décidément, les bonnes choses se perdaient, n'est-ce pas? Bref, que la jeunesse actuelle soit devenue vieille avant l'heure ne faisait aucun doute en sachant que vieill-ir était revenir en enfance, ce que tout le monde savait, n'est-ce pas? Mais qui ne m'atteignait pas pour l'in-stant grâce à ma faculté de m'étonner sur la vie de mes contemporains qui en ce moment frôlait la débilité mentale, Ah!Ah!Ah! Car si notre socièté évoluait en trois cycles, c'est à dire par la virilisation, la féminisati-on et l'infantilisation, nous étions pour ainsi dire en fin de cycle, comme diraient les économistes, ce qui nous rassurait sur notre avenir, n'est-ce pas? A moins que l'infantilisation perdure parce que les enfants voulaient rester d'éternels enfants? Ah!Ah!Ah! Aujourd'hui, pour des raisons mystérieuses, je me sentais plutôt en bonne forme malgré ma vie solitaire où je ne fréquentais plus personne ni la jeunesse, ni les gens de ma génération, ni les vieux qui pour moi étaient de vieux cons pour en avoir fait l'expérience, Ah!Ah!Ah! En fait, ce qui me permettait de me tenir encore debout aujourd'hui et de rester en bonne santé, c'était para-doxalement mes petites habitudes que la jeunesse aurait detésté connâitre parce que les siennes étaient plus à plaindre que les miennes, Ah!Ah!Ah! De futurs hôpitaux psychiatriques hygh tech en France pour soigner ces nouveaux malades de l'ère numérique?Tout compte fait, écrire c'était vivre en l'absence de ses contem-porains pour ne pas devenir fou, n'est-ce pas?

Ce qui me faisait pressentir, malheureusement, la fin de la littérature et de la musique puisqu'on ne vivait plus, ne s'écoutait plus, mais se filmait en permanence pour ne rien créer, sinon poster des videos sur You-Tube, Ah!Ah!Ah! Telle était la génération Youtuber appartenant aux zombies d'aujourd'hui. En esperant qu' ils ne me mordront pas à la gorge pour me contaminer et devenir hideusement laid comme eux, Ah!Ah!Ah! Décidément, l'ère épidémique ne faisait que commencer sur la planète avec la pandémie de Covid-19 où un jour, le nouveau variant s'attaquerait à notre cerveau pour le mettre en purée, Ah!Ah!Ah! Mais un cycle de destruction de l'intelligence qui ne datait pas d'aujourd'hui. Car le matèrialisme forcené nous avait mené à cet état d'idiotie dans lequel on se trouvait à philosopher sur les boissons énergétiques, le prochain burger de McDonald et le nombre de vues sur YouTube, Ah!Ah!Ah! Où la série américaine Walking Dead( tradui-te par la marche de la mort que j'avais regardée il y a quelques années) me sembla prémonitoire vu le nomb-re de zombies que je croisais tous les jours dans les rues de mon quartier, Ah!Ah!Ah! Et si nous suivions de près l'Amérique, pour vivre aussi en démocratie, la violence ne ferait que croître puisque le destin de toute démocratie était de finir en dictature, n'est-ce pas? En gros, trop de libertés individuelles tuaient la liberté et trop de zombies tuaient les zombies dans la série Walking Dead, Ah!Ah!Ah! Comme trop de communicati-on tuait la communication, trop de politique tuait la politique, trop de démagogues tuaient la démocratie, trop de bavardages tuaient l'intelligence, trop de sexe tuait le sexe, trop d'attente tuait le désir, bref, trop de trop faisait déborder le vase en noyant nos existences dans un grand marécage nauséabond, Ah!Ah!Ah! J'av-ais le sentiment que notre avenir s'assombrissait de jour en jour, alors que j'étais plutôt un garçon optimiste par nature. Pour se rendre à l'évidence qu'il nous fallait absolument sauver les meubles de la maison avant qu'il ne soit trop tard, n'est-ce pas? Pour éviter de devenir des zombies, comme nos contemporains et sauv-er l'humanité et la France, bien entendu. Visiblement, j'étais un héros malgré moi, Ah!Ah!Ah! Mais il est vr-ai que situation exceptionnelle, homme exceptionnel, n'est-ce pas, mon cher lecteur? En fait, je crois que les gens aimaient bien me lire et m'écouter sur mon site Internet parce qu'il était gratuit, Ah!Ah!Ah! Et co-mme tout le monde sait, quand c'est gratuit, c'est deux fois meilleur, Ah!Ah!Ah! C'est à dire l'accès à mes oeuvres et chefs-d'oeuvre littéraires poétiques, sympphoniques etc qu'ils ne trouveront nulle par ailleur par-ce qu'elles étaient uniques, comme l'auteur, entre autre. Car je n'ai jamais voulu suivre aucune mode qui, comme tout le monde sait, se démode. Ce qui me faisait dire que mon oeuvre avait une grande valeur, mais que mes contempotains ne pouvaient saisir l'importance en étant occupé toute la journée à leur réussite per-sonnelle, Ah!Ah!Ah!

Où produire de la merde en masse était le nouveau filon, Ah!Ah!Ah! Décidément, aujourd'hui, nous vivions une époque de merde, n'est-ce pas? Mais une chose que je ne vous apprenais pas vraiment, mon cher lect-eur, en y étant plongé comme moi jusqu'au cou, Ah!Ah!Ah! Et la grande question qu'on devait tous se poser était de savoir comment sortir de cette merde civilisationnelle? Bref, où les policiers se faisaient tuer pour une barrette de chite où les journalistes se prenaient pour de grands intellectuels où l'autorité de l'Etat était remise en question par une bande de généraux à la retraite, par les gauchistes, les extrêmistes de droite et les petits trafiquants de drogue dans les banlieues qui se prenaient pour des Attila, Ah!Ah!Ah! Décidément, en France ça sentait le roussi et disons même les feux de poubelles qui ne sentaient pas très bon, Ah!Ah!Ah! Sans dire pour autant qu'on était proche de la guerre civile ou de la fin de l'empire romain. Car tout compte fait, on avait affaire ici à des faits divers que les médias amplifiaient à outrance à des fins publicitaires pour faire de l'audience, n'est-ce pas? Ce qui bien évidemment donnait une fausse image de la réalité où sur leurs plateaux tété, on se prenait pour des commandants de bord, comme dans Star Trek, avec tout plein d'écrans autour de soi pour faire croire qu'on avait la situation en mains, Ah!Ah!Ah! Où parait-il, la rumeur courait que le public avait besoin d'émotions fortes parce qu'il avait une VDM, c'est à dire une vie de merde, Ah!Ah!Ah! Personnellement, je ne pensais pas que tout le monde avait une vie de merde, mais que souvent il s' ennuyait au fond de son canapé à regarder des programmes merdiques à la télé, Ah!Ah!Ah! Où la grande question existentielle des familles était de savoir ce qu'il y avait ce soir à la télé et pour les jeunes couples savoir quoi faire après l'amour? Ah!Ah!Ah! Sachant que l'amour durait environ 15 minutes et la journée 24 heures, Ah!Ah!Ah! C'est dire une vraie question existentielle que la socièté moderne devait résoudre pour ne pas déprimer sa population afin qu'elle puisse reprendre le boulot le lendemain, Ah!Ah!Ah! Et ne pas la faire trop réflechir sur le sens de la vie en lui proposant des débats bidons qui la plongeraient dans un coma intellectuel au fond de son canapé où elle appréciera sa vie de merdre, comme une vie de rêve, Ah!Ah!Ah! En fait, docteur House, c'était les médias métamorphosés en thérapeutes pour soigner la population franç-aise de la déprime ainsi que les célibataires dont les soirèes étaient morbides après l'amour est dans le pré! Décidément, les médias quel fabuleux hôpital de chharlatans, Ah!Ah!Ah! On disait, parait-il, sur les réseaux sociaux que j'étais un garçon medisant, ce qui n'était pas exactement la vérité, mais plutôt une personne qui disait seulement la vérité à ses contemporains, Ah!Ah!Ah!

Car qui a dit au juste que la littérature devait etre faite de bons sentiments? Ah!Ah!Ah! De même que la musique, un vulgaire plagiat de la musique de merde d'aujourd'hui? En fait, j'étais convaincu d'être unique en mon genre et que mes oeuvres seraient indémodables parce que je détestais mon époque et mes contem-porains, Ah!Ah!Ah! Et quelles seraient destinées sans aucun doute aux générations futures qui auraient réi-ntégré l'intelligence comme carburant existentiel. Pour une raison inconnue, je ne savais pas pourquoi j'ai-mais faire le vide autour de moi? Ah!Ah!Ah! A cause d'une forme d'autisme que j'ignorais ou par un génie qui me faisait fuir l'idiotie de mes contemporains ou tout bêtement parce que j'étais né dans le mauvais mil-ieu social? C'était sans aucun doute pour toutes ces mauvaises conjonctures que j'étais déphasé avec mon époque qui m'empêchait de choisir mes voisins d'habitations, bref, mes contemporains, Ah!Ah!Ah! Bref, un mauvais tirage au sort, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Mais qui ne devait étonner personne puisqu'un jeu où les perdants étaient majoritaires pour désigner un seul gagnant, n'est-ce pas? Ce qui moralement ne me génait pas tant que le hasard était respecté à 100%. Mais dans la société, l'était-il vraiment ou avions-nous affaire à une triche organisée par nos élites pour prendre les meilleures places? Ce qui pour moi ne faisait aucun doute où la triche sociale était camouflée sous le nom de méritocratie républicaine, Ah!Ah!Ah! Oui, pourquoi pas, mais alors quelle perte abominable de gens exceptionnels pour notre pays qui sera dirigé par des clones de la bourgeoisie sans aucun génie! Mais n'aimant pas remuer le couteau dans la plaie de notre roman national, j'aimais mieux ne pas y penser vu que le mal était fait depuis très longtemps et qu'une rév-olution hasardeuse empirerait notre situation qui n'avait pas besoin d'un second chaos après 1789, Ah!Ah!Ah! D'une certaine façon, nous étions confrontés à un fatalisme qui ne faisait pas partie de notre identité française. Mais bon, si l'Etat français souhaitait devenir notre nounou pour les temps à venir, nous ne seri-ons pas contre, n'est-ce pas, mon cher concitoyen? Ah!Ah!Ah! Et visiblement, la raison pour laquelle la Fr-ance déclinait de jour en jour en considérant ses concitoyens comme des enfants avec de la morve au nez, Ah!Ah!Ah! Donc, c'est décidé, demain, j'enverrai mes slips sales à faire nettoyer par l'Etat français dont les nouvelles fonctions étaient sans équivoques, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Faites de même mes chers compatrio-tes qui n'aviez plus les moyens d'acheter un paquet de lessive vu son prix exorbitant. Ah comme j'aimerais vivre sur une ile désert où je n'aurais plus affaire à mes contemporains qui trichaient toute la journée avec moi, Ah!Ah!Ah! N'était-ce pas votre rêve aussi, mon cher lecteur, d'échapper à cette course guignolesque vers la réussité organisée par la république des tricheurs? Tout compte fait, j'attendrai avec patience la fin du mo-nde pour oublier qu'autrefois nous avions eu un beau pays riche et prospère. Visiblement, nous étio-ns entrés dans une Histoire nostalgique de notre pays, faute de mieux, malheureusement.

J'entendais par nostalgie, un retour à l'enfance ou si vous voulez à l'idiotie, Ah!Ah!Ah! Visiblement, la rais-on pour laquelle le kitch plaisait tant à nos contemporains ainsi que l'art pompier? Ah vivement le retour de maman à la maison pour nous faire les bons petits plats de notre enfance, Ah!Ah!Ah! Comme un bon boeuf bourguignon aux carottes et champignons ou des tripes de veau à la tomate accompagnées avec du riz et comme dessert une mousse au chocolat faite maison. Hum de quoi damner toutes les âmes sur la Terre soumises à la pizza et au burger de la livraison rapide, Ah!Ah!Ah! Car faire un bon repas pour ses amis con-sistait à y mettre de l'amour, ce que la jeunesse d'aujourd'hui ne comptait pas faire en étant des plus égoï-stes, Ah!Ah!Ah! Mais il faut dire, un égoïsme généré par le matérialisme dont la nouvelle religion s'appelait " le tout pour moi!" Ah!Ah!Ah! Bref, une époque formidable pour les enfants gâtés, n'est-ce pas? Mais dont nous n'étions pas forcément conscient en vivant aujourd'hui dans un Etat providence qui s'appelait la Fran-ce où les aides sociales étaient colossales comparées à un pognon de dingue par notre président, Emmanuel Macron. Bref, dans un pays où l'on ne mourait plus de faim grâce au RSA, au resto du coeur et autres asso-ciations caricatives à condition de laisser son orgueil au vestiaire, Ah!Ah!Ah! Ne plus payer ses factures d'électricité grâce au chèque énergie, ne plus mourir de maladie dans son taudis grâce à la sécurité sociale universelle et une mutuelle gratuite offerte pour les sans-dents et ceux qui n'y voyaient plus rien, Ah!Ah!Ah! Apparemment, le paradis sur Terre se trouvait en France, Ah!Ah!Ah! Ce qui constituait sans aucun dou-te un Eldorado pour les pays du tiers monde où les aides étaient pratiquement inexistantes ainsi que les pen-sions de retra-ite, n'est-ce pas? En étions-nous qu'au début, mon cher lecteur? C'est à dire par l'envahisse-ment de notre pays par ces hordes de migrants pour faire sombrer la France comme le Titanic? Personnelle-ment, je n'y croyais guère ni au grand remplacement véhiculé par les suprématistes blancs. Parce que l'Eu-rope était constituée en grande majorité par des blancs occidentaux et que cela ne changerait pas de si tôt, je vous l'assure. Apparemment, des peurs infondées propagées par des propagandistes racistes qui seront mo-rts avant que cela arrive, Ah!Ah!Ah! Mais que les Anglais prenaient très au sérieux en sortant de l'union européenne par le Brexit, n'est-ce pas? Parce que sur l'ile d'outre-manche, on avait le défaut de spéculer sur tout, même sur la possible fin du monde, Ah!Ah!Ah! Mais pour être franc avec vous, je n'aimais pas l'autof-lagellation ou comme on disait aujourd'hui, le french-bashing, car je détestais m'appitoyez sur moi-même, comme une bonne femme, Ah!Ah!Ah! Pourtant nous étions en pleine féminisation de nos moeurs, mais je refusais de prendre du plaisir en me prenant pour une victime, Ah!Ah!Ah! Décidément, on ne pouvait pas échapper à sa nature héroïque, n'est-ce pas? Où il ne s'agissait pas de choisir d'être une fille ou un garçon, mais de sentir ce que la nature avait déc-idé pour nous pour notre bonheur.

Et même si le mélange des genres existait, cela ne constituait pas vraiment un problème pour la socièté, ma-is seulement pour les gens concernés qui auront beaucoup de mal à se faire accepter par leurs semblables, Ah!Ah!Ah! Bref, le problème des minorités qui, je vous assure, ne changera pas la face du monde, puisqu'il a toujours existé. Et qu'il était important pour nous pour être heureux de choisir son camp et si possible, celui du plus fort, Ah!Ah!Ah! Mais quoi, vous me disiez que vous ne pouviez pas choisir votre camp par manque de caractère, mon cher lecteur? Ah damnation, car vous risquiez d'être tout seul dans la vie, com-me moi, et peut-être pour des raisons opposées aux miennes? Car les minorités étaient si nombreuses dans le monde qu'on ne pouvait pas les compter, mais seulement identifier entre les faibles et les fortes. Et votre impuissance à choisir venait-il au fait que vous faisiez partie des faibles ou peut-être à aucun d'eux? Perso-nnelement, je faisais partie des forts, mais qu'on m'avait banni de la cité en refusant de publier mes oeuvres prophétiques. Pourtant, j'aimais mon pays d'une manière loyale et sans hypocrisie pour le servir. Mais où malheureusement, la répubilque des tricheurs avait perverti le coeur de Franççais pour bien longtemps. Comprenez-bien, quand je parlais des forts, je ne parlais pas des puissants. Car la puissance existait pour in-timider ses adversaires, alors que la force pour imposer la paix d'une manière durable et naturelle. C'est ce qui différentiait l'autorité fabriquée de l'autorité naturelle, n'est-ce pas? Et si aujourd'hui, l'autorité de l' Etat était remise en question par un peu près tout le monde, ce n'était pas un hasard, mais parce que ses représentants n'étaient plus à la hauteur pour avoir affaire à des fantoches, Ah!Ah!Ah! Ce qui ne devait pas nous étonner, mon cher lecteur, car plus la socièté se modernisait et se complexifiait plus elle fabriquait des clones au pouvoir, c'est à dire des hommes sans consistance et des robots fabriqués par la méritocratie rép-ublicaine, Ah!Ah!Ah! En fait, la crise de l'autorité était dûe à l'obsolescence, non pas de l'Etat( car il existe-ra toujours), mais des hommes qui se cramponnaient au pouvoir pour défendre des valeurs osbolètes. Visi-blement, les vieux singes nous faisaient toujours les mêmes grimaces, comme pour nous impressionner, alors qu'on savait tous qu'ils singeaient l'autorité, Ah!Ah!Ah! Mais il parait, d'après nos antiques philoso-phes, qu'on ne pouvait pas changer la nature des peuples, sinon leur faire violence vu que leur éducation n'avait pas changé grand chose, Ah!Ah!Ah! Bref, de quoi retourner Jean-Jacques Rousseau dans sa tombe, le chantre de l'éducation du peuple, n'est-ce pas? Pour  parler de la sorte, j'étais sans aucun doute un hom-me désabusé par ses compatriotes et ses frères humains.

Et malheureusement, je ne savais pas si c'était de ma faute ou de la leur, Ah!Ah!Ah! Mais une chose qui ne devait pas nous étonner, mon cher lecteur, pour être constamment en concurrence avec les autres pour réus-sir et aujourd'hui avec le monde entier par la mondialisation, Ah!Ah!Ah! Décidément, une époque terrifian-te pour nous, n'est-ce pas? A laquelle, j'étais prêt à donner tout l'or du monde pour faire un voyage dans le futur où l'humanité aurait évacué tous ses travers pour nous rendre la vie plus supportable, Ah!Ah!Ah! Car bizarrement, quand je pensais à elle, j'éprouvais un profond dégoût dont je ne connaissais pas l'origine exa-cte. A moins de provenir de notre dégoût pour nos imperfections qui rendaient la vie insupportable à nos semblables, Ah!Ah!Ah! Sans aucun doute, un vice de fabrication de la nature que nous ne pouvions malheu-reusement pas modifier à moins de nous laisser triturer le cerveau par le docteur Frankeinstein ou par Dieu, Ah!Ah!Ah! Afin de refaire l'homme dans une version plus saine et surtout plus inoffensive pour ses sembl-ables, n'est-ce pas? Visiblement, l'humanité nous renvoyait une image plutôt négative de nous-mêmes et tr-ès flou en vérité, car nous ne savions pas exactement si elle avait un visage d'une grande beauté ou bien un visage protéiforme qui ressemblait à un monstre, Ah!Ah!Ah! Sous entendu que la somme des actions des hommes représentait l'humanité qui, comme le constations tous les jours, était plutôt une plaie pour la pla-nète et l'espèce humaine, n'est-ce pas? A l'évidence, il était malsain de connaître l'humanité dans sa globa-lité pour éviter de vomir sur ses semblables, Ah:!Ah!Ah! Mais pourquoi avions-nous tant de haine et de mé-pris pour nous-mêmes, mon cher lecteur? Etait-ce parce que nous nous aimions peu en nous considérant comme des virus qui avaient colonisé la planète terre en vue de la détruire ou bien comme des créatures conscientes de leur damnation éternelle parce qu'en état permanent de frustration ou mal conçue par la nat-ure? Bref, en guise de solution pour être heureux, je proposerais à mon lecteur de vivre caché ou en comi-té restreint. Car au dessus de deux personnes, c'était l'enfer où l'humanité commençait à nous dévoiler son visage hideux, Ah!Ah!Ah! Et d'après mes intuitions mathématiques, il semblerait que l'humanité commenç-erait au chiffre trois, c'est à dire un chiffre très vite ateignable, n'est-ce pas? A l'évidence, les chiffres impa-ires représentaient le chaos du monde telle une suite de calamités que seuls nos intuitions pourraient prou-ver mathématiquement, bien entendu. Toujours à propos de cette humanité dont nous avions beaucoup de mal à définir les contours, j'avais le sentiment qu'elle était un immense bricolage où la reine du bricolage n'était pas Monsieur, mais plutôt Madame, Ah!Ah!Ah! Car bizarrement, quand je sortais dans la rue, j'enten-dais des bruits de perceuses et de marteaux partout, comme si l'humanité était en construction permanente pour faire le nid de Madame, Ah!Ah!Ah!

Etait-ce dû à mes facultés de musicien qui me permettaient d'entendre l'humanité en mouvement ou bien à un début de folie? En fait, je n'en savais rien et m'en moquais complètement. Car si nous avions la possibi-lité de poser des micros au dessus de la planète Terre, nous entendrions comme un tapage assourdissant qui effrayeraient les extraterrestres, Ah!Ah!Ah! Et la raison pour laquelle, ils refusaient d'entrer en contact avec nous pour nos nuisances sonores jour et nuit? Tout compte fait, ce sera ma prochaine thèse que je soumett-rais aux scientifiques et aux chasseurs d'OVNI pour leur expliquer pourquoi nous étions seuls dans l'univ-ers, Ah!Ah!Ah! A point de devenir complètement fou en ne supportant plus notre isolement intersidéral. D'une façon prophétique, la planète Terre semblait destinée à loger des fous et à ressembler de plus en plus à un hôpital psychiatrique voyageant à travers l'espace, Ah!Ah!Ah! Bref, une planète folle qui semblait ign-orer son destin funeste vers sa destruction totale! Dû à un vide si grand autour de nous qu'il allait affoler nos esprits dans les prochains millénaires en ne voyant aucune issue extraterrestre pour sortir de  notre enf-ermement psychiatrique. Car il faut dire qu'entre nous, c'était la guerre permanente pour être le plus riche, le plus beau, le plus intelligent etc. Bref, la folie qui nous attendait, n'est-ce pas? En sachant bien que la se-ule façon de sauver l'humanité fut la transcendance extraterrestre! En étant pas, mon cher lecteur, dans un roman de science fiction, mais dans le réel, où la Terre dans les prochains millénaires sera devenue une pri-son où les hommes atteints de folie s'entretueront. Provoquant ainsi la fuite des gens les plus intelligents vers une exoplanète afin de refaire l'humanité qui aura disparu sur la terre-mère. Tel était le destin de la Te-rre qui contrairement à ce que pensaient les scientifiques ne disparaitra pas consummée par le soleil, mais par la folie des hommes! Dans mes visions prophétiques, j'apercevais la Terre rouler à travers l'espace dans un grand fracas où surgissait le cri des fous implorer les extraterrestres pour venir les sauver! Car contrair-ement à ce que pensaient les pseudo-penseurs ou les intellectuels, seule la transcendance pouvait sauver l' humanité en la transformant en quelque chose de plus évolué que la nature avait produit mécaniquement depuis le début de la création. En remarquant avec discernement que les sages de tout temps ont toujours fui l'humanité en se réfugiant dans des grottes, abbayes, cloîtres ou dans la solitude pour échapper à la folie des hommes, Ah!Ah!Ah! Et que de choisir Dieu comme véhicule transcendantal leur semblât la meilleur solution pour ne pas devenir fou, n'est-ce pas? En fait, ils ne savaient pas en priant Dieu qu'ils essayaient de communiquer avec les extraterrestres, car Dieu était un extraterrestre! Je ne parlais pas ici de ses prophètes, comme Jesus-Christ ou Mahomet qui étaient des hommes, mais du vrai Dieu, bien entendu.

Connaissant désormais la vérité sur l'origine des religions( dont la mission était de renouer avec nos ancêtr-es extraterrestres), on pouvait dire sans se tromper que nos prophètes étaient dévenus des véhicules archaî-ques) puisque nous savions maintenant que Dieu était un extraterrestre où la seule façon de sauver l'huma-nité de la folie fut une issue extraterrestre! C'est à dire par un projet spatial d'une grande ampleur, n'est-ce pas, mon cher lecteur? A ce propos, en tant que grand philosophe ignoré par mes contemporains, j'étais as-sez satistait d'avoir résolu une grande énigme métaphysique que les hommes avaient éssayé de résoudre de-puis l'antiquité. Et pour cela, ne devrait-on pas me décerner la prix Nobel de philosophie? Ah!Ah!Ah! Mais sachant qu'il n'y avait que gloire et fortune pour les imposteurs qui passaient à la télévision, les génies ava-ient peu de chance d'être entendus, n'est-ce pas? Bref, une histoire de fous qui décimaient l'intelligence des hommes pour des histoires de gros sous et de gloriole où la France était malheureusement tombée à cause de son intellectualisme dont les dégâts étaient irréversibles. A ce propos, il faut souligner à notre cher lect-eur, qu'un écrivain n'était pas forcément un intellectuel, mais un homme à multiples facettes, comme je l' étais en déployant des qualités de visionnaires et d'artistes qui enrichissaient ses oeuvres d'une manière rée-lle et non factice comme les intelletuels qui détournaient le sens des mots pour remplir leur vide existent-iel, Ah!Ah!Ah! En fait, le vrai écrivain écrivait des histoires et pas des concepts pour avoir sous la main, un début, un milieu et une fin, Ah!Ah!Ah! Vivant la fin des idéologies depuis le début de ce 3 ème millénaire, nous pouvions désormais faire le tri entre les vrais écrivains et les imposteurs, Ah!Ah!Ah! A ce propos, vous viendrait-il la sotte idée de relire le capital de Karl Marx pour apprendre la vérité sur les hommes d' aujoud'hui? Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas relire George Sand pour goûter au bonheur suranné d'une jeune fille du 19 ème siècle? Ah!Ah!Ah! Décidément que de fantasmes chez les hommes pensant redécouvrir la vérité dans le passé, alors qu'elle se trouvait sous leurs yeux en marchant tête nue au soleil! C'est à dire par le présent qui ne trichait avec personne où passé et futur ne comptaient pas pour vivre et exister. Mais entre nous avions-nous assez de courage pour vivre au présent, mon cher lecteur? Et compte tenu qu'une journée durait 24 heures, aurions-nous assez de force pour assouvir tous nos désirs dans ce temps imparti? Telle était la grande question qu'on se posait tous durant notre existence où notre vie pouvait se résumer en une journée, c'est à dire entre le lever et le coucher du soleil, n'est-ce pas? Assis devant mon ordinateur, j'étais conscient qu'un jour, je mourais soit dans la nuit soit dans la journée sans connaître l'heure exacte ni le jour qui à vrai dire m'importait peu sachant que le calendrier était une invention des hommes pour s'organiser. Bref, épurer les choses et la vie telle était l'obsession de l'artiste et de l'écrivain pour atteindre la vérité des hommes afin qu'elle soit digne d'être écoutée, lue et regardée avec intelligence.

Et malheureusement parasitée par les médias dont le travail consistait à racler la surface des choses pour fa-briquer l'actualité. Et comme tout bon observateur savait, les pépites d'or se trouvaient en profondeur et la merde en surface, Ah!Ah!Ah! En fait, je crois que c'était la meilleure définition du journalisme qu'on avait trouvée depuis le siècle dernier, n'est-ce pas? Ah!Ah!Ah! Et entre nous, mon cher lecteur, ne méritait-elle pas de figurer dans le dictionnaire Larousse afin d'aider les étudiants à trouver la vérité dans le gros merdier des médias? A propos de superficialité, je me souvenais d'une émission litétraire où une jeune fille de 20 ans avait écrit son autobiographie! Ce qui m'avait beaucoup étonné en sachant bien qu'une personne si jeu-ne, dont le vécu ressemblait à l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette, ne pouvait nous raconter quel-que chose d'intéressant, sinon ses soirèes de beuveries avec ses copains et copines, Ah!Ah!Ah! Bien évidem-ment, ce n'était pas de la littérature, mais le bavardage intempestif de la jeunesse qui avait toute la vie dev-ant elle pour changer d'avis et pourquoi pas s'imaginer une vie avec un grand A, comme celle d'un aventuri-er? Où toutes les opinions et les idées étaient en constante mutation car on ne savait encore rien de la vie, Ah!Ah!Ah! Sans aucun doute, la charme de la jeunesse, mais dominé par une très grande superficialité, n' est-ce pas? Mais comme il était agréable d'écouter en cachette les enfants raconter des bêtises, je ne les jug-erai pas sévèrement, car c'était de leur âge de rêver beaucoup afin de faire plaisir à leurs parents et à la so-cièté, Ah!Ah!Ah! Mais avec le grand regret que le débat entre superficialité et profondeur soit peu évoqué aujourd'hui dans les médias où le nouveau dogme était l'infantilisation des masses. Où visiblement écrire son autobiographie à 20 ans ne fut plus considéré comme une ineptie, mais la preuve d'une grande maturité, Ah!Ah!Ah! Décidément, les bonnes chose se perdaient dans ce grand marécage de la modernité, n'est-ce pas? Et apparemment pour ces raisons que la littérature d'aujourd'hui ressemblait à de la merde, Ah!Ah!Ah! Et que les écrivains qui fabriquaient cette immondice, à raison d'un livre par an, étaient des écrivains très superficiels qui chaque jour faisaient les poubelles de l'actualité, Ah!Ah!Ah! Bref, comme les médias qui chaque jour raclaient la merde de la socièté pour fabriquer leurs actualités. En vous certifiant, mon cher lecteur, que cela ne m'indignait aucunement, car c'était dans l'air du temps de récolter les crottins de l'actua-lité pour occuper l'esprit débile de la population française, Ah!Ah!Ah! Bien évidemment, un artiste digne de ce nom ne fonctionnait pas comme ça pour créer, car il avait besoin de plonger profondément en lui-même pour trouver les pépites dont il aura besoin pour consrtuire son oeuvre. Et que d'écrire son autobiographie à 20 ans ne put constituer une oeuvre, sinon une oeuvre acide ou trop jeune pour être goûtée ou bue com-me un bon vin, Ah!Ah!Ah!

Sous entendu qu'un bon vin était charpenté grâce au choix judicieux de ses cepages et une vynification con-trôlée ainsi qu'un viellissement suffisant pour le bonnifier, n'est-ce pas? Ainsi voyait-on que les meilleures choses au monde étaient fabriquées dans les règles de l'art et non improvisées comme le pensait idiotement les adolescents d'aujourd'hui qui croyaient produire de l'art et de la culture sur YouTube en utilisant la tec-hnologie numérique, Ah!Ah!Ah! Ce qui serait comme faire du pain sans levure et sans fermentation qui se dégonflerait aussitôt après être sotti du four, Ah!Ah!Ah! Tel qu'on pouvait le voir dans les oeuvres d'aujou-rd'hui qui utilisaient les outils technologiques pour faire du fric et surtout marquées par un manque évident de profondeur qu'on appelle un vide existentiel. Car comme je l'ai dit dans mes écrits, l'art et la culture de-mandaient un long processus de gestation qui ne consistait pas à racler l'actualité des médias pour écrire une oeuvre littéraire ou musicale en piochant des samples dans une banque son pour écrire un morceau, Ah!Ah!Ah! Car le vrai artiste ne travaillait pas comme ça, mais plongeait profondément en lui-même pour trouver des pépites et des pierres précieuses qu'il parsemerait dans son oeuvre pour proposer au lecteur ou à l'auditeur une exploration inédite. C'était pour ces raisons que je detestais le jeunisme d'aujourd'hui qui consistait à donner du talent à un gamin ou une gamine de 16 ans parce qu'il avait toute les chances d'avoir du succès auprès des ados attardés sur les réseaux sociaux, Ah!Ah!Ah! Car tout bêtement sur les réseaux sociaux, c'était le règne de la superficialité où toui le monde racontait ses petits problèmes de relations avec ses copains et copines, ses maux de ventre ou bien ses ruptures sentimentales etc qui je vous assure étaient d'une grande banalité puisque vécues chaque jour par des millions d'ados, Ah!Ah!Ah! C'était comme raco-nter la première fois qu'on avait bu de la limonade ou s'être fait larguer par son petit copain ou petite copine sachant que cela ne consistuait pas véritablement un drame puisqu'on avait toute la vie devant soi pour trouver un remplaçant, Ah!Ah!Ah! Ah mon dieu que c'était beau la jeunesse pour avoir devant soi tout le temps de faire des bêtises et souvent excusées, il faut le dire, par la socièté, Ah!Ah!Ah! C'était apparem-ment pour ces raisons que je n'avais pas écrit mon autobiographie à 20 ans pour ne pas me reprocher d'av-oir écrit une montagne d'imbécilités, Ah!Ah!Ah! Il parait d'après les océanologues, lorsqu'une tempête fais-ait rage à la surface des océans, que les poissons plongeaient aussitôt dans les profondeurs pour retrouver le calme. Tel était aussi le reflexe de survie de l'artiste pour échapper à la superficialité de son époque rem-plie de torrents de boue. Comprenez-bien, mon cher lecteur, que je ne voulais aucunement m'opposer à la mode de mon époque qui était teintée de débilité et d'une grande superficialité que je pourrais nommer de shallow mind ou d'esprit superficiel, car je ne comptais pas pas gaspiller mon énergie pour rien en sachant que j'avais encore des chefs-d'oeuvre à écrire, Ah!Ah!Ah!

Sous entendu que l'artiste n'était pas un idéologue, ni un homme d'affaire, mais un raconteur d'histoires que ses contemporains pourraient croire ou non en ne connaissant pas d'avance ses goûts. Ainsi naissait la vraie création qui n'était pas une recette de cuisine appliquée machinalement à chaque livre ou morceau de musi-que puisque chaque oeuvre était unique et méritait un nouveau langage et un état d'esprit différent de l'aut-eur. Visiblement, le vrai artiste n'était pas dans la fabrication en série de ses oeuvres, parce qu'il avait bes-oin pour les fabriquer de nouveaux matéreiaux qu'il puiserait au fond de lui-meme et non à la surface des choses qu'on appelle l'actualité. Ce qui bien évidemment demandait beaucoup d'éfforts et de temps, n'est-ce pas? Mais si vous vouliez avoir un succès rapide sans vous casser la tête, vous pouviez racler la surface de l'actualité littéraire et musicale pour fabriquer un objet industriel qui comblera toutes les attentes des mé-dias et des maisons d'editions, Ah!Ah!Ah! Décidément, la culture industrielle me faisait vomir, Ah!Ah!Ah! En fait, ce que j'exprimais ici, mon cher lecteur, c'était quelque chose d'unique où le goût du public, je m'en foutais complètement, Ah!Ah!Ah! Afin d'avoir aucun compte à lui rendre pour être totalement libre d'écrire ce que je voulais! Tout compte fait, une façon d'être indémodable, n'est-ce pas? Car j'étais convaincu pour être démodé qu'il fallait avoir un style, ce qui n'était pas mon cas où ma littérature était brute de décoffra-ge. Comme de caresser la rugosité d'une pierre pour avoir le plaisir de sentir qu'elle avait été façonnée par les éléments naturels, bref, par la vie. Avec souvent le sentiment d'être une pierre roulant au bord de l'océan où l'écueil s'appelait l'humanité! Où les hommes sur le rivage s'entassaient comme des galets pour se resse-mbler tous à la longue, Ah!Ah!Ah! Tel était le destin de l'humanité où chacun avait la rude charge de porter le poids de ses semblables. Décidément, j'aimais mieux rester libre et vivre à l'écart de l'humanité quitte à être emporté par les flots impétueux de l'océan. En fait, ce que j'exprimais ici s'appelait tout simplement la liberté, mon cher lecteur. Et entre nous, n'aviez-vous pas l'impression aujourd'hui de porter sur vos épaules un poids social insupportable au point de flancher? Apparemment, nos semblables étaient devenus des gens insupportables, Ah!Ah!Ah! Etait-ce pour ces raisons que les gens aimaient mieux la compagnie d'un chien ou d'un chat voir d'un alligator? Ah!Ah!Ah!