Des fleurs pour mon enterrement
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Bref, comme je vous disais précédemment, les génies n'étaient pas ceux que vous croyez, mais souvent d'orduriers personnages dans leur vie privée, Ah!Ah!Ah! Et Beethoven n'y faisait pas exception en allant au bordel après qu'il avait composé un chef-d'oeuvre, comme si le génie le dégoutait en voulant redeve-nir un être humain fait de chair et de sang. De même que Mozart dégouté lui aussi par son génie allait le soir s'enfermer dans les salles de jeux pour oublier sa musique qui lui prenait la tête et lui faisait vivre un véritable enfer. Mon chez lecteur, une chose que vous savez certainement pas, c'est que tous les gén-ies ont toujours été haïs et non adorés et adulés comme le dit la légende. La preuve est simple, voyez comment Mozart a fini, bref, dans une fosse commune! Et je pense qu'il nous faudrait beaucoup de temps pour faire comprendre aux Français qu'ils n'avaient désespérément rien compris au génie et à la liberté, tellement ils étaient bêtes, Ah!Ah!Ah! |
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Puis elle se leva et me dit brutalement en me tendant le poing : Mon gars n'essaye pas de me revoir, car tu risquerais d'avoir des ennuis avec moi! Moi, effrayé par son comportement hystérique, j'avais alors l'imp-ression d'avoir affaire à un mec plutôt qu'à une fille telle qu'on avait l'habitude de rencontrer, bref, douce et gentille. Apparemment, les moeurs des jeunes filles avaient bien changé et disons-même radicalement depuis ces derniers temps où l'on avait désormais affaire à des monstres qui voulaient enfanter sans faire l'amour avec des hommes! Une année plus tard, je la croisais par hasard dans la rue en apercevant dans le landau qu'elle poussait, un petit bambin! Je ne sais pas si elle m'a reconnu; mais saisissant subitement ce que j'avais réalisé, je détalais aussitôt du trottoir pour ne pas devoir assumer une folie de jeunnesse! |
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Pour la simple raison que l'Etat voulait garder le contrôle sur sa population, comme un fermier général veillant sur son troupeau de bovins et sur ses futures recettes, Ah!Ah!Ah! Bref, après de multiples tentati-ves auprès d'autres aventuriers de l'impossible ou investisseurs, je renonçais à mon beau projet d'inscrire mon nom sur le marbre, comme l'illustre fondateur d'une nouvelle civilisation! |
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Mais telles étaient les apparences d'aujourd'hui où la société capitaliste nous avait mené à dénaturer notre vraie nature ainsi que notre environnement. Où l'argent y était pour beaucoup dans cette falsification de la vérité où un singe pourrait bien se prendre pour un rhinoceros en se collant une corne à la place du nez ou un idiot se prendre pour un génie s'il avait beaucoup d'argent, comme Donald Trump, Ah!Ah!Ah! Mais là, mon cher lecteur, nous entrions dans des choses trop sérieuses pour qu'elles soient débattues en société, malheureusement. Car elles risqueraient de soulever des questions gênantes et géantes sur le cap-italisme et sur la légitimité de la bourgeoisie a mener notre destin là où elle le souhaitait. En comprenant bien que mon combat n'était pas contre le capitalisme auquel on avait aucune chance de gagner vu sa pui-ssance financière d'acheter toutes les parties pour qu'il soit le gagnant, Ah!Ah!Ah! Mais de me poser et de vous poser des questions pertinentes afin que nous en recevions le moins possible sur la gueule, Ah!Ah!Ah! |
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Bien entendu, j'utiliserais les mathématiques pour les quantifier afin d'être dans le vrai et non dans les concepts intellectuels. Premièrement, amputons à notre journée de 24 heures les 1/3 de notre temps que nous passons à dormir où nous avons pour ainsi dire aucun rapport économique avec les autres puisque nous dormons, Ah!Ah!Ah! Ainsi donc, il nous resterait les 2/3 de notre temps à consacrer à notre existe-nce réelle dont les 1/3 appartenaient à notre patron pour des raisons économiques, puis 2 heures bloquées dans les embouteillages pour aller à son travail, puis 2 heures pour faire les courses, puis 3 heures devant son petit écran à regarder des émissions débiles nous vantant les bienfaits de la société de consommation, etc. Bref, on constatait que les 2/3 de notre temps (soit environ 70%) étaient consacrés à nos rapports éc-onomiques avec les autres où nous usions très peu de notre vraie intelligence pour communiquer, n' est-ce pas, mon cher lecteur? Ce qui nous prouvait que la société capitaliste à la longue nous rendait de plus en plus bête, comme nous l'avions constaté en France où il y avait désormais 90% d'imbéciles et 10% de génies où l'archétype de l'idiot était Donald Trump en Amérique qui, ne sachant pas quoi faire de son te-mps et de son argent, passait sa journée à dire de grosses conneries au monde entier, Ah!Ah!Ah! |
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De plus, ce qui rassurait la plupart des Français (d'avoir une tête farcie comme une dinde), c'était le sen-timent de toute puissance que cela leur procurait quand ils se trouvaient face au monde, mais qui au bout du compte ne leur servait pas à grand chose pour exercer efficacement leur intelligence. Car ceci n'était qu'un sentiment de toute puissance intellectuelle, mais non une force réelle, comme nous aimions la sen-tir en nous, mon cher lecteur, quand nous écrivions la vérité sur nos compatriotes afin qu'ils se reforment intelligemment. Et contrairement à eux, je vidangeais régulièrement ma tête afin qu'elle soit la plus vide ô possible et la moins encombrée d'objets inutiles ou trop volumineux pour sa boite crânienne, Ah!Ah!Ah! Dans le but, bien évidemment, que tous mes sens puissent agir sur les nouveaux objets de sa connais-sance qui les interpellaient, les titillaient, les agaçaient etc. Une chose importante à vous dire, mon cher lecteur, ce livre je le destiais aux touristes étrangers (qui voudraient connaître la vérité sur les Français) et non aux Français qui, je pense, n'aimeraient pas prendre des coups de fouets pour le plaisir en le lisant, Ah!Ah!Ah! Et ce qui caractérisait vraiment la nature du Français, c'était son horreur du vide politico-in-tellectuel et son amour immodéré pour les mots en isme(humanisme, catholiscisme, républicanisme, cap-italisme, collaborationisme, socialisme, existentialisme etc) qui je pense intéressera beaucoup les touris-tes étrangers qui, il faut le dire, aimaient visiter la France comme un grand musée parfaitement entretenu et dépoussiéré quotiennement par nos institutions de nettoyage publique, Ah!Ah!Ah! Et paradoxalement, dans cette grande vallée intello-historique, peuplée de montagnes en Isme, les Français les ont toujours escaladé, non sans peine, mais par la nécessité de s'adapter au monde qui évoluait autour d'eux. Pour ainsi dire, ce ne fut jamais une partie plaisir pour eux et tout particulièrement pour leur cerveau et leurs mollets. Mais bon, après de douloureux efforts, ils y étaient parvenus, Ah!Ah!Ah! |
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En fait, le génie, comme je l'ai déjà dit, ce n'est pas la longue et profonde méditation sur les choses ou sur les idées, mais de connaître sa propre nature afin de produire les fruits qu'elle attend de nous. Bref, les fruits que nous produisons sans trop savoir pourquoi où je vous assure qu'il est inutile de demander à un pommier pourquoi il produit des pommes, car c'est sa nature de produire des pommes, c'est à dire son gé-nie qui n'est pas le même que celui du pécher ou d'un prunier, bien évidemment. Et qu'il est inutile, mon cher lecteur, de me demander pourquoi j'écris tout ceci, car je ne le sais pas moi-même, comme si mon génie m'échappait, bref, comme si le poids trop lourd de mes fruits les faisait tomber dans l'herbe, comme par une gravité naturelle, non calculée, afin de nourrir les hommes, les animaux, les oiseaux, les insectes et la terre etc. Et lorsque vous interrogiez vos sens d'une manière simple et naturelle, ces derniers vous ré-pondaient d'une façon poétique et jamais d'une manière intellectuelle ou économique, car les concepts in-tellectuels et économiques étaient des inventions des Hommes afin de compenser leur perte en intelligen-ce, ce que vous savez désormais, mon cher lecteur. D'où le développement des sciences et du capitalisme dans nos sociétés désormais dépendante de l'intelligence artificielle appelée IA. |
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Par tout ce que je venais de vous exposer, on voyait l'évident ressurgissement du passé dans le présent par la triste affaire de Socrate condamné à mort par la république Athénienne. |
Pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, je pensais au début que mon vilain bouquet de fleurs m'avait été envoyé par quelqu'un de ma famille. En constatant, si vous suiviez les enquêtes policières à la télé tel-les que les enquêtes impossibles de Pierre Belmare ou Redrum (murder à l'envers) que l'assassin était so-uvent un proche de la victime! A ce propos, j'avais eu un gros différent avec un de mes frères et une de mes demi-soeurs qui m'avaient accusé injustement d'avoir volé de l'argent à ma mère après son décès! Ce que j'avais trouvé odieux de leur part sachant que j'avais sacrifié ma vie en restant célibataire afin de res-ter à ses côtés. Apparemment, mes deux gripsous de frère et demi-soeur n'avaient rien saisi à mon sacrifi-ce en ne pensant qu'a l'héritage que le décès de leur mère pouvait leur rapporter. Mais ce que je trouvais surtout immoral de leur part, c'était de traiter le génie de la famille de cette façon si odieuse. N'êtes vous pas du même avis que moi, mon cher lecteur? Mais je ne dévoilerai pas ici leurs prénoms, car je ne voud-rai pas que mon public qui me suit depuis des années sur mon site Internet( au nombre de 400 visiteurs par mois) les insultent et les harcèlent sur les réseaux sociaux, bien évidemment. Voyez, mon cher lect-eur, comme je suis indulgent envers ces gens qui voulaient, ne nous le cachons pas, me trainer devant les tribunaux! Mais bon, comme l'un est dans la fonction publique et l'autre dans le secteur bancaire, ça ne m' étonnait guère de leur réaction vu que les bourgeois ont toujours été les ennemis des prophètes et des génies depuis la naissance de la société moderne, n'est-ce pas? Car ces deux énergumènes, que je qualifie-rais d'être sans coeur, étaient plutôt bien lotis dans la vie où ils possédaient leurs propres maisons, des revenus confortables et sûrement un gros magot à la banque, Ah!Ah!Ah! |
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Puis reprenant ma conversation ave lui, je lui parlais ouvertement de sa mère en lui disant qu'elle était skizophrène, mais qu'elle refusait toujours de le reconnaître. Ce qui déclencha un mouvement d'humeur ou de désaccord de la part de sa copine, qui semblait la connaître, mais pas aussi bien que moi qui avait supporté sa tyannie, Ah!Ah!Ah! Puis je lui avouais qu'a l'age de 18 ans, elle avait fait une tentative de su-icide à la maison en avalant une boite de somnifères. Ce qui le surprit véritablement, car il avait toujours pensé que sa mère était une force de la nature et d'une moralité exemplaire depuis sa conversion à l' Isl-am. En fait, il ne semblait pas si déstabilisé que cela, car il m'avoua peu de temps après qu'elle faisait toujours ses crises et qu'il ne fallait pas être à ce moment sous ses griffes, Ah!Ah!Ah! Ce qui me prouvais qu'elle n'avait véritablement pas changé et qu'elle était toujours atteinte de skizophrènie et bien que sa convesion à l'Islam l'avait un peu calmé, mais sans plus. En fait, je pensais en lui racontant cette petite histoire qu'elle resterait entre nous, comme des confidences de comptoir. Mais j'appris quelques temps plus tard de la part de mon frère que ma demi-soeur ne voulait plus me voir sans me donner la moindre explication! Ainsi, je compris que mon neveu lui avait raconté tout ce que je lui avais dit d'une manière confidentielle. Bref, je ne savais pas qu'il était un grand idiot, Ah!Ah!Ah! Et puis après tout, c'était une façon de remettre les pendules à l'heure, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Et que de clarifier les choses me sembla tout à fait le bienvenu pour régler enfin nos comptes avec le passé. |
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Bref, j'ai toujours senti en moi un prophète, mais que mes contemporains n'ont jamais voulu écouté, car ils pensaient dure comme fer que leur destin ou planche de salut se trouvait dans l'économique et dans le matérialisme. Ah mes pauvres frères humains! Où développer leurs sens et les connecter au cosmos et à leur environnement naturel pourrait leur ouvrir leur intelligence et les mener vers un monde meilleur. Mais apparemment, ils n'en voulaient pas parce qu'ils étaient bêtes et que l'humanité était mauvaise par nature, Ah!Ah!Ah! Je ne disais pas que tous les hommes l'étaient, mais la grosse majorité entraînait la partie la plus saine vers la bêtise généralisée et la folie, comme par un mimétisme idiot qu'on observait tous les jours dans les médias où ils nous dictaient notre comportement tel un diktat existentiel. Ah pau-vre humanité, m'écriais-je souvent pour tes catastrophes à venir! |
En retrouvant mes esprits dans ce monde absurde, où je voyais mon vilain bouquet de fleurs prêt à me dévorer telle une plante carnivore, je me demandais si je n'allais pas porter plainte au commissariat le pl- us proche pour tentative d'assassinat par fleurs interposées? Je sais, une étrange idée qui me passait par la tête qui bien sûr ferait exploser de rire l'inspecteur et tous ses collègues, Ah!Ah!Ah! Et j'entendais déjà son discours plein de bon sens me sermonner tel un enfant immature : Voyons, Monsieur Maaded, soyez sérieux, vous savez bien d'après la loi française et internationale qu'on ne pouvait pas porter plainte con-tre quelqu'un qui vous avait envoyé un bouquet de fleurs, si mal agencé, soit-il! Et bien évidemment, monsieur l'inspecteur, j'étais obligé de l'accepter parce que c'était la loi! lui aurait répondu comme indig-né. Mais oui, Monsieur Maaded, vous êtes obligé de vous y soumettre, sinon vous seriez hors la loi et que je pourrais bien vous arrêter en voulant faire justice vous-même. |
-Monsieur l'inspecteur, vous plaisantez? |
-Mais non, je plaisantais pas et je vous conseillerais de retrouver les pieds sur terre avant que je vous enferme dans un hôpital psychiatrique, Monsieur Maaded. Car vous savez bien que vouloir la mort de quelqu' un n'est pas un crime! |
-Comme c'est dommage! |
-Comment, c'est bien dommage? me demanda-t-il comme interloqué. |
-Oui, je trouvais cela bien dommage qu'on ne puisse pas arrêter le futur assassin avant qu'il commette son crime! |
L'inspecteur, étonné par mon discours, me regarda soudainement comme le génie de la lampe d'aladin et sembla prêt à m'écouter plus longuement et surtout plus sérieusement. |
-Monsieur Maaded, si vous avez des idées dans ce domaine là, je suis prêt à les écouter, me dit-il en s'ass-eyant à son bureau avec plein de gravité. |
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Donc, si je vous ai bien compris, il faudrait arrêter tout le monde pour en finir avec le problème de la cr-iminalité? |
-Oui, bien effectivement. |
-Mais vous êtes fou, Monsieur Maaded! Car qui d'entre nous n'a jamais voulu un jour assassiner sa fem- me et ses enfants après une rude journée de travail? |
-A mon avis, peu de gens. Mais je peux parfaitement vous comprendre, cher inspecteur. Car moi même combien de fois n'ai-je pas voulu tuer mes frères et soeurs parce que l'un d'entre eux avait pris la plus grosse part de pizza sur la table ou bien vidé la bouteille de lait au petit-déjeuner, mangé tout le pain, avalé la tablette de beurre, vidé le pot à café, le pot de confiture sans rien laisser aux autres, sinon un nombre de fois incalculable? Sans oublier une chose abominable de leur part, quand il fallait faire les courses pour soulager maman, étrangement, tout le monde disparaissait de la maison sauf moi qui me re-trouvais comme pris au piège! |
-Oh oui, Monsieur Maaded, je peux parfaitement comprendre votre désarroi devant de tels comportement égoïstes. Mais je veux vous assurer que c'est souvent le cas dans les familles nombreuses où la cohabita-tion forcée avec ses frères et soeurs entraîne ce genre de dérive et de mauvaises pensées à leurs égards qui ne s'arrangent pas avec le temps, il faut le dire. Et puis d'après les statistiques officielles de la police, c'est dans les familles nombreuses que l'on trouve le nombre de criminels le plus important! |
-Je suis entièrement d'accord avec vous inspecteur et c'est bien pour cette raison que je suis venu vous voir à propos de mon vilain bouquet de fleurs, qui n'oubliez pas avait des intentions malsaines voires cri-minelles à mon égard vu sa funeste carte de condoléances et ses piquants et orties à l'appui. |
-Mais ne vous énervez pas comme ça, ce n'est qu'un banal bouquet de fleurs qui, reconnaissez-le, ne vous avait pas tué pour l'instant, n'est-ce pas? |
-Non, disons pas pour l'instant, mais c'était apparemment ses intentions! |
-Allez, ne soyez pas parano, car même si je peux comprendre votre haine envers vos frères et soeurs, on ne pouvait pas les accuser de vouloir votre mort. Et puis soyez réaliste, quand ils vous ont fait toutes ces misères, vous ne les avez pas tué pour autant, n'est-ce pas? |
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-Oui, parce que vous connaissiez la loi qui vous l'interdisait, n'est-ce pas? |
-Alors là, vous n'y êtes pas du tout, inspecteur! Et pour vous dire toute la vérité, c'est parce que je ne voulais pas faire de la peine à me mère pour laquelle j'étais son fils adoré. Et en passant à l'acte, j'étais sûr de perdre son amour inestimable pour moi. |
-Vous êtes un bon fils, Monsieur Maaded et je vous crois inoffensif pour vos semblables. Car vous aviez toutes les raisons de les assassiner, comme dans une tragédie grecque, mais que vous ne l'aviez pas fait pour garder l'amour et le respect de votre maman, n'es-ce pas? Et je pense sincèrement que vous avez une bonne nature qui me permet de continuer ces propos forts intelligents avec vous sans craindre à ma vie. |
-Monsieur l'inspecteur, je veux vous assurer, qu'il m'est jamais venu à l'idée de vouloir vous assassiner dans votre bureau de chef de la police! |
-Ah!Ah!Ah! ria-t-il en se coulant dans son fauteuil. Vous, sûrement. Mais comprenez que les voyous que j'interroge ici dans mon bureau n'ont pas les mêmes idées que les vôtres et qu'ils prendraient un grand pl-aisir à m'assassiner ou à m'égorger comme un poulet! |
-Oh oui, c'est certain. Car quel voyou n'aimerait pas séquestrer un inspecteur de la police nationale au fond d'une cave et de le torturer pour le plaisir de l'entendre insulter les lois républicaines? |
-C'est comme je le crois, le grand fantasme de la plupart des voyous, mais qu'il ne réalise jamais dans la réalité,. Car ce sont des petites crapules dont les ambitions sont minables et pas du tout politiques, je vo-us l'assure. Mais il est vrai quand vous sentez sa haine monter en lui et vous envahir d'une manière terr-ible et vouloir votre peau, vous ne pouvez pas rester insensible en sentant devenir sa proie. |
-Alors vous voyez bien que nous ne sommes pas si éloignés que cela avec mon vilain bouquet! |
-Oui, mais votre bouquet de fleurs n'a pas la dangerosité d'un homme qui à tout moment peut dégainer un pistolet ou un couteau pour vous envoyer deux mètres sous terre! |
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L'inspecteur, bouleversé par tout ce que je lui disais, porta son index sur son menton comme mué par une grande réflexion et me dit : Monsieur Maaded, si vous avez des idées de ce genre à me proposer, je suis prêt à vous écouter plus longuement! en allant fermer la porte de son bureau pour ne pas être dérangé. |
Puis reprenant sa place derrière son bureau, il me dit : J'aime bien votre nouveau concept de la justice, disons révolutionnaire, mais avec le défaut de vouloir enfermer tout le monde pour garantir la paix et la sécurité à une petite minorité! |
-Comprenez bien, cher inspecteur, que je ne veux en aucune façon enfermer tout le monde en prison, car ces dernières ne seraient pas, à mon avis, assez vastes pour pouvoir le faire, mais seulement arrêter ceux qui sentent l'odeur du crime! Car d'après moi, il n'y a pas de fumée sans feu, ni odeur sans futur crime. |
-Oui, tout cela me semble cohérent. Mais que vous voulez me dire au juste? |
-En fait, je pense que la plupart des auteurs de romans policiers et des professionnels du crime comme vous, inspecteur Moutier, font toujours la même erreur qui est de croire que le futur crime à l'odeur du sang, alors qu'il en est rien! |
-Comment il n'en est rien? |
-Oui, car depuis que j'ai reçu mon vilain bouquet de fleurs, j'ai comme des picotements dans le nez et des éternuements à répétition, alors que les grands froids sont bien loins! |
-Oui, mais que voulez-vous me dire exactement? |
-C'est comme si quelqu'un à distance me voulait du mal ou ma mort dont mes sens n'étaient pas insens-ibles à l'évidence. |
-En fait, Monsieur Maaded, je crois que vous êtes quelqu'un de superstitieux et qu'en soignant tout simp-lement votre rhume chronique, vous pourriez sortir de cette grotesque histoire, comme je le crois! me dit-il en voulant jouer au médecin, alors qu'il n'y connaissait rien sauf en médecine légiste ou cadavéri-que, Ah!Ah!Ah! |
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Ébranlé par mon assurance et mes croyances extravagantes, il me regarda bizarrement comme un voyou qui s'ignorait et posa sa main sur l'étui de son flingue sous la veste de son gilet! |
-Monsieur Maaded, me dit-il avec sévérité, si vous êtes venu au commissariat pour rendre fou les forces de l'ordre, je crois bien que vous vous êtes trompé d'adresse, car vous ne trouverez ici que des hommes et des femmes qui ont la tête sur les épaules et que vous devriez consulter un psychologue ou un psychiatre pour résoudre votre problème de paranoïa. |
-A mon avis, je pense que vous faites erreur, inspecteur, en ignorant les indices que je vous ai donné sur mon futur assassinat. |
-Encore des grands mots! me lança-t-il en se levant et en regardant soudainement la lumière blanche des néons au plafond. Apparemment, il semblait très énervé par mon histoire insolite et me tournait le dos, comme s'il ne savait pas comment l'aborder ou bien la résoudre comme il l'avait appris à l'Ecole de la po- lice nationale où ce cas n'avait jamais été envisagé. Puis se tournant brutalement vers moi, il me dit : Bon d'accord, quelle est cette odeur si particulière qui nous orientait sur un futur crime? |
-Ah enfin inspecteur! je lui lançai après avoir été pris pour un fou ou un débile mental. Ce dernier, forcé de m'écouter ne dit rien et se rassit telle une grosse masse sur son fauteuil à moitié rapiécé tellement le budget de la police avait été réduit par nos derniers gouvernements qu'ils soient de gauche ou de droite. |
Mais pour une raison étrange, il se releva soudainement et prit sur son bureau un rouleau de scotch et en découpa une large bande qu'il colla aussitôt sur son siège, qui était déchiré à plusieurs endroits dû à un manque évident de moyens de la police pour renouveler son mobilier, mais aussi, ne nous le cachons pas, à force d'y poser son gros cul d'inspecteur, Ah!Ah!Ah! |
-Oh excusez-moi, Monsieur Maaded, me dit-il d'un air un peu gêné, mais il nous faut faire avec les moy-ens du bord, voyez-vous. |
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-Ah!Ah!Ah! ria-t-il d'une façon nerveuse, puis se rassit en laissant échapper un pet que je ne pouvais soupçonner de sa part vu son éducation rigide faite par son père que je devinais être un ancien inspecteur divisionnaire à la retraite connaissant tous les rouages de la criminalité à tous les étages de la société fra-nçaise. Bref, fronçant les sourcils en entendant ce bruit insolite de Prouuut, il se releva et inspecta avec attention son siège et me dit avec hilarité : Ah!Ah!Ah!, je crois bien que mon scotch n'a pas tenu et que mon siège a encore explosé! Monsieur l'inspecteur, lui dis-je, croyez-bien que je vous plains sincèrem-ent de devoir vous coltiner tous les jours ce genre de petits bricolages, alors que dans la rue courent de dangereux criminels! En lui rappelant toutes ces choses évidentes pour moi d'une façon impromptue, il arrêta de couper ses bandes de scotch et me dit avec plein de gravité : Mais oui, mais oui, vous avez enti-èrement raison! Mais comprenez-bien qu'un inspecteur de la police nationale a un prestige à tenir et qu'il ne peut pas s'asseoir sur une cagette de poulets ou de fruits et légumes pour rétablir l'autorité! |
-Entièrement d'accord avec vous, inspecteur! je lui lançai afin de lui permettre de consolider son siège ou sa place inamovible dans la fonction publique avec les moyens du bord qu'il aimait tant me rappeler pour ne pas faire son travail réel tellement il était ardu et ingrat au point que personne ne voulait le faire, bien évidemment. Car d'après les chiffres officiels du ministère de l'intérieur et malgré un sureffectif de la po-lice dans les commissariats et dans les rues à patrouiller vainement à gaspiller du carburant au frais du contribuable, la criminalité ne baissait pas pour autant et disons-même avait tendance à augmenter dans les grandes villes! Bref, un paradoxe que même les policiers n'arrivaient pas à s'expliquer en passant la plus grande partie de leur temps à rafistoler leur mobilier de bureau, à réparer l'imprimante qui était tou-jours en panne ainsi qu'un manque de papier constant dans la cassette, graisser la gâchette de leur pistolet qui avait tendance à s'enrailler et recoudre eux-mêmes leurs gilets par balle qui avaient été malmenés par les gros calibres du grand banditisme ou par de furieux terroristes etc, etc. |
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-Entièrement d'accord avec vous, cher inspecteur. Donc, si je vous ai bien compris, l'Etat était pour vous une chose bien pratique pour tirer sur tout ce qui était noir ou musulman, hum? |
-Quoi que dites-vous là, Monsieur Maaded? |
-Mais non, je plaisantais, monsieur l'inspecteur. Je voulais simplement dire qu'il devait être bien difficile pour un policier de tirer dans le noir et de faire une sommation dans la langue de Molière! |
-Mais oui, vous avez entièrement raison vu qu'en France, il était très difficile pour nous de nous faire comprendre avec des mots simples que la plupart des gens de cultures étrangères comprenaient malheure-usement de travers, car ils pensaient que la France était le pays de la liberté donc d'un grand de foutoir! |
-A mon avis, inspecteur, le mot de liberté n'avait pas du tout le même sens selon la culture d'où l'on ven-ait ainsi que les droits de l'Homme qui semblaient une aberration pour les gens vraiment libres. |
-Mais que voulez-vous dire par là? me demanda-t-il comme intrigué. |
-Oh, je voulais parler de ces voyous qui n'avaient aucune règle morale ou de respect pour nos institu- tions républicaines! |
-Oui et c'est bien pour cela que nous sommes là, nous les forces de l'ordre, pour empêcher ces malotrus de semer le chaos dans notre chère république! dit l'inspecteur en reprenant ses ciseaux, puis en découpa-nt de nouvelles bandes de scotch pour réparer son siège, qu'il ne comptait à aucun moment remplacer en le payant avec ses propres deniers. Assis en face de lui, j'étais très gêné par son odieux avarisme en devi-nant, non sans arguments, que dans la police on devait être de gros radins comme la plupart des Français en se servant largement sur les comptes bancaires des dealers de drogue qu'on avait arrêté pour renflouer les caisses de l'Etat et payer ses fonctionnaires. Bref, j'attendais, non sans nervosité, que monsieur l'inspe-cteur veuille bien terminer une de ses occupations favorites, afin de le relancer sur mon futur assassinat. |
Après avoir vidé entièrement le rouleau de scotch payé aux frais du contribuable, l'air satisfait, il se rassit dans son fauteuil, comme le pape sur son saint siège et me dit: Ah oui, Monsieur Maaded, mais où en éti-ons-nous exactement? |
-Inspecteur Moutier, je voulais vous demander si vous vous êtes déjà promené à la campagne? |
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-Et vous êtes vous déjà approché de ces champs de ronces longeant nos charmantes routes françaises sans y ressentir une certaine frayeur? je lui demandai d'une façon toute naturelle. |
-Mais oui, bien sûr, comme tous les Français, je crois. Et je ne vous cacherai pas que j'aurais bien voulu y jeter toute ma famille à l'intérieur pour m'en débarrasser une bonne fois pour toute, Ah!Ah!Ah!! ria-t-il d'un air diabolique en pivotant sur son fauteuil comme sur manège en bois. Puis me regardant avec plein de malice, il me dit : Monsieur Maaded, je vois à quoi vous voulez en venir. Mais je veux vous assurer que d'après la loi française et internationale vouloir la mort des uns et des autres n'est pas un crime tant qu'on est pas passé à l'acte, n'est-ce pas? |
-Bien entendu, monsieur l'inspecteur, je ne suis pas de votre avis! je lui expédiai à la figure afin de lui montrer mon désaccord en lui disant d'un air impérial, comme à la Jules Cesar : Comprenez que si la loi était différente, je vous aurais fait tout simplement arrêter par la police! |
-Ah!Ah!Ah! ria-t-il en me croyant complètement fou. Mais vous délirez complètement, monsieur Maad-ed! Quoi, vous oseriez arrêter un inspecteur de la police Nationale dans son bureau par ses propres collè-gues? Mais vous êtes fou et je crois bien que je vais vous faire interner au plus vite à Sainte-Anne pour désordre public! me lança-t-il avec dans la bouche plein d'écume de colère contre moi. |
-Mais ne vous énervez pas comme cela, car vous savez bien que les députés de la république n'ont pas vo-té la loi pour l'instant et que vous pouvez dormir sur vos deux oreilles, je peux vous assurer! je lui exp-édiai afin de le lui éviter de me tirer une balle entre les deux yeux! |
-Ah, j'aime mieux ça! me dit-il en détachant discrètement sa main de son porte flingue. Comprenez-bien que dans les locaux de la police judiciaire, nous ne sommes pas habitués à des débats philosophiques de ce genre où les voyous deviennent tout à coup les bons et les honnêtes citoyens les méchants. Je suis dés-olé, mais ce ne sont pas les traditions de la maison ni de la république française. |
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-Bien, bien, voyons et pourquoi pas le préfet de la police des Hauts-de-Seine pour le vol de trois table- ttes de chocolat au Prisunic et le président de l'ordre moral pour exhibitionnisme? me lança-t-il en me fa-isant une horrible grimace tirée du théâtre Japonais. Je peux vous poser une petite question, monsieur Maaded? me demanda-t-il subitement |
-Mais oui, bien sûr, que vous pouvez... |
-Avez-vous pris ce matin des champignons hallucinogènes ou une substance illicite? me demanda-t-il brutalement en frappant son stylo à bille sur son bureau comme une petite matraque. |
-Ah non, inspecteur, jamais de la vie, je me serai permis de faire une telle chose avant de me présenter au commissariat et tout particulièrement devant ses respectables forces de l'ordre que vous représenter, je vous l'assure! je lui balançai comme une formalité appréciée par tous les fonctionnaires de police et con-nue par tous les voyous qui l'avaient expérimenté un millier de fois lors d'interrogatoires musclés dans les locaux de la police judiciaire, bref, une simple formule de politesse qui pouvait vous éviter de vous faire passer à tabac, Ah!Ah!Ah! Mais pourquoi vous me poser cette étrange question? je lui demandai en faisant l'innocent comme saint-Augustin. Mais voyant mon air angélique, il me dit:Non, j'disais ça comne ça! en lâchant subitement son stylo sur son bureau comme un combat perdu d'avance. Puis se rehaussant sur son fauteuil avec plein de gravité, il me dit : En fait, monsieur Maaded, je crois que vous prenez vos désirs pour des réalités. Et si vous comptiez réaliser vos phantasmes sous la 5 ème république française, je peux vous assurer que vous risquez d'être très déçu! tout en se laissant tomber lourdement sur son fauteuil que j'entendis exploser une seconde fois. Mais sachant que son rouleau de scotch était entièrem-ent vidé, il n'osa pas se relever et me regardait avec défiance et plein de rancoeur. |
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-Parce que tout cela pourrait bien changer, cher inspecteur! je lui envoyai avec assurance et fermeté que je me croyais incapable jusque là. |
-Mais que voulez-vous me dire exactement? me demanda-t-il l'air inquiet. |
-En fait, je voulais vous dire tout simplement que derrière ces masques, apparent de la respectabilité, il y avait des hommes et seulement des hommes! |
-Mais oui, je le sais bien. Et pensez-vous pour autant que je pourrais les arrêter pour cette raison? me de-manda-t-il avec une grande fermeté en sachant parfaitement ce que la loi lui permettait de faire ou de ne pas faire et bien évidemment pour en faire le moins possible, Ah!Ah!Ah! Puis reprenant son arrogance de fonctionnaire de police honteusement gonflée par le prestige d'assurer la sécurité de l'Etat et du citoyen, il me dit: Monsieur Maaded, soyez réaliste, mais vous savez bien que personne ne vous dira en face qu'il comptait vous assassiner ou bien voler votre portefeuille, n'est-ce pas? tout en basculant dans son fau-teuil qui se mit subitement à grincer comme un vieux manège. |
-Un peu d'huile ne serait pas inutile, cher inspecteur, je lui lançai afin de me venger de sa morgue insupp- ortable. |
-Désolé, monsieur Maaded, de vous briser les oreilles. Mais pour l'instant nous n'avons pas le budget su- ffisant dans la police Nationale, comme vous le savez. |
-Monsieur l'inspecteur, je vous assure qu'un litre d'huile au Prisunic ne coûte pas bien cher! je lui lançai afin qu'il soit plus pragmatique, mais surtout moins radin. |
-Mais je vous le répète une fois de plus, ce n'est pas à nous, les fonctionnaires de police, de nous payer nos fournitures de bureau et nos instruments de travail que sont nos armes et patati et patata, mais à l'Etat qui est notre employeur, ne l'oubliez pas! m'expédia-t-il à la figure tout en baissant les yeux sur son bur-eau où il déplorait l'état de ses stylos à billes, gommes, crayons à papier, ordinateur qui semblaient en bout de course. |
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-Ah oui, je m'en rappelle maintenant! En fait, je voulais tout simplement vous dire quand je vais sur Inte- rnet, j'apprenais tous les jours des choses hallucinantes sur notre société occidentale. Où la semaine dern-ière, j'ai appris que des blancs n'aimaient plus les blancs, des noirs détester les noirs, des phiosophes de gauche s'en prendre violemment aux gens de gauche, des juifs critiquer avec une grande hargne des juifs où certains étaient devenus antisémites et nostalgiques du 3 ème Reich! Sans oublier les gens sur Faceb-ook et sur Twitter où des pompiers nous avouaient sans honte avoir peur du feu ainsi que des sauveteurs en haute mer avoir peur de l'eau! |
-En êtes-vous sûr, monsieur Maaded? me demanda-t-il comme intrigué par mes hallucinantes révélations en ouvrant subitement son tiroir d'où il sortit un petit sac de cacahouètes qu'il déposa sur son bureau. |
-Vous aimez les cacahouètes? me demanda-t-il en poussant le petit sac dans ma direction. |
-Mais qui n'aime pas les cacahouètes, monsieur l'inspecteur? |
-Eh bien servez-vous, c'est moi qui les ai payé! me dit-il d'un air dégoûté comme s'il aurait aimé que l'Etat français les lui paye pour service rendu à la nation et pourquoi pas ses petits salés parfumés au Cu-rry ou à l'olive? Ah!Ah!Ah! ricanai-je intérieurement |
-Merci inspecteur, je lui dis en piochant ma main dans le sac qu'il surveilla avec une grande attention pour ne pas que je le vide. |
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-Inspecteur, je ne peux être que d'accord avec vous! je lui expédiai afin de le caresser dans le sens du poil. Et personnellement, je crois que si nos compatriotes avaient pété les plombs, c'est parce qu'ils n'avaient plus rien d'intéressant à dire ou à faire. |
-Que voulez-vous me dire exactement, monsieur Maaded? me demanda-t-il intrigué tout en rangeant son paquet de cacahouètes dans son tiroir pour un prochain interrogatoire. |
-En fait, je pense que si nos chers philosophes et autres intellectuels, chouchous des médias, tapaient dur-ement sur leur propre camp, c'est parce qu'ils n'avaient plus d'idées nouvelles à nous proposer tout bonn-ement. |
-Je pense saisir ce que vous voulez me dire, monsieur Maaded. Mais croyez bien que dans nos bureaux de la police judiciaire, nous ne faisons pas de politique ni nous ne tenons de colloques philosophiques ou intellectuels sur l'avenir de la société occidentale, mais devons suivre à la lettre les ordres du préfet qui sont soit d'intervenir soit de ne pas intervenir quand un danger se présente pour nos concitoyens! dit-il d' une façon pompeuse en bondant le torse. |
-Cela semble évident, monsieur l'inspecteur, ce qui vous assure ainsi l'éfficacité de vos actions pour ga-rantir la paix à nos concitoyens, n'est-ce pas? |
-Oui et c'est bien pour cette raison que nous, les officiers de police, nous ne sommes pas des philosophes ni des intéllectuels. Car cela risquerait de compliquer sévèrement nos arrestations de voyous en puissan-ce, qui pourait alors se defendre en nous sortant la déclaration des droits de l'Homme et pourquoi pas le petit livre rouge de Mao, Ah!Ah!Ah! ria-t-il en s'enfonçant dans son fauteuil comme un gros éléphant. Bi-en évidemment, je ne pouvais le contredire vu le poids de ses arguments. |
-En fait, ce que je voulais simplement vous révéler, inspecteur Moutier, c'était l'imposture de ces gens, honteusement nommés de génies par les médias, alors qu'ils n'en sont pas! je lui lançai afin d'être plus pr- écis dans mes argumentations auprès d'un officier de police qui semblait connaitre la réalité ou du moins saisir la vérité. |
74 |
-Pour vous répondre avec honnêteté, cher inspecteur, il me semble que si nos philosophes et autres inte-llectuels avaient pété les plombs en nous racontant à présent de grosses conneries, c'est parce qu'ils étai-ent tout bonnement des escrocs et qu'on le découvait aujourd'hui! je lui balançai comme une révélation stupéfiante qu'aucun journal télévisé n'aurait eu l'idée d'annoncer à la France toute entière pour éviter un fiasco économique aussi bien à ses auteurs qu'a leurs maisons d'éditions, Ah!Ah!Ah! |
-Comprenez bien, monsieur Maaded, que ce n'est pas pour moi une raison suffisante pour les faire arrêt-er! me dit-il brutalement. Car bien même ils seraient des escrocs, selon vos dires, l'escroquerie intellectu-elle, philosophique et littéraire n'est pas un délit punie par la loi! Je suis désolé de vous le dire, mais je ne fais que suivre les directives européennes sur les libertés démocratiques de notre pays qui permettent à chacun de dire autant de mensonges qu'il le veut du moment que des imbéciles sont prêts à les croire! me balança-t-il l'air plutôt satisfait par sa démonstration fumeuse. |
-D'accord, chef, je vois ce que voulez dire. Mais vous personnellement, comment faites-vous pour ne pas péter les plombs dans ce monde d'imposteurs et de brutes? je lui demandai un peu brutalement |
-Moi? |
-Oui, vous! |
-Eh ben, je bats régulièrement ma femme, mes enfants et mon chien pour ne pas m'en prendre à la société, Ah!Ah!Ah! ria-t-il sans la moindre once de culpabilité. |
-Inspecteur, vous avez visiblement trouvé le moyen idéal pour assurer la paix sociale hors de votre domi- cile, me semble-t-il? |
-Oui, c'est exact et que j'aurais tant aimé inspirer aux terroristes que nous avons sur notre territoire franç- ais, afin qu'ils arrêtent de balancer des bombes sur leurs concitoyens! me lanca-t-il comme une bombe. |
-Je suis entièrement d'accord avec vous, inspecteur. Mais sans indiscretion, n'avez-vous pas peur d'être poursuivi par les associations féministes, de protection de l'enfance et des animaux qui en France forme-nt un pouvoir considérable, hum? |
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-Une fois de plus, je suis d'accord avec vous inspecteur! je lui dis afin de lisser les choses. Mais sans ind- iscretion, votre femme, vos enfants et votre chien qu'en pensent-ils de passer à la moulinette tous les qui- nze jours, hum? |
-Alors là, monsieur Maaded, je rectifie votre erreur, car je ne les bats qu'une fois par mois, ce qui est un détail qu'il ne faut pas négliger, pensez-bien! me lança-t-il comme s'il voulait que je le considère comme un saint et pourquoi pas pour un saint apôtre? Ah!Ah!Ah! ricanai-je intérieurement. En fait, pour ne rien vous cacher, ma femme semble prendre du plaisir quand je la frappe et c'est bien évidemment une énigme qui nous échappe à nous les hommes qui par nature aimons taper sur tout ce qui est petit et faible et tout particulièrement à la police nationale où nous aimons frapper sur les Arabes, les noirs et les musulmans! ajouta-t-il comme pour enfoncer le clou. Quant à mes enfants, en leur donnant des coups sur la tête, je leur apprends ce à quoi qu'ils devront s'attendre dans ce monde violent qu'est notre société occidentale et capitaliste. Ainsi, ils seront mieux armés pour se défendre contre tous ces zoulous que nous avons en Fr-ance qui enfreignent nos lois pour le plaisir de les enfreindre. Car ils croient que la liberté, c'est la permi-ssion de faire tout ce qu'on le veut et pourquoi pas se branler en public? lâcha-t-il violemment dans le bureau. J'espère seulement que mes enfants suivront mes pas dans la Police Nationale où ils auront en fait peu de choses à apprendre, vu que je les avais formé de la meilleur façon qui soit, me dit-il comme satisfait par son boulot de père de famille violent. En voulant semble-t-il la perpétuer comme une tradi-tion dans la police française où l'on était macho et raciste par déformation professionnelle, ne nous le ca-chons pas, mon cher lecteur. Ceci est dit bien évidemment sans vouloir faire de polémique auprès de nos forces de l'ordre que nous aimons tant, n'est-ce pas? |
-Mais alors pourquoi vous en prendre à votre chien qui ne vous avait rien fait ni aucun mal à la société des Hommes? Je lui demandai subitement. |
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-Oh, comme je vous comprends, monsieur l'inspecteur ! Mais alors comment faites-vous pour le punir de ce trop plein d'amour en vous bavant continuellement dessus et en mettant très certainement des poils de partout sur vos beaux costumes et uniformes, j'imagine? je lui demandai afin de connaître ses perversités. |
-Oh, c'est simple, je le prive de nourriture et d'eau pendant 3 jours afin qu'il comprenne que son amour baveux, je n'en veux plus! Je n'en veux plus! cria-t-il d'une maniere hystérique au point d'allonger ses jambes sur la table comme pour décompresser où j'aperçus qu'une de ses semelles était trouée! |
-C'est vrai que les croquettes pour chien sont un peu chères en ce moment, même à Carrefour, comme si leur prix était fixé à la bourse de New York! je lui lançai afin de compatir à ses maigres émoluments d' inspecteur de police et le peu d'argent qu'il lui restait pour pouvoir se payer une nouvelle paire de pompe. |
-Vous avez entièrement raison, monsieur Maaded. Mais j'aurais moi aussi une question à vous poser. Car je vous trouve bien indiscret sur ma vie privée, alors que vous ne m'en avez pas dit une miette sur la vô-tre, hum? |
-Oui, bien effectivement, mais quelle est votre question exactement? |
-Mais vous, personnellement, comment faites-vous pour ne pas péter les plombs dans ce monde où appa-remment vous êtes pris pour un imbécile et sans la moindre considération de la part de vos semblables? me balança-t-il d'une façon méprisante comme si j'étais un minus ou comme avait dit notre dernier prési-dent de la république( François Hollande), un sans dents! Et contrairement à ce qu'avaient raconté les mé-dias, cette expression "les sans dents" n'était pas destinée aux gens qui n'avaient pas les moyens de se pay-er des frais dentaires, mais à ceux qui n'avaient pas les dents assez longues pour se battre dans la société, Ah!Ah!Ah! Apparemment, Tierwieler, son ex petite idiote n'avait rien compris au sens caché des propos de son ex-coureur de jupon. Ajoutons à cela, les propos méprisants de son actuel successeur, monsieur Macron, sur "les gens qui n'étaient rien" parce qu'ils ne pouvaient pas lui répondre en direct dans les me-dias. Bref, une chose si facile pour lui, mais pas pour les gens anonymes, n' est-ce pas? |
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-Bien, bien, monsieur Maaded, me dit-il, malheureusement, je ne peux pas vous arrêter pour cette raison. Car pour la loi française et internationale, ce que vous faites chez vous en privé n'est pas un délit puni par la loi! déplora-t-il en faisant une moue indescriptible. |
-Oui, c'est évident et c'est bien pour cela que je vous l'ai dit ouvertement en sachant que je prenais aucun risque! je lui balançai à la figure, mais sans pour autant lui rire au nez, car je pense sincèrement qu'il m' aurait déchargé deux balles dans le crâne! |
Bref, après toutes ces confidences explosives, un lourd silence s'installa dans la pièce où j'avais l'impres- sion que l'inspecteur de police, monsieur Moutier, inspectait ma conscience tel un adepte de Freud ou de la psychanalyse, mais en n'y connaissant rien du tout en sachant qu'on enseignait pas ces choses à l'école de Police. Bizarrement, j'imaginais alors un nouveau métier pour les futurs policiers où ils n'auront plus à arrêter les voyous par la force, mais en sondant leur conscience comme des mentalistes afin de connaît-re leurs intentions malsaines. A ne surtout pas confondre avec le détecteur de mensonges employé par la police américaine où le voyou pouvait mentir comme il voulait aux questions des enquêteurs pour le pl-aisir de mentir, Ah!Ah!Ah! En imaginant la science de demain où elle trouvera une machine ou un gadget électronique pour renifler ou détecter les mauvaise intentions des gens qu'ils soient riches ou pauvres, bien évidemment. En respectant le traitement égalitaire tel qu'on ne pouvait que le concevoir en France dans son système républicain. L'inspecteur, à le voir me faire une drôle de figure, semblait très perturbé voir halluciné par ma personne qui lui paraissait comme un ovni venant d'une autre planète ou si vous voulez comme un objet vivant non identifiable pour l'instant. Car je sentais bien qu'il n'arrivait pas à son-der ma conscience ou mon hyperconscience de génie avec ses faibles moyens sensoriels et intellectuels. Puis sans raison apparente, il s'enfonça dans son fauteuil en prenant étrangement une pose philosophique, je ne dirais pas à la Rodin, mais en mettant son menton dans le creux de sa main et en me demandant biz-arrement : Monsieur Maaded, pensez-vous vraiment révolutionner la littèrature française en inversant se-ulement l'ordre des mots dans une phrase, hum? tout en faisant gigoter ses doigts sur sa joue comme pour me montrer son impatience. |
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-Oui, comme tous les Français qui croyaient malheureusement qu'en inversant l'ordre des mots dans une phrase, ils pouvaient réformer leurs institutions et tous le reste avec! me dit-il en me jetant un regard cyn- ique. |
-Croyez-bien, inspecteur, que je ne changeais pas seulement l'ordre des mots dans une phrase, mais littér-alement le sens! je lui balançai afin de lui faire comprendre que la langue française était une petite merve-ille pour tout dire et son contraire en même temps, bref, une vraie machine à mensonges où la vérité ne représentait que 10% de sa littérature, Ah!Ah!Ah! Mais c'était toujours ça, j'avais toujours pensé en y vo-yant une formidable machine à rêves pour les tous Français qui vivaient dans un monde chimérique fait de fêtes citoyennes et de grèves permanentes payées aux frais de la princesse, Ah!Ah!Ah! Mais entre nous que serait la vie des Français sans leurs formidables illusions, mon cher lecteur, sinon qu'un affreux cau-chemar? Et souvent, je me demandais si les Français pourraient survivre à l'éffondrement de leur Etat qu' ils idôlatraient telle une ruche pleine de miel? Car à les voir agir dans la réalité où ils se sentaient si seuls et perdus, comme des enfants immatures, j'étais convaincu qu'ils deviendraient complètement fous en qu-elques semaines sachant qu'ils l'étaient déjà à moitié, Ah!Ah!Ah! En fait, comme tous les Français avaient une nature de suiveur et de domestique, le fait de perdre leur grand ordonnateur serait pour eux comme leur donner le coup de grâce. Car il leur fallait absolument quelqu'un ou quelque chose d'autoritaire pour les rassurer et leur montrer la bonne direction des étables où ils seraient en sécurité et surtout loin du grand méchant loup qui rôdait dans les environs, Ah!Ah!Ah! Ainsi était la nature du Français qui ne chan-gerait pas d'ici tôt, croyez-moi. Bref, en voyant l'inspecteur, assis dans son fauteuil dont la mousse de rembourrage débordait de tous les côtés, j'avais l'impression d'avoir affaire à un escroc dont le pouvoir était légitimé par l'Etat et bien évidemment pour nous emmerder jusqu'à la fn des temps, Ah!Ah!Ah! En supposant, non sans raison, que dans 4000 ans, nous aurions aussi nos flics de l'espace ainsi que nos vo-yous interplanètaires trafiquant des poudres magiques et diverses monnaies martiennes ou jupitériennes. |
-Monsieur Maaded, vous n'avez pas l'air d'aimer vos compatriotes! me dit-il subitement. |
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-Oui, je vois ce que voulez dire, monsieur Maaded, où moi-même et mes collègues de la police nationale sommes quotidiennement emmerdés par des voyous de toutes espèces venant de tous les horizons socia-ux, je vous l'assure. |
-En fait, vous courez toute la journée après tout le monde sans avoir quatre paires de jambes pour pou-voir le faire, n'est-ce pas? |
-Oui, c'est exact et c'est vraiment très épuisant pour nous les fonctionnaires qui attendons depuis des ann-èes la decision de l'Etat de nous mettre la journée de 3 heures au lieu de la semaine de 25 heures actuel-le pour pouvoir enfin courir après des choses plus plaisantes et de plus agréables, croyez-moi. |
-Oh oui, comme je vous comprends, monsieur l'inspecteur! je lui dis afin de compatir à son sort de prof-essionnel de la gâchette facile, de la cible préférée des terroristes et du bracelet de menottes qui fait tant de mal aux poignets d'après ma propre expérience. Donc, si je vous ai bien compris, vous êtes d'une cert- aine façon menotté aux voyous jusqu'à votre retraite? je lui lançai pour le déprimer encore plus. |
-Oui, si l'on peut dire et sans l'assurance d'y arriver vivant, croyez-moi! me dit-il en voulant m'inspirer presque de la pitié. Mais une pitié à laquelle je ne voulais pas participer, car je savais en toute connaiss-ance de cause que monsieur Moutier, inspecteur de police de son état, avait un emploi à vie, un salaire à vie et une retraitre assurée s'il survivait à son metier! |
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En fait, l'un et l'autre n'avaient aucun rapport, car les génies étaient en faible nombre parmi nous (envir-on 10%), alors que les imposteurs pullulaient dans notre société française où ils ne visaient que la réuss-ite sociale et l'argent, bien évidemment. Car seuls les génies étaient capables de créer des oeuvres uniques et exceptionnelles donc pas répliquables en une infinité d'exemplaire. Alors que les imposteurs, qui étai-ent au départ des commerçants( je n'ai rien contre les commerçants) voulaient produire des biens marcha-nds en quantité industrielle touchant malheureusement aux activités culturelles. Ce qui n'était pas du tout dans le domaine de leurs compétences et surtout très préjudiciable pour l'avenir de notre société. Comp-renez bien que je ne critiquais pas les vrais commerçants qui faisaient du vrai commerce dont nous avi-ons besoin pour nous assurer les moyens de manger, de s'habiller et de se meubler, par exemple, mais les commerçants de la deuxième catégorie qui étaient d'ordre idéologique, intellectuel, voir artistique faisant partie de l'art contemporain en produisant des oeuvres de piètre qualité qui faussaient nos jugements est-hétiques pour nous entraîner à très court terme vers le chaos culturel. Bref, un chaos culturel que nous percevions déjà autour de nous avec les nouvelles hallucinantes que nous apprenions sur Internet et sur les réseaux sociaux où toute la planète semblait péter les plombs avec l'incroyable montée du terrorisme, comme si l'on assistait à l'implosion du monde en direct sans que l'on puisse changer le cours ou le des-tin, sinon vouloir le retour des génies parmi nous pour changer la donne? Car je veux vous assurez que la Nature ne donnait pas du génie à tout le monde, mais seulement à ceux qui étaient aptes à l'assumer en sachant bien qu'ils seront haïs en grande majorité par leurs contemporains, tel que je le suis en me sentant très injustement maltraité par la société française. Bref, d'avoir un courage monumental pour assumer cette lourde responsabilité de dire tout simplement la vérité à mes contemporains, ce qui n'était pas une mince affaire voire une mission quasi impossible. Car le génie ne pouvait être compris par le commun des mortels en sachant qu'il était proche de la folie, mais que ce dernier contrôlait à l'encontre des vrais fous dont les idées délirantes et complèment folles partaient dans tous les sens et l'entraineraient fatalem-ent à plus ou moins court terme dans un asile psychiatrique. |
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Apparemment, dans ce monde très incertain, tout le monde cherchait son double ou son autre moitié. Et je me demandais étrangement si le chiffre 2 n'était pas le chiffre magique ou le nombre d'or qui régissait l'ordre dans tout l'univers? Car que seraient alors les femmes sans les hommes et vis-versa, l'Eglise sans le mal, l'Etat sans le peuple, les pompes funèbres sans la mort( dont j'aurais tant aimé organiser les obsè-ques en grandes pompes pour le plaisir, Ah!Ah!Ah!), les flics sans les voyous, les imbéciles sans les gens intelligents, l'avenir de l'humanité sans les génies, les médias sans les imposteurs, le capitalisme sans l'ar-gent, les planètes sans la force de gravité? etc. Bref, une chose inenvisageable pour que le monde puisse tourner rond, n'est-ce pas? En regardant l'inspecteur Moutier assis dans son fauteuil (où il ne manquait que les deux roues pour ressembler à un fauteuil d'handicapé mental et physique, Ah!Ah!Ah!), je le vis ouvrir son tiroir et piocher dedans des cacahouètes comme pour doper son intelligence qu'il savait peu développée. Son geste me faisait penser ironiquement a la manie de nos très célèbres Obélix et Astérix( nos personnages de BD très franchouillards) qui prenaient leur potion magique pour se sentir plus fort voir plus audacieux pour aller combattre l'Empire Romain ou si vous voulez les forces qui les dépass-aient de tres loin. C'est à dire les génies et les criminels dont les actes immoraux et ignobles étaient para-doxalement un réservoir inépuisable d'emplois aussi bien pour la police que pour les hôpitaux et les po-mpes funèbres, nécessairement. A le voir assis dans son fauteuil de paralytique, il me faisait vraiment pit-ié au point que j'avais presque envie de lui lâcher une petite larme, mais que je me refusais afin d'éviter une déshydratation rapide dans son bureau où le chauffage était poussé à fond, comme pour rôtir les voyous menottés à leurs sièges. Avec l'impression d'assister à une vaste comédie que j'aurais appelée sans problème, l'Opéra des escrocs où les comédiens jouaient fort mal et les chanteurs chanter horriblement faux en assistant en direct au suicide du metteur en scène pour des raisons parfaitement compréhensibles. Bref, nous étions au théâtre français peuplés de fous et d'illuminés, Ah!Ah!Ah! |
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Bref, avions-nous affaire ici à un second Water-Gate ou un garde du corps avait eu la grosse tête en se prenant pour Robin des bois au service de sa majesté, le Roi, Emmanuel Macron? Ah!Ah!Ah! Si c'était le cas où le président lui avait donné cette mission d'être un espion aux très larges libertés, on pouvait dire sans bien se tromper qu'il avait violé les lois de la démocratie en se prenant pour un prince, n'est-ce pas? Ce qui entre nous n'était pas un crime pour un vrai prince, alors un crime odieux pour un républicain qui de surcroît se prenait pour un saint, Ah!Ah!Ah! Apparemment, notre ange Emmanuel( et non pas Gabriel) avait pris du plomb dans l'aile et son auréole se cassait la gueule dans les sondages, Ah!Ah!Ah! Ce qui ne relevait pas du hasard, mais à une intervention divine où Dieu avait utilisé monsieur Benalla comme int-ermédiaire. Car en séparant le nom de Benalla en deux parties soit en Ben-Alla, on saisissait aussitôt que ce nom signifiait en Arabe : Bienvenue Allah! Ce qui nous montrait bien ici une intervention divine afin que notre jeune président retrouve les pieds sur terre et qu'il arrête de se prendre pour un saint, mais seu-lement un petit veinard qui avait été touché par la chance du débutant, Ah!Ah!Ah! En fait, c'était la grande illusion que vous donnait la réussite facile, comme si vous aviez gagné au loto en pensant que Dieu vous avait élu parmi des millions de joueurs en gonflant au passage votre monstrueux orgueil, Ah!Ah!Ah! Ap-paremment, c'était le cas pour notre jeune président qui n'était qu'un homme ordinaire ou si vous voulez le fils héritier de François Hollande, bref, un républicain issu de la petite bourgeoisie de province. En all-ant sur Internet, j'ai appris que son père était médecin et apparemment son fils n'avait pas voulu suivre ses pas qui étaient de soulager et de soigner les malades. Bref, une indisposition à la compassion des autres qui me faisait penser qu'il n'aimera jamais les Français pour les soigner de leurs maux séculaires ainsi que la socièté française malade de son hypocrisie, Ah!Ah!Ah!. Mon analyse me semblait tout à fait crédi-ble, car n'est-ce pas dans les détails que le diable se cachait? Ah!Ah!Ah! Personnellement, je n'avais rien contre Emmanuel Macron, mais qu'il arrête de se prendre pour ce qu'il n'est pas. Car il n'est qu'un comé-dien qui joue le rôle du président et je ne suis pas le seul à le dire et à le penser même François Hollande qui, au cours d'une petite interwiew à la télé, semblait prendre du plaisir à massacrer son jeune poulain dont la femme Brigitte était une ancienne prof de théâtre, Ah!Ah!Ah! Bref, nous étions en plein théâtre de boulevard où dans ce petit conte merveilleux à la Walt Disney, notre jeune président de la république jo-uait le rôle de saint Emmanuel, bref, comme un vrai miracle de la providence grâce aux médias. Le grand reproche que je lui ferais, c'est qu'il n'avait aucun sens de l'humour en pensant à François Hollande( l'ho-mme qui lui avait mis un pied à l'étrier du pouvoir) qui avait toujours une petite phrase rigolotte pour son auditoire. Alors que lui, quand il ouvrait la bouche, c'était pour dire que les Français étaient des fain-éants ou des gaulois réfractaires et que leur système social coûtait un pognon de dingue sans oublier de dire aux gens anonymes qu'ils n'étaient rien! Bref, notre petit veinard de président semblait atteint d'une sévère cécité qui, entre autre, l'arrangeait bien pour se croire l'homme le plus intelligent de France, Ah!Ah!Ah! Mais il est vrai, quand on se prenait pour un saint tous les miracles étaient possibles, n'est-ce pas? |
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Étrangement, quand je regardais ce noyau dure formé par ce couple franco-allemand essayer de gouvern-er l'union européenne et non pas l'Europe (car il en était incapable), je voyais en Emmanuel Macron et Angela Merkel, comme deux grandes vierges à son chevet, Ah!Ah!Ah! Avec le sentiment d'assister au dé-but du démantèlement de l'union européenne avec le Brexit qui bien sûr allait entraîner d'autres candidats ou d'autres nations à la sortie pour retrouver leur liberté ainsi que leur souveraineté que l'union europée-nne leur avait confisqué, comme on confisque un paquet des bonbons à des enfants, Ah!Ah!Ah! Et puis disons-le franchement, cette union européenne était une vraie catastrophe politique et économique pour les peuples que bizarrement nos élites ne voulaient pas voir! Car pour elles tout fonctionnait formidable-ment bien ou prestiges et argent coulaient sur elles sans interruption et en toute légalité, n'est-ce pas? |
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Car il faut dire qu'à partir d'un certain âge entre quarante et cinquante ans, on arrivait plus à se faire d'am-is. Moi même, bien évidemment, j'en ai fait la triste expérience où l'amitié et l'amour étaient devenus po-ur moi comme une chose impossible avec lesquels renouer sauf à titre provisoire ou circonstanciel liée au hasard. A propos de mon idiot flamboyant, j'avais le sentiment qu'il s'en foutait complètement de ren-ouer avec l'amitié en ayant aucun scrupule à se fâcher avec tout le monde, puisque âgé d'une petite quara-ntaine d'années, il savait qu'il ne se ferait plus jamais d'amis, Ah!Ah!Ah! Et de ce côté là, je pouvais parf-aitement le comprendre. Car moi même, à partir de la quarantaine, j'ai commencé à me méfier de mon m-auvais caractère naissant en le ménageant pour éviter de me fâcher trop vite avec mes interlocuteurs, Ah!Ah!Ah!. Ett là, visiblement, j'avais toutes les raisons de me fâcher avec mon grand idiot qui pour le com-pte ne me posait aucun problème ni moral ni existentiel. Comme vous le voyez, il était souvent difficile de déchiffrer la vérité sur ses contemporains où toutes ces choses étaient entremêlées biologiquement, mais encore saisissables par l'intelligence. En fait, dans cette petite anecdote, ce que je n'avais pas bien compris (je vous avoue ici mon ignorance), c'est qu'il était inutile de parler avec des idiots en sachant bien qu'ils le resteraient malgré tous vos efforts, Ah!Ah!Ah! Et durant mon adolescence, ma mère me di-sait souvent que de parler était de l'énergie dépensée pour rien! Personnellement, je lui donnais entièrem-ent raison concernant les idiots. |
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Et quand je pense qu'il a fallu attendre l'invention d'Internet pour que les Français apprennent la vérité sur leur Ecole républicaine! Ca me fait vraiment de la peine de savoir que leurs médias officiels ont tout fait pour leur cacher la vérité pour de vils interêts économiques, n'est-ce pas? Et que celui qui vous apprend tout cela est un célèbre inconnu qui s'appelle Patrick Maaded. Dont le destin est de restaurer l'intelligence des Français, non dans le but de détruire la société française, mais de la propulser vers un monde meilleur où nous nous connecterons par la pensée pour vivre le grand rêve où fantasme et réalité ne feront qu'un. |
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Car vouloir réaliser tous ses rêves ou fantasmes, c'était vouloir vivre l'enfer comme nous le savions tous, mes amis! Et je pense qu'un homme sage était sans aucun doute un homme qui refusait de réaliser ses rê-ves dans la réalité. Car en restant dans le rêve, il ne sortait pas du paradis où la création l'avait placé à l' origine. Ainsi on pouvait dire sans bien se tromper qu'un homme ou une femme qui n'avait fait que rêver au cours de sa vie était immortelle( disons son âme), puisqu'elle n'avait jamais quitté le paradis! Je sais que c'est révolutionnaire ce que j'affirme là, mais seuls les immortels où les intelligences supérieures pe-uvent le comprendre. Mais une croyance qui j'en suis sûr fera des adeptes dans les millénaires à venir tels sont les mots du prophète que je suis. Sans le savoir, j'inaugure peut-être l'Homme nouveau ou l'Homme de demain? |
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Avec le mépris qu'il avait montré à cette journaliste, il s'était mis à dos toutes les femmes sans parler des végans qui avaient remarqué sur les images qu'il portait souvent une gabardine en cuir! Ce qui devait rendre furieux tous les amis et défenseurs des animaux qui se refusaient de mettre le moindre morceau de viande dans la bouche. En plaignant beaucoup leurs petits copains de ne plus pouvoir mettre leur engin dans la bouche de leurs petites copines parce qu'elles étaient véganes, Ah!Ah!Ah! Ce qui me faisait penser qu'il ne devait pas y avoir d'homosexuel ni de lesbienne dans la secte des végans qui, à vrai dire, n'était qu'un mouvement insignifiant dans la société française où l'on était de gros mangeur de viande par tradit-ion, bref, de gros épicuriens. Faut dire aussi que le mouvement végan n'était que la conséquence de la fé-minisation de nos moeurs donc de la dévirilisation des hommes par les mouvements féministes. Visible-ment, Monsieur Mélenchon, qui était un célibataire endurci, faisait de grosses erreurs politiques qui l'en-traîneraient forcément vers la disparition de son mouvement. Sans oublier de dire qu'aux prochaines élec-tions européennes, c'est l'extrême droite qui remportera un nombre important de sièges et non l'extrême gauche qui était en plein déclin partout dans le monde. C'est cela, je pense, qui fera imploser l'union eur-opéenne par le retour à l'Europe des nations. Et si vous suivez l'actualité, vous comprendrez que si Thér-ésa May jouait la montre pour le Brexit, c'est parce qu'elle attendait la victoire de l'extrêmê droite aux prochaines électons européennes où le nouveau pouvoir sera forcément plus indulgent face aux exigenc-es de la Grande-Bretagne. Personnellement, vu mon hyper intelligence, je pense que la CIA devrait m' embaucher et pourquoi pas devenir le futur conseiller de Monsieur Poutine? Ah!Ah!Ah! |
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Hier soir, en allumant ma télé, j'ai appris( depuis son éviction des plateaux télés) que la vente des livres de Monsieur Zemmour avait été divisée par cinq. Bref, le signe évident qu'il n'était pas un grand intellect-uel ni un grand penseur, mais qu'un petit personnage médiatique et rien de plus, Ah!Ah!Ah! |
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Cette nuit, j'ai fait un drôle de rêve où j'étais en train de rouler sur une autoroute dans une voiture d'en-fant qu'on appelle une voiture à pédales! Décidément, un rêve complètement absurde illustrant peut-être ma vie, hum? En fait, je n'en sais rien. Car depuis quelques temps, mes nuits sont assaillies de choses qui n'ont ni queue ni tête, comme il a une semaine où dans un cauchemar, j'étais suspendu par les mains en haut d'une tour de 118 étages! Bien sûr, vous allez me dire pourquoi 118 étages et pas 119? En fait, je n' en sais rien. Car ce qui m'obsédait le plus, ce n'était pas d'être suspendu au dessus du vide, mais le nom-bre 118 qui semblait représenter pour moi et pour mon inconscient, comme un chiffre magique ou peut-être maléfique? En fait, je n'en sais toujours rien. Puis pour une raison inconnue, je me suis retrouvé en plein désert en haut d'une dune de sable où, tout compte fait, j'avais retrouvé les pieds sur terre, mais sans pour autant avoir amélioré ma situation, n'est-ce pas? |
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Et ce qu'il y avait de formidable ave le monde virtuel, c'était son pouvoir de fabriquer le futur visage de notre président de la république. Et pourquoi pas avec la voix d'Elvis Presley? Ah!Ah!Ah! Ce qui assurer-ait son succès immédiat auprès du public, je vous l'assure. Et puis grâce à la magie d'Internet, on pourrait s'adresser directement à lui à travers nos écrans d'ordinateurs ou de télé. Ah enfin, la vraie démocratie pénétrant nos foyers et concrétisant le rêve des peuples! Et aux prochaines élections, rien ne vous interd-irait de changer le visage du président de la république afin qu'il plaise au plus grand nombre, bien évide-mment. |
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Sans oublier la hausse du prix des carburants qui forçait les Français à revêtir leurs gilets jaunes pour bloquer les points de circulation. Ainsi en ce beau mois de Novembre, aux températures clémentes( 20° en consultant la météo), la France ne serait pas recouverte d'un beau tapis de neige, mais d'un beau tapis de gilets jaunes, Ah!Ah!Ah! C'est dire qu'en France, nous vivions dans un vrai film de science-fiction. Mais pour quand notre départ définitif pour mars, mon ami? Ainsi verrait-on à distance l'anéantissement de la France par ses élites politiques et intellectuelles! Faut dire aussi que je ne voudrais pas être là pend-ant le Last Day in France, Ah!Ah!Ah! |
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En regardant chaque jour la télévision, je suis de plus en plus convaincu qu'elle n'est qu'une vitrine com- merciale au service du grand capitalisme! Et que tous les gens qui y passent ne sont pas pour moi des jo- urnalistes, des écrivains, des philosophes, des intellectuels, des artistes etc, mais des commerçants qui ont quelque chose à vendre, Ah!Ah!Ah! |
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Bref, par un paradoxe que j'essayais de vous expliquer en employant une littérature avant-gardiste où l' information des médias nous éloignaient de jour en jour du monde réel! Mais qui ne pouvait tromper nos sens connectés en permanence au cosmos donc au réel. Où j'y voyais comme une grande horloge nous di-riger par le mouvement de ses galaxies avec le sentiment que l'horloge des Hommes était complètement détraquée en marquant une heure et une date erronées et sans savoir vraiment d'ou pouvait me venir cet étrange sentiment. Mais en tant que poète-musicien, je sentais un énorme décalage entre nous et le temps cosmique. Où il me semblait que toutes les aberrations ou anomalies dont nous étions témoins aujour-d'hui à travers nos médias( aussi bien climatiques que politiques) en étaient les preuves évidentes. Appa-remment, nous avions atteint des temps philosophiques les plus détestables pour l'humanité avec le capit-alisme et la fin des idées. En étant convaincu que le troisième millénaire ne pourrait être que métaph-ysique pour sauver le monde! Et je vous assure, mon cher lecteur, que ces temps bénis viendront pour l'humanité et ne sont qu'une question de temps que les prophètes ont toujours su prédire par leurs dons exceptionnels! |
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Bizarrement, quand j'observais notre jeune président Emmanuel Macron gesticuler dans les médias, je le voyais comme Icare en train de se brûler les ailes au contact du pouvoir, Ah!Ah!Ah! Et si en 2017, les planètes avaient été alignées par les médias pour lui assurer la victoire présidentielle( en assassinant poli-tiquement son principal rival, François Fillon), ce n'était pas anodin. Car ils voulaient caler leur horloge sur celle de Monsieur Macron en le désignant comme le maitre des horloges, souvenez-vous en! Et aujo-urd'hui, nous voyons bien que notre petit président novice élu grâce aux médias n'était pas en possession d'une véritable horloge digne de ce nom, mais d'un vulgaire minuteur pour faire au mieux des oeufs po-chés ou bien de la crème renversée et certainement pas de la vraie gastronomie que les Français attendaie-nt avec impatience de goûter, Ah!Ah!Ah!. Décidément, notre petit président était un piètre cuisinier sach-ant que son plat préféré( d'après les rumeurs) était les cordons bleus avec des nouilles au beurre! Bref, je crois qu'il fallait s'attendre à tout avec ce triste individu qui comptait nous mettre tous au régime Macro-nien, Ah!Ah!Ah! J'avais vraiment du mal à comprendre comment les Français avaient pu confier la grande cuisine française à un mauvais cuisinier, Ah!Ah!Ah! C'était pour moi comme une anomalie produite par la France-fiction. Sous entendu que Monsieur Macron avait seulement les compétences d'un serveur et non d'un vrai homme politique. Si j'avais véritablement les moyens médiatiques, je lui demanderais bien de traverser la rue pour trouver du travail dans une pizzeria ou dans une friterie qui serait, je pense, dans ses compétences et non de s'occuper du destin de la France, Ah!Ah!Ah! |
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Bien évidemment, ma thèse disait tout le contraire en affirmant que la Terre disparaîtrait consumée par le soleil quand elle s'en serait trop approchée, comme pour le cas d'Icare. Car nos scientifiques faisaient sa-ns le savoir une erreur de jeunesse en pensant que la Terre vivrait plus longtemps que le soleil et que no-us assisterions en tant que témoins, comme dans un film Hollywoodien, à l'extinction du soleil, Ah!Ah!Ah! Ce qui était pour moi complètement ridicule, car le soleil par ses dimensions colossales nous survi-vrait grâce à son énergie monumentale contenue dans son coeur qui lui assurait une longévité à laquelle nous ne pouvions rivaliser, CQFD. Car plus vous êtiez gros( je ne parlais pas en graisse, mais en masse) plus votre espérance de vie était importante sachant que votre rythme cardiaque était plus lent et se fati-guait moins vite en consommant moins d'energie, etc. Paradoxalement, si les femmes de masse moins importante que les hommes vivaient plus longtemps, c'est seulement parce qu'elles fumaient moins et bu-vaient moins que les hommes. Mais un écart qui pourrait vite disparaitre si les femmes se mettaient à imiter les hommes, comme on le voyait aujourd'hui. Bref, pour rester dans les hautes sphères de la vérité, je devinais que le rythme cardiaque du soleil était d'une extrème lenteur ainsi que son champ magnéti-que d'une très basse fréquence. Tout ceci était vérifiable dans la réalité en comparant l'espérance de vie d' une souris à celle d'un éléphant dont la première était d'une année avec un rythme cardiaque de 500 puls-ations par minute, alors que pour un éléphant, elle était de 70 ans avec un rythme cardiaque de 30 batte-ments par minutes, CQFD. En fait, ce que mon physicien n'arrivait pas à comprendre, c'est que je n' ess-ayais pas de lui expliquer comment la Terre tournait autour du soleil, mais pourquoi elle s'en approchait de jour en jour? Ce qui bien évidemment remettait en question toute la science depuis le 19 ème siècle! Mais bon, pourquoi nier les faits quand la réalité semblait nous le prouver, hum? Au bout du compte, j'inaugurais sans le savoir une nouvelle science qui serait celle de la vérité! |
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Visiblement, nous vivions dans un monde fait d'anomalies transdimensionnelles : où le travail ne payait plus où les génies n'arrivaient plus à publier leurs oeuvres pour changer l'humanité où les médias avaient instauré une dictature du public pour désigner leurs pseudo-artistes, penseurs et hommes politiques dans le contexte d'un réchauffement climatique et de nos humeurs, cela va de soi. Nous prouvant que la Terre se rapprochait du soleil où le Groenland, par la fonte des glaces, redeviendrait à l'avenir une terre verte dont les Inuits décrivaient la beauté dans leurs contes ancestraux comme un retour vers leur bonheur originel. Et par toutes ces transformations spaciotemporelles, il m'a semblé utile de redessiner la carte de France dans le bon sens où, apparemment, les Français marchaient sur la tête, Ah!Ah!Ah! |
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Et ô combien de fois, j'aurai voulu, tel un prophète des temps modernes, m'isoler dans une grotte en em- portant avec moi les trois grands livres de l'Humanité pour les fusionner sous l'oeil vigilant de Dieu! |
Décidement, notre monarchie républicaine était indigne de succéder à la monarchie des Capets pour avoir perdu de sa superbe et disons même sa grande intelligence! |
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Et quand je voyais nos vieux défiler avec les gilets jaunes, j'avais pitié pour eux, Ah!Ah!Ah! Car j'ai touj-ours pensé que la vieillesse devait permettre aux hommes et aux femmes de rechercher la sagesse et une vie intérieure et pourquoi pas Dieu? Mais là visiblement nos vieux recherchaient la confrontation avec l' autorité pour se croire toujours jeune, Ah!Ah!Ah! Bref, la crise d'adolescence à 70 ans, Ah!Ah!Ah! Déci-dément en France tout marchait à l'envers et contre le bon sens. En prédisant le pire où la folie nous guet-tait parce que nous nous trouvions à la fin de notre civilisation française. Bien évidemment, la républi-que y était pour beaucoup en ne pouvant redonner la raison à des fous, Ah!Ah!Ah! |
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Sous entendu que la recherche de Dieu restait notre mission première sur Terre avant de passer dans l' autre monde et non les idées intellectuelles ou scientifiques qui, au bout du compte, n'étaient que du bri-colage, Ah!Ah!Ah! |
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Comme la santé, la beauté, l'amour, l'amitié, l'intelligence, le génie. Sans y inclure le talent qui était pour moi une compromission avec le pubic. Alors que l'intelligence et le génie d'une nature parfaitement auto-nome qui n'avaient pas besoin de l'accord des autres pour exister, n'est-ce pas? C'est bien pour cette rais-on que je ne me définissais pas comme un homme qui avait du talent, mais du génie, Ah!Ah!Ah! Dit sans arrogance de ma part, car une chose que l'on ressentait au fond de soi comme une évidence. A ce propos, si vous êtes intéressés par les cinq qualités préférées des Hommes pour réussir dans la socièté, lisez le cercle magique que j'ai écrit il y a fort longtemps. Où vous saisirez que le cercle magique était la clé qui nous permettait de comprendre le fonctionnement de notre socièté française où l'Education Nationale tenait un grand rôle dans la destruction de notre intelligence, Ah!Ah!Ah! Leur stratégie étant bien évidem-ment de donner le pouvoir aux fonctionnaires pour qu'ils réussissent mieux que le reste de la population française, Ah!Ah!Ah! Et malheureusement le cas aujourd'hui où nous étions gouvernés par des idiots, non pour la grandeur de la France, mais pour de petites ambitions bureaucratiques. Monsieur Macron n' échappait pas lui aussi à cette défintition du parfait idiot où pendant le G7, il avait fait n'importe quoi en se mettant à dos aussi bien Donald Trump que Jair Bolsonaro en invitant en douce un diplômate Iranien, puis en accusant Bolsonaro d'être un soi-disant pyromane qui laisserait les cultivateurs Brésiliens brûler toute la foret Amazonienne! Décidément, notre petit président était devenu aussi imprévisible que Don-ald Trump en ayant compris que l'imprévisibilité de ce dernier lui avait assuré son succès politique, Ah!Ah!Ah! Alors pourquoi ne pas faire pareil quand les sondages suivaient? se demandait-il avec envie en ne pensant pas à la grandeur de la France, mais à sa réelection, Ah!Ah!Ah! Pour rester sur le même sujet, j'ai appris ce matin en écoutant BFM radio que notre guignol de président avait une nouvelle fois changé les règles sur la réforme des retraites en prévilégiant les années de cotisations au détriment de l'âge buttoir de la retraite! Bref, encore une imprévisibilité de notre petit président en sachant bien qu'il nous fallait un âge légal pour partir à la retraire et pourquoi pas 90 ans, comme le souhaitait notre petit monarque à l' Elysée? Décidément, la France avait perdu tous ses grands hommes et qu'il nous fallait désormais nous débrouiller avec des imbéciles, Ah!Ah!Ah! Et d'après les dernières informations, j'ai appris que Jair Bo-lsonaro comptait sortir des accords du Mercosur pour ne pas vendre sa viande de boeuf aux Français qui au bout du compte ne la méritait pas sans oublier de mentionner que son administration n'utiliserait plus de stylos BIC( une marque française) pour rédiger le moindre document papier après avoir subi une terr-ible humiliation médiatique de la part de notre petit président. Mais quand le monde politique deviendra-t-il intelligent? je me demandais souvent chaque matin en buvant mon café en écoutant BFM business : la radio des imbéciles qui voulaient devenir milliardaires, Ah!Ah!Ah! |
En fait, si l'Education Nationale en était arrivée à saboter l'intelligence des petits français, c'était tout si-mplement pour se venger de son ministère qui, il faut le dire, ne l'écoutait jamais, Ah!Ah!Ah! En pensant un peu idiotement qu'elle était la plus apte à créer ses propres programmes. Ce qui bien évidemment était une ineptie pour les hommes intelligents. Car les profs et les instits étaient les ouvriers de l'Etat qui dev-aient suivre ses commandements et non l'inverse, n'est-ce pas? Et puis entre nous, mon cher lecteur, con-naissiez-vous une machine qui editerait son propre logiciel sans avoir l'intelligence pour le faire? Perso-nnellement, j'en connaissais pas en ne mélangeant jamais la boite à instructions avec l'intelligence qui l' avait créée! Décidément, nos profs n'étaient pas si intelligents qu'ils le disaient en mélangeant tout et no-us prouvaient que mon cercle magique disait la vérité sur le fait que les hommes les moins intelligents et les moins courageux choisissaient l'instruction pour rèussir socialement, ce qui était parfaitement exact. Mais alors quelle destruction massive pour la socièté française! Demain, 2 Septembre 2019, c'est la rent-rée des classes et je plains amèrement nos petits français dont le cerveau sera réduit en bouillie par l'Ed-ucation Nationale, Ah!Ah!Ah! Et puis soyons honnêtes avec nous-mêmes, mes chers lecteurs, vouloir la sécurité de l'emploi et la retraite assurée n'est-elle pas la philosophie des idiots, hum? Car confondre la prévoyance et l'intelligence est une grave érreur et malgré que les plus prévoyants soient souvent les ga-gnants de la partie, comme l'aurait dit Lapalisse, n'est-ce pas? Mais pour ne pas dégrader notre intelligen-ce afin de sauver la France de son déclin restons fidèles au don que la nature nous a donné pour restaurer l'intelligence des Français, ce qui sera un travail de longue haleine, je ne le nie pas, mon cher compatrio-te. Pour parler d'autre chose, il y a quelques jours, j'ai vu à la télé un documentaire très intéressant sur la vie de Charles Manson, le célèbre criminel des annèes seventies que tout le monde connait, je crois. Où l'auteur du documentaire nous relatait et dans ses moindres détails la vie d'un gentil garçon( dénommé Charles Manson) qui avait eu la mauvaise idée de devenir un assassin parce que soi-disant( d'après l' auteur), il n'avait pas réussi à devenir une rock star! Oui, je sais un titre très racoleur pour faire connaître son documentaire auprès du jeune public, mais qui pour moi ne tenait pas la route. Car personnelleme-nt, je n'ai jamais pensé qu'on pouvait devenir un assassin parce qu'on avait pas réussi à devenir une rock star, Ah!Ah!Ah! Mais plutôt la conviction qu'on pouvait devenir un assassin parce qu'on avait le sentim-ent d'avoir raté sa vie! Ce qui n'était pas du tout la même chose, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Car qui d' entre nous n'a jamais eu l'idée d'assassiner ses voisins ou les membres de sa famille qui avaient mieux réussi que nous, hum? En fait, peu de monde, n'est-ce pas? Croyez bien que je n'étais pas là pour faire l' apologie du crime, mais plutôt pour le dénoncer afin de vivre dans un monde harmonieux. En fait, après le documentaire, j'ai compris que ce lourd ressentiment exprimé par Charles Manson( qui l'avait conduit au crime) était en vérité une chose très banale parmi nous en vous disant que même Jesus-Christ a dû le ressentir après avoir attendu beaucoup d'amour de ses prochains, mais sans en recevoir une miette! |
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Bien évidemment, les hommes intelligents allaient s'en inspirer et manger leur viande afin de s'immuniser contre les maladies. Voilà en quelques mots, comment l'Homme avait survécu jusqu'alors en sachant bien que la nature ne lui faisait aucun cadeau. En remarquant que sans cette superstition de croire qu'il pouvait être aussi fort qu'un boeuf en mangeant sa chair, léger comme un oiseau en mangeant ces créat-ures ailées et fluidifier son intelligence en mangeant du poisson, etc, l'Homme n'aurait pas survécu. Oui, je sais un gros pavé que je balançais dans la mare des intellectuels et adeptes de la Raison, mais il faut leur dire la vérité, car la raison est aussi issue de nos superstitions! Et puis regardez le teint pâlot de nos végans, écolos, femens, intellos, n'était-ce pas la preuve qu'ils étaient en pleine déficience immunitaire? Pour ma part, je leur donnerai une dizaine d'années à vivre et pas plus en étant très gentil avec eux, Ah!Ah!Ah! |
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En fait, l'Etat avait toutes les raisons du monde de réduire leur nombre où nos fonctionnaires comptaient se faire momifier aux frais du contribuable, Ah!Ah!Ah! Afin d'illustrer tous ces faits de socièté dont nous sommes témoins en ce moment et non moins inquiètant pour nous tous, mon cher lecteur, j'ai fait quel-ques dessins à vous proposer. Les voici : |
LA BOMBE |
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Où visiblement, les défenses immunitaires des vieux étaient devenues obsolètes en ne pouvant plus com-battre le coronavirus qui pour moi était un virus tropical produit par le réchauffement climatique! C'est mon intuition qui me le disait. Car en temps normal, on attrapait la grippe suite à un gros un coup de fro-id, n'est-ce pas? Mais là visiblement plus le cas où les températures hivernales avaient été plutôt cléme-ntes dans le monde entier. Bref, un gros paradoxe qui nous confirmait que nous retournions dans le passé où le coronavirus semblait se moquer éperdument du progrès médical des Hommes. Pouvait-on y voir ici comme un pied de nez à notre époque arrogante par sa science et sa technologie? Possible! pensais-je en interrogeant la nature qui bien évidemment aura le dernier mot ou semble-t-il nous étions allés trop loin en sophistications techniques et en propreté au point d'avoir perdu nos défenses immunitaires, Ah!Ah!Ah! En observant les sinistres dégats sur nos vieux qui pourtant avaient une bonne hygiène, n'est-ce pas? Hier, en regardant la télé, j'ai appris avec stupéfaction, suite au temoignage d'une personne, que sa vieille mère avait attrapé le coronavirus à l'hôpîtal et qu'elle en était morte! Personnellement, je conseill-erais aux vieux de rester chez eux pour ne pas mourir en prenant conscience que l'hôpital était un lieu contaminé par le coronavirus et autres virus qui circulaient dans l'air, n'est-ce^pas? Décidément, aujourd' hui, je plaignais amèrement le personnel soignant qui était en première ligne dont les hécatombes allaient s'annonçer dans les semaines à venir! Nos héros des temps modernes? |
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Et si j'étais sorti vainqueur, c'est parce que je m'étais battu, non point contre mes frères humains, mais contre un passé républicain qui se liquéfiait sous nos yeux avec l'épidémie de coronavirus, Ah!Ah!Ah! Ca paraissait étrange, mais c'était une impression puissante qui m'avait envahie ce matin avec le sentiment d'avoir retrouvé mes forces vitales. Bref, un combat contre un passé révolu me semblait la meilleur fa-çon de lutter contre ce coronavirus dont les intentions cachées étaient d'éffacer un passé poussièreux, n' est-ce pas, mon cher lecteur? A ce propos, n'avez-vous pas entendu à travers les médias, les sévères criti-ques de l'opposition sur l'inéfficacité du gouvernement de Monsieur Macron pour endiguer cette épidém-ie? N'était-ce pas la preuve que nous attendions tous pour disqualifier cette république dont l'obsolesc-ence était désormais visible? Bref, par l'abandon programmé de son hôpital public par un manque cruel en ce moment de masques et de tests pour lutter contre la propagation du virus? C'est dire que cette épi-démie était le révélateur de nos défaillances aussi bien immunitaires qu'idéologiques! Et en tant que poè-te, j'avais le sentiment urgent qu'il nous fallait inventer un nouveau monde pour survivre. Car depuis mon confinement, j'avais le sentiment d'être enfermé chez moi, comme un rat de laboratoire où je comm-ençais à me ronger les ongles, Ah!Ah!Ah! En étant considéré comme un cobaye par la socièté française, ce qui ne changeait pas vraiment ma situation, n'est-ce pas, mon cher lecteur? Cet après-midi en ouvrant ma télé, j'ai appris, non sans réelle surprise, les premiers dégats occasionnés par le confinement sur la po-pulation où un jeune homme, devenu apparemment fou, était sorti dans la rue pour tuer deux personnes avec un couteau de boucher! Pour l'instant, l'enquête s'orientait vers un attentat islamique sachant que le jeune homme était Soudanais et priait en Arabe lors de son arrestation! Ce qui arrangeait bien les aut-orités afin de ne pas mettre ce massacre sur le dos du confinement qu'elles avaient instauré sans notre accord, bien évidemment. Mais sans vouloir faire de polémique( car nous tenions tous à survivre à cette saleté de coronavirus), j'avais le sentiment qu'on avait affaire ici à quelque chose d'inédit dans les annales de l'Histoire où se mélait étrangement le terrorisme islamique avec le terrorisme épidémique! Bref, un curieux mélange d'événements qui semblait nous révéler la prochaine apocalypse, n'est-ce pas, mon cher habitant de la planète terre dont les jours étaient comptés? Ah!Ah!Ah! Et quand je sortais en debut d'ap-rès-midi faire mes courses, je sentais dans la rue comme un climat de terreur où tout le monde avait vi-siblement peur de mourir de cette épidémie! Décidément, le terrorisme en tout genre avait de beaux jours devant lui, n'est-ce pas? Mais un sujet que j'avais déjà exploré, il y a fort longtemps dans un de mes text-es intitulé "le complot anti-arabe" où je décrivais l'évolution de l'Histoire, non plus comme une suite lo-gique d'évenements politiques, mais comme un enrayement de la machine occidentale par le phénomène du grain de sable. C'est à dire par un phénomène aléatoire et imprévisible comme le terrorisme et tout particulièrement en 2020, le terrorisme épidémique! |
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Tous les matins, moi j'me lève, La tête plein de rêves, Même si j'ai trop bu la veille, Ma vie est sans mystère, Et poutant la nuit, je voyage Dans des mondes éffroyables! Décidément, des paroles inspirées directement de l'épidémie, n'est ce pas?
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A vrai dire, on ne pouvait pas s'en prendre au coronavirus qui comme nous voulait absolument survivre, Ah!Ah!Ah! Et depuis le début de l'épidémie, il ne faisait que de nous manifester son désir de vivre ou si vous voulez son instinct de conservation, bref, comme le nôtre, n'est-ce pas, mon cher homo-sapiens? Car d'après la nature, nous les hommes étions de gros parasites qui avions colonisé la planète Terre en exterminant des millions d'espéces, il ne faut pas se le cacher. Visiblement, il s'agissait d'une histoire de concurrence entre les espéces dont le capitalisme s'était peu embarrassé depuis la révolution industrielle, mais aujourd'hui impuissant à combattre ce virus à dimension planètaire qui s'appelait le Covid-19! Du point de vue bactériologique, cela était parfaitement exact et qu'on ne pouvait pas accuser injustement le coronavirus de vouloir lui aussi envahir la planète, comme nous l'avions fait depuis 100 000 ans, n'est-ce pas? Comme vous le voyez, mon cher lecteur, grâce à ma formidable imagination, j'arrivais à me met-tre à la place du coronavirus et lui donner la parole afin qu'il nous parle de ses ambitions sommes toutes banales comme les nôtres, Ah!Ah!Ah! J'étais sans aucun doute en ce moment d'un grand cynisme. Mais entre nous, mes amis, quel être vivant ne le serait pas quand il s'agissait de sa propre survie au détriment des autres? L'Histoire humaine n'en montrait-elle pas un bel exemple par toutes ses guerres passées où l' on exterminait ses semblables pour des raisons territoriales ou de richesses ou tout simplement pour des raisons de surpopulation qu'on arrivait plus à nourrir? Bref, il semblerait aujourd'hui que nous soyons entrés à un point de non retour où la future guerre qui exterminera l'humanité sera la guerre bactériologi-que dont le coronavirus nous en montrait les prémices, n'est-ce pas? Mais une chose que mon semblable connaissait déjà en lui rappelant d'une manière froide et cynique, il est vrai! Tout en lui assurant que de dire la vérité sur l'humanité n'était pas un voeux de ma part de vouloir son extermination, mais seuleme-nt de connaître ses points faibles afin qu'elle devienne meilleur pour nous tous, bien évidemment. J'avais le sentiment que ce coronavrus n'était pas d'origine naturelle, mais qu'il avait été fabriqué par un labora-toire Chinois, celui de Wuhan, afin d'exterminer tous les vieux de la planète dont le poids économique était devenu insupportable pour nos systèmes de retraites et pour la Chine tout particulièrement. S'agis-sait-il d'une machination diabolique d'un savant fou aux yeux bridés qui avait l'intention d'exterminer tous les vieux de la planète parce qu'ils n'avaient plus aucune utilité économique, sinon d'appauvrir les nouvelles générations en termes de vitalité? Où s'agissait-il d'un complot à l'échelle planètaire pour lim-iter la surpopulation afin de se débarrasser d'un passé qu'on ne voulait plus assumer économiquement et moralement pour dire les choses froidement? Mais pour ne rien vous cacher, mon cher lecteur, j'avais déjà exploré ce thème dans mon roman "la crise de la fièvre bleue" : un chef-d'oeuvre écrit il y a bien lon-gtemps, mais refusé par la plupart des maisons d'éditions! Décidément, nous vivions depuis des décénn-ies dans le mensonge où j'avais prédit l'épidémie du Covid-19 ainsi que la pénurie de masques! Regardez la couverture de mon livre et vous verrez l'étrange coïncidence avec notre époque épidémique! Voir |
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A part ça, tout va bien, mon cher lecteur, sauf avec les cons que je rencontre régulièrement à la Croix-Rousse, Ah!Ah!Ah! A ce propos, un jour un ami m'a dit en me regardant comme une bête curieuse : Patr-ick, sans vouloir être déplaisant avec toi, je trouve que tu n'es jamais d'accord avec personne! Bien évide-mment, prenant sa remarque avec philosophie comme à mon ordinaire, je lui dis : Tu sais René, tu te tro-mpes, car je suis toujours d'accord avec moi-même, Ah!Ah!Ah! Apparemment, je n'étais pas quelqu'un de très humain, mais qu'un vulgaire animal qu'on appelle un hérisson, Ah!Ah!Ah! Pour revenir aux pédophi-les, j'avais le sentiment en regardant l'émission "Crimes" que Jean-Marc Morandini en était un! Je ne sav-ais pas bien pourquoi, mais mon instinct ne me trompait jamais. Et puis entre nous présenter une émiss-ion comme "Crimes" n'était pas anodin, n'est-ce pas? Pour parler d'autre chose, depuis quelques temps, je reçois un nombre important d'email frauduleux! Personnellement, je pense que c'était dû à l'épidémie de coronavirus dont les escrocs voulaient exploiter le filon vu l'état d'affolement général de la population en vu de leur extorquer de l'argent. Pour aller droit au but, voici le nouvel email frauduleux que j'ai reçu dernièrement. |
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A lire attentivement l'adresse email de cet escroc, il provenait du Brésil avec sa terminaison en BR. Bref, un pays auquel il ne fallait pas faire confiance vu le taux d'homicides par année le plus important du mo-nde, Ah!Ah!Ah! Personnellement, accorder des prêts de 10 000 à 15 millions d'euros uniquement par co-urrier electronique, ça sentait la magouille à plein nez puisque totalement farfelue, n'est-ce pas? Bref, en-core un escroc qui allait demander des frais d'inscriptions, puis disparaitre dans la nature, Ah!Ah!Ah! Toujours à propos d'escros agisssant masqués derrière leurs écrans d'ordinateurs, j'ai reçu récemment un nouvel email totalement lunaire pour moi, car je n'ai jamais acheté le moindre BitCoin sur Internet en sa-chant bien que n'importe quel escroc pouvait se faire passer pour un vendeur de BitCoin, n'est-ce pas? Ainsi que pour la délivrance gratuite d'une carte bleue ou gold sur Internet où sans le savoir vous alliez transferer votre argent sur le compte d'un escroc, Ah!Ah!Ah! Saisissez, mon cher lecteur, que mon site Internet était aussi un lieu d'informations pratiques pour éviter votre ruine en 3 clics de souris, Voici l'email en question. |
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A titre personnel, quand je parle à mes contemporains, étrangement, personne ne veut m'écouter, comme si j'étais un homme qui n'avait aucun poids existentiel, alors que je fais plus de 80 kilos, Ah!Ah!Ah! Apparemment, mes contemporains doivent faire plus de 3 mètres de haut et peser 160 kilos pour me con-sidérer comme un minus, Ah!Ah!Ah! Pour être franc avec vous, je dirais que nous étions devenus invisi-bles aux yeux de nos contemporains( d'où cette hystérisation sur les réseaux sociaux) où l'on ne pensait qu'à sa gueule, Ah!Ah!Ah! En reconnaissant sans tabou que nous vivions aujourd'hui dans un monde égocentrique où la fraternité était une illusion. En juxtaposant ses individus les uns à côté des autres parce que chacun était guidé par ses propres interêts. Mais une réalité que je ne remettrai pas en question, car l'homme sans volonté ou sans ambition était un mythe existant seulement dans la littérature romanti-que. A ce titre, il est possible que je sois un héros romantique, mais qui l'ignore en ne voulant pas se l' avouer. Car qu'est-ce un héros, sinon un héros romantique par définition? Mais apparemment, un mot que nos contemporains avaient banni de leur langage pour ne pas être considérés, comme des soldats de l'arrière garde ou des personnages Balsaciens ou Stendaliens! C'est à dire d'eternels perdants qui n'avaient plus leur place dans ce monde où le capitalisme avait édifié la reussite au dessus de Dieu. Visiblement, mon projet héroïque de construire une oeuvre dans ce 3 ème millénaire hautement technologique semb-lait une entreprise vouée à l'échec, n'est-ce pas? Mais entre nous qu'était-ce un héros, sinon un homme bravant les tabous et les mensonges de son époque pour viser l'impossible vérité? Il ne faisait aucun do-ute pour moi que j'étais un fou illuminé, Ah!Ah!Ah! Mais une chose, en fait, qui ne me choquait pas du tout en connaissant parfaitement ma nature profonde grâce à cet examen littéraire de ma conscience. Sans pour autant me considérer comme quelqu'un de démodé, car mon accuité sensorielle et intellectuelle me permettaient de décrypter les codes de mon époque afin de connaître ses enjeux ou ses finalités existen-tielles. Mais avec le grand défaut, connu de nos chers opérateurs radio, de ne recevoir aucun signal retour pour confirmer qu'on avait bien reçu mon message. Bref, comme si mes contemporains vivaient sur une autre planète que la mienne. D'où ce sentiment de me sentir souvent étranger à mon époque, alors que j'étais bel et bien vivant! Car mon Site Internet tournait en ce moment au dessus de la planète, comme une balise emettant mon propre signal cardiaque, Ah!Ah!Ah! En voici la preuve, mon cher lecteur. |
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Décidément que de questions farfelues à son propos, mon cher lecteur, n'est-ce pas? Mais la vie conçue comme une farce fabuleuse pourrait bien être la vérité où la vie semblait nous mener tout droit vers une scène où l'on disparaîtra après un tour de magie magistral, Ah!Ah!Ah! Sans être absurde pour moi, car la vie avait un sens où j'ai pu rire et m'amuser comme un fou, Ah!Ah!Ah! Avez-vous parfois le sentiment de n'avoir pas assez ri durant votre vie, mon cher lecteur? Et le temps n'était-il pas venu de rattraper ce temps perdu pour plaire à Dieu même en pleine pandémie? Sous entendu que le rire était libérateur pour nous tous où se moquer de nos semblables revenait à se moquer de nous-mêmes et le début de la perfection, n' est-ce pas? Et s'il était facile de se moquer des débiles mentaux, mais rien n'interdisait ces derniers de se moquer des gens normaux ou extraordinaires, bien entendu. Car si nos élites pensaient detenir la vérité, el-les détenaient seulement une grande illusion entretenue par leur caste intellectuelle, Ah!Ah!Ah! A l'évide-nce, Dieu se moquait eperdument des hommes parce qu'il les avaient créé dans un grand éclat de rire et qu'ils finiraient tous en pleurant de n'avoir pas compris qu'ils faisaient partie d'une grande farce orchestrée par la vie. J'espère seulement à ma mort pouvoir jeter un dernier grand éclat de riire à la face de toute ma famille et du monde, Ah!Ah!Ah! Et pourquoi pas administrer aux malades avant de mourir, non pas de la morphine, mais un coktail euphorisant afin qu'ils partent dans un grand éclat de rire où mourir de rire ser-ait la mort rêvée par nous tous, n'est-ce pas? Ainsi la boucle serait bouclée, comme dirait le seigneur qui nous avait créé ou si vous voulez Amen pour les chrétiens et Inch Allah pour les musulmans, Ah!Ah!Ah! Et poussière d'étoiles, tu finiras! tel était le message que nous avait laissé nos ancêtres extraterrestre. Cet après-midi en me promenant sur boulevard de la Croix-Rousse par une belle journée ensoleillée, j'ai eu une étrange vision où je me suis vu sortir de mon corps et disparaître dans le décors! Mais sans éprouver la moindre peur en voyant ma vie filer sous mes yeux. Car celle-ci m'était plutôt agréable en ne ressentant aucun regret de partir de la terre en m'évanouissant dans l'immensité de l'espace-temps. Où je retrouvais les éléments qui m'avaient formé en me dispersant en une infinité de particules pour rejoindre la voie lactée qui m'avait donné naissance. Etrangement, je sentais mon âme vibrer au son d'une merveilleuse symphonie jouée par l'univers qui me rappelait la mélodie du bonheur destinée au poète pour regagner le fleuve d'airain où il avait été forgé par les dieux immortels! Ainsi, je fusionnais dans une formidable apot-héose poétique, Ah!Ah!Ah! De toute évidence, je traversais en ce moment une crise mystique, mais qui ne me génait pas du tout, car je savais qu'elle serait résolue en moi par une paix intérieure et non par la folie. |
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Sous entendu que l'artiste n'était pas un idéologue, ni un homme d'affaire, mais un raconteur d'histoires que ses contemporains pourraient croire ou non en ne connaissant pas d'avance ses goûts. Ainsi naissait la vraie création qui n'était pas une recette de cuisine appliquée machinalement à chaque livre ou morceau de musi-que puisque chaque oeuvre était unique et méritait un nouveau langage et un état d'esprit différent de l'aut-eur. Visiblement, le vrai artiste n'était pas dans la fabrication en série de ses oeuvres, parce qu'il avait beso-in pour les fabriquer de nouveaux matéreiaux qu'il puiserait au fond de lui-meme et non à la surface des ch-oses qu'on appelle l'actualité. Ce qui bien évidemment demandait beaucoup d'éfforts et de temps, n'est-ce pas? Mais si vous vouliez avoir un succès rapide sans vous casser la tête, vous pouviez racler la surface de l'actualité littéraire et musicale pour fabriquer un objet industriel qui comblera toutes les attentes des mé-dias et des maisons d'editions, Ah!Ah!Ah! Décidément, la culture industrielle me faisait vomir, Ah!Ah!Ah! En fait, ce que j'exprimais ici, mon cher lecteur, c'était quelque chose d'unique où le goût du public, je m'en foutais complètement, Ah!Ah!Ah! Afin d'avoir aucun compte à lui rendre pour être totalement libre d'écrire ce que je voulais! Tout compte fait, une façon d'être indémodable, n'est-ce pas? Car j'étais convaincu pour être démodé qu'il fallait avoir un style, ce qui n'était pas mon cas où ma littérature était brute de décoffra-ge. Comme de caresser la rugosité d'une pierre pour avoir le plaisir de sentir qu'elle avait été façonnée par les éléments naturels, bref, par la vie. Avec souvent le sentiment d'être une pierre roulant au bord de l'océan où l'écueil s'appelait l'humanité! En voyant des millions d'hommes s'entasser sur le rivage comme des ga-lets pour se ressembler tous à la longue, Ah!Ah!Ah! Tel était le destin de l'humanité où chacun avait la rude charge de porter le poids de ses semblables. Décidément, j'aimais mieux rester libre et vivre à l'écart de l'hu-manité quitte à être emporté par les flots impétueux de l'océan. En fait, ce que j'exprimais ici s'appelait tout simplement la liberté, mon cher lecteur. Et entre nous, n'aviez-vous pas l'impression aujourd'hui de porter sur vos épaules un poids social insupportable au point de flancher? Apparemment, nos semblables étaient devenus des gens insupportables, Ah!Ah!Ah! Etait-ce pour ces raisons que les gens aimaient mieux la com-pagnie d'un chien ou d'un chat voir d'un alligator? Ah!Ah!Ah! |
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